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Une Australienne de 12 ans forcée d'attendre des semaines avant de pouvoir avorter,femmes,avortement,

30 Avril 2016, 23:56pm

Publié par hugo



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Une Australienne de 12 ans forcée d'attendre des semaines avant de pouvoir avorter
Par Lucile Quillet | Le 27 avril 2016
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La fillette se serait auto-mutilée et aurait tenté deux fois de se suicider avant que la cour suprême du Queensland ne l'autorise enfin à avoir accès à une interruption volontaire de grossesse.


En ce moment
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Un week-end provençal rien que pour vous
« Q » n'a que douze ans et est enceinte de près de neuf semaines d'un jeune garçon de son âge. La fillette s'en était rendue compte bien avant, mais elle a dû attendre près d'un mois avant d'être autorisée à pouvoir avorter par la cour suprême de l'état australien du Queensland, rapporte le journal britannique The Guardian.


Dans cet état australien, l'avortement ne peut avoir lieu que si un médecin certifie du caractère nécessaire de l'acte pour la santé mentale et physique de la femme enceinte. Cette mesure rend de nombreux docteurs réticents de pratiquer une IVG, s'en remettant alors à une décision de la cour de justice.


Durant un mois, la fillette a enchaîné les rendez-vous d'expertise médicale avec des professionnels : psychiatre, médecins, obstétriciens ont dû attester que sa décision a été prise de façon indépendante et réfléchie. Tous ont déduit la même chose : l'interruption de cette grossesse non désirée était dans l'intérêt de la jeune fille. Face à la cour, cette dernière a témoigné du caractère très stressant de son état, affirmant qu'elle avait connu une période difficile les mois précédents durant lesquels elle aurait fugué de chez elle, se serait auto-mutilée et aurait tenté deux fois de se suicider. Ses parents ainsi que le psychiatre qui l'a expertisée ont de leur côté manifesté des inquiétudes quant à de possibles récidives.


"Un traitement inhabituel et cruel"


La cour suprême du Queensland a autorisé mardi la fillette à avoir une IVG. « Elle ne souhaite pas être mère, a affirmé le juge Duncan McMeekin, rapporte The Guardian. Sans surprise, elle sent qu'elle ne conviendrait pas pour cette tâche ».


L'histoire de cette enfant a suscité l'indignation de plusieurs personnalités politiques australiennes, réclamant que la justice cesse de considérer les femmes désirant avorter comme des criminelles. « Nous parlons d'une personne vulnérable et je dirais que lui faire subir ce procédé est un traitement inhabituel et cruel pour une enfant de douze ans », a déclaré Rob Pyne, un député indépendant du Queensland, selon The Guardian. Ce dernier projette de soumettre au parlement australien une proposition de loi pour retirer l'avortement du code pénal national.


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Tags : IVG, droits des femmes, australie

http://madame.lefigaro.fr/societe/australie-une-fille-de-12-ans-doit-attendre-des-semaines-avant-d-270416-114016

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Avortement en Pologne : l’Eglise soutient l’interdiction,femmes,ivg,avortement,

7 Avril 2016, 01:22am

Publié par hugo

Journal des Femmes Société Dans l'actu
Avortement en Pologne : l’Eglise soutient l’interdiction
Natacha Couvillers, Mis à jour le 04/04/16 18:38
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Avortement en Pologne : l’Eglise soutient l’interdiction
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Irlande : condamnée à trois mois de prison pour avoir avorté
Prostitution : la pénalisation des clients entre en vigueur
Religion : les femmes ont plus la foi que les hommes
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Le parti polonais Droit et Justice (PiS), soutenu par l'Eglise, souhaite faire interdire l’avortement, sauf si cela implique un danger pour la mère. Ce nouveau texte de loi est vivement contesté par la population.


