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De plus en plus d’hommes ont recours à la vasectomie, une opération de moins en moins taboue

17 Février 2024, 05:47am

Publié par hugo 🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️

 De plus en plus d’hommes ont recours à la vasectomie, une opération de moins en moins taboue

Santé : davantage d hommes se tournent vers la vasectomie
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08 févr. 2024 à 17:19

Temps de lecture2 min
Par Virginie Gonçalves sur base d'un sujet de Sophie Mergen avec Belga
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Les opérations de vasectomie ont fortement augmenté ces dernières années, comme le rapporte Le Soir ce jeudi. C’est le cas de Romain, qui, comme beaucoup d’hommes, a décidé de franchir le pas afin que la contraception ne repose plus uniquement sur sa compagne.

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La stérilisation masculine consiste à couper et bloquer les canaux déférents qui transportent les spermatozoïdes à partir des testicules. Une opération de mieux en mieux connue du grand public et de moins en moins taboue.

Si l’on en croit les chiffres de l’Inami : entre 2012 et 2022, le nombre d’hommes ayant subi une vasectomie a doublé et en 2022, les opérations ont bondi de 27% par rapport à 2021. La tranche d’âge des 35-39 ans est la plus concernée et représente un tiers des 15.260 vasectomies réalisées en 2022.


https://www.rtbf.be/article/de-plus-en-plus-dhommes-ont-recours-a-la-vasectomie-une-operation-de-moins-en-moins-taboue-11326176
 

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Violences faites aux femmes : Parlement européen et États membres s'accordent sur la nouvelle directive... mais le viol n'en fait pas partie

17 Février 2024, 05:44am

Publié par hugo 🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️

 Violences faites aux femmes : Parlement européen et États membres s'accordent sur la nouvelle directive... mais le viol n'en fait pas partie

Violence faites aux femmes : nouvelle directive européenne (S. Calderon - LP 07/02/24)
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07 févr. 2024 à 16:26

Temps de lecture1 min
Par Ljiljana Dukic sur un sujet de Sandro Calderon

La Première
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Le Parlement européen et les États membres sont parvenus à un accord sur une future directive sur les violences faites aux femmes, une première du genre au niveau européen. Le texte constitue une avancée importante mais laisse un sentiment de travail inachevé. Le viol n’a pas été inclus dans le texte, en effet, la définition juridique du viol ayant divisé les États membres.

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Accord sur tout sauf sur la notion de viol
Comment définir la notion de viol ? Dans la version originale de la législation, la définition du viol était fondée sur "l’absence de consentement". Elle a été validée par la Commission européenne, le Parlement européen et une douzaine de pays membres, dont la Belgique. Par contre, d’autres pays s’y sont opposés pour des raisons juridiques.

C’est le cas de la France qui estime que l’Union européenne n’est pas compétente pour criminaliser le viol, mais bien les États membres. Pour autant, si le viol n’est pas inclus dans le texte, les États membres devront mener des campagnes de sensibilisation du viol en insistant bien sur la notion de "consentement".

Malgré cette absence, la future législation européenne est considérée comme une avancée majeure pour les femmes victimes de violence. Ainsi, toute une série de violences deviennent des infractions pénales : mutations génitales, mariage et stérilisation forcés, partage non consenti d’images intimes, cyberharcèlement, incitation à la haine ou à la violence en ligne. Il est également prévu un meilleur accès des victimes à la justice qui devront bénéficier d’une protection appropriée.

Le Parlement et le Conseil européens devront approuver formellement l’accord ainsi trouvé. Les nouvelles règles entreront en vigueur vingt jours après leur publication au Journal officiel de l’UE, et les États membres disposent de trois ans pour mettre en œuvre les dispositions.


https://www.rtbf.be/article/violences-faites-aux-femmes-parlement-europeen-et-etats-membres-s-accordent-sur-la-nouvelle-directive-mais-le-viol-n-en-fait-pas-partie-11325798

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"Projet Lawyer Victim Assistance" : quand des avocat·es s’engagent pour mieux répondre aux besoins des victimes

17 Février 2024, 05:39am

Publié par hugo 🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️

 "Projet Lawyer Victim Assistance" : quand des avocat·es s’engagent pour mieux répondre aux besoins des victimes

© Tous droits réservés

06 févr. 2024 à 20:11

Temps de lecture7 min
Par Anaïs Du Champs pour Les Grenades
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Le projet-pilote Lawyer Victim Assistance (LVA) a récemment vu le jour à Bruxelles. Ce projet se présente comme une initiative novatrice dans la lutte contre les violences sexuelles et intrafamiliales.

