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Le blog de hugo,

/ Sexo / Homme Vrai ou faux : les hommes dorment-ils vraiment après l'amour ?,articles femmes hommes,couples,sexes,

26 Janvier 2019, 09:00am

Publié par hugo

 Vrai ou faux : les hommes dorment-ils vraiment après l'amour ?
Les hommes, ces goujats, s'endormiraient après l'amour... Plusieurs hypothèses plus ou moins fiables s'affrontent pour étayer cette affirmation. Alors, vrai ou faux ?
Par Dr Charlotte Tourmente
Rédigé le 25/01/2019
 
©Fotolia  
"Les hommes s'endorment toujours après l'amour"... Cette idée perdure et elle est en droite ligne de la série "les femmes ne savent pas lire une carte routière" et "les hommes n'écoutent jamais rien". Mais a-t-elle un fondement scientifique ?
Plusieurs hypothèses s'affrontent et relèvent de la nutrition, de la psychologie, de l'endrocrinologie et des neurosciences. La première est aussi la moins fiable puisque deux auteurs américains, l'un journaliste et l'autre médecin, avaient consacré un chapitre de leur livre à ce sujet crucial (Why do men fall asleep after sex and more questions. Editions Penguin random house). D'après eux, c'est la consommation d'énergie qui est supérieure chez les hommes que chez les femmes, énergie trouvée en puisant dans les réserves de glycogène des muscles. Comme les hommes disposent de plus de masse musculaire que les femmes, il semblait logique que la gent masculine se sente plus fatiguée que ces dames. Or l'activité sexuelle n'est pas suffisamment consommatrice d'énergie : une étude de 2013 publiée dans PLOS, avait évalué la dépense énergétique à 4,1 kilocalories par minute pour un homme et 3,1 pour une femme (soir 101 et 61 kcalories pour un ébat de 25 minutes). Pour offrir un élément de comparaison, une demi-heure de vélo élliptique ferait dépenser 350 kcal. Alors quand en plus, on sait qu'une autre étude du Journal of Sexual Medicine avait évalué le temps de pénétration moyen à 5,4 minutes, l'hypothèse tombe définitivement à l'eau... 
Changement de vision avec certains psychologues (diplômés mais aussi de comptoirs...), qui évoquent la différence de comportement entre les deux sexes dans de nombreux domaines. Les psychologues australiens Barbara et Allan Pease, ont consacré un livre à ces différences, Pourquoi les femmes n'écoutent jamais rien et les femmes ne savent pas lire une carte routière ? aux éditions Pocket. D'après eux, les hommes n'aiment pas parler de leurs émotions et sentiments et sont conditionnés pour agir en fonction de la performance, tandis que les femmes sont plus à l'aise dans leur expression et leur analyse. Dans cette optique, les discussions sur l'oreiller seraient une façon de prolonger l'intimité physique d'une complicité émotionnelle pour les femmes tandis que certains hommes se réfugieraient dans les bras de Morphée, peut-être inconsciemment, pour échapper à une discussion privée. Aux nombreuses critiques essuyées à propos de la fiabilité de leurs études, le couple de psychologues répond que le vécu quotidien est la meilleure preuve de ce qu'ils avancent. Mais cette vision, en plus d'être "cliché", est sévère pour tous ceux ravis de bavarder en serrant dans leurs bras leur partenaire...
La faute du cerveau ou des hormones ?
