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FEMMES ET RESPECT DE LA PART DES HOMMES

17 Février 2016, 01:29am

Publié par hugo

street art , photo bertrand stefanink
street art , photo bertrand stefanink

FEMMES ET RESPECT DE LA PART DES HOMMES


De FEMMES
FEMMES de
FEMMES VIOLEES QUE L ON TRAITENT COMME UN OBJET
FEMMES, CES HOMMES ONT OUBLIES QUEC EST GRACE A VOUS QU ILS SONT NE !!!!
CES HOMME DEVRAIENT QUE SUR LEUR RETRAITE LA cédille DE GARÇON POUR LE METTRE DANS LEUR CERVEAU, POUR CES HOMMES DEVIENENT respectueux ENVERS vous


copyright @ bertrand stefanink

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STREET ART BERTRAND STEFANINK , PHOTO BERTRAND STEFANINK

16 Février 2016, 15:09pm

Publié par hugo

STREET ART BERTRAND STEFANINK , PHOTO BERTRAND STEFANINK

PHOTO PRISE SUR PARIS

STREET ART BERTRAND STEFANINK , PHOTO BERTRAND STEFANINK
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poesies bertrand stefanink:titre femmes

16 Février 2016, 15:09pm

Publié par hugo

STREET ART , PHOTO BERTRAND STEFANINK
STREET ART , PHOTO BERTRAND STEFANINK

FEMMES


DONNE MOI TON COEUR POUR VIVRE AVEC TOI ET PARTAGER TA VIE
SI TU ME DONNE TON COEUR, je te donnerai le mien
femme donne moi une chance de de de
femme donne moi Un peu de ton âme et je te donnerai Un peu de mon âme
JE VEUX BIEN ETRE TON FAUST ET TOI MA GRETCHEN
FEMME SOIT UNE PARTIE DE MON AME DE MON COEUR
FEMME SI TU ME DONNE TON AMOUR, JE TE DONNERAI TON PREMIER FAN
FEMME AIMES MOI !!!!!!!!!!!!!! ! ! !!!!!!!!!


Copyright @ bertrand stefanink

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MEC= SITUATION = FRIC ??????BONJOUR LE COUPLE!!!!

16 Février 2016, 01:45am

Publié par hugo

je suis toujours surpris par les femmes qui soit disant pour être plus en sécurité te demande ce que tu fais comme emploi . SI J ETAIT PAREIL LES FEMMES ME TROUVERAIT VACHARD mais je en le suis pas . JE POURRAIT POSER DES QUESTIONS POUSSER SUR ELLE , leur emploi etc . je trouve cela lamentable , déplorable , inadmissible de demander cela a un homme . un homme parfois s intéresse a toi , de l homme vers la femme car elle est jolie , gentille etc
MOI SI JE CHERCHE UNE FEMME CE NETS PAS POUR SON FRIC , mais plus pour son cerveau , ces centres d intérêts , ces lectures etc .
UN HOMME CE NEST PAS QUE DU FRIC ,c est aussi de l amour , cela peut etre pour moi de la maladresse, mais beaucoup d affections pour la femme qui vit avec moi ;
SI LES FEMMES NE LAISSE PAS DE CHANCE AU HOMMES DE LES INVITES A PRENDRE UN VERRE AVEC eux ou lui que peuvent ils faire ? MOI JE ME POSE LA QUESTIONS ???
POUR ETRE EN COUPLE IL FAUT AVOIR UNE SITUATION OU ETRE TRAIDER , un mec qui ne pense qu a son fric ????
JE PENSE QUE LES FEMMES QUI CHOISSENT DES MECS POUR LEUR SITUATION NE PEUVENT QUE LOUPER LEUR VIE AFFECTIVES !!!!!

