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Les inégalités femmes-hommes présentes dès l'école primaire,articles femmes hommes,egalite

9 Novembre 2018, 14:33pm

Publié par hugo

Les inégalités femmes-hommes présentes dès l'école primaire
Un rapport de l'UNICEF, dévoilé à l'occasion de la Journée internationale contre le harcèlement scolaire, montre que les filles et les garçons font l'expérience des inégalités dès le plus jeune âge.
Une cour d'école primaire à Paris (ilustration).
Crédit : THOMAS SAMSON / AFP
 
Arièle Bonte 
Journaliste
 
 
publié le 08/11/2018 à 08:20
On leur donne rarement la parole et pourtant, les enfants ont des choses à dire sur la société dans laquelle ils et elles évoluent. À l'occasion de la journée internationale de lutte contre le harcèlement scolaire, ce jeudi 8 novembre, l'Unicef dévoile une enquête menée auprès de 26.458 enfants entre 6 et 18 ans, vivant en France métropolitaine et en Guyane.
Questionnés sur leur vie quotidienne, le harcèlement, les relations filles-garçons et les inégalités, ces enfants font état d'un monde très genré où les différences basées sur le genre se font parfois ressentir dès le plus jeune âge.
De la cour de l'école à Internet, les filles sont la plupart du temps les plus victimes de discriminations. Ces données révèlent alors pour l'Unicef à quel point il est important de miser sur l’éducation dès l'école primaire pour enrayer ces inégalités sociales.
À lire aussi
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"Go Girls !" : l'Unicef lance une campagne contre les mariages de petites filles
 
 
L'école, un espace dominé par les garçons
Dans la cour de récréation, la séparation des sexes se fait déjà largement ressentir. Le rapport de L'Unicef note ainsi que cet espace de liberté accordé aux enfants reste difficile à partager "où les jeux des garçons sont le plus souvent priorisés".
Conséquences : les garçons occupent le centre de la cour tandis que les filles doivent se contenter de ses côtés, limitant ainsi leur mouvement et capacité à prendre l'espace autour d'elles.
La prise de conscience des inégalités
À la préadolescence, les filles considèrent à 45% qu'elles ont moins de droits que les garçons. Ce sentiment d'inégalité augmente à l'adolescence. C'est à ce moment-là que les filles commencent à être victimes de harcèlement. Pour se protéger, elles restreignent alors leur liberté de mouvement, peut-on lire dans le rapport de l'Unicef.
Les filles sont, dans les transports en commun, sur Internet et dans l'espace public, deux fois plus harcelées que les garçons. Ces derniers sont en revanche plus victimes de ce fléau à l'école primaire.
La tenue vestimentaire : une forme de discrimination pour les filles uniquement
La tenue vestimentaire est une forme de discrimination qui touche largement plus les filles que les garçons. Ces dernières sont alors prises dans un dilemme trop bien connu de leurs aînées : à savoir qu'elles sont "trop" ou "pas assez" féminines.
La rédaction vous recommande

https://www.rtl.fr/girls/identites/les-inegalites-femmes-hommes-presentes-des-l-ecole-primaire-7795476256

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Ce que les cours de récré nous disent des relations filles-garçons,articles femmes hommes,egalite,societe

8 Novembre 2018, 08:19am

Publié par hugo

 Ce que les cours de récré nous disent des relations filles-garçons
Par Cécile Andrzejewski Publié le 07/11/2018 à 09:00
 

