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Mobilisation pour un congé paternité obligatoire, aligné sur le congé maternité,articles femmes hmmes,conge,bebe,

24 Septembre 2018, 07:30am

Publié par hugo

Mobilisation pour un congé paternité obligatoire, aligné sur le congé maternité
A La UneSud Ouest ÉcoSocialPublié le 23/09/2018 à 11h42 par SudOuest.fr avec AFP.
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L'Inspection générale des affaires sociales (Igas) préconise aussi de rallonger le congé paternité et de le rendre au moins en partie obligatoire.illustration JOHN MACDOUGALL AFP
Pour l’heure, "en France, une salariée a droit à un congé maternité de 16 semaines, dont huit obligatoires. Un salarié, lui, dispose d’un congé paternité facultatif de onze jours".
L’instauration d’un congé paternité obligatoire, aligné sur le congé maternité : voici ce que réclame une pétition lancée (ici) par les collectifs Congé Parentégalité et Pour une parentalité féministe (PA.F), et qui a pour l’heure réuni 160 signataires, dont le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez ou l’ancienne patronne du Medef Laurence Parisot.
"En France, une salariée a droit à un congé maternité de seize semaines, dont huit obligatoires. Un salarié, lui, dispose d'un congé paternité facultatif de onze jours", rappelle cette pétition publiée dans Le Parisien.
"L’organisation des congés à la française participe au maintien d’un système inégalitaire et patriarcal au travail, en biaisant les critères d’embauche et d’avancement. Seule une loi peut créer les conditions d’une parentalité à égalité, en rendant ce congé obligatoire et de même durée pour les deux parents, qu’ils soient travailleur-euses indépendant-es ou salarié-es"
Réforme reportée "sine die" par Edouard Philippe
Les 160 signataires, parmi lesquels figurent des experts comme le psychiatre Serge Hefez, de simples citoyens et des personnalités comme l’humoriste Guillaume Meurice, exhortent à s’inspirer du Portugal où le congé paternité vient d’être rendu obligatoire.
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Le gouvernement a annoncé jeudi que les travailleuses indépendantes, cheffes d’entreprises et agricultrices pourraient bénéficier en 2019 d’un congé maternité aussi long que celui des salariées, une promesse de campagne d’Emmanuel Macron. Mais dans un communiqué, les deux collectifs regrettent le "report sine die de la réforme du congé paternité par Édouard Philippe, pourtant chef d’un gouvernement qui a désigné l’égalité entre les femmes et les hommes comme la grande cause du quinquennat+.
"Le congé paternité, il est très important qu’il puisse être amélioré", a commenté jeudi sur BFMTV la secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes, Marlène Schiappa. Mais "là on est vraiment concentrés sur le congé maternité".
Dans un rapport remis récemment à l’exécutif, l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) avait préconisé de rallonger le congé paternité et de le rendre au moins en partie obligatoire.

https://www.sudouest.fr/2018/09/23/mobilisation-pour-un-conge-paternite-obligatoire-aligne-sur-le-conge-maternite-5415797-5458.php

JE SUIS OK  POUR  CELA  , apres il faut  trouver  la  copine  pour  cela  

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Les inégalités salariales entre les hommes et les femmes persistent,articls femmes hommes,egalite

21 Septembre 2018, 07:47am

Publié par hugo

 Les inégalités salariales entre les hommes et les femmes persistent
Selon une étude, plus de huit entreprises parisiennes sur dix n'ont pas mis en place de dispositif spécifique pour réduire l'écart salarial entre les hommes et les femmes.
 
 
 
France 2
France Télévisions
Mis à jour le 19/09/2018 | 10:26
publié le 19/09/2018 | 10:25
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Du quartier de la Défense dans les Hauts-de-Seine à celui de la Bourse, situé en plein Paris, la majorité des entreprises en Ile-de-France ne respecte pas les lois sur l'égalité salariale. Elles sont moins de 16% à avoir mis en place un plan pour réduire les écarts de salaires entre les hommes et les femmes. C'est bien moins que la moyenne française, et pourtant une obligation légale depuis plus de trois ans.
Des sanctions ?
Les écarts se révèlent moins importants pour les ouvriers (16,5%) que pour les cadres supérieurs (20%). En 2015, quand un homme gagnait 2 438 euros en moyenne par mois, les femmes, elles, percevaient 452 euros de moins. Les lois se succèdent, cette année, celle sur l'avenir professionnel, promulguée début septembre, entend sanctionner davantage les entreprises récalcitrantes.

https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/carriere/vie-professionnelle/emploi-des-femmes/les-inegalites-salariales-entre-les-hommes-et-les-femmes-persistent_2947223.html

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INFO FRANCEINFO. Comment lutter contre les violences sexuelles ? Voici les 35 propositions d'un rapport d’experts,violences,

