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Migrants : 400 places pour héberger les femmes et les enfants à Calais,femmes,

2 Novembre 2015, 19:43pm

Publié par hugo

Journal des Femmes Société Magazine
Migrants : 400 places pour héberger les femmes et les enfants à Calais
Kanitha Thach, Mis à jour le 22/10/15 12:54
JournalDesFemmes.com
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Migrants : 400 places pour héberger les femmes et les enfants à Calais
DERNIÈRE MINUTE


Facebook, plus tolérant avec les racistes qu'avec les femmes nues ?
Sexisme au travail : les équipes mixtes, la clé de l'égalité ?
L'égalité homme-femme rapporterait des dizaines de milliers de milliards
Toute l'actualité Société
Bernard Cazeneuve a annoncé que le nombre de places d'hébergement d'urgence allaient être portées à 400 pour les femmes et les enfants.


Mardi 22 octobre 2015, 800 artistes, intellectuels et journalistes ont écrit une tribune à l'attention du gouvernement, publiée sur Libération, dans lequel ils déploraient le sort des migrants de "la jungle de Calais". L'appel des 800 a bien été entendu : Bernard Cazeneuve s'est rendu le lendemain sur place et a annoncé des mesures visant à améliorer le quotidien des 6000 migrants et réfugiés qui vivent dans cette zone. "Aucune femme, aucun enfant ne demeurera privé d'abri dans cette ville", a assuré le locataire de la place Beauvau. 400 places d'hébergement seront mises à disposition des "publics vulnérables", alors qu'il n'y en a que 100 actuellement. Ces dernières pourront accueillir 200 femmes et enfants dès ce week-end, l'installation de ces hébergements d'urgence devant être terminée dimanche soir.
Le ministre de l'Intérieur a également notifié que 460 gendarmes et CRS supplémentaires allaient rejoindre les forces de l'ordre déjà presentes sur place. "Au total ce sont 1125 fonctionnaires qui assureront au quotidien la sécurisation" et "lutteront contre l'intrusion et l'immigration irrégulière", a-t-il fait savoir.




Migrants : 400 places pour héberger les femmes et les enfants à Calais © Fotolia
Voir aussi :


Migrants : 800 personnalités lancent un appel au gouvernement
800 célébrités, artistes, intellectuels et journalistes ont signé un appel publié sur "Libération", dénonçant le sort des migrants de Calais.


Crise des migrants : envoi d'une mission sanitaire à Calais
Les ministres de l’Intérieur et de la Santé ont envoyé une mission médicale mercredi 14 octobre à Calais, où sont réfugiés 4000 personnes, pour évaluer les conditions sanitaires de cet immense bidonville.

http://www.journaldesfemmes.com/societe/magazine/1430768-migrants-femmes-enfants-hebergement-calais/

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Le cododo nuirait au sommeil de la maman,maman,sante,bebe,

2 Novembre 2015, 19:40pm

Publié par hugo

Le cododo nuirait au sommeil de la maman
Le cododo nuirait au sommeil de la maman2/11/2015
Une nouvelle étude scientifique s’est intéressée aux effets du cododo sur le sommeil des mamans. Et au final, cette pratique engendrerait un sommeil morcelé chez la mère. Explications.
Plus pratique pour l’allaitement mais aussi pour limiter les déplacements, le cododo ou co-sleeping est une pratique de plus en plus privilégiée par les mamans. Mais s’il est bénéfique au sommeil du bébé, qui se sent rassuré par la présence de ses parents, qu’en est-il du sommeil de la maman ? Selon une étude scientifique israélienne publiée dans la revue Sleep Medicine, le cododo nuirait au sommeil des mères qui dorment moins bien et se réveillent plus souvent. En tout, 153 couples venant d’accueillir leur premier enfant ont participé à l’étude. Le rythme de sommeil de la maman a été étudié avant la naissance du bébé, 3 mois et 6 mois après. Chaque mère devait également consigner par écrit chaque réveil nocturne, durant cinq jours consécutifs. Au final, les mères pratiquant le cododo avec leur bébé ont déclaré plus de réveils nocturnes, et avaient un sommeil de moindre qualité par rapport aux mères dormant sans leur bébé. Les réveils nocturnes duraient également plus longtemps. Inconsciemment, les mères seraient en effet davantage en alerte vis-à-vis de leur bébé, soucieuses de savoir s’il va bien. Tout cela résulte tout simplement de l’ instinct maternel, qui s’exprimerait davantage lorsque l’enfant est dans la pièce. Pour les chercheurs, cet effet néfaste du cododo devrait être précisé aux mères lorsqu’elles l’envisagent.
Source : Sleep Medicine
Auteur : Hélène Bour

http://www.parents.fr/Actualites/Le-cododo-nuirait-au-sommeil-de-la-maman-2192465

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TV : le Sénat vote la suppression des publicités dans les programmes pour enfants,enfants,sante,