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Depuis dix ans, la docteure en géographie Edith Maruéjouls étudie les cours de récréation. Rien d'anodin là-dedans puisque leur aménagement révèle un rapport de force sur le partage de l'espace, dont les petites filles ressortent rarement gagnantes.
Ah, la cour de récré  ! Ses ragots, ses goûters, ses secrets et... ses garçons qui squattent toute la place pour jouer au foot. Cliché ? Pas vraiment non, puisqu'il s'agit bel et bien du schéma le plus répandu dans les écoles françaises. Voilà dix ans qu'Edith Maruéjouls, docteure en géographie, étudie les cours de récréation, une décennie où elle a pu constater et vérifier la place centrale du terrain de football, majoritairement occupé par les garçons, reléguant à la marge et dans les coins les filles, les minots en surpoids, ceux trop proches des fillettes...
« Quand je demande aux enfants de me dessiner la cour de récré, les filles n'existent pas. L'espace des garçons qui jouent au foot, on sait où il est, il fait valeur. Le nœud de l'égalité filles-garçons se joue dans les relations. Or, la norme reste de ne pas se mélanger, on se rend vite compte qu'il y a une absence de mixité dans la cour mais aussi à la cantine. C'est inconscient, mais les relations sont biaisées dès le départ », décrit la géographe.
Lire aussi : A l'école, les stéréotypes sexistes ont la vie dure
Trouver des solutions avec les enfants
Alors, quand elle arrive dans un établissement, la fondatrice du bureau d’études L’ARObE (Atelier recherche observatoire égalité) passe du temps avec chacune des classes pour discuter avec les enfants. Cette grande conversation, en confiance, permet à tous de s'interroger sur le partage de l'espace à l'école. «  Qui peut me dire à quoi il joue à la récré  ? Tu fais ce que tu veux ? », demande à chaque fois la géographe. Et, sur plus de 1000 entretiens, il y a toujours une fillette pour répondre : « Nous, madame, on n'a pas le droit de jouer au foot. »
Dans la cour de récré, les filles n'existent pas.
« Dès le départ, il y a une inégalité en droit. Quand une fille dit ça, on s'arrête et on explique que si, elle a le droit et que là, elle ne peut pas jouer au foot car des choses l'en empêchent. » Parfois, c'est aussi un petit garçon qui meurt d'envie de faire de la corde à sauter, mais qu'il s'y refuse, par peur d'être « traité de fille », vu que leurs jeux sont dévalorisés. Et c'est à l'unisson, en se parlant, que les enfants élaborent des solutions et changent les règles. « Ils se positionnent par rapport à leurs propres valeurs, parce que ça compte beaucoup pour eux de jouer tous ensemble. »
Ainsi, cette classe de CM1 qui s'est choisi un binôme mixte, responsable de la balle. Les deux écoliers décident chaque jour de ce à quoi servira le ballon. À la fin de la semaine, la fille désigne le garçon qui lui succèdera et vice-versa. Ce sont les enfants eux-mêmes qui ont établi ce fonctionnement. Ailleurs, à l'école élémentaire du Peyrouat de Mont-de-Marsan dans les Landes, où a beaucoup travaillé Edith Maruéjouls, le jeudi est devenu un jour sans foot. Ce qui occasionne cette sortie, assez drôle d'un petit garçon : «  Le lundi, le mardi, le mercredi, le vendredi je joue au foot et le jeudi je m'amuse. » « Lors de ces récrés sans ballon, les enseignants vont proposer des jeux collectifs, pour les gamins c'est énorme de jouer avec le maître ou la maîtresse, ça permet aussi aux plus timides de se sentir protégés. Il y a parfois des raquettes, des bowlings en mousse. »
Lire aussi : Elève-t-on vraiment nos filles comme nos fils ?
La cour de récré, mini-société
De plus en plus sollicitée, que ce soit en milieu urbain ou rural, en école populaire ou bourgeoise, la géographe travaille également sur les ambiances et la création de coins où les enfants peuvent lire, s'allonger, écouter de la musique, jouer au ballon contre un mur... La demande vient de partout  : enseignants, élus, mais aussi parents d'élèves. Car si le sujet peut sembler anodin, il révèle des inégalités solidement installées, ne demandant qu'à se creuser. De fait, la cour est une petite société.
« Cette différence d'occupation de l'espace entraîne aussi une inégalité durable de la parole citoyenne, qui reste rentrée chez les filles. Reléguées dans la cour de récré, elles mésapprennent. Parce que prendre sa place au centre signifie aussi se montrer, se rendre visible. Quand vous intégrez que votre place est en retrait, vous n'apprenez pas à négocier, à dire "non, je ne suis pas d'accord". À l'inverse, les garçons n'apprennent pas à accepter le refus. » De même, lorsqu'elles arpentent la cour, les gamines doivent prendre garde à ne pas traverser le terrain de foot, ou à éviter le ballon, alors que les joueurs au milieu n'y font guère attention. En somme, elles anticipent le danger avant de parcourir un lieu, ce qui rappelle furieusement les habitudes de leurs aînées. Alors, quitte à prendre des plis, autant prendre les bons. Et penser, dès la cour de récré, à partager l'espace équitablement.

https://www.marieclaire.fr/ce-que-les-cours-de-recre-nous-disent-des-relations-filles-garcons,1286429.asp

LE  TRUC   EST  QUE POUR  JOUER  AU  FOOT  ON A BESOIN D ESPACE DONC SOIT ON CONTINUE  DE  LAISSER JOUER   AU  FOOT  LES GARCONS,  soit les filles  et les garcons jouent  au  foot  

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LE PLAISIR COMME APPROCHE POSITIVE D’UNE ÉDUCATION À LA SANTÉ SEXUELLE ÉGALITAIRE,articles femmes hommes,sante,egalite