Un nouveau projet de loi interdisant totalement le droit à l'avortement vient d'être proposé en Pologne, comme le rapporte l'AFP, alors que l'actuel texte de loi de 1993 est déjà très limité. Pour l'instant, l'interruption volontaire de grossesse est autorisée dans trois cas seulement : si la vie de la mère est en danger, si l'examen prénatal indique une grave pathologie irréversible de l'embryon et si la grossesse est le résultat d'un viol ou d'un inceste. Le nouveau texte de loi préconise l'avortement uniquement dans le cas où la vie de la mère serait en danger. La peine maximale pour une transgression de la loi passerait de deux ans – actuellement en vigueur – à cinq ans de prison. L'Église catholique et le parti conservateur Droit et Justice (PiS) soutiennent cette nouvelle proposition de loi.
Dimanche 3 avril 2016, une lettre rédigée par la haute autorité épiscopale devait être lue dans les paroisses de Pologne qui appuient cette mesure. À Varsovie, de nombreuses femmes se sont insurgées et ont quitté le lieu de culte en clamant leur droit à l'avortement. Le même jour, les habitants de Varsovie ont manifesté devant le siège du parlement polonais en signe de protestation. Si elle passait, la loi priverait ainsi les femmes de certains acquis plutôt que de faire évoluer leurs droits dans le bon sens : celui de la liberté.




Le droit à l'IVG menacé en Pologne © Ivan Kmit
Voir aussi :


Laurence Rossignol défend l’avortement à New York
Lors de la 60ème session de la Commission de la Condition de la Femme qui se tient à New York jusqu'au 24 mars, la ministre des Familles, de l’Enfance et des Droits des Femmes, Laurence Rossignol, a rappelé l’urgence du droit à l’IVG pour toutes.


IVG : les frais annexes 100% remboursés
C’est officiel : toutes les dépenses liées à la pratique d’un avortement sont entièrement remboursées par la Sécurité sociale depuis le 1er avril. Et non, ce n’est pas une blague !

http://www.journaldesfemmes.com/societe/actu/1558442-pologne-interdiction-ivg/

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Donald Trump voudrait "punir" les femmes qui avortent,femmes,ivg,avortement,

1 Avril 2016, 15:59pm

Publié par hugo

Journal des Femmes Société Dans l'actu
Donald Trump voudrait "punir" les femmes qui avortent
Caroline Perrin, Mis à jour le 31/03/16 15:56
Journal des Femmes
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Donald Trump voudrait "punir" les femmes qui avortent
DERNIÈRE MINUTE


IVG : les frais annexes 100% remboursés
Une femme élue à la tête de l’Assemblée nationale au Vietnam
Donald Trump voudrait "punir" les femmes qui avortent
Toute l'actualité Société
La course à l’investiture républicaine américaine va-t-elle virer au fiasco pour Donald Trump ? Malgré les propos plus que douteux qu’il a pu tenir, le candidat restait favori. Cependant, sa récente déclaration sur l’avortement pourrait bien lui jouer des tours…


"Il doit y avoir une certaine forme de punition", a répondu Donald Trump à Chris Matthews sur MSNBC, quand ce dernier lui a demandé si l'avortement devait être condamné. Un discours qui fait trembler l'Amérique, car en rendant l'IVG illégale, le candidat républicain s'attaque non seulement aux droits des femmes, mais également à une institution symbolique américaine, la "Roe v. Wade", décision de la Cour Suprême prise en 1973 qui reconnaît l'avortement comme droit constitutionnel.
Si jusqu'alors, ses phrasés sulfureux trouvaient étonnamment leur public, le milliardaire pourrait bien cette fois perdre son statut inouï de favori. Ce qui expliquerait sa soudaine rétractation, pourtant loin de le sortir d'affaire, qu'il a annoncée via un communiqué. Le politicien préfère finalement punir les médecins qui pratiqueront les avortements. Une tentative vaine de rattraper une énième erreur ? Non, puisque l'idée reste la même. Hillary Clinton, candidate démocrate, a clamé haut et fort son dégoût envers cet homme aux idées extrémistes. Et nombreux sont les soutiens qui s'indignent face à de telles opinions. Un aspirant au pouvoir redoutable, cynique et prêt à tout, poussant même les médias à se remettre en question.












