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#TuSerasUnHommeMonFils : une campagne pour repenser l'éducation des garçons,egalite,

31 Mai 2018, 07:55am

Publié par hugo

 #TuSerasUnHommeMonFils : une campagne pour repenser l'éducation des garçons
La Fondation des Femmes lance ce mercredi 30 mai une nouvelle campagne de sensibilisation adressée aux hommes et futurs hommes.
Clics à la une
Marie-Pierre Haddad

00:20
02:38

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Clics à la une du 30 mai 2018
Crédit Image : Unsplash/Alp Studio | Crédit Média : Marie-Pierre Haddad | Durée : 02:38 | Date : 30/05/2018
La page de l'émission
Arièle Bonte 
Journaliste
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publié le 30/05/2018 à 11:26
 
#TuSerasUnHommeMonFils
"Les violences faites aux femmes ce n’est pas que l’affaire des femmes, elles concernent aussi les hommes", pose d'emblée Anne-Cécile Mailfert, présidente de la Fondation des Femmes qui lance ce mercredi 30 mai une nouvelle campagne intitulée #TuSerasUnHommeMonFils.
À travers un clip vidéo réalisé par Jérôme de Gerlache, la Fondation des Femmes s'adresse "aux hommes et futurs hommes", c'est-à-dire à un nouveau public "qui peut-être n’entend pas encore le propos de l’égalité entre les femmes et les hommes", a ajouté Anne-Cécile Mailfert à l'occasion du lancement de cette campagne, qui s'est déroulé au sein du Collège Néerlandais de la Cité universitaire de Paris.
Ce nouveau discours, qui pointe l'importance de l'éducation à l'égalité auprès des jeunes garçons notamment, est mis en voix par le rappeur Oxmo Puccino. "Si tu sais être fort sans être violent, si tu sais soutenir sans vouloir dominer, tu seras un homme mon fils", "si tu sais regarder une femme sans qu'elle n'ait à craindre ton regard, tu seras un homme mon fils", scande Oxmo Puccino dans ce clip vidéo qui sera diffusé sur plusieurs chaînes télévisées, dont M6, avant des matchs de football notamment.
À lire aussi
égalité hommes-femmes
Égalité : des jeux de société pour lutter contre les préjugés sexistes
 
 
 
Un gain d'égalité pour les femmes comme les hommes
À l'occasion du lancement de la campagne, la Fondation des Femmes a également dévoilé les résultats d'une étude (1) menée en partenariat avec Kantar sur le sujet de l'égalité entre les femmes et les hommes et l'importance de l'éducation des plus jeunes.
Parmi les chiffres les plus parlants de cette étude, plus de la moitié des hommes de moins de 35 ans (58%) pense qu'"être un homme", c'est "être le meilleur", tandis que 37% juge qu'il ne faut pas pleurer. Concernant l'éducation des plus jeunes sur les questions d'égalité, l'étude montre qu'une majorité des personnes interrogées (67%) la trouve insuffisante. D'où l'importance de s'interroger sur nos méthodes d'éducation qu'elles soient adressées aux petites filles comme aux petits garçons. Car à la clé, il s'agit non pas d'une perte de droits pour les hommes mais d'un gain d'égalité confirme Delphine Dulong, enseignante-chercheuse en science politique à l’université Paris I.
"Les femmes sont les premières victimes des violences mais les garçons aussi : ceux qui la subissent, notamment à l’école, et ceux qui l’exercent. Ce sont souvent les plus exposés aux sanctions, aux décrochages scolaires, aux risques en général", explique la chercheuse avant d'ajouter : "partout dans le monde les taux de suicide sont plus importants chez les hommes que chez les femmes, montrant alors qu’il y a des questions à se poser sur qu’est-ce que c’est qu’être un homme". Le débat est ouvert.

(1) "Le regard des Français sur l'égalité entre les femmes et les hommes", étude menée par TBWA/C et la Fondation des Femmes, du 18 au 22 mai, sur un échantillon de 1005 personnes, représentatif de l'ensemble de la population âgée de 18 ans et plus, utilisant la méthode des quotas.
La rédaction vous recommande

http://www.rtl.fr/girls/identites/tuserasunhommemonfils-une-campagne-pour-repenser-l-education-des-garcons-7793581448

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Telle que tu me vois : l'histoire touchante d'une fille qui aurait dû être un garçon,sante,sexes,

