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AAH en couple : la majorité s’oppose à la suppression des ressources du conjoint,handicap,couples,economie

5 Avril 2018, 01:06am

Publié par hugo

 114 députés présents, issus des rangs La République en marche pour la plupart d'entre eux, ont voté contre la constitution d'une commission spéciale.
AAH en couple : la majorité s’oppose à la suppression des ressources du conjoint
Publié le 4 avril 2018
 
Les députés La République en marche ne sont pas prêts à supprimer la prise en compte des revenus du conjoint pour le calcul de l’allocation adulte handicapé. Ils viennent de voter contre la création d’une commission spéciale.
Et voici une occasion manquée pour les allocataires de l’AAH en couple. L’Assemblée nationale a refusé, mardi 3 avril, de créer une commission spéciale pour examiner la proposition de loi (PPL) de Marie-George Buffet. Le texte de la députée communiste vise à supprimer la prise en compte des revenus du conjoint, concubin ou pacsé pour le calcul de l’allocation adulte handicapé (AAH). Une mesure réclamée de longue date par les personnes handicapées et les associations qui les représentent, dont l’APF.
Une proposition, 80 députés, quatre présidents de groupe
Cette proposition de loi a été cosignée par 80 députés issus des sept groupes parlementaires. Et quatre présidents de groupe la soutiennent : Jean-Luc Mélenchon, France insoumise ; Jean-Christophe Lagarde, UDI, Agir et indépendants (centristes) ; Olivier Faure, Nouvelle Gauche (PS et écologistes) ; André Chassaigne, Gauche démocrate et républicaine (PC).
Le gouvernement vent debout
Si ce texte a été paraphé par quelque élus de La République en Marche (LRM) et du Modem, il ne bénéficie pas du soutien de la majorité parlementaire. En effet, le gouvernement n’entend pas revenir sur cette règle.
Il l’a même durcie en gelant le plafond de ressources ouvrant droit à l’AAH pour les allocataires en couple. La proposition de loi communiste a donc très peu de chances de passer le stade la commission des Affaires sociales.
Les élus LRM suivent
C’est pour cette raison que Marie-George Buffet avait demandé la création d’une commission spéciale. Une manière aussi d’amener la majorité à prendre position. Brigitte Bourguignon, la députée LRM qui préside la commission des Affaires sociales, s’est retranchée derrière le règlement pour rejeter la création d’une commission spéciale. Les élus LRM ont suivi.
Prochaine niche en 2019
La suite ? Rien dans l’allocution de Brigitte Bourguignon ne laisse penser qu’elle inscrira ce texte à l’ordre du jour de la commission des Affaires sociales. Reste au groupe Gauche démocrate et républicaine la possibilité de le présenter en séance publique lors de sa prochaine niche parlementaire. Chaque groupe dispose en effet d’une journée par an pour défendre ses propositions de loi devant l’Assemblée. Mais, pour les communistes, la prochaine n’aura lieu qu’en 2019.
« En s’opposant à la constitution d’une commission spéciale, la majorité repousse aux Calendes grecques l’étude de ce texte », s’est indignée Marie-George Buffet sur son compte Facebook. Elle ne laisse guère présager une issue favorable. Franck Seuret


http://www.faire-face.fr/2018/04/04/majorite-oppose-aah-couple/

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AAH et revenus du conjoint : ce n'est pas prêt de bouger,handicap,economie,couples,