7 Novembre 2018, 08:40am

Publié par hugo


Contributions
LE PLAISIR COMME APPROCHE POSITIVE D’UNE ÉDUCATION À LA SANTÉ SEXUELLE ÉGALITAIRE
 
C’est de ma place de soignante en tant que gynécologue et sexologue que j’observe les évolutions des notions de plaisir et d’égalité, deux éléments actuellement en plein chantier.
Le plaisir est le grand absent de l’éducation à la santé sexuelle.
Tous âges confondus, l’éducation à la sexualité est basée sur la fonction de reproduction et sur l’anatomie. Quelle est cette pudeur hypocrite qui efface le clitoris des manuels scolaires ? Les exemples de reproduction sont très souvent choisis parmi les végétaux ou les animaux.
Les peurs dominent l’éducation sexuelle
Les injonctions sont multiples : il faut rester vierge, ne pas être enceinte, ne pas devenir stérile avec les IST, ne pas mourir suite aux rapports sexuels, se protéger avec souvent double protection: contraception + préservatifs. La sexualité non reproductive est souvent montrée du doigt: homosexualité et personnes âgées.
Le plaisir au masculin
Le plaisir sexuel masculin a toujours dominé : l’homme aurait des besoins à assouvir sous peine de ne pas se sentir bien, et même de devenir menaçant. Combien de patientes disent avoir des rapports sexuels pour que l’ambiance soit plus détendue, disant par ailleurs ne pas comprendre l’importance que revêt le rapport sexuel chez leurs partenaires ? On essaie de nous faire croire qu’il y a un impératif vital pour l’homme à avoir des rapports sexuels.
Les « incels »: « célibataires involontaires »: les excès masculins
En avril 2018, Alek Minassian, un jeune homme âgé de 25 ans, tue dix personnes. Elliot Rodger a tué 6 personnes et en a blessé 14 : « Je ne sais pas pourquoi vous, les filles, vous n’avez jamais été attirées par moi, mais je vais toutes vous punir pour ça. » Ils voulaient du sexe, ils le « méritaient », simplement, les femmes ne leur donnaient pas satisfaction. On pourrait penser à la prostitution comme solution, mais, ce que ces hommes désirent le plus c’est séduire.
Cet exemple s’inscrit dans un contexte particulier : les incels se croient à une époque où leur droit au sexe ne doit faire l’objet d’aucune contestation. De fait, aux Etats-Unis, il n’y a aucune loi contre le viol conjugal appliquée En fait il y en a une difficile à appliquer. L’idée persiste qu’une fois qu’une femme dit oui, elle ne pourrait plus jamais dire non. Ces hommes pensent en outre qu’ils ont, en tant qu’hommes, droit au sexe. Quand les femmes se refusent à eux, ils considèrent qu’ils n’ont pas ce qu’ils méritent.
Orgasme masculin, quelques précisions nécessaires en consultation
Les femmes pensent que la sexualité masculine est linéaire et simple. Les hommes sont certes plus à l’aise avec leur désir sexuel et la masturbation que les femmes. Pour autant, chaque rapport sexuel ne débouche pas sur la même intensité de plaisir. Énoncer cette vérité à une femme l’étonne souvent. L’éjaculation correspond à la libération d’une tension, mais pas obligatoirement à un orgasme. Mais les femmes qui sentent leur partenaire détendu après l’éjaculation imaginent que tout est simple pour eux.
«Aujourd’hui encore, les couples hétérosexuels ont une sexualité établie en fonction d’un point de vue masculin, représentée par le schéma pénétration, puis éjaculation», pose en préambule Sylvie Chaperon, historienne spécialiste de l’Histoire des femmes. Mais la pénétration n’est pas toujours ce qui procure le plus de plaisir aux femmes.
Les difficultés des hommes
Dans l’esprit traditionnel, les hommes sont responsables de la réussite des rapports sexuels. «On ne donne pas du plaisir, on en prend», une notion très importante pour les éjaculateurs rapides. Les hommes ont encore du mal à imaginer que les femmes ne sont pas toujours satisfaites par la pénétration.  Depuis 1968, la notion de préliminaires est entrée dans les mœurs, à la demande des femmes. Il est encore difficile de nos jours de comprendre que le rapport sexuel ne se termine pas lors de l’éjaculation. Combien d’hommes se préoccupent de la jouissance de leur partenaire après avoir « joui » ?
Orgasme féminin
La jouissance des femmes n’est pas socialement valorisée. Il reste l’idée qu’ «une femme bien» n’exprime pas son désir ni sa jouissance ». Honte aux anatomistes qui n’ont jamais disséqué le clitoris ! Il a fallu attendre l’échographie en 3D et la patience de médecins et de patientes, qui se sont soumises aux examens, pour connaître l’anatomie du clitoris. Le point G a vécu !
En consultation il est nécessaire d’expliquer
Le rapport sexuel est encore trop souvent considéré comme l’ensemble des pratiques produisant l’orgasme masculin. Nous persistons à utiliser la mauvaise clef (le pénis) dans la mauvaise serrure (le vagin) alors qu’il suffirait de caresser le bouton de porte (le clitoris). Les pratiques produisant l’orgasme féminin sont reléguées aux préliminaires, donc au facultatif, aux préparatifs, au non-essentiel, pour un résultat prévisible.
Stéréotypes sur l’orgasme féminin
