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Le blog de hugo,

Elles lancent #Onveutduvrai pour s'insurger contre les diktats de beauté,femmes,feminisme,

31 Mai 2019, 04:23am

Publié par hugo

 Elles lancent #Onveutduvrai pour s'insurger contre les diktats de beauté
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Elles lancent #Onveutduvrai pour s'insurger contre les diktats de beauté
 
Par Louise Col
Publié le Lundi 27 Mai 2019

Deux influenceuses s'allient contre les diktats irréalistes de beauté et lancent #Onveutduvrai, un hashtag inclusif qui célèbre les femmes et leur corps dans toute leur diversité.

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Louise Aubery et Julie Bourges ne se connaissaient pas il y a quelques semaines. La première, autrice du compte MyBetter_Self sur Instagram (235k abonné·es), vit à Paris. La seconde, qui tient DouzeFévrier (311 k abonné·es), sur la Côte d'Azur. Leur seul point commun : toutes deux prônent l'acceptation de soi.
Un jour, Louise décide de pousser un coup de gueule sur les réseaux sociaux : sa place pour un voyage de presse vient d'être annulée car elle a publié une photo d'elle en sous-vêtements avec une amie plus ronde. Le problème n'est pas la tenue - d'autres participantes à l'événement posent en culotte sur le réseau social et n'ont pourtant pas été désinvitées -, mais plutôt le corps de sa copine, que le client n'apprécierait pas. "Les formes ne sont pas très marketing", déplore Louise.
 
Elle décide d'agir en postant la colère qu'elle ressent en story, le format des vidéos temporaires d'Instagram. Résultat : le voyage est boycotté par les autres filles qui devaient s'y rendre et elle reçoit des centaines de témoignages similaires au sien. Dont celui de Julie, grande brûlée.
"C'est inacceptable", s'indigne cette dernière auprès de Nice Matin. "On n'est pas les seules à subir ce genre de traitement. Certaines se sont vues supprimer des contrats parce qu'elles dénonçaient l'homophobie. Je lui ai dit qu'il fallait qu'on en parle, qu'on fasse quelque chose."
 
Elles s'allient alors pour fonder #Onveutduvrai, un hashtag qui défie les normes du monde de la beauté, et qui veut surtout montrer des corps de femmes diversifiés, pour lutter contre l'idée qu'une seule morphologie ne serait valide et acceptable.
 
"On veut voir des femmes qui nous ressemblent, parce qu'il faut commencer à célébrer la différence", assure Louise au quotidien. "On veut la révolution de la diversité. Montrez-nous plus de femmes rondes, brûlées, tétraplégiques !", appuie Julie.
 
En quelques heures, les deux influenceuses reçoivent des centaines de messages. Mais elles ne veulent pas s'arrêter là. Vendredi 25 mai, elles ont accompagné le hashtag d'un compte Instagram, pour partager des photos dans lesquelles les internautes "se sentent bien".
Elles veulent "Créer un mouvement pour montrer aux marques - qui donnent le la, les standards de beauté auxquels il faut s'adapter - que les clients ne s'identifient pas aux images qu'elles véhiculent", explique Louise. A bon entendeur...
Buzz Beauté Body positive News essentielles Lifestyle
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https://www.terrafemina.com/article/-onveutduvrai-le-hashtag-qui-defie-les-diktats-de-beaute_a349292/1

CELA   SERAIT  BIEN QUE ON FASSE  PAREIL POUR LES HOMMES, a la tele , dans les pubs,  J AI  PAS UN CORPS PARFIAS  COMME LES HOMMES DANS LES PUBS DONC MONTRONS  DES MECS AVEC DU VENTRE  ETC  , LES FEMMES   MONT  REPROCHES  D ETRE PAS  ASSEZ GRAND  , je fais  171  CM  , je sui sourd et pour une femme et mes sourcils  qui se croissent  

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Avortement : la guerre est déclarée ?,femmes,ivg

