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LES ÉTUDES LE DISENT : LES HOMMES AURAIENT BIEN PLUS ENVIE D’ENFANT QUE NOUS,grossesse,bebes,femmes,hommes,

9 Avril 2015, 01:26am

Publié par hugo

Grazia > Société > News > Les études le disent : les hommes auraient bien plus envie d’enfant que nous
SOCIÉTÉ
LES ÉTUDES LE DISENT : LES HOMMES AURAIENT BIEN PLUS ENVIE D’ENFANT QUE NOUS
Par Pauline Pellissier 02 avr. 2015 - 18h36
CONTRAIREMENT AUX STÉRÉOTYPES QUI VOUDRAIENT QUE LES FEMMES AIENT LA "FIBRE MATERNELLE" ET DONC UN FORT BESOIN DE MATERNITÉ, LES HOMMES S’AVÈRENT D’APRÈS LES ÉTUDES BIEN PLUS PORTÉS SUR LA CHOSE. ET CE N’EST PAS VRAIMENT NOUVEAU…
Les études le disent : les hommes auraient bien plus envie d’enfant que nous © GETTY IMAGES
TAILLE DU TEXTE : AAAIMPRIMERRÉAGISSEZ
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JE M'ABONNE
"Nouvelle tendance : les hommes veulent des bébés, les femmes la liberté", titrait cette semaine le site féministe américain Jezebel, content visiblement d’annoncer une inversion des choses. Pour affirmer cela, l’article s’appuie sur les chiffres d’une étude réalisée aux États-Unis en 2011, qui montre que parmi les personnes sans enfants, plus d’hommes que de femmes affirment en vouloir un. Des données corroborées en 2013. Lors d’un sondage, 80 % des Américains sans enfant confiaient vouloir une descendance contre seulement 70 % des femmes interrogées.


Mais comment expliquer une telle évolution ? D’un coup, alors qu’elles sont plus aidées que leurs mères dans les tâches ménagères et l’éducation des enfants, les femmes auraient réalisé que la maternité c’est beaucoup trop de travail ? Ou bien qu’il existe d’autres moyens de s’épanouir dans la vie ? Ce n’est pas si simple que ça. En réalité, les hommes auraient depuis longtemps plus envie de devenir parent que nous, racontait lundi le Globe and mail.


Dans sa chronique, Marina Adshade, spécialiste des relations de couple, rappelle que d'après une étude réalisée en 1990 au Canada, 15 % des femmes âgées de 15 à 44 ans déclaraient ne pas vouloir d’enfant, contre seulement 10 % des hommes. Un chiffre qui a bien augmenté depuis puisqu’en 2011, 23 % des femmes expliquaient qu’elles ne voulaient pas être mère, et 19 % des hommes ne souhaitaient pas devenir père. Ainsi, si le phénomène childfree prend bel et bien de l’ampleur dans nos sociétés, et ce chez les deux sexes, les hommes seraient toujours plus nombreux que nous à avoir des désirs de parentalité…


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A lire aussi :


Décryptage : Ces femmes qui ne veulent pas d'enfants


A cause de la crise, 150 000 Américaines ont renoncé à avoir des enfants


Congé parental : ces nouveaux papas-poule


A voir aussi

http://www.grazia.fr/societe/news/les-etudes-le-disent-les-hommes-auraient-bien-plus-envie-denfant-que-nous-751318?idprob=4469_1840104&xtor=EPR-82-[nl_perso]-20150408-[titre_les-etudes-le-disent-les-hommes-auraient-bien-plus-envie-d-enfant-que-nous]

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Roumanie: pas d'IVG pendant les fêtes de Pâques pour "ne pas chagriner Dieu",sante,femmes,ivg,

6 Avril 2015, 14:08pm

Publié par hugo

Roumanie: pas d'IVG pendant les fêtes de Pâques pour "ne pas chagriner Dieu"
Le 06 avril à 17h26 par charentelibre.fr
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Photo d'illustration
Photo d'illustration
En attente des Pâques orthodoxes, fêtées dimanche prochain, une trentaine de médecins gynécologues de Timisoara (ouest de la Roumanie) ont arrêté de faire des IVG afin de "ne pas chagriner Dieu".


"Nous ne pratiquons pas des interruptions volontaires de grossesse (IVG) durant les fêtes importantes, notamment durant la Semaine Sainte et à Noël car nous pensons que ce n'est pas bien de chagriner Dieu", a déclaré Marius Craina, médecin gynécologue et directeur de l'hôpital départemental de Timisoara.


Marius Craina a en outre déploré le nombre important d'IVG, soit 250 par jour, effectuées en Roumanie, pays majoritairement orthodoxe. "Chez nous, l'avortement est vu comme un moyen de contraception, nous avons un des taux d'IVG les plus élevés d'Europe", a-t-il.