Il a été initié en novembre 2023 grâce à une collaboration entre le parquet de Bruxelles, la zone de police Bruxelles-Capitale/Ixelles et l’Institut pour l’égalité des femmes et des hommes (IEFH). Ils bénéficient également du soutien du ministre de la Justice, Paul Van Tigchelt, et de la Secrétaire d’État à l’Égalité des Genres, Marie-Colline Leroy.

L’objectif principal de ce programme est d’améliorer la disponibilité de l’assistance juridique pour les victimes de violences sexuelles et intrafamiliales tout en les informant de manière plus complète sur leurs droits.

Les chiffres précis manquent sur les violences faites aux femmes en Belgique, mais plus de 4500 cas de violence intrafamiliale ont été dénombrés rien qu’en Région bruxelloise en 2021.

D’après le collectif StopFeminicide, qui répertorie tous les cas de féminicides dans notre pays, le nombre de femmes tuées par leur conjoint ou ex-conjoint s’élevait à 26 en 2023. Depuis le début de l’année 2024, on compte déjà au moins deux féminicides. Chaque féminicide est précédé de violences spécifiques, ce sont ces violences que ce projet incite à mieux prendre en compte.

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Comme l’explique Marie-Colline Leroy, secrétaire d’État à l’Égalité des Genres, en ce début d’année : "Chaque victime de violences sexuelles et intrafamiliales est une victime de trop. Le projet 'Lawyer Victim Assistance' s’inscrit pleinement dans la volonté du gouvernement fédéral d’adopter une stratégie coordonnée face aux violences sexuelles et intrafamiliales."

►►► Retrouvez en cliquant ici tous les articles des Grenades, le média de la RTBF qui dégoupille l’actualité d’un point de vue féministe

Une approche novatrice
Le cœur du projet réside dans l’accès plus facile des victimes à une première consultation juridique gratuite. Caroline Poiré, avocate co-fondatrice du projet, souligne que cette approche novatrice permet aux victimes de franchir plus facilement le pas, en éliminant la charge liée à la recherche d’un·e avocat·e.

Une liste d’avocat et d’avocates formé·es à la prise en charge des victimes de violences sexuelles et intrafamiliales constitue l’outil principal du projet. Ces avocat·es auront tous et toutes suivi la formation du programme. Celle-ci est disponible sur le site du barreau de Bruxelles et compte à ce jour 40 avocat·es.

Les victimes peuvent également accéder à la liste par le biais des enquêteurs, des services de police, des centres CPVS ainsi qu’auprès de 18 associations telles que SOS Viol, SOS Inceste, ou l’association Mediante.

Ces derniers et dernières remettent aux victimes une carte sur laquelle se trouve un QR code ramenant vers l’explication détaillée du projet, un numéro de téléphone ainsi qu’une adresse mail pour contacter directement les avocat·es de permanence. Pour bénéficier du projet, la victime ne doit pas obligatoirement résider en Région bruxelloise.

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Formation des avocat·es
Au sein du projet, des formations sont donc prévues pour les avocat·es. La première caractéristique des formations est sa nature multidisciplinaire, comme l’explique l’avocate Pascale Poncin : " Il y a des orateur·rices de tous bords, des avocat·es qui viennent partager leurs expériences dans certaines matières, et qui expliquent les premiers réflexes à avoir lorsqu’on est face à une victime de violences sexuelles et intrafamiliales."

Cette formation a remis en question mon attitude lorsque j’accueille une personne victime de violences sexuelles et intrafamiliales. Je ne pose plus les mêmes questions

Cette diversité d’intervenant·es comprend des psychologues, des infirmières du centre de prise en charge de victimes de violences sexuelles (CPVS), des scientifiques de l’INCC (Institut National de Criminalistique et de Criminologie), ainsi que des associations comme SOS Viols, Praxis ou encore Mediante qui enrichissent la formation d’une variété de perspectives.