21 Septembre 2018, 07:43am

Publié par hugo

 SociétéHarcèlement et agressions sexuels
INFO FRANCEINFO. Comment lutter contre les violences sexuelles ? Voici les 35 propositions d'un rapport d’experts
Elles ont été élaborées lors d'une audition publique de tous les spécialistes du sujet au ministère des Solidarités et de la Santé, en juin. Une première en France depuis 17 ans.
La journaliste Carol Galand lors de son appel à un rassemblement à Paris, le 29 octobre 2017, pour dénoncer les agressions et le harcèlement sexuels.  (MAXPPP)
Margaux Duguet
France Télévisions
Mis à jour le 20/09/2018 | 07:00
publié le 20/09/2018 | 07:00
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il y a 27 minutes
DIRECT. Gélatine de bœuf, résine d'insectes... Posez vos questions sur "les animaux cachés" dans certains aliments à la directrice de l'information chez Foodwatch
C'est un rapport qui s'attaque à un sujet brûlant en France et dans le monde. "On a été doublés depuis un an par cette campagne #MeToo qui vient dire l'urgence qu'il y a à communiquer là-dessus et à faire des propositions pour que l'on puisse lutter efficacement contre les violences sexuelles", indique Mathieu Lacambre, psychiatre et président de la Fédération française des Criavs (les Centres ressources pour les intervenants auprès des auteurs de violences sexuelles).
Ce dernier a participé avec l'ensemble de la communauté scientifique spécialiste de la question des violences sexuelles à une audition publique qui s'est tenue les 14 et 15 juin au ministère des Solidarités et de la Santé, à Paris. La première depuis 2001 sur ce sujet. Un rapport a ensuite été rédigé sous la présidence de Jean-Marie Delarue, ancien contrôleur général des lieux de privation de liberté.
Près de 35 propositions ont ainsi été formulées par une quinzaine de structures. Notamment l'Association nationale des juges de l’application des peines, la Direction générale de l’offre de soins ou encore la Fédération française de psychiatrie. Elles seront toutes remises prochainement à la ministre des Solidarités et de la Santé, Agnès Buzyn. Franceinfo a consulté en exclusivité ce rapport, qui comporte notamment un gros volet sur la prévention des violences sexuelles.
L'amélioration de la prévention des violences sexuelles
• S'intéresser aux enfants de moins de 12 ans. Le tableau dressé par le rapport en matière de prévention est bien noir : "La prévention en matière de violence sexuelle reste le parent pauvre des actions menées, quel que soit le champ concerné : sanitaire, judiciaire, ou social". Pour prévenir le premier passage à l'acte, le rapport porte notamment une attention particulière aux mineurs. Et fait cette proposition :
Faire bénéficier d'une prévention spécifique les enfants âgés de moins de 12 ans qui se livrent à des comportements sexuels problématiques.
Proposition du rapport
consulté par franceinfo
"Il faut agir tôt. On parle d'enfant, qui dans son vocabulaire, va utiliser des mots qui concernent des adultes, comme 'pipe, sodomisation' ou qui va se caresser beaucoup ou encore toucher le zizi des copains. Là, il y a un problème", précise Mathieu Lacambre.
• Multiplier les structures consacrées aux mineurs auteurs de violences sexuelles. Le rapport suggère aussi "d'augmenter le nombre et la visibilité des structures qui prennent en charge les mineurs auteurs de violences sexuelles". "On part de pas grand-chose aujourd'hui. Il y a quelques dispositifs en pédopsychiatrie, mais il n'y a pas de structures dédiées", indique Mathieu Lacambre. De manière plus générale, les spécialistes estiment que "les programmes scolaires devraient intégrer la notion plus globale de promotion de la santé et aborder la santé sexuelle, y compris dans sa dimension de plaisir". "La réflexion sur la question du consentement doit impérativement y figurer", ajoutent-ils.
• Créer un numéro d'écoute pour les pédophiles. Autre proposition majeure de ce rapport : "Evaluer et développer au niveau national l'expérience de réseaux d'écoute pour proposer un numéro d'appel unique." A ce titre, un numéro vert unique à destination des personnes présentant une attirance sexuelle pour les enfants est actuellement en cours d'élaboration. Il sera lancé en juin 2019 lors du Congrès international francophone sur l'agression sexuelle, précise Mathieu Lacambre.
• Evaluer les dispositifs de rencontres auteurs-victimes. Enfin, le rapport évoque également la possibilité de "conduire des recherches-actions sur les dispositifs de rencontre auteurs-victimes, afin d'en mesurer la pertinence". C'est ce que fait notamment l'association L'Ange Bleu de Latifa Bennari, qui organise des rencontres entre pédophiles et victimes.
