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Handicap : la mise en accessibilité des bâtiments repoussée,handicap,lois,droits,

29 Juillet 2015, 01:44am

Publié par hugo

Handicap : la mise en accessibilité des bâtiments repoussée
Le Monde.fr avec AFP | 21.07.2015 à 16h26 • Mis à jour le 21.07.2015 à 17h01


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Le Parlement a définitivement ratifié, mardi 21 juillet, l’ordonnance prévoyant de nouveaux délais pour la mise en accessibilité des lieux publics, prenant acte de l’impossibilité d’atteindre l’objectif de 2015 que la loi de 2005 avait fixé, au grand dam des associations de défense des handicapés.
Le Sénat a adopté définitivement le projet de loi, dans la version votée la veille par les députés. La proportion d’établissements recevant du public accessibles aux handicapés est estimée à environ 40 %.
Lire aussi : L'état des lieux de l'accessibilité des lieux publics aux handicapés


Les acteurs publics et privés qui ne se sont pas mis en conformité avec l’obligation d’accessibilité doivent déposer en mairie ou en préfecture, d’ici à octobre, un « agenda d’accessibilité programmé » (ou « Ad’ap »), dans lequel ils s’engagent à réaliser les travaux dans un certain délai.
Jusqu’à 9 ans pour se mettre en conformité
Ce délai sera de trois ans maximum pour « 80 % des établissements », à savoir ceux qui ont une capacité d’accueil de 200 personnes maximum. Des durées plus longues, pouvant aller jusqu’à six voire neuf ans, sont prévues dans d’autres cas, comme les structures de plus grande capacité, les patrimoines comprenant plusieurs établissements et ceux qui sont « en difficulté financière avérée ».
Pour les transports, les délais maximums seront de trois ans pour les transports urbains, de six ans pour les interurbains et de neuf ans pour le ferroviaire.
En déposant ces agendas, les acteurs concernés éviteront les sanctions pénales prévues par la loi de 2005 en cas de non-respect des obligations d’accessibilité (45 000 euros d’amende). Mais ceux qui ne déposent pas un Ad’ap seront passibles d’une sanction de 2 500 euros et s’exposeront à des poursuites pénales.


En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/societe/article/2015/07/21/handicap-la-mise-en-accessibilite-des-batiments-repoussee_4692639_3224.html#sEHxc6PhvH6z2Sc1.99

http://www.lemonde.fr/societe/article/2015/07/21/handicap-la-mise-en-accessibilite-des-batiments-repoussee_4692639_3224.html

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"On est pauvres, on est cons" : le racisme social au quotidien,racisme,societe,

29 Juillet 2015, 01:25am

Publié par hugo

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Actualités > Société > "On est pauvres, on est cons" : le racisme social au quotidien
"On est pauvres, on est cons" : le racisme social au quotidien
Arnaud GonzaguePar Arnaud Gonzague
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Publié le 26-07-2015 à 17h54
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Les discriminations envers les plus démunis seront bientôt pénalisées par la loi. "Cassos", "irresponsables", "profiteurs", ils nous racontent le racisme social vécu jour après jour.
Marie-France Zimmer, Océane et Olivier Chappelle, de Pont-sur-Madon, dans les Vosges : "On est traité comme des gamins". (Mathieu Cugnot pour L'Obs)Marie-France Zimmer, Océane et Olivier Chappelle, de Pont-sur-Madon, dans les Vosges : "On est traité comme des gamins". (Mathieu Cugnot pour L'Obs)


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Elle m'a dit : 'Désolée, on ne prend pas ces gens-là.'"


Au téléphone, la secrétaire de l'ophtalmologiste ne faisait pas une reprise de la chanson de Jacques Brel : elle a simplement signifié à Micheline Adobati que son patron ne recevrait pas les bénéficiaires de la couverture maladie universelle (CMU). A savoir ces Français exclus du système de la Sécurité sociale, ou trop pauvres pour bénéficier d'une complémentaire.


"Elle m'a dit 'ces gens-là' ! Non mais, tu vas voir ce qu'ils vont te faire, ces gens-là !" fulmine cette quinquagénaire à la carrure de malabar et à la voix de rogomme, "au RSA [revenu de solidarité active, NDLR] depuis trois ans". Elle a fulminé… et raccroché sans protester.


Je ne suis pas du genre à laisser passer, mais se faire mal parler, on finit par en prendre comme qui dirait l'habitude. Parce que ça arrive tout le temps."


Sirotant un café dans son F5, cité du Haut-du-Lièvre, à Nancy, Micheline, par fierté, peine à l'avouer, mais la discrimination, c'est son quotidien. "Comme tous ceux d'ici", précise-t-elle avec un accent lorrain à couper au couteau. "Ici", le quartier le plus "mal fréquenté" de la ville, où elle réside depuis plusieurs décennies.