31 Mai 2019, 04:21am

Publié par hugo

 Avortement : la guerre est déclarée ?
Publié le 30 mai 2019 à 11h03
Le 14 mai, à Montgomery, capitale de l'Alabama, des femmes vêtues comme les héroïnes de la série télé "La Servante écarlate" manifestent pour le droit à l'avortement. © Mickey Welsh/AP/Sipa
En votant une loi restreignant drastiquement l'IVG, l'Etat de l'Alabama fait monter la crainte d'une privation de ce droit fondamental dans tout le pays et suscite une vague d'indignation.
Le trombinoscope est devenu viral. Sur la photo s'alignent les visages des sénateurs de l'Alabama, vingt-cinq hommes blancs, qui ont adopté le 14 mai la loi sur l'avortement la plus restrictive des États-Unis. Le texte interdit en effet la quasi-totalité des avortements, même en cas de viol et d'inceste, et prévoit dix à quatre-vingt-dix-neuf ans de prison pour les médecins pratiquant une IVG. Seuls les cas d'urgence vitale pour la mère ou d'anomalie létale du fœtus font exception. Cette régression sidérante s'explique en grande partie par la culture de cet État du Sud. « L'Alabama est emblématique du conservatisme, notamment sur le plan des rapports hommes-femmes, explique Cécile Coquet, maître de conférences en civilisation américaine. Aujourd'hui encore, il y est légal de payer les femmes 20 % de moins que les hommes. C'est un parfait exemple de ce que les démocrates appellent la guerre contre les femmes. » Mais l'Alabama n'est pas le seul État à menacer le droit à l'IVG. Ces dernières semaines, des « Heartbeat bills » ont été votées au Mississippi, en Géorgie, dans le Kentucky et l'Ohio. Elles prévoient l'interdiction d'avorter après six semaines de grossesse, soit le stade où les battements de cœur du  fœtus seraient détectables.
« Deux tiers des Américains soutiennent le droit à l'avortement »
Comment l'Amérique en est-elle arrivée là ? « Depuis des mois, les anti-avortement essaient de grignoter ce droit. Cela peut être par l'obligation, pour les mineures, d'avoir l'autorisation de leurs parents, ou par la mise en place de règles de sécurité absurdes dans les cliniques », constate le politologue Dominique Simonnet*. « Tout cela est le résultat d'un travail militant de long terme mené par les ''pro-life''. Il y a aussi le poids des lobbys, comme la Federalist Society, qui a soufflé à Donald Trump le nom des juges à nommer à la Cour suprême. Sans compter que le président comme le vice-président Pence - anti-avortement notoire - ont besoin de l'électorat évangéliste », détaille Marie-Cécile Naves**, responsable de l'observatoire Genre et géopolitique à l'Iris (Institut de relations internationales et stratégiques).
Mais, cette fois, les attaques sont frontales : il s'agit de remettre en cause le droit fondamental à l'IVG aux États-Unis, consacré par l'arrêt Roe vs Wade rendu par la Cour suprême en 1973, dont tout le monde parle. Car si la Cour décide d'examiner puis de valider la loi votée en Alabama, d'autres États pourraient suivre. En attendant, les « pro-choice » ont suspendu son entrée en vigueur dans l'État du Sud en portant plainte. La menace d'une victoire des pro-life auprès de la Cour suprême est-elle réelle ? Si, depuis la nomination de deux juges par Donald Trump, celle-ci compte cinq conservateurs sur neuf membres, « il est toutefois peu probable que les juges acceptent d'entendre le cas de l'Alabama, car cela pourrait ternir l'image de l'institution. Et deux tiers des Américains soutiennent le droit à l'avortement », nuance Marie-Cécile Naves.
Envers et contre Trump, la résistance s'organise donc. Voir les manifestantes déguisées en servantes écarlates devant la Chambre de l'État d'Alabama donne l'étrange impression que la saison 3 de la série produite par Hulu se joue dans les rues de Montgomery. Sur les réseaux sociaux, des célébrités comme Reese Witherspoon, Rihanna, Emma Watson, Lady Gaga ou encore Ellen DeGeneres ont partagé leur indignation, Alyssa Milano a appelé à une grève du sexe, et Busy Philipps a lancé le hashtag viral #YouKnowMe (« tu me connais »), invitant les femmes à raconter leurs histoires d'IVG. La colère féministe crépite, mais c'est dans les urnes que les droits des femmes pourront être sauvés. Alors que la campagne pour la présidentielle de 2020 s'accélère, la question de l'avortement s'annonce au coeur des débats politiques.
* « La Défaite des femmes » (éd. Plon).
 
http://www.elle.fr/Societe/News/Avortement-la-guerre-est-declaree-3791809

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Prostitution : des jeunes femmes forcées de porter le même tatouage,femmes,