La formation aborde d’ailleurs des thématiques qui demeurent encore actuellement assez peu traitées, comme la sensibilisation et la responsabilisation des auteurs de violences conjugales et sexuelles. Un séminaire donné par l’association Praxis clôture les 4 jours de formations donnés aux avocat·es. Avec l’aide de cette conférence, les avocat·es comprennent l’importance pour les auteurs de violences de reconnaitre leurs actes afin de prévenir la récidive.

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Maître Poncin souligne que cette formation se déroule sur base volontaire et qu’à l’issue de celle-ci le choix de s’inscrire sur la liste des permanences juridiques gratuites n’est pas obligatoire. A ce jour on compte près de 100 avocat·es formé·es et 40 d’entre elleux ont accepté de participer au projet-pilote en s’inscrivant sur la liste de permanence afin de donner des consultations juridiques gratuites.

Au-delà des aspects juridiques, la formation LVA vise à sensibiliser les avocat·es et à les amener à adopter des points de vue plus humains et psychologiques. L’avocate Pascale Poncin explique : "Il y a des formations qui traitent du vécu où des victimes viennent expliquer leur parcours, leurs expériences avec la justice et le corps médical." Cette approche holistique permet aux avocat·es et avocates de développer une compréhension approfondie des traumatismes subis par les victimes.

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L’avocate Pascale Poncin souligne le changement que la formation a apporté dans sa pratique : "Pour moi, cette formation a remis en question mon attitude lorsque j’accueille une personne victime de violences sexuelles et intrafamiliales. Je ne pose plus les mêmes questions, je veille à faire attention à ce que la personne souhaite et non pas tout de suite être dans l’idée d’une solution juridique."

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Grâce à la diversité des associations présentées lors de la formation, les avocat·es peuvent rediriger les victimes qui ne souhaitent pas directement entamer une procédure juridique vers d’autres pistes. Maître Poncin explique qu’avoir plusieurs cordes à son arc est un outil précieux car il arrive qu’après un parcours de soutiens thérapeutique ou médical, une victime revienne vers elle et explique se sentir prête à entamer une procédure juridique.

Le parcours des victimes
Lorsqu’une victime décide de porter plainte, généralement en se rendant dans un centre de Prise en charge des victimes de violences sexuelles (CPVS) ou dans un poste de police, elle se voit remettre une carte informative du projet LVA. Cette carte, équipée d’un QR code et d’un numéro de téléphone, représente la première porte d’entrée vers un soutien juridique spécialisé.

Si la victime appelle ce numéro, elle est accueillie par une personne spécialisée qui, dans les 48 heures, lui attribue un·e avocat·e de permanence qui la recontactera. Un agenda a été établi selon lequel 4 à 5 avocats sont de permanence par semaine pour assister les victimes.

Un contact est rapidement établi entre l’avocat·e et la victime, créant ainsi un lien essentiel dans le processus. Cette étape est cruciale pour instaurer la confiance et comprendre les besoins spécifiques de la victime.

Dans les 8 jours après le premier contact, un rendez-vous est fixé entre l’avocat·e et la victime. Ce délai court souligne l’engagement du projet à agir rapidement pour répondre aux préoccupations de la victime.

En fonction des échanges et des souhaits exprimés par la victime, l’avocat·e peut adapter son accompagnement. Les options incluent l’accompagnement lors des auditions, l’initiation d’une procédure judiciaire, ou encore l’orientation de la victime vers d’autres associations spécialisées. La flexibilité de ces options permet d’ajuster le parcours en fonction des choix personnels, des besoins et des désirs de chaque victime.

Un projet aligné avec la loi Stop Féminicides
Le projet LVA s’inscrit dans la logique de la loi Stop Féminicides mis en place en Belgique en juillet 2023, une loi qui vise à mettre en place des dispositifs de prévention et de lutte contre les féminicides, les homicides fondés sur le genre et les violences. Marie-Colline Leroy précise le soutien gouvernemental au projet : "Le gouvernement a soutenu financièrement ce dispositif en ce qui concerne la formation, l’évaluation, ainsi que les outils de communication pour les victimes."

