Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le blog de hugo,

articles femmes hommes

Ces jeunes, à peine entrés sur le marché du travail, déjà en burn out,sante,emploi,

2 Août 2018, 07:29am

Publié par hugo

Le Cheek Point
Ces jeunes, à peine entrés sur le marché du travail, déjà en burn out
Publié le 1 août 2018 à 11:19
On a lu pour vous cet article de Slate sur les jeunes et le burn out et on vous le conseille fortement. 
 
 
© Best Picko / Flickr
“Un appel sur les réseaux sociaux, et en vingt-quatre heures à peine, une trentaine de témoignages afflue. ‘Bonjour, j’ai 26 ans, et je suis passé très près du burn-out l’été dernier’ ‘Bonjour, j’ai fait un burn-out à 23 ans au sein de l’Éducation nationale.’ ‘Bonjour, j’ai fait un burn-out il y a deux ans et demi. J’avais 25 ans.’
Le phénomène est difficile à saisir. Aucune statistique n’existe sur le surmenage des jeunes. C’est un problème de définition. Le syndrome d’épuisement professionnel n’en accepte aucune qui soit définitive, même aujourd’hui.  […] Julien avait 23 ans quand le burn-out lui est tombé dessus, dès son premier emploi. Une ‘crise d’angoisse’ qui l’a cloîtré chez lui pendant une semaine, incapable de reprendre le boulot, de décrocher le téléphone ou de parler, tout simplement. Julien avait pourtant trouvé ce que certains et certaines passent une vie à chercher: le moyen d’allier passion et métier. Pour lui, c’était le basket. Mais on lui a trop demandé, et il a craqué.”
Dans cet article publié sur le site de Slate, les journalistes Thomas Moysan, Léo Caravagna, Vincent Morel et Bastien Hauguel s’intéressent aux jeunes qui viennent d’entrer sur le marché du travail et qui, déjà, ont fait un burn out. Souvent galvanisés par les challenges d’un premier boulot, ces jeunes n’arrivent pas à identifier les signes annonciateurs du surmenage.
À lire le plus rapidement possible sur le site de Slate.

http://cheekmagazine.fr/societe/jeunes-travail-burn-out-slate/

Voir les commentaires

VIDÉO - Japon : la communauté LGBTQ+ manifeste contre les propos d'une députée,societe,racisme

1 Août 2018, 08:15am

Publié par hugo

 VIDÉO - Japon : la communauté LGBTQ+ manifeste contre les propos d'une députée
Des milliers de Japonais se sont mobilisés pour demander la démission de Mio Sugita, qu'ils accusent d'avoir tenu "un discours de haine" contre les personnes LGBTQ+.
 
La communauté LGBTQ+ japonaise en colère après les propos de Mio Sugita
Crédit Image : Josh Willburne / Unsplash |
Emeline Ferry 
Journaliste
Partager l'article
publié le 30/07/2018 à 16:15
Ils ont bravé les intempéries pour manifester. Malgré les rafales de vents, causées par le typhon Jongdari, des milliers de Japonais se sont réunis à Tokyo et Osaka les 27 et 28 juillet. Drapeaux arc-en-ciel sur les épaules, la communauté LGBTQ+ japonaise a protesté contre les propos de la députée Mio Sugita, rapporte Le Monde.
En colère, ils ont demandé sa démission, l'accusant de tenir un "discours de haine", dans une interview accordée au magazine Schincho 45. Le 18 juillet, la députée, élue du Parti libéral démocrate (PLD), a qualifié les personnes lesbiennes, gays, bi et trans de "non productives" car "ne pouvant pas se reproduire".
Dans cette interview, elle estimait que l'argent des contribuables ne devrait pas être investi dans les politiques soutenant les couples homosexuels, qu'elle jugent "improductifs" car "ces hommes et ces femmes ne portent pas d'enfants".
À lire aussi
Japon
Japon : à quelques rares exceptions, le pays reste sourd au mouvement #MeToo
 
 
Protestation contre les discriminations
Les propos de Mio Sugita ont indigné une partie de la société japonaise. Plusieurs milliers de personnes se sont alors rassemblées à Tokyo, ce weekend, pour protester contre les discriminations. Arborant des pancartes et des drapeaux arc-en-ciel, symbole de fierté LGBTQ+, ils ont appelé la députée à démissionner.
"C'est comme si on m'avait dit que je n'avais pas le droit de vivre", confie une manifestante lesbienne au Monde. Ouvertement homosexuel, Taiga Ishikawa, un responsable politique de l'opposition, a réagi aux déclarations de Mio Sugita, qui estime que "la tendance des médias à célébrer la diversité sexuelle incitait des personnes capables de vivre une romance normale à devenir homosexuelles, augmentant le nombre de malheureux".
"L'homosexualité n'est pas la définition du malheur. Ce sont des remarques discriminatoires comme celles de Mio Sugita qui nous rendent malheureux", a-t-il déclaré, rapporte le quotidien français.
Les manifestants étaient d'autant plus indignés que le Parti démocrate libéral n'a pas clairement réagi et n'a pas évoqué de sanctions contre la députée. Refusant de condamner ses propos, le secrétaire général du parti, Toshihiro Nikai, a déclaré : "En dehors des positionnements politiques, les différentes personnes affichent des points de vue différents".
La rédaction vous recommande

https://www.rtl.fr/girls/societe/video-japon-la-communaute-lgbtq-manifeste-contre-les-propos-d-une-deputee-7794270311