4 Avril 2018, 18:05pm

Publié par hugo


 
AAH et revenus du conjoint : ce n'est pas prêt de bouger
 
Résumé : L'Assemblée refuse la mise en place d'une commission spéciale pour examiner un texte visant à ne plus prendre en compte les revenus du conjoint lors de l'attribution de l'AAH. Cette proposition des Communistes était cosignée par 80 députés.
Par L'AFP pour Handicap.fr, le 04-04-2018
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Les députés communistes ont déploré le 3 avril 2018 le renvoi de leur proposition de loi visant à ne plus prendre en compte les revenus du conjoint dans le calcul de l'Allocation aux adultes handicapés.
Un mode de calcul injuste
Par 114 voix contre 48, l'Assemblée nationale a rejeté la création d'une commission spéciale pour examiner ce texte, cosigné par quelque 80 députés issus de tous les groupes, y compris de la majorité LREM-MoDem. Plusieurs présidents de groupe ont également mis leur paraphe : Jean-Luc Mélenchon (LFI), Olivier Faure (PS) et Jean-Christophe Lagarde (UAI). Cette allocation d'autonomie "porte décidément mal son nom", a tonné dans l'hémicycle André Chassaigne, chef de file des députés communistes, dénonçant un mode de calcul depuis des années "totalement injuste" pour les personnes handicapées en couple.
Mesquineries comptables
"Nous savons les raisons de l'opposition à ce texte : le gouvernement propose de prendre encore plus en compte les revenus du conjoint", d'après l'élu PCF du Puy-de-Dôme, évoquant des "mesquineries comptables" (article en lien ci-dessous). De son côté, la présidente de la commission des Affaires sociales Brigitte Bourguignon (LREM) a rappelé la compétence de sa commission pour examiner ce texte, en vertu du règlement de l'Assemblée. Sa commission "a montré à plusieurs reprises qu'elle voulait faire avancer la situation des personnes handicapées", a aussi plaidé à la tribune cette ancienne socialiste, élue du Pas-de-Calais. L'auteure de la proposition de loi, l'ancienne ministre Marie-George Buffet (Seine-Saint-Denis), a regretté dans un communiqué que "la majorité repousse aux calendes grecques l'étude de ce texte demandé par toutes les associations défendant les droits des personnes en situation de handicap".
Des critères moins avantageux
L'AAH est passée, pour une personne seule, de 811 euros par mois à taux plein à 819 euros maximum au 1er avril 2018 (article en lien ci-dessous). Elle doit par ailleurs connaître des revalorisations exceptionnelles au 1er novembre, à 860 euros, et au 1er novembre 2019 pour atteindre 900 euros. Elle est versée à plus d'un million de bénéficiaires passera de 811. Parallèlement, le dernier budget de la Sécurité sociale prévoyait que les règles de prise en compte des revenus d'un couple à l'AAH soient rapprochées de celles appliquées pour les autres bénéficiaires de minimas sociaux, comme le RSA, moins avantageuses (article en lien ci-dessous). Les couples représentent un peu moins d'un quart des bénéficiaires, soit environ 250 000 personnes. Pour eux, la hausse promise ne sera pas répercutée !
© highwaystarz/Fotolia
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Handicap.fr vous suggère les liens suivants :
Sur Handicap.fr
AAH et revenu conjoint : pas un euros de plus ni de moins !
1er avril 2018, l'AAH passe à 819 euros !
50 députés contre la prise en compte des revenus du conjoint
AAH et revenus du conjoint : des députés proposent !

https://informations.handicap.fr/art-aah-conjoint-deputes-853-10725.php

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Egalité entre les sexes : mais comment donc fait l'Islande, championne du genre,articles femmes hommes,egalite,salaire,

4 Avril 2018, 11:15am

Publié par hugo

 Egalité entre les sexes : mais comment donc fait l'Islande, championne du genre
00:38
02:51
La fabrique d'une parité obligatoire en Islande, un reportage de L de la Mornais, E.Dherbomez, M. Russel, réalisé à Reykjavik, pour notre partenaire France Télévisions, 2'51
L'Islande s'affirme depuis quelques années comme le pays champion de l'égalité entre femmes et hommes. Mais comment font-ils ? Par une politique résolument active de prévention, de lois, et de pénalisation, soutenue par l'ensemble de la population, depuis qu'un certain jour d'octobre 1975, le petit Etat insulaire fut paralysé par une grève générale... de femmes.
03 avr 2018
Mise à jour 03.04.2018 à 10:32 par
Sylvie Braibant
dansAccueilTerriennesÉgalité femmes-hommesParité et politique
C'était il y a plus de 40 ans, et pourtant même les jeunes Islandaises pensent avoir vécu ce jour, celui du 24 octobre 1975, lorsque 95% des femmes de cette île européenne septentrionale se mirent en grève générale de leur journée de travail, à la maison et chez leurs employeurs. Ce jour le plus long pour elles, et surtout pour les hommes qui surent enfin ce qu'était faire une double, voire triple journée, alors qu'ils devaient travailler, garder les enfants, faire les courses...
Depuis ce jour unique, l'égalité entre les sexes est devenue un Graal, la clé de la richesse et de la tranquilité...
 