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DROITS DES FEMMES / AVORTEMENT


Donald Trump voudrait "punir" les femmes qui avortent
Amel Bent avec Always-UNESCO pour l'alphabétisation des femmes au Sénégal-30...
Joie de vivre, Algérie - Femmes et enfants à travers le monde
Mexique féminicide
Ségolène Royal, la combattante
Violences faites aux femmes : elles dansent pour dénoncer
Voir aussi : Droits des femmes Avortement

http://www.journaldesfemmes.com/societe/actu/1557463-donald-trump-avortement-punition/

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Avortement : lancement d'un numéro vert pour mieux informer sur l'IVG,femmes,ivg,sante,

28 Septembre 2015, 21:00pm

Publié par hugo

Journal des Femmes Société Combats de femmes
Avortement : lancement d'un numéro vert pour mieux informer sur l'IVG
Rédaction Jdf, Mis à jour le 28/09/15 11:32
JournalDesFemmes.com
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Avortement : lancement d'un numéro vert pour mieux informer sur l'IVG
VOIR AUSSI


Marisol Touraine dévoile sa nouvelle campagne pour le droit à l'avortement
Les IVG en légère progression en 2013
La Belle Saison : retour sur 70 ans de combats féministes
A l'occasion de la Journée mondiale pour le droit à l'avortement, lundi 28 septembre 2015, Marisol Touraine a annoncé la mise en place d'un numéro vert, spécialement dédié à l'information des femmes en matière d'IVG, mais aussi de sexualité et de contraception.


Le constat est accablant. Dans un discours prononcé lundi 28 septembre, à l'occasion de la Journée mondiale pour le droit à l'avortement, Marisol Touraine a rappelé qu'un Français sur 10 pense qu'une femme a besoin de l'accord de son partenaire pour avorter et qu'un sur quatre pense qu'une raison médical est exigée pour recourir à une IVG. Pour remédier à ce manque d'information et clarifier les choses, la ministre de la Santé a annoncé la création d'un numéro vert consacré aux questions de sexualité, de contraception et d'IVG : le 0800 08 11 11 FREE.
Jusqu'à présent, il n'existait que des plates-formes régionales. Grâce à ce nouveau numéro, les femmes à la recherche d'informations auront toutes les réponses dont elles ont besoin et pourront aussi être dirigées vers un professionnel de la santé si elles le souhaitent. Ce service est accessible 6 jours sur 7, le lundi de 9 heures à 22 heures et du mardi au samedi de 9 heures à 20 heures.
Ce numéro, géré par le Plannig familial, est gratuit et anonyme, ce qui signifie qu'aucune trace n'apparaîtra sur les factures téléphoniques.
On estime que près de 220 000 femmes avortent chaque année en France.




© ursule / Fotolia



Voir aussi :




IVG : le Sénat vote la suppression du délai de réflexion
Le Sénat a voté la suppression du délai de réflexion de 7 jours, imposé aux femmes souhaitant avoir recours à une interruption volontaire de grossesse. Cet amendement de la loi sur l’avortement de 1975 ne fait pas l’unanimité.


IVG: 95 % des femmes n'ont "aucun regret"
L’avortement, un acte médical encore souvent décrié, serait assumé par l'immense majorité de celles qui y ont recours. C'est ce que démontre une nouvelle étude américaine publiée dans la revue scientifique PLOS ONE: 95 % des femmes interrogées ont déclaré qu’elles n’avaient jamais regretté leur décision.


IVG : quelles sont les nouvelles mesures pour faciliter l'accès à l'avortement ?
Le 16 janvier, à la veille du 40e anniversaire de la loi Veil, Marisol Touraine et Pascale Boistard, ont présenté des mesures pour améliorer l'accès à l'IVG.



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CONTRACEPTION / MARISOL TOURAINE


Avortement : lancement d'un numéro vert pour mieux informer sur l'IVG
Avortements clandestins au Brésil: une femme meurt tous les deux jours
L'avortement "presque" légalisé au Maroc
Marisol Touraine dévoile sa nouvelle campagne pour le droit à l'avortement
Tampons hygiéniques : une pétition réclame la transparence sur leur composition
"Putes" et "Boulets" : les sites de rencontre dérapent, la CNIL se fâche

http://www.journaldesfemmes.com/societe/combats-de-femmes/1404338-numero-vert-avortement-ivg/

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CHOQUANT : LE SÉNAT ESPAGNOL LIMITE L'ACCÈS À L'AVORTEMENT POUR LES MINEURES,femmes,sante,avortement,ivg

