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Emmanuelle Piquet, celle qui veut apprendre aux petites filles à agir contre le sexisme,femmes,hommes,sexisme,

23 Avril 2018, 17:45pm

Publié par hugo

Emmanuelle Piquet, celle qui veut apprendre aux petites filles à agir contre le sexisme
 
La psychopatricienne Emmanuelle Piquet présente son dernier ouvrage Je me défends du sexisme, illustré par Lisa Mandel.
Nadia Bouchenni
Comment apprendre aux petites filles à se défendre des attaques et agressions sexistes qu’elles subissent dès le plus jeune âge ? C’est la question que s’est posée la psychopraticienne Emmanuelle Piquet. Après un premier livre sur le harcèlement des enfants, elle revient avec Je me défends du sexisme destiné aux petites filles, mais pas que. Terriennes l'a rencontrée
23 avr 2018
Mise à jour 23.04.2018 à 09:35 par
Nadia Bouchenni
dansAccueilTerriennesLe sexisme ordinaireEducation des filles, le b.a-ba de l'émancipation
Adepte de l'école de pensée Palo Alto (du nom d’une ville en Californie) qui propose ses préceptes depuis les années 1950, la psychopraticienne Emmanuelle Piquet a constaté un type de harcèlement à l'encontre d'enfants, directement lié au genre. Ces violences, constate-t-elle, sont là « pour enlever des droits, dénier des compétences » aux petites filles. Le courant Palo Alto met en avant une idée selon laquelle ce qui est souvent mis en place pour résoudre un problème ne fait que l’aggraver. « En partant de ce principe, ils se sont dit qu’il fallait aider les gens à faire exactement l’inverse de ce qu’ils font jusqu'à présent pour les aider à résoudre leurs problèmes et apaiser leurs souffrances. C’est ce qu’on appelle la stratégie à 180 degrés. », explique Emmanuelle Piquet. Elle a déjà exploré cette approche dans un premier livre Je me défends du harcèlement, et lors de conférences Tedx sur le sujet pour l'expliquer.
Flèches de résistance
Le livre Je me défends du sexisme est sorti le 28 mars aux éditions Albin Michel
Albin Michel
Dans ce nouvel ouvrage, illustré par Lisa Mandel, et paru aux éditions Albin Michel (sorti le 28 mars), Emmanuelle Piquet aborde des problématiques liées aux standards de beauté, à la grossophobie, au harcèlement de rue, voire aux agressions sexuelles.  Elle y présente des récits de jeunes filles qu’elle a suivies, en les « décontextualisant au maximum pour éviter qu’on les reconnaisse », nous dit-elle. Pour chaque cas, la psychopraticienne met en place une stratégie, qu’elle appelle « Flèches de résistance » afin que les petites et jeunes filles arrêtent de raser les murs, en gardant le silence. Verbaliser le malaise est nécessaire dans ces stratégies. Elle pousse les petites filles « qui le souhaitent » précise-t-elle, à dire les choses : « Il faut qu’elles puissent dire qu’elles ne veulent plus garder le malaise en elles. » 
On y découvre qu’il n’y a pas d’âge pour subir des agressions ou remarques sexistes voire sexuelles, quand on est une fille. Et que ce sexisme est quasi-systématiquement intériorisé.
Je veux les aider à puiser dans leurs ressources, parce qu’elles en ont d’immenses, pour que le mal-être, la souffrance, voire la honte changent de côté.
Emmanuelle Piquet
Emmanuelle Piquet prend l’exemple de la cour de récréation, qui peut-être à l’image de l’espace public en général, où les femmes doivent se faire toutes petites : « Dès le plus jeune age, on voit que cette cour d’école est vraiment un espace réservé aux garçons, ils en occupent environ 80% de l'espace, mais aussi on remarque aussi qu'ils sont au centre de cet espace, alors que les petites filles sont reléguées à la périphérie. Elles font le tour de la cour pour aller d’un point à un autre alors que les petits garçons n’ont aucun mal à emprunter la diagonale. Donc ça commence extrêmement tôt, il nous arrive d’aider des toutes petites filles pour qu'on arrête, parce que ce sont des petites filles de  leur prendre la place devant le toboggan, de leur prendre les jouets, de les bousculer. »
Elle nous l'explique plus en détails, dans cette vidéo :
 
 