A relire sur cette journée particulière en Islande, dans Terriennes :
> Octobre 1975, le jour où les Islandaises se mirent en grève
L'un des bons effets de la crise
Cette quête, les Islandais l'ont mise en place à marche forcée, surtout depuis que la crise économique a frappé ce petit pays à la maigre population (320 000 habitants, à peine 1/6ème de la ville de Paris) et au climat austère. L'Islande fut frappée de plein fouet en 2008 par la déferlante des "emprunts pourris". Echaudé.es par des dirigeants au mieux incompétents, au pire corrompus, des hommes presque toujours, ils/elles mirent en place de nouvelles pratiques politiques et balayèrent leurs gouvernants pour les remplacer... par des femmes.
En 2012, malgré la défaite de la journaliste Thóra Arnórsdóttir face à l'irrévocable Ólafur Ragnar Grímsson, réélu pour un cinquième mandat à la présidence de l'Islande, tous les postes clés de l'administration du pays sont alors aux mains d'Islandaises : la fonction de Premier ministre, la présidence du Parlement et la charge de premier évêque de l’Église protestante.
A relire sur ce sujet dans Terriennes :
> Islande 2012 : vers l’Etat des femmes ?
Mais le pouvoir économique, celui qui selon certains soumet le politique, reste alors la chasse gardée des hommes. En 2013, il manquait toujours 211 femmes dans les conseils d’administration des entreprises pour que soit respecté le quota de 40% prévu par une loi. Moins de la moitié des 285 conseils concernés respectent  la règle. Tandis que les écarts de salaire entre les hommes et les femmes restaient en moyenne de 20 % au profit de la gent masculine. A peine mieux que dans toute l'Europe, en ces temps-là.
A relire sur ce sujet dans Terriennes
> En Islande, les femmes travaillent gratis dès 14h38 (octobre 2016)
Quelques désillusions et scandales de corruption plus tard, il fallait donc donner un coup de fouet, l'acte décisif qui permettrait de basculer dans une nouvelle ère. Même si depuis 9 ans, et malgré les réserves indiquées plus haut, les Islandais.es caracolaient en tête du classement mondial établi par le Forum économique mondial (WEF), The Global Gender Gap Report, qui mesure l’égalité des genres en matière, notamment, de participation économique, d’influence politique, de santé et d’éducation.
2022, année faste
En 2017, l'Islande figurait ainsi comme l’une des nations les plus respectueuses des droits des femmes, affichant l’un des plus faibles écarts de salaire entre les femmes et les hommes, entre 14% et 16 % en 2017. Mais cela ne suffisait manifestement pas, le Graal restait à quérir encore. Et depuis le 1er janvier 2018, toute entreprise de plus de 250 employées et employés qui paie un homme d'avantage qu'une femme pour un même emploi peut se voir infliger une lourde amende.
Mais l'égalité parfaite prendra un peu de temps, et une année butoir a été fixée : 2022.
A relire sur ce sujet dans Terriennes :
> L'Islande impose l'égalité salariale entre femmes et hommes
Je suis d’origine américaine, et je voulais venir en Islande parce que j’aime vraiment cette culture de la parité.
Un programmateur de jeux vidéos
Dans le reportage de France Télévison proposé en ouverture de cette page, l'approbation et l'enthousiasme sont unanimes. Tant de la part des nationaux que de celle des étrangers résidants en Islande, heureux de braver les frimas pour participer à cette aventure moderne. On y voit ainsi un programmateur de jeux vidéos, né aux Etats-Unis, travaillant aux côtés de sa collègue islandaise, pour une identique rémunération. Le sourire aux lèvres, il explique pourquoi il a enfin trouvé la terre promise : "Je suis d’origine américaine, et je voulais venir en Islande parce que j’aime vraiment cette culture de la parité."
#yaduboulot mais #yaaussibeaucoupdespoir !
A retrouver aussi dans Terriennes
> Les Filles de Reykjavik rappeuses islandaises féministes à l'assaut du monde
Suivez Sylvie Braibant sur Twitter > @braibant1
Sylvie Braibant
Mise à jour 03.04.2018 à 10:32
Sur le même thème

https://information.tv5monde.com/terriennes/egalite-entre-les-sexes-mais-comment-donc-fait-l-islande-championne-du-genre-226833