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Bien que le projet Lawyer Victim Assistance soit encore à ses débuts, il représente une avancée significative dans la prise en charge des victimes de violences sexuelles et intrafamiliales en Belgique.

Alors qu’il ne s’agit encore que d’un projet-pilote, il offre, selon les premiers retours, déjà un soutien essentiel aux victimes tout en renforçant la collaboration entre la Justice et les associations. Sur le modèle du projet bruxellois, le gouvernement fédéral envisage de soutenir prochainement des projets similaires en Flandre et en Wallonie.

Une évaluation externe et les enseignements généraux tirés de ce projet-pilote pourront servir de référence aux divers barreaux de Belgique, dont plusieurs ont déjà exprimé leur intérêt pour cette approche.

Si vous ou quelqu’un·e de votre entourage ressentez le besoin de faire appel à l’assistance juridique du projet Lawyer Victim Assistance, contactez le numéro 04 78 11 54 88 ou envoyez un e-mail à LVA@barreaudebruxelles.be

Cet article a été écrit lors d’un stage au sein de la rédaction des Grenades.

Si vous souhaitez contacter l’équipe des Grenades, vous pouvez envoyer un mail à lesgrenades@rtbf.be.

Les Grenades-RTBF est un projet soutenu par la Fédération Wallonie-Bruxelles qui propose des contenus d’actualité sous un prisme genre et féministe. Le projet a pour ambition de donner plus de voix aux femmes, sous-représentées dans les médias.


https://www.rtbf.be/article/projet-lawyer-victim-assistance-quand-des-avocates-sengagent-pour-mieux-repondre-aux-besoins-des-victimes-11325464

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Congé menstruel : arrêt maladie, télétravail… tout savoir sur la proposition de loi examinée par le Sénat

17 Février 2024, 05:33am

Publié par hugo 🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️

 Congé menstruel : arrêt maladie, télétravail… tout savoir sur la proposition de loi examinée par le Sénat
Christelle Murhula
 Publié le 15 février 2024 à 16h16
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MADMOIZELLE  SOCIÉTÉ  SANTÉ
Ce jeudi 15 février, la sénatrice socialiste Hélène Conway-Mouret va défendre une proposition de loi déposée en avril 2023 pour instaurer un congé menstruel.
« On ne peut plus continuer à demander aux femmes de gérer seule, sans accompagnement ni prise de conscience, ce phénomène chronique. Il y a une réponse à apporter », a déclaré auprès de l’Agence France Presse la sénatrice socialiste Hélène Conway-Mouret. Ce jeudi 15 février, elle va défendre au Sénat une proposition de loi en faveur de la mise en place d’un congé menstruel, et à l’inscrire dans le Code du Travail.

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À lire aussi : Quelle est la meilleure culotte menstruelle ? Notre guide pour bien choisir

Deux jours d’arrêts par mois sans jour de carence
Ce texte, déposé en avril 2023, prévoit de mettre en place un système de télétravail pour les femmes souffrant de « dysménorrhée, dont l’endométriose ». Il souhaite également la création d’un arrêt de travail spécifique, d’une durée ne pouvant excéder deux jours par mois, soit 13 jours par an.

À lire aussi : Avec celles qui tentent le congé menstruel en France, et le démocratiseront peut-être un jour

En vidéo En intervention avec Amélie, la Serrurière de Paris

Cet arrêt s’appliquerait sans jour de carence et pourrait être mobilisé par toute personne bénéficiant d’une « prescription d’arrêt de travail » délivrée par un médecin ou une sage-femme. Il serait remboursé à 100%.

Facteur d’inégalité
« Les douleurs ont un impact négatif sur la qualité de leur travail. Cela peut devenir un facteur d’inégalité avec des femmes qui peuvent être pénalisées au moment d’une promotion. Parce qu’on va se dire ‘pas elle, pas au top tout le temps », a fait remarquer Hélène Conway-Mouret à nos confrères du Parisien.

Si le texte est adopté, il permettrait aux femmes d’être « plus épanouies au travail, moins handicapées et donc moins pénalisées dans leurs évolutions professionnelles », estime la sénatrice auprès de l’AFP.

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En réalité, le congé menstruel s’installe doucement en France, via des entreprises et administrations qui l’ont déjà mis en place sous certaines conditions, comme la municipalité de Saint-Ouen, ou encore plus récemment le département de Seine-Saint-Denis.