2 Novembre 2015, 19:36pm

Publié par hugo





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Accueil PARENTS > Actualités > TV : le Sénat vote la suppression des publicités dans les programmes pour enfants
TV : le Sénat vote la suppression des publicités dans les programmes pour enfants
TV : le Sénat vote la suppression des publicités dans les programmes pour enfants22/10/2015
Ce mercredi 21 octobre, le Sénat a voté une proposition de loi prévoyant la suppression de la publicité dans les programmes de télévision pour enfant sur les chaînes publiques.
Ce mercredi 21 octobre, le Sénat a voté, contre l’avis du gouvernement, une proposition de loi écologiste prévoyant la suppression de la publicité dans les programmes de France Télévisions, pour les enfants de moins de 12 ans. Cependant, cette proposition de loi devra être également adoptée par un vote à l’Assemblée nationale pour pouvoir entrer en application, ce qui semble moins probable. Le gouvernement s’oppose en effet à cette initiative, car il craint d’affaiblir davantage les chaînes publiques déjà financièrement fragiles. « L’objectif de cette proposition est louable », a reconnu la ministre de la Culture Fleur Pèlerin au micro de l’AFP. « Mais nous ne devons fragiliser ni les actions qui ont lieu actuellement – je pense à l’autorégulation effectuée par les chaînes elles-mêmes et qui porte ses fruits – ni les finances du secteur public de l’audiovisuel », a-t-elle ajouté. Les groupes RDSE (Rassemblement démocratique et social européen, à majorité appartenant au parti radical de gauche), UDI, Les Républicains et les écologistes ont voté en faveur de ce texte d’André Gattolin, le sénateur Europe-Ecologie-Les Verts des Hauts-de-Seine. « Certes, il ne s’agit que d’un premier pas, mais d’ores et déjà le service public pourra retrouver le chemin vers le devoir d’exemplarité qui est le sien », a-t-il estimé, ajoutant que cette loi met France Télévisions « en cohérence avec les missions de service public qui sont les siennes. » Quand à l’argument financier avancé par le gouvernement, il ne tient pas pour tout le monde. « Qu’est-ce que 10 millions d’euros face aux dégâts de la publicité sur la santé de nos enfants ? », a ainsi scandé Catherine Morin-Desailly, la présidente de la commission de la culture et de la communication. D’autres sénateurs mettent en avant l’aspect lacunaire du texte, qui ne cible pour l’heure que les chaînes de télévision publiques, alors que beaucoup d’enfants se tournent plutôt vers les chaînes privées.
Auteur : Hélène Bour

http://www.parents.fr/Actualites/TV-le-Senat-vote-la-suppression-des-publicites-dans-les-programmes-pour-enfants-2188919

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Chez près d'un enfant sur 10 de moins de deux ans, les écouteurs remplacent la berceuse,sante,bebe;

31 Octobre 2015, 15:48pm

Publié par hugo

home / Nord Pas-de-Calais
Chez près d'un enfant sur 10 de moins de deux ans, les écouteurs remplacent la berceuse
Le casque audio et les écouteurs sont utilisés par des enfants de plus en plus jeunes, près de 10% des enfants de moins de deux ans s'endormant avec eux, selon les résultats d'une enquête Ipsos, publiée jeudi, qui a suscité la consternation des pédiatres et des médecins ORL.
avec AFPPublié le 30/10/2015 | 15:19
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10% des enfants de moins de deux ans s'endormiraient avec un casque audio selon une étude. © MaxPPP
© MaxPPP 10% des enfants de moins de deux ans s'endormiraient avec un casque audio selon une étude.
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"Nous sommes très inquiets de voir que la berceuse est remplacée par le casque", commente Jean-Louis Horvilleur, un audioprothésiste qui a coordonné l'enquête réalisée pour le compte de l'association "la semaine du son" avec notamment le soutien de la Direction générale de la santé (DGS). Selon l'enquête, réalisée auprès de 1500 personnes dont 500 parents d'enfants de 0 à 6 ans, 511 enfants de 7 à 12 ans et 502 adolescents âgés de 13 à 19 ans, 21% des moins de six ans utilisent des casques et des écouteurs, contre 95% chez les adolescents et 74% chez les 7 à 12 ans.


La vraie surprise est venue des enfants de moins de deux ans qui, selon leurs parents, seraient 15% à utiliser des casques et des écouteurs et à s'endormir avec eux lors de longs trajets en voiture (71% de ceux qui les utilisent), mais également dans leur lit (61%), soit 9% de l'ensemble des enfants de moins de deux étudiés. "C'est consternant", résume le Dr Jean-Michel Klein, président du syndicat national des médecins ORL, qui redoute les conséquences sur l'audition à long terme de ces enfants "incapables de dire si le son est trop fort". "On va en faire des sourds à 30 ans", ajoute-t-il.


"C'est de la folie"
Les commentaires sont tout aussi négatifs du côté des pédiatres. "C'est de la folie, on sait déjà que l'écran avant trois ans est déraisonnable, mais le casque sur les oreilles avant l'âge de 6 à 8 ans est tout aussi déraisonnable", estime le Dr François-Marie Caron, ancien président de l'association française des pédiatres. "Le risque c'est l'excitation par rapport au sommeil mais également une stimulation auditive excessive", note-t-il. Mais les tout-petits ne sont pas les seuls à s'endormir avec des casques, les adolescents étant 67% à le faire lors de déplacements en voiture et 69% dans leur lit. Cette évolution inquiète les spécialistes qui relèvent que pour entendre le son dans un endroit bruyant comme une voiture, les jeunes ont tendance à augmenter le son à des niveaux dangereux pour leurs oreilles. Cette crainte est confortée par les parents qui sont 85% à déclarer qu'ils entendent ce que l'enfant écoute avec un casque en voiture sur de longs trajets. Ils sont 95% à entendre également ce que l'enfant écoute à la maison, tandis que 15% des enfants de 7 à 12 ans et plus d'un tiers des adolescents reconnaissent "écouter fort" sur au moins un support (tablettes, ordinateurs, smartphone, jeux vidéos).