Les neurosciences ont également offert un début de réponse à cette question qui agite l'humanité. En 2012, le chercheur français, Sterge Stoléru, a scruté les cerveaux féminins et masculins durant et après l'orgasme. Il a alors découvert du côté masculin, que le cortex cérébral, siège de la pensée consciente, est moins actif après l'éjaculation et surtout, après l'orgasme, certaines zones, dont les amygdales (zones du système limbique, siège des émotions), sont désactivées et seraient impliquées dans la période réfractaire, ce moment où toute érection est impossible dans un délai variable selon l'âge et selon l'homme et qui n'existe pas chez la femme.
Alors cette période où l'expression du désir masculin est éteinte suffirait-elle à expliquer le besoin de dormir post-coïtale ? Le Dr Stoléru lui-même estime ne pas avoir travaillé sur cette question spécifique du sommeil et ne pas être le mieux placé pour y répondre. Mais si la période réfractaire est encore mal comprise, l'élévation de certains messagers chimique comme la sérotonine et la prolactine y jouerait un rôle et sont propices à la somnolence. La sérotonine induit une sensation de bien-être, qui couplée aux endorphines sécrétées pendant l'orgasme, favoriserait l'endormissement... Quant à la prolactine, elle est associée à la sensation de satisfaction sexuelle et les niveaux de prolactine sont plus hauts durant le sommeil. Ce qui fait dire à certains chercheurs que la prolactine pourrait participer à l'envie de dormir masculine après l'orgasme, d'autant plus que les taux libérés sont plus élevés après un rapport sexuel qu'après la masturbation. D'autres hormones également libérées au moment de l'orgasme sont également propices à l'endormissement, comme l'ocytocine et la vasopressine, qui sont également associées au sommeil. L'apaisante ocytocine réduit le stress et conduit à la détente et à la somnolence.
"Effectivement, après l'orgasme, les endorphines et la sérotonine favorisent la relaxation et l'endormissement, tout comme les hormones comme la prolactine et l'ocytocine, dont la sécrétion est augmentée, confirme le Dr Pallanca, psychiatre spécialiste du sommeil. Le taux de cortisol est également diminué, et par ce biais le stress aussi. Tout cela favorise le sommeil mais c'est une véritable idée reçue, tous les hommes ne s'endorment pas après l'amour !" Toutes les femmes non plus et pourtant, après un orgasme, elles produisent aussi ces hormones... Alors certes, elles n'ont pas de période réfractaire et elles ont moins souvent un orgasme que les hommes, mais elles ne s'endorment pas pour autant...
Un mythe plus qu'une réalité
"Il y a de nombreuses fois où l'activité sexuelle empêche de dormir !" reprend le Dr Olivier Pallanca, qui dénonce une affirmation sans fondement... Si vous êtes trop excité par l'activité sexuelle, si le rapport a été tonique et qu'il a élevé la température centrale du corps, si vous avez consommé de l'alcool et des drogues, si on a fait l'amour en pleine lumière, cela maintient éveillé. Hommes et femmes peuvent avoir des douleurs durant le rapport qui est alors peu épanouissant et peut empêcher de dormir. Ou la prise de Viagra® et compagnie peuvent donner mal à la tête, maintenir l'érection trop longtemps et empêcher le sommeil."
De nombreuses situations contredisent donc l'idée selon laquelle les hommes s'endorment après l'amour. Le spécialiste conclut non sans humour : si vous voulez dormir après, il faut faire l'amour différemment ! A la façon "Papa maman dans le noir, on ne bouge pas trop", mais pas en mode performance qui ne favorise pas le sommeil.
Alors entre le sommeil ou le sexe débridé, c'est à vous de choisir...
par Dr Charlotte Tourmente  journaliste à la rédaction d'Allodocteurs.fr
Sponsorisé par Ligatus