Voir les commentaires

Sites de rencontres: quand la photo de profil est trop belle pour être vraie,articles femmes hommes,societe

1 Août 2018, 08:10am

Publié par hugo

 •société
Dossier “Le corps” / En partenariat avec le CFPJ
Sites de rencontres: quand la photo de profil est trop belle pour être vraie
Publié le 31 juillet 2018 à 3:01
Pour multiplier les matches, la tentation est grande de se mettre en scène sur ses photos de profil d’applis de dating… quitte à provoquer soi-même la déception au moment de la rencontre. 
 
 
Capture d'écran Tinder, DR
Existe-t-il un profil idéal pour multiplier les matches sur les applis de rencontre? Ces dernières s’accordent à dire qu’il y aurait un minimum requis de cinq photos. “Dans ces cinq photos, il doit y en avoir une où l’on voit bien un visage, une photo de plain-pied, une photo qui exprime vos goûts: est-ce que vous aimez aller à la campagne, est-ce que vous aimez les animaux, faire la fête avec vos amis, aller faire du trek ou du backpack à l’autre bout du monde…”, précise Amélie Guerard porte-parole de Once.
Marie, 24 ans, en pause de dating depuis qu’elle a rencontré son dernier mec sur OkCupid il y a quatre mois, est en désaccord total avec la précédente affirmation. “En soirée j’ai parlé à un pote de pote, il avait toute une stratégie par rapport à Tinder. Il m’a listé tous les types de photos qu’il mettait sur son profil. J’ai trouvé ça très drôle parce que, dans la vraie vie, il était plutôt mignon, mais si j’avais vu son profil sur Tinder tel qu’il me le décrivait, jamais je ne l’aurais matché”, confie la jeune femme.
“Plus vous mettez un fossé entre l’image que vous donnez de vous et la réalité, et plus vous vous exposez à ce que l’autre soit déçu.”
Fabienne Kraemer, psychanalyste spécialiste du couple et autrice de 21 clés pour l’amour slow, explique pourquoi ce type de mise en scène ne peut que décevoir. “Quand vous rencontrez quelqu’un via une photo sur Internet, ça génère obligatoirement du fantasme. À partir de là, si le fantasme est très loin de la réalité, ça génère une déception. Plus vous mettez un fossé entre l’image que vous donnez de vous et la réalité, et plus vous vous exposez à ce que l’autre soit déçu”, explique la praticienne.
Marie se souvient que la découverte de ce monde d’apparences a été difficile. Elle affirme ne pas être photogénique et ne pas rentrer forcément dans les critères de beauté standard. “Je ne suis pas du tout une meuf mince. Je suis brune, il y a plein de gens qui n’aiment pas ça. J’ai les cheveux bouclés, c’est pareil”, détaille-t-elle. Elle a commencé par utiliser Tinder vers 20 ans. La jeune femme explique y être restée parce que la proportion plus importante d’hommes que de femmes l’a rassurée. “Quand t’es une fille, t’as toujours plein de matches”, concède-t-elle. En clair, le fait d’utiliser l’application lui permettait de booster son ego.
 