La psychopraticienne Emmanuelle Piquet explique en quoi la cour de récréation peut-être un espace sexiste pour les petites filles
Nadia Bouchenni
La pédagogue propose aux filles de reprendre le pouvoir dans leurs existences, pour rééquilibrer ces attaques, « mais sur un mode de résistance, sans agressivité. », précise-t-elle. « Je veux les aider à puiser dans leurs ressources, parce qu’elles en ont d’immenses, pour que le mal-être, la souffrance, voire la honte changent de côté. »
Éduquer les enfants, les garçons comme les filles, former les adultes
Ce livre présente des cas pratiques et une partie interactive où on demande à la jeune lectrice ce que les protagonistes auraient dû faire, ou pourquoi tel conseil est pertinent. Pour autant, il n’est pas uniquement à destination du genre féminin. Les garçons peuvent également y apprendre à ne pas reproduire ce genre de comportements sexistes. Emmanuelle Piquet précise par ailleurs : « Il y a des garçons qui vont lire ce livre, mais ce serait bien qu’ils n’aident les filles qui si elles le leur demandent. » Pour l’autrice le changement passe d'abord par une prise de conscience collective des adultes : « On ne peut pas uniquement compter sur les générations qui viennent. Même si on éduque de façon plus égalitaire les garçons et les filles aujourd’hui, en espérant que dans 20 ans les choses auront radicalement changé, que fait-on pendant ces 20 années ? Que fait-on quand le sexisme advient ? Au moment où il advient ? »
Parce que on ne peut pas laisser entendre à des jeunes filles qu’elles seront faibles toute leur vie.
Emmanuelle Piquet
Les adultes, que ce soit les parents mais aussi les professionnels de l’enfance en général, doivent se former, s’outiller correctement pour éviter ces écueils, et accompagner correctement les jeunes filles. « On doit être capable de se mettre à coté des enfants et adolescent.es qui sont à un moment donné fragilisé.es par des attaques de leurs pairs pour les aider à faire autrement. Parce que on ne peut pas laisser entendre à des jeunes filles qu’elles seront faibles toute leur vie. C’est notre devoir de leur dire qu’elles ont le pouvoir et la possibilité de faire en sorte que ça se passe différemment si elles le souhaitent. », rappelle Emmanuelle Piquet.
Dans cette vidéo des Haut-Parleurs, on découvre une école où on enseigne aux enfants comment éviter au maximum les stéréotypes sexistes.
Les parents et familles ne sont pas pour autant toujours étrangers aux remarques et comportements sexistes. Dans Je me défends du sexisme, certains témoignages abordent les attaques dans le cadre familial, notamment le cas d’une petite fille, moquée par ses proches car elle est « un garçon manqué ». 
Dans Je me défends du sexisme, Lisa Mandel illustre les différents récits de petites filles. Ici, Maria, 13 ans, victime de grossophobie.
 
Lisa Mandel
Encore une fois, la professionnelle revient sur le silence des petites filles, victimes de ces commentaires, pour ne pas faire de peine à leurs proches. Elle insiste sur ce point : « Ce qui est intéressant c’est d’avoir quelqu’un qui soit capable de dire à cette petite fille : "Dis-le".  Parce que ça a certainement plus d’impact si c’est elle qui dit " Voilà la peine que ça me fait, et voilà ce que je vais être contrainte de faire, si vous continuez." »
De la même manière, en tant que femme, la psychopraticienne cherche à se questionner sur le sexisme intériorisé, ce qui est sexiste mais qui ne paraît pas si grave que ça, à première vue : « Il faut se demander d’ou vient cette intense satisfaction, que l'on ressent, en tant que femme, quand un homme dit à sa compagne "Toi je t’aime parce que tu n’es pas comme les autres filles ", par exemple. »
Féministe, un mot qui se mérite
On découvre aussi des témoignages assez durs concernant un viol (d’une adolescente) et des attouchements sexuels sur une enfant à l’école primaire. Concernant cette dernière, le livre explique que cette petite fille qui se faisait toucher les fesses de manière répétitive par plusieurs garçons a mis beaucoup de temps avant d’en parler aux adultes : « Dans tous les cas de harcèlement, on a toujours peur que la situation empire, que cela génère des représailles, après en avoir parlé à un adulte. C’est une peur totalement légitime. Tous les professionnels liés à l’enfance doivent être capables d’aider ces petites filles à riposter de façon adéquate. Il ne suffit plus uniquement de les écouter avec beaucoup de compassion et d’aller sanctionner les harceleurs. Parce que ça, on le sait aujourd’hui, ça ne fonctionne pas. », commente Emmanuelle Piquet.
Reste à définir la manière dont on peut parler des jeunes filles, et de la puberté qui peut jouer également sur le sexisme qu’elles subissent. Après la polémique liée à la sortie du livre On a chopé la puberté, en mars 2018, on voit qu’il est assez complexe de de bien faire. Pour mémoire, cet ouvrage des éditions Milan destiné aux pré-adolescentes avait été jugé sexiste aussi bien par ses propos que par ses illustrations : une succession de clichés, une incitation à la séduction, voire à la culture du viol. Une pétition signée par 130 000 personnes avait exigé  son retrait des librairies. Les pétitionnaires avaient eu en partie gain de cause, en stoppant sa réimpression.
La psychopraticienne prend ses précautions : « Je trouve que le qualificatif "féministe" est un mot qui se mérite. Il faut être à la fois très cultivé, sur un nombre de sujets très complexes, et en même temps très combattantes. Moi je ne suis ni l’une, ni l’autre. Si je peux contribuer avec ce livre à faire en sorte que les perceptions bougent un peu, je suis vraiment heureuse. »
À retrouver sur le même sujet dans Terriennes :