La formation des spécialistes
• Améliorer la formation initiale et continue des professionnels. "En matière de formation initiale, que ce soit au niveau du diplôme d’études spécialisées en psychiatrie ou du Master II en psychologie clinique, les cours consacrés spécifiquement à la prise en charge des auteurs de violences sexuelles sont rares et consistent au mieux en une sensibilisation", déplore le rapport. Pour y remédier, les spécialistes de la question préconisent "d'introduire des enseignements spécifiques dès la formation générale et de renforcer la formation continue des professionnels de santé et des psychologues".
En matière de formation initiale, on part de tellement loin. Tous les professionnels sont touchés, qu'ils travaillent dans l'éducation, la justice, le médical et le social.
Mathieu Lacambre,
président de la FFCRIAVS
à franceinfo
"L'enjeu, c'est de pouvoir savoir en formation initiale : qu'est-ce que la question des violences sexuelles ? Quelles peuvent être les conséquences des violences sexuelles ? Et puis ensuite, quelles peuvent être les ressources en cas de besoin ?" poursuit le psychiatre Mathieu Lacambre.
Interrogée en juin par franceinfo sur la question spécifique de la pédophilie, Cécile Miele, psychologue au Centre de ressources pour les intervenants auprès des auteurs de violences sexuelles (Criavs) au CHU de Clermont-Ferrand, déplorait "qu'en psychologie, on ne parle pas du tout aux étudiants de pédophilie, mais seulement de développement psychosexuel, de sexualité en général."
• Diversifier la formation des professionnels. Le rapport propose aussi de "renforcer la formation initiale des psychologues" mais aussi de "renforcer les dispositifs de formation continue sur des modules de psychocriminologie clinique afin de favoriser la montée en compétence des professionnels de santé".
L'évaluation et le suivi des auteurs de violences sexuelles
• Ouvrir l'expertise judiciaire à des non-psychiatres. Le rapport propose de "confier l'expertise à une collégialité d'experts ou à une unité spécialisée de la psychiatrie légale, et notamment pour les expertises nécessitant une évaluation précise de la dangerosité". L'idée est, ici, de ne plus seulement recourir à des experts-psychiatres mais de s'ouvrir à d'autres professionnels. "Les psychiatres, même lorsqu'ils sont en collégialité, ne vont parler qu'entre psychiatres alors que l'on sait que la notion de dangerosité, qu'elle soit psychiatrique, psychologique ou criminologique, convoque des dimensions complémentaires mais très différentes", détaille Mathieu Lacambre.
• Légiférer pour mieux distinguer injonction et obligation de soins. Les spécialistes proposent enfin de faire évoluer la législation "en permettant au magistrat de se prononcer en faveur d’une obligation de soin, ou bien d’une injonction, et ce en fonction de la nature des soins requis par l’expert." Pour comprendre ce point-là, Mathieu Lacambre rappelle d'abord la distinction entre les deux : "L'obligation de soins, c'est tout type de soins sans qu'il y ait de contrôle sur le contenu des soins. Il n'y a pas d'expertise préalable, il n'y a pas de suivi particulier de la personne qui a été condamnée, il n'y a pas de retour sur l'évolution du sujet."
Au contraire, "dans l'injonction de soins, née avec la loi de 1998, on a inventé un dispositif avec une interface entre la santé et la justice qui est le médecin coordinateur. Il va rendre compte de l'évolution de la personne qui a été condamnée auprès du magistrat."
La distinction entre l'obligation et l'injonction est compliquée à mettre en oeuvre. ll peut y avoir des problèmes de confusion en imposant des obligations de soins pour des personnes qui ont besoin d'une injonction ou l'inverse.
Mathieu Lacambre,
président de la FFCRIAVS
à franceinfo
"Il apparaît souhaitable que l’injonction de soins soit limitée aux auteurs d’infractions pour lesquels l’intervention d’un soignant a un sens. Le caractère obligatoire de l’injonction de soins doit être abandonné. Le découplage entre définition de mesures de sûreté et définition du suivi socio-judiciaire doit être assuré, précise encore le rapport, qui met en garde : la prise en charge ne saurait, de manière générale, se résumer, à des mesures de police vaguement colorées par du médical."
Rapport du 17 Juin 2018 by franceinfo on Scribd
A lire aussi

