Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le blog de hugo,

articles femmes hommes

Pour pimenter votre vie sexuelle, découvrez la Karezza, une méthode un peu magique ,articles femmes hommes,couples,

29 Mai 2018, 08:55am

Publié par hugo

 Pour pimenter votre vie sexuelle, découvrez la Karezza, une méthode un peu magique
La clé? Prendre son temps.
Victoria Lasserre
 
Getty Images/iStockphoto
La Karezza, une méthode un peu magique pour pimenter votre vie sexuelle
SEXUALITÉ - Avez-vous déjà entendu parler de la méthode Karezza ? Inspirée du mot "carezza", qui signifie caresse en italien, cette méthode s'oppose à la course à l'orgasme et à la pratique du quickie. Elle s'appuie au contraire sur le temps passé à deux et à la proximité des corps pour une union parfaite durant les relations sexuelles.
Cette méthode n'est pas nouvelle. Elle est apparue en 1931, lors de la publication du livre Karezza Method écrit par J.W. Lloyd. Le concept est simple : l'homme et la femme doivent se retenir de jouir et s'empêcher d'avoir un orgasme. L'objectif étant de ressentir une sensation unique de plaisir et de communion.
Pour cela, il faudrait ainsi se serrer contre son partenaire et profiter pleinement des câlins et des caresses, tout en privilégiant le temps passé ensemble plutôt que l'orgasme. "Cette pratique est généralement comparée au tantrisme", explique la thérapeute Rachel Wright au site Women's Health.
Alors qu'un orgasme stimule la dopamine, un neurotransmetteur lié au plaisir, la méthode Karezza déclenche une production d'ocytocine, surnommée l'hormone de l'amour ou de l'attachement.
Le résultat ? La Karezza améliore l'intimité, la proximité et la communication entre les deux amants. "Cette pratique permet de faire des jeux sexuels quelque chose de plus romantique", indique Rachel Wright.
Voici quelques conseils pour vous mettre à la pratique de cette Karezza : Choisissez bien votre partenaire
On vous prévient, la méthode Karezza sera plus difficile à mettre en place avec un plan fesse. "Vous devez avoir confiance en la personne et surtout bien la connaître, pour vous laisser totalement aller", explique la spécialiste.
Parlez-en à deux
Avant toute chose, vous devez absolument être tous les deux d'accord pour expérimenter la pratique sexuelle. Il s'agit tout de même de se retenir un minimum, alors autant s'accorder sur ce point.
"Déterminez tous les deux pourquoi vous voulez essayer et surtout, ce dont vous avez chacun envie", ajoute Rachel Wright.
Établissez les règles du jeu
Vous devez définir où vous souhaitez être caressé.e et les zones où vous ne voulez pas être touché.e. Vous pouvez également décider ce que vous faites si vous n'arrivez pas à vous retenir de jouir. Toutes les questions sont bonnes à poser.
Commencez en douceur
La pratique de la méthode Karezza peur durer pendant des heures. Mais ce n'est pas pour ça que vous devez en faire autant. "La première fois, tentez l'expérience durant cinq minutes", conseille Eric Garrison, sexologue. Et bien évidemment, plus vous allez pratiquer, plus vous deviendrez des experts.
Les gestes sont simples. Le principal est de vous laisser aller : vous pouvez caresser le dos de votre partenaire, lui mordiller l'épaule, descendre le long de ses cuisses, embrasser ses omoplates... L'objectif est aussi d'explorer les moindres recoins du corps de l'autre. Faites tout ce dont vous avez envie et qui vous fait plaisir, maintenant que l'objectif absolu de l'orgasme est aboli.
Lire la suite sur:

https://www.huffingtonpost.fr/2018/05/26/pour-pimenter-votre-vie-sexuelle-decouvrez-la-karezza-une-methode-un-peu-magique_a_23443692/?utm_hp_ref=fr-sexualite

Voir les commentaires

Entre le plan cul et le couple, les relations du 3ème type des millenials,articles femmes hommes,

28 Mai 2018, 08:09am

Publié par hugo

 
Entre le plan cul et le couple, les relations du 3ème type des millenials
Publié le 28 mai 2018 à 3:00
Dans la hiérarchie toujours en mouvement des rapports amoureux, il existe aujourd’hui, chez les millenials, un nouveau type de relation non définie, aux contours imprécis. Ni sex friends, ni couple officiel. Décryptage de ce marasme amoureux.
 
 
“Love, et autres drogues” © Twentieth Century Fox France
Manon voit Arthur depuis huit mois. Elle l’appelle trois fois par jour, il lui a présenté sa mère et ils partent tous les deux en vacances en Italie cet été. Mais Manon et Arthur, tous deux vingtenaires, ne sont pas en couple. “Il ne voit personne d’autre, et moi non plus, on en aurait pas le temps de toute façon, nous sommes quasiment toujours ensemble. Pourtant, nous ne sommes pas un couple, ce n’est pas ‘mon copain’. C’est simplement Arthur”, explique Manon. Car Arthur et Manon sont coincés dans une relation du 3ème type. Ni plans cul où tout n’est que sexe sans attachement, ni couples traditionnels où l’union est assumée et revendiquée, ces relations sont une sorte d’étape intermédiaire. Un entre-deux où la fidélité, la complicité et la tendresse sont de mise, mais où il n’est pas question pour autant de discuter sérieusement d’un avenir à deux.
Cette torpeur amoureuse, Christophe Giraud, sociologue de la vie privée et conjugale et auteur de L’Amour réaliste: la nouvelle expérience amoureuse des jeunes femmes, l’a étudiée de près: “Aujourd’hui, sortir ensemble ne signifie pas être en couple. Des relations intermédiaires que je nomme ‘sérieuses-légères’ se sont développées. Sérieuses, car on y observe un réel investissement émotionnel que l’on ne retrouve pas dans les relations purement sexuelles, et légères car, malgré le lien qui se tisse entre les partenaires, parfois sur de longues périodes, pas question d’imaginer ou de discuter d’un futur commun. On ne se promet rien, car on ne sait pas si, dans un mois, on continuera à se voir.” Manon, qui confie se sentir “prise au piège” dans une situation sans issue, confirme cette impression d’à-peu-près, de doute constant: “J’ai la sensation d’être coincée dans une relation avec un homme qui me plaît et avec qui j’aimerais construire quelque chose, mais dans laquelle je ne peux m’épanouir car j’avance à l’aveugle, sans la moindre certitude.”
 
En quête de la perfection amoureuse
“Ces relations offrent une réelle stabilité puisqu’elles sont généralement assorties d’une ‘clause’ tacite de fidélité, sentimentale et sexuelle, explique Christophe Giraud, pourtant, même si une belle complicité et intimité s’installent avec le temps, ces relations peuvent être terriblement frustrantes car elles laissent les partenaires dans un doute permanent quant au devenir de la relation et aux sentiments de l’autre.” Pour autant, n’y voyez pas le signe de nouvelles générations allergiques à la vie à deux puisque selon le sociologue, l’ambition officieuse des personnes embarquées dans ce genre de relation est bien d’être en couple, mais un couple “authentique, où les sentiments réciproques donnent lieu à une relation amoureuse sincère”. Or, définir cette relation, y apposer le mot de ‘couple’, peut paraître forcé, fabriqué, d’où cette dynamique particulière qui semble étirer indéfiniment une phase de séduction poussée à l’extrême. “Les jeunes ne sont pas blasés par l’amour, ils ont toujours envie de ‘faire couple’, leur idéal amoureux est d’ailleurs très fort, ils ne s’engagent pas à la légère. Avec ces histoires-là, ils sont en fait en recherche d’une certaine perfection amoureuse, décrypte-t-il. Mais la contrepartie est cette impression de stagner, de ne jamais s’engager, de passer son temps à douter des sentiments de la personne, du bien-fondé de la relation ou même de ses propres émotions en se demandant ‘suis-je amoureux·se de l’autre, ou simplement de l’idée d’être en couple?’”
 