https://information.tv5monde.com/terriennes/emmanuelle-piquet-celle-qui-veut-apprendre-aux-petites-filles-agir-contre-le-sexisme

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Une étude révèle combien de fois un couple se dispute dans l'année et le résultat va vous étonner,articles femmes hommes,couples,

22 Avril 2018, 02:45am

Publié par hugo


 Une étude révèle combien de fois un couple se dispute dans l'année et le résultat va vous étonner
par Melanie Bonvard
le 19 avril 2018
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Vous disputez-vous souvent avec votre moitié ? Une étude s'est penchée sur la question et révèle combien de fois par an un couple connait des bas.
En amour, il y a souvent des hauts mais surtout des bas. Une relation reste toujours compliquée à entretenir avec le temps mais si on arrive à trouver un juste milieu entre moments de complicité et disputes, on ne devrait pas douter de la solidité de son couple.
Mais combien de fois en moyenne un couple se dispute dans l'année ? Une étude effectuée par Betterbathrooms.com a interrogé 3000 personnes pour en savoir plus sur les habitudes de disputes de certains couples. Le résultat de ces recherches prouvent qu'un couple se dispute en moyenne 312 fois ce qui équivaut à 53 jours durant lesquels les tourtereaux sont en conflits.
Si chaque couple est différent, Betterbathrooms.com s'est aussi penché sur les raisons de ces disputes de couple. Récemment, nous nous étions concentrés sur les raisons de séparations de certains couples qui étaient notamment l'argent et les différences de salaires. On découvrait aussi que la tâche ménagère qui était source de conflits dans un foyer était la vaisselle. Véritablement, personne n'est prêt à se vouer à cette tâche 24 heures sur 24, d'où une parité importante dans les corvées ménagères.

​La recherche britannique dévoile également que la belle-famille est bien souvent un sujet de dispute dans un couple. A croire que ce sont des sujets à éviter pour vivre en harmonie dans son couple mais, à moins d'éviter le sujet constamment, cela risque d'être compliqué de ne jamais être en conflits avec sa moitié.
Dans le classement, bien évidemment certaines personnes interrogées à ce sujet ont également partager le fait que la jalousie était une des raisons phares de leurs disputes en couple. Il faut croire que c'est un incontournable...
via GIPHY
Et vous ? Combien de fois en moyenne pensez-vous vous disputez avec votre moitié ?
A voir aussi :
Quelle tâche ménagère crée le plus de disputes dans un couple ? Une étude révèle tout
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par Melanie Bonvard
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 https://www.aufeminin.com/news-societe/couple-une-etude-revele-combien-de-fois-un-couple-se-dispute-par-an-s2527209.html

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Egalité femmes-hommes: le Haut conseil recommande de modifier la Constitution,egalite,articles femmes hommes,

20 Avril 2018, 02:21am

Publié par hugo

 
Getty Images/iStockphoto
Egalité femmes-hommes: le Haut conseil recommande de modifier la Constitution
Par Anne-Charlotte Dancourt, 18 avril 2018 | 12h03
Le Haut conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes a publié neuf recommandations de modification de la Constitution.
Ecrire « droits humains » et non plus « droits de l’Homme », garantir le droit à la contraception et à l’avortement... Le Haut conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes (HCE) fait neuf recommandations de modification de la Constitution, dans un avis publié mercredi.
 
 
La révision constitutionnelle annoncée est « une opportunité de reconnaître encore davantage l’égalité entre les femmes et les hommes comme principe fondamental de l’organisation des pouvoirs publics et de notre société », écrit le HCE dans cet avis.
Parmi ses neuf recommandations « pour une Constitution garante de l’égalité femmes-hommes », le Haut conseil suggère de remplacer l’expression « droits de l’Homme » par « droits humains », formulation utilisée selon lui « par la plupart des pays francophones ».
 