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Avec Coexister, des jeunes de convictions différentes prônent le vivre-ensemble,religion,respect

3 Avril 2018, 23:10pm

Publié par hugo

  Avec Coexister, des jeunes de convictions différentes prônent le vivre-ensemble
Ils sont chrétiens, musulmans, juifs ou athées… Samuel, Radia, Maud et Gabin, membres de l’association Coexister n’ont pas les mêmes convictions, mais pensent qu'il est possible de vivre ensemble.
Ayant pour devise "Diversité de convictions, unité dans l’action", l’association Coexister, fondée en 2009, promeut le dialogue et le vivre-ensemble entre jeunes entre 15 et 35 ans de toutes religions et convictions. Elle mène des actions sur le terrain, qui passent par l’organisation d’évènements solidaires, des groupes de parole, d’interventions de sensibilisation dans les établissements scolaires.
Des différences de convictions source de richesse commune
Au sein de l’association, les convictions de chacun "ne sont pas menacées par celles des autres", assure Samuel, fondateur de Coexister et président de Coexister Europe. Selon lui, même si ces convictions sont "contradictoires" et parfois porteuses de "vérités incompatibles", elles peuvent être source de "zones de commun". Pour une autre membre, Maud, ces contradictions permettent même de faire "avancer les choses" : "On peut être d’accord, de ne pas être d’accord, et c’est comme ça qu’on construit le débat."
Pour les membres de Coexister, les différences sont une source de richesse. Maud prend l’exemple de son amitié avec une jeune femme qui vient d’un milieu social différent, ne fait pas les mêmes études, n’a pas la même religion et lui apporte une richesse "incroyable" : "Et là, je me rends compte que la diversité, finalement, c’est ce qui nous pousse plus loin." Gabin, athée, explique que ça lui "fait du bien" d’apprendre de ses "amis chrétiens et musulmans". Il encourage à sortir d’une "bulle de sécurité, de confort" pour aller vers des personnes qui pensent différemment : "Ça vous nous apporter quelque chose en plus."
Prôner le vivre-ensemble face aux dérives
Les jeunes de Coexister veulent montrer que c’est possible de "vivre ensemble" en étant "profondément croyants, profondément athées" explique Maud. Pour Gabin, il s’agit de montrer que les "jeunes sont capables de prôner un message face à des idées contraires". Un vivre-ensemble nécessaire face aux dérives de l’extrémisme, l’individualisme ou le communautarisme, selon Radia, la présidente actuelle de l’association. À ses yeux, les attentats qui ont marqué la France depuis 2015 ont montré que des libertés qui paraissaient jusqu’alors "inaliénables" sont aujourd’hui menacées. Et que l’engagement personnel dans des associations comme Coexister est une solution "pour que ça n’arrive plus jamais".
A lire aussi

https://www.francetvinfo.fr/societe/religion/laicite/avec-coexister-des-jeunes-de-convictions-differentes-pronent-le-vivre-ensemble_2682102.html

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PETITE ANNONCE DU BLOGEUR

3 Avril 2018, 13:30pm

Publié par hugo

CHERCHE  A  MARCHER  AVEC UNE  FEMME , CHERCHE  A  FAIRE   UN PETIT    BOUT  DE CHEMIN  A  DEUX  

 

 

 

 

PETITE  ANNONCE  DU  BLOGEUR
PETITE  ANNONCE  DU  BLOGEUR

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La déchirante lettre d'un garçon victime de harcèlement scolaire émeut la Toile,enfants,violence

2 Avril 2018, 18:02pm

Publié par hugo

 La déchirante lettre d'un garçon victime de harcèlement scolaire émeut la Toile
par Mélodie Capronnier
aujourd'hui à 12:00
 