https://www.allodocteurs.fr/sexo/homme/vrai-ou-faux-les-hommes-dorment-ils-vraiment-apres-lamour_26342.html

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Accessibilité : le grand débat national a de belles marges de progrès,handicap,societe,politiques,

26 Janvier 2019, 08:40am

Publié par hugo


Accueil > Accessibilité > Accessibilité : le grand débat national a de belles marges de progrès
 
Ni langage facile à comprendre, ni langue des signes, ni prise en compte des besoins des déficients visuels : le site du grand débat national oublie toute une partie de la population.
Accessibilité : le grand débat national a de belles marges de progrès
Sophie Massieu il y a 16 heures Accessibilité, Société Laisser un commentaire
Des centaines de réunions publiques, un site internet, deux mois de discussions. Le grand débat national, jusqu’au 15 mars, doit permettre à tous les Français d’exprimer leur point de vue sur quatre grandes thématiques. Tous les Français… ou presque.
Le grand débat national bat son plein. Ouvert le 15 janvier, il a vocation à répondre à la crise sociale traversée par le pays. Le président de la République invite ses concitoyens à se prononcer sur quatre thèmes. À savoir : la transition écologique, la fiscalité et les dépenses publiques, l’organisation de l’État et de ses services publics, la démocratie et la citoyenneté. Mais les citoyens en situation de handicap risquent de rencontrer des difficultés à partager leurs propositions sur tous ces sujets.
Un kit à destination des organisateurs peu tourné vers le handicap
Vivre avec un revenu qui ne soit pas inférieur au seuil de pauvreté, voir son dossier de demande de compensation traité dans des délais raisonnables, supprimer la prise en compte des revenus du conjoint dans le calcul de l’AAH… : les sujets à débattre ne manquent pas. Mais l’inaccessibilité des lieux et outils de la concertation ne va pas leur simplifier la tâche.
Ainsi, un kit a bien été mis à la disposition des organisateurs de réunions publiques sur le site internet du grand débat. Pas une fois il n’évoque le handicap en tant que tel. Mais il recommande : « Nous vous conseillons de faciliter par tous les moyens la participation du plus grand nombre et notamment des plus jeunes et des plus âgés. » Plus loin, il invite plus précisément à « faciliter l’accès aux personnes à mobilité réduite ».
Pour le reste, a indiqué le secrétariat d’État en charge des personnes handicapées lorsque nous l’avons contacté, cela dépendra de l’accessibilité des mairies et autres salles publiques. De son côté, la mission en charge de l’organisation de ce grand débat, un service du Premier ministre, s’annonce confiante. Pour elle, désormais, les salles communales sont majoritairement accessibles. Mieux vaut toutefois se renseigner avant de se déplacer.
Lire aussi
Bioéthique : réviser la loi pour favoriser la recherche
Une plateforme internet non accessible à tous
Pour éviter des déconvenues, le secrétariat d’État invite à utiliser la plateforme internet. Selon lui, elle a été pensée accessible dès sa création. Un test effectué par Faire Face prouve le contraire.
D’abord, aucune explication des enjeux ou calendrier du débat n’est proposé en langage facile à lire et à comprendre (Falc) ou en langue des signes.
Ensuite, les déficients visuels utilisateurs de lecteurs d’écran, en l’état actuel, ne peuvent participer aux débats. Ils peuvent lire les contributions des autres, consulter la présentation du débat ou les étapes qui vont le jalonner. Mais la fenêtre qui s’ouvre pour s’inscrire avant de contribuer n’est pas accessible avec un lecteur d’écran. De même que le filtre qui permettrait de choisir d’afficher les réunions en fonction de son lieu de résidence ou de ses disponibilités dans le temps. Seule alternative : faire défiler les milliers de rendez-vous proposés pour espérer en trouver un qui leur convienne.
La mission en charge de l’organisation du grand débat national affirme qu’elle n’avait pas été alertée sur ce sujet et promet une correction dans les jours à venir… En attendant, l’inaccessibilité numérique a encore frappé… Et ce dans un service public national.

https://www.faire-face.fr/2019/01/25/accessibilite-grand-debat-national-handicap/

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« Nous, pensionnés d’invalidité, invisibles et négligés. »,HANDICAP,economie,

26 Janvier 2019, 08:35am

Publié par hugo

Accueil > Emploi > Ressources > « Nous, pensionnés d’invalidité, invisibles et négligés. »
 
Corinne Grande : « Comme les pensionnés d'invalidité n'existent pas dans le débat public, le gouvernement ne retient pas ses coups contre nous. »
« Nous, pensionnés d’invalidité, invisibles et négligés. »
Franck Seuret il y a 2 jours Ressources 9 Commentaires
Lire aussi
L’AAH à vie, c’est pour bientôt
Corinne Grande perçoit une pension d’invalidité depuis 2011. Elle regrette que ce sujet soit totalement absent des médias et du débat public. Et dénonce les « coups » portés contre les pensionnés.
 