La peur de s’engager
Ce sentiment de tâtonner, Yohan, 26 ans l’a connu pendant presque deux ans avec son “mec qui n’en était pas un”. “Cette histoire avec Pierre m’a sacrément amoché, confie-t-il. On agissait comme n’importe quel couple, j’avais la clé de chez lui, il connaissait mes amis, je l’attendais à la sortie de son travail, on partait en week-end ensemble, mais dès que je prononçais le mot ‘couple’, il se braquait. Officialiser notre histoire le terrifiait, comme s’il se condamnait à l’ennui ou la souffrance.” Si le couple traditionnel reste pour la plupart la norme et un idéal de bonheur, impossible de nier chez les jeunes générations une sorte de schizophrénie amoureuse, où l’envie d’être en couple est aussi forte que la peur d’y laisser sa liberté et de souffrir. Comme Yohan et son partenaire, les jeunes semblent coincés entre l’amour éternel des contes de fées auxquels on continue de biberonner les enfants, et un taux de divorce qui explose -aujourd’hui, 44% des mariages se terminent en divorce -justifié généralement par un amer “l’amour dure trois ans”, rengaine fataliste qui, depuis la sortie en 1997 du livre du même nom de Frédéric Beigbeder, revient à chaque rupture.
“Se projeter dans l’avenir avec quelqu’un, c’est avancer. Et avancer vers quoi au final? Vers notre fin certaine. Alors en étant un peu touche-à-tout, on s’illusionne sur une éternelle jeunesse.”
“Il existe une vraie difficulté à décider que l’on est en couple, à se le dire et à se l’avouer. Tous les stratagèmes possibles sont mis en œuvre pour ne pas s’engager dans une voie de peur d’avoir à renoncer à une autre”, confirme Fabienne Kraemer, psychanalyste, autrice de Solo/No solo. Quel avenir pour l’amour?, qui note que, s’il faut y voir une peur de souffrir et de sacrifier à son individualisme, cette inquiétude peut également s’expliquer par une envie de préserver une insouciance éphémère: “Entrer en couple, grandir, se projeter dans l’avenir avec quelqu’un, c’est avancer. Et avancer vers quoi au final? Vers notre fin certaine. Alors en étant un peu touche-à-tout, en faisant mine de ne pas y toucher, on s’illusionne sur une éternelle jeunesse.” Une vision de la vie à deux façon syndrome de Peter Pan à laquelle Yohan avoue lui-même avoir succombé: “Au début, cette relation sans cadre me convenait bien, j’y trouvais une liberté, une indépendance nouvelle. Avec le recul, je pense que je fantasmais notre idylle justement parce qu’elle était hors norme, comme quelque chose d’extraordinaire qui n’avait rien à voir avec les couples plan-plan que je voyais autour de nous, assume-t-il. Mais plus les mois passaient, plus j’étais envahi par la frustration et l’envie de savoir que, oui, il était mon homme et que j’étais le sien. Je ne supportais plus de ne pas savoir ce que l’on était l’un pour l’autre et ma ‘romance épique’ s’est transformée en calvaire.”
Après des mois de souffrance, Yohan a donc fini par mettre fin à ce qu’il appelle aujourd’hui un trou noir amoureux, “car si tu tombes là-dedans, impossible de savoir comment tu vas en ressortir”. À la clé pour lui, trois mois de dépression et une douleur “illégitime” puisque, s’il n’y a pas de couple, il n’y a pas de rupture. “Officiellement, il ne s’était rien passé, j’avais juste arrêté de voir un mec avec qui je n’étais pas, pas de quoi en faire un drame donc. En réalité, j’ai rarement autant souffert en amour”, se souvient Yohan.
 
Une américanisation des rapports
Évidemment, les Français n’ont pas le monopole de cette frustration amoureuse bien particulière. C’est d’ailleurs aux États-Unis que ces rapports d’un genre nouveau ont été conceptualisés pour la première fois sous le terme d’“almost relationship”, soit en français une “presque-relation”. Will an ‘Almost Boyfriend’ Ever Become a Real Relationship, How to get over someone you never dated, 9 signs you’re in an ‘almost’ relationship, les articles sur ce phénomène se multiplient et font les choux gras de la presse féminine. Pour Maïa Mazaurette, journaliste et écrivaine spécialiste des questions de couple et de sexualité, qui réside justement aux États-Unis, rien d’étonnant à ce que ces relations floues soient aujourd’hui si répandues: “Ici, ces relations intermédiaires sont qualifiées de ‘date’ et semblent indéboulonnables. Du coup, on peut s’interroger sur une américanisation des rapports, via les gros bulldozers médiatiques que sont les séries télé ou les films.” Une américanisation à qui l’on doit déjà le concept de ‘plan cul’ -largement répandu par les comédies US type Sex Friends ou Friends with Benefits– ou encore des relations on/off, ces couples qui se séparent et se remettent ensemble indéfiniment.
“Quand on s’habitue au champ des possibles, toute situation rendue définitive est vue comme potentiellement en travers de la parfaite aventure qu’on vivra un jour -dans nos rêves.”
Et les réseaux sociaux et applis de rencontre dans tout ça? Pour Fabienne Kraemer, s’ils ne sont pas les seuls fautifs, “les réseaux sociaux sont des outils qui génèrent des liens artificiels, comme garder contact avec les ex ou espionner leurs murs. Tout un ensemble de faux liens chronophages qui empêchent le développement de liens dans la vraie vie”. Une culture du virtuel qui, pour Maïa Mazaurette, traduit une peur de passer à coté: “Quand on s’habitue au champ des possibles, sur Tinder comme dans un bar, toute situation rendue définitive est vue comme potentiellement en travers de la vraie, sublime, grande, parfaite aventure qu’on vivra un jour -dans nos rêves.”
Plus question de “se prendre la tête”, explique-t-elle, évoquant également les ruptures en mode “ghosting”: “Les partenaires sont évacuables. D’ailleurs, on n’est pas obligés de juger: le monde se complexifie, le couple est toujours censé faire refuge… Du coup, on simplifie le couple. Et savoir qu’il peut disparaître en un claquement de doigts, ou un clic, rend les sentiments plus intenses. On n’est jamais dans la certitude bien installée. C’est sûr que ça colle la pression”, analyse-t-elle en y voyant “une forme de violence sociale où nous sommes dispensables. On ne compte pas. La parole donnée vaut jusqu’à ce qu’on la reprenne. Sur le papier, c’est génial, mais dans les faits, nous sommes tous victimes de ces rapports mous.”
 