"On est pauvres, on est


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pauvreté exclusion discriminations ATD Quart-monde stigmatisation racisme social

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http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20150723.OBS3041/on-est-pauvres-on-est-cons-le-racisme-social-au-quotidien.html

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Existe-t-il un pénis parfait ? Non, c'est la science qui le dit. Et c'est tant mieux!,sante,sexes,

29 Juillet 2015, 01:08am

Publié par hugo

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Existe-t-il un pénis parfait ? Non, c'est la science qui le dit. Et c'est tant mieux
Publié le 25-07-2015 à 10h56 - Modifié à 18h30
5 réactions | 17953 lu


Temps de lecture Temps de lecture : 2 minutes
Avatar de Alexia Bacouël
Par Alexia Bacouël
Sexothérapeute
LE PLUS. Existe-t-il un pénis idéal ? Des chercheurs de l'université de Zürich ont exposé 105 femmes entre 16 et 45 ans à des photos de pénis traités ou non chirurgicalement pour une malformation. Conclusion, la différence entre les deux est mal perçue par les femmes. Pour notre sexothérapeute Alexia Bacouël, c'est une très bonne nouvelle. Et on peut en tirer beaucoup d'enseignements.


Édité par Henri Rouillier
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Sextoys et "twerkingbutt", une autre façon d'envisager la sexualité. (JS EVRARD/SIPA)

Une étude a été menée par des chercheurs de l'université de Zürich sur la perception qu’avaient certains hommes de leur pénis après avoir corrigée chirurgicalement une hypospadias (malformation du méat urétral). Bien que les professionnels de la santé considèrent ces résultats satisfaisants, certains patients perçoivent l’apparence du pénis anormale.

Jusque-là rien de très intéressant si l’on n’est ni médecin, ni concerné… Mais ne nous arrêtons pas là !

6 critères d'observation

Ces chercheurs ont voulu observer la perception que les femmes avaient des pénis ayant subis cette chirurgie. De cette façon, ils ont pu identifier les critères qui retenaient l’intention des femmes lorsqu’elles regardaient le pénis d’un homme.

Les trois universitaires se sont basés sur les réponses de 105 femmes âgées de 16 à 45 ans.

Les critères qui retiennent d’avantage l’intention des femmes dans cette étude sont, dans l’ordre :

1. l'apparence esthétique générale ;
2. l'apparence des poils pubiens ;
3. la peau du pénis ;
3 bis. la circonférence du pénis (il n’y a pas de 4) ;
5. la forme du gland ;
6. la longueur du pénis ;
7. l'apparence du scrotum ;
8. la position et la forme du méat urétral.

La partie qui a le moins d’importance est justement le sujet d’étude, que les médias ont détourné ces derniers jours pour faire des articles sensationnels.

Les résultats ont indiqué simplement que les femmes perçoivent les pénis avec un hypospadias distal corrigé (qui représente la majorité des hypospadias) comme normaux. Cette anomalie n'a pas vraiment d'importance pour les femmes, il n'est donc pas nécessaire de faire une intervention chirurgicale s’il s'agit uniquement de réparer l'aspect visuel.

La taille du pénis n’est pas si importante

Contrairement à ce que l’on aurait pu croire, l’importance de la longueur du pénis arrive seulement en sixième position dans les critères qui retiennent l’attention des femmes !

Pourtant, nous savons combien la taille du pénis peut être source d’anxiété chez beaucoup d’hommes.

D’ailleurs, dans une autre enquête effectuée sur plus de 50.000 hommes et femmes hétérosexuels, 85% des femmes ont déclaré qu'elles étaient satisfaites de la taille du sexe de leur partenaire, tandis que seulement 55% des hommes étaient satisfaits de leurs membres, ce qui suggère que si la taille du pénis est une question récurrente, elle existe principalement dans la tête des hommes.

Bien évidemment, d’autres enquêtes vous diront à peu près l’inverse. Une autre étude, datant de 2013, permettait d’observer que la taille du pénis influençait l’attrait exercé sur les femmes.

Du coup… Que pouvons-nous tirer de ces résultats ?

Une question de relativité

Puisque les études prouvent une chose et son contraire, il me semble qu’à cette question il n’y ait pas une vérité absolue. Cessons de vouloir toujours rassurer. Certaines femmes aiment les gros pénis, d’autres s’en moquent totalement.

Ce qu’il faut savoir, c’est que le vagin est un conduit long d’en moyenne 8 cm (il varie entre 4 et 14cm selon les femmes) et de largeur variable du fait qu’il soit très extensible. De plus, le "point G" (je préfère parler de zone G) est techniquement situé au niveau de la face antérieur du vagin (en direction du ventre) à environ 2 ou 3 cm de profondeur. Autant dire à l’entrée du vagin. Le plaisir découle d’avantage d’une certaine technique qu’autre chose.

De plus, rappelons que les corps répondent à des codes d’attraction, et qu’avant de s’attarder sur l’esthétique des corps, l’alchimie joue un rôle prépondérant.