Le meilleur du pire
L’argument s’avère illusoire pour Fabienne Kraemer. “Bien sûr que ça les rassure. Par contre il y a beaucoup d’hommes qui ne font pas de tri au moment de swiper, mais qui le font au moment du match. Donc c’est une fausse réassurance”, constate la psychanalyste.
Lorsqu’elle utilisait encore les services de rencontre, Marie explique que la consultation de Tinder se faisait entre copines. “On était deux et on faisait ‘lui non, lui non, lui oui’”, raconte la jeune femme. Parmi les profils qui la rebutent figurent “le mec blanc qui se prend en photo alors qu’il a rencontré des petits africains en mode ‘white savior’”, ou encore “le mec sur un bateau genre je sors d’HEC”. Les photos d’hommes torse nu arrivent en tête des repoussoirs chez elle. Ils sont monnaie courante sur les sites de rencontres.
“Un mec qui se met en petit chat ou en lapin, ce n’est pas possible.”
Les applications de dating confirment cette tendance. Thévi de Coninck, porte-parole d’Happn raconte comment elle en a pris la mesure: “J’ai été surprise par le nombre de garçons qui posent torse nu ou en maillot de bain. Moi, ça fait trois ans que je suis arrivée chez Happn. J‘en ai vu passer des profils. Je pensais que c’était quelque chose de plus féminin de se montrer dévêtu. Mais au final c’est beaucoup plus les hommes qui le font, à la salle de sport, à la plage, en rando.” Autre mode, la multiplication des selfies. Selon Amélie Guerard, porte-parole de Once, sur ce terrain, les hommes font jeu égal avec les femmes. “Ce que l’on voit aussi pas mal, ce sont les filtres Snapchat ou Instagram: le filtre chien, le filtre biche, le filtre ‘qui rend beau’”, complète-t-elle. Pour Ingrid, 28 ans, de retour depuis quelques mois sur Tinder suite à une rupture, ce genre de profil est rédhibitoire. “Un mec qui se met en petit chat ou en lapin, ce n’est pas possible.”
La multiplication des selfies s’explique, selon Fabienne Kraemer, par le désir de maîtriser son image. “C’est très difficile de se voir photographié par quelqu’un d’autre car ça reflète une image que l’on n’a pas envie de voir de soi parce qu’on s’est construit individuellement un personnage idéal”, décrypte la psychanalyste.
 
Une seule photo peut suffire
Ce n’est pas sur le profil d’Ingrid que l’on trouvera toute une collection de selfies. La jeune femme ne souhaite pas se prendre la tête à se mettre en scène. Elle n’utilise qu’une seule photo, où on la voit en grosse doudoune entrouverte dans sa voiture. Seule sa tête est visible. “Je n’ai pas envie de déballer ma vie et que je ne suis pas la pro du selfie”, justifie-t-elle. Face à elle, il ne lui faut pas plus de photos pour matcher. “Faut bien voir sa tête. Moi si je ne vois que ça, ça me va, je découvre le reste plus tard”, poursuit-elle.
Contrairement à elle, Aurélie, 37 ans, utilisatrice en dilettante d’OkCupid, aime en apprendre davantage sur les photos. “Moi, je suis assez sensible à un mec qui va mettre une photo de lui dans un musée ou au pied d’un monument parce que ce sont des choses qui me correspondent. J’aime les voyages et la culture, donc ce qui va m’attirer, ça va être un mec en train de faire de la musique. Ou alors des photos un peu décalées, un peu geek, parce que je sais que je suis une nerd et que l’on va parler le même langage.” Elle même a mis une photo déguisée en étudiante de Poudlard. “Des mecs m’ont contactée pour me demander si j’étais fan d’Harry Potter, ça a créé des échanges”, explique la jeune femme.
Pourtant, la découverte de l’autre peut s’avérer cruelle lors du premier rendez-vous. Pour son dernier date, Aurélie pensait avoir affaire à un rockeur. L’homme qu’elle a rencontré avait, sur son profil, une photo de lui en concert avec une guitare. En échangeant, il lui avait dit qu’il était leader d’un groupe et qu’il faisait au moins deux scènes ouvertes par semaine. “Je me disais: c’est un vrai, un tatoué”, plaisante-t-elle. Arrivée au rendez-vous, l’homme qu’elle s’imaginait comme une rockstar faisait finalement terriblement cheap à ses yeux. “Je me suis dit: jamais je pourrai coucher avec un mec comme ça!” Une déception qui ne surprend pas Fabienne Kraemer. “Typiquement, ce genre de situation sur les sites de rencontres est propice aux mauvaises surprises. Ce n’est pas tant vis-à-vis de l’autre que vis-à-vis de soi-même que l’on veut exposer une image qui colle au fantasme que l’on a de soi. Plus cette image est éloignée de la réalité et plus vous invitez l’autre à ne pas vous aimer, vous, et à en aimer une autre”, explique-t-elle.
 
Le fantasme de soi-même
Poussée à l’extrême, cette logique du “soi fantasmé” amène les utilisateurs et utilisatrices de sites de dating à rechercher leur clone. “Il y a une telle narcissisation que les gens désirent se retrouver dans l’autre. Il n’y a plus du tout l’idée que l’amour est une surprise, quelque chose qui doit nous bouger sur nos conceptions de l’altérité, dans la curiosité de l’autre”, affirme Fabienne Kraemer.
“On continuera de se rencontrer par le biais des applis.”
Les sites de rencontres l’ont bien compris et parfois même en jouent. Jusqu’en décembre 2017, Once, contrairement aux autres services, ne s’appuyait pas uniquement sur un algorithme pour proposer des profils à consulter. Des matchmakers humains étaient en charge de la sélection finale pour n’en envoyer qu’un par jour. Ces opérateurs avaient un certain nombre de directives. “Ils avaient plutôt tendance à associer un garçon ‘selfie salle de sport’ avec une fille ‘filtre Snapchat’… Et en général c’était des matches qui fonctionnaient”, reconnaît la porte-parole de la marque, Amélie Guerard.
Même si les sites de rencontres, tels qu’ils sont pensés aujourd’hui, sont responsables de nombreuses déceptions, Fabienne Kraemer ne remet pas pour autant leur utilité en cause.“Je sais que l’on continuera de se rencontrer par ce biais et que ce sera peut être même le seul, vu que le pli est pris. Il ne faut pas aller à l’encontre de cette technologie”, estime la psychanalyste.
Les bannir pour éviter la déception serait donc une erreur. Cependant, leur usage ludique est une forme de trompe-l’œil, qui mérite de prendre du recul. S’y mettre en scène sous son meilleur jour, voire sous un jour fantasmé, peut certes déboucher sur  plus de matches à court terme… mais la désillusion n’en sera que plus grande au final.
Cédric Soares