Un volume trop élevé provoque un vieillissement "prématuré et irréversible" de l'oreille interne, rappelle le Dr Klein qui conseille aux adolescents de modérer la puissance du son. "90 décibels avec un écouteur crée une pression sur le tympan ressemblant à un tsunami", explique-t-il. Au-delà de la limitation du volume, l'association "la semaine du son" conseille également de limiter le temps d'écoute, de diminuer la fréquence de l'utilisation des écouteurs et de faire des pauses, des conseil qu'une très grande majorité d'adolescents connaissent mais sans forcément les respecter. Selon l'enquête réalisée auprès d'un échantillon national représentatif, les adolescents écoutent en moyenne 2 heures par jour avec un casque et/ou des écouteurs contre une moyenne d'écoute en continu de 31 minutes par jour pour les enfants de 0 à 6 ans. En janvier, la ministre de la Santé Marisol Touraine avait annoncé que la limitation du niveau sonore des casques audio était à l'étude, mais des responsables de fabricants contactés par l'AFP avaient estimé que cette limitation serait compliquée à mettre en oeuvre.
société santé

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/chez-pres-d-un-enfant-sur-10-de-moins-de-deux-ans-les-ecouteurs-remplacent-la-berceuse-840999.html

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"Merci", le mot magique qui fait les mariages heureux,couples,amours,articles femmes hommes,

31 Octobre 2015, 15:40pm

Publié par hugo



"Merci", le mot magique qui fait les mariages heureux
RELAXNEWS Publié le vendredi 23 octobre 2015 à 09h32 - Mis à jour le vendredi 23 octobre 2015 à 10h48




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Quand Barack Obama s'invite à un mariage
Robert Pattinson s’incruste dans un mariage en Irlande!
En lévitation lors de son mariage, un magicien impressionne !
LOVE & SEX
Des chercheurs de l'Université de Georgie (Etats-Unis) se sont intéressés au lien qui peut exister entre une situation financière difficile et la qualité de la vie conjugale en analysant notamment la communication au sein du couple, et plus particulièrement l'expression de la gratitude exprimée entre époux.


Via une enquête téléphonique, l'équipe a interrogé 468 personnes mariées et leur a posé différentes questions sur leur situation financière, les moyens d'expression de gratitude conjugale, ainsi que sur leurs modes de communication. Les résultats de leur étude, publiés dans la revue Personal Relationships, indiquent que l'expression de la gratitude au sein des couples mariés est l'indicateur le plus cohérent et significatif de la qualité maritale.


La gratitude, indique les auteurs, se mesure via le degré d'appréciation, de reconnaissance et d'estime ressenti par le conjoint "après avoir accompli quelque-chose de bien pour l'autre".


"Nous avons découvert que se sentir apprécié et savoir que votre conjoint vous estime influence directement votre ressenti de couple au sein du mariage, le lien de votre engagement et votre conviction qu'il va durer" analyse Ted Futris, co-auteur de cette étude. "Cela va du pouvoir d'un simple merci" explique également Allen Barton, auteur principal. "Même si un couple vit des moments difficiles et de détresse dans d'autres domaines, la gratitude au sein d'une relation de couple peut aider à promouvoir de façon positive l'issue d'un mariage".


L'étude montre également qu'à un niveau élevé, les différentes expressions de gratitude maritale protégeraient du divorce. Elles seraient aussi bénéfiques pour l'engagement des femmes mariées face au manque de communication dans le couple lors d'une dispute conjugale. Une marque d'appréciation peut rapidement contrecarrer les effets négatifs d'un conflit, notent les chercheurs. Les couples stressés s'engagent souvent dans des voies négatives, soulignent les chercheurs. Or, la gratitude peut interrompre ce cycle et les aider à surmonter de mauvaises habitudes de communication.


Cette étude est la première de la sorte à rendre compte des effets protecteurs de la reconnaissance dans l'union maritale. Elle indique aussi comment aider de façon concrète les couples à renforcer leur mariage, en particulier si ce ne sont pas des adeptes de la communication lors de conflits conjugaux.


Sur le même sujet :

http://www.lalibre.be/lifestyle/love-sex/merci-le-mot-magique-qui-fait-les-mariages-heureux-5628d5363570b0f19f9578e0

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Et si juin était le pire mois de l'année pour concevoir un bébé ?,bebe,sante,

31 Octobre 2015, 15:37pm

Publié par hugo

Et si juin était le pire mois de l'année pour concevoir un bébé ?
MIS À JOUR : 29-10-2015 18:27 - CRÉÉ : 29-10-2015 18:14
MATERNITÉ – Et si la période pour concevoir un enfant influait sur le bon déroulement d'une grossesse ? C'est ce que semble penser certains chercheurs. Et pour eux, le mois de juin serait le moins recommandé pour se lancer.