31 Mai 2018, 07:50am

Publié par hugo

 Témoignage
Telle que tu me vois : l'histoire touchante d'une fille qui aurait dû être un garçon
Publié le 25 mai 2018
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 Emilie Cuisinier
Journaliste, prof de yoga pour enfants, heureuse néo-Auvergnate, folle de balades zen, de grandes tablées et de soirées entre filles.
Plastic attack : agir pour changer l'industrie alimentaire
"La Révolution Dolto" : comment une femme a révolutionné l'enfance
J’ai lu "Les Profils émotionnels" : un guide pour changer notre regard sur nous-même
Tous ses articles
 
Telle que tu me vois, d'Elodie Lenoir
© Ed. La Martinière
Elodie Lenoir est née garçon mais a grandi comme une fille : elle est atteinte du syndrome de l'insensibilité aux androgènes. Dans "Telle que tu me vois", elle raconte son parcours, du choc de l'annonce à son combat pour devenir maman. Un livre délicat et plein d'humour.
Je teste
les produits
 
Jeu-concours "Mon intimité en toute sérénité" avec Natracare
Elodie a 28 ans, elle est jolie et très féminine. Pourtant, elle est née "xy" : son patrimoine génétique est celui d'un garçon mais elle a tous les attributs d'une femme ou presque : il lui manque un utérus. Elodie est atteinte du syndrome, rare et mal connu, de l'insensibilité aux androgènes (SIA). Il bloque la réception de la testostérone dans son cerveau. Née garçon, Elodie a donc poursuivi son développement comme une fille.
Sa maladie, Elodie l'a découverte lorsqu'à 15 ans : alors que ses règles tardent à arriver, elle questionne ses parents qui lui avouent savoir ce dont elle souffre. Une échographie plus tard, elle découvre, en lieu et place de son utérus, "un trou noir"... qui devient alors, pour Elodie, synonyme de "vide abyssal". La jeune fille vit alors une "période de rupture". Si elle ne se projette pas vraiment sur les conséquences pour sa vie de femme en devenir, elle ressent une gêne certaine car, contrairement à ses amies, elle n'aura jamais ce "signal" qui lui permettra de passer de l'enfance à l'âge adulte.
A lire sur FemininBio : J'ai eu et j'élève un enfant seule
Dans son livre, "Telle que tu me vois", écrit en collaboration avec Emmanuelle Behloradsky aux éditions La Martinière, Elodie  Lenoir raconte comment elle parvient à se forger un destin de femme avec ce syndrome hors norme. Dans ce récit, empreinte d'une grande délicatesse et de beaucoup d'humour, elle nous donne une vraie leçon de vie, de courage et d'amour.
A lire sur Femininbio : "Vivre avec l'endométriose
La prévalence du syndrome d'insensibilité totale aux androgènes, aussi appelé "testicule féminisant", est estimée entre 1 personne sur 20 000 à 1 personne sur 99 000. Pour en savoir plus, rendez-vous sur le groupe de soutien au Syndrome de l'insensibilité aux androgènes qui aide les personnes en souffrance à sortir de l'isolement.
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Mots-clés
chronique livre biographie

https://www.femininbio.com/sante-bien-etre/actualites-nouveautes/telle-que-tu-me-vois-l-histoire-d-fille-qui-aurait-etre-garcon-93026

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La loi alimentation - Le Moment Meurice,lois

31 Mai 2018, 07:45am

Publié par hugo

La loi alimentation - Le Moment Meurice
Le Moment Meurice - (30 Mai 2018 - André-Joseph Bouglione) Guillaume a rencontré des députés de la majorité qui ne vote pas exactement comme on leur dit.... Retrouvez " Le Moment Meurice " dans Par Jupiter ! sur France Inter et sur https://www.franceinter.fr/emissions/le-moment-meurice
 
https://www.youtube.com/watch?v=an4ceg0ZOwU
https://www.youtube.com/watch?v=an4ceg0ZOwU

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Le parti médiatique : assurance vie de l'oligarchie - #eFi3

31 Mai 2018, 07:39am

Publié par hugo

Le parti médiatique : assurance vie de l'oligarchie - #eFi3
Le 3e cours de l'école de formation insoumise porte sur le parti médiatique et était assuré par Antoine Léaument, responsable de la communication numérique de la France insoumise et rédacteur du site https://le-bon-sens.com et Lucas Gautheron, insoumis rédacteur du blog https://la-physis.fr. Participez sur les réseaux sociaux avec le hashtag #eFi3.
 
 
https://www.youtube.com/watch?v=qf265J83eW0
 

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SERGE DASSAULT, MAMOUDOU GASSAMA, IMMIGRATION, SNCF, TABAGISME - Le Bon Sens,politiques,