Remplacer « fraternité » par « solidarité »
 
Il recommande de « recourir à une écriture égalitaire », en utilisant la double flexion (« les ambassadeurs et ambassadrices »), des termes épicènes (« l’électorat ») ou le point média (« les député.e.s »).
 
 
Il propose de « conduire une réflexion sur l’usage du terme « «fraternité » dans la devise de la République, suggérant des alternatives comme « adelphité » ou « solidarité ».
 
 
Plusieurs recommandations visent à « garantir le partage du pouvoir à égalité », par exemple en écrivant « la loi garantit et non plus favorise l’égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives […] ».
 
Inscrire le droit à l’avortement dans la Constitution
 
Afin de « garantir de nouveaux droits fondamentaux », le Haut conseil recommande également d’insérer un nouvel alinéa dans le préambule de la Constitution, disant que « la République garantit le droit à la contraception et à l’avortement, ainsi que le droit à une vie sans violence sexiste et sexuelle ».
 Il suggère également de « reconnaître le principe de la budgétisation sensible au genre, à l’instar de la Constitution autrichienne », notamment en ajoutant que les lois de finances et de programmation « s’inscrivent dans l’objectif d’égalité entre les femmes et les hommes ».
laparisienne.com
Tags :

http://www.leparisien.fr/laparisienne/actualites/societe/egalite-femmes-hommes-le-haut-conseil-recommande-de-modifier-la-constitution-18-04-2018-7670607.php

JE NE PENSE   PAS  QUE  CELA VA  CHANGER  GRAND  CHOSE  A LA  FRANCE  ET  A LA SOCIETE FRANCAISE  ,

IL  FAUT  SURTOUT  FAIRE  APPLIQUER L EGALITE  SALARIALE , FAIRE  APPLIQUER LES LOIS AUTOUR DE CELA  

FAIRE   QUE  A L ASSEMBLEE  ET  PARTOUT  IL  Y AUTANT  D HOMME ET  DE FEMME  DANS CHAQUE  ENTREPRISE 

EN   PARLANT  D  ENTREPRISE   FAITE  RESPECTER   LES  6 %  D  HANDICAPE EN  ENTREPRISE  QUI NETS PAS RESPECTER  CAR L AMENDE N EST PAS   ASSEZ  FORTE

IL  FAUT   SURTOUT   ARRETER   LE  SEXISME , LE  MACHISME , RESPECTER  LA  PERSONNE  QUE  CELA  SOIT  UNE FEMME  UN HOMME  , OU  UN PERSONNE HANDICAPEES ,

,  

 

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Meghan Markle et le prince Harry s'engagent pour les droits des LGBT,homosexuelle,egalite,

20 Avril 2018, 00:01am

Publié par hugo

 Famille royale
Meghan Markle et le prince Harry s'engagent pour les droits des LGBT
À un mois de leur mariage, les futurs époux ont affirmé que la lutte pour les droits des personnes LGBT serait au cœur de leur travail.
Meghan Markle et le prince Harry au Commonwealth Youth Forum.
Crédit : Yui Mok / POOL / AFP

publié le 19/04/2018 à 14:05
Meghan Markle et le prince Harry font une pause dans les préparatifs de leur mariage royal, le 19 mai prochain, pour s'engager pour une cause qui leur tient à cœur : les droits des personnes lesbiennes, gays, bisexuelles et transsexuelles.
Ce mercredi 18 avril, le couple s'est rendu au "Commonwealth Youth Forum", forum où se réunissent des jeunes des 53 États du Commonwealth, à Londres. Le prince Harry, nommé ambassadeur de ce forum il y a quelques jours, et sa compagne en ont profité pour montrer leur engagement pour les droits des personnes LGBT.
"C'est une question de droits humains fondamentaux, pas une question de sexualité", a affirmé Meghan Markle aux jeunes présents lors de la réunion, comme Jacob Thomas, récompensé par le prix Queen's Young Leaders pour avoir aidé à réduire le taux de suicides au sein de la communauté LGBTQ en Australie.
Le couple a participé au Commonwealth Youth Forum et s'est engagé pour les droits des personnes LGBT.
Crédit : Yui Mok / POOL / AFP
 