On distingue encore orgasme clitoridien et orgasme vaginal. Mais un orgasme est un orgasme. Les mouvements féministes actuels se saisissent de la question du plaisir féminin, c’est une bonne nouvelle : la libération de la parole permet de cheminer vers l’égalité. Pour prendre du plaisir, encore faudrait-il s’en arroger le droit. Facile à dire dans une société prétendument libérée, difficile à atteindre quand il faut jongler avec des poids culturels contradictoires,« trop cochonne, pas assez cochonne.» Cette timidité a des conséquences lourdes, puisque la gêne empêche d’avoir accès à l’information ou à l’aide médicale.
T’as joui ? , le compte Instagram qui compte faire tomber les tabous autour de l’orgasme féminin
Dans une story, la fondatrice du compte instagram T’as joui ? raconte comment un homme lui a expliqué que les femmes ont moins d’orgasmes parce qu’elles sont plus cérébrales, qu’elles intellectualisent trop le rapport. « Je me suis dit qu’il fallait porter le débat publiquement plutôt que cela reste privé ». « T’as joui ? » a aussi permis à certains couples d’aborder le sujet. « Je reçois des remerciements de femmes qui me disent : ‘Depuis qu’il a vu ce compte il s’intéresse enfin à mon clitoris !’», explique Dora Moutot. La journaliste espère que le ministère de l’Education tombera sur ce compte, et lancera des campagnes d’éducation sexuelle adéquates.
Quels outils utiliser en consultation?
Les demandes directes en consultation de sexologie sont plus simples à entendre. En consultation de gynécologie classique, poser des questions sur la sexualité ne gêne pas les patientes parce qu’elles ne se sentent pas obligées d’y répondre. C’est parfois au cours d’une consultation ultérieure que sera abordé le sujet, le fait d’avoir entrouvert la porte permet cette parole. Il faut se poser la question de la difficulté sexuelle devant une contraception mal acceptée.
En consultation
Nous pouvons détricoter des préjugés: «pour eux c’est facile», «c’est toujours pareil», «si je ne le fais pas il s’énerve», «j’ose pas demander», «il ne m’écoute pas». Nous pouvons aider les femmes à devenir actrices de leur sexualité. Nous pouvons aider les hommes à ne pas porter le fardeau de la réussite de la relation sexuelle:  un homme aurait beau tout faire, si sa partenaire ne s’autorise pas à prendre du plaisir, elle n’aura pas d’orgasme. Les hommes qui ont des difficultés sexuelles sont soulagés d’envisager la sexualité sans obligation de la sacro sainte pénétration. Lorsqu’il y a des dysfonctions sexuelles au sein d’un  couple, il faut expliquer que les deux partenaires sont parties prenantes de la difficulté et que celui ou celle qui présente la difficulté n’est que la partie visible de l’iceberg, l’autre ayant des questions secondaires à élucider.
Les pratiques sexuelles évoluent
La dissociation entre sentiments et sexualité est possible : avoir des rapports comme se faire un restaurant. Nous avons plus de rapports oro-génitaux, la fellation, réservée il y a quelques décennies aux prostituées, est courante dans les couples, le cunnilingus est plus fréquent mais pas assez selon les femmes interrogées dans les enquêtes. La sodomie est fréquemment pratiquée, souvent vécue comme une contrainte, parfois seule expérience sexuelle autorisée avant le mariage. La masturbation mutuelle est de plus en plus pratiquée.
L’égalité : vaste sujet
L’égalité ne met pas en péril l’érotisme comme le craignent certain.e.s, mais permet de le réinventer.
Le mouvement #MeeToo révèle un combat destiné à libérer ce qui est l’ultime bastion de la domination féminine: le corps féminin dans sa dimension génitale.
Ce mouvement permet de préciser la bonne distance pour vivre une sexualité épanouie, gratifiante et égalitaire.
Le consentement est un langage de désir, une rhétorique du plaisir
Devenues soi-disant les égales des hommes dans le champs social, les femmes demeurent des êtres « à disposition » dans la sphère privée. Il n’y a pas de guerre des sexes, simplement des modalités de l’acte sexuel pleinement consenti qui procure contentement et plaisir.
Les hommes sont aussi bénéficiaires de cette évolution
Il s’agit d’en finir avec les schémas «l’homme actif, choisit et prend», la femme passive «donne et subit.» Du côté des hommes, l’injonction à la performance (faire des conquêtes, bander sans faillir, pénétrer avec force pour satisfaire…), assigne et contraint. Certains comportements irrespectueux, dominants voire violents, peuvent se nourrir de l’angoisse de n’être pas à la hauteur, comme si la pénétration était le début et la fin de toute relation sexuelle.
Le consentement (suite)
A tout moment, les femmes peuvent ne pas vouloir aller plus loin et le signifier, un geste ou un mot suffit alors, ou devrait suffire. S’y refuser ou prétendre ne pas les comprendre c’est basculer du côté de la domination et de la violence.
Reconnaître en son ou sa partenaire un ou une égal.e, c’est reconnaître à la fois sa dignité et son altérité, c’est-à-dire les conditions sine qua non d’un jeu sexuel gratifiant parce que consenti.
Certes, le plaisir a une place importante dans l’éducation à la sexualité égalitaire, mais à condition que la notion d’égalité soit prépondérante. C’est le partage entre deux êtres consentants qui est essentiel. Une rencontre entre deux êtres est réussie s’il y a partage, communication, plaisir, qu’il y ait orgasme ou non.
 
