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Retrouver une sexualité après la grossesse,femmes,grossesse,bebe,

8 Mars 2015, 04:41am

Publié par hugo


Elodie Benarousse
CCM Benchmark
Mis à jour le 27/02/15 14:14
Retrouver une sexualité après la grossesse
Fatigue, douleurs et nouveau rythme de vie...L'accouchement et l'arrivée de bébé bouleversent la sexualité des jeunes parents. Les conseils de Catherine Solano, sexologue, pour retrouver une sexualité après la grossesse...


Les femmes enceintes ont souvent du mal à trouver une position confortable pour dormir. Et avec l'arrivée de bébé, place ensuite aux nuits blanches ! Avec la fatigue, les douleurs liées à l'accouchement et le nouveau rythme de vie, les relations sexuelles du couple sont quelque peu perturbées. Catherine Solano, sexologue, répond aux questions du Journal des Femmes et livre quelques conseils aux parents de jeunes enfants.


Pourquoi le retour à la sexualité est-il difficile après la naissance de bébé ?


Catherine Solano : Tout d'abord, il y a la fatigue. La baisse de la libido est systématique lorsque l'on manque de sommeil, et avec un nouveau-né qui ne fait pas ses nuits, le nouveau rythme de vie est vite épuisant. On note ce même manque de désir chez les femmes qui souffrent de dépression post-partum ou de baby-blues et dont la fatigue se fait davantage ressentir.


La douleur contribue également à la diminution du désir sexuel, en cas d'épisiotomie lors de l'accouchement par exemple. Les sécheresses vaginales, qui durent en moyenne trois mois après la naissance du bébé, ne facilitent pas non plus les rapports même si le désir sexuel est présent.


Enfin, la naissance d'un enfant représente un grand chamboulement hormonal : l'hormone de lactation est un anti-désir et dure en moyenne trois mois. Mais finalement, la nature est bien faite puisqu'il faut un temps à la mère pour se consacrer à son nouveau-né, qui est pour elle une priorité... Un temps pendant lequel la sexualité est quelque peu mise de côté.


Est-ce similaire à tous les couples ?


Non, la baisse de la libido ainsi que sa durée dépendent de chaque femme et de chaque couple. Tout comme les enfants qui font leurs nuits rapidement contrairement à d'autres bébés, certains se retrouveront très vite, tandis que d'autres pourront mettre des mois avant de reprendre une sexualité après l'accouchement. Il n'y a donc rien d'inquiétant à ce que la sexualité soit en stand-bye au bout de six mois ou plus.


Quand faut-il s'inquiéter ?


Ce qui doit alerter, c'est avant tout la réaction de blocage que peut avoir une femme après la naissance de son enfant. "Je n'ai pas envie qu'il me touche !" ou "Faire l'amour me dégoûte !"... Certaines jeunes mamans réagissent en effet avec rejet et ne font pas d'efforts, quand bien même le papa serait plutôt patient et empathique. Ainsi, s'il y a un blocage après 6 mois ou qu'il n'y a toujours aucune envie après 8-9 mois, il est préférable de consulter pour en discuter.


Quels conseils donneriez-vous aux couples pour rebooster leur sexualité ?


Je recommande aux pères de faire un effort, de s'investir pour s'occuper de leur bébé : lui donner le bain, l'habiller, se réveiller la nuit pour le calmer s'il pleure... Le fait d'être en contact avec son bébé crée un lien et augmente la prolactine, et par conséquent, diminue le désir sexuel. Cela permet aux femmes d'être au même niveau que les hommes sans ajouter de sentiment de pression.


Par ailleurs, certains hommes confient qu'ils ont dû séduire à nouveau leur femme après la naissance de bébé. Lui prouver son amour, lui redonner confiance en elle est important, surtout si elle n'accepte pas les kilos de la grossesse qu'elle n'a pas encore perdu.


Pour les jeunes mamans, la rééducation du périnée est efficace pour retrouver des sensations sexuelles après l'accouchement.


Les hommes ont-ils du mal à voir leur maîtresse devenir mère ?


C'est possible : la place maternelle de la femme empêche certains hommes de voir leur partenaire sexuelle de la même manière. C'est pourquoi il est essentiel que les hommes s'impliquent avec bébé afin qu'ils ne se sentent pas à l'écart, notamment si la maman allaite. Certains hommes peuvent également avoir des difficultés à voir le changement du corps de leur femme, d'autres ayant assisté à l'accouchement ont vu la tête du bébé sortir et gardent cette image pendant les rapports ou font des amalgames ("tu as souffert pendant l'accouchement, c'est de ma faute"). Dans ce cas, il est préférable d'assister à l'accouchement en restant du côté de la femme si vous ne le sentez pas !


Enfin, la maternité peut aussi avoir l'effet inverse : certaines mères se sentent plus femmes et en confiance après leur grossesse. Si elles étaient complexées auparavant, elles peuvent très bien se sentir mieux dans leur corps et les relations avec leur conjoint s'améliorent.