MOI J AI INVITER PLUSIEUR FOIS DES FEMMES APRENDRES DES VERRES SUR PARIS EN LIEU NEUTRE , et aucune n a voulut , les femmes laissez moi une chance ou laissez moi un message merci

COPYRIGHT@BERTRAND STEFANINK

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Au Kenya, huit ans après, la douleur des victimes de viols « post-électoraux »,femmes,violences,viols,

16 Février 2016, 01:42am

Publié par hugo

EUROPE / MONDE
Au Kenya, huit ans après, la douleur des victimes de viols « post-électoraux »


lundi 15 février 2016 16:51 par Marina Fabre Laisser un commentaire
Kenya Viol HRWElles sont des centaines de Kényanes à avoir subi des viols collectifs à la suite de l’élection présidentielle de 2007. Bilan : isolement, souffrance physique, psychologique, non assistance médicale. Human Rights Watch réclame une aide d’urgence du gouvernement.





« J’ai été violée par cinq hommes – ils me frappaient, écartaient mes jambes. J’ai eu tellement mal. J’ai du mal à contrôler mon urine. J’ai tellement honte. » Comme des centaines de femmes, Njeri N a été la victime des « violences post-électorales » au Kenya.


Tout à commencé le 27 décembre 2007, jour de l’élection présidentielle. Le président sortant Mwai Kibaki, de l’ethnie dominante Kikyhu, est réélu face à Raila Odinga, un Luo. Sur fond de conflits ethniques, le perdant accuse Kibaki de fraude. S’ensuit une période d’extrême violence, des « violences post-électorales » impliquant des agents des forces de sécurité kényanes comme des civils, et des membres de milices. L’ONG Human Rights Watch (HRW), compte 1 133 morts, et estime que plus de 600 000 personnes ont dû se déplacer. Les autorités font état de 900 cas de violences sexuelles, « mais ce chiffre est probablement sous-estimé », affirme HRW.


Njeri N souffre désormais d’une « fistule traumatique », une blessure qui provoque régulièrement des fuites urinaires et d’excréments ; mais pas seulement : maux de dos, jambe douloureuse… Elle se sent « blessée ». Son témoignage et celui de 163 autres femmes et jeunes filles, ainsi que de 9 victimes masculines et de témoins, a permis à HRW de publier un rapport, rendu public lundi 15 février, intitulé : « “J’attends simplement de mourir” : Réparations dues aux victimes des violences sexuelles post-électorales de 2007-2008 au Kenya ».


« Elle a été attaquée à la maison . Elle a été violée par quatre hommes, puis ils ont utilisé les vieilles bouteilles de coca »


« Des hommes ont violé des femmes assez âgées pour être leurs grands-mères, des enfants aussi jeunes que 3 ans, des femmes enceintes, des femmes qui venaient de mettre un enfant au monde, des mères qui donnaient le sein à leurs enfants », assène le rapport. Particularités de ces viols : ils sont dans la plupart des cas collectifs, et « brutaux », relève HRW. « Ces femmes ont raconté avoir été pénétrées avec des armes à feu, des bâtons, des bouteilles et d’autres objets. » Des hommes et des jeunes garçons ont également été violés, ou circoncis, ou encore castrés de force.


Dans certains cas, des membres de la famille, ont assisté au viol de leur fille, femme, mère ou sœur. Kariuki P a retrouvé sa sœur inconsciente :


« Elle a été attaquée à la maison. Elle a été violée par quatre hommes, puis ils ont utilisé les vieilles bouteilles de coca. Nous l’avons trouvée dans son sang et inconsciente. Je me suis évanouie quand je l’ai vue. Les voisins l’ont emmenée à l’hôpital général de Nakuru. Ils ont retiré l’utérus. Elle a maintenant un handicap et ne peut pas marcher correctement. »


D’autres victimes n’ont tout simplement pas pu se rendre dans des hôpitaux. Honte, isolement, pression familiale, rejet, pauvreté… les raisons sont multiples. HRW estime que des centaines de femmes et jeunes filles ont contracté le VIH et d’autres MST suite aux viols. Mais « elles sont trop pauvres pour se déplacer afin d’obtenir un traitement gratuit, ou pour accéder à une alimentation suffisante lorsqu’elles le prennent ».