Dr Hélène Jacquemin-Le Vern, gynécologue et sexologue
Ce texte est issu du colloque  » Les nouveaux enjeux de l’éducation à la santé sexuelle, pour 2030 – En finir avec les inégalités, révolutionner l’éducation à la sexualité » organisé par l’UNESCO le 26 septembre dernier.
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http://www.50-50magazine.fr/2018/10/26/le-plaisir-comme-approche-positive-dune-education-a-la-sante-sexuelle-egalitaire-1-2/

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Parité hommes femmes : les inégalités persistent;articles femmes hommes,egalite

5 Novembre 2018, 14:12pm

Publié par hugo


Parité hommes femmes : les inégalités persistent

La parité entre les hommes et les femmes sur le marché du travail est loin d’être effective. Malgré différents textes de loi, les inégalités persistent.
FRANCE 3
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Mis à jour le 04/11/2018 | 10:36
publié le 04/11/2018 | 10:36
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LA NEWSLETTER ACTUNous la préparons pour vous chaque matin

C’était l’une des premières annonces du chef de l’État : "Je me suis en effet engagé à ce que la cause du quinquennat soit celle de l’égalité entre les femmes et les hommes." Problème : selon les derniers chiffres, c’est loin d’être une réalité. Au même poste et pour les mêmes compétences, les femmes gagnent en moyenne 9% de moins que les hommes. Pourtant, depuis les années 1970, cinq lois ont été promulguées afin de garantir l’égalité salariale au sein des entreprises.
Une situation plus précaire sur le marché du travail

Problème : 60% des sociétés ne respectent pas la loi et seul 0,2% ont été sanctionnées en six ans. Ce manque de contrôle, n’encourage pas l’égalité dans les entreprises selon la déléguée CGT en charge de l’égalité hommes femmes Sophie Binet. Les femmes ont une situation plus précaire sur le marché du travail : plus de temps partiels et moins de responsabilités. Résultat : les femmes gagnent en moyenne 23,7% de moins que les hommes tous postes confondus. Ces écarts de salaires varient également en fonction des secteurs d’activité.


https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/carriere/vie-professionnelle/emploi-des-femmes/parite-hommes-femmes-les-inegalites-persistent_3017797.html

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Salaires : les Françaises travailleront «gratuitement» à partir de mardi

5 Novembre 2018, 02:20am

Publié par hugo


Salaires : les Françaises travailleront «gratuitement» à partir de mardi
>Société|Le Parisien| 04 novembre 2018, 23h53 |0
En France, les femmes ont un salaire inférieur de 15,2 % à celui des hommes, selon les données d’Eurostat calculées pour 2016. LP/Olivier Lejeune

C’est du moins ce que l’on pourrait calculer en se fiant à l’écart de salaires entre les hommes et les femmes. Un collectif féministe demande des mesures.
La newsletter Les Glorieuses appelle à se mobiliser contre les inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, ce mardi. Une date loin d’être choisie au hasard : symboliquement, c’est à partir de 15h35 « et environ 5 secondes » ce jour-là que les Françaises travailleront « gratuitement » jusqu’à la fin de l’année, si l’on compare leurs salaires à ceux de leurs collègues masculins, selon les calculs du collectif.
En France, les femmes ont un salaire inférieur de 15,2 % à celui des hommes, selon les données d’Eurostat pour 2016. Un écart très légèrement inférieur à celui qui prévaut dans l’Union européenne, de 16 %.
Pétition en ligne
Sur l’ensemble de l’Union européenne, le jour fatidique est donc… déjà passé ! Il s’agissait de samedi. Les Glorieuses, qui ont lancé le mot-clé #6novembre15h35 sur les réseaux sociaux, ont mis en ligne une pétition pour appeler le gouvernement à réduire les inégalités entre les salariés.
Le collectif demande notamment que le congé paternité soit équivalent au congé maternité - afin que les femmes ne pâtissent pas d’une interruption de carrière plus longue que les hommes -, la transparence des salaires au sein des organisations ou encore qu’un « certificat d’égalité » soit obligatoire dans les entreprises.
SociétéEurostatLes GlorieusesUnion européennePétitionféminisme