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Sexualité : Catherine Solano répond à vos questions
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http://www.journaldesfemmes.com/maman/accouchement/1259918-sexualite-apres-l-accouchement/

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Ocytocine : l’hormone de l’amour pour lutter contre l'obésité,couples,amours,sexes,

7 Mars 2015, 22:39pm

Publié par hugo

ACCUEIL > QUESTION D'ACTU > OCYTOCINE : L’HORMONE DE L’AMOUR POUR LUTTER CONTRE L'OBÉSITÉ
En spray nasal
Ocytocine : l’hormone de l’amour pour lutter contre l'obésité
par
Anne-Laure Lebrun
|
Publié le 7 Mars 2015


Un spray nasal à l’ocytocine de synthèse, hormone de l’amour, réduirait l'apport calorique chez l’homme. Selon une étude américaine, cette hormone pourrait être un traitement prometteur contre l'obésité.
Ocytocine : l’hormone de l’amour pour lutter contre l'obésité
SUPERSTOCK/SUPERSTOCK/SIPA
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« Ocytocine : hormone de l'amour qui pousse au mensonge »
« Obésité : découverte de l'anticorps qui dérègle l'appétit »
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« Vivre d’amour et d’eau fraîche », cette expression semble prendre tout son sens lorsqu’on est amoureux. Jusqu’à nous couper la faim. Mais quelle en est la cause ? Selon une étude américaine présentée prochainement au congès annuel d'endocrinologie à San Diego, l’ocytocine serait responsable du manque d’appétit.


Cette hormone surnommée l’hormone de l’amour participe à la création des liens affectifs, notamment entre la mère et son bébé. Elle est sécrétée durant l’allaitement et les rapports sexuels et est responsable des contractions lors de l’accouchement.


Des études chez l’animal avaient été menées pour connaître son rôle dans la régulation de l’appétit. Grâce aux résultats positifs, les chercheurs de l’Université de médecine de Harvard ont tenté l’expérience chez l’homme.


Ils ont suivi 25 hommes : 12 étaient en surpoids ou obèses et 13 avaient un poids normal. Les participants ont ensuite était divisés en 2 groupes. Le premier testait l’ocytocine et le second le placebo. Ils ignoraient tous quel produit ils avaient. A jeun, les participants ont pulvérisé le spray d'ocytocine une fois dans chaque narine. Une heure plus tard, un petit déjeuner copieux leur était servi. Après le repas, les chercheurs ont mesuré l’apport calorique ingéré par les participants.


Moins de calories et de graisses


Quelques jours plus tard, les participants ont renouvelé l’expérience, toujours à l’aveugle, avec le traitement opposé. Entre les deux visites, les participants ont noté sur un carnet leurs repas. Ils n’ont rapporté aucune différence concernant la quantité de nourriture mangée avant et après traitement.


Toutefois, après les petits déjeuners, les hommes ayant testé l’ocytocine ont réduit leur apport calorique de 122 calories en moyenne et leur apport en graisses de 9 grammes par rapport au groupe placebo. Les chercheurs ont également observé que l’ocytocine favorisait la combustion des graisses pour produire de l’énergie. Les tests sanguins ne montrent pas que l'ocytocine agit sur les hormones régulant l'appétit. Bien que les chercheurs n’aient pas identifié son mécanisme d’action, ils estiment que leurs résultats sont encourageants.


« Nos résultats sont très excitants », s’enthousiasme l’auteur principale de l’étude Elizabeth Lawson, « Des études supplémentaires sont nécessaires mais je pense que l’ocytocine est un traitement prometteur pour l’obésité et les dérèglements métaboliques. »


La chercheuse estime aussi que des recherches chez la femme devront être menées puisque l’ocytocine est une hormone avec des effets spécifiques selon le sexe. Actuellement, ce spray est autorisé uniquement en Europe.



http://www.pourquoidocteur.fr/Ocytocine---l-hormone-de-l-amour-reduit-l-appetit-10023.html



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La fonction publique n'échappe pas aux inégalités hommes-femmes,economie,emploi,articles femmes hommes,france,