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Droits de l’enfant : les « échecs » de la France,enfants,droits,

29 Juillet 2015, 01:06am

Publié par hugo

Droits de l’enfant : les « échecs » de la France
Le Monde.fr | 09.06.2015 à 04h14 • Mis à jour le 09.06.2015 à 13h47


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image: http://s2.lemde.fr/image/2015/06/09/534x0/4649966_6_edf8_en-france-plus-de-3-millions-d-enfants-soit_82311420449fc38359472bf37b5ae50b.jpg


En France, plus de 3 millions d'enfants, soit un sur cinq, vivent sous le seuil de pauvreté, 30 000 sont sans domicile, 9 000 habitent des bidonvilles selon l'UNICEF.
L’Unicef dresse un bilan alarmant. En France, plus de 3 millions d’enfants, soit un sur cinq, vivent sous le seuil de pauvreté, 30 000 sont sans domicile, 9 000 habitent des bidonvilles et 140 000 arrêtent l’école chaque année, s’alarme le Fonds des Nations unies pour l’enfance dans un rapport rendu public mardi 9 juin.


Entre 2008 et 2012, 440 000 enfants supplémentaires ont plongé, avec leurs familles, dans la pauvreté, avance encore cette étude réalisée sur les moins de 18 ans, intitulée « Chaque enfant compte. Partout, tout le temps » et qui met en lumière les zones d’ombre de l’application de la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE). La France, comme tout Etat l’ayant ratifié, est tenue de rendre compte, tous les cinq ans, de l’effectivité de ses engagements internationaux et des actions entreprises pour la mise en œuvre de la CIDE, rappelle l’Unicef.


« Notre rapport [remis aux experts du Comité des droits de l’enfant] est un cri d’alarme qui doit pousser les autorités à agir d’urgence et de manière plus efficiente pour chaque enfant », insiste Michèle Barzach, présidente d’Unicef France.


« Situations indignes »


« En dépit d’efforts considérables (…), la France échoue en partie à l’égard de l’enfance et de la jeunesse et ce sont les plus fragilisés par la pauvreté, l’exclusion sociale, les discriminations, mais aussi par cette période si particulière qu’est l’adolescence, qui en payent le plus lourd tribut », poursuit Mme Barzach dans ce rapport, qui dénonce notamment « la situation inacceptable des enfants migrants non accompagnés et/ou vivant en bidonvilles ». Privés de leurs droits fondamentaux, victimes de discriminations, ces mineurs isolés étrangers « comptent parmi les plus vulnérables ». Cela conduit « à des situations indignes », alerte Mme Barzach, comme la traite des êtres humains.


Lire : Près de la moitié des ados français en état de « souffrance psychologique », selon l'Unicef


Autre sujet de « forte inquiétude et de déception », l’abandon d’une réforme d’envergure de la justice pénale pour mineurs. Le glissement de celle-ci vers celle des adultes opéré dans les années 2000 est en contradiction avec les principes de la CIDE et l’esprit de l’ordonnance de 1945, souligne le rapport. Les tribunaux correctionnels pour mineurs n’ont ainsi toujours pas été supprimés, malgré les promesses gouvernementales. L’Unicef France demande par ailleurs qu’un seuil de responsabilité pénale soit fixé, à l’âge le plus élevé possible, sans exception prévue, et assorti d’un critère complémentaire de discernement.


Le rapport fustige également le système éducatif français, qui « creuse les inégalités », ainsi que les disparités territoriales « de plus en plus marquées, particulièrement criantes en France ultra-marine ». « La stratégie globale pour l’enfance n’existe toujours pas » en France, déplore Mme Barzach. Il n’y a pas de véritable politique publique de l’enfance et de l’adolescence consolidée et articulée, ni de mécanisme de suivi et d’évaluation à la hauteur. « Nous pourrions faire beaucoup mieux avec les mêmes moyens », conclut la présidente.


DISCUSSION Les jeunes doivent-ils quitter la France pour réussir ?
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En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/societe/article/2015/06/09/droits-de-l-enfant-les-echecs-de-la-france_4649967_3224.html#We4LmeB19mWso2cu.99

http://www.lemonde.fr/societe/article/2015/06/09/droits-de-l-enfant-les-echecs-de-la-france_4649967_3224.html#&utm_source=ExtensionFactory.com&utm_medium=extension&utm_content=newtab&utm_campaign=extension

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Les SDF ont été plus nombreux à appeler le 115 en 2014,societe,

29 Juillet 2015, 00:59am

Publié par hugo

Les SDF ont été plus nombreux à appeler le 115 en 2014
Edité par J.F avec AFP
le 27 juillet 2015 à 15h37 , mis à jour le 27 juillet 2015 à 15h58.
TEMPS DE LECTURE
3min
SDF mendicité sans abri misère sans domicile fixe clochard
Image d'archives / Crédits : Sxc Haloocyn


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sans abris , pauvreté , famille , appel
NOTRE SOCIÉTÉ
Le nombre de sans-abris ayant appelé le 115 pour solliciter un hébergement en 2014 a augmenté de 4% par rapport à 2012. Davantage de familles ont composé le numéro, selon le baromètre du 115 publié ce lundi.
Le baromètre du 115, numéro d'urgence des SDF, publié ce lundi, révèle que le nombre de sans-abris ayant sollicité un hébergement en 2014 a augmenté par rapport à 2012, avec davantage de femmes et d'enfants. Mais près de la moitié n'ont jamais obtenu de places.