Interdites par le régime pro-nataliste de l'ex-dictateur communiste Nicolae Ceausescu, les IVG ont été légalisées en 1990, lorsque pas moins de 992.000 avortements ont été enregistrés, soit trois fois plus que le nombre des naissances. Depuis, leur nombre a graduellement baissé, s'élevant à 88.000 en 2012, pour environ 200.000 nouveaux-nés.


TAGS Insolite

http://www.charentelibre.fr/2015/04/06/roumanie-pas-d-ivg-pendant-les-fetes-de-paques-pour-ne-pas-chagriner-dieu,1948770.php

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"Les hommes veulent des enfants, les femmes la liberté",couples,amours,bebes,

6 Avril 2015, 02:17am

Publié par hugo

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"Les hommes veulent des enfants, les femmes la liberté"
Par Nicolas Basse | Le 03 avril 2015
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C'est tout un mythe qui s'effondre. Selon plusieurs études, les hommes voudraient davantage avoir des enfants que les femmes. Et ce depuis longtemps.
En ce moment
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La légende selon laquelle la « fibre maternelle » et l'« envie profonde d'être mère » sommeilleraient en chaque femme vient de prendre un sacré coup dans l'aile. Il y a quelques jours, le site américain féminin et féministe Jezebel publiait un article intitulé « Nouvelle tendance : les hommes veulent des enfants, les femmes la liberté ». Basé sur une étude parue dans USA Today en 2011 et mise à jour au mois de mars 2015, l'article se félicitait de voir les mentalités évoluer par rapport aux dernières décennies, avec des hommes de plus en plus désireux d'être pères et des femmes ayant une envie croissante de liberté.


Ainsi, 80 % des Américains sans enfant voudraient avoir une descendance contre 70 % des femmes. Ce changement de mentalité, notamment chez les femmes, ne serait absolument pas un fait nouveau. Comme le rappelle le Globe and Mail, d'après une étude Canadienne datant de 1990, 15 % des femmes de 15 à 44 ans déclaraient alors ne pas vouloir d’enfant contre seulement 10 % des hommes.


Nouvelles priorités


Un chiffre en nette augmentation depuis, puisqu’en 2011, 23 % des femmes américaines expliquaient qu’elles ne voulaient pas être mères et 19 % des hommes ne souhaitaient pas devenir pères. Pour Gérard Pavyse, spécialiste du couple, ce phénomène aurait plusieurs explications. « Les femmes ont depuis quelques décennies plus de contrôle sur leur sexualité et leur contraception et un accès désormais complètement libre aux études et au travail. Cela fait changer les mentalités : les priorités ne sont parfois plus les mêmes. Les femmes de notre génération, qui ont une vie libre et bien remplie, se rendent compte qu'avoir un enfant, c'est énormément de travail et de temps. Avoir un enfant est de plus en plus considéré comme quelque chose d'aliénant. »


Et les hommes dans tout ça ? Si les hommes sont plus nombreux à avoir envie d'un enfant que les femmes, les chiffres montrent aussi qu'entre 1990 et 2011 le nombre de ceux ne voulant pas être pères a quasiment doublé. « Il y a un double effet : d'un côté, les hommes sont de plus en plus intéressés et impliqués dans la famille, et veulent donc des enfants. En même temps, ils suivent le courant général de la société et préfèrent vivre leur vie, être épanouis dans leur travail et ensuite penser à la famille », décrypte le psychologue. L'inversion des priorités est donc globale, même si « elle est plus notable chez les femmes, qui ont complètement changé de statut et de conditions de vie en quelques décennies ».


À lire aussi :
Les hommes veulent des enfants entre 29 et 35 ans
Ces femmes qui ne veulent pas d’enfant
Près de 5% des Français ne veulent pas d’enfants








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Tags : hommes, femmes, enfants, société
À PROPOS DE L'AUTEUR
Nicolas Basse
Journaliste Madame Figaro
Passé par Le Point, Sofoot, Le Monde Magazine et l'Express Styles et blogueur.
Sur Twitter : @nicolas_basse
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Les 5 bonnes raisons d'avoir un chat quand on a un enfant
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http://madame.lefigaro.fr/societe/les-hommes-veulent-des-enfants-les-femmes-la-liberte-030415-95853

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QU'EST-CE QUE L'AMOUR FOU ?,amours,couples,articles femmes hommes,

5 Avril 2015, 16:20pm

Publié par hugo

DOSSIER : LE GRAND AMOUR : QUAND LE CONTE DE FÉES DEVIENT RÉALITÉ...