Pour Agnes Odhiambo, chercheuse senior sur l’Afrique auprès de la division Droits des femmes à Human Rights Watch, « cela a été un choc de découvrir le nombre de survivantes qui sont malades, vivent dans la pauvreté et sont stigmatisées, ignorées, et souvent rejetées au lieu de recevoir de l’aide du gouvernement ».


En outre, parmi les femmes interrogées par l’ONG, 37 femmes sont tombées enceintes après avoir été violées. La majorité ont dû garder le bébé, l’avortement étant illégal et considéré comme immoral au Kenya.


« Les autorités kényanes ont fait preuve d’un manque de volonté à mener une enquête approfondie concernant ces crimes »


Pour l’ONG, c’est clair : « Le gouvernement kényan a échoué à apporter une aide de base et des réparations à ces victimes de viol. » Une commission d’enquête a pourtant été créée, elle devait déboucher sur l’instauration d’un tribunal spécial – qui n’a jamais vu le jour. « Les autorités kényanes ont fait preuve d’un manque de volonté à mener une enquête approfondie concernant ces crimes. Les autorités ont également fait peu de progrès dans l’élaboration d’une politique globale et d’une stratégie pour garantir la justice pour les victimes de violences sexuelles », dénonce HRW.


En mars dernier, le chef de l’Etat Uhuru Kenyatta a proposé la création d’un fonds de 10 milliards de shillings kényans, soit 8,7 millions d’euros, pour les trois prochaines années afin d’établir une « justice réparatrice » pour les victimes. Une annonce en réponse au « directeur des poursuites publiques » qui déclarait que la plupart des auteurs, y compris ceux de violences sexuelles, ne pourraient pas être poursuivis en raison d’un manque de preuves.


Mais pour l’instant, rien de concret n’a été mis en place et rien ne concerne spécifiquement les victimes de viols qui restent condamnées à l’oubli. HRW souligne pourtant l’urgence de la situation, réclamant surtout un accès rapide à l’assistance médicale.





Lire aussi sur Les Nouvelles NEWS :


« L’homme qui répare les femmes » censuré en RDC


Soudan du Sud : « Les corps des femmes et des enfants constituent un champ de bataille »


Le viol, arme de guerre, se banalise


La justice face aux viols de guerre


Dossier VIOLENCES DE GENRE





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Salaires hommes/femmes : opération transparence confirmée au Royaume-Uni,femmes,economie,

16 Février 2016, 01:26am

Publié par hugo

ENTREPRISES
Salaires hommes/femmes : opération transparence confirmée au Royaume-Uni


lundi 15 février 2016 12:23 par Arnaud Bihel Laisser un commentaire
Salaires Royaume-Uni
Nicky Morgan, par Policy Exchange sur Flickr (CC BY 2.0)
L’écart de salaire entre les hommes et les femmes au Royaume-Uni est supérieur à la moyenne européenne. Pour le réduire le gouvernement mise sur la publication des données… à partir de 2018.





Au Royaume-Uni, les entreprises « ne pourront plus se dérober ». La ministre des Femmes et de l’Égalité, Nicky Morgan, a annoncé vendredi 12 février le plan du gouvernement britannique pour réduire le gender pay gap, les inégalités salariales entre femmes et hommes. Un plan qui repose sur la transparence.


Les entreprises de plus de 250 salarié.e.s – environ 8 000 sont concernées – devront rendre publics les chiffres des salaires et des primes des femmes et des hommes, et le nombre de femmes et d’hommes dans les différentes fourchettes de salaires. Cet outil de comparaison des inégalités salariales donnera également lieu à un classement des entreprises.


Mais cette mesure ne sera effective qu’à partir d’avril 2018… alors que le Premier ministre David Cameron l’avait initialement promise pour l’année 2016. D’autant que le principe était dans les cartons depuis 2010.