http://cheekmagazine.fr/societe/sites-applis-rencontres-photo-profil/

Voir les commentaires

Doit-on arrêter d’utiliser le mot “homosexuel·le”?,societe,homosexuelle,

1 Août 2018, 07:55am

Publié par hugo

 Doit-on arrêter d’utiliser le mot “homosexuel·le”?
Publié le 31 juillet 2018 à 9:39
On a lu pour vous cet article de Slate sur les causes du rejet progressif du mot “homosexuel·le” par les médias et les associations et on vous le conseille fortement. 
 
 
“La Vie d'Adèle”, © Wild Bunch
“Plus je l’écris, et plus je me pose cette question: faut-il que j’emploie encore le mot homosexuel, ou son versant féminin, homosexuelle? Parmi les journalistes, universitaires, ou militants et militantes que je rencontre, et qui traitent de questions LGBT, il se fait rare, il est mis de côté. On lui préfère ‘gay’ ou ‘lesbienne’, ou encore ‘LGBT’ s’il faut employer un mot englobant. […]
Ces mots sont, comme tous les outils de la langue, limités. Reflet de l’humaine condition, condamnée à ‘lire des étiquettes collées’ sur les choses, comme disait le philosophe Henri Bergson. Et à recommencer sans cesse le travail de Titan qui vise à arracher les mots de leur décadence. L’usure est fatale, inévitable, et tout mot mal employé, sans réaction suffisante du clan d’en face, prendra nécessairement une connotation péjorative. Aux États-Unis, le sort qu’a subi ‘homosexuel/homosexuelle’ guette d’ailleurs le plus récent ‘gay’, qui fut pourtant un mot choisi par la communauté elle-même.”
Dans cet article publié hier sur le site de Slate, la journaliste Aude Lorriaux s’interroge sur la pertinence du mot “homosexuel·le”. De moins en moins utilisé par les médias et les associations, ce terme fait l’objet de nombreux arguments en sa défaveur. D’abord utilisé pour désigner une pathologie -avant d’être sorti de la liste des maladies par l’OMS en 1990-, il est critiqué pour sa connotation sexuelle. Enfin, son étymologie exclut les lesbiennes: “Quand on dit ‘homo’ on pense aux hommes, car ‘homo’ c’est l’homme, c’est pour cela que je n’aime pas trop le mot homosexuel”, explique la docteure en histoire Marie-Jo Bonnet.
À lire le plus rapidement possible sur le site de Slate.

http://cheekmagazine.fr/societe/doit-on-arreter-dutiliser-le-mot-homosexuel·le/

Voir les commentaires

Ils ont lancé Yuka, l'appli qui révolutionne la façon de faire vos courses (pour mieux manger),sante

1 Août 2018, 07:30am

Publié par hugo

Ils ont lancé Yuka, l'appli qui révolutionne la façon de faire vos courses (pour mieux manger)
Publié le 30 juillet 2018 à 3:04
Avec les deux frères François et Benoît Martin, Julie Chapon, 30 ans, a lancé Yuka, une appli qui permet de scanner les produits alimentaires pour connaître leur composition et savoir s’ils sont bons ou non pour la santé avant de les mettre dans son panier. 
 
