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Plus de parité en entreprise,parites,egalites,articles femmes hommes,politiques,

1 Juillet 2014, 01:51am

Publié par hugo



Plus de parité en entreprise
27 JUIN, 2014
Les entreprises non cotées en Bourse devront compter 40% de femmes dans leurs instances dirigeantes.


Les femmes dirigeantes ne sont pas assez présentes dans les conseils d'administration. C'est le constat retenu par l'Assemblée nationale lors de la seconde lecture du projet de loi pour l'égalité entre les femmes et les hommes. Les députés ont développé aux entreprises non cotées en Bourse comptant plus de 250 salariés l'obligation de celles de plus de 500 salariés de compter 40% d’hommes ou de femmes dans leurs instances dirigeantes.


Le projet de loi, adopté dans le nuit de jeudi à vendredi doit à présent être soumis à une commission mixte paritaire séputés-sénateurs.



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Egalité filles-garçons : un dispositif généralisé remplace l'ABCD,EGALITE,PARITES,

30 Juin 2014, 00:58am

Publié par hugo

Actualité > Education > Egalité filles-garçons : un dispositif généralisé remplace l'ABCD
Egalité filles-garçons : un dispositif généralisé remplace l'ABCD
Le Nouvel Observateur avec AFPPar Le Nouvel Observateur avec AFP
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Publié le 29-06-2014 à 13h56
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Najat Vallaud-Belkacem promet un programme "très ambitieux" qui concernera toutes les écoles.
Elèves de l'école des réformes à Nantes (Franck Perry - AFP) Elèves de l'école des réformes à Nantes (Franck Perry - AFP)


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Egalité filles-garçons : Hamon sacrifie les "ABCD de l'égalité"
"L'égalité filles-garçons, ce n'est pas négociable"
Complots, rumeurs : comment remonter à la source d'une intox ?
Les ABCD de l'égalité contre les stéréotypes filles-garçons à l'école n'apparaîtront plus sous leur nom actuel, mais cette expérimentation sera remplacée par un programme "très ambitieux" généralisé à tous les élèves, a annoncé dimanche 29 juin la ministre des Droits des femmes.


Les ABCD de l'égalité sont "une expérimentation" pour l'année scolaire 2013-2014 et leur évaluation montre qu'ils "ont fait leur preuve" même s'il y a "des choses à améliorer comme offrir davantage d'outils pédagogiques aux enseignants et plus diversifiés", a dit Najat Vallaud-Belkacem sur France 3.


Mais "le nom 'ABCD de l'égalité' attaché à l'expérimentation n'apparaîtra plus" puisque "nous allons passer à une étape où toutes les écoles, tous les enseignants, tous les élèves sont concernés", a-t-elle assuré.


Après des mois de polémiques sur cette expérimentation initialement appelée à être généralisée à la rentrée 2014 mais devenue la cible de mouvements d'extrême droite et des opposants au mariage homosexuel, le nouveau dispositif sera dévoilé lundi par la ministre avec son collègue de l'Education nationale Benoît Hamon.


"Ce que nous annoncerons demain est très ambitieux, plus que l'étaient les ABCD de l'égalité qui ne concernaient que 275 écoles, qui n'étaient qu'une expérimentation", a insisté Najat Vallaud-Belkacem sans en dire davantage sur les intentions du gouvernement.




Sur le web : ABCD de l'égalité: "La lutte contre les stéréotypes ça s'apprend" - 23/06


ABCD de l'égalité: "La lutte...ABCD de l'égalité: "La lutte contre les stéréotypes ça s'apprend" - 23/06en cours
Le point sur l'ABCD de l'égalité...Le point sur l'ABCD de l'égalité dénoncé comme "théorie du genre" par des parents




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école Garçons Najat Vallaud-Belkacem égalité enseignement Benoît Hamon filles ABCD de l'égalité
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Egalité hommes-femmes : l'Assemblée nationale pour la parité en entreprise,parites,egalites,articles femmes hommes,

29 Juin 2014, 17:07pm

Publié par hugo

Egalité hommes-femmes : l'Assemblée nationale pour la parité en entreprise
Egalité hommes-femmes : l'Assemblée nationale pour la parité en entreprise
DERNIÈRE MINUTE


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Meurtre d'Hélène Pastor : le gendre avoue être le commanditaire
Egalité hommes-femmes : l'Assemblée nationale pour la parité en entreprise
Toute l'actualité Société
Le projet de loi sur l'égalité réelle entre les hommes et les femmes a été adopté en seconde lecture par les députés. Les sociétés non cotées en bourse devront elles-aussi compter au moins 40 % de femmes dans leur conseil d'administration.