"Ils ont promis que ces questions seraient au cœur de leur travail", raconte Jonah Chianga, une activiste LGBTQ du Kenya qui participait aussi au forum, d'après le magazine Town and Country.
Pour le prince Harry, des progrès concernant les droits des personnes homosexuelles ont été faits au cours de la dernière décennie, ajoute le magazine People. "Il a dit que c'était incroyable, parce que si nous avions été 10 ans plus tôt, nous n'aurions pas eu cette conversation", raconte Jacob Thomas.
"Il a insisté en disant que nous devons bien comprendre que tout le monde profite des droits de LGBTI, déclare Dawson, un autre jeune, au site PinkNews. Il a dit que ce n'était pas une question spécifique, mais que quand les droits des personnes sont protégés et respectés, c'est bénéfique pour tout le monde".
Les futurs époux ont assuré qu'ils envisageaient de travailler avec la communauté LGBTQ, dès que leur mariage sera passé et qu'ils pourront se lancer dans des activités caritatives. Le couple doit se marier le 19 mai prochain, lors d'une cérémonie très attendue mais où les questions politiques seront au second plan.
La rédaction vous recommande

http://www.rtl.fr/girls/identites/meghan-markle-et-le-prince-harry-s-engagent-pour-les-droits-des-lgbt-7793076993

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"Droits humains" au lieu de "droits de l'homme", IVG : le Haut Conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes recommande de modifier la Constitution,egalite,lois,

19 Avril 2018, 00:01am

Publié par hugo

 "Droits humains" au lieu de "droits de l'homme", IVG : le Haut Conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes recommande de modifier la Constitution
Le Haut Conseil fait neuf recommandations de modification de la Constitution, estimant que la réforme de ce texte est "une opportunité de reconnaître encore davantage l'égalité entre les femmes et les hommes".
Manifestation à Paris lors de la Journée internationale des droits des femmes, le 8 mars 2018. (DAVID SEYER / CROWDSPARK / AFP)
la préparons pour vous chaque matin
Ecrire "droits humains" et non plus "droits de l'homme", garantir le droit à la contraception et à l'avortement : le Haut Conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes (HCE) fait neuf recommandations de modification de la Constitution, dans un avis publié mercredi 18 avril (consultable sur son site).
La révision constitutionnelle annoncée par l'exécutif est "une opportunité de reconnaître encore davantage l'égalité entre les femmes et les hommes comme principe fondamental de l'organisation des pouvoirs publics et de notre société", écrit le HCE dans cet avis. Parmi ses neuf recommandations "pour une Constitution garante de l'égalité femmes-hommes", le Haut Conseil suggère de remplacer l'expression "droits de l'homme" par "droits humains", formulation utilisée, selon lui, "par la plupart des pays francophones".
Il recommande de "recourir à une écriture égalitaire", en utilisant la double flexion ("les ambassadeurs et ambassadrices"), des termes épicènes ("l'électorat") ou le point médian ("les député.e.s"). Il propose de "conduire une réflexion sur l'usage du terme 'fraternité'" dans la devise de la République, suggérant des alternatives comme "adelphité" ou "solidarité".
"Le droit à une vie sans violence sexiste et sexuelle"
Plusieurs recommandations visent à "garantir le partage du pouvoir à égalité, par exemple en écrivant 'la loi 'garantit' – et non plus 'favorise' – l'égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives (...)".
Afin de "garantir de nouveaux droits fondamentaux", le Haut Conseil recommande également d'insérer un nouvel alinéa dans le préambule de la Constitution, disant que "la République garantit le droit à la contraception et à l'avortement, ainsi que le droit à une vie sans violence sexiste et sexuelle." Il suggère également de "reconnaître le principe de la budgétisation sensible au genre, à l'instar de la Constitution autrichienne", notamment en ajoutant que les lois de finances et de programmation "s'inscrivent dans l'objectif d'égalité entre les femmes et les hommes."

A lire aussi

https://www.francetvinfo.fr/societe/droits-des-femmes/droits-humains-au-lieu-de-droits-de-l-homme-ivg-le-haut-conseil-a-l-egalite-entre-les-femmes-et-les-hommes-recommande-de-modifier-la-constitution_2711276.html

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Urbanisme : vers des villes moins machistes ?,articles femmes hommes,societe

18 Avril 2018, 23:58pm

Publié par hugo

 
Urbanisme : vers des villes moins machistes ?
En ville, les hommes et les femmes adoptent des comportements différents. Là où les unes se méfient et sont loin d'être rassurées, les autres profitent. Quelques villes, comme Bordeaux (Gironde), envisage des solutions.
 