http://www.leparisien.fr/societe/salaires-les-francaises-travailleront-gratuitement-a-partir-de-mardi-04-11-2018-7935162.php

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Poitiers : une équipe mixte de natation synchronisée,articles femmes hommes,

5 Novembre 2018, 01:54am

Publié par hugo

Poitiers : une équipe mixte de natation synchronisée

Des hommes et des femmes dans une même équipe de natation synchronisée, c'est le pari d'une équipe mixte à Poitiers (Vienne) qui fait parler d'elle.
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Mis à jour le 03/11/2018 | 18:09
publié le 03/11/2018 | 18:09
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L'idée de créer une équipe mixte de natation synchronisée à Poitiers (Vienne) vient d'une boutade. En juin dernier, Éric Zoaro, président du club CEP Poitiers NatSynchro, a défié les petits amis des nageuses d'accompagner ces dernières sous l'eau et de créer une équipe mixte. "Au début, ils m'ont pris pour un fou", raconte-t-il. Il aura fallu quatre mois au lieu de sept pour que le premier entraînement ait lieu.
Une discipline difficile, loin des clichés

Au menu de chaque entrainement, la pratique du rétropédalage, le porté... Une technique beaucoup plus difficile à appréhender pour les hommes que pour les femmes. Le défi de l'équipe mixte est à la fois simple et ambitieux : produire une chorégraphie digne de ce nom pour le gala de juin 2019. Et si l'engouement persiste, l'objectif du club pourrait être une qualification aux Jeux olympiques de 2024, autrement dit plonger pour de bon dans le grand bain.


https://www.francetvinfo.fr/societe/droits-des-femmes/poitiers-une-equipe-mixte-de-natation-synchronisee_3016813.html

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Salaires : les inégalités entre les femmes et les hommes persistent,femmes,hommes,articles femmes hommes,

5 Novembre 2018, 01:52am

Publié par hugo

Salaires : les inégalités entre les femmes et les hommes persistent

À partir de samedi 3 novembre, les femmes travaillent pour des prunes au regard du salaire que touche un homme. A poste équivalent, on observe 9% d'écart.
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Mis à jour le 03/11/2018 | 15:09
publié le 03/11/2018 | 15:09
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À compter de samedi 3 novembre, les Françaises pourront considérer ne plus toucher de salaire. L'égalité salariale existe-t-elle dans les entreprises françaises ? Dans cette société d'immobilier, la différence de salaire entre les hommes et les femmes est pratiquement de 3%, mais l'harmonisation des rémunérations coûte cher. "Sur six années, nous avons consacré environ 600 000 euros à la réduction de ses inégalités", explique une des salariés. Une situation loin d'être répandue dans toutes les entreprises.
Des sanctions ont été mises en place

Pourtant l'égalité salariale est inscrite dans la loi depuis 1972. Tout employeur est tenu d'assurer pour un même travail ou pour un travail de valeur égale, l'égalité de rémunération entre les hommes et les femmes. Mais souvent les femmes n'ont pas accès aux mêmes postes que les hommes. Résultat : une différence de salaire de -23,7% tous secteurs confondus. Des sanctions ont été mises en place pour les entreprises qui ne respectent pas l'égalité salariale, mais selon certains syndicats, seul 0,2% d'entre elles ont été sanctionnées en six ans.


https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/carriere/vie-professionnelle/emploi-des-femmes/salaires-les-inegalites-entre-les-femmes-et-les-hommes-persistent_3016671.html

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Egalité salariale : à partir du 3 novembre, les Européennes travaillent gratuitement,articles femems hommes,salaire,egalite

4 Novembre 2018, 21:21pm

Publié par hugo

 
Egalité salariale : à partir du 3 novembre, les Européennes travaillent gratuitement