Les demandes d'abri (centres d'hébergement, hôtels, etc.) ont augmenté de 26% en 2014 par rapport à 2012, avec plus de 771.500 demandes, faites par 97.600 sans-abri dans les 37 départements du baromètre 115.


Si l'on compare avec la seule année 2013, ces demandes se sont toutefois réduites (-5%,), mais cet infléchissement semble surtout résulter des nombreux renoncements au printemps de la part de SDF, en raison de la fermeture de places hivernales, souligne M. Gueguen, directeur général de la Fédération nationale des associations de réinsertion sociale (Fnars). Ce dernier déplore que "depuis le début du quinquennat de François Hollande, la situation des sans-abris s'est plutôt dégradée".


Les SDF sollicitent plus le numéro pendant l'hiver


Les appels au 115 restent "marqués par la gestion au thermomètre de l'hébergement", note la Fnars. Ainsi, les personnes le sollicitent davantage pendant les mois d'hiver, lorsque les capacités d'hébergement sont renforcées, et moins le reste de l'année, où elles sont confrontées à des réponses négatives.


D'une moyenne de 51.200 demandes mensuelles en 2012, les demandes sont passées à 64.300 en 2014. Cette progression s'explique par la hausse du nombre de sans-abri ayant sollicité le 115 (+4%, soit 3.500 personnes supplémentaires), mais aussi par un plus fort renouvellement des demandes, lié aux nombreuses réponses négatives et aux faibles durées des accueils (souvent une seule nuit).


104.000 personnes ont demandé de l'aide via le 115 en 2014


Au total, si l'on inclut les appels pour des demandes de prestations (écoute, informations relatives à un hébergement, renseignement sur l'aide alimentaire, mise en relation avec un travailleur social, etc.), près de 104.000 personnes ont sollicité ce numéro d'urgence l'an dernier.


Les hommes seuls constituent toujours la majorité du public (42%), mais leur nombre a baissé de 2,4% (41.200 personnes), même si leurs demandes ont
augmenté de 18%.


20.600 mineurs ont été concernés par un appel au 115


"On constate une hausse inquiétante des demandes des familles et des mineurs", souligne Florent Gueguen. Les familles représentent désormais 39% du public (+16%), avec des appels en forte hausse (+34%), et plus de 20.600 mineurs (+18%) ont été concernés par un appel au 115.


Les femmes seules sont aussi plus nombreuses (+6%), avec des demandes qui
ont augmenté de 30%.


Une minorité du public (10%) est composée de travailleurs pauvres, qui ont un emploi mais ne peuvent se payer un logement.


Près de la moitié des demandes d'hébergement ont été rejetées


Près de la moitié des sans-abri qui ont demandé un hébergement, soit "près de 48.000 personnes", n'ont jamais obtenu de solution malgré leurs sollicitations (+14% par rapport à 2012). Un chiffre "énorme", qui ne concerne qu'"une partie du territoire", hors Paris, souligne Florent Gueguen. Seule une minorité (17%) a été systématiquement hébergée, et 34% ont eu des réponses partielles.


L'absence de places disponibles reste la principale cause (77%) des réponses négatives.


Plus de vidéos

http://lci.tf1.fr/france/societe/les-sdf-ont-ete-plus-nombreux-a-appeler-le-115-en-2014-8638915.html

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Comment Voltaire a écrit le "Traité sur la tolérance",respect,religion,

29 Juillet 2015, 00:43am

Publié par hugo

ctualités > Bibliobs > Essais > Comment Voltaire a écrit le "Traité sur la tolérance"
Comment Voltaire a écrit le "Traité sur la tolérance"
Grégoire LeménagerPar Grégoire Leménager
Voir tous ses articles


Publié le 02-08-2013 à 10h02
Mis à jour le 15-01-2015 à 11h18
A+A-
Laïcité, liberté, fanatisme, satire... Aujourd'hui, on se vaccine contre la bêtise: la tolérance, il y a un livre pour ça.
VOLTAIRE (1694-1778), quand il valait 10 francs. (DR)VOLTAIRE (1694-1778), quand il valait 10 francs. (DR)


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50 nuances de haine : la réponse de Kamel Daoud, menacé par un appel à la fatwa
La bonne ville de Toulouse n'a pas toujours été cette capitale du bien-être où l'on voit la vie en rose en se dandinant sur les refrains citoyens du groupe Zebda. Le 10 mars 1762, on y tortura savamment un père de famille sexagénaire. Il était protestant. L'idée générale, puisqu'un jugement du Parlement local l'avait condamné à mort la veille pour ce motif, était de lui faire avouer au passage qu'il avait tué son fils pour l'empêcher de se convertir au catholicisme.


Comme le fils s'était pendu sans l'aide de personne, le père n'avoua rien du tout. Ce ne fut pas faute d'insister. On lui étira les membres grâce à un ingénieux système de poulies. Puis on lui fit avaler dix cruches d'eau. Puis on l'installa sur une roue, où on lui fracassa les jambes et les bras. Puis on le laissa y crever, après deux heures d'agonie. Enfin, on l'étrangla, on brûla son corps, et qu'on n'en parle plus.