Selon un sondage Ifop, 66% des Françaises sont favorables à l’instauration d’un congé menstruel.

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JUSTICE Stanislas : un ex-cadre mis en examen pour « viol sur mineur »

17 Février 2024, 05:29am

Publié par hugo 🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️

 Source : Wikimedia Commons
JUSTICE
Stanislas : un ex-cadre mis en examen pour « viol sur mineur »
Charlotte Arce
 Publié le 15 février 2024 à 12h17
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MADMOIZELLE  SOCIÉTÉ  JUSTICE
Selon Franceinfo, les faits se sont produits en 2001 dans un autre établissement privé, situé dans le Val-d’Oise.
Une nouvelle affaire vient entacher la réputation de Stanislas, l’établissement privé conservateur où sont scolarisés les enfants de l’ancienne ministre de l’Éducation nationale Amélie Oudéa-Castéra.

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Selon Franceinfo, Olivier P., qui a exercé la fonction de cadre éducatif jusqu’en 2018 dans l’établissement catholique parisien, a été mis en examen pour viol sur mineur. Les faits remontent à 2001, alors qu’il était en poste dans un autre établissement privé, le collège-lycée Saint-Martin de France, situé à Pontoise (Val-d’Oise). Olivier P. a été placé sous contrôle judiciaire et l’enquête a été confiée au parquet de Valenciennes.

Actes de violence et consultation de sites pédopornographiques
Joint par téléphone par Franceinfo, Olivier P. nie l’accusation de viol et se dit « humilié et effondré ». De graves accusations, émanant cette fois-ci de Stanislas, qui l’a employé de 2013 à 2018, pèsent pourtant déjà à son encontre. Alors qu’il y était directeur de l’internat des étudiants des classes préparatoires à Stanislas et professeur de musique, l’homme a été renvoyé pour faute grave, « en raison de consultation répétée de sites internet à caractère pédopornographique avec le matériel informatique professionnel ». Les parents de l’établissement n’ont été informés qu’en 2021 des raisons de son licenciement, après que d’anciens élèves ont fini par découvrir les accusations pesant sur Olivier P. Une « une adresse mail de signalement en lien avec le parquet des mineurs », ainsi qu’une cellule d’écoute psychologique « pour faciliter la remontée d’informations » ont été mis en place dans la foulée.

En vidéo Le stealthing, le point du mari, la zone grise : que signifient ces mots du Q ?

Veuillez fermer la vidéo flottante pour reprendre la lecture ici.

Outre la consultation de sites pédopornographiques, qu’il dément, Olivier P. est aussi poursuivi pour des faits de violences volontaires commises contre des élèves des classes préparatoires de Stanislas. Toujours selon Franceinfo, ces derniers auraient dénoncé des « pratiques humiliantes, intrusives et violentes de sa part », comme des coups de poings et des étranglements. L’homme dément tout acte de violence.

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IVG : le Sénat « pas défavorable » à son inscription dans la Constitution

17 Février 2024, 05:28am

Publié par hugo 🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️

 IVG : le Sénat « pas défavorable » à son inscription dans la Constitution
Christelle Murhula
 Publié le 15 février 2024 à 11h37
  1
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MADMOIZELLE  SOCIÉTÉ  ACTUALITÉS  ACTUALITÉS FRANCE
Malgré des réserves de députés de droite, un premier feu vert a été donné par la commission des lois du Sénat. Il débattra de la révision constitutionnelle le 28 février.
Une étape clé en faveur de l’inscription de l’IVG dans la Constitution. Ce mercredi 14 février, la commission des lois du Sénat a décidé de « ne pas s’opposer à la constitutionnalisation de la liberté de recourir à l’interruption volontaire de grossesse », a précisé auprès de l’Agence France Presse la sénatrice Agnès Canayer, rapporteure du texte.

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Des sénateurs inquiets pour la clause de conscience des médecins
Néanmoins, le Sénat semble rester mitigé : « À cette étape-là, nous ne sommes pas défavorables, mais la rédaction proposée a encore un certain nombre d’irritants et nous aurons le débat en séance », a-t-elle ajouté. Car la notion de « liberté garantie » est une formulation qui va plus loin que celle votée par le Sénat en 2023, qui se limitait à consacrer une « liberté ».