Symboliquement, c'est à partir de cette date que les femmes ne sont plus rémunérées pour leur travail, par rapport à leurs collègues masculins. Les Françaises n'ont que trois jours de plus.
Des femmes manifestent pour l\'égalité salariale, à Paris, le 7 novembre 2016.
Des femmes manifestent pour l'égalité salariale, à Paris, le 7 novembre 2016. (THOMAS SAMSON / AFP)
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Mis à jour le 03/11/2018 | 12:36
publié le 03/11/2018 | 12:21
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image il y a 5 heures

Les habitants de Nouvelle-Calédonie ont dit "non" à l'indépendance : 5 choses à retenir sur le référendum de dimanche

Devraient-elles arrêter de travailler ? Dans l'Union européenne, les femmes gagnent 16,2% de moins que les hommes, selon les données d'Eurostat (en anglais). C'est comme si, dans un monde où l'égalité salariale existerait, les femmes n'étaient plus payées à partir du samedi 3 novembre. Pour obtenir ce chiffre, Eurostat compare les salaires horaires bruts des employées et employés dans l'industrie, la construction et les services. Les Françaises, qui touchent 15,2% de moins que les Français, selon Eurostat, bénéficient d'un petit sursis, jusqu'au mardi 6 novembre.

La lettre d'information féministe Les Glorieuses a d'ailleurs fixé à 15h35 ce jour-là, le moment à partir duquel les Françaises travailleront pour rien. L'objectif est de sensibiliser l'opinion au sujet des inégalités salariales. Les Glorieuses citent plusieurs données pour dénoncer les inégalités plus précisément. A commencer par la différence de salaire de 9% entre hommes et femmes "à travail égal, en prenant en compte les tranches d'âge, le contrat, le temps, le secteur d'activité et la taille de l'entreprise".
Trois propositions pour l'égalité

Si l'on choisit les plus récentes données de l'Insee, qui remontent à 2015, toutes catégories confondues, "les salaires des femmes sont inférieurs de 23,7 % à ceux des hommes. En d’autres termes, les hommes perçoivent 31,1% de plus que les femmes", écrit Les Glorieuses. Pour parvenir à l'égalité salariale, Les Glorieuses proposent trois mesures, dans une pétition : "un congé paternité équivalent au congé maternité", "une transparence des salaires" et "un certificat d'égalité obligatoire", comme en Islande.

Si toutes les données disponibles indiquent des inégalités de salaire entre homme et femmes, elles doivent être employées avec précaution. Il s'agit de moyennes, calculées avec des méthodes différentes, qui peuvent masquer de grandes disparités et "présentent un tableau incomplet", comme l'explique Le Monde. Le journal cite l'exemple de l'Italie, où les écarts de salaires sont plus faibles (5,5%), mais où le taux d'emploi des femmes est très nettement inférieur à celui des hommes.

A lire aussi


https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/carriere/vie-professionnelle/emploi-des-femmes/egalite-salariale-a-partir-du-3-novembre-les-europeennes-travaillent-gratuitement_3016595.html

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Égalité salariale femme-homme en Europe : "La France n'est pas un très bon élève (...) mais pas non plus le pire",egalite,salire,

4 Novembre 2018, 08:29am

Publié par hugo

 Égalité salariale femme-homme en Europe : "La France n'est pas un très bon élève (...) mais pas non plus le pire"

La "Journée européenne de l’égalité salariale" tombe ce samedi. Pour l'économiste du travail Dominique Meurs, "la France est plutôt dans la moyenne si, au lieu de regarder l'écart des salaires horaires, on regarde l'écart de revenu annuel du travail".
Manifestation pour l\'égalité salariale à Paris le 7 novembre 2016.
Manifestation pour l'égalité salariale à Paris le 7 novembre 2016. (THOMAS SAMSON / AFP)
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Mis à jour le 03/11/2018 | 08:19
publié le 03/11/2018 | 08:19
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Les Européennes cessent - symboliquement - d'être rémunérées à compter de ce samedi 3 novembre puisque les femmes sont payées en moyenne 16,2% de moins que les hommes selon les calculs d'Eurostat. "La France n'est pas un très bon élève par rapport aux pays nordiques, mais ça n'est pas non plus le pire", affirme Dominique Meurs, économiste du travail et professeur à l’université de Paris Nanterre, interrogée sur franceinfo à l'occasion de la "Journée européenne de l’égalité salariale". Il faut que les entreprises comprennent d'où viennent ces écarts de salaire, pour pouvoir "mener une politique correctrice efficace", ajoute cette spécialiste.

franceinfo : Cette journée est-elle symbolique de la part de Bruxelles ou est-ce quelque chose d'important ?