Corinne Grande est dans l’incapacité de travailler en raison de graves problèmes de santé.
« Sommes-nous, les pensionnés d’invalidité, les parias de la société ? Nous sommes, en tout cas, totalement oubliés dans le débat public. Il est vrai que la multitude de termes utilisés – déficience, incapacité, inaptitude, handicap, invalidité… – ne facilite pas les choses. Ajoutez-y des textes de loi abscons, une absence totale d’informations de la quasi-totalité des médias et le mutisme, voire le désengagement, des pouvoirs publics. Résultat, nous sommes invisibles et négligés.
600 000 pensionnés d’invalidité
Pourtant, les personnes handicapées ne se résument pas aux titulaires de l’allocation adulte handicapé. 600 000 perçoivent une pension d’invalidité du régime général ou de la mutualité sociale agricole. Elles en bénéficient parce qu’elles ont suffisamment cotisé dans les douze mois précédant l’interruption de leur activité professionnelle.
Des revenus souvent inférieurs à l’AAH
C’est mon cas. J’ai travaillé, entre autres, pendant vingt ans comme assistante de direction. En tant qu’ex-cadre bien rémunérée, j’ai la chance d’avoir une pension qui me permet de vivre correctement. Mais c’est loin d’être le cas de tous les pensionnés d’invalidité. La plupart touchent moins que l’AAH.
Une vie au jour le jour
Et pourtant, beaucoup d’entre eux ne sont pas en capacité de travailler. Ou seulement à temps partiel, au mieux. En 2011, j’ai été reconnu invalide à 30 % suite à une arthrodèse cervicale. Puis à 50 %, en 2015, au vu de la dégradation de mon état de santé. Mes souffrances chroniques invalidantes m’empêchent de réaliser tout projet, quel qu’il soit. Je vis au jour le jour.
De l’isolement contraint à la solitude choisie
Je suis donc exclue du monde professionnel, avec une vie sociale limitée. Mon isolement contraint est devenue une solitude choisie. Je suis en effet épuisée d’être confrontée à l’incompréhension totale des personnes valides. Non, je ne suis pas en fauteuil roulant. Mais oui, je suis lourdement handicapée.
Des pensions en baisse à cause de la CSG
Pourtant, le gouvernement ne nous ménage pas, nous les titulaires d’une pension d’invalidité. En 2019 et 2020, leur revalorisation (0,3 %) va être plus faible que l’inflation. Certains d’entre nous ont même vu leur pension baisser l’an passé en raison de la hausse de la CSG. En réaction au mouvement des gilets jaunes, le gouvernement a annulé la hausse, cette année. Mais pas pour tout le monde. Faire-face.fr a d’ailleurs été le seul média à nous en informer.
Il a également supprimé la prime d’activité pour les pensionnés exerçant une activité professionnelle. Sous la pression, il l’a remise en place… uniquement pour ceux qui la percevaient déjà.
Pas les mêmes droits que les bénéficiaires de l’AAH
Plus généralement, nous ne bénéficions pas des mêmes droits que les allocataires de l’AAH. La pension d’invalidité n’exonère pas de la taxe d’habitation ou de la taxe foncière. Et elle est imposable.
Comme nous n’existons pas dans le débat public, le gouvernement ne retient pas ses coups contre nous. Nous sommes invisibles, inaudibles et donc faciles à attaquer. Il faut que cela change. »

https://www.faire-face.fr/2019/01/24/pensions-invalidite-invisibles/#comment-84805

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De plus en plus de femmes donnent naissance après 40 ans en France et dans les pays riches,femmes,grossesse,bebe

25 Janvier 2019, 09:29am

Publié par hugo


De plus en plus de femmes donnent naissance après 40 ans en France et dans les pays riches
 24/01/2019 à 19h11
 
Une femme enceinte (PHOTO D'ILLUSTRATION). - iStock - vadimguzhva
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INFOGRAPHIE - Les maternités tardives concernent les femmes donnant naissance après 40 ans. Selon un rapport de l'Institut national d'études démographiques (Ined), l'ensemble des pays riches est concerné par le phénomène.
Alors que la natalité baisse de manière générale en France, le nombre de femmes quadragénaires donnant naissance augmente d'année en année, même si elles restent tout de même largement minoritaires.
Dans l'hexagone, les maternités tardives avaient atteint un niveau historiquement bas dans les années 1980. Elles étaient pourtant "fréquentes jusqu’au milieu du XXe siècle", indiquent les démographes Éva Beaujouan et Tomáš Sobotka dans leur étude pour l'Ined :
"Les familles nombreuses étaient courantes, et beaucoup de femmes continuaient d’avoir des enfants jusqu’à ce qu’elles ne puissent plus concevoir. La diminution de la taille des familles (...), la diffusion de la contraception moderne (....), a beaucoup contribué au déclin des maternités tardives dans les années 1960-1970".
En 1981, seulement 0,86% des naissances concernaient des femmes de 40 ans et plus.
 