Qu'est-ce que l'amour fou ?
QU'EST-CE QUE L'AMOUR FOU ?
DATE DE PUBLICATION : 30/03/2015 À 11:16 | COMMENTAIRE (0)
couple amoureux
IStock

ENVOYER
Aimer à en perdre la raison, ce serait donc cela l'amour fou ? Mais qu'entend-on véritablement par amour fou ? Une histoire passionnée ou un amour pathologiquement instable ? Voici quelques pistes de réflexion pour savoir si vous vivez le grand amour ou une relation déraisonnée.
À en croire toutes les tragédies classiques telles que Roméo et Juliette ou Tristan et Iseult, il faut croire que l'amour fou peut avoir des conséquences désastreuses. Mais vivre un amour aussi puissant, aussi intense qu'il puisse avoir raison de notre discernement n'est-il pas ce que chacune d'entre nous rêve un jour de connaître ?

L'amour fou survient sans crier gare !
Toutes celles qui l'ont vécu le décrivent de la même manière : l'amour fou vous tombe dessus alors que vous ne vous y attendiez pas. S'il revêt souvent la forme d'un véritable coup de foudre, il peut également se construire lentement mais sûrement. C'est parfois le cas pour des amis de longue date qui se connaissent par cœur et qui découvrent leur attirance après des années d'amitié. La folie entretient une relation ambigüe avec l'amour, comme en témoignent d'ailleurs les nombreuses expressions qui allient les deux notions. Ne dit-on pas "fou amoureux", "aimer à la folie", "être folle de quelqu'un" ? On pourrait dire que l'amour fou est, en quelque sorte, le doux synonyme de la passion. C'est une manière de le conjuguer, de le décliner pour lui apporter encore un peu plus de piquant.

Comment reconnaître l'amour fou ?
L'amour fou se distinguerait de l'amour tout court par son intensité et par la profondeur des sentiments qu'il fait naître chez les deux partenaires. Car c'est un fait : pour être fou, l'amour doit être partagé ! Lorsque le couple revendique des sentiments puissants, ils s'engagent alors dans une relation amoureuse passionnelle qui les conduit à s'isoler du monde extérieur. Il faut dire que l'amour est l'un des premiers moteurs qui apportent du sens à notre vie. Il donne des papillons dans le ventre, accroche un joli sourire à vos lèvres et vous fait battre le cœur plus vite. Si ces poncifs peuvent paraître vus et revus, ils sont pourtant physiologiquement reconnus. Même le corps devient fou sous l'effet des hormones sécrétées en masse ! On parle également d'amour fou quand il modifie le comportement, quand il pousse un individu à agir différemment ou à changer ses habitudes, si bien que son entourage ne le reconnaît plus.

L'amour fou : attention à ne pas dépasser les limites
Mais il arrive qu'un excès d'amour conduise à enfreindre les règles édictées par notre société, à l'image des crimes passionnels qui constituent l'une des formes les plus graves de la dérive amoureuse. L'amour excessif finit souvent par créer une forme de déséquilibre en soi. À force d'aimer l'autre d'une manière déraisonnable, on finit par en oublier qui on est véritablement. En se perdant petit à petit, on finit par en vouloir à l'autre de nous enlever notre personnalité, notre libre arbitre. La passion contient en elle une force destructrice contre laquelle il est souvent impossible de lutter. C'est la raison pour laquelle elle ne doit durer qu'un temps. Le couple doit apprendre à s'épanouir sans fusionner sous peine de s'éteindre dans la douleur et, parfois même, la haine.
Par marieclaire.fr







0
À VOIR SUR LE MÊME THÈME :
TOMBER AMOUREUX EN 4 MINUTES, C'EST POSSIBLE !

http://www.marieclaire.fr/,qu-est-ce-que-l-amour-fou,735749.asp#xtor=cs1-170-[galerie_texte]-[48630]-[les_plus_lus_lien_4]-[bloc_tops]

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COMMENT RECONNAÎTRE UN COUP DE FOUDRE ?,amour,couples,

5 Avril 2015, 01:21am

Publié par hugo

Comment reconnaître un coup de foudre ?
COMMENT RECONNAÎTRE UN COUP DE FOUDRE ?
DATE DE PUBLICATION : 03/04/2015 À 15:48 | COMMENTAIRES (2)
coup de foudre
IStock

ENVOYER
Vous est-il déjà arrivé d'aimer quelqu'un dès le premier regard ? Si oui, c'est que vous faites peut-être partie des chanceuses qui ont déjà connu le coup de foudre ! Mais il n'est pas toujours facile de distinguer "LE" coup de foudre d'une simple attirance physique entre deux individus. Voici les principaux symptômes que vous devez ressentir.
Premier symptôme : une sensation de bien-être
Jamais l'expression "nager dans le bonheur" n'aura pris autant de sens à vos yeux ! Vous ressentez un profond sentiment d'insouciance et de béatitude qui vous procure un véritable bien-être lorsque vous vous trouvez en présence de votre bien-aimé. Certaines femmes dépeignent même l'impression que leur esprit se détache parfois de leur corps et décrivent des moments de flottement et de déconcentration répétés. Vous ne faites plus attention à ce que vous faites et faites même preuve d'une certaine maladresse et d'étourderie caractéristiques de l'état amoureux.