L'Assemblée nationale soutien les femmes à hauts postes. Lors de la seconde lecture du projet de loi pour l'égalité réelle entre les hommes et les femmes, les députés ont estimé que ces dernières étaient encore trop peu représentées dans les conseils d'administration. Pour y remédier, ils ont étendu à des entreprises non cotées en Bourse de plus de 250 salariés, l'obligation de compter 40 % de représentants de chaque sexe dans leurs instances dirigeantes. A condition de réaliser plus de 500 millions d'euros de chiffres d'affaires pendant trois ans. Le tout sera effectif à partir du 1er janvier 2020 dans le secteur privé. Dans la fonction publique, l'objectif de 40 % devra être atteint en 2017 au lieu de 2018.
Le projet de loi doit encore faire l'objet d'une commission mixte paritaire députés-sénateurs pour trouver un texte commun. S'ils ne parviennent pas à se mettre d'accord, l'Assemblée nationale tranchera.




NAJAT VALLAUD-BELKACEM / PARITÉ


Egalité hommes-femmes : l'Assemblée nationale impose la parité en entreprise
L'égalité hommes/ femmes, un sujet de campagne ? - L'égalité hommes/ femmes
Inégalités salariales : les entreprises sanctionnées
Top 10 des choses qui donnent envie de faire l'amour - Journal des Femmes...
Découvrez Madame France 2013 - Journal des Femmes Société
Interview Aline Crepin sexisme en entreprise
Voir aussi : Najat Vallaud-Belkacem Parité égalité des salaires Plafond de verre

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58 millions d'enfants privés d'école,enfants,educations,parites,egalite articles femmes hommes,

28 Juin 2014, 16:34pm

Publié par hugo

58 millions d'enfants privés d'école


Mis en ligne le 27/06/14 I Rédaction par Arnaud Bihel

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EcoleOugandaCe nombre stagne depuis 5 ans. L'objectif d'éducation universelle en 2015 est hors de portée, déplore l'Unesco. Qui observe malgré tout plusieurs signaux positifs.





« L'absence de progrès sur la voie de la réduction du nombre d’enfants non scolarisés confirme nos appréhensions : il n’y a aucune chance que les pays atteignent l’objectif de l’éducation primaire universelle d’ici à 2015 », fixé voilà quinze ans dans les Objectifs du millénaire pour le développement.


Ce constat d'échec est dressé par la secrétaire générale de l'Unesco Irina Bokova, alors que l'organisme onusien dédié à l'éducation vient de publier ses dernières données, sur l'année 2012. Dans le monde, 58 millions d'enfants entre 6 et 11 ans ne vont pas à l'école. Après des années de baisse régulière, ce nombre s'est stabilisé depuis 2007.


Unesco


Si la tendance se confirme, l'Unesco juge probable que près de la moitié de ces enfants – 15 millions de filles et 10 millions de garçons – n’iront jamais à l’école.


Si le bilan global est négatif, il y a toutefois des raisons d'espérer. L'absence de progrès est largement due à la croissance de la population en Afrique sub-saharienne, qui compte plus de la moitié des enfants non scolarisés – 30 millions, dont 56% de filles (et dont près de 9 millions rien qu'au Nigeria). En Asie du Sud-Est, en revanche, le nombre d'enfants privés d'école a chuté, de 34 millions en 2000 à 10 millions en 2012. Un progrès surtout pour les filles : elles composaient les deux-tiers du total en 2000, et moins de la moitié en 2012.


Enjeu financier


Dans 17 pays en développement des progrès significatifs ont été enregistrés : ils ont globalement réduit la déscolarisation de 90% au cours de la dernière décennie. Des progrès liés à la mise en place de politiques financières efficaces pour la scolarisation des enfants. En instaurant la gratuité en 2005, le Burundi a vu son taux de scolarisation passer de 54 à 94%. Le Ghana a doublé ses dépenses d'éducation, faisant passer le nombre d'enfants scolarisés de 2,2 à 4,1 millions.