En vidéo En intervention avec Amélie, la Serrurière de Paris

Veuillez fermer la vidéo flottante pour reprendre la lecture ici.

Ainsi, plusieurs sénateurs situés à droite s’inquiètent d’une remise en cause de la clause de conscience des médecins. Selon l’AFP, certains réfléchiraient, par exemple, à l’opportunité de l’inscrire également dans la Constitution.

À lire aussi : IVG dans la Constitution : que contient le projet de loi présenté en Conseil des ministres ?

IVG : rendez-vous le 28 février
Le Sénat, dominé par la droite et le centre, débattra de la constitutionnalisation de l’IVG le 28 février prochain. Si le texte a largement été adopté par l’Assemblée nationale, il doit être validé dans les exactement les mêmes termes par le Sénat afin d’être présenté au Congrès, réunissant les députés et les sénateurs. Pour être définitivement validé, il doit être voté par les trois cinquièmes de ces élus.

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Jean-Michel Maulpoix, prix Goncourt de la poésie 2022, a été condamné pour violences conjugales

17 Février 2024, 05:25am

Publié par hugo 🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️

 Jean-Michel Maulpoix, prix Goncourt de la poésie 2022, a été condamné pour violences conjugales
Christelle Murhula
 Publié le 14 février 2024 à 16h48
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MADMOIZELLE  SOCIÉTÉ  JUSTICE
Le tribunal correctionnel de Strasbourg a condamné Jean-Michel Maulpoix à 18 mois de prison avec sursis pour violences sur son épouse. Cette dernière, également poursuivie, a été relaxée.
Jean-Michel Maulpoix, prix Goncourt de la poésie en 2022, a été condamné mardi 13 février à 18 mois de prison avec sursis pour violences conjugales sur son épouse, a révélé l’Agence France Presse le lendemain.

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Son épouse était également poursuivie, mais a été relaxée. « Nous avons eu une attitude complètement différente, moi j’ai reconnu ma culpabilité, et mon épouse a refusé de reconnaître la sienne », a indiqué à l’AFP l’homme de 71 ans.

Son épouse a été relaxée au motif de « légitime défense »
Les faits portaient sur plusieurs épisodes de violence, qui ont eu lieu janvier 2020 à août 2023. Le poète les décrit comme des « rixes régulières », dont plusieurs enregistrements audios et vidéos ont été diffusés à l’audience. Néanmoins, plusieurs témoins proches du couple affirme que les violences ont débuté bien avant cette période.

En vidéo Le stealthing, le point du mari, la zone grise : que signifient ces mots du Q ?

Veuillez fermer la vidéo flottante pour reprendre la lecture ici.

Concernant la relaxe de son épouse, Jean-Michel Maulpoix estime qu’il « y avait pourtant plusieurs témoignages convergents, notamment de nos deux enfants, qui disaient sans ambiguïté que ces violences étaient réciproques », a-t-il déclaré à l’Agence France Presse.

Pour Annabelle Macé, l’avocate de de son épouse, cette dernière n’a infligé que des « blessures de défense » lors des violences. Elle a été relaxée au motif de la « légitime défense ». Le couple, qui a deux enfants de 14 et 17 ans, est actuellement en instance de divorce.

Violences conjugales : les ressources
Si vous ou quelqu’un que vous connaissez est victime de violences conjugales, ou si vous voulez tout simplement vous informer davantage sur le sujet :

Le 3919 et le site gouvernemental Arrêtons les violences
Notre article pratique Mon copain m’a frappée : comment réagir, que faire quand on est victime de violences dans son couple ?
L’association En avant toute(s) et son tchat d’aide disponible sur Comment on s’aime ?
Et si le film que vous alliez voir ce soir était une bouse ? Chaque semaine, Kalindi Ramphul vous offre son avis sur LE film à voir (ou pas) dans l’émission Le seul avis qui compte.


https://www.madmoizelle.com/jean-michel-maulpoix-prix-goncourt-de-la-poesie-2022-a-ete-condamne-pour-violences-conjugales-1622525

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Accusations de viol : Gérald Darmanin définitivement mis hors de cause par la Cour de cassation