FRANCE 2
Nous la préparons pour vous chaque matin
Les hommes et les femmes sont aussi nombreux dans les villes, mais au regard des sociologues n'occupent pas l'espace public de la même manière. Les hommes profitent de la ville, les femmes s'activent. Dans la rue, dans les transports, une femme sur deux dit avoir peur. Toutes, ou presque, ont des stratégies d'évitement. Au cœur de Bordeaux (Gironde), les terrains de sports mis à la disposition de tous ne sont occupés presque que par des hommes. Peur du regard des hommes, sentiment d'insécurité : l'attitude des femmes dans l'espace public ne trompe pas, elles ont généralement le réflexe de croiser les jambes lorsqu'elles sont assises, ou d'avoir l'air toujours occupées.
Des installations plus rassurantes
Le secret de la ville de demain se trouve peut-être dans la mixité des publics au sein d'un même espace. À Bordeaux, une étude montre que seulement 40% des cyclistes sont des femmes. Il suffirait pourtant, selon le géographe Yves Raibaud, de "pistes cyclables en site propre (en dehors des voies de circulation), des garages à vélo et des parkings". Pour le sport, Bordeaux a trouvé une solution : tous les premiers dimanche du mois, la ville propose à tous des cours de fitness gratuits. Les femmes viennent nombreuses, dans un cadre plus rassurant. À quoi ressemblera la ville de demain, chacun dans son coin ou tous ensemble ? À nous d'inventer des solutions.

https://www.francetvinfo.fr/societe/droits-des-femmes/urbanisme-vers-des-villes-moins-machistes_2709140.html

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L'égalité des salaires entre les hommes et les femmes permettrait aux couples de durer,articles femmes hommes,egalites,

18 Avril 2018, 02:51am

Publié par hugo

  L'égalité des salaires entre les hommes et les femmes permettrait aux couples de durer
par Melanie Bonvard
le 16 avril 2018
 
L'égalité salariale, ce n'est pas qu'une question de droits des femmes. Cela permettrait également d'entretenir la vie de couple. Explications.
C'est une étude qui est apparue dans la revue Demography. Vraisemblablement, l'inégalité des salaires entre les hommes et les femmes auraient une influence sur la durée d'un couple. L'argent serait donc un facteur susceptible d'affecter les couples. C'est le docteur Patrick Ishizuka, de l'université de Cornell aux Etats-Unis et à la tête de cette recherche, qui a constaté que plus un couple est aisé financièrement plus il aura des envies de se marier et de faire des projets. Alors, l'argent ferait-il finalement le bonheur ? Il explique : "Les couples veulent posséder une maison et une voiture, et avoir amassé suffisamment d'économies pour pouvoir organiser un grand mariage. Il leur faut aussi un emploi stable et des revenus réguliers." En ayant une situation financière moins stable, un couple aura plus de mal à se projeter et donc... A durer !
Et cela s'appuie davantage sur les couples dont une des deux personnes à un salaire inférieur à l'autre. C'est pourquoi il est précisé dans l'étude qu'apprendre à se connaitre et à s'entendre sur la répartition du couple, aussi bien dans les responsabilités de la femme et de l'homme, est primordiale pour assurer une vie de couple longue et surtout durable. Parmi cela, les salaires de chacun ont donc une place important dans l'harmonie d'une relation amoureuse. Le chercheur explique ainsi que "L'égalité des participations financières de l'homme et de la femme au sein du couple contribue à consolider et pérenniser leur relation." C'est pourquoi il est aussi expliquer qu'un mariage ou une relation amoureuse quelconque serait donc moins solides chez les couples défavorisés financièrement. Ainsi, les couples moins aisés auraient plus de risque de finir avec une séparation. Triste nouvelle quand on s'acharne à se dire que l'argent ne fait pas le bonheur.
Cette étude est une raison de plus pour encourager une véritable égalité des salaires entre les hommes et les femmes !
Egalité des salaires, selon une étude les femmes ne devraient pas être mères entre 25 et 35 ans
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https://www.aufeminin.com/news-societe/etude-les-couples-qui-gagnent-le-meme-salaire-restent-ensemble-s2524759.html

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Quelle tâche ménagère crée le plus de disputes dans un couple ? Une étude révèle tout,articles femmes hommes,couples,

18 Avril 2018, 02:46am

Publié par hugo

Quelle tâche ménagère crée le plus de disputes dans un couple ? Une étude révèle tout
par Melanie Bonvard
le 17 avril 2018
 