 
L'équipe fondatrice de Yuka © Eveline de Brauw
Obtenir un peu du temps de Julie Chapon pour une interview relève de la mission quasi impossible. La jeune femme de 30 ans a un emploi du temps, non pas de ministre, mais de cofondatrice d’une start-up qui cartonne. En février 2016, avec François et Benoît Martin, deux frères trentenaires, Julie Chapon a lancé Yuka, une application qui scanne les codes-barres des produits alimentaires et cosmétiques et vous indique, dans la seconde qui suit, leur composition et leur impact sur votre santé. Le tout en s’appuyant sur une base de données collaborative. Terminé le décryptage fastidieux d’étiquettes incompréhensibles, place à la simplicité avec Yuka: vous pouvez désormais immédiatement savoir si, ce que vous vous apprêtez à déguster, est excellent, bon, médiocre ou carrément mauvais pour vous. L’appli revendique aujourd’hui 2 millions d’utilisateur·trice·s.
Née dans les Yvelines, Julie Chapon est passée par une école de commerce et un cabinet de conseil durant cinq ans avant de cofonder Yuka. L’idée est venue de Benoît Martin qui, avec l’arrivée de ses deux enfants, a souhaité acheter “de meilleurs produits alimentaires”. À défaut de comprendre la liste souvent interminable des ingrédients, il achète un livre qui dévoile les bons et les mauvais produits que l’on trouve au supermarché. Balader son caddie avec un gros bouquin n’étant pas idéal, il a l’idée de digitaliser ce savoir. Ainsi est né Yuka.
Si les deux frères ont été sensibilisés très tôt par leurs parents pharmaciens à l’importance d’une bonne alimentation, Julie Chapon explique que son “éveil s’est fait de manière individuelle, en [s]e documentant via des livres et des blogs”: “On privilégie tous le fait-maison et on cuisine nos repas du midi.” On a posé quelques questions à cette start-uppeuse débordée.
 
C’est quoi Yuka?
Yuka scanne vos produits alimentaires et cosmétiques pour décrypter leur composition et évaluer leur impact sur la santé. Face à des étiquettes indéchiffrables, Yuka apporte plus de transparence en un simple scan et vous permet de consommer de façon plus éclairée. L’appli vous indique via un code couleur très simple l’impact du produit sur votre santé: excellent, bon, médiocre ou mauvais. Vous accédez pour chaque produit à une fiche détaillée pour comprendre son évaluation.
Le jour où vous vous êtes lancé·e·s?
En février 2016 lors du Food Hackathon à la Gaîté Lyrique, un concours dédié à la food qui dure un week-end, que l’on a remporté et qui nous a vraiment motivés à nous lancer.
Le conseil que vous donneriez à quelqu’un qui veut lancer sa boîte?
Oser et exécuter. Oser, parce que c’est seulement en prenant des risques, ou en tentant des choses qui pourraient sembler impossibles, qu’on peut avoir de belles surprises. Exécuter, parce que un projet, c’est 10% d’idée, et 90% d’exécution. Une idée sans exécution n’est rien, donc il faut mettre les mains dans le cambouis le plus tôt possible.
Vous vous voyez où dans trois ans?
On souhaite vraiment devenir une référence française, mais aussi européenne voire mondiale dans le choix de meilleurs produits pour sa santé. Nous avons ainsi pour projet de commencer à nous développer à l’international en 2019.
Propos recueillis par Julia Tissier

http://cheekmagazine.fr/geek/yuka-appli-alimentation-mieux-manger/

Voir les commentaires

Cinq idées reçues sur le désir,articles femmes hommes,,sexes,

31 Juillet 2018, 08:49am

Publié par hugo

Cinq idées reçues sur le désir
Le désir, cette sensation subite qui nous donne envie de nous fondre dans l'autre et de vibrer au rythme de ses hanches. Mystérieux, impérieux et capricieux, il est aussi la victime d'idées reçues tenaces. 
Par Dr Charlotte Tourmente
Rédigé le 27/07/2018, mis à jour le 25/07/2018 à 13:07
 