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Les grossesses initiés en juin auraient tendance à donner plus de bébés prématurés.Les grossesses initiés en juin auraient tendance à donner plus de bébés prématurés. PIERANGELI/SIPAPhoto:
Le mois de juin c'est LE mois de toutes les promesses, les jours sont très longs, il fait beau et chaud et les vacances arrivent bientôt. Mais il semblerait que cette période de l'année ne soit pas la plus propice pour concevoir un enfant.


C'est en tout cas ce que pense Paul Winchester, un chercheur de l'Université de l'Indiana aux Etats-Unis. Interrogé par le quotidien britannique The Telegraph, le scientifique pense que le mois de juin serait le pire mois de l'année pour faire un bébé. "Le mois de juin est un mois toxique, car les grossesses initiées à ce moment-là ont tendance à être plus courtes que la moyenne et à se terminer un peu plus souvent par des naissances prématurées."


A LIRE AUSSI >> Pour calmer votre enfant, chantez-lui une chanson


Des facteurs environnement


Il est souvent accepté par les spécialistes que le mois de décembre serait le meilleur mois pour concevoir un enfant et cela statistiques à l'appui. Toutefois, au-delà de ces chiffres, il semble impossible, en l'état des recherches, d'assurer une cause certaine pour les expliquer. Paul Winchester avance cependant une théorie : cela pourrait être lié à des facteurs environnementaux : "Pour moi, loin d'être le fruit du hasard, cela pourrait s'expliquer par les taux de vitamine D présents chez les futures mères à cette période de l'année et par une plus grande densité de pesticides."


Ces recherches qui n'ont pas encore été publiées mais qui ont été présentées aux rencontres annuelles de la Société Américaine de Médecine Reproductive font suite à l'étude britannique de l'Université de Cambridge qui avait découvert que les enfants nés en été faisaient en général des adultes en meilleure santé.


Mieux comprendre la reproduction


Pas la peine de prendre toutes ces considérations au pied de la lettre. Ces statistiques restent résiduelles et sont beaucoup plus faibles par exemple que l'importance de mener une vie équilibrée tout au long de la grossesse.


Autrement dit si vous concevez votre bébé en juin et que vous respectez les conseils de votre médecin vous ne présentez, a priori, aucun risque majeur de complications. Ces données constituent avant tout une base pour les chercheurs afin de mieux comprendre les liens entre saisonnalité et reproduction humaine.


À LIRE AUSSI
>> Laits végétaux : ils sont dangereux pour les bébés
>> Voila pourquoi vous ne devez pas laisser quiconque embrasser votre bébé




CLARA SAER
metronews.fr
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http://www.metronews.fr/info/et-si-juin-etait-le-pire-mois-de-l-annee-pour-concevoir-un-bebe/mojC!1SQGYfK4Sflcs/

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Tâches ménagères : les inégalités ont la vie dure,femmes,egalites,parites,

31 Octobre 2015, 15:28pm

Publié par hugo

Famille - vie privée
SOCIÉTÉ FAMILLE - VIE PRIVÉE Mariage pour tous
Tâches ménagères : les inégalités ont la vie dure
LE MONDE | 29.10.2015 à 00h02 • Mis à jour le 29.10.2015 à 11h11 |
Par Julia Pascual
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image: http://s2.lemde.fr/image/2015/10/29/534x0/4798763_6_328d_les-meres-continuent-tout-de-meme-d-assumer_806fc759d77086b0820804df883e5b1c.jpg


Les mères continuent tout de même d’assumer 65 % des tâches parentales.
Si les emplois du temps des femmes et des hommes ont convergé ces trente-cinq dernières années, les premières continuent d’assumer les deux tiers du travail domestique. Plus inquiétant : le rapprochement des emplois du temps a tendance à se ralentir, ce qui pourrait annoncer qu’un palier est en voie d’être atteint.


C’est une longue plongée dans le quotidien des Français et les inégalités de genre que publie, jeudi 29 octobre, l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), dans un numéro spécial de sa revue Economie et Statistique. Regroupant et analysant quatre enquêtes réalisées entre 1974 et 2010, des chercheurs portent un regard sur la façon dont les hommes et les femmes se répartissent les tâches domestiques. Et le constat pourrait se résumer à un tiède « peut mieux faire ».


« L’essentiel du mouvement de convergence se fait dans les années 1970 et 1980 »,confirme Cécile Brousse, l’une des auteurs de l’étude. Dans le détail, on remarque que cette convergence est liée à la baisse du temps consacré au travail rémunéré chez les hommes (montée du chômage, part croissante des retraités) et au fait que les femmes passent de leur côté moins de temps à s’occuper du foyer.


Oubliés le tricot et la couture


En d’autres termes, « ce sont les femmes qui font la plus grande partie du chemin », résume Cécile Brousse. Sur l’ensemble de la période, « les citadines consacrent dix heures de moins par semaine » aux tâches domestiques, établit l’Insee. Phénomène à la fois imputable à des éléments sociodémographiques (hausse du niveau d’étude, du taux d’activité, de la part de femmes vivant seules et diminution du nombre d’enfants par femme), mais aussi, et pour moitié, à d’autres facteurs tels que « la très forte diminution du temps consacré à l’entretien des vêtements » (moins deux heures par semaine en moyenne). Oubliés le tricot et la couture : le rapiéçage a perdu de son attrait face aux vêtements bon marché. De même, la lessive à la main est de plus en plus rare et le repassage est devenu facultatif sur des vêtements fonctionnels comme le jean.