Voir : Inégalités salariales : opération transparence au Royaume-Uni


C’est assurément « un pas dans la bonne direction », mais « un tel délai n’est pas nécessaire », déplore la secrétaire générale du Trade Union Center (TUC), principale confédération syndicale britannique. Frances O’Grady regrette également que « les patrons n’auront pas à expliquer les raisons des inégalités salariales, ni les actions qu’ils comptent entreprendre pour les réduire ».


Du côté des employeurs, la directrice générale de la confédération patronale CBI, Carolyn Fairbairn, prévient : « Le classement ne doit pas servir à mettre à l’index (« name and shame ») des entreprises, dans la mesure où les chiffres ne pourront que fournir une image partielle, étant donnés des facteurs tels que le rapport entre temps plein et temps partiel et les différences entre secteurs. »


L’écart de salaire horaire entre les hommes et les femmes au Royaume-Uni était en 2013 de 19,2%, selon les données d’Eurostat. Soit plus de 3 points au dessus de la moyenne européenne.


Voir aussi : 2 novembre, fin de salaire pour les Européennes


Le plan annoncé par Nicky Morgan prévoit également de favoriser la mixité dans des secteurs où les femmes sont sous-représentées, et où les salaires sont parmi les plus élevés – notamment les sciences et l’ingénierie. L’ambition est d’augmenter de 20% la part des filles dans les études de sciences et mathématiques d’ici 2020. Aujourd’hui au Royaume-Uni, seules 24% des filles passent un bac scientifique, contre 40% des garçons.


Voir aussi : Emploi : la « quatrième révolution industrielle » menace les femmes


Une ambition saluée par le TUC, qui invite toutefois le gouvernement britannique à ne pas oublier « le fait que de nombreuses femmes qui travaillent actuellement dans les STEM [acronyme anglais pour Science, Technologie, Ingénierie et Mathématiques] quittent la profession avant d’atteindre la quarantaine, en raison de pratiques et d’une culture de travail incompatibles avec la vie de famille ».





Lire aussi sur Les Nouvelles NEWS :


Inégalités salariales : Obama veut serrer la vis


Ecart de salaire femmes-hommes : ce qui s’explique, et ce qui ne s’explique pas


Fonctionnaires : pourquoi les hommes gagnent 18,9% de plus que les femmes





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Grossophobie : le poids de la discrimination à l’embauche pour les femmes,femmes,racisme,violences,sexisme,

16 Février 2016, 01:24am

Publié par hugo

ENTREPRISES
Grossophobie : le poids de la discrimination à l’embauche pour les femmes


lundi 15 février 2016 12:48 par Marina Fabre Laisser un commentaire
Etude Emploi GrossophobieLes femmes obèses ou en surpoids sont davantage discriminées que les hommes ou les femmes de corpulence « normale », selon une étude menée par le Défenseur des droits. Pas si surprenant : les femmes subissent davantage d’injonctions de la société sur leur corps.





« Le poids et le manque d’attractivité physique », qui « renvoient à des normes socialement plus contraignantes pour les femmes », représentent des critères discriminatoires à l’embauche. C’est le constat d’une étude menée par le Défenseur des droits et l’Organisation Internationale du Travail sur près de 1 000 demandeurs et demandeuses d’emploi, et publiée lundi 15 février.


Ainsi, « pour les 33% de chômeurs (36% de femmes et 31% d’hommes) qui déclarent avoir été discriminés à l’embauche, l’apparence physique est le deuxième critère cité (par 29% des femmes et 20% des hommes) ».


Les demandeuses d’emploi rapportent 1,7 fois plus que les hommes avoir été discriminées en raison de leur apparence physique générale. Des caractéristiques « inaltérables », distingue l’étude, en opposition aux caractéristiques « modifiables », comme l’apparence vestimentaire ou le style.


Le surpoids, une discrimination exclusivement féminine


Dans le détail, les femmes obèses « rapportent 8 fois plus souvent que les femmes d’IMC (Indice de masse corporelle) ‘normal’ avoir été discriminées à cause de leur apparence physique ». Pour les hommes obèses, c’est 3 fois plus que les hommes d’IMC jugé normal.