7 Mars 2015, 03:34am

Publié par hugo

La fonction publique n'échappe pas aux inégalités hommes-femmes
LEÏLA DE COMARMOND / JOURNALISTE | LE 06/03 À 06:00
image: http://www.lesechos.fr/medias/2015/03/06/1099298_0204204697573_web_tete_660x907p.jpg
La fonction publique n'échappe inégalités hommes-femmes La fonction publique n'échappe pas aux inégalités hommes-femmes1 / 1
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Les femmes gagnent en moyenne 12 % de moins que les hommes dans la fonction publique.
Les inégalités salariales entre femmes et hommes ne sont pas l'apanage du secteur privé. Dans la fonction publique aussi, les écarts de rémunération mais également de carrière sont patents selon les sexes, montrent trois études réalisées à la demande conjointe du Défenseur des droits et du ministère de la Fonction publique, et publiées aujourd'hui. Un travail inédit.
Certes, pour les fonctionnaires, l'écart de salaire moyen entre les femmes et les hommes est inférieur à celui constaté dans le privé : 12 % contre 19 %. Mais la situation varie selon les secteurs. Dans les hôpitaux, dont le personnel est très féminisé, la différence n'est « que » de 9 %. Ailleurs, elle est plus proche de celle constatée dans les entreprises : respectivement de 15 % dans les collectivités territoriales et de 16 % dans la fonction publique d'Etat. Ces moyennes masquent elles aussi des situations très différentes. Parmi les ministères, il y a les bons élèves - le ministère de la Culture et de la Communication, qui est à seulement 5 % - et les mauvais - ceux des Affaires étrangères, de l'Intérieur ou des services du Premier ministre sont au-dessus de 15 %.
Si elle est moindre que dans le secteur privé, la différence de rémunération entre femmes et hommes dans le secteur public n'en relève pas moins d'une « discrimination systémique », note le Défenseur des droits dans sa note de synthèse : « Les analyses détaillées permettent de démontrer qu'au sein du secteur public […] les femmes rencontrent, "toutes choses égales par ailleurs" , des discriminations spécifiques. » C'est net lorsque l'on s'intéresse aux parcours de carrière : non seulement, il y a un plafond de verre pour les fonctionnaires femmes, mais les écarts de rémunération s'accroissent avec l'âge, et le phénomène est particulièrement criant pour la catégorie A, qui correspond aux cadres de la fonction publique. A 25 ans, traitement de base et primes cumulés, l'écart de rémunération est de 7 % pour la catégorie A, 6 % pour la B et 8 % pour la C. A 50 ans, ces taux sont respectivement de 24,5 %, 13 % et 14 %. Cela représente en moyenne 11.400 euros, 5.400 euros et 4.000 euros de moins sur l'année.
Encadrement inefficace
Et ce n'est pas seulement dû à un « retard » de carrière dans les années qui suivent la naissance d'un enfant. Plus les niveaux de rémunération sont élevés, moins les femmes ont une probabilité d'y avoir accès. Une situation aussi constatée dans le secteur privé ( « Les Echos » du 4 mars ). Ce constat est d'autant plus significatif de l'ampleur de la discrimination au travail subie par les femmes que, dans la fonction publique, les pratiques salariales sont sérieusement encadrées, avec un poids plus important des hausses de rémunération « automatiques » liées à l'ancienneté, qui apportent des garanties de progression au cours de la carrière bien plus importantes que dans le privé.
Leïla de Comarmond, Les Echos
@leiladeco
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3.284 euros mensuels sont nécessaires à un couple avec deux enfants pour une vie décente,couples,amours,parents,enfants,

7 Mars 2015, 03:31am

Publié par hugo

Accueil > Économie France > Social
3.284 euros mensuels sont nécessaires à un couple avec deux enfants pour une vie décente
LES ECHOS | LE 06/03 À 12:58
image: http://www.lesechos.fr/medias/2015/03/06/1099573_3284-euros-mensuels-sont-necessaires-a-un-couple-avec-deux-enfants-pour-une-vie-decente-web-tete-0204206593746_660x547p.jpg
Le budget nécessaire familles monoparentales enfants 2.599 euros logement social Le budget nécessaire pour les familles monoparentales avec deux enfants est de 2.599 euros dans un logement social - Shutterstock1 / 1
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+DOCUMENT Le budget permettant de vivre décemment en logement social dans une ville moyenne serait de 1.424 euros pour une personne seule, selon une étude de l’Observatoire national de la pauvreté et de l’exclusion sociale.
Quels budgets mensuels a-t-on besoin pour mener une vie décente ? C’est la question à laquelle l’Observatoire national de la pauvreté et de l’exclusion sociale (ONPES) a tenté de répondre. Son rapport annuel, publié vendredi, livre les résultats d’une recherche menée depuis trois ans pour évaluer les « budgets de référence », nécessaires pour « une participation effective à la vie sociale ». Cette étude s’inscrit dans une réflexion menée au niveau européen, visant à déterminer « un revenu minimum décent ».
Les besoins
Avec l’aide d’experts et de citoyens, l’ONPES a élaboré des budgets de référence pour des ménages vivant dans les villes moyennes de Tours et Dijon. Ils ont d’abord déterminé les paniers de biens et services relevant d’un besoin minimum : disposer d’une chambre pour chaque enfant de sexe différent et de plus de 6 ans, d’une chambre d’amis pour les retraités. Avoir une voiture d’occasion, pouvoir partir en vacances (deux semaines par an pour les actifs avec enfants, une semaine pour les retraités et les actifs sans enfant), pouvoir pratiquer des activités culturelles et sportives, inviter des amis, offrir des cadeaux. Alimentation, habillement, soins et hygiène corporelle ont également été pris en compte.
Les données
Il en ressort que les budgets nécessaires à une vie décente, pour un ménage logé dans le parc social, sont de 1.424 euros pour une personne active seule (1.571 euros dans un logement du parc privé), et de 3.284 euros pour un couple avec deux enfants (3.515 dans le privé). Le budget nécessaire pour les familles monoparentales avec deux enfants est de 2.599 euros dans un logement social (2.830 dans le privé). Les budgets de référence des retraités en couple sont de 2.187 euros (2.437 dans le privé), ceux des couples d’actifs sans enfant de 1.985 euros (2.133 dans le privé).
La pauvreté
Ces budgets ont permis de déterminer la part des ménages qui sont en situation financière tendue. Ainsi, selon l’étude, les familles monoparentales sont soit pauvres (55%), soit disposent de moyens insuffisants pour vivre décemment (40%). 14% des retraités seuls sont pauvres et 45% en risque de restrictions. Seuls, 12% des couples d’actifs sans enfant sont dans cette situation (5% sous le seuil de pauvreté, 7% amenés à renoncer à certains biens et services jugés nécessaires pour vivre décemment). Il s’agit de la catégorie la moins en difficulté. 12% des couples avec deux enfants vivent sous le seuil de pauvreté, 24% doivent s’imposer des restrictions.
Le seuil de pauvreté se situe à 60% du niveau de vie médian (987 euros par mois).