Deuxième symptôme : l'obsession de l'autre
L'autre devient l'objet vers lequel toutes vos pensées convergent. Que fait-il en ce moment ? Ressent-il la même chose que moi ? Quand va-t-il enfin m'appeler ? Vous ne pensez plus qu'à cela, vous ne parlez plus que de lui et plus rien ne trouve d'intérêt à vos yeux. Il n'est d'ailleurs pas rare que vos proches vous réveillent de vos énièmes rêveries dans lesquelles vous aimez à vous complaire et à rejouer les scènes romantiques que vous avez vécues auparavant. Le seul soulagement à votre obsession, vous ne le trouvez qu'en étant dans ses bras. Là, le temps semble littéralement se suspendre ou, à l'inverse, passer très vite !

Troisième symptôme : les signes physiologiques
Dès que vous l'avez vu, votre cœur s'est emballé. Les palpitations constituent l'un des principaux signes physiques que les personnes concernées décrivent en premier, comme si le cœur était le premier à savoir que vous venez de rencontrer l'amour. Il vous avertit ! S'ensuivent alors de nombreux autres symptômes parmi lesquels figurent les bouffées de chaleur, les joues qui rougissent ou des gargouillis dans le ventre. Il ne faut pas croire, mais le corps humain constitue un baromètre émotionnel beaucoup plus fiable qu'on ne pourrait le penser !

Quatrième symptôme : l'impression de déjà vu
C'est bien connu, le coup de foudre vous tombe dessus sans que vous ne vous y attendiez. Souvent, il se caractérise par cette étrange impression de connaître déjà l'autre, comme si vous vous étiez déjà rencontrés auparavant. Très vite, vous vous êtes sentie très proche de lui et votre histoire vous a semblé couler de source. Généralement, le coup de foudre n'engendre aucune peur ni angoisse. Au contraire, les deux amoureux se sentent tellement épanouis et heureux que déclarer leur flamme n'est pas difficile. La spontanéité l'emporte et les barrières tombent rapidement, contrairement à une relation plus classique où les étapes sont franchies petit à petit.


Premier symptôme : une sensation de bien-être


Jamais l'expression "nager dans le bonheur" n'aura pris autant de sens à vos yeux ! Vous ressentez un profond sentiment d'insouciance et de béatitude qui vous procure un véritable bien-être lorsque vous vous trouvez en présence de votre bien-aimé. Certaines femmes dépeignent même l'impression que leur esprit se détache parfois de leur corps et décrivent des moments de flottement et de déconcentration répétés. Vous ne faites plus attention à ce que vous faites et faites même preuve d'une certaine maladresse et d'étourderie caractéristiques de l'état amoureux.




Deuxième symptôme : l'obsession de l'autre


L'autre devient l'objet vers lequel toutes vos pensées convergent. Que fait-il en ce moment ? Ressent-il la même chose que moi ? Quand va-t-il enfin m'appeler ? Vous ne pensez plus qu'à cela, vous ne parlez plus que de lui et plus rien ne trouve d'intérêt à vos yeux. Il n'est d'ailleurs pas rare que vos proches vous réveillent de vos énièmes rêveries dans lesquelles vous aimez à vous complaire et à rejouer les scènes romantiques que vous avez vécues auparavant. Le seul soulagement à votre obsession, vous ne le trouvez qu'en étant dans ses bras. Là, le temps semble littéralement se suspendre ou, à l'inverse, passer très vite !




Troisième symptôme : les signes physiologiques


Dès que vous l'avez vu, votre cœur s'est emballé. Les palpitations constituent l'un des principaux <a href="http://www.marieclaire.fr/,coup-de-foudre-scientifique,20479,7750.asp">signes physiques</a> que les personnes concernées décrivent en premier, comme si le cœur était le premier à savoir que vous venez de rencontrer l'amour. Il vous avertit ! S'ensuivent alors de nombreux autres symptômes parmi lesquels figurent les bouffées de chaleur, les joues qui rougissent ou des gargouillis dans le ventre. Il ne faut pas croire, mais le corps humain constitue un baromètre émotionnel beaucoup plus fiable qu'on ne pourrait le penser !




Quatrième symptôme : l'impression de déjà vu


C'est bien connu, le <a href="http://www.marieclaire.fr/,le-coup-de-foudre-a-sonne-a-ma-porte,20296,592.asp">coup de foudre vous tombe dessus sans que vous ne vous y attendiez</a>. Souvent, il se caractérise par cette étrange impression de connaître déjà l'autre, comme si vous vous étiez déjà rencontrés auparavant. Très vite, vous vous êtes sentie très proche de lui et votre histoire vous a semblé couler de source. Généralement, le coup de foudre n'engendre aucune peur ni angoisse. Au contraire, les deux amoureux se sentent tellement épanouis et heureux que déclarer leur flamme n'est pas difficile. La spontanéité l'emporte et les barrières tombent rapidement, contrairement à une relation plus classique où les étapes sont franchies petit à petit.