31 Mai 2019, 03:47am

Publié par hugo

 
Prostitution : des jeunes femmes forcées de porter le même tatouage
Publié le 29 mai 2019 à 10h11
Image d'illustration © ROTTSTRA / iStock
C’est une histoire qui fait froid dans le dos. La police vient de démanteler un réseau de prostitution en banlieue parisienne, révèle « France Info ». A sa tête, un proxénète de vingt ans qui forçait des jeunes femmes âgées de 15 à 22 ans à se prostituer. Il leur aurait même imposé de porter le même tatouage.
C’est un phénomène qui n’est pas nouveau mais qui restait à la marge. De jeunes délinquants se lançant en banlieue dans le proxénétisme. Mardi, un jeune homme de vingt ans ainsi que sept autres, âgés de 18 à 23 ans, ont été arrêtés et placés en garde à vue pour « proxénétisme aggravé » par un juge d'instruction de Nanterre, révèle « France Info » ce mercredi. Leur réseau impliquait une vingtaine de jeunes femmes, pour la plupart âgées de 15 à 22 ans. Leur profil ? Les plus jeunes ont depuis longtemps quitté les rangs de l’école tandis que les plus âgées ont pour point commun de grosses difficultés financières. Selon « France Info », ces femmes vivaient dans des cités de la région parisiennes et devaient chacune rapporter plus de 500 euros par jour à leurs proxénètes.
Des femmes surveillées
Ces derniers avaient mis au point un système extrêmement rôdé. Ils passaient des annonces sur Internet, louaient des chambres d’hôtel, amenaient les prostituées aux rendez-vous qu’ils avaient planifiés et les surveillaient. Autre fait révélé par « France Info » : ces jeunes femmes avaient pour obligation de se faire tatouer le même symbole, signe d’appartenance à ce réseau de prostitution.
Depuis quelques années, on a surtout parlé de prostitution étudiante, née elle aussi sur Internet, et qu’on dit « occasionnelle ». Mais peu de chiffres existent et il est impossible d’affirmer qu’il s’agit d’un véritable phénomène. Certaines universités françaises ont toutefois sensibilisé les étudiant(e)s au sujet. En octobre 2017, une polémique avait éclaté suite au stationnement d’un camion faisant la promotion du site RichMeetBeautiful.fr devant l’entrée des universités Pierre et Marie-Curie et Paris-Descartes, à Paris. Le concept de ce site ? Mettre en rapport des « sugar babies » (comprenez des jeunes femmes à court d’argent) et des « sugar daddies » (hommes fortunés). Ces sites, qui ont explosé aux Etats-Unis avant de débarquer en France vers les années 2010, ont parfois été dans le collimateur de la justice. Mais se dédouanant de toute forme de prostitution, ils réussissent en général à passer au travers des mailles du filet.
 
http://www.elle.fr/Societe/News/Prostitution-des-jeunes-femmes-forcees-de-porter-le-meme-tatouage-3792061

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Ôde à nous, les femmes,femmes,feminisme,