Source AFP
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Marisol Touraine dénonce le sexisme au travail,articles femmes hommes,sexisme,

7 Mars 2015, 03:27am

Publié par hugo

Marisol Touraine dénonce le sexisme au travail
DEREK PERROTTE / JOURNALISTE | LE 06/03 À 18:10, MIS À JOUR À 19:16
image: http://www.lesechos.fr/medias/2015/03/06/1099661_marisol-touraine-denonce-le-sexisme-au-travail-web-tete-0204207270166_660x440p.jpg
le Conseil supérieur l’égalité professionnelle remis vendredi ministre Santé Droits femmes, Marisol Touraine, rapport sexisme travail. le Conseil supérieur de l’égalité professionnelle a remis ce vendredi à la ministre de la Santé et des Droits des femmes, Marisol Touraine, un rapport sur le sexisme au travail. - Nicolas TAVERNIER/REA1 / 1
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+ VIDEO - Quatre salariées sur cinq s’estiment confrontées à des attitudes sexistes. La ministre des Droits des femmes veut « faire reculer la loi du silence ».
Qu’il se dissimule derrière de la jovialité, du paternalisme et de l’humour ou qu’il s’affiche clairement avec condescendance ou agressivité, le sexisme reste une réalité dans bien des entreprises, où il « fonctionne comme un redoutable instrument d’exclusion des femmes de la sphère professionnelle et leur signifie qu’elles ne sont pas à leur place ». C’est ce que rappelle un rapport du Conseil supérieur de l’égalité professionnelle remis ce vendredi à la ministre de la Santé et des Droits des femmes, Marisol Touraine, deux jours avant la Journée des femmes dimanche.
Selon une enquête citée dans le rapport et menée en 2013 auprès de 15.000 salariés de 9 très grandes entreprises (dont Radio France, RATP, Orange et LVMH, propriétaire des « Echos »), 80% des femmes salariées s’estiment régulièrement confrontées à des attitudes ou décisions sexistes. Une femme sur deux dit avoir été la cible de blagues. Ce n’est pas sans conséquence : 93% des salariées estiment que cela peut amoindrir leur sentiment d’efficacité.
« Faire reculer la loi du silence »
Ce vendredi, dans un entretien à « Metronews », Marisol Touraine a dénoncé ce « sexisme ordinaire », celui qui « veut qu’on appelle une femme systématiquement par son prénom ou (...) en lui disant « ma petite », en sachant très bien que c’est dévalorisant ». La ministre veut « faire reculer la loi du silence » sur ce problème, en multipliant les opérations de communication et en appelant les entreprises à mieux former leurs managers et à intégrer la question dans les réglements intérieurs, comme le lui recommande le rapport remis ce vendredi.
Marisol Touraine ne juge toutefois pas nécessaire de légiférer car « l’interdiction de certains comportements sexistes ou des discriminations en raison du sexe figure déjà dans la loi ou le Code du travail » et que « la loi est beaucoup plus protectrice qu’on ne l’imagine ». Le rapport est moins catégorique : il relève la « quasi-inexistence » et une « approche floutée » du sexisme dans le droit, même si d’autres notions comme le harcèlement peuvent être mobilisées.


Stéréotypes
Une autre enquête, publiée ce vendredi par la Drees pointe à la fois le chemin parcouru et celui restant. « Les mentalités changent » mais « le sexisme n’a pas disparu, et notamment le sexisme au travail, qui a la vie dure », a résumé Marisol touraine. Selon cette enquête de la Drees , 21% des personnes interrogées sont « plutôt d’accord » pour dire que « dans l’idéal, les femmes devraient rester à la maison pour élever leurs enfants », une proportion en baisse de 12 points depuis 2008. Et un quart des hommes (24%)... et des femmes (23%) pensent encore qu’un homme a naturellement plus d’autorité.
@DerekPerrotte
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3.284 euros mensuels sont nécessaires à un couple avec deux enfants pour une vie décente 3.284 euros mensuels sont nécessaires à un couple avec deux enfants pour une vie décente
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La fonction publique n'échappe pas aux inégalités hommes-femmes La fonction publique n'échappe pas aux inégalités hommes-femmes
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"Seigneur, je n'en peux plus" : prêtre pendant 26 ans, j'ai tout quitté pour me marier,amour,couples,

7 Mars 2015, 03:25am

Publié par hugo

"Seigneur, je n'en peux plus" : prêtre pendant 26 ans, j'ai tout quitté pour me marier
Publié le 04-03-2015 à 16h35 - Modifié le 05-03-2015 à 11h22
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Par Pierre Blanc
Ancien prêtre
LE PLUS. Un prêtre peut-il renoncer à son sacerdoce par amour ? Pierre Blanc a rencontré Christine en 1998. Pendant plus de dix ans, il a réfléchi à l'idée de quitter sa paroisse au nom d'un amour interdit par sa religion. Aujourd'hui, il est marié et a décidé de raconter son histoire dans "J'ai quitté ma paroisse pour l'amour d'une femme" (Presses du Chatelet).
Édité et parrainé par Louise Auvitu
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Pierre Blanc a été prêtre pendant 26 ans. Il a décidé de quitter sa paroisse pour se marier. (Olivier Dion)

Voilà quatre ans, j’ai vécu un grand changement dans ma vie. J’avais alors 53 ans. Depuis l’âge de 27 ans, je suis prêtre dans l’Église catholique, engagé à vivre dans le célibat. Mais le célibat, quand on est jeune, on pense qu’on le vivra bien, avec l’aide de Dieu.