Par marieclaire.fr

http://www.marieclaire.fr/,comment-reconnaitre-un-coup-de-foudre,735943.asp

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Dès 20 ans, les filles font plus le ménage que les garçons,femmes,hommes,articles femmes hommes

5 Avril 2015, 01:09am

Publié par hugo

BFMTV Société
Dès 20 ans, les filles font plus le ménage que les garçons
03/04/2015 à 12h04 Mis à jour le 03/04/2015 à 18h16
Les filles consacrent 45 minutes de plus en moyenne par jour aux taches domestiques.
Les filles consacrent 45 minutes de plus en moyenne par jour aux taches domestiques. - Flickr - Zhao
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Selon une étude du ministère des Affaires sociales, les garçons de 15 à 24 ans disposent de près d'une heure de plus de temps libre que leur soeur, copine, voisine ou colocataire.


Les générations passent mais les clichés perdurent. La France semble encore loin de la parité et de l'égalité des sexes, même chez les jeunes. C'est en tout cas ce qu'il ressort d'une étude publiée par la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques du ministère des Affaires sociales qui établit une radiographie du mode de vie de chaque tranche d'âge.


Selon ces chiffres de 2010, date sur laquelle porte l'étude, les jeunes filles âgées de moins de 25 ans consacrent 1h44 en moyenne par jour aux tâches domestiques. Comprenez la cuisine, l'entretien du linge ou encore les courses alimentaires. Un chiffre qui pourrait n'avoir rien d'étonnant si les garçons du même âge eux ne dédiaient qu'une heure aux mêmes tâches. Avant même d'entrer dans la vie active ou d'avoir des enfants, les jeunes filles en font déjà beaucoup plus à la maison, même si les temps changent, un peu.


"Les jeunes hommes disposent en moyenne de plus de temps libre que les jeunes femmes, malgré une nette diminution du temps consacré aux tâches domestiques par les jeunes femmes depuis 1986", note Mickaël Portela, l'auteur de l'étude.
Au final, les garçons de moins de 25 ans ont près de 45 minutes de plus de temps libre que leurs soeurs, copines, voisines ou colocataires. Un temps qu'ils vont consacrer aux loisirs. Si les deux sexes passent environ autant de temps devant la télévision - 1h35 pour les filles, 1h38 pour les garçons - ces derniers consacrent un peu moins d'1h30 aux jeux vidéo ou aux loisirs liés à l'ordinateurs, contre seulement 30 minutes pour les jeunes filles.


Mais c'est bien la seule différence que l'on peut établir entre filles et garçons concernant le temps libre. Car on pourrait penser que les jeunes filles profitent de se temps pour sortir et voir leurs amies. Il n'en est rien puisque le temps de sociabilité pour les filles n'est supérieur que de sept minutes par rapport à celui des garçons. Avec peut-être un bonus féminin pour les conversations sur Internet, 33 minutes pour les filles contre 19 pour les garçons.


Les filles passent plus de temps dans la salle de bain


Et même si les clichés ont la dent dure, les filles ont rattrapé allègrement les garçons concernant les études. Avec un "temps professionnel et de formation" de 4h16 par jour, les jeunes filles consacrent 2h45 en moyenne aux cours ou étude contre "seulement" 2h18 pour les garçons.


Au final, hormis ces 45 minutes de ménage supplémentaire pour les filles, les moins de 25 ans organisent leur journée sensiblement de la même manière. Car s'ils dorment à peu près le même nombre d'heures - 8h54 pour les filles, 9h01 pour les garçons - passent autant de temps à table - 2 heures pour les filles, 1h55 pour les garçons - seul le temps passé dans la salle de bain diverge de peu avec 15 minutes de plus pour les demoiselles.