On n'avait pas fini d'en parler. Le protestant s'appelait Jean Calas. «Nous ne valons pas grand-chose, mais les huguenots sont pires que nous, et de plus ils déclament contre la comédie», commence par lâcher Voltaire quand il est mis au courant de l'histoire (sa tendresse pour les huguenots est assez mesurée). Mais quelque chose le chiffonne très vite, quand il songe à cette «scène qui fait dresser les cheveux sur la tête».


Le grand-père du journalisme d'investigation


Il observe que tous les juges n'étaient pas d'accord, repère des incohérences dans leur verdict, demande où sont les preuves, les témoins, la vraisemblance. Il «supplie» un cardinal de le renseigner. Il se souvient qu'on a également exécuté, en début d'année, le pasteur Rochette et trois gentilshommes protestants dans cette même ville de Toulouse, qui «solennise encore tous les ans, par une procession et par des feux de joie, le jour où elle massacra quatre mille citoyens hérétiques» à l'époque des guerres de Religion. Il accumule les détails. Il reconstitue les faits à coups de plume. C'est qu'il s'y «intéresse comme homme, un peu même comme philosophe».


Sait-il qu'il est en train d'inventer, bien longtemps avant Edwy Plenel, le journalisme d'investigation? Peu importe, Voltaire l'invente, avec ce qui lui reste d'illusions sur la nature humaine:


Si quelque chose peut arrêter chez les hommes la rage du fanatisme, c'est la publicité.


Les conclusions de son enquête sont prêtes en avril 1763. C'est beaucoup plus qu'une enquête. C'est le «Traité sur la tolérance». Il n'a pas grand-chose d'un traité, et tout d'un chef-d'oeuvre. L'auteur de «Candide» y joue à l'historien des moeurs, au tragédien, au clown, au grand prêtre théiste. Il prétend, vieille rengaine, que la France est en retard sur le reste du monde. Il s'adresse aux puissants, au bon sens, à Dieu. Le feu d'artifice est grandiose, le pot-pourri éblouissant. Plus postmoderne que ce classique, il n'y a pas.


Ici, un pastiche de prose jésuite; là, un remake de Pascal pour rappeler aux hommes qu'ils sont des fourmis égarées dans le cosmos ; puis, un hilarant «dialogue entre un mourant et un homme qui se porte bien»; et là enfin, une apologie de la sagesse chinoise en forme de microconte philosophique. Voltaire est au sommet de son art. A l'intérieur d'une même phrase, qui pourtant file droit comme une flèche, il donne une gifle à droite, fait un clin d'oeil à gauche, ricane, tire une larme au lecteur. C'est pour mieux lui soumettre, bien humblement, ce genre de QCM:


Voyons maintenant si Jésus-Christ a établi des lois sanguinaires, s'il a ordonné l'intolérance, s'il fit bâtir les cachots de l'Inquisition, s'il institua les bourreaux des autodafés.


Le lecteur, lui, n'a plus qu'à méditer, et à tirer les conclusions qui s'imposent.


Voltaire, pour ou contre l'interdiction du voile intégral?


La première est élémentaire :


Ne fais pas ce que tu ne voudrais pas qu'on te fît.


Pour bien montrer à Voltaire que ce principe n'a rien d'universel, on fait interdire son livre. Mais on n'emprisonne pas les idées de Voltaire. Le 9 mars 1765, à la suite d'une requête du Conseil d'Etat, Calas est réhabilité.


Dans la bagarre, l'auteur du «Philosophe ignorant» ne s'est pas encombré de considérations métaphysiques, qui ne mènent qu'à s'entre-trucider «pour des paragraphes». Et s'il injecte un peu de moraline dans sa prose pleine d'«épices», c'est sans excès: il n'est pas de ces citoyens zélés qui, les droits de l'homme à la bouche, exigent des lois, encore des lois et toujours plus de lois pour ramener les imbéciles dans le droit chemin. Aurait-il applaudi celle qui interdit le port du voile intégral dans l'Hexagone? Pas sûr, même s'il se battrait sans doute comme un diable contre un régime imposant ce genre de fantaisie vestimentaire.


Il est un pionnier de la laïcité à la française, si l'on veut, puisqu'il prône une séparation de l'Eglise et de l'Etat. Et la très influente Internationale des jésuites est sa tête de Turc favorite parce qu'elle tire ses ordres d'une puissance étrangère basée au Vatican. Mais s'il plaide ici en faveur d'une minorité religieuse martyrisée par l'idéologie dominante, il ne réclame pas un nouvel édit de Nantes. Cet esprit pragmatique ne demande qu'un peu d'indifférence, une sorte de droit à l'erreur. Il sait trop bien que les protestants, quand ils ont du pouvoir et des armes, peuvent être aussi sanguinaires que les autres.


"Le ridicule est une puissante barrière..."


On a beaucoup voulu faire de lui un fanatique de la tolérance, parce qu'il ricanait assez méchamment des extrémistes juifs, catholiques et huguenots, tout en condamnant l'athéisme au motif que «l'homme a toujours eu besoin d'un frein». Il est possible qu'on se soit un peu trompé. Ce «don Quichotte des malheureux» est le contraire d'un laïcard enragé. Il n'ignore pas que l'intolérance fabrique des martyrs, qui fabriquent de l'intolérance, etc.