Une étude américaine révèle quelle tâche ménagère est source de conflits dans un couple et pourquoi il vaut mieux la partager.
La répartition des tâches ménagères, c'est un sujet où il est souvent compliqué de se mettre d'accord au sein d'un couple. Qui doit sortir les poubelles, qui doit préparer un manger pour le soir, qui doit faire les lessives ? Que de tâches qui sont clairement des corvées et que personne ne veut faire. Mais il faut bien s'y coller et se mettre d'accord sur qui fait quoi ! Aux Etats-Unis, le Conseil des familles contemporaines s'est penchée sur la question et a constaté qu'il y a une tâche ménagère qui se détache du lot et étant source de disputes dans une relation amoureuse. Mais laquelle ? Publiée dans la revue sociologique Socius, faire la vaisselle serait la corvée la plus ingrate et donc, par conséquent, celle que personne ne veut faire. Elle est donc la plus importante à se répartir dans le couple car si c'est tout le temps la même personne qui s'y colle, cela risque de faire quelques étincelles...
Plusieurs couples ont été interrogés et il s'avère que les femmes qui avaient plus tendance à faire la vaisselle constataient davantage de conflits au sein de leur relation. Elles semblaient même être moins satisfaites sexuellement. Conclusion : s'il fallait choisir une seule tâche à partager au sein du couple, ce serait la vaisselle selon ces dames. Mais pourquoi ? Vraisemblablement, cette tâche serait considérée par les femmes comme la plus ingrate et, en plus, celle qu'on ne complimente jamais. Grande tristesse quand on sait qu'il est toujours gratifiant de voir sa moitié nous remercier de lui avoir éviter une corvée franchement pas cool.
Les tâches ingrates injustement destinées aux femmes

L'étude remet en question beaucoup de choses concernant l'harmonie d'un couple et la place de la femme dans un ménage. Dan Carlson, responsable de cette étude révélatrice, a constaté que depuis toujours les moeurs ont attribué aux femmes les tâches ménagères les plus ingrates. Laver la vaisselle, faire la lessive, nettoyer les toilettes... Et on en passe ! Toutes ces corvées agaçantes sont majoritairement effectuées par les femmes. Et les hommes dans tout cela ? Ces messieurs, eux, ont des tâches ménagères aussi mais qui finissent toujours pas de la reconnaissance et qui s'avèrent moins ingrates à faire. Par exemple, ils tondent la pelouse, réparent la voiture, font du bricolage. Des stéréotypes de genre bien tenaces qui influent donc inévitablement sur l'harmonie d'un couple.
Si depuis quelques années, ces mauvaises habitudes évoluent. Cette transition dans la répartition des tâches chez les couples de manière générale continue de créer des tensions. Certes, les couples partageant les tâches ménagères sont passés de 16% à 29% entre 1999 et 2006 mais cela créer justement des couples envieux de ceux qui effectuent une parité niveau corvées : “Plus une tâche est partagée, pire c’est si chez vous vous ne la partagez pas” explique Dan Carlson. Si les moeurs changent petit à petit, les couples épanouis au niveau des tâches du quotidien ne sont donc pas encore si courants.

https://www.aufeminin.com/news-societe/couple-voici-la-tache-menagere-qui-cree-des-disputes-dans-un-couple-s2525735.html

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Congé parental : 50 associations en appellent à Macron,conge parentales,pere,,economies,

17 Avril 2018, 01:45am

Publié par hugo

 
Congé parental : 50 associations en appellent à Macron
 10h30, le 16 avril 2018, modifié à 10h46, le 16 avril 2018
Les associations proposent une meilleure indemnisation du congé parental. (Photo d'illustration) @ FRED DUFOUR / AFP
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Ces associations soutiennent une directive européenne prévoyant notamment une meilleure rémunération du congé parental. 
Une cinquantaine d'associations ont publié lundi une lettre ouverte à Emmanuel Macron, l'appelant à soutenir une proposition de directive européenne améliorant le congé parental et proposant cinq jours par an de congé rémunéré pour s'occuper d'un proche dépendant.
"Votre relais en faveur de cette directive (...) se traduirait en de véritables avancées sociales pour des millions de familles européennes", écrivent au président ces 49 associations représentant des familles, personnes âgées et handicapées.
Rendre le congé "plus attrayant pour les pères". Cette directive "améliorerait le taux d'activité des femmes et des aidants familiaux", ajoutent les signataires, parmi lesquels l'Union nationale des associations familiales (Unaf), l'Association des accidentés de la vie (Fnath), l'Association des Paralysés de France (APF) ou encore l'Unapei (personnes handicapées mentales et leur familles).
Le texte propose une meilleure indemnisation du congé parental, au niveau des indemnités journalières de maladie alors qu'elle est actuellement de 396 euros par mois au maximum en France. Cette augmentation "rendrait le congé parental plus attrayant pour les pères" et "son coût serait limité pour les finances publiques, voire nul", car "il réduirait la pression sur le système d'accueil du jeune enfant", estiment les signataires. La directive introduit également la possibilité de fractionner le congé parental et de le prendre jusqu'aux 12 ans de l'enfant, au lieu de 3 ans en droit français.
Le texte en débat au Conseil de l'UE. Cette plus grande flexibilité "serait particulièrement utile pour les parents d'enfants en situation de handicap pour lesquels les besoins en temps peuvent apparaître plus tardivement", font valoir les associations, qui soutiennent par ailleurs les cinq jours de congé par an proposés pour s'occuper d'un proche dépendant. En droit français, le "congé de proche aidant" est plus long (3 mois renouvelables dans la limite d'un an sur toute la carrière), mais il n'est ni fractionnable, ni rémunéré, soulignent-elles.
Les modalités prévues "compléteraient le droit français et permettraient de répondre au besoin des aidants de personnes handicapées ou en perte d'autonomie d'une particulière gravité", estiment les signataires. La proposition de directive prévoit la possibilité de demander des formules souples de travail, par exemple travailler à distance, pour les parents d'enfants de moins de 12 ans", offrant une plus grande flexibilité" que le droit français, "quand le handicap n'est pas encore reconnu par exemple". Cette proposition de directive sur l'équilibre vie professionnelle/vie privée des parents et des aidants est en discussion au conseil de l'Union européenne, précisent les associations dans un communiqué.
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http://www.europe1.fr/societe/conge-parental-50-associations-en-appellent-a-macron-3627731