https://www.francetvinfo.fr/societe/harcelement-sexuel/info-franceinfo-comment-lutter-contre-les-violences-sexuelles-voici-les-35-propositions-d-un-rapport-dexperts_2940503.html

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Coller des stickers sur la vitrine de banques qui investissent dans le dérèglement climatique mène les militant.e.s en cellule,societe,economie,

20 Septembre 2018, 09:08am

Publié par hugo

 18 septembre 2018
Économie
Coller des stickers sur la vitrine de banques qui investissent dans le dérèglement climatique mène les militant.e.s en cellule
 
Le 15 septembre marquait les 10 ans de la faillite de la banque d’affaires Lehman Brothers. A cette occasion, plus de 60 actions ont été menées en France et des dizaines d’autres en Europe et aux États-Unis derrière le mot d’ordre #10yearsOn et #PasAvecNotreArgent.  Alors que des militant.e.s parisien.ne.s menaient une action dès le 13 septembre en apposant des autocollants sur la vitrine d’une banque visée par cette campagne internationale de protestation contre le pouvoir grandissant et quasiment illimité de la finance sur nos vies, 14 d’entre elles/eux ont été interpellé.e.s et 8 dont 2 femmes ont passé la nuit en garde à vue.
Une membre de 67 ans du CA national d’ATTAC France, après une nuit en cellule, nous explique les motifs de cette campagne et le rôle que les femmes peuvent y jouer, en lien avec leur mobilisation contre le changement climatique.
 
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http://www.50-50magazine.fr/2018/09/18/coller-des-stickers-sur-la-vitrine-de-banques-qui-investissent-dans-le-dereglement-climatique-mene-les-militant-e-s-en-cellule/

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La sexualité est un sujet sérieux dont il faut parler avec légèreté et inversement,articles femmes hommes,femmes,

20 Septembre 2018, 09:00am

Publié par hugo

 14 septembre 2018
France
La sexualité est un sujet sérieux dont il faut parler avec légèreté et inversement
 
Au départ, Alexia Bacouël vendait de la lingerie sexy à domicile. A priori on est loin d’imaginer que c’est par ce chemin que ses convictions et son engagement vont naître. En se rendant régulièrement chez des femmes assez différentes les unes des autres, elle passe finalement plus de temps à les écouter qu’à leur vendre ses articles. De ces rencontres, elle collecte des histoires qui racontent en filigrane l’histoire de la chaire des femmes.
Nous sommes en 2012, et bientôt Alexia Bacouël se rend compte qu’elle veut faire entendre la voix de ces femmes qui se libèrent et osent lui parler de ce dont elles ne parlent jamais: de leur sexualité. Elle prend conscience, lors de ses tournées, de cet alarmant constat : les idées reçues, les tabous et les frustrations imprègnent toujours les discours.
Elle décide alors de reprendre des études et entreprend une formation de sexologue.
En 2013, elle rencontre Camille Emmanuelle, autrice de plusieurs articles sur la littérature érotique à qui elle propose le projet d’une association loi 1901 et d’un site internet. La connivence était évidente entre elles, elles décident de créer le Cabinet de Curiosité Féminine. Leur parti pris est clair: la sexualité est un sujet sérieux dont il faut parler avec légèreté et inversement. Elles ont commencé à imaginer des lieux où l’on pourrait, sur des thèmes précis, informer les femmes et surtout laisser libre cours à leurs paroles.
Le premier sujet: la masturbation féminine
Le premier atelier démarre, le 8 mars 2013. Tout un symbole !
La sexualité fait partie des droits des femmes, le droit au plaisir ne doit pas être oublié, au même titre que le droit de disposer de son corps et de connaître son corps, voilà le postulat de départ. Le premier sujet aborde donc la masturbation féminine. Ce sujet ne faisant que très peu souvent l’objet d’articles, il a rencontré un succès immédiat et impressionnant, et a été énormément relayé. Du jour au lendemain, elles décrochent le 20h de TF1, une double page dans Libération, un article dans 20 Minutes.