14 Septembre 2015, 13:23pm

Publié par hugo

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CHOQUANT : LE SÉNAT ESPAGNOL LIMITE L'ACCÈS À L'AVORTEMENT POUR LES MINEURES
ENVOYER
DATE DE PUBLICATION : 11/09/2015 À 15:51 | COMMENTAIRE (1) Contraception des jeunes mineures remboursées à 100% en France de même que l' IVG. Jeunes filles avec test de grossesse.
Getty Images

L'Espagne continue à réformer petit à petit le droit à l'avortement. Suite à une décision adoptée récemment par le Sénat, les mineures n'auront plus accès à l'interruption volontaire de grossesse sans l'accord de leurs parents. Une décision qui suscite la colère des Espagnoles.
L'Espagne fait une fois de plus marche arrière en matière de droit à l'avortement. Il y a quelques jours, le Sénat a officiellement approuvé la réforme de la loi sur l'IVG, avec une très forte majorité (145 votes pour, 89 contre et 5 abstention). Désormais, les jeunes filles mineures ne pourront plus avorter sans l'autorisation de leurs parents.


Jusqu'à présent, elles pouvaient obtenir une interruption volontaire de grossesse (IVG) durant les 14 premières semaines, sans justification.

UNE VICTOIRE POUR LE PARTI CONSERVATEUR, UNE DÉFAITE POUR LE FÉMINISME


Selon la sénatrice Maria Dolores Pan, du parti populaire et conservateur, cette décision a pour objectif de "rendre aux pères et aux mères la capacité de conseiller leur fille et d'être à ses côtés dans ce moment si difficile de sa vie". Un argument qui met en rage les féministes, qui estiment qu'il s'agit d'une réduction des droits, purement et simplement.


Et ce même s'il s'agit d'une version "allégée" de la version proposée initialement en 2013, qui prévoyait d'interdire totalement les IVG, sauf en cas de viol ou de risque vital pour la mère.

LE DANGER DES AVORTEMENTS CLANDESTIN EN LIGNE DE MIRE


Cette décision inquiète d'autant plus les associations féministes que les jeunes filles risquent de se tourner vers des méthodes illégales pour leur IVG. Des avortements clandestins qui peuvent s'avérer dangereux, voire mortels...


Des appels à la manifestation pour contrer cette loi ont d'ores et déjà été lancés sur les réseaux sociaux.
Par Laetitia Reboulleau
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http://www.marieclaire.fr/,choquant-le-senat-espagnol-limite-l-acces-a-l-avortement-pour-les-mineures,779932.asp

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Le pape François demande aux prêtres de pardonner l'avortement,femmes,avortement,

2 Septembre 2015, 01:48am

Publié par hugo

Le pape François demande aux prêtres de pardonner l'avortement
François veut permettre le pardon des catholiques qui se repentent d'un geste venu soulage "l'injustice" vécue par de nombreuses femmes.


Le pape François lors de son Angelus du 30 août 2015, place Saint-Pierre à Rome
Crédit : ALBERTO PIZZOLI / AFP
Le pape François lors de son Angelus du 30 août 2015, place Saint-Pierre à Rome
PAR AYMERIC PARTHONNAUD , AVEC AFP PUBLIÉ LE 01/09/2015 À 17:51
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Le pape François a demandé mardi 1er septembre 2015 aux prêtres, pendant le "Jubilé de la miséricorde" qui débutera en décembre, d'accorder le pardon aux catholiques repentants qui ont avorté ou provoqué l'avortement, dans un geste qui veut soulager "l'injustice" vécue par de nombreuses femmes. Dans une lettre adressée à l'organisateur de cette "Année Sainte" (ou Jubilé), le prélat italien Rino Fisichella, le pape François a annoncé diverses dispositions concrètes pour que la possibilité de voir ses fautes pardonnées (ce que permet un jubilé dans la tradition catholique) bénéficie au plus grand nombre.


La disposition la plus frappante concerne l'avortement : le pape, qui a qualifié l'avortement d'"horreur", déclare avoir "décidé, nonobstant toute chose contraire, d'accorder à tous les prêtres, pour l'Année jubilaire, la faculté d'absoudre du péché d'avortement tous ceux qui l'ont provoqué, et, qui, le cœur repenti, en demandent pardon". Cette catégorie inclut les médecins et les membres des familles qui obligent une femme à avorter. Pour ces femmes, "le pardon de Dieu à quiconque s'est repenti ne peut être nié", ajoute le pape, d'autant plus, dit-il, si celles-ci demandent à recevoir le sacrement de confession.