Concernant cette fois le surpoids, la discrimination ne touche que les femmes. Elles seraient 4 fois plus souvent discriminées que les femmes d’IMC normal.


« Avoir un style ou une corpulence ‘hors normes’ constitue ainsi un inconvénient majeur pour être embauché et peut inciter les employeurs à questionner les candidats sur ces attributs lors des entretiens d’embauche », commente l’étude.


De manière générale, hommes et femmes subissent les normes d’une société dans laquelle des critères physiques sont moralement imposés : minceur notamment. Mais les femmes, qui subissent davantage ces injonctions, en sont les premières victimes.


62% des femmes interrogées jugent d’ailleurs inacceptable de refuser d’embaucher un candidat en raison de son poids. Contre 48% des hommes. C’est quasi la même proportion concernant le refus d’un candidat par manque d’attractivité physique. La sanction sociale de l’apparence physique pesant plus sur les femmes, elles sont plus nombreuses à les dénoncer.


Des discriminations pourtant illégales depuis la loi du 16 novembre 2001 dans laquelle le critère de l’apparence physique a été jugé « motif de discrimination ». A ce sujet, Emmanuel Macron avait annoncé le 5 février le lancement d’une grande campagne de « testing » pour la fin du premier trimestre. Il s’agirait de tester les entreprises pour identifier les critères et les pratiques discriminatoires.





Lire aussi sur Les Nouvelles NEWS :


Quand le recrutement carbure aux stéréotypes


Discrimination à l’embauche : le poids de la religion


Travailler dans un labo : avantage de John sur Jennifer





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"Je suis le machisme ordinaire" "Je suis le machisme ordinaire" "Je suis le machisme ordinaire", la vidéo du Nikon Film Festival qui crée le buzz

15 Février 2016, 23:57pm

Publié par hugo

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Vidéo
"Je suis le machisme ordinaire"
"Je suis le machisme ordinaire"
"Je suis le machisme ordinaire", la vidéo du Nikon Film Festival qui crée le buzz
Par Lucile Quillet | Le 12 février 2016
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En compétition au Nikon Film Festival, Je suis le machisme ordinaire, film de deux minutes, s'est distingué de la sélection en suscitant le plus de commentaires et remportant le plus de faveurs sur Facebook auprès des internautes. Une histoire de harcèlement sexuel qui commence en primaire.
En ce moment
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Julie a frappé un camarade de classe. Les parents sont convoqués dans le bureau de la directrice. Mais quand elle explique qu'elle a répliqué aux attouchements incessants du jeune garçon, ces derniers minimiseront l'affaire. Le scénario de ce court-métrage illustre comment les sévices d'une femme ne valent souvent pas ceux d'un homme et la façon dont ce sexisme si ordinaire désigne toujours, entre agresseur et agressée, le mauvais coupable. En compétition au Nikon Film Festival, la vidéo de deux minutes du réalisateur Fabrice Roulliat a remporté une large adhésion auprès des internautes. Près de 750 commentaires ont été enregistrés, un record. À quelques heures de la fin de la compétition, elle est la seule vidéo à remporter plus de 10.000 likes sur Facebook. De quoi remporter le Prix du public du festival ?


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Tags : harcèlement, sexisme, inégalités hommes-femmes, vidéo

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État islamique : brûlée vive pour avoir refusé un acte sexuel extrême,,femmes,violences,sexes,