Mais les réalités de la vie, l’histoire personnelle, la solitude affective malgré les nombreuses rencontres avec les paroissiens, font que pour être fidèle à soi-même, il est parfois nécessaire de changer.

J'ai rencontré Christine, nous sommes devenus amis

J’ai rencontré pour la première fois Christine en 1998, lorsqu’elle est venue inscrire sa fille aînée au catéchisme. Lorsque chaque parent s’est présenté en début de réunion, Christine a évoqué sa situation de femme seule, divorcée, avec deux enfants.

En juillet 1999, elle téléphone à la paroisse, demande à me rencontrer. Je l’accueille dans l’heure qui suit. Ses paroles et ses larmes montrent une profonde souffrance. Je l’écoute. Pour elle, ce soir du 13 juillet marque le début d’une renaissance.

Entre nous commence alors un chemin d’amitié, nous échangeons beaucoup sur la foi chrétienne, sur la vie de l’Eglise, sur nos souhaits d’un renouvellement de sa structure que nous trouvons parfois bien loin des évangiles et des paroles de Jésus. Régulièrement elle m’invite à partager le repas, un moment de convivialité où ses enfants sont heureux de ma présence et de jouer un moment avec moi !

Je m'interdis de penser à l'amour

Deux ans plus tard, je suis nommé dans une autre paroisse. "Qu’allons-nous devenir sans vous ?", réagit Christine. Nous continuons à nous voir les premiers temps, mais assez vite la distance s’installe et nous perdons un peu contact.

De mon côté, la nouvelle responsabilité qui m’est confiée me fait glisser dans une dépression. De fait, en mai 2002, je m’arrête. L’évêque veut me nommer ailleurs, je refuse et décide contre sa volonté de m’octroyer un temps de rétablissement psychique et physique (j’ai perdu douze kilos en six mois).

Christine reprend contact après ma reprise dans une autre paroisse du diocèse. En 2006, elle change d’orientation professionnelle et devient salariée d’une paroisse proche de chez elle, pour suivre l’éveil religieux des petits, la catéchèse des enfants et l’aumônerie scolaire des ados. Son changement de travail va nous conduire à nous rapprocher pour échanger nos idées sur sa nouvelle activité. Nous sommes heureux de ces échanges.

Au fil du temps, je me rends bien compte que Christine compte pour moi. Mais je suis prêtre, je m’interdis de penser que cette amitié est un amour. En plus, elle me vouvoie et garde une distance envers moi.

Je saurais plus tard qu’elle aussi a des sentiments pour moi, mais elle s’interdit elle aussi d’employer le mot amour.

"Seigneur, je n’en peux plus, j’arrête."

Février 2010. Une intervention chirurgicale m’oblige à prendre un temps de repos. Christine m’invite chez elle, deux semaines "en famille" nous obligent à voir la réalité de nos sentiments et d’en parler.

De là commence pour moi un long temps d’interrogation : que faire de cet amour que je n’avais pas voulu reconnaître, appeler par son nom ? Trois mois difficiles car il y a non seulement l’amour mais aussi un mal-être dans le fonctionnement de l’Église, qui s’amplifie de jour en jour.

Je ne me retrouve plus guère dans ces règlements qui enferment les personnes alors que Jésus est venu apporter la libération des cœurs et des esprits. J’avais le sentiment que si je restais dans le ministère de prêtre, je vieillirais en étant aigri, triste. Je ne voulais pas cela car un prêtre malheureux ne peut pas rendre ses paroissiens heureux.

Le 8 mai 2010, je prends la décision au plus profond de mon cœur :

"Seigneur, je n’en peux plus, j’arrête."

Je n'ai pas pu annoncer ma décision à mes paroissiens

Comment ma hiérarchie va-t-elle réagir ? Je ne me fais pas d’illusions.

De fait, entre juin et septembre, je vois très souvent l’évêque, à sa demande. Chaque rencontre est une épreuve. Il exige que je coupe immédiatement toute relation avec "cette femme", ainsi l’appelle-t-il car je ne lui ai jamais dit qui elle est.

L’évêque me dit à plusieurs reprises que tous les prêtres qui renoncent au ministère sont malheureux. De plus, il exige que je garde le silence sur ma demande et lorsque finalement je confirme ma décision de quitter le ministère de prêtre, il m’interdit de l’annoncer moi-même aux paroissiens.

Il ira lui-même annoncer la nouvelle, voulant ainsi montrer à tous la gravité de ma décision.

Ma foi est là, bien vivante

Deux semaines après le 10 octobre 2010, date de mon départ de la paroisse, l’évêque demande à nous rencontrer. Son bref passage à la maison laissera des traces en nous, car il dépasse son rôle d’évêque : très en colère, il envoie Christine en enfer et me promet le jugement de Dieu.

Difficile après tout cela de se reconstruire. De plus, aucune aide à la reconversion professionnelle ne m’est proposée, ni aucun soutien financier, je disparais des listes du diocèse du jour au lendemain. Mais notre bonheur d’être ensemble est une force.

Nous aurions pu, suite à la violence des paroles de l’évêque, rejeter non seulement l’Église catholique mais aussi la foi chrétienne, il n’en est rien. Notre foi est là, bien vivante.