Infographie BFMTV. - Infographie sur les maternités tardives en France.
L'évolution ne concerne pas seulement la France, donc, mais l'ensemble des pays riches.
En Europe, ce sont les pays du sud qui sont les plus concernés: l'Italie, l'Espagne et le Portugal. Le reste du vieux continent (nord, ouest, est) se trouve dans la même situation mais à une moindre mesure que les pays latins.
 
Infographie BFMTV - Infographie sur les maternités tardives en Europe.
Des observations similaires en Russie, au Japon, aux États-Unis...
Au-delà de l'Europe, les pays riches du monde entier sont concernés par une hausse des maternités tardives. Plusieurs causes expliquent ce phénomène selon les démographes de l'Ined :
"Il résulte d’une combinaison de facteurs comme l’allongement des études, l’évolution du statut des femmes, les changements de la vie de couple (mise en union tardive, ruptures d’union plus fréquentes, remises en couple pour former une seconde union plus tard dans la vie), l’incertitude économique croissante chez les jeunes adultes..."
 
L’image de la parentalité tardive a aussi changé, "elle est devenue plus visible et mieux acceptée", assure l'étude. Enfin, la démocratisation de la fécondation in vitro (FIV) peut également être à l'origine du phénomène, malgré quelques problèmes dans certains pays: coût élevé et législation plus dure sur le sujet notamment.
La parentalité tardive a ses avantages
La maternité tardive est parfois critiquée car elle comporte des risques plus élevés pour la santé de la mère et de l’enfant. Cependant, l'étude y voit également des aspects positifs: "les parents âgés peuvent offrir un niveau de vie supérieur et une stabilité familiale accrue à leurs enfants, améliorant ainsi leurs chances dans la vie."
En plus des mères quadragénaires, on remarque également une forte augmentation des naissances à plus de 50 ans. En 20 ans, elles ont été multipliées par cinq aux Etats-Unis et par quatre en Europe, même si il s'agit au total de quelques centaines de naissances par année seulement.
Louis Tanca

https://www.bfmtv.com/societe/de-plus-en-plus-de-femmes-donnent-naissance-apres-40-ans-en-france-et-dans-les-pays-riches-1619003.html

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Égalité salariale : les entreprises françaises à la traîne,femmes,egalite,

25 Janvier 2019, 09:00am

Publié par hugo


Égalité salariale : les entreprises françaises à la traîne
Aujourd'hui, seulement 6% des entreprises françaises qui emploient plus de 50 personnes respectent l'égalité salariale.
 
 

France 2
France 2
France Télévisions
Mis à jour le 24/01/2019 | 18:04
publié le 24/01/2019 | 15:54
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LA NEWSLETTER ACTU
Nous la préparons pour vous chaque matin
On a beau dire à "travail égal, salaire égal", les femmes et les hommes gagnent-ils vraiment la même chose ? La loi garantit l'égalité salariale pour une carrière et un poste occupé de même niveau. Pourtant, selon le ministère du Travail, 94% des entreprises de plus de 50 salariés ne la respectent pas. Aujourd'hui, tous secteurs confondus, la différence de salaires entre hommes et femmes est de 23,7%. "C'est beaucoup, surtout que l'on en fait largement autant, voire mieux", indique une femme interrogée.
Moins de 1% des entreprises de plus de 1 000 salariés pratiquent l'égalité salariale
Deux avocats interrogés, un homme et une femme, constatent des écarts de 30% dans leur profession. "On se sent un peu inutiles et en même temps rabaissées. On se dit : 'J'ai fait autant d'études et c'est encore plus épuisant de prouver que je vaux autant qu'un homme juste parce que je ne suis pas née avec le même sexe'", explique l'avocate. Les entreprises de plus de 1 000 salariés sont les moins vertueuses : moins de 1% d'entre elles pratiquent l'égalité salariale.