15 Février 2016, 23:36pm

Publié par hugo

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État islamique : brûlée vive pour avoir refusé un acte sexuel extrême
La rédaction | Le 26 mai 2015
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La représentante spéciale du secrétaire général des Nations unies chargée de la question des violences sexuelles commises en période de conflit, Zainab Bangura, a affirmé lundi, dans une interview, que les atrocités commises par le groupe État islamique avaient atteint un niveau supérieur.
En ce moment
Rouler en Leaf, c'est comment ?
Elles ont testé la voiture électrique !
C'est une information qui glace le sang. « Nous avons entendu parler du cas d'une jeune fille de 20 ans brûlée vive parce qu'elle avait refusé de pratiquer un acte sexuel extrême. Nous avons pris connaissance de beaucoup d'autres actes sexuels sadiques. Nous nous battons pour tenter de comprendre la mentalité des gens qui commettent ces crimes. » Lundi, Zaina Bangura, la représentante du secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, chargée de la question des violences sexuelles commises en période de conflit, a dévoilé de nouveaux faits relatifs à les violences sexuelles commises par le groupe terroriste État islamique (EI) lors d'une interview poignante accordée au site Middle East Eye. Selon elle, les atrocités à l'encontre des 1500 femmes qui seraient détenues en esclavage sexuel ne font qu'empirer jour après jour.


Mme Bangura a détaillé le destin des filles et des femmes tombées sous le joug de l'organisation terroriste qui sévit en Syrie et en Irak. « Après avoir attaqué un village, l'État islamique sépare les femmes des hommes et exécute les garçons de plus de 14 ans. Les filles et les mères sont séparées : les premières sont entièrement déshabillées, subissent des tests de virginité, la taille de leur poitrine et leur beauté sont évaluées. Les plus jeunes et celles considérées comme les plus jolies vierges sont vendues aux prix les plus élevés et sont envoyées à Raqqa, la place forte de l'État islamique. » Les cheikhs de l'EI ont le privilège d'être les premiers à choisir. Les émirs viennent ensuite pour le second marché. Les combattants se répartissent ce qu'il reste du « butin ». « Ils prennent souvent trois ou quatre filles chacun et les gardent un mois environ, jusqu'à ce qu'ils soient lassés de la fille et qu'elle soit renvoyée sur le marché, raconte Zainab Bangura. Nous avons entendu parler d'une fille qui a été revendue 22 fois. Une autre, qui s'est échappée, nous a raconté que le cheikh qui l'avait capturée avait écrit son nom sur sa main pour montrer qu'elle était sa "propriété". »


Une fille aurait été revendue 22 fois sur le marché
D'après Zainab Bangura, certaines « épouses » et esclaves s'aident pour fuir. D'autres se pendent avec leur foulard. Si elles échappent à la mort, l'État islamique leur fera payer d'avoir voulu mourir et ainsi échapper à leur enfer. Zainab Bangura rapporte l'histoire de trois esclaves qui avaient tenté de se suicider avec de la mort aux rats. « Elles ont commencé à vomir et ont été amenées en urgence à l'hôpital pour y subir un lavage d'estomac. Une fois de retour, elles ont été brutalement violentées. »


En avril dernier, les services de Zainab Bangura avaient établi un rapport au sujet des groupes extrémistes ayant recours aux violences sexuelles comme « tactique de guerre » contre la population civile. Le groupe État islamique, Boko Haram, le Front al-Nosra et les shebab somaliens, ainsi que neuf autres armées ou milices, figuraient sur la liste noire. « L'année 2014, soulignait le rapport, a été marquée par des informations profondément navrantes faisant état de viols, d'affaires d'esclavage sexuel et de mariages forcés, dont se rendent coupables des groupes extrémistes, parfois dans le cadre d'une tactique de terreur » en Syrie, en Irak, au Nigeria, en Somalie et au Mali.


"La promesse de se voir attribuer une épouse"


« La violence sexuelle fait partie de la stratégie appliquée par l'État islamique pour répandre la terreur, persécuter les minorités ethniques et religieuses et supprimer des populations entières qui s'opposent à son idéologie », expliquait le rapport de l'ONU. Les actes barbares dont les femmes sont victimes sont au cœur de la stratégie des djihadistes au drapeau noir : elles sont des proies qui leur permettent de financer leur système, de recruter des combattants et de satisfaire ces derniers. Ces violences visent en particulier des femmes et des filles de la communauté yézidie, pour la plupart âgées entre 8 et 35 ans, précise le document, qui note par ailleurs que l'État islamique « utilise comme stratégie de recrutement la promesse de se voir attribuer une épouse » et que « les mariages forcés avec des combattants étrangers sont de plus en plus courants sur le territoire contrôlé par l'État islamique ». L'ONU estime à environ 1500 le nombre de citoyennes qui ont ainsi été « réduites en esclavage sexuel » par le groupe terroriste.