31 Mai 2019, 03:22am

Publié par hugo

Ôde à nous, les femmes
Par Cécile Andrzejewski Publié le 29/05/2019 à 17:47
 

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Très récemment, j'ai pris conscience d'un sentiment que je n'arrivais pas à cerner jusque là : j'adore être une femme. Ça m'a sauté au visage d'un coup, alors même que je sais toutes les difficultés qu'il y a à appartenir à la gent féminine. Autopsie d'une récente woman pride.
L'année dernière, une de mes proches amies a fait une fausse couche. Elle a prévenu notre bande de copines, on l'a toutes assaillie de messages. En discutant avec elle quelques temps après, je me suis rendue compte qu'elle avait été très entourée dans son épreuve. En dehors de nous, des collègues et plusieurs femmes de sa famille lui ont confié être passées par là, la rassurant sur le fait qu'elle n'était pas seule. À ce moment très particulier, une forme de solidarité féminine s'est constituée autour d'elle. Comme une espèce de bouclier protecteur, qui lui permettait de souffler un peu et d'encaisser le coup. Elle est d'ailleurs retombée enceinte depuis (je connais même le nom du bébé, mais chut, c'est un secret !).
Au moment où moi, je suis tombée enceinte, j'ai aussi découvert ce phénomène auquel je ne m'attendais pas du tout, cette forme de sororité autour de moi. Entre ma maman aux petits soins ; les amies qui prennent de mes nouvelles bien plus qu'à l'accoutumée ; les copines de copines qui m'ont filé des fringues – au moment où j'écris ces lignes, je porte le pantalon de grossesse d'une dénommée Julie que je n'ai jamais vue de ma vie mais qui a eu la gentillesse de refourguer un sac de vêtements à une amie en commun ; les collègues de ma mère qui m'ont raconté les péripéties de leurs différentes grossesses ; ma docteure enceinte elle aussi qui me rassure quand je panique un peu trop ; les inconnues qui me cèdent leur place dans les transports (désolée messieurs, mais c'est mon constat quotidien) ; toutes les femmes de mon entourage qui répondent à mes questions angoissées et me proposent biberons, couffins et autres bodies... Sans compter ma belle-famille. Je ne parle pas la même langue que ma belle-mère et mes belles-soeurs. Pourtant, dès notre rencontre, nous avons créé notre petite bulle, malgré mes cafouillages linguistiques. Et depuis le début de ma grossesse, elles ne cessent de m'écrire, de me demander des photos et d'acheter des petits trucs trop mignons pour le bébé à venir.
Aimer "malgré tout" être une femme
Tout cela me conforte dans un sentiment que je n'arrivais pas à exprimer jusque là : je suis hyper contente d'être une femme. Je sais que, déjà là-dessus, j'ai de la chance et qu'être à l'aise dans le genre qui m'a été assigné à la naissance, n'est pas donné à tout le monde. Mais c'est quand même étrange. Parce qu'en tant que journaliste, je passe une grande partie de mon temps à écrire sur les inégalités subies par les femmes, les violences qu'elles endurent, les injustices auxquelles elles doivent faire face... Parce qu'il ne se passe pas une semaine sans que je ne lève les yeux au ciel en regardant une série où les personnages féminins sont inexistants ou caricaturaux, sans que je n'ai envie de baffer le type qui m'a alpaguée dans la rue, sans que je n'envoie de messages à mes copines pour vérifier qu'elles sont bien rentrées après notre soirée. Parce que les dernières nouvelles en provenance des États-Unis sur la régression du droit à l'avortement et la criminalisation des femmes qui veulent simplement disposer de leur corps comme elles le souhaitent me terrifient. Bref, je le sais, être une nana, en ce bas monde, n'a rien de reposant – et encore, je suis consciente d'être du côté des chanceuses, je suis loin de faire partie des plus opprimées, des plus vulnérables ou des plus méprisées.
Être une nana en ce bas monde n'a rien de reposant. Mais j'adore être une femme, c'est presque contradictoire.
Malgré tout ça, j'adore être une femme. C'est presque contradictoire. Finalement, ce serait quand même bien plus simple d'être un homme et de ne pas risquer d'être tuée par la personne qui partage ma vie, de disposer de mon corps comme je l'entends sans que quiconque n'ait envie de légiférer sur ce que j'ai le droit d'en faire, d'occuper l'espace sans me poser de questions, d'accéder à n'importe quel poste et salaire sans devoir me battre etc etc. Et pourtant.
Admiration pour toutes
Chaque jour qui passe, j'admire des dames de tous horizons, pour leur talent, leur force, leur énergie. J'ai des collègues en grande majorité féminines et leur génie m'impressionne. Je regarde avec fierté le chemin parcouru par ma maman et mes tantes, filles d'ouvrière et petite-filles de divorcée à une époque où cela signifiait l'opprobre – aujourd'hui, cela signifie encore trop souvent la précarité. Je recueille des témoignages de femmes victimes de violence dont le courage me bouleverse profondément. Je rencontre des professionnelles qui n'hésitent pas une seconde à partager leurs conseils pour soutenir d'autres femmes. Je lis et découvre sans cesse de nouvelles figures féminines, grâce au travail acharné de militantes féministes toutes générations confondues, aux réseaux sociaux, à certains médias ou au temps que beaucoup de passionnées accordent aux causes qui leur tiennent à cœur. Pas besoin d'avoir inscrit son nom dans l'Histoire – déjà que c'est loin d'être facile quand on est une nana – pour entrer dans mon Panthéon perso.
Cette récente prise de conscience m'a rappelé la marche Nous Toutes/Nous Aussi, en novembre dernier, quand une nuée de femmes vêtues de violet (le code de ralliement) a envahi les villes de France. Dès le métro, ici à Paris, on s'échangeait des sourires. J'y ai retrouvé mes copines, on a dansé derrière un char LGBT qui passait "It's raining men" à fond les ballons et sur lequel se trémoussait une dame aux cheveux gris ayant plus d'énergie que toutes les manifestantes réunies. J'ai l'habitude des manifs, j'en fais beaucoup, depuis très longtemps, mais celle-là avait quelque chose de différent. Il y avait notre force, notre puissance, ensemble. Je me souviens du frisson lorsqu'on s'est mises à entonner l'hymne du MLF ("Nous qui sommes sans passé, les femmes... ").
Lire aussi :
Simone Veil, notre icône
#journéedesfemmes : l’Ina rend hommage à 40 femmes d’exception
Parce que c'est ça aussi, être une femme. C'est être héritière des luttes, héritière de toutes celles qui ont souffert pour qu'on puisse en arriver là où on en est aujourd'hui. Dans ma bibliothèque se trouve le "Dictionnaire des féministes". Dirigée par l'historienne Christine Bard, il rassemble sur 1700 pages les noms et les biographies de toutes ces femmes qui ont lutté avant nous, pour notre droit de vote ou simplement de disposer d'un compte en banque, pour notre accès à l'éducation, à la contraception, à l'avortement... Toutes ces notices nous rappellent que rien n'est gagné et nous enjoignent aussi à continuer le combat. Voilà aussi, une des raison de ma "woman pride" : savoir d'où je viens et dans quelle histoire j'inscris mes pas. Sans ignorer le chemin qu'il reste à parcourir. 
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https://www.marieclaire.fr/pourquoi-je-me-rejouis-d-etre-une-femme,1309976.asp