30 Mai 2018, 09:29am

Publié par hugo

 SERGE DASSAULT, MAMOUDOU GASSAMA, IMMIGRATION, SNCF, TABAGISME - Le Bon Sens
3 011 vues
Le lundi 28 mai, j'étais l'invité de Punchline. Nous avons d'abord évoqué le décès de Serge Dassault ; j'ai parlé de sa contribution à la souveraineté militaire de la France avec la construction du Rafale mais ai dénoncé son statut d'ultrariche caricatural qui achète un média pour faire passer ses idées et les intérêts de son groupe.
Nous avons ensuite parlé de la naturalisation de Mamoudou Gassama, que j'ai saluée. Surtout, j'ai indiqué que sa situation permettait de donner un visage humain à l'immigration et de faire comprendre que les gens ne partent pas de chez eux par plaisir. J'ai expliqué que les réfugiés climatiques seraient plus de 250 millions d'ici 2050 et qu'il allait falloir régler ce problème par la solidarité humaine. J'ai également dénoncé les politiques de libre-échange qui poussent à l'émigration en détruisant les économies vivrières et j'ai indiqué qu'il fallait défendre un monde ordonné sous l'égide de l'ONU pour régler ces problèmes internationaux.
Autre sujet abordé : le procès du bijoutier de Nice, qui avait abattu son braqueur de 19 ans il y a quelques années. J'ai expliqué que le problème principal dans ce cas était la circulation des armes et j'ai dit qu'il fallait que l'État lutte contre les trafics.
Concernant la grève à la SNCF, j'ai rappelé que faire la grève signifiait perdre du salaire et qu'on ne pouvait pas ne pas prendre cet élément en compte quand on parle de la mobilisation. J'ai aussi expliqué que la réforme de la SNCF était une demande de la Commission européenne avec l'ouverture du rail à la concurrence.
Enfin nous avons parlé de la baisse du nombre de fumeurs et j'ai rappelé que la France insoumise avait proposé par amendement que les substituts du tabac soient remboursés par la Sécurité sociale.
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#RDLS64 : COLOMBIE, ITALIE, EUROPE, 26 MAI, MÉDIAS, RÉFORME INSTITUTIONNELLE,politques,

30 Mai 2018, 09:10am

Publié par hugo


JEAN-LUC MÉLENCHON
 
Ajoutée le 28 mai 2018
Abonné 376 k
 
Dans ce 64e numéro de la Revue de la semaine, Jean-Luc Mélenchon parle d'abord de l'Amérique latine et revient sur le résultat du premier tour de l'élection présidentielle en Colombie, puis sur la situation au Brésil et au Mexique. Il analyse ensuite la situation issue de l'élection italienne et la décision du président de la République de nommer Carlo Cottarelli, ancien responsable du FMI, à la tête d'un gouvernement italien de transition. Jean-Luc Mélenchon explique ensuite comment, en Espagne, le parti médiatique s'en prend à Pablo Iglesias et sa compagne Irene Montero avec des méthodes indignes. Il tire ensuite le bilan du 26 mai et analyse le traitement médiatique de cet évènement. Enfin, il salue le courage de ceux qui se battent pour changer les choses et en particulier celui de Philippe Christmann qui vient de remporter un procès.
***SOMMAIRE***
- 00:24 : La situation politique en Amérique latine : l’élection présidentielle en Colombie, au Brésil et au Mexique
- 07:01 : La situation politique en Italie
- 12:23 : En Espagne, les attaques du parti médiatique contre Podemos
- 16:26 : Le traitement médiatique du 26 mai
- 23:02 : L’analyse politique du 26 mai
- 31:14 : L’actualité de l’Assemblée nationale et la réforme institutionnelle
- 34:06 : Les insoumis agissent
- 35:26 : Soutien à Philippe Christmann
- 37:32 : Les propos de Gérard Collomb
***LES LIENS***
- En Colombie, la droite brandit la menace du « castro-chavisme » : https://www.lemonde.fr/ameriques/arti...
- En Colombie, le tribun de gauche crée la surprise : http://www.liberation.fr/planete/2018...
- Italie: le chef de l'Etat convoque lundi Carlo Cottarelli, un ancien du FMI : http://www.rfi.fr/contenu/ticker/ital...
- Espagne: la motion de censure contre Rajoy débattue jeudi et vendredi : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/201...
- Intervention sur le bien-être animal à l'Assemblée nationale : https://youtu.be/y28hfSAa06g
***RETROUVEZ JEAN-LUC MÉLENCHON SUR***
- Le site de la France insoumise : https://lafranceinsoumise.fr/
- Le blog : http://melenchon.fr
- Facebook : https://www.facebook.com/jlmelenchon/
- Twitter : https://twitter.com/JLMelenchon
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- Periscope : https://www.periscope.tv/JLMelenchon
Si vous souhaitez aider, vous pouvez rejoindre l'équipe qui rédige bénévolement les sous-titres de cette chaîne YouTube en écrivant un mail à l'adresse : traducteurs.insoumis@gmail.com ou en contribuant sur : http://bit.ly/2tsLipD.
 