Réinventer la vie à deux
Victime, c’est justement le mot qu’emploie Karim, 32 ans, en “presque-relation” avec Lisa depuis six mois, pour se définir. Victime de la multiplicité des choix. “Aujourd’hui, on entend partout que le couple n’est pas la solution, que c’est une norme sociale. Du coup, je ne suis plus capable de différencier mes propres envies de ce que la société m’a peut-être imposé, confesse-t-il. Qui dit que je ne m’épanouirais pas plus dans une relation libre ou en trouple? (Ndlr: contraction de ‘trois’ et de ‘couple’ pour désigner une relation amoureuse impliquant trois personnes)” S’ajoute à cela la pression de l’entourage de trouver un·e conjoint·e. “Plus les années passent, plus je sens ma famille pressée de me voir me poser avec quelqu’un”, explique Karim pour qui cette situation favorise les doutes et l’inaction, de peur de ne pas choisir la bonne personne. Résultat, ce trentenaire enchaîne les semi-couples et les relations troubles.
“Arrêtez d’avoir peur de tout, de vous montrer craintif et de vivre uniquement avec bretelles, ceintures de sécurité et parachute.”
“Nous avons aujourd’hui levé la plupart des tabous, s’offrent à nous de multiples manières de cheminer ensemble ou de faire des enfants, cela ne veut pas dire que le couple n’a pas de sens, cela veut juste dire: soyez inventif, écrivez votre vie, modernisez la vie à deux. Mais arrêtez d’avoir peur de tout, de vous montrer craintif et de vivre uniquement avec bretelles, ceintures de sécurité et parachute”, peste Fabienne Kraemer. Pour Maïa Mazaurette, aucune raison non plus de renoncer à la vie à deux. Au contraire, la journaliste y voit une planche de salut, si tant est que l’on questionne nos habitudes pour réinventer un couple dans l’air du temps: “Il ne me semble pas absurde ou dépassé de vouloir construire des trucs ensemble. L’humanité ne sait faire qu’une chose à peu près correctement: coopérer. Du coup, si on nous enlève le ‘co’ de conjoint ou communauté, c’est quasiment de la castration. En tout cas, un terrible gâchis de potentiel. Je sais qu’on est censé répéter que le couple est un enfer, et que du coup, il faut se débarrasser du couple, enchaîne-t-elle, mais pour ma part, je propose plutôt de jeter l’enfer et de garder le couple: de développer de meilleures qualités relationnelles, pour mieux vivre ensemble. Avec les débats sur la charge mentale ou sur le viol conjugal ou sur les inégalités sociétales, on fait exactement ça. Il suffit d’être patient. On va y arriver.”
Audrey Renault

http://cheekmagazine.fr/societe/relations-amoureuses-millenials/

LES  HISTOIRE  DE  Cul  moi  cela  ne  minterrese  pas , je  prefere  trouver  une vrai  histoire,

passer  ses  week end  seul ,  sa  journee  seul pas  drole ,  j  en chiale  de  cette  solitude  

 

Voir les commentaires

“Aurais-je violé mon amant?” Une femme raconte s'être passée du consentement de son partenaire,femmes,violences,hommes,

28 Mai 2018, 07:53am

Publié par hugo

“Aurais-je violé mon amant?” Une femme raconte s'être passée du consentement de son partenaire
Publié le 24 mai 2018 à 12:47
On a lu pour vous ce témoignage publié sur MadmoiZelle à propos du respect du consentement masculin lors de rapports sexuels et on vous le conseille fortement.  
 
 
© Capucine Moulas pour Cheek Magazine
“Ce jour-là, chacun passe la soirée de son côté, avec des amis. Je lui propose de me rejoindre chez moi, comme à notre habitude, une fois les festivités terminées. Il sonne à ma porte à une heure avancée de la nuit. (…) Il s’allonge et je le chevauche, enfiévrée par la première partie de nos ébats. Il sait guider mon bassin et l’intensité de mon plaisir ne cesse d’augmenter. (…)
Mes souvenirs sont assez flous, ayant moi-même forcé sur la vodka tonic. Mon cerveau déconnecte parfois puis revient à la réalité. Je mets donc un temps à réaliser… qu’il s’est endormi. (…)
Son corps immobile et tendu là où il faut me suffit. Oserais-je l’utiliser tel un sextoy? Est-ce moral? Je suis bien trop excitée pour me poser ce genre de questions et mon cerveau de bourrée trouve que c’est une très bonne idée. OK, juste un petit orgasme et j’arrête. (…) J’ai l’impression de lui avoir fait une bonne blague et j’ai hâte qu’il se réveille pour la lui raconter. Mais le lendemain matin, alors que les souvenirs remontent à la surface, ma satisfaction s’est évanouie. Un doute m’assaille: aurais-je violé mon amant?”
Dans une contribution anonyme publiée sur le site MadmoiZelle et titrée Cette nuit où j’ai eu peur d’avoir violé mon amant, une femme se confie sur un rapport sexuel qui lui a laissé la sensation d’avoir profité de son partenaire. Amusée puis inquiète, elle vérifie la définition du viol sur son téléphone, conçoit que la relation puisse y correspondre et obtient finalement le “consentement à posteriori” du principal intéressé. Visiblement sensible aux sujets féministes, l’autrice propose dans ce texte un témoignage nécessaire sur le consentement, qui prend la forme d’une piqûre de rappel et invite au questionnement de nos pratiques.
À lire le plus rapidement possible sur le site de MadmoiZelle.

 http://cheekmagazine.fr/societe/madmoizelle-sexe-viol-consentement-temoignage/

Voir les commentaires

La Karezza, la méthode magique pour pimenter votre vie sexuelle,articles femmes hommes,couples,amours,

25 Mai 2018, 08:53am

Publié par hugo

 La Karezza, la méthode magique pour pimenter votre vie sexuelle
 
La méthode Karezza pour pimenter sa vie sexuelle

Par Victoria Lasserre
Publié le Jeudi 24 Mai 2018
Non, cette méthode n'a rien de nouveau. Pourtant, la pratique Karezza permettrait de se rapprocher de son amoureux et surtout, de pimenter notre vie sexuelle. On tente ?
Avez-vous déjà entendu parler de la méthode Karezza ? Inspirée du mot "carezza", qui signifie caresse en italien, cette méthode s'oppose à la course à l'orgasme et à la pratique du quickie. Elle s'appuie au contraire sur le temps passé à deux et à la proximité des corps pour une union parfaite durant les relations sexuelles.
Cette méthode n'est pas nouvelle. Elle est apparue en 1931, lors de la publication du livre Karezza Method écrit par J.W. Lloyd. Le concept est simple : l'homme et la femme doivent se retenir de jouir et s'empêcher d'avoir un orgasme. L'objectif étant de ressentir une sensation unique de plaisir et de communion.
Pour cela, il faudrait ainsi se serrer contre son partenaire et profiter pleinement des câlins et des caresses, tout en privilégiant le temps passé ensemble plutôt que l'orgasme. "Cette pratique est généralement comparée au tantrisme", explique la thérapeute Rachel Wright au site Women's Health.
Alors qu'un orgasme stimule la dopamine, un neurotransmetteur lié au plaisir, la méthode Karezza déclenche une production d'ocytocine, surnommée l'hormone de l'amour ou de l'attachement.
 
Le résultat ? La Karezza améliore l'intimité, la proximité et la communication entre les deux amants. "Cette pratique permet de faire des jeux sexuels quelque chose de plus romantique", indique Rachel Wright.