"Un drame existentiel et moral" pour le pape


François exprime sa sensibilité particulière à ce "drame". "Le drame de l'avortement est vécu par certains avec une conscience superficielle, qui semble ne pas se rendre compte du mal très grave qu'un tel acte comporte".
Mais, ajoute-t-il, "beaucoup d'autres, en revanche, bien que vivant ce moment comme un échec, considèrent ne pas avoir d'autres voies à parcourir. Je pense à toutes les femmes qui ont eu recours à l'avortement". "Je connais bien les conditionnements qui les ont conduites à cette décision. Je sais qu'il s'agit d'un drame existentiel et moral. J'ai rencontré de nombreuses femmes qui portaient dans leur cœur la cicatrice de ce choix difficile et douloureux. Ce qui a eu lieu est profondément injuste", insiste François.


En vertu du droit canon de l'Eglise, l'avortement est une faute particulièrement grave punie d'excommunication automatique, à moins qu'il n'ait eu lieu sous la contrainte. Le pape ne cesse de condamner l'acte lui-même. En mai dernier, Mgr Fisichella avait déjà annoncé que l'avortement ferait partie des péchés pouvant être pardonnés pendant le Jubilé, mais en indiquant qu'un nombre limité de prêtres, "missionnaires de la miséricorde", seraient habilités à accorder ce pardon dans le monde. Des évêques peuvent déjà autoriser certains ou tous les prêtres de leur diocèse à pardonner cette faute, au cours d'événements religieux particuliers.


Une mère excommuniée pour avoir fait avorter sa fille de 9 ans violée


En 2009, une polémique avait éclaté quand le Vatican avait soutenu l'archevêque de Recife, au Brésil, qui avait excommunié une mère et des médecins ayant fait avorter une fillette de neuf ans, violée par son beau-père. François, dans sa lettre, ordonne que d'autres catégories bénéficient du pardon, alors qu'elles en sont empêchées par les circonstances. Conformément à la tradition constante des Jubilés, les croyants doivent normalement accomplir un court pèlerinage qui les fait traverser une "porte sainte" d'une cathédrale ou d'une église jubilaire, afin de voir leurs fautes effacées.


Le pape annonce notamment que les personnes détenues, "dans les chapelles des prisons, pourront obtenir l'indulgence". "Chaque fois qu'elles passeront par la porte de leur cellule, en adressant leur prière au Père, puisse ce geste signifier pour elles le passage de la Porte Sainte, car la miséricorde de Dieu est en mesure de transformer les barreaux en expérience de liberté", écrit-il. Il mentionne aussi "les malades et les personnes âgées et seules que leurs conditions empêchent de sortir". Ils pourront obtenir "l'indulgence jubilaire" en participant aux messes et aux prières "à travers les divers moyens de communication".


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Par Aymeric Parthonnaud
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http://www.rtl.fr/actu/international/le-pape-francois-demande-aux-pretres-de-pardonner-l-avortement-7779579536

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Avortements clandestins au Brésil: une femme meurt tous les deux jours,femems,sante,avortement,

2 Août 2015, 03:28am

Publié par hugo

Journal des Femmes Société Combats de femmes
Avortements clandestins au Brésil: une femme meurt tous les deux jours
krystelstephant, Mis à jour le 29/07/15 18:18
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Au Brésil, un arrêté du ministère de la santé visant à faciliter l’accès à l’avortement légal a été promulgué puis révoqué au bout d’une semaine. Cette mesure constituait une avancée considérable pour les femmes, dans ce pays où ce droit à disposer de son corps reste tabou.