Je prends le temps d’écrire mes réflexions, mes questions sur l’Église. Je sais que ce n’est qu’une goutte d’eau, mais c’est ma contribution à son renouvellement en profondeur, en particulier de son institution, si urgent pour notre temps.


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Les inégalités filles-garçons persistent à l'école,egalite,parite,articles femmes hommes,

6 Mars 2015, 00:50am

Publié par hugo



LA PARISIENNE SOCIÉTÉ ENFANTS
Les inégalités filles-garçons persistent à l'école
Une étude de l'OCDE réalisée dans 65 pays démontre que les inégalités persistent entre filles et garçons à l'école. Les filles sont moins représentées en filières scientifiques alors que les garçons sont plus susceptibles de quitter l'école tôt.


05 Mars 2015, 15h25 | MAJ : 05 Mars 2015, 17h08

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ILLUSTRATION. Selon une &eacute;tude de l'OCDE, men&eacute;e dans 65 pays, les gar&ccedil;ons sont plus susceptibles de quitter l'&eacute;cole pr&eacute;cocement et sans dipl&ocirc;me. Les filles sont plus s&eacute;rieuses mais moins repr&eacute;sent&eacute;es dans les domaines scientifiques.&nbsp;
ILLUSTRATION. Selon une étude de l'OCDE, menée dans 65 pays, les garçons sont plus susceptibles de quitter l'école précocement et sans diplôme. Les filles sont plus sérieuses mais moins représentées dans les domaines scientifiques. LP/Florence Hubin
Les clichés ont la vie dure, surtout à l'école, où les différences entre filles et garçons se font toujours sentir. Selon une étude réalisée par l'Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) dans 65 pays différents, les garçons sont plus susceptibles de décrocher de leur scolarité et les filles ont moins tendance à aller vers des études scientifiques.


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Des écarts de réussite clairs et qui ne sont pas dus à des «différences d'aptitudes», souligne l'étude, qui souligne en revanche l'impact de la famille, de l'école et de la société sur ces disparités. L'étude de l'OCDE a été réalisée à partir de données collectées en 2012 avec plus de 500 000 jeunes âgés de 15 ans interrogés.


Résultat : les jeunes hommes sont «plus susceptibles d'être moins engagés vis-à-vis de l'école», de la quitter «précocement» et souvent «sans diplôme», en déclarant que c'est une «perte de temps».


Les garçons travaillent moins, les filles préfèrent les livres


Les demoiselles, arrivées à l'université ou dans le supérieur, sont «sous-représentées» dans les domaines des mathématiques, des sciences physiques et de l'informatique, alors même qu'elles ont plus d'ambition que leurs camarades. Par exemple, en 2012, seules 14 % des jeunes femmes sont inscrites dans ces cursus.


«Les garçons consacrent une heure de moins par semaine que les filles à leurs devoirs» et ils jouent «plus aux jeux vidéos» qu'elles, qui préfèrent les livres, précise le rapport. Les auteurs pointent également le manque de confiance des filles, le rôle des parents, de la société et de l'école. Publiée tous les trois ans, l'étude Pisa («Programme international pour le suivi des acquis des élèves») interroge les élèves sur les mathématiques, la compréhension de l'écrit, les sciences et la résolution des problèmes.


A partir de ces résultats, l'OCDE a notamment mis en évidence dans plusieurs enquêtes que les enseignants français étaient moins évalués et formés au cours de leur carrière, et a relevé des inégalités croissantes en France.


> Venez débattre et poser vos questions sur nos forums !

http://www.leparisien.fr/laparisienne/societe/enfants/les-inegalites-filles-garcons-persistent-a-l-ecole-05-03-2015-4578225.php

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Pension alimentaire : divorcée et mère de 3 enfants, mon ex-mari me dit "Démerde-toi !",parents,economie,enfants,divorce,

4 Mars 2015, 22:22pm

Publié par hugo

Pension alimentaire : divorcée et mère de 3 enfants, mon ex-mari me dit "Démerde-toi !"
Publié le 04-03-2015 à 12h34 - Modifié à 15h49
26 réactions | 18645 lu
Temps de lecture Temps de lecture : 4 minutes
Avatar de Sandrine M.
Par Sandrine M.
Mère divorcée
LE PLUS. Lundi, le gouvernement a lancé un protocole national d’expérimentation de la garantie contre les impayés de pensions alimentaires. Près de 40% des mères ou pères divorcés se heurteraient à la mauvaise volonté de leur ex-compagnon. Sandrine M. est divorcée depuis 2007. Elle n’a quasiment jamais rien perçu de la part de son ex-conjoint.
Édité et parrainé par Louise Auvitu
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Sandrine M. n'a quasiment jamais reçu de pension alimentaire de son ex-mari pour ses 3 enfants. (S. POTTER/IMAGE SOURCE)

Je suis séparée de mon mari depuis 2003, mais le divorce n’a été prononcé que quatre ans plus tard. Le tribunal m’a accordé la garde de nos trois enfants, et a contraint mon ex-mari à verser une pension alimentaire de 105 euros par enfant.

Aujourd’hui, je suis censée percevoir 347 euros par mois pour mes enfants. Je n’ai pourtant quasiment jamais vu la couleur de cet argent.