Depuis des mois, un collégien est harcelé par ses camarades. Il a écrit une lettre bouleversante à ses parents pour leur raconter, et sa soeur l'a partagée sur Twitter. Immédiatement, une vague de solidarité s'est déclenchée sur le réseau social.
Depuis la rentrée 2017, un garçon de 11 ans est victime de harcèlement scolaire au collège Paul-Bert à Malakoff, dans l'Académie de Versailles. Au mois de novembre, sa famille avait déjà agi en portant plainte et en discutant avec la direction de l'établissement. Cette dernière affirmait que la situation avait été réglée, mais le comportement du pré-adolescent a alarmé sa famille...
"On comprenait plus mon frère, il est devenu violent, colérique et il casse tout à la maison", explique sa soeur sur Twitter le 28 mars 2018, sous le pseudonyme @AccioSheeran_. Après une nouvelle crise de colère, ses parents lui ont demandé de leur expliquer son changement de comportement. Le garçon leur a alors écrit une lettre déchirante, également relayée sur le réseau social. Insultes, commentaires racistes, coups, bousculades, lunettes cassées, crachats... Ce qu'il décrit fait froid dans le dos. Il raconte que l'un de ses harceleurs est allé jusqu'à lui planter un compas dans la jambe, et que deux autres de ses camarades subissent le même traitement. Et quand il essaye de parler de sa situation avec les surveillants, cela ne fait que s'empirer : "Ils me tapent encore plus fort et disent que je suis une balance", raconte le collégien.
© Twitter @AccioSheeran_
La soeur du garçon a elle-même été victime de harcèlement scolaire, et est bouleversée que cela arrive également à son petit frère. C'est aussi cela qui l'a poussée à dénoncer la situation sur Twitter, écoeurée de le voir souffrir. Elle fait part de sa colère face aux membres de l'équipe pédagogique du collège qui n'ont pas su réagir : "C'est très grave. Pour l'histoire du compas, il se trouve que la CPE [Conseillère Principale d'Education, ndlr] était au courant mais n'a jamais pris la peine de prévenir ma mère", raconte-t-elle au Huffington Post.
L'histoire a immédiatement ému les utilisateurs de Twitter, qui n'ont pas manqué d'envoyer des centaines de messages de soutien au garçon et à sa famille, et leur donnent des conseils pour faire face à cette situation dramatique. "Je lui ai montré vos nombreux messages (Merci beaucoup d'ailleurs vous savez pas à quel point ça me touche), j'espère que ça le poussera à parler avec nous de tout ça et de vive voix surtout", écrit sa soeur. Dans un autre tweet publié le lendemain, elle raconte que que cette vague de solidarité a permis au collégien de trouver le courage de retourner porter plainte.
 
L'académie de Versailles raconte ne pas avoir été mise au courant de la situation plus tôt. Toutefois, elle affirme au Huffington Post avoir pris les choses en main, et faire au mieux pour mettre fin au harcèlement scolaire subit par ce garçon au plus tôt.
Voir aussi : Victimes de violences conjugales, ces stars brisent le silence

https://www.aufeminin.com/news-societe/harcelement-scolaire-garcon-11-ans-lettre-twitter-malakoff-s2516938.html

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Couple : que faire quand le désir s'essouffle ,couples,amours,sexes

2 Avril 2018, 10:51am

Publié par hugo


Couple : que faire quand le désir s'essouffle ?
La baisse de désir est fréquente avec le temps, en dépit de l'amour que se porte le couple. Comment le relancer et retrouver une harmonie sexuelle ?
Couple : que faire quand le désir s'essouffle ? (Crédit photo : Luckybusiness - Fotolia.com)
il y a 1 heure
Communicant redoutable, homme de réseaux, patron tenace... A la tête de la SNCF, Guillaume Pepy fait de la résistance
Amour et désir, des liens complexes
Si le temps passé ensemble ne favorise pas le désir, certains couples s'en sortent mieux que d'autres, comme l'explique Joëlle Mignot, psychologue et sexologue. "Cela dépend des couples, ce n'est pas une fatalité. Il y a des couples qui arrivent à se renouveler en permanence et c'est lié à la nature du lien, de l'amour qui circule et du désir amoureux (car le désir sexuel pur peut être limité dans le temps). Il faut avoir suffisamment de souplesse pour ne pas tomber des schémas sexuels répétitifs. Il ne faut pas trop ritualiser le rapport : plus le désir est souple, plus il circule."
L'échange et la créativité dans le couple semblent des ingrédients indispensables à l'entretien du désir. Il faut également accepter la différence de désir : dans un couple, il n'est pas toujours au même niveau et il faut accepter cette différence et ce qu'elle implique (recevoir un "non, pas ce soir") sereinement…"Plus il y a de pouvoir de dire oui ou non, de pouvoir accepter que l'autre ne soit pas à son propre rythme, plus le désir circule mais à condition de trouver des moments où l'on est sur la même longueur d'onde, détaille la sexologue.  Plus la relation est rigide, plus il y a de la contrainte (celle du désir de l'un sur celui de l'autre) ; quand on arrive à accepter que l'autre n'est pas sur la même longueur d'onde au même moment, cela permet au désir de circuler. Aujourd'hui le désir sexuel est très sensible à la contrainte et à la pression, et à la non acceptation du rythme de l'autre."
 