Sept jours. C’est la durée d'application d’un arrêté promulgué par le ministère de la Santé au Brésil, ayant pour objectif de faciliter l’accès à l’avortement légal. Promulgué le 21 mai dernier, celui-ci stipulait que tous les hôpitaux publics brésiliens composés d’un service de gynécologie devaient pouvoir proposer une interruption de grossesses aux femmes qui le souhaitent et qui répondent aux conditions très strictes de l’avortement légal au Brésil. Il s’agissait de mettre en place un meilleur contrôle et une certaine réglementation de l’accueil des femmes concernées et de donner des moyens financiers et humains, nécessaires au bon déroulement de ces avortements.
Cet arrêté qui devait être une avancée considérable pour les femmes a été révoqué une semaine seulement après son édiction, le 28 mai, sous la pression de groupes parlementaires religieux. Pourtant, il n’impliquait pas de sortir de la loi brésilienne sur l’interruption de grossesse. Cette pratique médicale n’est en effet autorisée dans le pays sud-américain, que dans trois cas : les grossesses qui mettent en danger la vie de la mère, celles issues d’un viol et enfin s’il y a anencéphalie du fœtus (absence totale ou partielle du cerveau qui provoque la mort du nourrisson). Dans tous les autres cas, l’avortementest interdit et une femme qui ne respecte pas cette interdiction encourt jusqu’à quatre ans de prison.


Les femmes qui viennent se faire avorter "passent par des situations humiliantes et vexatoires"
Patricia Rameiro, militante féministe regrette la décision du gouvernement brésilien "Cet arrêté avait pour but de garantir aux femmes un accueil digne, car aujourd'hui, celles qui arrivent pour avorter dans des hôpitaux publics, même dans les cas prévus par la loi, passent par des situations humiliantes, vexatoires. Comme il n'y a pas de loi décrivant l'accueil qui doit être fait à ces femmes, les médecins et les professionnels de la santé, non formés à ce genre de pratiques et désirant compliquer l'avortement, exigent tout un tas de garanties et de preuves, rendant souvent le service d'avortement légal inaccessible". Selon les données du ministère de la Santé brésilien, en 2012, 65 hôpitaux étaient habilités à pratiquer des avortements dans le pays et seulement 1626 interruptions de grossesse légales ont été effectuées, pour une population totale de 200 millions d’habitants.


Tous les deux jours, une femme meurt suite à un avortement clandestin
Devant cette difficulté d’accès à l’avortement au Brésil, les femmes se tournent vers une alternative dangereuse : l’avortement clandestin. Selon une étude de l’Organisation Mondiale de la Santé, un million d’avortements clandestins ont lieu chaque année dans le pays. Ces interruptions de grossesse non réglementées ne respectent aucune règle d'hygiène ou de sécurités. Conséquences : une femme meurt toutes les 48h des suites de cette pratique clandestine.






Voir aussi :


L'avortement "presque" légalisé au Maroc
Au Maroc, la loi sur l'avortement a été (légèrement) assouplie pour permettre aux femmes d'interrompre leur grossesse dans trois cas "de force majeur", précisément énoncés par le gouvernement. Une mesure encore insuffisante pour les associations féministes.


IVG: 95 % des femmes n'ont "aucun regret"
L’avortement, un acte médical encore souvent décrié, serait assumé par l'immense majorité de celles qui y ont recours. C'est ce que démontre une nouvelle étude américaine publiée dans la revue scientifique PLOS ONE: 95 % des femmes interrogées ont déclaré qu’elles n’avaient jamais regretté leur décision.

http://www.journaldesfemmes.com/societe/combats-de-femmes/1345406-avortement-bresil/

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discours de simone veil pour l avortement,femmes,feminisme,

2 Mai 2015, 02:22am

Publié par hugo

PolitiquePublié le 11 Mars 2015 par Causette


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« Je voudrais tout d’abord vous faire partager une conviction de femme – je m’excuse de le faire devant cette Assemblée presque exclusivement composée d’hommes : aucune femme ne recourt de gaieté de coeur à l’avortement. »





26 novembre 1974 : Simone Veil, ministre de la Santé sous la présidence de Giscard d’Estaing, défend l’autorisation de l’IVG devant une Assemblée nationale déchaînée, composée de 481 hommes et 9 femmes. « […] Vous accepterez, madame, de voir jeter [les embryons humains] au four crématoire », déclare un député à celle qui a réchappé aux camps d’Auschwitz. À l’extérieur, des manifestants antiavortement brandissent des tracts avec photos de cadavres de foetus, des cathos récitent des Ave Maria. Le 29 novembre à 3 h 40, la loi est adoptée avec 284 voix pour et 189 contre. Quarante ans après, nous vous disons encore et toujours : merci madame !