 
La méthode Karezza
Voici quelques conseils pour vous mettre à la pratique de cette Karezza :
Choisissez bien votre partenaire
On vous prévient, la méthode Karezza sera plus difficile à mettre en place avec un plan fesse. "Vous devez avoir confiance en la personne et surtout bien la connaître, pour vous laisser totalement aller", explique la spécialiste.
Parlez-en à deux
Avant toute chose, vous devez absolument être tous les deux d'accord pour expérimenter la pratique sexuelle. Il s'agit tout de même de se retenir un minimum, alors autant s'accorder sur ce point.
"Déterminez tous les deux pourquoi vous voulez essayer et surtout, ce dont vous avez chacun envie", ajoute Rachel Wright.
Établissez les règles du jeu
Vous devez définir où vous souhaitez être caressé.e et les zones où vous ne voulez pas être touché.e. Vous pouvez également décider ce que vous faites si vous n'arrivez pas à vous retenir de jouir. Toutes les questions sont bonnes à poser.
Commencez en douceur
La pratique de la méthode Karezza peur durer pendant des heures. Mais ce n'est pas pour ça que vous devez en faire autant. "La première fois, tentez l'expérience durant cinq minutes", conseille Eric Garrison, sexologue. Et bien évidemment, plus vous allez pratiquer, plus vous deviendrez des experts.
Les gestes sont simples. Le principal est de vous laisser aller : vous pouvez caresser le dos de votre partenaire, lui mordiller l'épaule, descendre le long de ses cuisses, embrasser ses omoplates... L'objectif est aussi d'explorer les moindres recoin du corps de l'autre. Faites tout ce dont vous avez envie et qui vous fait plaisir, maintenant que l'objectif absolu de l'orgasme est aboli.
N'ayez pas peur de l'orgasme
Hors de question de culpabiliser si vous avez un orgasme (ça serait quand même fou, avouons-le) !
Forcément, cela peut arriver plus vite qu'on ne le pense, surtout les premières fois que l'on pratique la Karezza. Prenez votre temps et recommencez une autre fois, tout simplement.
Faites un débrief
La communication post-Karezza est tout aussi importante que la communication pré-Karezza. Expliquez à votre partenaire les gestes qui vous ont plus ou qui vous ont déçus. Posez-lui les mêmes questions et notez les réponses pour la prochaine fois.
Cela permet d'améliorer la confiance, le confort mais aussi la prochaine expérience. Et bien évidemment, la méthode Karezza peut s'utiliser de temps en temps, régulièrement, en préliminaires. À vous de définir vos propres envies !
Sexo relations News essentielles Sexe couple

http://www.terrafemina.com/article/karezza-la-methode-pour-pimenter-votre-vie-sexuelle_a342419/1

Voir les commentaires

#IveCriedAtWork : et si on osait exprimer ses émotions au travail ?,emploi,

22 Mai 2018, 08:01am

Publié par hugo

 #IveCriedAtWork : et si on osait exprimer ses émotions au travail
#IvecriedAtWork : et si on osait exprimer ses émotions au travail ?
 
Par Léa Drouelle
Publié le Lundi 21 Mai 2018

Dans le monde de l'entreprise, laisser libre court à ses émotions et craquer en public reste très mal vu, voire tabou. Pourtant, il faut oser, clame Jennifer Palmieri. Son appel a libéré la parole des femmes, qui ont témoigné sur Twitter en utilisant le hashtag #IveCriedAtWork ("j'ai pleuré au travail").
Au travail, contrôler ses émotions et ne jamais se laisser aller constitue la règle d'or dans de nombreuses sociétés. Un principe pourtant absurde, puisque ne nous ne sommes pas des robots et ne nous laissons pas nos sentiments et émotions sur le seuil de la porte dès que l'on franchit les portes du bureau.
Heureusement, ce vieux précepte est en phase de changer. En témoigne le récent succès du mot-dièse #IveCriedAtWork ("j'ai pleuré au boulot"), lancé il y a un mois après la parution de l'ouvrage de l'Américaine Jennifer Palmieri. Dans son livre Dear Madam President : An Open Letter to the Women Who Will Run the World, cette pro de la communication raconte avoir pleuré devant Hillary Clinton et Barack Obama, lorsqu'elle dirigeait la communication de leurs campagnes pendant les élections américaines.
"J'ai pleuré dans le bureau ovale"
Son ouvrage contient un chapitre entièrement consacré au fait de pleurer au bureau. Intitulé "Nodd less, cry more" ("Acquiesce moins, pleure plus"), il invite les femmes à oser pleurer devant les autres au travail, plutôt que de se réfugier dans les toilettes ou de réprimer ses émotions pour paraître "forte".
 
"J'ai pleuré dans le bureau ovale, dans l'aile ouest (...), sur les promenades présidentielles, dans les salles d'attente du Kremlin, de fatigue et de frustration. J'ai pleuré devant Hillary Clinton, j'ai pleuré devant Barack Obama, je suis une évangéliste des pleurs", plaisante-elle dans une interview vidéo publiée sur le site Mic.
L'Américaine donne ensuite un conseil à toutes les personnes qui ont déjà ressenti ce besoin de pleurer sur leur lieu de travail mais se sont abstenues. "Ne censurez pas vos passions et vos émotions. Si vous êtes émue aux larmes car vous êtes énervée ou frustrée, ou parce que c'est quelque chose d'important, faites-le", encourage-t-elle.
 
 
Son message a largement été entendu. Sur Twitter, des féministes du site Women in The World ont lancé le hashtag #IveCriedAtWork. De nombreuses femmes y ont répondu. Voici quelques témoignages repérés sur Twitter :
"Pleurer est une émotion comme les autres. C'est une réponse. Et pour certains d'entre nous, c'est presque incontrôlable. C'est à peine un défaut de caractère. Ceux d'entre vous qui ne peuvent pas le supporter peuvent s'en aller. "
 
"Je pleure tout le temps au travail. Quand je suis heureux, frustré, déçu, déçu, fier - c'est un exutoire physique de beaucoup d'émotions. Et parfois, le travail est émotionnel."
 
"Bien sûr, j'ai déjà au travail pleuré de nombreuses fois. Surtout parce que les passionnés peuvent libérer leurs émotions assez rapidement : être vraiment heureux comme être vraiment frustré. La façon dont les autres vont réagir face à vos pleurs (vos collègues/employés) est aussi importante ! "
"C'est le moment pour les femmes"
Ce nouveau mouvement de libéralisation de la parole donne ainsi l'occasion aux femmes de s'exprimer sur une pratique taboue dans les entreprises, qu'il est plus que temps d'abolir. "C'est le moment pour les femmes", affirme Jennifer Palmieri.
À cela, on a envie d'ajouter que c'est aussi "le moment pour les hommes" : en effet, tout le monde devrait pouvoir se sentir libre d'exprimer ses émotions sur son lieu de travail, et ce peu importe qu'on soit un homme ou une femme.
Work Société Manager sa carrière Buzz News essentielles Bien au travail

http://www.terrafemina.com/article/pleurer-au-travail-et-si-on-osait-exprimer-ses-emotions-au-boulot_a342244/1