Autres tâches qui prennent l’eau : la vaisselle (moins trois heures par semaine) et la cuisine (moins deux heures par semaine). L’exception française semble finalement céder : comme les autres pays occidentaux, les Français mangent davantage à l’extérieur, se font livrer ou optent pour les plats préparés.


Externalisation des tâches


Ce n’est donc pas tant que les hommes en font plus (même si, de fait, ils consacrent trois heures et demie supplémentaires par semaine aux tâches domestiques) mais qu’une part croissante des tâches s’est déplacée à l’extérieur des ménages, « ce qui a permis aux femmes de se détacher de la sphère familiale et de vivre de manière plus indépendante », dit l’Insee.


Mais, et ce n’est pas le moindre des paradoxes, ce sont aussi les femmes qui ont assumé cette externalisation : « Une part importante de la population féminine, en partie libérée des tâches ménagères, a occupé les postes créés » dans le secteur du ménage, de l’aide à la personne, de l’accueil des jeunes enfants, des activités récréatives ou encore de la restauration.


Dans ses travaux, Cécile Brousse évoque à ce titre un « régime libéral » dans lequel les femmes les plus aisées se déchargent (notamment vers une main-d’œuvre féminine étrangère), tandis que les hommes continuent de limiter leur implication dans les tâches les moins gratifiantes.


LES MÈRES CONTINUENT D’ASSUMER 65 % DES TÂCHES PARENTALES
C’est d’ailleurs une autre observation majeure que fait l’Insee sur ces trente-cinq dernières années : si les hommes, pris dans leur globalité, demeurent réfractaires à la vaisselle et à l’entretien du linge, ils consacrent en revanche cinquante minutes de plus par semaine aux enfants, « l’essentiel de cette évolution s’étant produite au cours de la dernière décennie », précise l’étude. Sans surprise, ce sont surtout les activités de jeux, de conversation et d’aide à l’apprentissage que les pères privilégient, c’est-à-dire celles qui procurent le plus de satisfaction.


Au bout du compte, les mères continuent d’assumer 65 % des tâches parentales. Ce qui, rappelle l’Insee, pèse sur leur activité professionnelle, et se traduit par des interruptions de carrière et des journées de travail plus courtes. Avec, à la clé, des inégalités de salaire et la persistance d’un « plafond de verre ».


Lire aussi : Le mentorat contre le plafond de verre


« Pourquoi les hommes et les femmes effectuent-ils des choix aussi conformes à la tradition ? », s’interrogent les chercheurs. En effet, même lorsque les femmes investissent fortement le marché du travail, voire lorsqu’elles gagnent plus d’argent que leur conjoint, « on n’observe pas le renversement des rôles qu’impliquerait une répartition des tâches efficiente ». Il existe bien un quart des couples dans lesquels l’homme fait davantage de travail domestique et « ce sont plutôt des couples où l’homme est au chômage ou des couples où les deux conjoints travaillent et où il y a des contraintes horaires », analyse la démographe Ariane Pailhé.


Les normes de genre restent donc prédominantes, même chez les jeunes générations, puisque l’Insee observe une implication précoce des filles dans les tâches tournées vers l’entretien des membres de la famille. Or, ce sont bien ces normes qui recèlent les futures marges de progression, une fois épuisées celles issues de l’automatisation des tâches ménagères et de la progression du taux d’activité des femmes.


Lire aussi : Les enfants, premiers de corvée


La télé, loisir privilégié… par défaut
Dans son décryptage des emplois du temps des Français, l’Insee relève que la télévision est l’une des activités de temps libre qui procurent le moins de satisfaction. Pourtant, « le temps qui lui est alloué est considérable au regard des autres divertissements ». Celui-ci varie selon la catégorie sociale : si les salariés non qualifiés regardent la télévision dix-huit heures et vingt minutes par semaine, les cadres du public y consacrent onze heures vingt. « Elle est souvent regardée par défaut, suppose l’Insee. Autrement dit, si les téléspectateurs disposaient de moyens financiers supplémentaires et/ou d’un accès plus facile aux loisirs sportifs et culturels, sans doute privilégieraient-ils ces distractions, qui sont plus appréciées. »


Julia Pascual
Journaliste au Monde
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À Shanghai, la première génération de célibataires assumées et libres,celibataire,femmes,

30 Octobre 2015, 03:02am

Publié par hugo



À Shanghai, la première génération de célibataires assumées et libres
Par Sébastien Falletti | Le 28 octobre 2015
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Dans la plus grande métropole chinoise, l’âge du mariage des femmes ne cesse de reculer. « Coupable » ? Une génération d’idéalistes, célibataires et indépendantes, qui refuse de se soumettre à la tradition. Reportage du côté des affranchies.
En ce moment
Le geste élégant
Le geste élégant
Jiyue a flairé le piège lorsque ses voisins de palier sont venus l’aborder, les yeux pétillants. « On ne se parlait jamais, et là, soudain, ils étaient si prévenants. Ils voulaient me présenter des prétendants pour aller dîner », raconte cette Shanghaïenne d’adoption, chargée de marketing dans un cabinet d’avocats. En douce, ses parents étaient venus de la lointaine Chongqing au secours de la vie sentimentale de leur fille de 35 ans, toujours célibataire… Inacceptable dans la province chinoise ! En un clin d’œil, la tour d’habitation fourmillait d’entremetteuses au regard mielleux. Jiyue a pris ses cliques et ses claques pour déménager vers le quartier scintillant de Jing’an, au cœur de l’immense métropole de Shanghai, sans laisser d’adresse. Là, elle vit paisiblement avec sa colocataire et, surtout, Happy, son bouledogue adoré, qu’elle promène sous les platanes de l’ancienne concession française. « Je me cache de mes parents, ils veulent contrôler ma vie ! Ils n’ont pas de hobby. Alors, depuis qu’ils sont à la retraite, ils sont obsédés par leur fille. Je les encourage à voyager. »