Dominique Meurs : C'est symbolique, bien entendu, parce que le chiffre qu'ils reprennent, on peut le discuter. Il s'appuie sur les différences de salaire horaire entre les hommes et les femmes. Il y a trois dimensions dans la constitution de cette différence : le salaire horaire, votre temps de travail et votre participation au marché du travail. On peut très bien imaginer un pays où les femmes participent très peu au marché du travail, mais travaillent à temps complet et vont se retrouver dans des postes très qualifiés. Elle vont être comparées à leurs collègues masculins qui vont occuper toute la sphère du travail, donc dans ce cas-là, ce chiffre-là, venant de la comparaison du simple salaire horaire, donnera quelque chose de très peu différent, voire même avantage aux femmes.

Le salaire horaire brut des femmes est en moyenne inférieur à celui des hommes de 6% en Belgique, 5% au Luxembourg et à l'inverse 20% en Autriche, 21% au Royaume-Uni, 21,5% en Allemagne... En France, cet écart est de 15%. Est-on plutôt mauvais élève, ou est-ce qu'on peut être optimiste ?

La France est plutôt dans la moyenne si, au lieu de regarder l'écart des salaires horaires, on regarde l'écart de revenu annuel du travail, ce que fait l'OCDE. Dans ce cas-là, la Belgique est à peu près au même niveau que la France. Pourquoi ? Parce qu'en Belgique, il y a énormément de temps partiels, qui sont occupés par les femmes. Il faut toujours avoir ces trois dimensions : la participation, le temps de travail et le salaire horaire. La France n'est pas un très bon élève par rapport aux pays nordiques, mais ça n'est pas non plus le pire. Est-ce que ça a changé ? Pas beaucoup, c'est extrêmement stable dans le temps. Ca ne se résorbe pas, ou un tout petit peu, alors qu'il y a eu énormément de changements sur le marché du travail, en ce qui concerne les femmes et les hommes, notamment le développement des services, des postes de management. Tout ça aurait dû être favorable aux femmes, et finalement ça n'a pas beaucoup bougé. Là encore, le suspect le plus probable, ce sont toujours les effets de la maternité et du retour du congé maternité, qui coûtent des points de carrière aux femmes et qui vont ensuite se répercuter sur les écarts de retraite entre les femmes et les hommes.

Les entreprises de plus de plus de 50 salariés ont désormais trois ans pour réduire ces inégalités, faute de quoi elles pourraient encourir une sanction équivalente à 1% du chiffre d'affaire - c'est ce que prévoit la loi Avenir Professionnel, votée cet été. Est-ce que cela va dans le bon sens ?

Oui, c'est très intéressant comme mesure. C'est l'extension d'une mesure qui existe déjà en Suisse et qui est prônée en Europe. Il va falloir construire pour chaque entreprise un indicateur d'écart de salaires, toutes choses égales par ailleurs. Il faut tenir compte des des différences d'âge, de qualification etc, et cela donnera un chiffre. D'un côté c'est bien, parce que ça vous donne un indicateur sur lequel agir et voir le progrès dans le temps, puisque vous avez un thermomètre. De l'autre, ce qui me fait un petit peu peur actuellement, c'est que c'est très précipité. Je ne suis pas sûre que les entreprises soient armées pour utiliser ce chiffre. Vous observez 15% d'écart dans votre entreprise, et vous faites quoi ? Il faut savoir analyser d'où cela vient : est-ce que ça vient des primes qui seraient inégalement réparties entre les femmes et les hommes, est-ce que ça vient du fait qu'il n'y a pas assez de femmes managers ? Cela va demander beaucoup d'efforts aux entreprises pour comprendre ce qui se passe, pour pouvoir mener une politique correctrice efficace, mais si les entreprises et les syndicats s'emparent bien de cet instrument, cela peut être extrêmement bénéfique.
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https://www.francetvinfo.fr/societe/droits-des-femmes/egalite-salariale-femme-homme-en-europe-la-france-n-est-pas-un-tres-bon-eleve-mais-pas-non-plus-le-pire_3016437.html

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Salaires : les femmes gagnent toujours moins que les hommes,egalite,salaire,

4 Novembre 2018, 08:19am

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Salaires : les femmes gagnent toujours moins que les hommes

À compter de mardi 6 novembre à 15h35, les Françaises pourront considérer ne plus toucher de salaire pour leur travail jusqu'à la fin de l'année.
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Mis à jour le 02/11/2018 | 22:29
publié le 02/11/2018 | 22:29
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Dans cette entreprise spécialisée dans l'immobilier, tout est fait pour réduire les différences de salaire entre les hommes et les femmes. L'écart n'est que de 3%, mais cela a un coût. "Sur six années, nous avons consacré environ 600 000 euros à la réduction de ces inégalités, pour que les femmes rattrapent le salaire des hommes", explique Anoko Lawson, directrice des ressources humaines. Mais toutes les entreprises ne sont pas aussi vertueuses. La situation a très peu évolué depuis une dizaine d'années.
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