Comprendre ses schémas sexuels
Alors comment se définit un schéma rigide ? C'est par exemple vouloir que le rapport se déroule toujours de la même façon suivant un schéma préétabli et immuable. Ou comme l'explique Joëlle Mignot, une femme peut considérer que seule l'érection est le signe qu'un homme la désire. Elle impose alors son schéma à l'autre et elle est dans une sexualité réduite, où elle met l'homme dans une situation ne pouvant exprimer dans une sexualité autre que par la pénétration. Or il a parfois envie d'autre chose, d'une sensualité plus globale et de slow sexe. Ces habitudes ancrées profondément en nous ne laissent aucune place à la spontanéité et à la suprise, des ingrédients indispensables pour nourrir la libido. "On a tous des schémas sexuels qui viennent de notre histoire sexuelle. Si on ne sort pas de son schéma, la sexualité s'appauvrit, reprend la psychologue.  La perte de désir est souvent liée à ce mécanisme et à l'incompréhension entre les partenaires. S'il se surajoute la contrainte d'imposer son schéma, le désir s'étiole…"
Les clés pour entretenir le désir
Premier conseil pratique : se donner du temps…" C'est banal mais au bout d'un moment, il n'y a plus de temps à deux, pour reprendre du plaisir à deux, pour se prendre la main, boire un café à deux…", commente Joëlle Mignot. Ces instants privilégiés entretiennent la complicité du couple et le bonheur d'être à deux. De l'ocytocine est sécrétée et cette hormone favorise l'attachement et le lien.
Le deuxième conseil de la sexologue est d'érotiser à nouveau la relation, en prenant un livre de poèmes érotiques et en se lisant chacun une page, ou en regardant un film. "Je conseille de prendre le temps d'aller ensemble dans des lovestores, comme le Passage du désir par exemple, complète-t-elle. Les sextoys peuvent être des alternatives au jeu érotique." Réintroduire du jeu et de la diversité est un bon moyen d'insuffler davantage de désir. S'endormir nus l'un contre l'autre, se masser sont aussi des moyens de retrouver le corps de l'autre ».
"Il est important de se connaître sexuellement et de connaître son couple, recommande la sexologue. Il y a tout un travail global pour reprendre sa sexualité en main, avec de petits outils pour se dégager de ce qui empêche le couple de se retrouver, comme le travail, les enfants, etc. C'est surtout le devoir qui l'emporte le plaisir, la raison sur la passion…" Le couple doit prendre conscience de ce qui peut être amélioré et changé, ainsi que réfléchir sur les pratiques, que l'un aimerait faire sans oser en parler, ou sur celles qui sont interdites.
"Enfin, il faut prendre conscience de schémas sexuels trop rigides et en sortir en adoptant les conseils précédents, conclue la psychologue. Si cela ne fonctionne pas, le couple peut consulter un thérapeute. On essaie alors de faire travailler ensemble le couple et quand il y a assez de bases solides, on a de bons résultats. Quand les deux partenaires apprennent à parler librement de la sexualité, cela permet de mettre des mots sur les choses et de libérer le désir. Cela revient à faire circuler la parole sexuelle dans le couple en somme … le sexologue a là toute sa place !"
par
Dr Charlotte Tourmente
 journaliste à la rédaction d'Allodocteurs.fr
A lire aussi

https://www.francetvinfo.fr/sante/sexo/couple-que-faire-quand-le-desir-s-essouffle_2614270.html