Au fond, Voltaire a beau être écrivain français jusqu'au bout des ongles, il sait aussi se montrer très britannique quand la raison l'exige. L'argument de l'auteur des «Lettres anglaises» est toujours le même, qu'il martèle sur tous les tons: foutez la paix aux gens pourvu qu'ils foutent la paix aux autres. Libre à eux, tant qu'on les tient à l'écart de la sphère politique, d'être assez crétins pour se déguiser comme ci ou comme ça, que ce soit en pénitent blanc, gris ou noir.


Pour ceux-là, il n'y a de toute façon qu'une chose à faire: rire, puisque «le ridicule est une puissante barrière contre les extravagances des sectaires». Voltaire, ce «vaccin contre la bêtise», comme disait Emmanuel Berl, qui avait pourtant vu la stupidité humaine battre quelques solides records au XXe siècle.


Grégoire Leménager


A lire :


Traité sur la tolérance, par Voltaire,
présenté par René Pomeau, GF-Flammarion.
Dictionnaire philosophique, par Voltaire, GF-Flammarion.
Mélanges, par Voltaire, Gallimard,
Pléiade, préfacé par Emmanuel Berl.
Voltaire, par Pierre Milza, Perrin.
Voltaire. La légende de saint Arouet,
par Jean Goldzink, Gallimard, Découvertes.


"Voltaire, l'indigné", dans "le Nouvel Obs" du 18 juillet 2013> LEXIQUE. Parlez-vous le néo-facho?


> Quand l'extrême-droite récupère l'héritage de Voltaire


> Voltaire nous manque (par Laurent Joffrin)


> Comment peut-on encore être rousseauiste? (réponses de Marcela Iacub, Jean-Pierre Dupuy, Alain Badiou, Alain Lipietz, Xavier Darcos, Camille Laurens)


> Fouiner dans notre bibliothèque de l'été


Source : cet article est issu du dossier "Voltaire l'indigné", paru dans "le Nouvel Observateur" du 18 juillet 2013.

http://bibliobs.nouvelobs.com/essais/20130731.OBS1618/la-bibliotheque-de-l-ete-voltaire-laicard-or-not-laicard.html

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Le “Traité sur la tolérance” de Voltaire, large succès dans les librairies

29 Juillet 2015, 00:38am

Publié par hugo

Accueil › L'époque › Brèves › Le “Traité sur la tolérance” de Voltaire, large succès dans les librairies
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Le “Traité sur la tolérance” de Voltaire, large succès dans les librairies
Le 19/01/2015


(cc) Flickr / Patrick Janicek
Voltaire et son “Traité sur la tolérance” s’arrachent dans les librairies, suites aux attaques terroristes qui ont bouleversé la France, en ce début d’année 2015.
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Voltaire, tolérance, Théisme, Religion, fanatisme
Le Traité sur la tolérance de Voltaire s’arrache en librairie depuis les attaques terroristes qui ont meurtri la France entre le 7 et le 9 janvier dernier. Il arrive juste derrière Soumission – le roman de Michel Houellebecq tiré à 150000 exemplaires, déjà épuisé et en tête des ventes cinq jours après sa parution, deux jours avant l’attentat qui a visé la rédaction de Charlie Hebdo.
La progression remarquable des ventes du Traité sur la tolérance, largement cité lors des semaines passées, a été confirmée par la maison d'édtion Folio-Gallimard, laquelle a tiré l’ouvrage à 120000 exemplaires dans la collection « Folio 2 euros » en 2003. « Nous avons constaté une hausse très sensible des ventes de cet ouvrage depuis les attaques, et encore plus depuis la marche de dimanche, au point que nous prévoyons une réimpression de 10000 exemplaires », a expliqué la porte-parole de l’éditeur, mardi 13 janvier 2015. « Il est possible qu'elle soit suivie par d'autres réimpressions ».


Affaire Calas
C'est avec le Traité sur la tolérance que Voltaire gagne les galons d’intellectuel engagé, qu’il incarne désormais pour la postérité. Il l’écrit en 1763 en réaction à l’affaire Calas, du nom de ce commerçant protestant accusé d’avoir assassiné son fils (qui s’est suicidé) afin d'éviter que ce dernier ne se convertisse au catholicisme. Jean Calas est torturé, puis brûlé vif.
Voltaire voit d’abord en lui un religieux fanatique, avant prendre vigoureusement sa défense. Ses cibles? Les dévots fanatiques de tous bords. Le philosophe plaide pour le respect des croyances; théiste, il croit en Dieu et en une religion première non défigurée par la superstition et les dogmes de l'Église. Mobilisant l’opinion, il obtient la réhabilitation de Jean Calas en 1765.