© milanmarkovic78 - Fotolia.com
Les hommes ont plus de désir que les femmes
Eh bien non, pas tous ! Interrogez vos amies, il y en aura forcément une qui se plaindra des "migraines" de son homme ! Certes, le désir masculin est régi par la testostérone, hormone sexuelle mâle dont la production est linéaire : il est donc constant sur le plan hormonal. Chez les femmes, les hormones qui déterminent le désir sont à la fois la testostérone, à raison d'1/10e du taux masculin, et les oestrogènes, qui sont sécrétés en quantité variable suivant le cycle : un pic se produit juste à l'ovulation afin de booster l'envie de se reproduire…
Désir et libido, de faux synonymes
Le terme libido a été inventé par Freud qui le définissait par la pulsion sexuelle, puis plus globalement par un instinct de vie, plus profond.
Le désir est la manifestation sexuelle de la libido, qui englobe d'autres désirs. Dans le langage courant, la libido est utilisée comme synonyme de désir sexuel, ce qui n'est pas tout à fait exact. Seuls les psys continuent à faire la différence entre les deux termes.
Mais quelque soit le sexe, ces facteurs hormonaux sont tempérés par d'autres éléments plus psychologiques ou pratiques : l'attirance, le climat relationnel dans le couple, le stress, la fatigue, les tâches domestiques, l'absence de temps à consacrer à la sexualité jouent un rôle bien réel sur le désir de la femme comme de l'homme.
Ce n'est pas normal d'avoir des périodes avec moins de désir
Si ! Le désir est versatile, il va et vient, s'impose avec impériosité ou joue à cache-cache… La fatigue, le stress, les préoccupations qu'elles soient professionnelle ou personnelles, sont difficilement compatibles avec le désir. Il n'y a donc rien d'anormal à ce que la libido soit dans les chaussettes durant quelques semaines. En parler simplement avec son partenaire, permettra de le rassurer et de lui donner quelques clés pour comprendre cette baisse de régime !
En revanche, si l'absence de libido se prolonge, il ne faut pas hésiter à en parler à son médecin ou un sexologue qui pourra rechercher une cause médicale si d'autres symptômes sont associés (voir ci-dessous). En cas de cause psychologique, une psychothérapie peut être réalisée, ou même une thérapie de couple si un conflit conjugal, une cause très fréquente à la baisse de libido, fait baisser la température dans la chambre à coucher.
Plus on fait l'amour, plus on a envie de le faire
Vrai, mais à la condition que les rapports soient réussis ! Le corps a une mémoire aussi bien au niveau du désir et du plaisir. Plus il est habitué à ressentir l'excitation sexuelle (la manifestation physique du désir qui se traduit par l'érection chez l'homme et la lubrification chez la femme), plus il retrouve facilement le chemin du désir. De plus, la libido se nourrit de l'anticipation du plaisir à venir et du souvenir des plaisirs passés… Des galipettes plaisantes restent donc le meilleur moyen de l'entretenir !
Alors faut-il se forcer à faire l'amour lorsque l'on n'en a pas envie ? Dans l'idéal, non… En pratique, si l'on attend toujours que les conditions parfaites soient réunies, alors oui, se laisser tenter par un câlin même si l'on se sent fatigué ou préoccupé, peut amener à une belle surprise. Comme lorsque l'on n'a pas du tout envie d'aller à ce dîner entre amis et que l'on passe une excellente soirée au final, malgré nos réticences initiales. En revanche, céder à de réelles pressions de celui ou celle qui partage notre lit finit souvent par tuer le désir. Un dialogue ouvert pour comprendre les freins de l'un ou l'insistance de l'autre et réfléchir ensemble aux façons d'améliorer les choses est préférable, quitte à se faire aider par un professionnel.
A lire aussi : Couple : je n'ai plus envie de toi, que fait-on ?
En couple, le désir baisse forcément avec le temps…
Ah le désir tout feu tout flamme du début de relation laisse toujours une pointe de regret quand il s'éloigne. L'inconnu, la découverte du corps de l'autre, la passion sont des ingrédients qui font brûler nos corps de désir. Le temps qui passe, la routine, les contraintes de la logistique quotidienne (courses, ménage, enfants,…), l'impression confortable que l'autre est "acquis" l'étiolent si l'on n'y prête pas gare... Même si la relation évolue, devient moins passionnée et les rapports sexuels moins fréquents, le désir perdure s'il est entretenu et cajolé : oui, il s'attise comme un feu mais cela passe par l'acceptation de son évolution.
La première étape est de consacrer du temps à la sexualité, ce temps qui paraissait évident et incontournable au début et que l'on a peu à peu réduit. Donc on se dégage plus de créneaux pour la bagatelle, quitte à les noter sur son agenda ! Et on multiplie les occasions de se retrouver à deux pour partager les différents plaisirs de la vie, en injectant de la nouveauté indispensable au désir : changement d'endroit, de position, d'initiative, de fantasme ou de lingerie, tout est bon à tester tant que les deux en ont envie !
Retrouvez d'autres idées pour stimuler le désir.
La baisse de libido, c'est toujours dans la tête…
Faux. Un certain nombre d'affections s'accompagnent de ce symptôme : une hypothyroïdie, une tumeur de l'hypophyse, une dépression. Les suites d'un accouchement, l'allaitement, certains médicaments sont également des causes fréquentes, tout comme l'andropause qui traduit une chute des taux de testostérone. La ménopause est souvent mise en cause mais une étude a montré que les idées reçues négatives à propos de la sexualité et de la ménopause, perturbaient davantage la sexualité que la chute des hormones féminines.
Ceci étant dit, lorsque l'on n'est pas bien dans sa tête, la libido en pâtit très souvent : stress, déprime,  manque de confiance en soi, problème relationnel au sein du couple, les facteurs psychologiques sont nombreux et dans ces cas-là, il faut s'y attaquer pour retrouver l'envie sexuelle…
par Dr Charlotte Tourmente  journaliste à la rédaction d'Allodocteurs.fr
Voir aussi sur Allodocteurs.fr

https://www.allodocteurs.fr/sexo/pratiques-et-libido/baisse-de-la-libido/cinq-idees-recues-sur-le-desir_16826.html