Voir les commentaires

Vivre ses fantasmes au Love Hôtel,articles femmes hommes,couples,amours,sexes,

21 Mai 2018, 08:53am

Publié par hugo

  Vivre ses fantasmes au Love Hôtel
Sur le modèle des Love Hôtels japonais, un établissement parisien propose de vivre ses fantasmes dans une vingtaine de chambres à thème...
Par la rédaction d'Allodocteurs.fr
Rédigé le 11/05/2018
 
 
Vivre ses fantasmes au Love Hôtel
Adepte de danse bollywood, d’attaques de pirates, d’une immersion au paradis ou en enfer ou d’un trip un peu plus bateau… au Love Hôtel, chacun peut l'ambiance propice à la réalisation ses fantasmes.
« Ca a démarré au Japon il y a une cinquantaine d’années, explique le propriétaire des lieux, Jo Khalifa, et puis ils sont devenus de plus en plus intéressants, amusants. Ici le concept est le même, la location de chambre à l’heure ça permet aux couples déjà de se retrouver dans un endroit qui est dédié à ça, on a pris des thématiques un peu originales pour que le sexe devienne quelque chose de léger ».
La chambre qui connaît le plus grand succès : la chambre sado-maso avec décor et accessoires version " Cinquante nuances de grey ". Pour les spécialistes, explorer ses fantasmes à deux serait propice aux rapprochements, une façon de  raviver la flamme, de retrouver une sexualité plus épanouie…
Voir aussi sur Allodocteurs.fr

https://www.allodocteurs.fr/sexo/vivre-ses-fantasmes-au-love-hotel_24724.html

Voir les commentaires

#RDLS62 : SANCTIONS DES USA, IRAN, ISRAËL, 26 MAI, HOMOPHOBIE, TRANSPHOBIE,racisme

21 Mai 2018, 08:49am

Publié par hugo

RDLS62 : SANCTIONS DES USA, IRAN, ISRAËL, 26 MAI, HOMOPHOBIE, TRANSPHOBIE
46 822 vues
Dans ce 62e numéro de la Revue de la Semaine, Jean-Luc Mélenchon revient sur la journée internationale de lutte contre l’homophobie et la transphobie qui avait lieu le 17 mai 2018. Il parle ensuite des sanctions américaines contre l’Iran et, plus largement, du mécanisme des sanctions américaines dans le monde, expliquant en particulier la notion d’« extraterritorialité ». Il évoque également la violence du gouvernement d’extrême droite en Israël contre les Palestiniens. Enfin, il parle de la marée populaire du 26 mai.
***SOMMAIRE***
00:15 : La journée internationale de lutte contre l’homophobie et la transphobie
04:14 : Le régime des sanctions américaines contre l’Iran, le principe d’extraterritorialité
14:20 : « Multilatéralisme » ou monde ordonné par l’ONU ?
19:07 : Le gouvernement d’extrême droite en Israël violent avec les Palestiniens
19:48 : La marée populaire du 26 mai
***LES LIENS***
- Le replay de L'Emission politique : https://youtu.be/yaYILI3V9VQ
- Le site de la journée internationale de lutte contre l'homophobie et la transphobie : http://www.homophobie.org
- Nucléaire iranien: Donald Trump se retire de l'accord : https://www.lexpress.fr/actualite/mon...
- La BNP Paribas formellement condamnée à une amende record aux Etats-Unis : http://www.lemonde.fr/economie/articl...
- Vlog à Moscou : https://youtu.be/ubIZo9hZsoU
- La Corée du Nord menace d'annuler le sommet entre Kim Jong-un et Donald Trump : http://www.lefigaro.fr/international/...
- Le site marée populaire : https://mareepopulaire.fr
- Pionnier de la libéralisation du rail, Londres renationalise une ligne de trains : http://www.lemonde.fr/economie/articl...
- Air France : le PDG Jean-Marc Janaillac démissionne, désavoué par ses salariés : https://www.huffingtonpost.fr/2018/05...
***RETROUVEZ JEAN-LUC MÉLENCHON SUR***
- Le site de la France insoumise : https://lafranceinsoumise.fr/
- Le blog : http://melenchon.fr
- Facebook : https://www.facebook.com/jlmelenchon/
- Twitter : https://twitter.com/JLMelenchon
- Snapchat : @MelenchonJL
- Instagram : https://www.instagram.com/jlmelenchon/
- Google+ : https://plus.google.com/+jlmelenchon
- Linkedin : http://linkedin.com/in/jlmelenchon
- Periscope : https://www.periscope.tv/JLMelenchon
Si vous souhaitez aider, vous pouvez rejoindre l'équipe qui rédige bénévolement les sous-titres de cette chaîne YouTube en écrivant un mail à l'adresse : traducteurs.insoumis@gmail.com ou en contribuant sur : http://bit.ly/2tsLipD.
Catégorie
Actualités et politique
Licence
Licence YouTube standard
Moins

https://www.youtube.com/watch?v=H7B1__m1eVs

Voir les commentaires

Un mariage hétéro féministe? C'est possible!,femmes,feminisme,couples,amours,

21 Mai 2018, 08:11am

Publié par hugo

 Un mariage hétéro féministe? C'est possible!
Publié le 18 mai 2018 à 2:40
La saison des talons qui s’enfoncent dans l’herbe, des pièces montées qui collent aux dents et des discours embarrassants est arrivée. L’an dernier, 228 000 couples se sont dit oui. Mais comment se passer la bague au doigt en étant féministes convaincu·e·s alors que le mariage véhicule toujours certaines symboliques patriarcales et genrées?   
“La proposition”, DR
“C’est moi qui l’ai demandé en mariage”, raconte en souriant Anna, 28 ans, qui, dans trois mois, épousera Pierre, dans le New Jersey aux États-Unis. Cette Franco-américaine a posé “la question la plus importante de sa vie” à son compagnon il y a un an. Un geste qui, autour d’elle, en a surpris plus d’un·e. Si dans les esprits, une femme peut tout à fait demander son compagnon en mariage, en pratique, c’est souvent l’homme qui pose un genou à terre. “J’en avais envie et je ne voyais pas pourquoi je devais attendre qu’il se décide à me poser la question alors que j’étais sûre de moi”, explique Anna. Et d’ajouter: “Le pire aurait été qu’il demande ma main à mon père. Je trouve cette tradition révoltante. Si je dois me marier, je dois être la seule à dire oui, ou non. Personne n’a à ‘approuver’ quoi que ce soit.” Impatiente à l’idée de s’unir à son compagnon, Anna, “féministe jusqu’au bout des ongles”, a tout de suite annoncé la couleur: “Je garde mon nom. Ce n’est pas parce que je suis persuadée d’aimer Pierre toute ma vie que je n’existe qu’à travers lui, explique-t-elle. Perdre mon nom me donnerait la sensation d’être une pièce rapportée dans la famille de mon mari, de devenir son prolongement.” Comme elle, de plus en plus de femmes tiennent à garder leur nom de naissance, pour raisons professionnelles, administratives ou par simple souci d’égalité. À noter que, depuis 1997, les femmes peuvent d’ailleurs transmettre leur matronyme à leurs enfants.
 