La publication du rapport coïncidait avec le premier anniversaire de l'enlèvement par Boko Haram, le 14 avril 2014, de plus de 200 lycéennes nigérianes à Chibok. Au Nigeria, souligne le rapport de l'ONU, les femmes subissent le même régime d'atrocités : « Le mariage forcé, la réduction en esclavage et la "vente" de femmes et de filles enlevées occupent une place centrale dans le modus operandi et l'idéologie de Boko Haram. » Selon les estimations d'Amnesty International, au moins 2000 femmes et fillettes ont été enlevées par le groupe islamiste Boko Haram depuis le début de l'année dernière.


"Hausse marquée de la violence" en Libye et au Yémen


D'anciennes détenues ont raconté à Amnesty International les conditions horribles de leur captivité dans des prisons surpeuplées. Elles disent avoir été mariées de force, avoir été obligées de cuisiner, de faire le ménage. Plusieurs d'entre elles disent aussi avoir été violées. Une jeune femme de 19 ans enlevée en septembre 2014 raconte : « J'ai été violée plusieurs fois quand j'étais dans le camp. Parfois, ils étaient cinq. Parfois trois, parfois six. Ça a continué tout le temps où j'y étais. Cela se passait toujours la nuit. (...) Certains étaient d'anciens camarades de classe de mon village. Ceux qui me connaissaient avaient tendance à être encore plus violents avec moi. »


Au moment de la remise du rapport de l'ONU en avril, Mme Bangura s'inquiétait aussi de l'aggravation du conflit au Yémen. Elle notait « une hausse marquée de la violence » contre les femmes, notamment une augmentation des mariages précoces et forcés dans les zones affectées par les combats. Enfin, elle estimait qu'en Libye, « l'activité des extrémistes était très préoccupante, étant donné les tendances observées relatives aux violences sexuelles commises par de tels groupes dans ce pays ».


(Avec AFP)


À lire aussi :
Échappées de l'enfer de Boko Haram, elles reprennent le chemin de l'école
"Pour les djihadistes, les femmes sont des esclaves sexuelles"
Comment l'État islamique justifie l'esclavage des femmes yazidies








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Tags : Boko Haram, etat islamique, violences faites aux femmes, droits des femmes, Daech
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Les cosmétiques pour bébés comportent encore trop de substances chimiques,bebes,sante,

15 Février 2016, 23:33pm

Publié par hugo

Les cosmétiques pour bébés comportent encore trop de substances chimiques
C'est ce que déplore une ONG dans une étude à paraître ce lundi. En cause, notamment, les lingettes et les produits moussants.


L'étude de l'ONG Women in Europe for a Common Future (WECF) montre que les ingrédients incriminés se retrouvent très souvent dans les lingettes pour bébés. 
L'étude de l'ONG Women in Europe for a Common Future (WECF) montre que les ingrédients incriminés se retrouvent très souvent dans les lingettes pour bébés. (MAXPPP)
Francetv info avec AFP
Mis à jour le 15/02/2016 | 16:28, publié le 15/02/2016 | 07:22


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Shampooings, lotions, laits nettoyants, lingettes... Les cosmétiques utilisés pour les bébés comportent encore trop de substances chimiques potentiellement dangereuses ou allergènes, déplore l'ONG Women in Europe for a Common Future (WECF), dans une étude à paraître lundi 15 février. Cette association repose sur un réseau de 150 organisations environnementales et féminines présentes dans 50 pays.