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«Le consentement est une chose essentielle»,articles femmes hommes,respect

29 Mai 2019, 22:30pm

Publié par hugo

 «Le consentement est une chose essentielle»

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Ask Dr. Ruth: le fabuleux destin de Dr. Ruth ★★★★
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Une sexualité féminine plus diversifiée au petit écran
Silvia Galipeau
La Presse
L'UQAM a lancé hier une série de courtes capsules vidéo pour expliquer, clarifier et surtout illustrer le b.a.-ba du consentement. Et du même coup dénoncer la violence sexuelle, plus subtile et sournoise qu'on ne le croit.
« Si tu dois insister ou convaincre pour avoir des relations sexuelles, pose-toi des questions » : tel est l'un des messages clés des 24 capsules, qui seront diffusées à coup de trois ou quatre par semaine, sur les réseaux sociaux, afin d'alimenter - on l'espère - les enseignants, en mal de matériel pédagogique en matière d'éducation à la sexualité.
Que ce soit par des dessins animés minimalistes et humoristiques (qui ne sont pas sans rappeler la fameuse métaphore britannique de la tasse de thé) ou carrément par des témoignages véridiques d'adolescents de tous les horizons (évidemment moins légers, voire carrément sombres, dans leurs propos), les courtes capsules visent à passer plusieurs messages : « le consentement est une chose essentielle », « c'est la clé pour se sentir respecté », « en étant respectueux et à l'écoute de l'autre, la relation sera aussi plus agréable ». En prime, plusieurs mythes sont ici déboulonnés : non, les filles ne sont pas les seules victimes ; oui, la manipulation, les garçons en vivent aussi. Surtout : le consentement, ça se valide. Et ça se valide encore.
 
Une question omniprésente
L'idée du projet est née d'une recherche réalisée par Mylène Fernet, professeure titulaire au département de sexologie de l'UQAM, soutenue par le Secrétariat à la condition féminine du Québec. Depuis trois ans, elle sonde des adolescents et jeunes adultes de 14 à 25 ans sur leurs trajectoires amoureuses et sexuelles. À la suite d'une centaine d'entrevues, un constat s'est imposé : « La question des violences sexuelles est omniprésente », dit-elle.
20 % des jeunes femmes et 6 % des garçons sondés disent avoir eu des « relations sexuelles sous pression ». - D'après une recherche réalisée par Mylène Fernet, professeure titulaire au département de sexologie de l'UQAM
Or, dans l'imaginaire populaire, qui dit violence dit coups et bleus. Mais la violence psychologique peut être tout aussi toxique : pensez chantage, manipulation, « si tu ne couches pas avec moi, je te quitte... » D'où l'idée de ces capsules de sensibilisation qui, espère-t-on, serviront de base à la discussion. En classe, en famille ou ailleurs.
À noter : pour une rare fois, les outils n'ont pas été conçus par des adultes, mais bien par les jeunes, pour les jeunes, se félicite aussi Mylène Fernet. Et même s'ils ne sont pas les meilleurs comédiens et si leur diction laisse à désirer, si leurs propos sont lourds à la longue (« il y aura aussi des messages positifs », promet la chercheuse), le verdict est sans équivoque : « Avoir des relations sexuelles [...] à cause de menaces, ce n'est pas du consentement... » Qu'on se le dise.

https://www.lapresse.ca/societe/sexualite/201905/24/01-5227439-le-consentement-est-une-chose-essentielle.php

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Les protections hygiéniques seront-elles bientôt gratuites pour les plus précaires ?,femmes,sante,

29 Mai 2019, 04:16am

Publié par hugo

 Les protections hygiéniques seront-elles bientôt gratuites pour les plus précaires ?
ÉCLAIRAGE - La secrétaire d'État chargée de l'égalité, Marlène Schiappa, a réuni mardi 28 mai plusieurs ministres, parlementaires, associations et industriels pour mettre en place une stratégie de lutte contre la "précarité menstruelle".
Les règles, un tabou sociétal qu'il est important de faire tomber
Crédit : Erol Ahmed
 