Par Justine Chevalier
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Les pesticides des fruits et légumes nuisent à la qualité du sperme,sante,hommes,sexes,

4 Avril 2015, 00:54am

Publié par hugo

Les pesticides des fruits et légumes nuisent à la qualité du sperme
Les pesticides des fruits et légumes nuisent à la qualité du sperme1/04/2015
Une étude américaine dévoile un lien entre les pesticides présents sur les fruits et légumes consommés par les hommes et un déficit de la qualité du sperme…
Il semblerait que manger 5 fruits et légumes par jour ne garantisse pas à la gente masculine une fertilité absolue. C’est ce que révèle une étude américaine publiée dans la revue médicale spécialisée « Human Reproduction ». En effet, les hommes qui consomment le plus de fruits et légumes, chargés d’un niveau de résidus de pesticides élevé, ont un nombre de spermatozoïdes inférieur de 49 %, soit 86 millions par éjaculat contre 171 millions pour les hommes qui en consomment le moins. Pour arriver à ce constat, 155 hommes, âgés de 18 à 55 ans, ont été suivis alors qu’ils fréquentaient un centre de traitement de l'infertilité. En tout, près de 338 recueils de sperme, provenant de ces hommes, ont été analysés entre 2007 et 2012. La consommation de fruits et légumes a été répartie en différents groupes, selon leur teneur en pesticides : basse pour les pois, haricots, pamplemousse et oignons, modérée ou élevée pour les fraises, épinards, poivrons, pommes et poires. Autre critère pris en compte : le fait de les laver avant de les consommer. Les auteurs expliquent : « Ces résultats suggèrent que l'exposition aux pesticides utilisés dans la production agricole pour l'alimentation peut être suffisante pour affecter la spermatogenèse chez l'homme ». Mais ils admettent que l’étude a des limites et que « d'autres recherches sont nécessaires ». En effet, la mesure des pesticides n'était pas directe et le fait que les produits consommés soient « bio » ou pas n'était pas connue, précisent les spécialistes. D’ailleurs, le professeur de nutrition et d'épidémiologie, Jorge Chavarro de la « Harvard Medical School », de Boston, co-auteur de l'étude conclut : « Ces résultats ne doivent pas décourager la consommation de fruits et légumes en général ». Il conseille néanmoins de consommer des produits dits « bio » ou d'éviter les aliments connus pour leurs grandes quantités de pesticides.
Source : revue médicale « Human Reproduction »
Auteur : Christine Diego Hernandez > COMMENTER0
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Même chez les plus jeunes, les tâches domestiques se déclinent au féminin,femmes,sexisme,

3 Avril 2015, 23:41pm

Publié par hugo

Même chez les plus jeunes, les tâches domestiques se déclinent au féminin


Créé le vendredi 3 avril 2015 15:21 Écrit par la rédaction

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Les jeunes femmes de 18-24 ans consacrent en moyenne 44 minutes de plus par jour aux activités domestiques que les jeunes hommes. Et une heure de moins aux loisirs.


Les femmes consacrent plus de temps aux activités domestiques que les hommes, y compris chez les plus jeunes. C'est l'un des constats de la dernière étude de la DREES, le service statistique du ministère des Affaires sociales.


En 2010, selon cette étude consacrée aux « modes de vie des 15-24 ans », publiée mercredi 1er avril, les jeunes femmes entre 15 et 24 ans consacrent en moyenne 44 minutes de plus par jour aux activités domestiques que leurs homologues masculins (1h44 contre 1h). Une tendance qui va s'accroître avec l'âge (voir tableau ci-dessous).


L'écart s'est certes réduit en 15 ans, mais pas parce que les jeunes hommes en font plus. Depuis 1986, les femmes de 15 à 24 ans ont réduit d'une heure le temps consacré aux tâches domestiques, les jeunes hommes d'un quart d'heure.


Temps


Voir aussi :Les femmes font moins le ménage, les hommes pas plus


Le temps de travail (ou études) est désormais quasiment le même pour les jeunes femmes et les jeunes hommes (respectivement 4h16 et 4h29, un écart de 13 minutes alors qu'il était de 54 minutes en 1986). C'est aussi le cas du temps physiologique (sommeil, repas, toilette) : 11h50 pour eux, 12h03 pour elles.


En conséquence, les jeunes femmes consacrent une heure de moins par jour aux loisirs (3h29 contre 4h30). Et notamment au sport : 29 minutes par jour en moyenne pour eux, 9 minutes seulement pour elles (chez les 25 ans et plus, le temps sportif est de 12 minutes par jour pour les hommes, 6 minutes pour les femmes). Les jeux vidéos sont également une pratique très masculine : 1h24 pour eux, 39 minutes pour elles.


Journee


H : hommes ; F : femmes.
1. La catégorie « Autres loisirs » comprend : jeux divers (hors jeux vidéo), radio, écoute de musique, pratique de musique, détente, pauses et création artistique.
Note • Temps moyens par jour (activités principales). Le samedi, le dimanche et les jours de vacances sont pris en compte dans la mesure
Lecture • Les hommes de 15 à 24 ans consacrent en moyenne 4 heures et 29 minutes de leur journée à des activités professionnelles et de formation
Champ • Personnes de 15 à 54 ans en France métropolitaine.
Source • INSEE, enquête Emploi du temps 2009 – 2010.