Jiyue, 35 ans, a déménagé sans laisser d’adresse pour échapper à la pression familiale.
Photo Éric Leleu
Après trente années de croissance économique vertigineuse, la Chine accouche d’une nouvelle génération de jeunes femmes en quête d’indépendance, tournant le dos aux traditions ancestrales. « Les femmes portent la moitié du ciel », proclamait Mao. À Shanghai, elles se tiennent debout désormais, saisissent leur destin, fortes de leur autonomie économique, et explorent leurs désirs. La ville est le laboratoire de cette mutation inédite, en rupture avec le culte de l’harmonie collective en vigueur depuis Confucius jusqu’au communisme : la quête de soi.


“Changer la mentalité de victime des Chinoises”


Look californien, teint halé, longue chevelure noire virevoltant, anglais de rigueur. Faith Huang veut incarner cette avant-garde. À 30 ans, cette blogueuse distille quotidiennement ses conseils à ses 20 000 followers via la messagerie WeChat, devenue le cordon ombilical de la jeunesse connectée de la deuxième puissance économique mondiale. Une audience conquise par la publication d’un e-book au titre aussi accrocheur que trompeur : « Project 30 : comment trouver un mec en trente jours ». Un pari remporté haut la main par la jeune auteur, glamour et ambitieuse. « Je veux changer la mentalité de victime qu’ont encore la plupart des femmes chinoises. Au bout de ces trente jours de défi, les lectrices réalisent que le véritable objectif n’est pas de se caser, mais de se trouver soi-même et de prendre sa vie en main », révèle Faith. Au programme, séances de remise en confiance et introspection, avec pour mantra de prendre soin de soi, de ses rêves, de ses ambitions, plutôt que d’attendre passivement le prince charmant. On se recentre sur le développement personnel, les hobbys, de la salsa à la méditation.


Une attitude banale pour une Parisienne ou une New-Yorkaise, mais nouvelle dans l’empire du Milieu, où le destin d’une femme est traditionnellement de passer de la protection d’un homme à celle d’un autre. Du père au mari. Où, dès la vingtaine franchie, la pression familiale en faveur d’un mariage s’installe, à coups d’entremetteurs. Aujourd’hui encore, dans le parc du Peuple, au pied des gratte-ciel de Shanghai, les parents font toujours la pub de leur progéniture au « marché du mariage » en plein air, à l’aide de panneaux vantant leur pedigree. Moins traditionnels, certains ont recours aux agences matrimoniales en ligne, imposant des rendez-vous à leur descendance.


“Je veux profiter de ma vie de célibataire”



“Les garçons chinois cherchent des femmes naïves et obéissantes”, explique la jeune Elle, 25 ans, qui utilise les réseaux sociaux pour rencontrer des amis… pas forcément chinois.
Photo Éric Leleu
« J’ai 26 ans, c’est déjà vieux ici. Lorsque je vais chez mes parents, j’ai droit à la question : “Vois-tu quelqu’un ?” Je leur dis que je suis occupée. Il est trop tôt pour me marier, je veux profiter de ma vie de célibataire », raconte Laura. Cette fan de jeux vidéo est adepte d’Ingress, un jeu de rôle connecté grandeur nature qui permet des rencontres bien réelles, au sein de la communauté de joueurs. Bien que le sexe reste un sujet tabou, même entre copines, « l’exploration sexuelle est un facteur-clé derrière l’explosion du célibat en Chine urbaine », analyse Richard Burger, auteur de l’ouvrage de référence Behind the Red Door : Sex in China. Depuis vingt ans, le pays connaît une libération sexuelle souterraine de grande ampleur, en dépit des mots d’ordre puritains du pouvoir. En 1989, seuls 15 % des Chinois avaient eu des relations sexuelles avant le mariage, contre 71 % en 2013, selon les recherches de Li Yinhe, la sexologue la plus réputée du pays. Et l’âge moyen du mariage pour les femmes, en constante augmentation, vient de dépasser les 28 ans.