https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/carriere/vie-professionnelle/emploi-des-femmes/egalite-salariale-les-entreprises-francaises-a-la-traine_3160091.html

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Handicap : bientôt un plan d’action contre les maltraitances,handicap,VIOLENCES,

25 Janvier 2019, 08:50am

Publié par hugo

 Handicap : bientôt un plan d’action contre les maltraitances
Le gouvernement a annoncé que le plan serait dévoilé dans les prochains mois, pour une mise en œuvre dans l’année.
Par la rédaction d'Allodocteurs.fr, avec AFP
Rédigé le 25/01/2019
 
© Foter.com  
"Nous devons avoir le courage de dénoncer l'inacceptable", a déclaré Agnès Buzyn à l’occasion de la remise d'un rapport sur les maltraitances envers les personnes dépendantes, âgées ou handicapées. Le document, rédigé par le Haut conseil de la famille et de l'âge (HCFEA) et le Conseil national consultatif des personnes handicapées (CNCPH), fait état de "violences cachées" dans les maisons de retraite, les établissements médicosociaux ou lors des soins à domicile. D’après la ministre de la Santé et des Solidarités, qui s’exprimait sur le sujet le 24 janvier, un "plan d'action" sera dévoilé "dans les prochains mois" et mis en oeuvre "dès cette année".
Les victimes ont plus de risques d'ignorer leurs droits
La secrétaire d'Etat chargée des Personnes handicapées, Sophie Cluzel, a de son côté dénoncé la "persistance d'une forme de loi du silence", et une "très nette sous-déclaration des situations de maltraitance, encore plus marquée concernant les personnes en situation de handicap". En cause notamment, selon les auteurs du rapport, une mésestime de la maltraitance par les victimes elles-mêmes. Une victime "fragile" a par ailleurs "plus de risques d'ignorer ses droits, ou d'hésiter à les faire valoir", expliquent les auteurs.
"Il est rare qu'il n'existe qu'une seule cause lorsque la relation d'aide se dégrade, se salit [pour se transformer] en abus, vol, brutalité, emprise ou humiliation", précise Denis Piveteau, l'un des auteurs. "Les dérapages ont souvent une longue histoire. C'est toute la souffrance, toutes les tensions d'un cercle familial ou professionnel qui se déversent sur les personnes les plus vulnérables", a-t-il ajouté.
Des excès de productivité imposés aux salariés
Le rapport donne plusieurs cas particuliers, notamment ceux d'une malade d'Alzheimer qui se fait cracher au visage par une aide-soignante et d'un petit garçon autiste obligé de participer à des sessions de natation malgré ses cris de révolte. Mais c’est également la "maltraitance institutionnelle" qui est dénoncée. Selon les auteurs, à cause de "défauts d'organisation" ou "d’excès de productivité" imposés aux salariés, les personnels des établissements peuvent y multiplier des gestes "brusques, mécaniques ou sans bienveillance".
Le rapport émet plusieurs solutions à cette maltraitance. Parmi elles : améliorer la formation initiale et continue des professionnels, créer des instances territoriales spécifiques afin de coordonner les "informations préoccupantes" et permettre de suspendre temporairement un professionnel qui aurait commis une maltraitance. Il est par ailleurs prévu que le site Internet qui permet de signaler des "événements indésirables graves liés aux soins" soit étendu aux actes de maltraitance.
Voir aussi sur Allodocteurs.fr

https://www.allodocteurs.fr/se-soigner/handicap/handicap-bientot-un-plan-daction-contre-les-maltraitances_26343.html
 
 

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VIDEO. Pour dénoncer toute forme de sexisme, Jayna Zweiman lance les "pussy hats",femmes,sexisme

25 Janvier 2019, 08:50am

Publié par hugo

 VIDEO. Pour dénoncer toute forme de sexisme, Jayna Zweiman lance les "pussy hats"
Aux États-Unis, des milliers de militants coiffés d'un bonnet rose ont manifesté contre les discriminations faites aux femmes. Brut a rencontré Jayna Zweiman, la conceptrice de ces "pussy hats".
 