Une institution sexiste
Si aujourd’hui les femmes peuvent garder leur nom de jeune fille et n’ont plus besoin de l’autorisation de leur mari pour travailler ou ouvrir un compte bancaire, comme ce fut le cas jusqu’en 1965, Florence Maillochon, sociologue et directrice de recherche au CNRS, autrice de La passion du mariage, souligne que les codes sexistes sont toujours bien ancrés dans le rituel marital: “Les cérémonies de mariage sont fondées sur la mise en scène de la différence des sexes au niveau visuel –la robe de mariée surpasse en coût et en ampleur le costume du marié, les habits des invitées sont souvent plus spectaculaires que ceux des invités… La mariée est placée au centre de la fête et des regards, appréciée en fonction de ses qualités esthétiques, et non pas individuelles, comme un objet sexuel et non pas une personne.” Un cérémoniel stéréotypé qui explique peut-être le désamour des jeunes face à cette institution. En effet, l’âge moyen des mariés ne cesse de reculer. En 2017, selon l’Insee, il était de 38,1 ans chez les hommes, contre 32,9 ans en 1997. Quant aux femmes, elles convolent aujourd’hui à 35,6 ans contre 30,3 ans il y a vingt ans.
“Il y a une très nette remise en cause du mariage chez les jeunes, confirme Florence Maillochon, en revanche, ceux qui choisissent de se marier ont souvent une position ambivalente par rapport aux rituels. Dans leur discours, il y a une volonté très affirmée de bousculer les codes, de faire un mariage personnalisé, ‘qui leur ressemble’.” Si pour de nombreux couples en résulte une course à l’originalité dans le choix du thème, du lieu ou du dress code, pour d’autres, comme Anna et Pierre, bien décidés à honorer leurs convictions à quelques mois de leur mariage, il s’agit surtout de passer en revue les moindres détails de la cérémonie pour traquer les symboliques sexistes: “En Amérique, le mariage est encore plus codifié qu’en France, les cérémonies sont millimétrées et il y a tout un protocole à respecter à la lettre”, explique Anna qui, en lieu et place des traditionnelles demoiselles d’honneur, aura “des potes d’honneur”. “J’ai deux meilleures amies et un meilleur ami, détaille-t-elle, il aurait été ridicule que, sous prétexte qu’il est un homme, il ne puisse pas être à mes côtés en ce jour si important pour moi.”
 
Des rituels infantilisants
Autre tradition dynamitée: l’escorte de la mariée par son père. Traditionnellement, la mariée est accompagnée jusqu’à l’autel ou au bureau du maire par son père qui, symboliquement, la “remet” à son futur mari. Un rituel infantilisant, qu’Anna et son compagnon ont décidé d’ignorer, préférant une entrée en duo: “Je m’entends très bien avec mon père, on s’adore, mais cette idée qu’il me lègue à mon mari me donne des sueurs froides, confie la future mariée. Et puis, au-delà de la symbolique, ce n’est pas simplement mon jour, c’est notre jour, à nous deux. Je ne vois pas pourquoi je devrais être au centre de tous les regards, arriver comme le clou du spectacle alors que Pierre est relégué au second plan. On se marie ensemble donc on arrive ensemble.”
“La symbolique du virginal est complètement tombée aux oubliettes. Le blanc reste par habitude, mais il ne représente plus la pureté.”
Une initiative novatrice qui peut choquer les couples demeurant attachés aux normes du mariage: “Les personnes qui se marient ne sont pas (en moyenne) les plus innovantes en termes de remise en cause des rapports sociaux de genre, affirme Florence Maillochon. Les études sociologiques montrent qu’ils ont souvent des valeurs plus différentialistes que les pacsés et une proximité plus grande avec la religion par exemple. Globalement, les mariages s’établissent dans des milieux plus traditionalistes que les Pacs.” Ce qui explique pourquoi le vote du Mariage pour tous en 2013, ouvrant l’union aux couples de même sexe, habituellement cantonnés au Pacs, a entraîné une vague de “dégenrification” des cérémonies, comme en témoigne Gwénaëlle Sommier, wedding planneuse pour l’agence Mission Mariage: “Les mariages homosexuels ne sont généralement pas aussi codifiés que les autres puisque le couple même s’oppose à l’imagerie conservatrice du mariage”, indique-t-elle. Et de préciser que les marié·e·s sont aujourd’hui de plus en plus nombreux·ses à twister la tradition pour une approche plus égalitaire du mariage: “Les arrivées en couple sont plus fréquentes, et on a moins tendance à séparer les femmes des hommes, les cortèges sont de plus en plus mixtes. Lors d’une récente cérémonie, c’est le meilleur ami de la mariée qui a tenu son bouquet pendant la cérémonie, se souvient-elle, il y a quelques années la vision d’un homme en costume, planté derrière la mariée, un bouquet à la main, aurait fait glousser.”
Du côté des robes, si le blanc est toujours majoritaire, de plus en plus de femmes osent le rose, le rouge, le noir… “La symbolique du virginal est complètement tombée aux oubliettes. Le blanc reste par habitude, mais il ne représente plus la pureté, confie Gwénaëlle Sommier. Les mariées sont également moins classiques au niveau des coupes, avec des robes mi-longues, voire courtes. L’image de la traîne interminable et du voile n’est plus vraiment d’actualité.” De plus en plus de femmes choisissent d’ailleurs un costume type smocking, blanc ou pas, pour convoler. Mais le vrai changement est, d’après la wedding planneuse, dans l’engagement des futurs maris: “Les hommes s’impliquent de plus en plus dans l’organisation de leur mariage. Il m’est arrivé plusieurs fois de ne traiter qu’avec le futur mari pour choisir le lieu de réception, la décoration, l’ambiance… Les rôles se rééquilibrent vraiment.” Une bonne nouvelle qui permettra peut-être d’en finir avec ce mythe de la bridezilla -contraction de ‘bride’ (Ndlr: ‘mariée’ en français) et de Godzilla-, cette future épouse tellement stressée par les détails de l’organisation de son grand jour qu’elle se transforme en monstrueuse hystérique. Une vision caricaturée et sexiste que les comédies US véhiculent à l’envi, à l’instar de 27 robes ou Meilleures ennemies.
 