Comme elles aiment écrire toutes les deux, elles alimentent leur site de toutes leurs expériences personnelles et professionnelles. C’est cela qui fait sans conteste l’originalité de ton du Cabinet de Curiosité, cette parole libre, affranchie des archétypes et des jargons.
L’idée est de toujours nuancer, de manière à ne pas stigmatiser, à déconstruire, à éviter de faire ce que les magazines féminins font. Des magazines qui sont pleins de diktats, comme «il faut obtenir cinq orgasmes par jour si on veut être épanouie », des titres racoleurs mais pas très judicieux pour que les femmes puissent se sentir « libres », « libérées » dans leur sexualité.
Le succès d’estime est là, elles sont demandés de plus en plus souvent, de plus en plus loin pour animer des débats, des conférences dans d’autres associations, ou dans des foyers de jeunes travailleuses/travailleurs. Le Cabinet de Curiosité est un espace d’échanges, et de partages où se télescopent paroles d’expertes et de citoyennes, de jeunes et de moins jeunes, de militantes et de passantes.
Ouvertement féministes, et à l’écoute de tout.e.s, sans relâche, elles veulent déconstruire les stéréotypes, y compris ceux sur le féminisme.
Ces jeunes femmes trentenaires ont intégrés les acquis et les luttes des militantes des années 70, mais s’interrogent en permanence sur une société en mouvement, qui cherche de nouveaux repères : réseaux sociaux et cyber-harcèlement, féminisme et religions, jeunes et pornographie… Leur grande ambition est de mettre au cœur de toutes réflexions la notion du consentement. Selon Alexia Bacouël, c’est le préalable à toute construction égalitaire.
Comment vivre de manière épanouie si les femmes ne perçoivent pas à quelle point la société impose ses diktats ? Nombreuses sont celles qui ne se savent même pas contraintes.
La sexualité, un sujet honteux
Au Cabinet de Curiosité Féminine, tous les sujets sont abordés. Les fondatrices revendiquent un droit au plaisir. « La sexualité est un pilier de l’être humain, vital mais l’on considère encore aujourd’hui que c’est un sujet honteux. » explique Alexia Bacouël  . Parler de sexualité, c’est évoquer des sujets tels que le libertinage, les jeux BDSM, ou encore parler du couple, du désir dans le temps. Peu de féministes se risquent sur ce terrain, par peur de ne pas être pris au sérieux ou taxées de sexistes. Le plaisir des femmes est toujours coupable.
Parler de sexualité, c’est aussi s’attaquer aux croyances typiquement « limitantes » : «je ne couche pas le premier soir de peur d’être cataloguée comme une salope» ou «une femme qui couche le premier soir n’a pas le droit d’avoir une relation stable avec la personne avec qui elle a couché le premier soir.»
On y retrouve la fameuse dichotomie entre la maman et la putain, «je suis une maman donc je ne peux pas faire tout ce que je veux dans ma sexualité» ou « les hommes me perçoivent comme ça et du coup avec la personne avec qui je vis, je ne peux pas forcément parler de toutes mes envies, mes fantasmes.»
Le Cabinet de Curiosité propose d’autres ateliers un peu plus expérimentaux: des ateliers sur l’effeuillage burlesque, qui permettent d’appréhender sa sexualité et de jouer avec son corps, et de ne pas en avoir honte, des ateliers sur les Drag King, qui déconstruisent les codes sociaux du masculin, et permettent de se rendre compte que les hommes subissent aussi ces diktats et de questionner la question du genre.
Le Cabinet de Curiosité Féminine s’adresse aux femmes et aux hommes de tous âges, de toutes orientations et de toutes cultures. Avec un souhait, que chacun.e et s’approprie ces questions avec fierté.
Qui a dit que la curiosité était un vilain défaut?