 

BRUT
Brut.
France Télévisions
Mis à jour le 24/01/2019 | 17:45
publié le 24/01/2019 | 17:45
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Nous la préparons pour vous chaque matin
"Aujourd'hui, nous devons être un mouvement uni pour le droit des femmes", clame une militante munie d'un "pussy hat". Ces bonnets roses ornés de petites oreilles de chat ont été conçus par Jayna Zweiman.
Victime d'un accident, l'Américaine n'a pu se rendre à la première "Women's March" mais elle a trouvé un moyen de militer à sa façon contre le sexisme : tricoter des bonnets. Faciles à se procurer, ils forment une "vague rose" qui symbolise dorénavant la lutte contre les inégalités femmes/hommes. "On peut marcher dans la rue, reconnaître le bonnet et savoir que cette personne soutient le droit des femmes", explique Jayna Zweiman.
Un mouvement qui a pris de l'ampleur
De cette initiative est né le Pussy Hat Project, un collectif chargé de concevoir ces bonnets afin de les distribuer massivement. N'importe qui, s'il est muni de laine et d'une aiguille, peut participer à leur conception. Les adhérents peuvent également joindre au bonnet un message "important pour eux dans la défense des droits des femmes."
"Je pense qu'être ensemble, dans un collectif, et raviver notre enthousiasme et notre engagement pour l'égalité (…) aide à préparer le terrain pour l'année à venir", déclare Jayna Zweiman.

A lire aussi

https://www.francetvinfo.fr/monde/usa/presidentielle/donald-trump/video-pour-denoncer-toute-forme-de-sexisme-jayna-zweiman-lance-les-pussy-hats_3160243.html

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4 min Pénalisation des clients : les prostituées saisissent le Conseil constitutionnel,femmes,

25 Janvier 2019, 08:49am

Publié par hugo

 Actualités
Le Reportage de la rédaction par Rédaction
du lundi au jeudi de 7h24 à 7h30
Réécouter Pénalisation des clients : les prostituées saisissent le Conseil constitutionnel
4 min
Pénalisation des clients : les prostituées saisissent le Conseil constitutionnel
22/01/2019
Podcast  Exporter
Le Conseil constitutionnel est saisi ce matin d'une QPC, question prioritaire de constitutionnalité, portant sur la pénalisation des clients des prostituées. L'amende de cinquième classe, instaurée dans la loi de 2016, est-elle contraire aux libertés fondamentales ?
Manifestation à Paris, le 26 octobre 2013, contre la pénalisation des clients de la prostitution. • Crédits : Nathanael Charbonnier - Radio France
Les 9 sages du Conseil constitutionnel vont examiner ce matin une question prioritaire de constitutionnalité soumise par le Conseil d'Etat et portée à la fois par des personnes exerçant la prostitution et par certaines associations qui travaillent à leur côté.
Elles vont plaider que la loi du 13 avril 2016, qui pénalise leurs clients en leur infligeant des amendes sévères et un stage de « responsabilisation » si ils récidivent, contrevient - notamment - au respect de la vie privée et à leur liberté d'entreprendre. Elles espèrent voir abroger cette pénalisation. Face à elles, les partisans de l'abolition de la prostitution, notamment le Mouvement du Nid, feront valoir leurs arguments.
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Réécouter Les clients
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Les Pieds sur terre
Les clients
Anaïs, Thierry et Christine se prostituent depuis plusieurs années. Adhérents du STRASS, le syndicat du travail du sexe, ils font partie des 5 requérants qui ont initialement saisi le Conseil Constitutionnel, aux côtés de 9 associations, dont Médecins du Monde, qui avaient réalisé en avril dernier une enquête dénonçant l'impact de la loi de 2016.
Le reportage de ce matin laisse la parole à celles et ceux qui travaillent dans la rue ou sur internet et qui ont vu ces derniers mois leur condition de vie empirer : en raison de la loi, les clients ont fui, les revenus sont en baisse et la violence augmente.
Médecins du monde milite de façon très active contre la pénalisation des clients des prostituées. L'association qui aide les travailleuses du sexe à prendre soin, notamment, de leur santé explique pourquoi elle porte cette QPC. Sarah-Marie Maffesoli, de l'organisation de solidarité, revient sur les arguments juridiques :
Écouter
Écouter "Les prostituées payent des impôts mais acheter leurs services sexuels, vendus légalement, est illégal."
"Les prostituées payent des impôts m
"Les prostituées payent des impôts mais acheter leurs services sexuels, vendus légalement, est illégal."