Arièle Bonte 
Journaliste
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publié le 28/05/2019 à 16:09
Expérimenter la gratuité des protections hygiéniques, c'est la mission qu'a donnée Marlène Schiappa, secrétaire d'État en charge de l'égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations, à Patricia Schillinger, sénatrice du Haut-Rhin La République en marche, ce mardi 28 mai lors de la Journée mondiale de l'hygiène menstruelle.
À cette occasion, la secrétaire d'État a convié Christelle Dubos (Secrétaire d'État des Solidarités et de la Santé), Brune Poirson (Transition écologique) et Agnès Pannier-Runacher (Économie et Finances), ainsi que plusieurs parlementaires, associations et industriels pour mettre en place une stratégie de lutte contre la "précarité menstruelle", une problématique qui n'épargne pas les personnes vivant sur le sol français.
Parmi cette stratégie, on retrouve donc la proposition-phare du gouvernement, tirée d'un amendement justement proposé par Patricia Schillinger en décembre dernier. La sénatrice demandait d'expérimenter, "au sein de régions volontaires, idéalement en métropole et outre-mer, la libre distribution de protections hygiéniques dans différents lieux accueillant, notamment, des publics vulnérables" pour les femmes les plus précaires, notamment dans les écoles, hôpitaux ou prisons.
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Travail : les femmes sont plus productives quand il fait chaud
 
 
 
À la suite de cette demande, Agnès Buzyn avait déclaré qu'elle s'engageait à "trouver un vecteur pour que nous améliorions la disponibilité, la gratuité, des protections hygiéniques, que nous trouvions ce vecteur d'ici la loi de finances de l'année prochaine, ou le PLFSS", rapportait Le Figaro.
4 arrondissements parisiens déjà engagés
Quelques mois plus tard, Patricia Schillinger se voit donc attribuer la mission d'étudier "les objectifs et modalités" de la mise en place d'un tel dispositif dans plusieurs "lieux collectifs" tandis que le gouvernement s'engage lui aussi à travailler sur des mesures concrètes concernant les produits d'hygiène. Ces dernières seront notamment détaillées dans le projet de loi sur l'économie circulaire porté par Brune Poirson.
Le débat autour de la "précarité menstruelle" avait défrayé la chronique en 2015, au moment des discussions sur le taux de TVA qui était appliqué aux protections hygiéniques. Depuis, le sujet fait figure d'enjeu sociétal et politique et plusieurs associations ou organisations se battent sur le terrain à l'image de Règles Élémentaires ou des Petites Glo.
Cette dernière milite par exemple pour rendre accessible les protections hygiéniques dans les établissements scolaires français. Grâce à une campagne lancée ces derniers mois, quatre arrondissements de Paris ont déjà annoncé qu'ils "mettront des distributeurs de protections périodiques bio en libre service dans les toilettes de leurs collèges dès septembre", comme le rappelle sur Twitter la fondatrice de cette newsletter féministe destinée aux adolescentes, Rebecca Amsellem.
 
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Européennes 2019 : la liste féministe "À voix égales" a obtenu 0,05% des votes

29 Mai 2019, 03:48am

Publié par hugo

 Européennes 2019 : la liste féministe "À voix égales" a obtenu 0,05% des votes
ÉCLAIRAGE - La liste indépendante et féministe "À voix égales" a obtenu 0.05% des votes lors des élections européennes.
Nathalie Tomasini, à droite, lors d'un procès le 21 mars 2016 à Nice
Crédit : JEAN-CHRISTOPHE VERHAEGEN / AFP
 
Arièle Bonte 
Journaliste
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publié le 27/05/2019 à 12:55
0,05% des Françaises et des Français ont voté par "À voix égales", la liste indépendante et féministe, portée par Nathalie Tomasini. Avec cette liste paritaire, cette avocate spécialisée dans la défense des droits des femmes de mère et de citoyenne, et notamment connue pour avoir défendu Jacqueline Sauvage, expliquait dans son clip de campagne qu'elle souhaitait "créer un nouvel équilibre sociétal dont la clé de voûte sera l'égalité des droits hommes-femmes".
"À voix égales" s'est construite dans une société post-MeToo. Face aux violences sexistes et sexuelles dont témoignent les femmes, les changements de comportement n'ont pas été à la hauteur des espoirs de Nathalie Tomasini, écrit-elle sur le site de la campagne. "Pour un authentique changement des comportements, pour que cesse la détresse morale et matérielle des femmes (...), il faut nécessairement une volonté forte de citoyens et de citoyennes déterminés, capables d’accompagner l’évolution des mœurs".
Pour faire changer la situation des femmes en France et dans le reste de l'Europe, "À voix égales" proposait de créer les conditions de rémunération égale à compétence égale entre hommes et femmes, sous peine de sanctions, de lutter contre toutes formes de violences sociales, fiscales, raciales et de genres, d'instaurer un "écoféminisme éthique" pour préserver les droits de la nature et, enfin de proposer une "immigration équilibrée", tenant compte de la situation des migrantes, en fonction des ressources des pays d'accueil.
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Européennes 2019 : les propositions des candidats sur l'égalité femmes-hommes
 