Lire aussi sur Les Nouvelles NEWS :


Égalité à la maison ? Un lent progrès des mentalités


Qui va s'occuper des enfants ?

http://www.lesnouvellesnews.fr/index.php/civilisation-articles-section/civilisation/4318-meme-chez-plus-jeunes-taches-domestiques-se-declinent-au-feminin

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Un homme tué par sa femme tous les 15 jours,homme,violence,

1 Avril 2015, 03:34am

Publié par hugo

l'édition du soir CHIFFRES
Un homme tué par sa femme tous les 15 jours
PAR LEÏLA MARCHAND


Sur les deux dernières années, 149 000 hommes ont été victimes de violences de la part de leur conjointe ou ex-compagne. Un chiffre moins élevé que celui des femmes battues. Mais loin d’être négligeable. Peu médiatisée, cette réalité reste étouffée par les tabous et la honte que les hommes en retiennent.


(Photo : Fotolia)
Homme battu. L’association des deux mots est si peu courante que l’on est tenté de ne même pas la prendre au sérieux. Le quotidien de ces hommes violentés est pourtant loin d’être anecdotique. D’après le dernier rapport annuel de l’ONDRP (Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales), 149 000 hommes ont été victimes de violences dans leur couple sur les deux dernières années.


Bien sûr, ces chiffres restent bien moins élevés que ceux des femmes victimes de leur partenaire de vie : elles étaient 398 000 sur la même période, soit 73 % des cas de violences dans les couples. Mais ces 27 % restant, ceux des hommes victimes, ne sont pas négligeables. Surtout lorsque l’on sait qu’ils sont certainement sous-évalués. Les hommes, pressés par les conventions sociales, les tabous de la société, n’osent pas parler.


SOS Hommes Battus


D’ailleurs, jusqu’à récemment, aucune structure n’existait pour les aider et leur apporter une écoute. C’est chose faite avec SOS Hommes Battus, association fondée en 2009, qui a mis en place des permanences téléphoniques. Entre les mails et les appels, 2 500 personnes la contactent chaque année. « Cette violence des femmes contre les hommes est pourtant un phénomène ancien. De nombreuses gravures du Moyen-Âge l’illustrent déjà. Mais l’organisation de notre société est telle que seule la violence des hommes est visible », précise Sylvianne Spitzer, psychologue et fondatrice de l’association.




Comment peut-on en arriver à une situation « d’homme battu » ? Qui sont ces hommes victimes et ces femmes violentes ? Le plus souvent, il s’agit d’un homme « qui a eu lui-même une mère violente à l’égard des hommes » et d’une femme « élevée comme une princesse qui ne tolère pas la frustration », répond la psychologue.


La Délégation aux victimes (Dav) du ministère de l’Intérieur, qui recense les morts violentes au sein des couples, synthétise de manière beaucoup plus crue ces profils : « L’auteur de violence féminin est, le plus souvent, mariée, a entre 51 et 60 ans, et n’exerce pas ou plus d’activité professionnelle ». Un profil quasi similaire à l’auteur de violence masculin, en moyenne un peu plus jeune.


De la violence verbale à la violence physique


Contrairement aux coups brutaux portés aux femmes dans un couple, les maris connaîtraient d’abord une violence moins visible, explique Sylvianne Spitzer : « Elle est présente dès le début. Mais on n’y prête pas toujours attention. On pense qu’une crise de colère ou une insulte, ce n’est pas grave. Mais la violence verbale peut devenir de la violence psychologique, puis physique. Et, alors que les hommes utilisent plutôt leurs poings, les femmes mordent, griffent et jettent des objets. »


Ce constat rejoint plutôt celui de la Dav. Elle rapporte qu’en cas d’homicide, les hommes finissent le plus souvent par se saisir d’une arme à feu, alors que les femmes utilisent des armes blanches. Car ces dernières peuvent aussi en arriver aux pires extrémités dans leur couple. Pour une femme qui meurt tous les trois jours, victime de son conjoint, un homme meurt tous les 14,5 jours. En 2013, sur les 146 personnes décédées, 25 étaient des hommes.




Pas de logements d’urgence


Ces cas extrêmes sont heureusement rares. Aux racines de n’importe quelle situation de violence se trouvent simplement des couples qui n’ont pas su trouver une relation d’égalité. « Les deux personnes s’aiment mais elles sont en souffrance, une souffrance qui ne s’exprime qu’au travers de la colère et la violence », traduit Sylvianne Spitzer.


Du côté des mentalités, il reste encore beaucoup de chemin à faire pour la violence faite aux hommes. En théorie, les recours sont les mêmes, peu importe le sexe. Mais en pratique, d’après la psychologue, la législation reste plus favorable aux femmes. Il n’y a pas « de logements d’urgence pour les hommes » ou de « spot de prévention » pour sensibiliser à la violence des femmes.