https://www.franceculture.fr/emissions/le-reportage-de-la-redaction/les-prostituees-saisissent-le-conseil-constitutionnel?utm_medium=Social&utm_source=Facebook

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Travail du sexe : et si on en finissait avec la pénalisation des clients ?,femmes,sexes,

25 Janvier 2019, 08:45am

Publié par hugo

 
News
Travail du sexe : et si on en finissait avec la pénalisation des clients ?
par Sarah Ben Ali
© GettyImages/Goga Pipia / EyeEm
   
       
 
 
 
  
 
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Ce mardi 22 Janvier 2018, le Conseil constitutionnel examine la constitutionnalité de la loi de 2016,  qui pénalise les clients des travailleur.euse.s du sexe. L’occasion pour les concerné.e.s de prendre la parole dans les médias.
 
Sarah Ben Ali
@sarah_ba1
sarah_benali
 
Temps de lecture
2 minutes
Publié le
Mercredi 23 Janvier 2019
Depuis le 13 avril 2016, la loi française pénalise les client.e.s des travailleur.euse.s du sexe, qui peuvent être condamnés à 1500€ d’amende et à un stage de responsabilisation en cas de récidive. Pour les partisans de cette loi abolitionniste (c’est-à-dire qui va dans le sens de l’abolition de cette activité professionnelle), le travail du sexe relèverait de la traite sexuelle des êtres humains. Cette loi permettant selon eux de protéger les personnes qui n’auraient pas fait un réel "choix de carrière", selon les termes de Grégoire Théry, porte-parole national de l’association d’inspiration catholique Le Mouvement du nid.
Des propos infantilisants, et une loi qui a finalement fragilisé les concerné.e.s, selon de nombreux.se.s concernées. Dans une tribune publiée le 18 janvier 2019 dans Le Monde, plusieurs association comme le Strass (Syndicat du travail sexuel), mais aussi Médecins du Monde, AIDES ou encore Acceptes-T ont pris la parole pour demander l’abrogation de la loi, anticonstitutionnelle selon elles. Elle remettrait en effet en cause leur liberté d’entreprendre ainsi que leur droit à la vie privée.
Ce matin, plusieurs matinales faisaient entendre la voix des TDS sur le sujet. Dans un reportage diffusé sur France Culture, on a ainsi entendu Thierry appeler les politiques à "arrêter de confisquer leur parole et cesser d’instrumentaliser leur souffrance". Anaïs et Christine, elles, faisaient remarquer que la pénalisation de 2016 avait fait baisser leur clientèle de 70% du jour au lendemain, et avait altéré les conditions d’exercice du métier, aujourd’hui plus dangereuses.
Autant de prises de paroles capitales, avant la décision du Conseil constitutionnel dans dix jours.
Sarah Ben Ali avec Coline Clavaud Megevand

https://www.glamourparis.com/societe/news/articles/travail-du-sexe-et-si-on-en-finissait-avec-la-penalisation-des-clients-/72177

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Va-t-on vendre la France à l'Allemagne ? Le Moment Meurice,politque,

25 Janvier 2019, 08:30am

Publié par hugo

 
Va-t-on vendre la France à l'Allemagne ? Le Moment Meurice
http://www.youtube.com/watch?v=PAyq2Z7W8McAngela Merkel et Emmanuel Macon ont signés un nouvel accord de coopération franco-allemande, le traité d'Aix-la-Chapelle. Guillaume Meurice a enquêté pour savoir si la France allait être vend...

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https://www.youtube.com/watch?v=PAyq2Z7W8Mc

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