17 Février 2024, 05:22am

Publié par hugo 🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️

 Gérald Darmanin
JUSTICE
Accusations de viol : Gérald Darmanin définitivement mis hors de cause par la Cour de cassation
Charlotte Arce
 Publié le 14 février 2024 à 14h43
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MADMOIZELLE  SOCIÉTÉ  JUSTICE
La Cour de cassation a validé le non-lieu rendu en faveur de Gérald Darmanin par la cour d’appel. Il était accusé de viol par Sophie Patterson-Spatz.
C’en est terminé des recours possibles pour Sophie Patterson-Spatz à l’encontre de Gérald Darmanin.

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Ce mercredi 14 février, la Cour de cassation a confirmé le non-lieu, rendu en janvier 2023 en faveur de l’actuel ministre de l’Intérieur, par la cour d’appel. Lors de l’audience, non publique, qui s’est tenue le 17 janvier dernier, le rapporteur et l’avocat général avaient tous deux conclu au rejet du pourvoi en cassation déposé par Sophie Patterson-Spatz. Gérald Darmanin est donc définitivement mis hors de cause.

Une relation « ni libre, ni consentie » selon la plaignante
Depuis le printemps 2017, cette femme de 52 ans accuse l’actuel ministre de l’avoir violée. Les faits remontent à 2009, lorsque Gérald Darmanin, alors chargé de mission au service des affaires juridiques de l’UMP, aurait fait miroiter à Sophie Patterson-Spatz son aide pour faire réviser une condamnation à l’encontre d’un ex-compagnon en échange de faveurs sexuelles.

Si tous deux reconnaissent avoir eu une relation sexuelle, Gérald Darmanin affirme que celle-ci était consentie, tandis que Sophie Patterson-Spatz a fait savoir par la voix de son avocate qu’il s’agissait d’un « viol surprise » et d’un rapport sexuel « extorqué », « ni libre, ni consenti ».

En février 2021, Gérald Darmanin avait déclaré que ces dénonciations étaient « calomnieuses  » et qu’il avait « cédé aux charmes » d’une plaignante « entreprenante ».

Écoutez Laisse-moi kiffer, le podcast de recommandations culturelles de Madmoizelle.


https://www.madmoizelle.com/accusations-de-viol-gerald-darmanin-definitivement-mis-hors-de-cause-par-la-cour-de-cassation-1622671

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En Russie, l’Église orthodoxe veut interdire la Saint-Valentin

17 Février 2024, 05:20am

Publié par hugo 🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️

 En Russie, l’Église orthodoxe veut interdire la Saint-Valentin
Christelle Murhula
 Publié le 14 février 2024 à 13h13
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MADMOIZELLE  SOCIÉTÉ  ACTUALITÉS  ACTUALITÉS MONDIALES
Jugée « trop occidentale », la Saint-Valentin est désormais dans le collimateur de l’église et du pouvoir russes, qui demandent son interdiction.
Trop « décadente » la Saint-Valentin ? C’est en tout cas l’avis de l’Église orthodoxe russe. Puisqu’elle a officiellement réprouvé la fête des amoureux, qui a été introduite récemment en Russie, après la fin de l’URSS, au début des années 2000 rapporte franceinfo.

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Selon l’Église, la Saint-Valentin est une « propagande » de « l’idéologie LGBT »
En effet, la Saint-Valentin est jugée trop occidentale, et porterait trop des valeurs de l’amour libre. À tel point que la Russie a créé sa propre fête, la journée de la famille de l’amour et de la fidélité, qui a lieu le 8 juillet.

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Mais alors que le pays est de plus en plus conservateur, le 16e patriarche de l’Église orthodoxe russe Kirill demande maintenant son interdiction. « Dieu merci, la propagande et l’idéologie LGBT ont été interdites par la loi dans notre pays, se félicite-t-il. Cependant, il est important d’aller plus loin », a-t-il déclaré.

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Mais il n’y a pas que l’Église qui demande son interdiction. Un député de la Douma a également demandé que l’évocation de la Saint-Valentin soit interdite dans les écoles et les administrations. Résultat, si la Saint-Valentin est toujours fêtée en Russie, elle l’est assez discrètement, les restaurants ou encore magasins évitant d’écrire « Saint-Valentin » sur leurs vitrines, rapporte encore franceinfo.