L'Unesco insiste sur l'enjeu financier, alors que l'éducation ne compte que pour 2% du volume de l'aide humanitaire mondiale, rappelle Irina Bokova. Lors d'une conférence sur le sujet, où ces nouveaux chiffres étaient dévoilés, le 26 juin, l'Union européenne et d'autres donateurs se sont engagés à accroître leur aide au Partenariat mondial pour l'éducation à hauteur de 2,1 milliards de dollars. Et 27 pays en développement ont annoncé un accroissement de 25% de leurs budgets pour l'éducation entre 2015 et 2018.





Lire aussi sur Les Nouvelles NEWS :


Autour de Malala, mobilisation pour l'éducation


Exercices d'égalité pour l'éducation


Eduquer les filles pour éviter un monde surpeuplé








Photo : une classe à Katakwi, Ouganda, novembre 2011. Par MightyBoyBrian, Certains droits réservés

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Avec Marine Le Pen, les droits des femmes en danger,egalite,parites,ivg,femmes,racisme,extreme droite,fn

23 Juin 2014, 23:33pm

Publié par hugo

Accueil›Société›Tribunes
Avec Marine Le Pen, les droits des femmes en danger
FLORENCE MONTREYNAUD ÉCRIVAINE ET FÉMINISTE ET LYDIE LABAT AVEC LE RÉSEAU « ENCORE FÉMINISTES! » 20 JUIN 2014 À 13:12
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Deux femmes devant l'affiche de campagne de Marine Le Pen, Denain, mai 2014.
Deux femmes devant l'affiche de campagne de Marine Le Pen, Denain, mai 2014. (Photo Philippe Huguen. AFP)
TRIBUNEUne femme qui ose parler d’«avortement de confort», «à répétition, remplaçant la contraception», ne défend pas la cause féminine.
Le Front national est présidé par Marine Le Pen, fille du fondateur. Avec son langage simple et direct, elle attire des personnes rebutées par les éructations racistes et sexistes de son père. Marine Le Pen est une femme : et alors ? Avec elle, les droits des femmes sont en danger. Quand elle défend les «hommes blancs hétérosexuels» qui seraient les «victimes» d’une société féminisée, c’est une aubaine pour les machos.
Une femme qui ose parler d’«avortement de confort», «à répétition, remplaçant la contraception», une femme qui propose de cesser son remboursement et d’instaurer l’«adoption prénatale», ne défend pas les droits des femmes.


Une femme qui considère comme sans objet la lutte contre les violences masculines infligées aux femmes, puisque celles-ci ne seraient pas une «espèce à protéger», ne défend pas les droits des femmes.


Une femme qui juge «stupide» de pénaliser les clients des prostituées, puisque la prostitution serait «hélas le plus vieux métier du monde», défend plutôt le plus vieux privilège masculin, la plus archaïque des violences exercées contre les femmes.


Marine Le Pen, qui siège au Parlement européen depuis 2009, pourra continuer à s’y opposer aux avancées des droits des femmes comme elle l’a fait en votant contre deux textes sur l’égalité femmes-hommes, le rapport Estrela (décembre 2013) et le rapport Zuber (mars 2014). Elle pourra continuer à expliquer que le progrès pour les femmes est de «rester à la maison» avec un salaire parental.


Les maires élus avec le Front national en mars 2014 pourront, comme leurs prédécesseurs en 1995, réduire les subventions au Planning familial ou les aides sociales.


Il reste trois ans avant l’élection présidentielle. Les femmes représentent 53 % de l’électorat ; l’égalité est l’une des valeurs fondatrices de notre République. Qu’attendent les partis et mouvements politiques, responsables pour se ressaisir et s’affirmer sur ce sujet ?


Nous, féministes, les interpellons. Nous demandons que l’avortement, droit fondamental des femmes, soit inscrit comme tel dans la Constitution européenne. Nous demandons une loi-cadre contre les violences infligées aux femmes. Nous soutenons la proposition de loi contre le système prostitutionnel votée par l’Assemblée nationale et à l’étude au Sénat. Il y a urgence. Le triomphe du Front national n’est pas une fatalité. Ensemble, agissons pour l’égalité!


http://encorefeministes.free.fr


Florence MONTREYNAUD écrivaine et féministe et Lydie LABAT avec le réseau « Encore féministes! »
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Par Juan Branco et Alphonse Clarou
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Femmes dans les conseils d'administration : Sur les chemins de l'égalité,egalite,parites,emploi,