L'ONG a passé au crible, en juillet et août 2015, 341 produits cosmétiques pour bébés, vendus en France dans les pharmacies, parapharmacies, supermarchés et magasins biologiques. Sur la base des études scientifiques et des évaluations des autorités sanitaires de l'Union européenne (comité scientifique pour la sécurité des consommateurs) et française (Agence nationale de sécurité du médicament), cette ONG a classé les ingrédients qui composent ces produits selon trois catégories : "risque élevé", "risque modéré" et "risque faible ou non identifié".


Un nombre croissant d'irritations et d'eczémas


Les résultats de cette enquête montrent qu'une grande majorité de produits, 299 sur 341, sont composés d'ingrédients à "risque élevé". On retrouve en effet un allergène par contact (la méthylisothiazolinone ou MIT) dans 19 produits, dont sept lingettes, un conservateur soupçonné d'effets toxiques sur la reproduction (le phénoxyéthanol) dans 54 produits, dont 26 lingettes, ainsi que des parfums, "impliquant des risques potentiels d'allergies", dans 226 produits, s'inquiète WECF.


Dès décembre 2012, la Société française de dermatologie avait révélé que le MIT, conservateur très largement utilisé dans les cosmétiques en remplacement des parabens (eux-mêmes accusés d'être des perturbateurs endocriniens), entraînait un nombre croissant d'irritations et d'eczémas. En septembre 2014, Bruxelles avait d'ailleurs imposé de réduire son usage, sans toutefois l'interdire. Finalement, "seul le liniment [un mélange d'huile d'olive et d'eau de chaux] ne présente aucune substance à risque élevé", commente Elisabeth Ruffinengo, responsable projets santé-environnement de WECF.


Des parfums omniprésents


L'ONG a en outre retrouvé quatre ingrédients ou familles d'ingrédients classés à "risque modéré" dans 181 produits : l'EDTA, un composé très présent dans les produits moussants (shampooings et produits pour le bain), des sulfates (laureth et lauryl sulfate), qui sont des agents moussants potentiellement irritants, ainsi que des huiles minérales, issues de la pétrochimie, pouvant être contaminées par des impuretés et des nanoparticules, "dont les effets sont encore mal évalués". L'EDTA a été retrouvé dans 87 produits, dont 30 lingettes ; les sulfates dans 50 produits, en grande majorité des produits pour le bain et des shampooings ; les huiles minérales dans 30 produits, majoritairement des crèmes et lotions ; enfin, les nanoparticules, dans 14 produits solaires.


WECF demande "l'interdiction des trois ingrédients à risque élevé dans tous les cosmétiques destinés aux enfants de moins de 3 ans". "On a été très surpris par l'omniprésence de parfums dans la quasi-totalité des produits", alors que cet ingrédient, totalement superflu, peut causer des allergies de contact, souligne Elisabeth Ruffinengo.


Les lingettes particulièrement toxiques


Car la peau du bébé est fragile. "Son pH est neutre durant les premières semaines et elle n'est pas encore protégée par le film hydrolipidique qui met les cellules à l'abri des influences extérieures. Elle est aussi plus perméable que celle de l'adulte, car les cellules de l'épiderme ne sont pas encore suffisamment soudées les unes aux autres", explique l'ONG. En outre, chez le bébé, la zone du siège, souvent humide et chaude, est particulièrement sensible "car elle favorise l'absorption des substances par voie cutanée". Or, l'étude montre que les ingrédients incriminés se retrouvent très souvent dans les lingettes. "C'est très inquiétant. Les lingettes sont très utilisées car elles sont pratiques, sans rinçage, transportables partout", relève Elisabeth Ruffinengo.


En octobre 2013, l'association de consommateurs UFC-Que Choisir avait passé au banc d'essai 27 lingettes pour bébés et avait constaté que 94% des lingettes testées pourraient être nocives. L'ANSM avait elle-même recommandé en 2012, "à titre de précaution", de ne pas utiliser des lingettes pour bébés contenant du phénoxyéthanol, ce même conservateur classé à risque élevé par WECF.


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