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Judith Godrèche // Source : Médiapart SOCIÉTÉ Judith Godrèche lance un appel à témoignages sur Instagram pour les victimes de violences sexuelles

17 Février 2024, 05:01am

Publié par hugo 🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️

 Judith Godrèche // Source : Médiapart
SOCIÉTÉ
Judith Godrèche lance un appel à témoignages sur Instagram pour les victimes de violences sexuelles
Maya Boukella
 Publié le 14 février 2024 à 11h46
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MADMOIZELLE  SOCIÉTÉ
« Je suis là ». Avec une boîte e-mail dont elle s’engage à lire tous les messages, Judith Godrèche a invité les personnes victimes de violences sexistes et sexuelles à témoigner auprès d’elle. Moins de trois jours après le lancement de cet appel, la réalisatrice et comédienne de 51 ans a confié à Mediapart avoir reçu les messages de nombreuses victimes.
Le cinéma français n’en a pas terminé avec #MeToo. Quelques jours après avoir porté plainte pour viol contre les réalisateurs Benoit Jacquot et Jacques Doillon, la réalisatrice et actrice Judith Godrèche a proposé une aide concrète aux victimes de violences sexistes et sexuelles. Pour palier à la peur de témoigner par des voies plus traditionnelles, Godrèche a créé une adresse mail pour recueillir leur parole.

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Une adresse mail pour témoigner
Le samedi 10 février marque la date de son appel à témoignages, dans lequel elle explique :

« Chères et chers followers, dans ma réflexion pour que je puisse organiser mes pensées et vos contacts (en toute sécurité) chacune et chacun d’entre vous qui a été abusé peut-il m’écrire à moiaussijudith@gmail.com »

« Je suis là », a commencé Judith Godrèche en légende de son post Instagram. Précisant que son aide ne se borne pas aux personnes ayant été agressées dans le cadre du monde du cinéma, la comédienne s’est adressée à ces personnes victimes de violences sexistes et sexuelles en expliquant qu’elle était prête à lire tous les témoignages et « réfléchir à un projet qui vous rend hommage ».


Un sentiment de responsabilité
Le lundi 12 février, elle était invitée d’une émission spéciale de Mediapart consacrée à #MeToo dans le cinéma français. Seulement deux jours après le lancement de son appel à témoignages, Judith Godrèche a confié :

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« Ce qui est terrifiant, c’est le nombre de victimes, c’est le nombre de personnes réduites au silence, c’est le nombre de personnes qui évoluent dans des milieux où ils ne savent pas à qui s’adresser. »

Évoquant cette boîte e-mail comme un lieu sûr pour « ces femmes et hommes » victimes de violences sexuelles, l’actrice et réalisatrice a expliqué vouloir faire profiter ces dernières de sa visibilité :

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« Comme les gens sont obligés de m’entendre, comme j’ai ce privilège-là, si ces gens n’arrivent pas à sortir du silence (…), s’ils se disent tiens si ça commençait par un email à Judith pour mettre le pied dans la porte. »

Face au journaliste Mathieu Magnaudeix, Judith Godrèche a aussi évoqué une forme de « responsabilité » de sa part. Évoquant la relation d’emprise dans laquelle Benoit Jacquot l’a enfermée lorsqu’elle n’avait que 14 ans quand lui en avait 39, elle a confié :

Judith Godrèche à 18 ans // Source : INA / Capture d'écran Instagram
Judith Godrèche à 18 ans // Source : INA / Capture d’écran Instagram
« J’ai le sentiment qu’à travers le couple que je formais aux yeux du monde très jeune avec ce réalisateur, j’ai incité ou involontairement encouragé des très jeunes filles qui regardaient cette image et qui, quand elles se sont faites draguer par un mec plus vieux, elles se sont dit ‘Pourquoi pas dans le fond, ça a l’air cool’ »

Avec cette initiative, Judith Godrèche brise le plafond de verre entre les victimes et les agresseurs, souvent présentés comme intouchables. À son échelle, elle propose une alternative à un problème d’écoute des victimes systémique.

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Crédit photo de la une : Médiapart

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