23 Juin 2014, 00:50am

Publié par hugo



Accueil > Société > News société
Femmes dans les conseils d'administration : Sur les chemins de l'égalité


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Conseils d'administration : Les femmes de plus en plus nombreuses© ThinkstockLa proportion de femmes dans les conseils d'administration des entreprises, notamment celles du CAC 40, longtemps pointées du doigt pour leur monopole masculin, n'a cessé de progresser, au point de dépasser les 30%. Un constat très encourageant.
Elles dépassaient péniblement la barre des 10% il y a encore 5 ans, les voilà aujourd'hui qui représentent près d'un tiers des membres des conseils d'administration des grandes entreprises du CAC 40. Ces résultats "attestent de la réussite de la stratégie choisie par la France qui a fixé des quotas pour les entreprises de plus de 500 salariés et de plus de 50 millions de chiffre d'affaires", s'est félicitée la ministre des Droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem, à l'annonce des conclusions de l'enquête menée par le cabinet Ethic & Boards.
En effet, selon la loi Zimmermann-Copé adoptée en janvier 2011, les conseils d'administration et les conseils de surveillance des entreprises se devaient de comporter 20% de femmes en 2014 et fixe cet objectif à 40% en 2017. Par ailleurs, cette étude, publiée le jour de l'ouverture du Global Summit of Women organisé cette année à Paris (bon timing !) indique que les entreprises du SBF 120 (Société des Bourses Françaises) suivent également la même courbe positive, la part des femmes dans leurs conseils d'administration ayant atteint 28,8% (soit une progression de 3,1 points). Mais si ces chiffres sont encourageants, les comités exécutifs et de direction, qui ne sont pas concernés par la loi, restent mauvais élèves en matière de parité puisqu'ils en comptes que 10,3% de femmes dans les entreprises du CAC 40 et 12,1% dans les entreprises du SBF 120.
Ces instances, a indiqué la ministre Najat Vallaud-Belkacem, constituent une priorité. Afin de faciliter l'évolution de l'égalité, elle a rappelé que 27 entreprises s'étaient d'ores et déjà mobilisées, prenant des engagements sur la féminisation des postes de direction, notamment des comités exécutifs et des comités de direction et que 10 nouvelles entreprises devraient prochainement s'associer à la démarche. D'un manière générale, le ministère ne compte pas se reposer sur ses lauriers et annonce qu'il "poursuivra les efforts engagés depuis plusieurs mois pour élargir les viviers de femmes pouvant être nommées administratrices, valoriser les parcours des administratrices, et faciliter la mise en relation entre les femmes intéressées, les entreprises qui recrutent et les réseaux qui peuvent les aider."
A lire aussi : Egalité homme-femme : La parité définitivement adoptée au Sénat


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La mixité professionnelle dans les objectifs 2014,parite,egalite,emploi,

21 Juin 2014, 01:33am

Publié par hugo

La mixité professionnelle dans les objectifs 2014
8 JANVIER, 2014
Par: Matthieu Windey
Un an après le lancement d’un grand plan d’action pour le droit des femmes, le gouvernement s’est fixé de nouveaux objectifs. En 2014, il veut plus de femmes en entreprises et plus de mixité au travail.


Le 6 janvier, le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, a annoncé les nouveaux objectifs du gouvernement dans le cadre du « plan égalité hommes-femmes ». En 2014, la priorité est donnée au renforcement du taux d’emploi des femmes, encore inférieur de 9 points à celui des hommes. « La politique des droits des femmes que je conduis repose sur la conviction que le progrès économique et le progrès social doivent cheminer de pair », a déclaré le Premier ministre. La majorité soutient qu’une plus grande représentation des femmes sur le marché du travail pourrait augmenter la croissance de 0,5 point par an.


La mixité professionnelle devra aussi être dévelopée. Le gouvernement a dénoncé le manque de parité dans de trop nombreux corps de métiers, comme l’ingénierie, où les postes sont majoritairement occupés par la gente masculine. A l’inverse, le secteur de l’aide aux personnes est en grande partie composé de femmes.