Installée dans une tour à l’ouest de cette agglomération de 23 millions d’habitants, Elle, 25 ans, aime sa ville d’adoption. « Je suis mon cœur, je vis au fil de l’eau. Si je me marie maintenant, cela mènera au divorce », juge la célibataire au sourire doux. Cette fan de rock indé cherche l’âme sœur au gré de ses passions. Avec l’appui des nouvelles technologies. « Demain, je vais à un concert avec un garçon de Hongkong que j’ai rencontré sur Tinder. C’est une bonne façon de se connaître. » La jeune femme, qui n’a jamais eu de relation stable, s’aventure avec candeur sur cette application réputée en Occident pour les rencontres épicées. Et elle est ouverte à la différence culturelle. « C’est difficile de trouver un garçon chinois bien. Beaucoup cherchent des femmes naïves et obéissantes », déplore cette ancienne étudiante qui a obtenu un master en Angleterre. Désormais indépendante sur le plan économique, mieux éduquée que les garçons, la jeune garde shanghaïenne pose ses conditions et préfère rester seule plutôt que d’être mal accompagnée ! « Ce doit être quelqu’un qui peut cuisiner pour moi. Mon fantasme, c’est Iron Man, une poitrine musclée », explique Michelle, consultante chez Accenture, en tee-shirt moulant Abercrombie. La career woman a jeté par-dessus bord son copain, jugé trop conservateur, qui lui faisait les gros yeux lorsqu’elle portait des jupes sexy ou sortait dans les bars de Hongkong. Les prétendants vont devoir s’adapter à cette chrétienne libérée, autre originalité.


Le jeu assumé d’être “laissée sur le carreau”



Michelle voudrait un homme musclé, style Iron Man, qui cuisinerait pour elle…
Photo Éric Leleu
« Osez vivre sans amour ! » lance en une le magazine féminin « Self ». De toute façon, le rythme professionnel trépidant des métropolitains laisse peu de temps aux rencontres. Quant aux prix de l’immobilier, ils découragent les prétendants, car ceux-ci doivent apporter un appartement dans la corbeille du mariage. Liberté et exigence s’expriment au risque de devenir une « sheng nu », une fille « laissée sur le carreau », selon le terme péjoratif martelé par la presse officielle. En province, avant même la trentaine, une femme perd rapidement de sa valeur sur le « marché » du mariage. « Beaucoup de femmes renoncent encore à leurs rêves à cause du regard des autres et de la famille », déplore Faith.


Pour repousser l’échéance, d’autres louent carrément un boyfriend à la journée pour donner le change, lorsqu’elles rentrent dans leur ville natale, à l’occasion de Chunjié, le Nouvel An chinois. « Les sheng nu sont une réalité grandissante, la société ne doit pas juger ces femmes. Elles sont indépendantes économiquement, elles ont des amis. Où est le problème ? » interroge Elle. La native de Nanchang débute tout juste sa quête, après avoir joué les volontaires dans les allées de Wimbledon et étudié à Macao. Elle a la chance d’avoir des parents compréhensifs et considère sa mère comme une copine. Après avoir dégusté son chocolat chaud, la jeune célibataire nous laisse sur un grand sourire. « Ma résolution cette année : trouver un mec. »


Enfants unique : la difficulté d'être en couple



La blogueuse Faith Huang s’est fait connaître avec un livre où, sous couvert d’aider sa lectrice à trouver un homme, elle l’incite en réalité à l’autonomie et à l’indépendance.
Photo Éric Leleu
Les apprentis sorciers de la démographie chinoise ont accouché d’un monstre. La génération d’enfants uniques nés dans les années 1980-1990, choyée comme jamais à l’heure du décollage économique, arrive à l’âge de convoler mais a du mal à vivre à deux. En témoigne la hausse spectaculaire du nombre de célibataires et des divorces éclair, brisant des couples quelques semaines après le mariage. « Nous sommes tous des enfants uniques qui ont été élevés dans le culte de la compétition. C’est une des raisons pour lesquelles il y a tant de célibataires en Chine », explique Faith Huang. Habituée à être au centre de toutes les attentions des parents, cette génération peine à mettre de l’eau dans son vin. « Avoir un copain, cela veut dire qu’il faut écouter ses idées, faire des compromis, l’appeler tous les jours. Être célibataire, c’est la liberté ! Je peux partir en voyage quand je veux », ajoute Laura, geek de 26 ans. La « génération single » a quitté l’appartement parental, mais souhaite rester maître à bord. Au risque de laisser passer le train de la vie à deux. « Les êtres humains sont difficiles à changer, c’est mieux d’être seule », conclut Jiyue Wang. Romantiques s’abstenir !


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Les supermarchés Target incluent une fillette handicapée dans une publicité (Photo),filles,femems,handicap,

30 Octobre 2015, 02:54am

Publié par hugo

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Les supermarchés Target incluent une fillette handicapée dans une publicité (Photo)
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Publié par Allison Pujol
Publié le 29 octobre 2015


A l’approche du 31 octobre, le distributeur américain Target s’est fait remarquer pour l’une de ses publicités pour Halloween présentant des costumes pour enfant. Dans celle-ci, la société a décidé de mettre à l’honneur une petite fille avec un handicap. Une belle initiative !
Les marques sont de plus en plus nombreuses à créer des campagnes mettant à l’honneur la diversité. On le constate régulièrement pour des griffes de prêt-à-porter pour femmes ou même pour des lignes proposées dans des supermarchés comme Target. En effet, l’été dernier, l’enseigne américaine avait choisi un panel féminin éclectique pour représenter ses maillots de bain. Une philosophie d’inclusion pour laquelle l’entreprise a de nouveau attiré l’attention du monde entier. Cette fois-ci, la chaîne de supermarchés a choisi de faire apparaître une fillette handicapée dans l’une de ses publicités de déguisements pour enfants à l’occasion d’Halloween. Et cette dernière ne s’est pas vu attribuer un petit rôle. Elle pose dans la peau de la célèbre Elsa, héroïne du film Disney La Reine des Neiges. Ainsi, Target permet à tous les enfants souffrant de handicap de s’identifier à ceux qu’ils voient dans les catalogues.