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PENSEE POUR LE JOUR ET DANS LA SOCIETE ET POUR AIMER L AUTRES

2 Avril 2018, 09:55am

Publié par hugo

PENSEE  POUR  LE  JOUR    ET DANS LA  SOCIETE  ET  POUR   AIMER L AUTRES
PENSEE  POUR  LE  JOUR    ET DANS LA  SOCIETE  ET  POUR   AIMER L AUTRES
PENSEE  POUR  LE  JOUR    ET DANS LA  SOCIETE  ET  POUR   AIMER L AUTRES

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La City de Londres, univers impitoyable pour les femmes ?,femmes,feminisme

1 Avril 2018, 23:13pm

Publié par hugo

 La City de Londres, univers impitoyable pour les femmes ?
Par P.P., 29 mars 2018 | 10h51
Un homme peut y gagner 33 % de plus qu’une femme, selon des nouveaux chiffres.
La City de Londres, un univers d’hommes surpayés ? Alors qu’une nouvelle réglementation au Royaume-Uni contraint les grands noms de la finance à publier les écarts de salaire entre hommes et femmes, les chiffres ne sont pas flatteurs.
 
Si toutes entreprises confondues, un homme gagne en moyenne 18,4 % de plus qu’une femme dans le pays, l’écart monte en flèche dans le secteur financier, le plus mauvais élève aux côtés du transport aérien.
 
Parmi les banques, il grimpe à 33 % pour Lloyds Banking Group et à 37,2 % chez RBS, et s’envole pour les établissements tournés vers la banque d’affaires, avec un écart de 48 % chez Barclays International, 55,5 % chez Goldman Sachs et à 59 % à HSBC.
Il est « choquant d’en être là en 2018 », s’est alarmée la présidente de la puissante commission du Trésor de la Chambre des Communes britannique, Nicky Morgan, en commentant les chiffres de Barclays.
 
Loi pour la transparence
 
Ce début de transparence est le résultat d’une réglementation adoptée en avril 2017 au Royaume-Uni qui impose aux entreprises de plus de 250 salariés de publier d’ici au 6 avril les écarts salariaux entre hommes et femmes.
 
La plupart des banques ont devancé la date limite, mais à quelques jours de l’échéance les chiffres n’ont toujours pas été publiés par environ la moitié des 9 000 entreprises concernées, tous secteurs confondus.
 
L’écart est mesuré grâce à la moyenne des revenus pour les employés de chaque sexe, sans tenir compte du type de poste occupé ou de l’ancienneté.
 
Le gouvernement n’a pas imposé de publier les différences de salaires pour un même poste, alors qu’une loi de 1970 interdit en théorie toute discrimination dans ce cas précis. C’est la raison pour laquelle les banques s’empressent d’expliquer que l’énorme différence de revenus publiée s’explique par une répartition des postes désavantageuse pour les femmes.
 
Plafond de verre
 
En cause, le fameux plafond de verre qui cantonne les femmes dans des postes subalternes et les empêche d’accéder au sommet de la hiérarchie ou aux activités les plus prestigieuses comme la banque d’affaires ou les marchés, royaume des traders.
 
« L’industrie financière n’a pas encore assez de femmes au sommet de la hiérarchie et c’est là où on trouve les meilleurs salaires », explique à l’AFP Karen Frank, directrice générale de la banque privée chez Barclays.
 
Les comités exécutifs ou les conseils d’administrations se sont certes ouverts aux femmes, mais aucune d’entre elles n’est directrice générale d’une grande institution financière, à une exception près : Inga Beale, qui dirige le Lloyd’s of London, l’historique marché londonien de l’assurance. « Nous devons faire plus pour permettre aux femmes d’accéder à des postes plus élevés », appelait-elle début mars.
 
Pour accélérer le mouvement, le ministère des Finances a lancé en mars 2016 la « Charte pour les femmes dans la finance », signée à ce jour par plus de 200 entreprises qui s’engagent à avoir une représentation plus juste dans les services financiers.
 
Le bilan dévoilé ce mois-ci est toutefois mitigé. Sur les 68 premiers signataires, un peu plus de la moitié ont augmenté la proportion de femmes à des postes de responsabilité depuis 18 mois. Pour 22 % des entreprises, le taux a même baissé.
 