 
Certaines de ces propositions se retrouvent dans les programmes de listes ayant obtenu des sièges au Parlement européen.
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https://www.rtl.fr/girls/identites/europeennes-2019-la-liste-feministe-voix-egales-a-obtenu-0-05-des-suffrages-7797718142

J AI  TROUVER    QUE IL Y   AVAIT  TROP DE  LISTE  POUR LES EUROPEENNES , perso ,  je pense   que cette liste  feministe  aurait pu  se mettre  sur  un  parti  comme  la  France  insoumise  ou  le ps   ou  LE  NPA   je  trouve   que la gauche  est bien plus   féministes    que le reste   des  parties   , regardez  les  chiffres   etc  

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Faut-il rembourser les protections périodiques ? Le Moment Meurice

28 Mai 2019, 20:27pm

Publié par hugo

 Faut-il rembourser les protections périodiques ? Le Moment Meurice
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France Inter
Ajoutée le 28 mai 2019

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C'est aujourd'hui la journée internationale pour briser le tabou des règles. Les menstruations restent un sujet tabou, pourtant les femmes dépensent en moyenne 23 500 euros dans leur vie en protection hygiénique. Des propositions se font de plus en plus entendre pour faire rembourser ces protections par la Sécurité Sociale. Et les Français, ils sont d'accord ?
 
Le Moment Meurice - (28 Mai 2019 - Guillaume Martin)
Retrouvez « Le Moment Meurice » dans Par Jupiter ! sur France Inter et sur https://www.franceinter.fr/emissions/...

https://www.youtube.com/watch?v=t4jae85jgJw

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Portrait-robot de l'eurodéputé français,politiques,

28 Mai 2019, 20:14pm

Publié par hugo

 
Décryptage
Portrait-robot de l'eurodéputé français
Le député envoyé au Parlement européen pour la période 2019-2024 est, en moyenne, un élu cinquantenaire, novice au niveau européen mais doté d'une solide expérience de la politique nationale, avec 6 anciens ministres. La parité, elle, est quasiment respectée : il y aura ainsi 40 hommes pour 39 femmes.
Lire plus tard
Vie politique
 
 
Seuls 19 eurodéputés parmi les 79 élus dimanche concouraient pour leur réélection.
AFP/Frederik Florin
Par FLORIAN MAUSSION (Journaliste)
Publié à 08h31
Mis à jour à 09h07
Les Français ont choisi ce dimanche les 79 eurodéputés qui siégeront à Strasbourg pour les cinq prochaines années. Parmi eux se trouveront  23 membres du RN et autant de LREM, 13 d'Europe Ecologie-Les Verts, 8 de LR, 6 de LFI et 6 de Place publique - PS.
Nous avons épluché leurs profils pour déterminer le portrait-robot de l'eurodéputé français sur la période 2019-2024.

Celui-ci est âgé en moyenne de 50 ans. Cinq des six listes ayant passé le cap des 5 % ont un âge moyen compris entre 48 ans, pour les eurodéputés LR, et 53 ans, au RN. Seule La France insoumise présente des profils plus jeunes. Les six élus de la liste de Manon Aubry - elle-même âgée de 29 ans - affichent une moyenne de 40 ans.
Européennes : les résultats en un coup d'oeil
Si le RN présente les profils les plus expérimentés, il compte toutefois dans ses rangs le benjamin de cette élection avec sa tête de liste Jordan Bardella, 23 ans. Le doyen se trouve quant à lui au sein de la République en Marche : l'ancien maire de Valenciennes Dominique Riquet, 72 ans, devance d'une courte tête Gilbert Collard (RN), 71 ans.
La parité, elle, est quasiment respectée, du fait de l'alternance homme-femme ou femme-homme sur les listes électorales. Il y aura ainsi 40 élus pour 39 élues.
Six anciens ministres, 37 élus ou anciens élus locaux
L'eurodéputé français version 2019 ne possède pas beaucoup d'expérience au niveau européen. Parmi les 79 élus, seuls 19 étaient en lice pour une réélection, tandis que 60 ne siégeaient pas à Strasbourg au cours de la précédente mandature.
Les novices de la politique restent pourtant minoritaires, avec 22 eurodéputés ayant vécu, dimanche, leur toute première élection. Nombre d'entre eux ont par ailleurs intégré des cabinets d'élus ou ont occupé des fonctions diverses au sein de leurs partis.
Parmi les 57 autres, 49 ont exercé au moins un mandat national - les huit autres n'ayant siégé qu'à l'échelon communautaire. Le Parlement européen accueillera ainsi six anciens ministres (Thierry Mariani, Nathalie Loiseau, Pascal Canfin, Nadine Morano, Brice Hortefeux et l'Italien Sandro Gozzi, élu avec LREM), cinq députés ou ex-députés, une ex-sénatrice, et 37 élus ou anciens élus locaux.
Cinq élus en attente de sièges
Cette élection comporte cependant une particularité. Sur les 79 noms désignés par les urnes, seuls 74 siégeront dans un premier temps.  La faute au retard pris par le Brexit  : le divorce entre le Royaume-Uni et l'Union européenne n'étant pas intervenu à temps, les Britanniques ont dû élire leurs 73 eurodéputés, dont les sièges avaient déjà été répartis entre les 27 autres Etats membres.
La France a ainsi récupéré cinq élus. Mais Jean-Lin Lacapelle, au RN, Sandro Gozi et Ilana Cicurel, chez LREM, Claude Gruffat, pour EELV et Nora Mebarek, de Place publique - PS, devront patienter pour faire leur entrée à Strasbourg, au moins jusqu'à la date butoir du Brexit, le 31 octobre. A moins que les parlementaires britanniques trouvent d'ici-là une issue pour leur pays.
Florian Maussion