Plus de 300 euros, ce n’est pas dérisoire

Mon ex-mari a toujours tout fait pour ne pas payer cette somme. La première année, je n’ai pas eu de problèmes car j’ai fait une saisie sur salaire, mais il a fini par démissionner de son travail.

Ce petit manège a continué encore et encore. À chaque fois que j’arrivais à l’obliger à payer, il faisait tout pour être insolvable, puis il déménageait pour qu’on ne puisse pas retrouver sa trace. Six déménagements en deux ans seulement.

Je travaille dans la restauration. Actuellement au chômage, je perçois tout confondu (allocations et chômage) environ 1.600 euros. 300 euros par mois pour m’occuper de mes trois enfants, ça peut paraître dérisoire pour certains. Pas pour moi.

"Démerde-toi"

Quand j’arrive à le joindre pour lui réclamer la pension, il me répondait sans aucune gêne :

"Démerde-toi !"

Pendant toutes ces années, mes enfants et moi avons dû nous serrer la ceinture pour joindre les deux bouts. Les dépenses, je les évite. Par exemple, j’achète très peu de vêtements et heureusement je peux compter sur la générosité et les fonds de placard d’une amie pour habiller la famille.

Aujourd’hui, je dois payer des soins pour la dyslexie de ma fille. J’ai 600 euros de frais médicaux à payer et je ne sais pas comment faire. Il y a peu, je me suis résolue à aller au Secours populaire pour avoir un coup de main.

27.000 euros de pension alimentaire

Je ne me suis jamais opposée à la garde alternée. Je viens d’une famille où chaque parent a son importance. Jamais, je ne lui aurais jamais interdit de voir ses enfants. Pourtant, en 12 ans de séparation, il ne les a vu que trois fois.

J’ai toujours essayé de les préserver, de protéger l’image qu’ils avaient de leur père. Quand ils me demandaient "où est papa ?", je leur répondais :

"Chéri, il ne peut pas venir. Il travaille… Il est loin."

Au bout de quelques années de galère et pas moins de 12 plaintes déposées au commissariat pour "abandon de famille", j’ai craqué et j’en ai parlé à mes enfants.

J’ai finalement décidé de me porter partie civile lors de mon dernier dépôt de plainte. Mon ex-mari a été condamné en mai dernier à 15 jours de prison avec sursis, 300 euros d’amende, et 300 euros de dommages et intérêt. Je trouve ça peu cher payé pour ce qu’il nous doit. J’ai calculé, en huit ans de divorce, il me doit près de 27.000 euros de pensions alimentaires.

Je risque d’être interdite bancaire à cause de lui

Je suis folle de rage contre lui. Non seulement, il ne paye pas la pension mais en plus je risque d’être interdite bancaire à cause de lui.

Pendant les quatre années de séparation avant la proclamation de notre divorce, mon ex-mari a contracté plusieurs prêts. J’avais également fait l’effort de lui laisser notre appartement que nous louions à l’époque. Il n’a pas remboursé ses prêts, n’a pas payé son loyer et ça retombe sur moi.

Aujourd’hui, je suis donc contrainte de payer pour des bêtises qui ne sont pas les miennes, pendant que lui envisage de partir définitivement à La Réunion. Tout ceci me semble bien injuste. J'ai essayé d'alerter les autorités, la justice, les huissiers... mais personne ne semble prendre en compte ma situation.

Le nouveau dispositif ne réglera rien

Je ne suis absolument pas convaincue par le nouveau dispositif de garantie sur les pensions alimentaires. Ce système existe déjà depuis 1984 et je n’ai pas l’impression que cela m’ait aidée d’une quelconque manière.

Je fais partie de la zone test mise en place depuis octobre et je n’ai pourtant pas encore touché l’allocation de soutien familial.

Selon moi, on devrait mieux s’appuyer sur le système belge, américain ou canadien qui consiste à faire appel à une agence de recouvrement pour qu’elle fasse le lien entre les différents parents.

Je suis loin d’être la seule

Je suis épuisée par toute cette histoire. J’ai l’impression que personne ne veut m’écouter. Mais le pire, c’est que des nanas comme moi, il y en a à la pelle.

Certaines sont même dans des situations encore plus délicates. Mon ex-mari ne m’a jamais battue, mais que faire quand votre ex-mari ne paye pas et qu’il faut aller le voir pour réclamer une pension alimentaire ?

Cette histoire a fait de moi quelqu’un de très vigilant. Le prochain homme qui s’approchera de moi devra montrer patte blanche avant que je lui accorde toute ma confiance.


Propos recueillis par Louise Auvitu

Sur le web : Divorces: la garde alternée est-elle une bonne solution?

http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1334519-pension-alimentaire-divorcee-et-mere-de-3-enfants-mon-ex-mari-me-dit-demerde-toi.html

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Parité en politique: Où en est-on?,parite,egalite,articles femmes hommes,

27 Février 2015, 03:00am

Publié par hugo

Politique
EGALITE Selon un rapport du Haut conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes (HCE) dévoilé ce jeudi, les partis politiques doivent encore faire des efforts pour faire progresser la représentation des femmes lors des élections...