« Il y a encore beaucoup à faire et j’attends avec impatience que ces entreprises respectent vraiment leurs objectifs dans les prochaines années », a pointé la Première ministre britannique Theresa May.
 
Sans compter que demeurent des manifestations du sexisme dans le monde des affaires, bruyamment rappelées par un scandale de harcèlement sexuel lors d’un prestigieux dîner de charité du secteur financier à Londres cet hiver.
laparisienne.com

http://www.leparisien.fr/laparisienne/actualites/societe/la-city-de-londres-univers-impitoyable-pour-les-femmes-29-03-2018-7635432.php

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CARTE - Ces villes qui ont déjà osé les transports en commun gratuits,societe

1 Avril 2018, 13:21pm

Publié par hugo


CARTE - Ces villes qui ont déjà osé les transports en commun gratuits
 25/03/2018 à 16h03
 
Les bus sont gratuits à Tallinn, capitale de l'Estonie. - Mace Ojala / Flickr CC
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Anne Hidalgo songe à rendre les transports collectifs gratuits à Paris. Quelles sont les villes qui ont déjà sauté le pas en France et dans le monde?
À partir du 1er juin 2018, le pass Navigo sera gratuit pour les personnes âgées de plus de 65 ans et les adultes handicapés, résidents à Paris et sous condition de ressources. La Ville Lumière n’est pas la première capitale à proposer des transports publics gratuits pour une partie de sa population. À Athènes, par exemple, les chômeurs et les personnes invalides de la région peuvent circuler gratuitement.
Une trentaine de villes en France
Tallinn, capitale de l’Estonie, va même déjà plus loin: tous ses résidents prennent le réseau de bus et de tram gratuitement. C'est ce modèle qu'aimerait appliquer Anne Hidalgo, qui a lancé une étude à ce titre, dans la perspective des municipales de 2020.
Si une telle mesure était prise, ce ne serait pas une première en France. Nous avons comptabilisé près d’une trentaine de communes qui ont passé le cap du tout gratuit. Une grande majorité de ces municipalités ont moins de 20.000 habitants et leur réseau ne se compose que de bus: elles sont loin des coûts supportés par les grandes villes.
À ce jour, Niort est la plus grande ville française à proposer des transports en commun gratuits, avec 58.600 habitants. Dès septembre 2018, Dunkerque et ses près de 90.000 habitants va lui emboîter le pas et passer devant.
 
Des stratégies diverses
En France et dans le monde, la gratuité des transports publics prend des formes diverses. En ciblant un public défavorisé, certaines villes comme Paris ou Toulouse voit la gratuité comme un outil d’équité sociale. Sur ce point, la "ville rose" va même plus loin, en incluant les jeunes de moins de 26 ans et les demandeurs d’emploi. 
À Chengdu, en Chine, les transports collectifs sont gratuits de 5 à 7 heures du matin. L’objectif est de désengorger les lignes durant les heures d’affluence, en incitant les usagers à se rendre plus tôt au travail. À Calgary, au Canada, le réseau de tram est gratuit dans le centre-ville. La mairie cherche ainsi à réduire le trafic automobile et la pollution au cœur de la métropole de l'Ontario. Et ça marche, si l'en on croit l'exemple estonien de Tallin, qui tire un bilan plutôt positif du passage au tout gratuit: elle a réussi à faire baisser les embouteillages de 15% en un an, après l’application de la mesure en 2012.
 
Si l’idée séduit de plus en plus, certaines villes font plutôt le chemin inverse. Portland aux Etats-Unis et Hasselt en Suisse sont revenus au payant. En attirant de nouveaux usagers, la gratuité a fait augmenter la facture d’un million d’euros dans la ville suisse, en plus du manque à gagner. Plusieurs communes qui proposent des trajets gratuits ont également vu le nombre d’incivilités augmenter. Face à la dégradation de ses bus, Châteauroux a fini par transformer les sièges en tissus par des sièges en plastique. Forcémenet problématique à Paris, qui a déjà du mal à gérer la casse de ses vélos en libre-service.
 
http://www.bfmtv.com/societe/carte-ces-villes-qui-ont-deja-ose-les-transports-en-commun-gratuits-1402708.html

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