Vidéo d'archive de l'INA du JT de 20h du 12 nombre 1974 : la ministre de la Santé Simone Veil défend son projet de loi.









Publié le 11 Mars 2015
Auteur : Causette | Photo : Capture d'écran d'une vidéo INA
241 vues | 0 commentaire

https://www.causette.fr/le-mag/lire-article/article-1114/il-y-a-quarante-ans-simone-dans-la-ara-ne.html#

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Revue de presse internationale, 2 avril,femmes,droits,lois,avortement,

3 Avril 2015, 23:44pm

Publié par hugo



LESNOUVELLESNEWS - REVUE DE PRESSE > Nouvelles du monde >
Revue de presse internationale, 2 avril


Créé le jeudi 2 avril 2015 10:33 Écrit par Anne Collet

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Les filles et le sport ; Condamnée pour fœticide aux États-Unis ; Administratrices en Inde... la revue de presse internationale d'Anne Collet.


Les filles et le sport : le tournant des 7 ans


C''est à l'âge de 7 ans que les filles se détournent du sport car c'est l'âge où elles commencent à douter de leurs capacités physiques. Selon une étude menée à petite échelle par le Bureau des égalités du gouvernement britannique, c'est aussi à cet âge que les premiers stéréotypes sexistes font leur apparition. Quant aux garçons, 7 ans est l'âge où ils commencent à se sentir plus forts et plus puissants, et à se convaincre que le sport est une affaire exclusivement masculine, rapporte The Guardian.


Première condamnée pour fœticide aux États-Unis


Une habitante de l'Indiana, Purvi Patel, 33 ans, a été condamnée à 20 ans de prison pour fœticide. En 2013, elle avait donné naissance à un bébé mort-né, après avoir pris des médicaments abortifs. Elle est la première femme condamnée aux États-Unis au titre d'une loi sur le fœticide De telles lois existent dans 35 États, mais elles ne sont pas censées viser les mères. Citée par l'agence Associated Press, Lynn M. Paltrow, directrice de l'association National Advocates for Pregnant Women, juge cette première condamnation « effrayante ».


Menaces sur l'avortement au Québec ?


Le débat sur l'avortement fait rage au Québec, depuis que le Centre de santé des femmes de Montréal a mis la main sur un document de travail émanant du ministre de la Santé de la province, Gaétan Barrette. Ce dernier se défend de vouloir toucher à l'avortement alors que le document stipule que des quotas seront imposés aux médecins qui les pratiquent. Or, le nombre de médecins habilités étant déjà très restreint, il serait de plus en plus difficile d'avorter au Québec, souligne Radio Canada.


Marrakech bientôt une ville sûre pour les femmes ?


Dans le cadre de l'opération « Marrakech, ville sûre et amie de tous », lancée par l'ONU au Maroc en 2012, ONU Femmes a signé une convention avec la société des Transports publics de Marrakech afin d'améliorer la sécurité des femmes dans les bus de la ville. Il s'agit de sensibiliser les usagers par une campagne d'affichage et les chauffeurs de bus par le biais de la formation continue, rapporte Libération, qui précise qu'en milieu urbain deux Marocaines sur trois sont victimes de violences.


Administratrices a minima en Inde


En Inde, les 1479 entreprises cotées avaient jusqu'au 31 mars pour nommer au moins une femme au sein de leurs conseils d'administration. Et 189 d'entre elles, soit 13%, ne se sont pas conformées à cette règle à temps, note le Financial Express. Près de 200 autres ont annoncé des nominations à la dernière minute... et près de la moitié des nouvelles recrues sont des épouses et filles d'administrateurs, relève le site Business Today.