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LES DROITS SEXUELS ET REPRODUCTIFS : QU’EST-CE QUE C’EST ?,egalite,

20 Juin 2014, 03:53am

Publié par hugo





LES DROITS SEXUELS ET REPRODUCTIFS : QU’EST-CE QUE C’EST ?
mardi 18 février 2014
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Sommaire
Le droit de choisir…
Le devoir des Etats…
Pourquoi cette campagne ?
Des droits humains avant tout…
Les droits sexuels et reproductifs renvoient à des droits fondamentaux déjà reconnus dans de nombreux textes de lois et traités internationaux. Il a pourtant fallu attendre les années 1990 pour que ces droits soient portés au rang de droits humains, après des années de combats féministes. Malgré une apparition récente dans les débats internationaux, il ne s’agit donc pas de droits nouveaux, mais bel et bien de droits universels historiquement reconnus par la communauté internationale.
Le droit de choisir…
Les droits sexuels et reproductifs donnent à toute personne le droit de, par exemple, choisir librement si, quand et avec qui elle désire avoir des rapports sexuels, avoir des enfants ou se marier. En vertu de ces droits, les femmes et les filles, les hommes et les garçons, doivent pouvoir prendre des décisions concernant leur santé, leur corps et leur vie sexuelle. En faisant une distinction entre procréation et sexualité, ces droits ne se limitent pas à la question de la reproduction. Ils reconnaissent également le droit pour chaque personne de mener une vie sexuelle épanouissante, respectueuse de soi et des autres, et de jouir du meilleur état mental et social possible.
Chaque personne doit pouvoir librement, sans aucune peur, contrainte ou discrimination :
- jouir du meilleur état de santé possible en matière de sexualité et de procréation ;
- disposer librement de son corps ;
- avoir des rapports sexuels librement consentis avec la personne de son choix et au moment où elle le souhaite ;
- demander, recevoir et transmettre des informations sur la sexualité, notamment via une éducation sexuelle globale adaptée ;
- décider librement et en toute connaissance de cause d’avoir ou non des enfants, du nombre des naissances et de leur espacement / au moment où elle le souhaite ;
- choisir si et avec qui elle désire se marier ;
- avoir accès au planning familial, à la contraception, à des services d’avortement légaux et sûrs au minimum en cas d’inceste, de viol ou si la santé de la mère est en danger, aux soins liés à la santé maternelle et à toute une gamme de services de santé indépendamment de son identité et de ses ressources ;
- mener une vie sexuelle satisfaisante et agréable ;
- vivre à l’abri du viol et d’autres formes de violences sexuelles ;
- bénéficier du progrès scientifique et ne pas être soumise à une expérience médicale sans son consentement.
Le devoir des Etats…
Les États ont l’obligation de veiller au respect inconditionnel de ces droits fondamentaux pour toutes et tous, sans craintes de sanctions, de discriminations ni de violences. Cela signifie que les gouvernements doivent non seulement s’assurer que ces droits sont inscrits dans les textes de loi, mais ils doivent également s’assurer que les femmes comme les hommes aient accès dans la pratique aux services de santé nécessaires à leur exercice.
La réalité est pourtant bien loin de cela. Les États ont un lourd passif en ce qui concerne le respect des obligations relatives aux droits sexuels et reproductifs. Non seulement ils ne fournissent pas les services de santé et les informations appropriés dont tout le monde a besoin, mais ils interviennent aussi activement dans les affaires et les choix personnels et faillent à leur devoir d’empêcher l’intervention de possibles tiers.
La liste des violations des droits sexuels et reproductifs dans le monde est donc longue : viols, mutilations génitales féminines, mortalité maternelle, mariages forcés, lois homophobes, non-accès à la planification familiale, etc. Chaque jour, des individus sont privés de leurs droits de disposer librement de leur corps et de prendre des décisions concernant leur santé et leur vie sexuelle.
La mission d’Amnesty est de dénoncer ces violations et de forcer les responsables à y mettre fin.
Pourquoi cette campagne ?
Selon le rapport du Secrétaire général de l’ONU à la Commission des Nations unies sur la population et le développement en 2012, 43 % de la population mondial actuelle se situe dans la tranche d’âge des 10-24 ans ; ce qui représente la plus grande génération de jeunes dans l’histoire. Près de 90 % d’entre eux vivent dans les pays en voie de développement, et la plupart, en particulier les femmes et les jeunes filles, n’ont toujours pas accès aux services de santé et d’éducation sexuelle nécessaires pour pouvoir mener une vie saine à cause des discriminations dont elles sont victimes. Les complications durant la grossesse et l’accouchement, la violence sexiste et le sida sont parmi les principales causes de mortalité chez les jeunes.
Les gouvernements ont l’obligation de respecter, protéger et garantir les droits sexuels et reproductifs (SRR) de chaque individu. Ces obligations ont été traduites en engagements spécifiques lors de la Conférence internationale sur la population et le développement de 1994, qui place au centre des politiques de développement les besoins des jeunes et l’autonomisation des femmes. Au cours des vingt dernières années, des engagements significatifs ont été mis en place pour garantir les droits SRR. Cependant, les progrès ont été lents et inégaux. Les services de santé reproductive, comme les soins prénatals par exemple, ont été améliorés. Mais, dans d’autres domaines, notamment concernant l’avortement sûr et l’accès à une éducation sexuelle complète, les progrès ont été très insuffisants.
L’examen des 20 ans de la mise en œuvre de la Conférence internationale sur la population et le développement (CIPD +20) représente une occasion unique pour Amnesty International d’appeler les gouvernements à réaffirmer et à préserver les mesures existantes en matière droits sexuels et reproductifs et de veiller à ce que tous puissent bénéficier de ces droits sans devoir subir de discrimination ou de violence.