Voir les commentaires

VIH : le traitement préventif serait efficace à 100 %,sante

31 Juillet 2018, 08:39am

Publié par hugo

VIH : le traitement préventif serait efficace à 100 %
Les premiers résultats de l’étude ANRS-Prévenir présentés ce 24 juillet 2018 lors de la Conférence internationale sur le sida confirment l’intérêt du traitement préventif, la PrEP, dans la lutte contre le Sida.
Par la rédaction d'Allodocteurs.fr
Rédigé le 24/07/2018
 
VIH : le traitement préventif serait efficace à 100 %
Les premiers résultats de l’étude ANRS-Prévenir, menée par le Pr Jean-Michel Molina de l’hôpital Saint-Louis (Paris), ont été présentés ce 24 juillet 2018 lors de la Conférence internationale sur le sida à Amsterdam.
L’étude ANRS-Prévenir a débuté en 2017 pour évaluer l’efficacité de la PrEP sur l’épidémie de VIH en Ile de France.
Le principe de la PrEP ("prophylaxie pré-exposition") est simple : prendre des comprimés de Truvada (ou ses génériques) tout en étant séronégatif, pour faire barrage au virus, alors que ce médicament combinant deux antirétroviraux était initialement destiné aux séropositifs.
L’étude a porté sur 1435 volontaires, non infectés par le VIH, essentiellement des hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes. Ces volontaires ont été recrutés et suivis entre le 3 mai 2017 et le 1er mai 2018 par l'Agence nationale de recherche sur le sida (ANRS) et l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP).
 
Aides lance une campagne de sensibilisation pour le PrEP pendant tout l'été
Un traitement anti-VIH tout en étant séronégatif
Ils ont tous pris un comprimé de Truvada (laboratoire Gilead) ou de l’un de ses génériques. Parmi les volontaires, 44 % ont pris le traitement tous les jours et 53 % l’ont pris « à la demande », c’est-à-dire avant un rapport sexuel à risque. Par ailleurs, 20 % de ces personnes se protégeaient également avec un préservatif. Après un an d’observation, aucun cas d’infection par le VIH n’a été notifié, quel que soit le mode d’administration du médicament.
Le traitement a donc eu, en un an, en région parisienne, une efficacité totale. Le traitement semble, par ailleurs, bien toléré.
Pour des personnes fortement exposées au risque d'infection au VIH
« Ces résultats permettent de confirmer la très bonne efficacité de la PrEP puisque que l’on s’adresse à des personnes fortement exposées au risque d’infection par le VIH » se réjouit le Pr Molina, qui mène l’étude.
« C’est une très bonne nouvelle » renchérit le Pr Gilles Pialoux, infectiologue à l’hôpital Tenon (Paris) qui participe également à l’étude, « L’incidence du VIH (NDLR : nombre de nouveaux cas sur une période donnée) est normalement entre 6 et 9% ».
« En matière de prévention, le préservatif est la norme pour le grand public. Mais il faut admettre qu’il ne convient pas à tous. La PrEP, elle, s’adresse aux personnes qui n’utilisent pas le préservatif malgré tous les messages de prévention », explique le Pr Gilles Pialoux. « On ne dit pas aux populations à haut risque de contamination d’enlever le préservatif et de prendre le traitement préventif, ils ont déjà enlevé le préservatif ! Par ailleurs, la PrEP est prescrite dans des centres de santé sexuelle où cette population est suivie, où l’on propose des dépistages et des traitements des infections sexuellement transmissibles. C’est grâce à la PrEP que l’on fait rentrer ce public dans le circuit des soins ».
Un traitement PrEP bien toléré
L’étude doit être maintenant renforcée. « On aimerait recruter d’autres volontaires avec d’autres profils, notamment des femmes hétérosexuelles à haut risque d'infection par le VIH, les jeunes gays de moins de 25 ans » précise le Pr Pialoux, « On recherche 1500 autres volontaires d’ici 2019 ».
Autre résultat encourageant : "Il n'y a eu, à ce jour, aucun arrêt de l'étude pour des raisons liées à des effets indésirables du traitement" rapporte le Pr Molina. Cette étude vient donc confirmer que le médicament est très bien toléré.
La PrEP a déjà été étudiée, notamment en France dans l'étude Ipergay.
En France, en 2016, 153 000 personnes vivent avec le VIH. Parmi elles, 25 000 ignorent qu’elles sont séropositives. Chaque année, environ 6 000 personnes découvrent qu’elles sont séropositives, dont 27% à un stade avancé. Un chiffre stable depuis 2011.
 
Voir aussi sur Allodocteurs.fr

https://www.allodocteurs.fr/maladies/maladies-infectieuses-et-tropicales/sida-vih/vih-le-traitement-preventif-serait-efficace-a-100_25172.html

Voir les commentaires

Harcèlement de rue : après l'agression, l'enquête,femmes,violences,societe

31 Juillet 2018, 08:30am

Publié par hugo

 Harcèlement de rue : après l'agression, l'enquête
Marie Laguerre a été frappée au visage après avoir répondu à l'homme qui la harcelait. L'homme n'a pas été identifié. Le parquet a ouvert une enquête, qui s'annonce difficile.
 