Comme l’on aurait pu s’en douter, la campagne Target a reçu un excellent accueil comme en témoigne le message posté sur la page Facebook de Jen Kroll, maman d’une fillette handicapée, qui a permis à la publicité de devenir virale. « Cher Target, je t’aime. Merci d’avoir inclus une enfant avec des appareils orthopédiques et des béquilles dans votre publicité ! Et en Elsa en plus ! Ma fille (qui a elle aussi des béquilles et des prothèses pour les jambes) va sauter de joie en voyant ça ! », a-t-elle commencé avant de poursuivre : « Inclure des enfants avec des besoins particuliers dans les publicités permet d’éviter qu’ils soient comme une attraction quand ils s’aventurent dans le monde réel. Normaliser le handicap chez les enfants est inestimable ». Une opinion partagée par beaucoup, comme l’association Leonard Cheshire Disability qui a tweeté : « Content de voir une représentation positive du handicap dans les publicités @Target pour costumes d’Halloween », ou encore Teddy O' Malley, auteure et illustratrice de livres pour enfants, qui a déclaré : « Bravo à #Target pour avoir inclus un enfant handicapé dans leur pub d’Halloween. #lesreprésentationscomptent ».








Notons que ce n’est pas la première fois que Target se fait remarquer pour ses campagnes inclusives pour les plus jeunes. En effet, en 2012 et 2014, les supermarchés avaient mis à l’honneur des enfants atteints de trisomie 21.


A lire aussi : La femme de la semaine : Yasmine Berraoui, "je suis trisomique, pas handicapée" (Vidéo)


L'Halloween des stars :

http://www.aufeminin.com/news-societe/les-supermarches-target-incluent-une-fillette-handicapee-dans-une-pub-s1626588.html

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La France ne fait plus partie des pays les plus épanouis sexuellement,france,sexes,amours,couples,

30 Octobre 2015, 02:34am

Publié par hugo



La France ne fait plus partie des pays les plus épanouis sexuellement
Par Mylène Bertaux | Le 26 octobre 2015
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Durex a mené une étude au long court pour mesurer l'épanouissement sexuel des couples de par le monde. Le palmarès est assez surprenant. La France est en queue de peloton.
En ce moment
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Cinq massages pour se rebooster cet automne
Qui d’autre que la marque de préservatifs probablement la plus connue au monde pouvait se pencher d'aussi près sur l'épanouissement sexuel dans 26 pays dans le monde ? L’étude menée sur 26 000 personnes a conclu que seuls 44% d’entre elles sont satisfaites. Le degré de satisfaction varie fortement selon les pays. Ce qui a conduit à un top 12 intriguant. Car c'est la Suisse qui vient en tête. Suivie par l’Espagne et l’Italie. La France, considérée comme l’un des pays les plus romantiques au monde, ne figure même pas au classement. Ayant eu accès à toutes les données, le site AlterNet a proposé le classement suivant : en premier la Suisse, puis l’Espagne, l’Italie, le Brésil, la Grèce, les Pays-Bas, le Mexique, l’Inde, l’Australie, le Nigeria, l’Allemagne et la Chine.


Libido mondiale, peut mieux faire


Selon l’étude, la libido a le blues ! Si 60% des sondés s’accordent à dire que le sexe est fun, agréable et une partie essentielle de la vie, seulement 44% se disent pleinement épanouis. L’étude révèle qu’au fur et à mesure des années, la vie sexuelle devient de moins en moins satisfaisante. Les rapports ont tendance à s’espacer, surtout dans les relations qui durent. Plus étonnant, le fait d’avoir des enfants n’a pas forcément d’impact négatif sur la satisfaction.


Qu’est-ce qui rend une vie sexuelle satisfaisante ?


Sur le plan physique, l’absence de stress et de maladie physique ou mentale, de dysfonctions intimes a naturellement une influence sur notre vie sexuelle. La fréquence ou la qualité des préliminaires ont aussi un impact. Atteindre l’orgasme est, sans surprise, un facteur clé même si seulement 48% des sondés déclarent en avoir régulièrement. Injustice, il s’agit de deux fois plus d’homme que de femmes. Le pic de satisfaction atteint son maximum entre 20 et 34 ans. Les plus de 65 ans ont la pêche et font l’amour plus d’une fois par semaine en moyenne (la fréquence changent en fonction des pays).


Sur le plan émotionnel, l’intimité avec le partenaire, une vie riche et variée sous la couette et un bon souvenir de sa première fois s'avèrent un important booster de plaisir. Le respect mutuel joue également un rôle prépondérant. Quelque 82% de ceux qui se disent satisfaits se sentent respectés par leur partenaire pendant l’acte. 39% sentent qu’il ont besoin de plus d’amour et de romance. 36% voudrait plus de temps seul à seul avec leur partenaire et 27%, une libido plus exaltante.


Si les critères qui favorisent l'épanouissement restent les mêmes ces dernières années, le classement par pays révèle lui une géographie du sexe inattendue. Et l'on se demande si la morosité ambiante en France n'a pas fini par se faufiler sous la couette.





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Tags : Sexo, orgasme feminin, orgasme

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