Sans votre aide, nous ne pouvons rien. Faites un don sur notre compte IBAN BE85 0012 0000 7006

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830 millions de salariées n'ont aucune protection maternité,articles femmes hommes,parites,egalites,

20 Juin 2014, 03:04am

Publié par hugo



SOCIAL
830 millions de salariées n'ont aucune protection maternité
Par
Anne-Marie
Thomazeau
[15-05-2014]

Le Bureau international du Travail (BIT) a révélé que près de 830 millions de femmes travailleuses ne bénéficient pas encore d’une protection adéquate, malgré les progrès relatifs aux allocations de maternité et à la reconnaissance de droits pour les nouveaux pères.


Dans son rapport, intitulé ’’Pour une maternité et une paternité au travail : Loi et pratique à travers le monde", le BIT a révélé que 66 pays sur 185 ont signé au moins à une des trois conventions sur la protection de la maternité adoptées en 1919, 1952 et en 2000.


Il indique en outre, que 111 sur 160 pays disposent de lois sur le travail dangereux ou insalubre qui pourrait affecter les femmes enceintes ou allaitant et que 78 ont énoncé des interdictions explicites contre de tels travaux.


Outre la législation de protection de la maternité, de nombreux pays disposent aujoud'hui, également, de mesures pour soutenir les pères qui travaillent. Sur les 167 pays étudiés, 78 stipulent un droit au congé de paternité qui est rémunéré dans 70 pays.


Voila pour les droits. Dans les faits, et malgré ces progrès, 830 millions de travailleuses manquent de protection maternelle adéquate en termes de congé et d’indemnités. 80% de ces femmes travaillent en Afrique et en Asie, et elles sont souvent travailleuses indépendantes, migrantes, domestiques, salariées agricoles, saisonnières ou temporaires.







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Différence des salaires : on fait le point,femmes,parite,egalite,salaires,

19 Juin 2014, 23:06pm

Publié par hugo



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Lorsque l'on compare les salaires des hommes et des femmes, le constat est clair : les femmes gagnent moins, et cela, partout en Europe. La différence moyenne est de 18%. Quelle est la cause de cette inégalité et pourquoi les hommes gagnent-ils plus ? Nous répondons ici aux questions essentielles relatives à la comparaison des salaires entre l'homme et la femme.
- Différence des salaires : on fait le point
A quel endroit la différence de salaires entre hommes et femmes est-elle la plus importante ?
L'écart des salaires dépend des pays ! Alors qu'en Allemagne la différence est d'environ 23%, en France, elle est de 17%, soit en dessous de la moyenne européenne. Dans les pays tels que l'Italie où les femmes travaillent moins, la différence est naturellement plus faible : elle est de 4,9%.
A noter : Il n'y a pas uniquement de grandes différences de salaires en fonction des pays mais également en fonction des secteurs. Dans le secteur bancaire londonien, les femmes touchent un salaire inférieur de 40 % à celui de leurs collègues masculins.


Est-ce que la différence de salaire s'estompe avec le temps ?
Non, au contraire. Dans la plupart des pays, la situation a même empiré. En Allemagne, la différence était seulement de 22,7% en 2006 !