Lire aussi : Grandes entreprises indiennes recherchent administratrices

http://www.lesnouvellesnews.fr/index.php/revue-de-presse/69-femmes-dans-le-monde/4313-femmes-monde-02-04-2015

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IVG : les députés suppriment le délai de réflexion, malgré l'opposition de Marisol Touraine,ivg,sante,femmes,avortement,

19 Mars 2015, 22:27pm

Publié par hugo

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IVG : les députés suppriment le délai de réflexion, malgré l'opposition de Marisol Touraine
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La ministre de la Santé préconisait un "raccourcissement" du délai de sept à deux jours.
Le délai de réflexion de sept jours imposé aux femmes qui souhaitent avoir recours à une IVG a été supprimé par les députés, en commission dans la nuit de mercredi à jeudi 19 mars, en marge de l'examen du projet de loi Santé et ce malgré l'opposition de Marisol Touraine. La ministre de la Santé n'était, en effet, favorable qu'à un raccourcissement à 48 heures du délai.
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Les femmes souhaitant avoir recours à une interruption volontaire de grossesse (IVG) ne seront plus contraintes d'attendre le délai de réflexion de sept jours, entre la première et la deuxième consultation, pour avorter. En effet, les députés ont supprimé cette disposition de la loi Veil de 1975, dans la nuit de mercredi à jeudi 19 mars, lors de l'examen en commission des Affaires sociales du projet de loi sur la Santé de Marisol Touraine. Un délai jugé "infantilisant et stigmatisant" par Catherine Coutelle (PS), présidente de la délégation aux Droits des femmes de l'Assemblée.


La proposition avait déjà été avancée, il y a un mois, dans un rapport d'information parlementaire de la délégation. "La difficulté en l'espèce ne tient pas seulement au fait que (ce délai) a pour effet d'allonger le parcours de l'IVG, en imposant une même durée pour toutes, y compris celles qui sont parfaitement certaines de leur décision, mais aussi qu'il concourt à faire de l'avortement un acte médical à part", précise le document, ajoutant "qu'aucun délai de réflexion n'est imposé pour les autres actes médicaux", hormis pour l'assistance médicale à la procréation, la stérilisation à visée contraceptive et les opération de chirurgie esthétique.
Marisol Touraine plaide pour un "raccourcissement"
Catherine Coutelle, députée de la 2e circonscription de la Vienne, entend également avec cette mesure "éviter les refus de prise en charge, voire du dépassement du délai légal de 12 semaines" qui contraint certaines femmes à devoir se rendre dans des pays où les délais pour recourir à une IVG sont plus longs (18 semaines en Suède, 22 au Pays-Bas ou encore 24 semaines en Espagne et en Angleterre).
Si l'amendement a finalement été adopté par la commission, malgré l'opposition de certains parlementaires, comme l'UMP Arnaud Robinet qui a dénoncé une remise en cause de "l'équilibre de la loi Veil ", la ministre de la Santé Marisol Touraine s'est également dite défavorable à la mesure préconisée par la délégation aux Droits des femmes et plaidé pour un simple raccourcissement de la période de sept à deux jours. Un délai de réflexion déjà ramené à 48 heures par la loi en cas d'urgence, à savoir quand une femme qui souhaite une IVG se rapproche trop du délai légal de 12 semaines de grossesse. "Je ne suis pas certaine que ce soit par la suppression de ce délai que nous fassions progresser l'accès au droit", a expliqué Marisol Touraine. "Le passage de sept à deux jours avait été envisagé lors de la présentation d'un plan sur l'amélioration de l'accès à l'IVG en janvier, avant d'être retiré en catastrophe devant les risques de polémique", indique Le Monde .
Le nombre d'IVG reste stable depuis 1975
De polémique, il en avait déjà été question, il y a un peu plus d'un an, lorsque l'Assemblée nationale avait adoptée la suppression de la notion de " situation de détresse ", présente dans la loi Veil de 1975, pour élargir l'accès à l'IVG à toute femme qui "ne veut pas poursuivre sa grossesse". Certains membres de "L'Entente parlementaire pour la famille" (UMP) avait pointé un risque de " banalisation" de l'IVG. Des craintes démenties par les chiffres de la Direction de la recherche des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees) qui montrent que le nombre d'IVG, entièrement remboursées depuis 2013, demeurent stable depuis l'adoption de la loi, il y a quarante ans. Ainsi, chaque année en France, entre 210.000 et 220.000 femmes, en majorité les 20-24 ans, ont recours à l'avortement.
Evolution, en pourcentages et par tranches d'ages, des taux de recours à l'IVG de 1990 à 2011.
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XAVIER COLAS — Publié le Lundi 16 Mars 2015
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http://www.terrafemina.com/article/ivg-les-deputes-suppriment-le-delai-de-reflexion-malgre-l-opposition-de-marisol-touraine_a266172/1

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