Célia Bistmuth 50-50 magazine
 
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http://www.50-50magazine.fr/2018/09/14/la-sexualite-est-un-sujet-serieux-dont-il-faut-parler-avec-legerete-et-inversement/

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Perfégal créé un test pour évaluer la conformité des entreprises en matière d’égalité professionnelle,emplois,egalite,

20 Septembre 2018, 08:59am

Publié par hugo


14 septembre 2018
Économie
Perfégal créé un test pour évaluer la conformité des entreprises en matière d’égalité professionnelle
 
Le sujet de l’égalité entre les femmes et les hommes a été proclamée grande cause du quinquennat. Cette égalité doit être mise en place sur le plan professionnel, au sein des entreprises. Perfégal, un cabinet de conseil, créé en 2005 accompagne les entreprises dans leurs études et diagnostics en matière d’égalité professionnelle, apporte appuis et conseils dans la mise en oeuvre de plan d’actions, sensibilise et forme les acteurs sur l’égalité femmes/hommes.
 
 
 
Les entreprises de plus de 50 salarié.e.s doivent être couvertes par un accord relatif à l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes mais moins de la moitié sont en conformité. Pour les sensibiliser, Perfégal a conçu un test qui leur permet de vérifier leur situation.
Des obligations méconnues par les entreprises
Depuis le 1er janvier 2012, la loi impose aux entreprises de plus de 50 salarié.e.s de négocier avec les délégués syndicaux un accord relatif à l’égalité professionnelle ou, en cas d’échec de négociation, un plan d’action unilatéral.
Or les dirigeant.e.s, particulièrement dans les PME, ou les salarié.e.s, dont les partenaires sociaux, sont souvent mal informés sur les obligations en matière d’égalité professionnelle. Selon le Ministère du Travail, au 15 décembre 2016, 43,6 % des entreprises étaient couvertes par un accord ou un plan d’action sur l’égalité professionnelle, et seulement 38 % des PME.
Des conséquences commerciales et financières pour les entreprises
Ces entreprises ne peuvent pas soumissionner à des marchés publics, à des concessions de travaux publics, à des contrats de partenariats ni à des délégations de services publics et risquent une pénalité financière dont le montant peut atteindre 1% de la masse salariale.
Une augmentation des sanctions
Selon une étude de la DARES (1), on assiste depuis 2016 à une augmentation des mises en demeure pour les entreprises qui ne sont pas en conformité (2157 mises en demeure début 2016 pour 617 début 2014).
En outre, en mai 2018, alors que l’égalité hommes-femmes était déclarée grande cause du quinquennat, la Ministre du Travail, Muriel Pénicaud, a annoncé l’augmentation des contrôles, et par conséquent des sanctions et des mises en demeure.
Evaluer son entreprise en ligne gratuitement en 5 minutes
Le test conçu par Perfegal permet aux entreprises de répondre à ces questions :
1. Mon entreprise est-elle concernée par les obligations en matière d’égalité professionnelle ?
2. Mon entreprise est-elle en conformité au regard des lois sur l’égalité professionnelle et salariale ?
3. Mon entreprise peut-elle progresser ?
Simple et rapide, le test est disponible gratuitement en ligne. Il suffit de répondre de manière confidentielle à neuf questions.
« Fruit de nos 13 ans d’expériences, ce test est particulièrement utile aux PME où les dirigeants pensent souvent qu’ils ne sont pas concernés par l’accord relatif à l’égalité professionnelle. Le résultat du test va leur permettre d’analyser rapidement leur situation pour pouvoir adopter les mesures nécessaires. » soulignent Françoise Le Rest et Isabelle Gueguen, les fondatrices de Perfégal.
Aujourd’hui, les femmes gagnent toujours 9% de moins que les hommes à poste de valeur égale et 25 % en moyenne de moins que les hommes tous postes et temps de travail confondus (2).
 
Perfegal
1 Source : étude DARES (Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques) – L’égalitéprofessionnelle est-elle négociable ? – Mars 2018
2 Source : étude INSEE – Mars 2018
 
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http://www.50-50magazine.fr/2018/09/14/perfegal-cree-un-test-pour-evaluer-la-conformite-des-entreprises-en-matiere-degalite-professionnelle/

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PMA : l'Ordre des médecins ne s'oppose pas à une extension,articls femmes hommes,femmes,

20 Septembre 2018, 07:49am

Publié par hugo

 PMA : l'Ordre des médecins ne s'oppose pas à une extension
Les responsables du Conseil national de l'Ordre des médecins seront auditionnés par l'Assemblée nationale ce mercredi 19 septembre pour délivrer leur prise de position sur la PMA ouverte à toutes les femmes.
L'invité de RTL Midi
Christelle Rebière
02:25
03:29
L'invité de RTL MIDI du 19/09/2018 03:30
Jean-Marie Faroudja, président de la section éthique et déontologie du Conseil national de l'Ordre des médecins, réagit au projet d'extension de la PMA 26:31
La page de l'émission
Arièle Bonte 
Journaliste
Partager l'article
 
 

publié le 19/09/2018 à 10:36
L’Ordre des médecins n’est pas hostile à l’extension de la PMA aux couples de femmes et aux femmes seules. Leurs responsables seront auditionnés ce mercredi 19 septembre à l'Assemblée nationale et c'est bien la position qu'ils défendront officiellement, assure l'Ordre des médecins.
"Depuis de nombreuses années nous avons procédé à des auditions de scientifiques, de responsables politiques et associatifs parce que nous ne voulions pas enfermer l’institution dans une réflexion étriquée, en refusant de prendre en compte les désirs de la société", explique Jean-Marie Faroudja, président de la section éthique et déontologie du Conseil national de l’Ordre des médecins.
"Le droit à l'enfant n'est pas une question qu'il faut poser à l'Ordre. C'est une question de société. Je ne vois pas de quel droit un médecin dirait à une patiente "Madame, vous n'avez pas le droit à un enfant" ou "Madame, vous avez le droit à un enfant". C'est une question qui est personnelle et sociétale, dont la réponse n'appartient pas aux médecins", ajoute-t-il.
À lire aussi
société
PMA : LREM se prononce pour un remboursement par la Sécu, Buzyn est favorable
 
 
La prise de position de l'Ordre des médecins fait écho à la décision du Conseil d'État qui a affirmé en juillet dernier que l'ouverture à toutes les femmes de la PMA ne relevait d'aucun obstacle juridique. Le gouvernement présentera par ailleurs un projet de loi sur les questions de bioéthique, y compris la PMA, au Parlement début 2019.
La rédaction vous recommande
PMA pour toutes : Castaner confirme vouloir le remboursement
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https://www.rtl.fr/girls/identites/pma-l-ordre-des-medecins-ne-s-oppose-pas-a-une-extension-7794846367