Les hommes s’impliquent
Cette nouvelle répartition des rôles est, selon Florence Maillochon, un réel bouleversement tant la planification des noces est supposée être le pré carré de ces dames: “L‘organisation du mariage, et la majeure partie de sa charge mentale, est portée par les femmes; la mariée en premier lieu, sa mère, sa belle-mère et d’éventuelles autres femmes de la famille et de l’entourage. Bien que la préparation du mariage relève davantage du travail de chef d’entreprise ou de chef opérateur que de la cuisinière ou de la femme au foyer, il reste pensé comme un travail domestique qui relèverait des activités féminines.”
Pourtant, lorsque Marc et Clara se sont mariés il y a deux ans, c’est monsieur qui a géré l’organisation de l’événement. “On a toujours tendance à penser que seule la mariée va se concentrer sur l’élaboration du grand jour, que le futur mari n’a pas envie ou autre chose à faire, s’étonne ce comptable de 35 ans, mais je tenais absolument à m’investir, ça me faisait plaisir de peaufiner tous les petits détails qui allaient rendre cette journée parfaite. Clara, elle, n’avait aucune envie de se prendre la tête des heures sur le menu ou le plan de table.” Pour que leur mariage et son organisation restent un bon souvenir pour l’un comme pour l’autre, c’est donc Marc qui s’est attelé, ravi, au choix des chaises et des tentes à installer dans le jardin de la ferme bourguignonne de ses grands-parents, ou à la composition des bouquets. Une décision qu’il ne regrette pas: “Je me suis beaucoup amusé et Clara n’a pas eu à faire semblant de s’intéresser. Je ne vois pas pourquoi, sous prétexte qu’elle est née avec un utérus, elle devrait se passionner pour les pivoines et la couleur des faire-part…”
“Beaucoup de mariés sont maintenant anti-princes et -princesses, d’ailleurs les châteaux n’ont plus trop la cote.”
“Les mariés brisent de plus en plus les codes”, confirme William Lambelet, photographe de mariage, élu photographe de l’année 2018 par la Wedding PhotoJournalist Association. Oubliez les traditionnelles photographies des deux époux devant un arbre avec quelques cygnes en arrière plan: pour ce professionnel, les photos posées sont proscrites. Il photographie la journée façon documentaire, sur le vif. Résultat: des clichés dynamiques, drôles, émouvants et surtout vivants. Un besoin de renouveler le genre que ce photographe ressent également chez ses clients: “Le mariage est une belle institution mais, sur la forme et dans la symbolique, elle est un peu poussiéreuse. Les couples sont nombreux à la réinventer, la désacraliser. Aujourd’hui, avec les cérémonies laïques, on peut imaginer des mariages plus en accord avec les goûts, les passions ou les valeurs, du couple, on invente un nouveau cérémonial qui se détache du protocole habituel pour personnaliser le mariage au maximum.” À l’arrivée, des noces plus modernes, loin de l’imagerie meringue/carrosse d’autrefois. “Beaucoup de mariés sont maintenant anti-princes et -princesses, confie William Lambelet, d’ailleurs les châteaux n’ont plus trop la cote.”
 
Inventer de nouvelles traditions
Cette esthétique conte de fées, longtemps vendue à tour de bras par la presse féminine, Maeve, qui se dit romantique mais féministe avant tout, y est allergique. “J’ai toujours eu envie de me marier, se souvient cette puéricultrice de 34 ans, mais en grandissant et en développant ma conscience féministe, le ‘rêve de princesse’ a évolué en une cérémonie plus égalitaire, moins genrée.” Comme nos deux autres mariées féministes, Maeve a gardé son nom. Pour son enterrement de vie de jeune fille, elle a refusé le pack spa-cocktails-strip-teaser entre filles proposé par l’une de ses cousines, pour organiser à la place une grande fête réunissant ses ami·e·s, tous sexes confondus.
Elle a également dit non à la sacro-sainte bague de fiançailles: “La bague de fiançailles a toujours eu pour but de signifier qu’une femme était prise, non disponible pour les autres hommes, explique-t-elle, pour moi c’est un symbole encore très puissant du patriarcat car seule la femme porte une bague de fiançailles, ce n’est pas comme les alliances qui lient les deux époux. Yann est mon mari, il le restera pour la vie, je l’espère, mais je ne lui appartiens pas. Dire oui à un homme, pour un mariage ou pour autre chose, ce n’est pas lui céder le contrôle sur notre vie ou notre corps. Je n’avais aucune envie d’avoir à mon doigt le rappel physique d’un sexisme que je combats tous les jours. En plus, ça coûte une blinde ces conneries.”
Audrey Renault

http://cheekmagazine.fr/societe/mariage-feministe/

J AiMERAI  BIEN TROUVER MA  MOITIE  OU QU ELLE ME  TROUVE  

et  que elle me  demande  en mariage  

 

 

Voir les commentaires

L’éducation sexuelle simple, illustrée et fun, tadam !,

21 Mai 2018, 07:47am

Publié par hugo

 L’éducation sexuelle simple, illustrée et fun, tadam !
Par QueenCamille | 6 mai 2018 | 2 Commentaires
Expliquer les bases d'une sexualité saine et plaisante, ce n'est pas si compliqué, comme le démontre cette vidéo suédoise hautement qualitative.
Publié le 4 mai 2018
Je n’ai AUCUN souvenir d’avoir eu des cours d’éducation sexuelle.
Peut-être un vague flash de collégiens ricanant en se faisant passer des capotes. Basta.
J’ai dû me renseigner par moi-même et faire nombre d’expériences et de conneries avant de maîtriser ne serait-ce que les bases d’un rapport sexuel sain et plaisant.
En Suède, ils t’expliquent ça dans une vidéo de 3 minutes. Pépouze.
Des vidéos d’éducation sexuelle simplissimes
Ces gens du Nord ne finiront donc jamais de nous faire complexer avec leur pragmatisme.
La RFSU, l’association suédoise pour l’éducation sexuelle, existe depuis 1933.
Sur sa chaîne YouTube, elle relaie 11 vidéos thématiques qui couvrent l’essentiel des questions autour de la sexualité : le sexe de la femme, les IST, l’avortement, la douleur pendant les rapports…
Pas de traduction française dispo, mais ces vidéos sont si simples et illustrées si clairement que les moins anglophones d’entre vous peuvent tout de même s’y pencher.
Voici celle dédiée à la luxure et au plaisir :
Avec des dessins clairs et des mots simples, la vidéo résume en trois minutes tout ce que chacun devrait savoir sur le plaisir sexuel.
Cette série de vidéo est disponible dans 8 langues, dont l’arabe, le turc, le roumain ou encore le kurde.
L’association explique pourquoi elle a tenu à mettre ces traductions à disposition :
« Nous pensons que tout le monde a le droit d’avoir accès à ces informations.
Notre but est que ces films puissent être utilisés par les professionnels de santé, les profs de suédois qui travaillent avec les migrants, ainsi que par tous les professionnels au contact des populations dont le suédois n’est pas la langue maternelle.
Mais nous souhaitons aussi que le plus grand nombre puissent voir nos vidéos sur YouTube, pour que tout ceux qui sont intéressés, dans le besoin ou en manque de connaissance puisse y avoir accès »
Leurs contenus sont en ligne depuis mars 2017, alors pourquoi vous en parler maintenant ?
Car j’ai vu passer un article titré « extrêmement urgent » sur un site d’origine russe aux ramifications internationales.
Le sujet n’a en fait rien d’urgent puisqu’aucun nouvel élément n’est avancé autour des vidéos de 2017.
La nouveauté, c’est de préciser — à tort — que ces vidéos auraient été spécifiquement réalisées à destination des migrants arrivant en Suède.
Des vidéos instrumentalisées par l’extrême droite
En creusant un peu, je découvre que « l’info » a été reprise par des sites d’extrême droite xénophobes qui s’appuient sur cette déformation de la vérité pour faire passer l’idée que les musulmans sont des violeurs. Je vous résume, hein.
Ce qu’explique la RFSU, cité juste au-dessus, c’est que les vidéos ont bien été traduites dans les langues des principales populations immigrées en Suède, pour faciliter leur accès par tous. Effectivement, tous les pays du monde ne procurent pas une éducation sexuelle de cette qualité, et c’est un euphémisme.
Il n’y a rien de stigmatisant à remarquer que dans les pays où la sexualité reste taboue, l’accès à ces informations est complexe, si ce n’est impossible.
Pour autant, je ne me sens pas de fanfaronner sur l’avancée de la France en matière d’éducation sexuelle, pays pourtant laïc et plutôt libéré du slip.
Il n’y a qu’à se remémorer le tollé et des fausses rumeurs propagées en 2014 autour des ABCD de l’Égalité, un projet d’éducation à l’égalité homme-femme à l’école.
Il n’y a qu’à se rappeler qu’une fille de quinze sur quatre ne sait pas qu’elle a un clitoris, d’après cette étude de 2015.
Et il n’y a qu’à voir à quel point mes cours d’éducation sexuelle m’ont marquée… Ce n’était pourtant pas faute de m’intéresser au sujet.
Moi qui ne viens pas du fond de l’Arabie Saoudite (mais du fond de l’Ardèche), je n’ai pas non plus eu accès à des infos claires et pertinentes, telles que ces vidéos suédoises les diffusent.
J’aurais aimé connaître l’anatomie du clitoris avant mes 25 ans… Ou entendre parler de consentement ailleurs qu’au hasard de mes lectures sur madmoiZelle.
Je veux bien donner raison à l’extrême droite xénophobe sur un point : le manque d’éducation sexuelle est un problème.
Quand on n’a pas accès à une éducation sexuelle de qualité, on prend le risque de développer certaines lacunes en termes de respect de soi et des autres.
Mais il s’agit bien d’un enjeu pédagogique, pas d’une question d’origine ethnique ou religieuse.
Là où l’extrême droite xénophobe a tort, c’est que la solution ne consiste pas à renvoyer les migrants dans leur pays, mais bien à dispenser une véritable éducation sexuelle, et ce dès le plus jeune âge.
Un raisonnement qui est aussi valable en France. Alors, qu’est-ce qui nous empêche encore d’avoir une éducation sexuelle de qualité ?
Et vous, vous auriez aimé voir ce genre de contenus dans vos cours d’éducation sexuelle ? Vous les profs qui nous lisent, est-ce que vous utiliseriez ce genre de support avec vos élèves ?
À lire aussi : Nikita Bellucci, l’actrice porno qui en a « marre d’éduquer vos gosses », porte plainte
Tous les articles Dans l'air du temps Sexe Société
Les autres papiers parlant deÉducation sexuelleSuède