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Le sexe, un allié contre le stress ?,couples,amours,

16 Avril 2018, 04:03am

Publié par hugo

  / Sexo

Le sexe, un allié contre le stress ?
Le stress envahit nos vies et il s'invite parfois sous la couette, altérant le désir comme l'érection, la lubrification et le plaisir. Bonne nouvelle, le sexe est aussi le meilleur des anti-stress !
Par Dr Charlotte Tourmente
Rédigé le 13/04/2018, mis à jour le 12/04/2018 à 13:01
 
Le sexe, un allié contre le stress ?
Sommaire
Un impact sur le désir, l'excitation et sur le plaisir
La sexualité, un puissant anti-stress
Un impact sur le désir, l'excitation et sur le plaisir
Le stress aigu a un objectif louable : augmenter nos capacités à gérer les défis en mobilisant nos aptitudes physiques et psychologiques. Cela passe par la production d'hormones anti-stress, avec en tête de fille l'adrénaline et le cortisol. Lorsqu'il devient chronique ou trop intense, ses répercussions deviennent négatives, y compris sur le plan sexuel.
De grandes variations selon les individus.
Les réactions au stress sont très variables d'une personne à l'autre : nous avons chacun une tolérance au stress qui nous est propre et qui peut varier suivant les domaines stressants ou selon les périodes. Certains utilisent les vertus anxiolytiques et apaisantes du rapport sexuel et de l'orgasme pour se détendre. Le stress ne paralyse pas leur désir puisqu'ils gèrent mieux le stress et que l'objectif ultime les motive. D'autres en revanche sont "paralysés" par le stress et ils ne trouvent pas l'état d'esprit et de corps pour s'abandonner à l'étreinte.
Il entrave l'éclosion du désir pour plusieurs raisons. Les préoccupations prennent toute la place dans l'esprit et n'incitent pas à en faire une aux galipettes. Il est difficile de s'abandonner aux caresses mais aussi d'être réceptif à l'autre dans ces circonstances. Ou réceptive… car les femmes sont les grandes victimes du stress, elles qui gèrent souvent une vie professionnelle et une vie familiale aussi dense l'une que l'autre, associée à une fatigue majeure. La sexualité paie un lourd tribut à la fameuse charge mentale.
Si le désir est suffisant pour initier une approche, l'adrénaline joue des tours aussi bien à l'érection qu'à la lubrification ! Elle s'oppose à la dilatation des vaisseaux, qui joue un rôle majeur dans la survenue des manifestations d'excitation sexuelle. Le but est de préserver la vascularisation des organes vitaux et celle des muscles en diminuant celle des organes périphériques, dont font partie les organes génitaux… Question de priorité ! Or l'apport de sang est indispensable à l'érection comme à la lubrification. De surcroït, un cercle vicieux peut se mettre en place une fois que l'on a constaté une première "panne" : son souvenir majorera le stress, qui amplifiera la panne.
Troisième victime du stress, le plaisir. Plusieurs raisons entrent alors en jeu. Certains reconnaissent moins bien la montée de l'orgasme. Chez les hommes, le stress agit sur le seuil de l'éjaculation qu'il abaisse. En d'autres termes il faut une excitation inférieure à d'habitude pour éjaculer : une éjaculation survient donc plus rapidement.
Chez d'autres, la raison est dans la tête ! Le cerveau fourmille de pensées qui le parasitent et empêchent de se concentrer sur ses sensations. Il est alors plus difficile, voire impossible de s'abandonner totalement. L'acmé de la jouissance devient inatteignable….
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