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Palestine. Israël tente d’empêcher Ahed Tamimi de venir à la Fête de l’Humanité ,societe,violences,

19 Septembre 2018, 08:50am

Publié par hugo

 
Avec ses parents, Ahed Tamimi, symbole de la révolte de la jeunesse palestinienne, comptait partir jeudi ou vendredi pour Bruxelles puis se rendre à Paris, à l’invitation de notre journal et du PCF. A. Momani/AFP
Palestine. Israël tente d’empêcher Ahed Tamimi de venir à la Fête de l’Humanité
Lundi, 10 Septembre, 2018
Pierre Barbancey
La jeune fille de 17 ans, qui a passé huit mois en prison, ne peut sortir de Cisjordanie alors qu’elle a obtenu son visa et doit participer à la Fête de l'Humanité ce week-end.
A près huit mois de prison, pendant lesquels elle a tristement fêté ses 17 ans, la jeune Ahed Tamimi, dont le seul crime a été de s’opposer à la présence de soldats israéliens devant sa maison, devait venir en Europe et, notamment, participer, le week-end prochain, à la Fête de l’Humanité. Avec ses parents, visa Schengen obtenu, elle comptait partir jeudi ou vendredi pour Bruxelles puis se rendre à Paris, à l’invitation de notre journal et du PCF, participer à des débats organisés par l’Association France Palestine Solidarité (AFPS), avant de partir pour Madrid et être reçue par le Parti communiste espagnol.
Pour l’heure, elle ne peut honorer ses engagements. Les autorités israéliennes ont fait savoir à la famille Tamimi qu’elle ne quitterait pas la Cisjordanie, où elle réside, pour des raisons de sécurité (sic). S’ajoute à cela la fermeture totale des territoires palestiniens et des frontières terrestres jusqu’à mardi en raison de la fête juive de Roch Hachana. Si la protestation ne s’amplifie pas, il est à craindre que les participants à la Fête de l’Humanité ne puissent pas accueillir Ahed Tamimi, comme cela était prévu. Pas plus qu’ils ne verront Salah Hamouri, toujours emprisonné.
C’est toute la politique de Netanyahou qui se dévoile
« Le gouvernement français et le chef de l’État doivent (…) intervenir pour que Ahed et ses parents puissent voyager librement, et se rendre à Paris, Madrid et Bruxelles, comme prévu », a immédiatement réagi le Parti communiste français dans un communiqué. Rien, en effet, ne justifie une telle mesure si ce n’est l’arbitraire le plus total et la volonté, de la part des forces d’occupation, que ne soit pas entendue, dans le monde et singulièrement en France, la voix de celle qui symbolise la révolte de la jeunesse palestinienne. Quand on voit Ahed, quand on l’entend parler, difficile évidemment de lui accoler l’étiquette de « terroriste », sauf à tomber le masque. Pour Israël, est terroriste toute personne opposée à l’occupation et à la colonisation, qui se prononce pour la création d’un État palestinien. À travers l’interdiction faite aux Tamimi de se déplacer, c’est bien toute la politique de Netanyahou qui se dévoile. Au cours du seul mois d’août, 19 Palestinien(ne)s ont été tué(e)s, pour la plupart des jeunes. Même les personnels médicaux sont visés. Manifester pacifiquement en Cisjordanie ou dans la bande de Gaza, c’est s’exposer à la mort. Ahmad Aboutoyour n’avait que 17 ans. Il est mort samedi, après avoir été touché par un sniper israélien dans la bande de Gaza. La veille, Bilal Moustafa Khafaja, 17 ans également, était abattu de la même manière.
Cette répression sanglante n’est qu’une des facettes des orientations du gouvernement d’extrême droite israélien, qui vise non seulement à tenter d’étouffer dans l’œuf toute révolte, particulièrement celle de la nouvelle génération palestinienne, celle née au moment des accords d’Oslo et qui en vit les forfaitures. Une répression qui frappe également, en Israël même, les associations de défense des droits de l’homme, comme B’Tselem, ou encore Breaking the Silence, composée d’anciens soldats qui dénoncent les exactions de l’armée dans les territoires occupés, et même les députés, comme ceux de la Liste unie, qui participent aux manifestations contre la dérive d’Israël. Dans son entreprise, Tel-Aviv est plus qu’épaulé par Washington. Donald Trump vient d’ordonner la suppression d’une aide de 25 millions de dollars aux hôpitaux palestiniens à Jérusalem-Est.
C’est le cas de la loi dite de l’État-nation, qui représente un véritable tournant dans l’histoire d’Israël, transformant le pays en un apartheid de type nouveau, dans laquelle est légitimée la colonisation passée et à venir : toute nouvelle installation, acceptée ou non par le gouvernement, est désormais légalisée et protégée par l’armée. Le nettoyage ethnique en cours vise également les Bédouins, dont un des villages, celui de Khan al-Ahmar, doit être détruit pour faire passer une route réservée aux colons. L’arabe n’est plus reconnu comme langue officielle. Cette loi vise, de plus, à instrumentaliser les juifs du monde entier, faisant d’Israël leur représentant, leur déniant ainsi leur rôle, leur place et leur nationalité dans nos sociétés. On comprend mieux pourquoi Benyamin Netanyahou partage les vues du sinistre premier ministre hongrois, Viktor Orban !