Esprit philosophique
Voltaire poursuit dans l’Avis au public sur les parricides imputés aux Calas et aux Sirven publié deux ans plus tard: « Craignons toujours les excès où conduit le fanatisme. Qu’on laisse ce monstre en liberté, qu’on cesse de couper ses griffes et de briser ses dents, que la raison si souvent persécutée se taise, on verra les mêmes horreurs qu’aux siècles passés ; le germe subsiste : si vous ne l’étouffez pas, il couvrira la terre. »
Comment répandre l’esprit de tolérance ? « Voltaire apporte deux réponses, comme le montre Ghislain Waterlot dans le dossier que nous consacrions à l’auteur. La première : en diffusant les Lumières par le moyen d’écrits percutants, car “il faut être très court et un peu salé” pour être lu du public [À Moultou, 1763]. La seconde : en exerçant une influence sur les politiques. Un des rôles du “despote éclairé” est d’introduire l’esprit de tolérance dans le peuple et même de favoriser le théisme. À la différence de Locke, qui veut établir par la tolérance une liberté des Églises tant qu’elles ne se mêlent pas de politique, Voltaire tend à un contrôle du religieux par le politique : les Églises encouragent le fanatisme par le zèle qu’elles suscitent, et elles aveuglent les esprits. Sans forcer les gens, l’idéal serait de tolérer leurs croyances mais de les rendre disponibles à “l’esprit philosophique” en limitant leur dépendance à l’égard des Églises. »
Il est à craindre, comme l’actualité le rappelle tragiquement que cet « esprit philosophique » ne soit pas encore unanimement répandu. Puisse cependant l’engouement pour le Traité sur la tolérance donner des idées et rendre « disponibles » les esprits... Vœu pieux?


Par CÉDRIC ENJALBERT
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http://www.philomag.com/lepoque/breves/le-traite-sur-la-tolerance-de-voltaire-large-succes-dans-les-librairies-11043

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Transports et communication : les dépenses des députés en 2014 dévoilées,economie,

29 Juillet 2015, 00:21am

Publié par hugo

Transports et communication : les dépenses des députés en 2014 dévoilées
P.Th. | 22 Juil. 2015, 15h47 | MAJ : 22 Juil. 2015, 16h36



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ILLUSTRATION. René Dosière dévoile, ce mercredi, les dépensés de l'Assemblée pour les transports ou les moyens de communication des députés.
ILLUSTRATION. René Dosière dévoile, ce mercredi, les dépensés de l'Assemblée pour les transports ou les moyens de communication des députés. LP/OLIVIER BOITET
Transparence bien ordonnée commence par soi-même. Spécialiste des comptes publics et examinateur attentif des dépenses de l'Etat, le député apparenté socialiste de l'Aisne, René Dosière, rend ses rémunérations publiques et dévoile, dans le détail, comment il dépense son indemnité représentative de frais de mandat (IRFM).






Dans une longue note publiée ce mercredi sur son blog, Dosière justifie ses frais et explique comment il parvient à faire tourner sa «petite entreprise de service public». Où l'on apprend que les 5308€ nets d'IRFM reçus chaque mois sont employés comme suit : «Location et entretien du local de circonscription : 1530€ (29%). Frais d’hôtels et de restauration : 850€ (16%). Fournitures diverses et documentation : 740€ (15%). Frais divers liés au mandat : 730€ (14%). Rémunération des collaborateurs (en sus de l’enveloppe ad hoc) : 720€ (14%). Frais de déplacement : 600€ (12%).»


1,5 M€ pour les déplacements en train des députés


L'élu de l'Aisne rappelle qu'en outre, un député touche 5704€ nets par mois et qu'il bénéficie d'une enveloppe de 9504€ mensuels pour rémunérer ses collaborateurs.


Surtout, René Dosière dévoile les autres dépenses prises en charge par l'Assemblée pour l'ensemble des 577 députés, en matière de transports et de communication. On découvre ainsi qu'en 2014, le Palais Bourbon a dépensé 3,9 M€ en billets d'avion, 1,5 M€ pour leurs déplacements en train, 255 000€ pour leurs trajets en métro, 1,1 M€ pour ceux effectués en taxi et 2,6 M€ pour leurs frais de téléphone.


Dosière conclut par cette précision : «Tels sont les éléments d’information que je tenais à fournir dans le cadre d’une transparence sur l’usage des fonds publics qui ne doit pas être confondue avec le voyeurisme.» Et de renvoyer vers le code de déontologie des députés, qui stipule que ceux-ci «doivent rendre compte de leurs décisions et de leurs actions aux citoyens qu’ils représentent» et «agir de manière transparente dans l’exercice de leur mandat».

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Les femmes,"là pour faire des enfants": dérapage sexiste au Sénat,femmes,sexisme,

26 Juillet 2015, 15:52pm

Publié par hugo

Journal des Femmes Société Combats de femmes
Les femmes,"là pour faire des enfants": dérapage sexiste au Sénat
krystelstephant, Mis à jour le 26/07/15 11:10
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Les femmes,"là pour faire des enfants": dérapage sexiste au Sénat
DERNIÈRE MINUTE


Les femmes,"là pour faire des enfants": dérapage sexiste au Sénat
Trop sexy pour être éboueuse ?
Droits des Femmes: des tablettes vieilles de 4000 ans témoignent
Toute l'actualité Société
Le 15 juillet, au Palais du Luxembourg, Jean-François Mayet, sénateur Les Républicains de l'Indre, a estimé que les femmes étaient "quand même là pour faire des enfants…" et qu'elles ne pouvaient pas conjuguer carrière et maternité. Scandale sous les ors de la République.