Pourquoi les femmes gagnent-elles moins que les hommes ?
L'une des raisons principales aux différences de salaires peut être le fait que les femmes travaillent souvent à temps partiel et que la proportion de femmes dans le secteur social - mal rémunéré - est plus importante. Dans les secteurs bien rémunérés tels que l'industrie chimique ou l'ingénierie mécanique, on trouve principalement des hommes. De plus, les femmes, malgré un cursus excellent, arrivent avec peine aux postes d'encadrement (ce qu'on appelle le «plafond de verre»).
A noter : lorsque l'on compare les salaires, on remarque que les femmes ne sont pas payées autant pour le même travail fourni. Finalement, au sein même de l'entreprise, les employés eux-mêmes ne savent pas que femmes et hommes - à compétences et responsabilités égales - n'ont pas le même salaire.
Beaucoup de spéculations sont faites sur la raison qui pousse les entreprises à payer moins les femmes. Certains expliquent ainsi la réduction de salaire par les éventuels congés maternité ou les absences prises pour s'occuper des enfants.


Quelles sont les conséquences d'une rémunération inéquitable ?
Pour les femmes, gagner moins signifie également qu'elles auront plus tard une plus petite retraite que les hommes. Cela est encore aggravé par les périodes au cours desquelles les femmes arrêtent de travailler pour s'occuper des enfants. 22 % des femmes de plus de 65 ans sont en situation précaire contre seulement 16 % des hommes.


Est-ce que l'inégalité des rémunérations est légale ?
La différence de salaire entre les hommes et les femmes qui fournissent exactement le même travail est considérée comme une discrimination directe qui est interdite aussi bien par les directives de l'Union Européenne que par les directives légales nationales. Il est très difficile de justifier une rémunération inégale au cas par cas. Souvent, des clauses sont contenues dans les contrats stipulant qu'il est interdit de parler de son salaire.
Qu'est ce qui est entrepris pour supprimer les différences de salaire ?
Tout d'abord, une comparaison ouverte des salaires est importante. En Allemagne, on mise pour cela sur la technologie - et sur la bonne volonté des entreprises. Il y a un an, la Ministre fédérale de la famille alors en poste, Ursula von der Leyen, a présenté le logiciel Logib-D (alors seulement dans sa phase de test). Il est maintenant achevé et peut être téléchargé gratuitement. De plus, le Ministère fédérale de la Famille, des Personnes Agées et de la Jeunesse propose 200 programmes de conseil pour comparer les salaires.


Qu'est-ce que Logib-D ?
Le programme a été développé en Suisse et adapté ensuite à l'Allemagne. Ce logiciel permet d'établir une comparaison des salaires et de savoir s'il existe des différences au sein d'une entreprise et de quelle ampleur. Pour chaque employé, le sexe, le cursus, l'âge et l'expérience professionnelle sont renseignés et comparés avec les autres. Ainsi, une rémunération inéquitable peut être rapidement révélée et supprimée.
A noter : son utilisation se fait sur la base du volontariat et est anonyme. On ne saura que dans quelques années si le logiciel apporte le changement nécessaire.


Que font les autres ?
Souvent, regarder ce qu'il se passe chez les voisins permet de trouver des solutions innovantes. Dans beaucoup de pays, la comparaison des salaires en fonction des sexes a été intégrée à la loi.


> Suisse : Logib est déjà utilisé depuis plusieurs années - au départ avec un succès modéré. Entre temps, l'attribution de contrats publics a été soumis à la condition que l'entreprise doit œuvrer contre l'inégalité des salaires.


> Grande-Bretagne : une initiative est en cours selon laquelle l'entreprise est obligée à partir d'une taille précise de rendre public ses salaires. La loi doit maintenant être votée et entrer en vigueur. la Commissaire Viviane Reding a jusqu'au début de l'automne pour présenter son projet. Alors, il sera certainement obligatoire dans toute l'Europe de rendre les salaires publics. Les entreprises ne respectant pas l'équité des salaires devront être punies ou punies plus sévèrement.


> Suède : cette loi est déjà une réalité. Là-bas, les employeurs sont obligés de veiller activement à une plus grande égalité et à une meilleure représentation des femmes dans les entreprises.


> Canada : les entreprises doivent contrôler à partir de 10 employés s'il y a des rémunérations inéquitables.


> France : une loi a été votée à ce sujet : les entreprises doivent prouver jusque fin 2010 qu'elles ont entrepris des mesures contre l'inégalité des salaires.


SMB.


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