Parité en politique: Où en est-on?
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Johanna Rolland a été élue maire par le conseil municipal de Nantes, le 04 04 2014.
Johanna Rolland a été élue maire par le conseil municipal de Nantes, le 04 04 2014. - Sébastien Salom-Gomis/SIPA
Delphine Bancaud
Publié le 26.02.2015 à 15:51
Mis à jour le 26.02.2015 à 15:52
MOTS-CLÉS
égalité hommes-femmes, élections
L’entre-soi masculin serait-il toujours de mise en politique? Le Haut conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes (HCE) a rendu public ce jeudi son rapport sur le sujet et constate qu’après 15 ans d’existence, le principe de parité en politique suscite toujours de fortes résistances. «Dans ce domaine, il n’y a rien de spontané en France. Quand il n’y a pas de contraintes légales, il n’y a pas de parité», résume Danielle Bousquet, présidente du HCE. La preuve par les chiffres.
Lors des élections pour lesquelles il existe une contrainte légale, en matière de représentation des femmes, la parité est presque respectée. Ainsi aux dernières élections européennes, les femmes ont représenté 43,2% des eurodéputés français élus. Les Conseils régionaux comptent aussi 48% des conseillères régionales et 45,5% de vice-présidentes régionales. Dans les communes de 1.000 habitants et plus, 47,5% des adjoints au maire et 48,2% des conseillers municipaux sont des femmes.
Les postes stratégiques échappent encore aux femmes
Là où le bât blesse, c’est lorsque l’on compte sur l’évolution des mentalités pour faire avancer les choses. Car en l’absence de contrainte légale, les hommes demeurent encore très majoritaires parmi les maires (84%), les présidents de conseils départementaux (95%), régionaux (92,7%) ou d’intercommunalité (92,2%).
Et lorsqu’il existe une incitation légale, telle que les retenues financières pour non-présentation de candidatures paritaires aux élections législatives, les résultats sont peu probants. Ainsi 26,9% des députés sont des femmes. «Les partis politiques ont en effet eu tendance à présenter des femmes dans les circonscriptions plus difficiles, voire réputées ingagnables», note le rapport du HCE. Même constat au Palais du Luxembourg, où les sénatrices restent minoritaires (25%), tout comme les conseillères générales et départementales (16,3%).
Des enjeux pour les prochaines élections
Fort de ces résultats, le HCE appelle les partis politiques à faire progresser la parité à la tête des futurs départements et régions, lors des prochaines élections de 2015. Car si les binômes paritaires garantiront la parité des assemblées départementales, rien ne garantit que les présidents et les vice-présidents seront des femmes. Idem pour les élections régionales: si les listes seront nécessairement paritaires, les têtes de listes risquent de n'être que rarement des femmes. «Il faut que les partis politiques soient proactifs pour que la parité puisse progresser dans les exécutifs», insiste Danielle Bousquet.
D’autant que selon elle, le gouvernement a ouvert la voie en prenant différentes dispositions depuis 2012 pour favoriser la parité: l’instauration du non-cumul des mandats, la nomination de plusieurs femmes à des ministères clés, le volet parité dans la loi sur l’égalité réelle entre les hommes et les femmes… L’enjeu est de taille selon Danielle Bousquet, «car veiller à une meilleure représentation des femmes en politique, c’est un moyen de renouer le lien avec la population». Et à l’heure où la défiance des citoyens à l’égard des politiques est à son summum, cela semble encore plus crucial.

http://www.20minutes.fr/politique/1550315-20150226-parite-politique-o

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Montée préoccupante de la puberté précoce,sante,

27 Février 2015, 02:23am

Publié par hugo

Montée préoccupante de la puberté précoce
Le Monde | 23.02.2015 à 16h36 |
Par Stéphane Foucart et Pascale Santi
image: http://s1.lemde.fr/image/2015/02/23/534x0/4581827_3_de54_2015-02-20-2ac2732-5014-cr2q3g_37e507d67992c4ec2b9710fcb7346454.jpg



A 7 ans et demi, Noémie a des seins de la taille d’une clémentine, des poils pubiens, et pose sans cesse des questions à sa maman. Dans la cour – elle est en CE1 –, les autres enfants se moquent souvent d’elle. Noémie présente des signes précoces de puberté. « Les consultations pour ce motif sont de plus en plus fréquentes », alerte le docteur Patricia Bartaire, présidente de l’Association française des pédiatres endocrinologues libéraux, qui vient de lancer avec l’Association française de pédiatrie ambulatoire un appel à mieux informer face à ce « phénomène encore trop souvent méconnu ». « Nous sommes confrontés à une véritable épidémie de puberté précoce », affirme le professeur Charles Sultan, chef du service d’endocrinologie pédiatrique au CHU de Montpellier et chercheur à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, qui suit cette question depuis une vingtaine d’années.


Que veut dire puberté précoce ? Alors que la première manifestation de la puberté survient en général entre 9 et 12 ans chez les filles, avec le développement des seins, et entre 11 et 13 ans chez les garçons, avec l’augmentation du volume des testicules, on parle de puberté précoce quand le développement des caractères sexuels secondaires (seins, poils) survient avant l’âge de 8 ans chez une fille, et du volume des testicules avant 9 ans pour les garçons. La survenue de ces signes avant 6 ans est plus rare, bien que « le développement prématuré de la glande mammaire s’observe de plus en plus chez des filles entre 3 et 7 ans », indique le professeur...


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image: http://s2.lemde.fr/image/2015/02/23/92x61/4581827_7_7021_2015-02-20-2ac2732-5014-cr2q3g_914c873d90a43f3fe89f7888f6213758.jpg

Montée préoccupante de la puberté précoce


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