http://www.madmoizelle.com/education-sexuelle-suede-917381

Voir les commentaires

La lessive, la tâche ménagère la plus féminine ?,articles femmes hommes,couples,

19 Mai 2018, 07:30am

Publié par hugo

 La lessive, la tâche ménagère la plus féminine ?
VIE DE COUPLE
Depuis mai 1968, les inégalités hommes/femmes s’amenuisent en ce qui concerne la répartition des tâches ménagères. Deux d’entre elles semblent faire de la résistance : la lessive et le bricolage.
18 mai 09:00 - Julie BERNICHAN
Avec
Le ménage n’est plus qu’une affaire de femmes ! Une étude IPSOS-Omnicom pour Ariel*, "Les Français et le partage des tâches ménagères : où en sommes-nous en 2018 ?" , révèle que leur répartition n’est plus vraiment un problème au sein du foyer pour 55% des Français. La raison : les hommes s’investissent davantage dans les tâches ménagères depuis une cinquantaine d’années.
83% des femmes s’occupent toujours de la lessive
Mais l’égalité des sexes est encore loin d’être parfaite ! En 2018, certaines tâches comme le linge symbolisent encore très clairement cette inégalité au sein des couples français. 83% des femmes interrogées disent s’occuper de trier le linge et lancer une lessive, contre seulement 21% des hommes. De même pour le repassage : 81% des femmes s’en chargent contre 20% de la gent masculine. Inversement, les hommes se chargent plus volontiers de bricoler (71% contre 11% des femmes) et de sortir les poubelles (55% contre 21%).
Les raisons de l’inégalité
Outre un plus grand investissement des hommes dans les tâches du quotidien, la tendance à l’égalité s’explique aussi par l’investissement professionnel de ces dames et par leur lâcher-prise. Elles sont en effet de plus en plus nombreuses à déléguer. Sauf quand il s’agit du linge. C’est la tâche qu’elles auraient le plus de mal à confier aveuglément. Dans l’étude, une très grande majorité de femmes en couple (70%) ne considèrent pas que le repassage, le tri du linge ou le lancement d’une lessive soit bien fait ou fait de manière satisfaisante par leur conjoint. En revanche, elles leur font davantage confiance pour s’occuper des enfants, par exemple.
Près de quatre Français sur dix pensent aussi que si les femmes s’impliquent davantage dans certaines tâches, c’est parce qu’elles y trouveraient une satisfaction personnelle et/ou auraient plus de dispositions naturelles pour les tâches ménagères. Inversement, 46% d’entre eux estiment que les hommes ont plus d’aptitudes pour le bricolage.
La volonté d’être un meilleur modèle pour ses enfants
Aujourd’hui, 79% des Français pensent que les parents arrivent à davantage transmettre à leurs enfants le modèle d’une meilleure répartition des tâches qu’avant et 83% estiment que les parents veulent donner l’exemple avec une répartition des tâches équilibrées. Les hommes en couple semblent d’ailleurs être particulièrement attentifs à cette transmission, ce qui les incite à s’investir d’autant plus. 
 "96% des gens pensent qu’un homme qui fait la lessive est un bon exemple pour ses enfants, montrant par là qu’ils espèrent que la génération suivante fera mieux, analyse le sociologue Jean-Claude Kaufmann. Mais ils préfèrent s’accommoder de l’inégalité raisonnable qu’ils ont mis au point tant cela leur parait compliqué de révolutionner leur quotidien. » Le spécialiste illustre son propos : "Moins d’une femme sur trois laisserait faire la lessive à son homme en toute confiance, la majorité le surveillerait ou repasserait derrière. Mieux vaut qu’il fasse ce qu’il sait faire, il se débrouille très bien d’ailleurs pour sortir la poubelle (les femmes leur font totale confiance pour cela à 92%). Mais entre la poubelle d’un côté (deux minutes) et le linge de l’autre, nous sommes encore loin de l’égalité !" Alors messieurs, prêts à lancer des lessives plus souvent pour faire comprendre à votre petite fille (ou même à votre petit garçon ) que ce n’est pas seulement une tâche 100% féminine ?
*Etude Ipsos-Omnicom "Les Français et la répartition des tâches : Où en sommes-nous en 2018 » pour P&G Ariel du 18 avril 2018. Enquête réalisée en ligne du 11 au 16 avril 2018 auprès de 1.008 personnes de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas

https://www.lci.fr/societe/la-lessive-la-tache-menagere-la-plus-feminine-2087435.html

MOI  CE  QUE JE DIS  PAR  RAPPORT   A  CELA  , c est que  si  l  homme ou la  femme  rentre plutôt   c ets a celui  qui rentre le plus tot   qui  s occupe  de la maison  ,  

MON BEAU PERE  PAR  EXEMPLE NE POUVAIT  PAS   S OCCUPER  DE LA MAISON CAR  C ETAIT    TOUT  LES JOUR  DE  LUNDI A  VENDREDI  6 H  POUR  SE LEVER  ET  19H30  A LA MAISON , 

ENTRE LES DEUX  TRANSPORT  EN COMMUN ET  BOULOT  

PARIS  PROVINS TOUT LES JOURS   DONC COMEMTN FAIRE ????

 

Voir les commentaires