 

FRANCE 3
France 3
France Télévisions
Mis à jour le 30/07/2018 | 22:57
publié le 30/07/2018 | 22:18
Partager
Twitter
Partager
Envoyer
LA NEWSLETTER ACTU
Nous la préparons pour vous chaque matin
Marie Laguerre a décidé de publier la vidéo où on la voit être frappée au visage après avoir répondu à l'homme qui la harcelait alors qu'elle rentrait chez elle. "Il s'est permis de faire des bruits dégradants, des sifflements, des coups de langue", confie l'étudiante de 22 ans. Elle décide alors de porter plainte et de relayer son histoire sur les réseaux sociaux.
L'infraction pour harcèlement des rues n'existe pas encore
Le parquet a ouvert une enquête, mais lundi 30 juillet l'auteur des faits n'avait toujours pas été identifié. L'enquête s'annonce compliquée. "Il n'y a pas d'ADN. Il va donc falloir faire une enquête de voisinage, recueillir des témoignages et voir s'il n'a pas déjà commis ce genre de fait", explique Fabien Vanhemelryck, du syndicat Alliance Police. S'il est arrêté, l'agresseur de Marie sera surtout jugé pour violences. Car l'infraction pour harcèlement des rues n'existe pas encore. Cela pourrait néanmoins changer en septembre 2018. Un projet de loi propose de punir ce genre de comportements.
Les commentaires sur le physique, les sifflements, les regards appuyés ou encore les propos sexistes pourraient être passibles d'une amende entre 90 à 750 euros. Le texte doit être voté par le Parlement d'ici la fin de la semaine.
A lire aussi

https://www.francetvinfo.fr/societe/harcelement-sexuel/harcelement-de-rue-apres-l-agression-l-enquete_2874365.html

Voir les commentaires

Harcèlement de rue : des comportements bientôt punis par la loi,femmes,violence,

31 Juillet 2018, 08:25am

Publié par hugo


Harcèlement de rue : des comportements bientôt punis par la loi
La libération de la parole des femmes harcelée a amené la mise en place d'une loi contre le harcèlement de rue.
France 2
France Télévisions
Mis à jour le 30/07/2018 | 22:01
publié le 30/07/2018 | 22:01
Nous la préparons pour vous chaque matin
Marie a souhaité que son harcèlement de rue soit vu par le plus grand nombre, et a donc posté sur les réseaux sociaux la vidéo de l'agression dont elle a été victime, et qui fait suite a des propos insultants et à caractère sexuel subis dans la rue. Visionnée des milliers de fois, la vidéo a relancé le débat sur le harcèlement de rue. "L'ironie, c'est que la policière qui a pris ma plainte, elle-même m'a dit qu'elle était victime de harcèlement de rue", explique Marie. Des comportements fréquents que le mouvement "Metoo" a mis en lumière.
"Metoo" a ouvert le débat dans la société
Les plaintes sont en hausse de 31,5%. "La différence, après 'Metoo', c'est que les femmes sont beaucoup plus entendues par leur entourage, ne serait-ce que par les personnes qui sont non victimes. Et du coup on sent que ça a ouvert un débat dans la société", explique Anaïs Haddad, de l'association Les Éffrontées. Et bientôt, c'est une loi qui viendra réprimander le harcèlement de rue.

https://www.francetvinfo.fr/societe/harcelement-sexuel/harcelement-de-rue-des-comportements-bientot-punis-par-la-loi_2874343.html

Voir les commentaires

MARSEILLE - ILS RÉNOVENT EUX-MÊMES UNE ÉCOLE (ft. J.-L. Mélenchon)

30 Juillet 2018, 08:30am

Publié par hugo

 MARSEILLE - ILS RÉNOVENT EUX-MÊMES UNE ÉCOLE (ft. J.-L. Mélenchon)
9 153 vues
 
1,2 k
 
8
 
Partager
La France insoumise
Ajoutée le 26 juil. 2018
Abonné 37 k
 
Les 20 et 21 juillet 2018 à Marseille, les parents d'élèves d'une école maternelle délabrée ont rénové eux-mêmes le bâtiment avec l'appui de le France insoumise. Après avoir récolté plus de 5 000 euros sur une cagnotte solidaire, ils ont acheté du matériel et ont réalisé eux-mêmes les travaux, face à l'inaction des pouvoirs publics. Le soir, Jean-Luc Mélenchon est venu visiter le chantier. Voici un reportage sur cette action citoyenne hors du commun.
Catégorie
Actualités et politique
Moins

https://www.youtube.com/watch?v=7NICgF8gW4g

Voir les commentaires