Petit à petit, une prise de conscience « de ce qui est normal ou pas » commence à poindre. Les bouches se délient, les témoignages arrivent et les statistiques des violences augmentent un peu, année après année, ajoute la présidente. Pour autant, si les hommes franchissent le cap de se déclarer « victimes », ils sont encore peu à réclamer de l’aide. Sur 100 cas, seulement 3 hommes vont aller jusqu’au dépôt de plainte, contre 11 pour les femmes.

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« Vous voulez le secret d’un couple heureux ? »,,couples,amours,

1 Avril 2015, 03:32am

Publié par hugo

l'édition du soir INTERVIEW
« Vous voulez le secret d’un couple heureux ? »
RECUEILLI PAR LEÏLA MARCHAND


Avant d’en arriver aux mains, un couple violent est d’abord un couple en souffrance. Yvon Dallaire, auteur et psychologue québécois, revient sur les principes de base pour désamorcer les moments de tension… Et apprendre à être heureux, à deux.


(Photo : DR)
Comment la violence finit-elle par arriver dans un couple ?


Dans certains couples, il y a un des deux qui est vraiment une personne violente ou un manipulateur pervers. Mais dans beaucoup de cas, les deux sont de bonne foi et aimants. Ils sont seulement incapables de vivre ensemble. Il y a des choses que l’on fait, par amour ou par ignorance, qui sont de vraies déclarations de guerre pour l’autre. Et, dans 85 % des cas, quand ce moment de tension survient, on se retrouve coincé dans une escalade de violence.


Par exemple, quelles sont les déclarations de guerre dans un couple ?


Les couples en souffrance ont des interactions négatives. C’est là qu’arrivent les quatre cavaliers de l’Apocalypse ! Les conversations s’enveniment. Il y a d’abord la critique, du style : « Tu as encore oublié le pain ! », qui réveille le mépris ; ou bien : « Tu n’as vraiment rien dans le crâne », qui amène l’attitude défensive : « Le problème, c’est toi ! », puis, souvent, la dérobade. Ce sont surtout les hommes qui vont utiliser cette fuite, ce retrait, pour désamorcer la situation. Ils se retirent dans le silence… Et c’est ce qu’ils peuvent faire de pire. Car les femmes veulent justement communiquer, parler de ce qui ne va pas.




(Photo : Fotolia)
Ces différences entre les sexes paraissent assez stéréotypées…


Oui, ça paraît un peu stéréotypé mais que ce soit un homme ou une femme, ce qui compte, c’est la souffrance que cela cache. Cette souffrance, c’est le résultat de ce que j’appelle une « schismogenèse » : les deux participent à cette situation malgré leur amour et leur bonne foi. Pour mettre au jour cette « cartographie » d’une dispute de couple, les chercheurs recréent en laboratoire une situation conjugale du quotidien, et placent des capteurs sur les deux personnes. Là, on remarque que dès que la situation devient émotive, l’homme se sent attaqué. Son cœur accélère de dix battements par minute, il sécrète de l’adrénaline, il est en état d’alerte. En revanche, quand est-ce que la femme va avoir la même réaction ? Quand son compagnon coupe la communication et se referme. Les deux êtres sont aussi sensibles l’un que l’autre mais différemment.


Pourquoi certains couples ne parviennent pas à s’entendre ?


Le problème, c’est la frustration intérieure et l’absence d’habileté relationnelle pour communiquer cette souffrance. Les conjoints ne connaissent pas les mécanismes de la vie à deux. Vous voulez savoir quelles sont les différences entre un couple heureux et un couple malheureux ? Les couples heureux se disent cinq à dix fois plus de compliments que de reproches. Ils ne cherchent pas à avoir raison l’un sur l’autre.




(Photo : Fotolia)
En fait, ils se mettent d’accord pour vivre avec des désaccords. Car il faut savoir que la majorité des mésententes dans un couple sont insolubles. Il faut accepter que l’autre est autre. Dans les couples malheureux, il y a une lutte pour gagner le pouvoir qui n’en finit jamais. Dans un couple heureux, il y a deux gagnants.


Que faire pour s’en sortir ?


Les deux conjoints ont besoin de reprendre confiance en eux, de développer une intelligence émotionnelle conjugale. Je vais vous donner un exemple : j’arrive en retard à notre rendez-vous. Vous êtes énervé contre moi pour mon retard. Dans cette situation, je suis responsable de mon retard, mais pas de votre colère. Mais attention, je suis aussi responsable de ma réaction. Au lieu de réagir à la critique en me mettant sur la défensive, en essayant de me justifier, je peux dire : « Si je comprends bien mon amour, tu avais hâte que j’arrive ? » Là, je reconnais votre droit à être en colère et je désamorce la situation. On augmente nos chances de passer une bonne soirée ! Quand il y a de la colère, rien n’est perdu. Le contraire de l’amour, ce n’est pas la colère, c’est l’indifférence.

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