L’Egalité homme-femme est malmenée chambre haute du Parlement français. Dernière sortie sexiste en date : celle de Jean-François Mayet, sénateur Les Républicains de l’Indre. Lors d’une commission sénatoriale sur la loi Santé, l’homme politique a déclaré que les femmes sont "quand même là pour faire des enfants…". Cette déclaration, retranscrite dans le compte rendu de la réunion de travail a été épinglée par RTL. C’est à l’évocation du problème de désertification médicale que connaissent certains départements que l’ancien maire de Châteauroux a dérapé. Selon lui, la féminisation de la profession de médecin serait une des raisons de ce phénomène. "Au risque de choquer, le libéral que je suis est convaincu qu'on ne résoudra pas la désertification médicale en comptant sur les seuls médecins libéraux. Première raison: les jeunes médecins refusent le libéralisme (…) Une autre cause est la féminisation, puisque 75 % des nouveaux diplômés sont des femmes. Or nonobstant l'égalité elles sont quand même là pour faire des enfants", a déclaré l’ancien chef d’entreprise.


"Gérer deux enfants en bas-âge en même temps qu’une carrière de médecin, ce n’est pas une sinécure "
Le discours de l’élu n’a pas manqué de faire réagir. Notamment la sénatrice UDI, Chantal Jouanno qui a aussitôt rétorqué :"Elles ne sont pas là pour faire des enfants ; elles font des enfants, c'est différent ! " Les propos de l’homme politique ont littéralement fait bondir la Twittosphère : "J'ignore si les femmes "sont là pour faire des enfants". Certains sénateurs sont surtout là pour dire des âneries " ou encore "Jean François Mayet, vous êtes un peu restrictif…On peut faire aussi le ménage, la lessive et les courses". En associant désertification médicale et féminisation de la profession de médecin, on imagine que l'ancien conseiller général voulait postuler au prix de l'humour politique, dans la catégorie "blague misogyne". Enfin, on l'espère...










Voir aussi :


40 journalistes françaises dénoncent le sexisme des politiques
Elles en ont marre. Quarante journalistes spécialisées en politique ont décidé de publier une tribune dans Libération pour témoigner contre les attaques sexistes qu'elles subissent régulièrement de la part des élus et responsables. Edifiant.


Sexisme: une journaliste remet à sa place un cheikh islamiste
Malmenée à l'antenne, Rima Karaki, jeune journaliste pour la chaîne libanaise Al-Jadeed a préféré couper court à son interview en direct avec un cheikh islamiste irrespectueux. La Toile a salué son geste.
http://www.journaldesfemmes.com/societe/combats-de-femmes/1344986-jean-francois-mayet/

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Inde: Un tribunal refuse l'avortement à une adolescente violée à 14 ans,viol,violence,femmes,

26 Juillet 2015, 15:46pm

Publié par hugo

MONDE La haute cour du Gujarat a rejeté jeudi la requête soumise par le père de l’adolescente...


Inde: Un tribunal refuse l'avortement à une adolescente violée à 14 ans
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IMPRIMERENVOYER
Des étudiants lors d'une manifestation contre le viol, à Hyderabad, en Inde, le 13 septembre 2013
Des étudiants lors d'une manifestation contre le viol, à Hyderabad, en Inde, le 13 septembre 2013 - Noah Seelam AFP
A.B. avec AFP
Publié le 24.07.2015 à 15:39
Mis à jour le 24.07.2015 à 15:39
MOTS-CLÉS
Inde, viol, avortement
Un tribunal indien a refusé à une adolescente de 14 ans enceinte de plus de cinq mois le droit d’avorter après avoir été violée par un médecin dans l’Etat du Gujarat (ouest), a annoncé vendredi l’avocat de la victime.
Une décision « difficile »
La haute cour du Gujarat a rejeté jeudi la requête soumise par le père de l’adolescente, la législation indienne interdisant l’avortement après 20 semaines de grossesse, soit cinq mois.
« Le père de la victime est un journalier et n’a pas assez de ressources pour s’occuper de l’enfant qui va naître. Les parents n’ont pas encore décidé s’ils allaient faire appel », a dit l’avocat de l’adolescente, Pradip Bhat.
Le juge Abhilasha Kumari a reconnu qu’il s’agissait d’une décision « difficile », estimant que « quelles que soient les circonstances dans lesquelles l’enfant a été conçu, quel que soit le traumatisme de la jeune mère, il reste que l’enfant n’est pas responsable de sa conception ».
Violée par un médecin
« Il n’a pas demandé à naître. L’enfant est innocent, tout comme la victime, sa mère », a ajouté le juge.
Dans sa requête, le père explique que sa fille est tombée enceinte après avoir consulté en février un médecin qui lui a injecté des sédatifs avant de la violer. Le médecin a été arrêté.
En avril, le même tribunal avait refusé l’avortement à une femme de 24 ans victime d’un viol et enceinte de plus de six mois. La femme avait refusé de garder le bébé, confiant sa garde à un organisme public.
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