https://www.humanite.fr/palestine-israel-tente-dempecher-ahed-tamimi-de-venir-la-fete-de-lhumanite-660415

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Traverser la rue pour retrouver un emploi - Le Moment Meurice

19 Septembre 2018, 07:50am

Publié par hugo

 #17 DES TENDANCES
Traverser la rue pour retrouver un emploi - Le Moment Meurice
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France Inter
Ajoutée le 17 sept. 2018
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Le Moment Meurice - (17 Septembre 2018 - Anna Karina)
Guillaume Meurice est aller à la rencontre de chômeurs.
Retrouvez « Le Moment Meurice » dans Par Jupiter ! sur France Inter et sur https://www.franceinter.fr/emissions/...
 

https://www.youtube.com/watch?v=uNGv6p_Au50

C EST VRAI QUE SI L ASSEMBLEE  NATIONALE  , deputes  sénateur et ministre et premier ministre et  president  de la republique  AVAIT  BOSSER   DANS LEUR  VIE  , comme  simple  fonctionnaire   il saurait  mieux  de quoi ils parlent ,  DIRE QUE  TU  PEUX  TROUVER  DU  TRVAILLE FACILMENT  EN << traversant la rue  <<< c ets  ridicule 

TU  TROUVE PEUT  ETRE DU  TRAVAILLE EN TRAVERSANT  LES  FRONTIERES ????

LA MEILLEUR FACON DE  FAIRE QUE LE PLEINE EMPLOIS   SOIT  EN FRACE  C EST  SIMPLE  , theorie  de  Keynes !!!!et la  politique  de donner de largent aux plus  riche pour que cela  tombe sur les pauvres faut arreter  et taxer l'ISF faut  refire  etc  

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Les garçons seraient positivement affectés par la présence de filles à l'école ,articles femmes hommes,egalite,parite

18 Septembre 2018, 07:42am

Publié par hugo

  Selon une étude…
Les garçons seraient positivement affectés par la présence de filles à l'école
Par Kim Hullot-Guiot — 14 novembre 2017 à 15:44
 
 
Des élèves de CM2 à l'école primaire du Puits Picard, à Caen. Photo Mychele Daniau. AFP
 
Une étude menée par trois chercheurs néerlandais sur 300 000 élèves dans 33 pays tend à prouver l'importance de la mixité scolaire, en particulier pour les garçons.
   Les garçons seraient positivement affectés par la présence de filles à l'école
Mélanger les filles et les garçons à l’école a-t-il un effet positif sur eux ? Oui, et surtout sur les garçons, à en croire une vaste étude menée par des chercheurs néerlandais (à lire ici, en anglais). En se basant sur les résultats de l’enquête Pisa de 2009, et sur des critères tant démographiques que socioéconomiques, Margriet Van Hek, Gerbert Kraaykamp et Ben Pelzer ont étudié l’impact de la mixité, ainsi que d’autres éléments, comme le niveau d’éducation des parents, sur les performances scolaires. Ils en ont conclu que lorsque les effectifs étaient composés de filles et de garçons, ces derniers obtenaient de meilleurs résultats. «Les garçons profitent davantage que les filles d’une large proportion de filles à l’école. Contrairement à ce à quoi on s’attendait, les filles bénéficient plus que les garçons d’une composition socioéconomique avantagée de l’école», écrivent les auteurs. En clair, les garçons profitent de la présence des filles, mais elles pas tant que cela de la présence des garçons. En revanche, si le niveau économique des élèves (ou plutôt de leurs parents) est élevé, cela aura un impact plus important sur les filles que sur les garçons.
En 2004, une étude de la chercheuse Mieke Van Houtte, de l’université de Gand (Belgique), réalisée sur 12 000 élèves, montrait déjà que la présence de filles améliorait les résultats des garçons, rappelle le site d’actualité de l’éducation le Café pédagogique, qui relaie les deux études. Et conclut à l’importance de travailler à plus de mixité dans certaines filières professionnelles, particulièrement genrées dans la composition de leurs élèves.
Kim Hullot-Guiot


https://www.liberation.fr/france/2017/11/14/les-garcons-seraient-positivement-affectes-par-la-presence-de-filles-a-l-ecole_1610021

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