https://www.lesechos.fr/politique-societe/politique/europeennes-voici-le-profil-des-79-elus-francais-1024582

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Un cancer du sein métastasé guéri par immunothérapie,sante,,cancer,

28 Mai 2019, 03:52am

Publié par hugo

 Un cancer du sein métastasé guéri par immunothérapie
Une femme atteinte d'un cancer du sein à un stade avancé, contre lequel la chimiothérapie était impuissante, a été soignée avec succès grâce à un traitement d’immunothérapie novateur.
Par la redaction d'Allodocteurs.fr, avec AFP
Rédigé le 05/06/2018
 
 
 
Un cancer du sein métastasé guéri par immunothérapie

Atteinte d’un cancer du sein métastasé, qui avait notamment atteint son foie, une femme de 49 ans s’est vue proposer d’expérimenter une nouvelle stratégie d’immunothérapie (voir encadré) par des chercheurs de l'Institut national du cancer à Bethesda et de l'université de Richmond (États-Unis). Son état de santé serait rétabli depuis deux ans, selon une étude publiée dans la revue Nature Medicine le 4 juin.
L'immunothérapie, traitement qui stimule les défenses immunitaires, a déjà fait ses preuves chez certains patients dans les cancers du poumon, du col de l'utérus, du sang (leucémies), de la peau (mélanome) et de la prostate. Dans ceux des ovaires, des intestins et du sein, les découvertes restent à faire.
La stratégie d’immunothérapie retenue par les chercheurs a consisté à prélever des lymphocytes (cellules du système immunitaire) sur la patiente, à les manipuler et à les réimplanter. Pris sur une tumeur, ils ont été triés pour voir lesquels reconnaissaient les cellules cancéreuses. Ils ont été "réactivés" pour s'attaquer à ces cellules. Et ont été accompagnés d'un "inhibiteur des points de contrôle de l'immunité", pour débloquer la contre-attaque du système immunitaire.
 
 
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Les chercheurs ont ainsi fabriqué une thérapie anticancéreuse "hautement personnalisée" qui a permis "une régression totale de la tumeur", ont-ils expliqué.
Des résultats enthousiasmants
La réaction au traitement a été "sans précédent" dans un cas aussi grave, a commenté un autre chercheur en oncologie, Laszlo Radvanyi, de l'Institut ontarien de recherche sur le cancer à Toronto (Canada) : "Nous sommes aujourd'hui à l'aube d'une vaste révolution, qui va nous faire enfin atteindre le but de cibler la pléthore des mutations qu'implique le cancer grâce à l'immunothérapie".
Cité par la plateforme de ressources Science Media Centre, Alan Melcher, professeur d'immunothérapie de l'Institut de recherche sur le cancer de Londres, a estimé que ces travaux "constituent une avancée majeure dans la démonstration de faisabilité, en exposant comment la puissance du système immunitaire peut être exploitée pour s'attaquer aux cancers même les plus difficiles à traiter".
De son côté, Peter Johnson, oncologue de l'hôpital de Southampton, a toutefois mis en garde contre l'excès d'enthousiasme. "Cette technique particulière est fortement spécialisée et complexe, ce qui signifie que, pour beaucoup de gens, elle ne sera pas adaptée", a-t-il souligné.
la rédaction d'Allodocteurs.fr, avec AFP
Étude : Nikolaos Zacharakis et al. "Immune recognition of somatic mutations leading to complete durable regression in metastatic breast cancer". Nature Medicine (2018) doi:10.1038/s41591-018-0040-8

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