https://www.youtube.com/watch?v=dG4k4yWkGuA

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Des affiches #MerciSimone (Veil) pour son entrée au Panthéon !,femmes,feminisme,ivg

30 Mai 2018, 09:04am

Publié par hugo

 Des affiches #MerciSimone (Veil) pour son entrée au Panthéon !
Par Mymy | 28 mai 2018 | 2 Commentaires
#MerciSimone est de retour cet été ! Le collectif de Street Art lance un nouveau tirage avec une édition spéciale pour l'entrée de Simone Veil au Panthéon. Viens les aider à financement leur crowdfunding.
 
Mise à jour du lundi 28 mai 2018 — Après avoir fleuri dans les rues le 8 mars, les affiches #MerciSimone sont de retour pour célébrer l’entrée de Simone Veil au Panthéon, le 1er juillet 2018.
Pour l’occasion, le collectif de Street Art souhaite imprimer de nouveaux posters #MerciSimone avec une édition spéciale pour sa panthéonisation.
Afin de financer ce tirage, une campagne Ulule a été lancée récemment.
Le vendredi 1er juin, ce crowdfunding est officialisé lors d’un apéro #MerciSimone à la galerie des Batignolles, rue Lemercier à Paris, dès 19h.
 
Le collectif propose à toutes et tous de ramener T-shirt, pulls ou sacs en toile pour se faire floquer le tampon #MerciSimone.
Toutes les infos sur l’event Facebook et le site Internet. Pour faire un don au collectif, ça se passe sur Ulule, juste ici.
Publié le 13 février 2018 — Le 8 mars, comme chaque année, le monde célèbrera la Journée Internationale des Droits des Femmes.
À lire aussi : Pourquoi le #8mars n’est toujours pas la fête des gonzesses
Cette initiative vise à attirer l’attention sur les discriminations frappant actuellement les femmes dans divers pays, mais aussi à célébrer celles qui font changer les choses !
Et au Panthéon des femmes ayant amélioré la situation de leurs consœurs, il y a Simone Veil, qui a donné son nom à la loi légalisant l’IVG en France.
À lire aussi : Hommage à Simone Veil, et à ce que je lui dois : le droit de choisir
Simone Veil est décédée le 30 juin 2017, alors pour ce premier 8 mars « sans elle », un collectif a décidé de la mettre à l’honneur. En disant #MerciSimone !
#MerciSimone pour le 8 mars
#MerciSimone est un projet de financement participatif sur Ulule, qui propose des affiches disant « Merci Simone » (logique) !
Pour 5€, on a un petit format (40cm x 60cm), pour 15€ un grand (100cm x 130cm), pour 29€ un sweat unisexe… à partir de ce montant, des fonds sont reversés à l’association Féminisme populaire.
Et en plus, les affiches sont livrées avec une recette pour faire de la colle chez vous !
Féminisme populaire, une association fondée en 2006, se définit comme « une convergence de solidarité féministe réunissant des membres individuels d’une grande diversité de parcours », et vise à « agir pour toutes les femmes ».
Où peut-on coller des affiches #MerciSimone ?
Pour rappel, il est légal de coller des affiches à certains endroits, illégal à d’autres (le fameux « affichage sauvage »).
À Paris, par exemple, ce sont les mairies d’arrondissements ou les Maisons de la Vie Associative et Citoyenne qui gèrent les endroits où les associations ont le droit d’afficher.
Avant de coller, renseignez-vous auprès de votre mairie !
#MerciSimone, « l’élan des nouvelles générations et le soutien des anciennes »
Je trouve cette initiative très jolie, surtout quand je lis sa description :
« Pour la journée de la Femme, le 8 mars prochain, nous lançons un appel aux millions de Simons & Simones et vous donnons rendez-vous pour afficher.
À nous d’écrire le reste de notre histoire et de nous battre pour le droit des Femmes.
Ce rendez-vous sera l’occasion de nous rappeler que le combat pour l’égalité et la paix continue avec l’élan des nouvelles générations et le soutien des anciennes. »
Pour commander vos affiches #MerciSimone, c’est par ici ! Et pour plus de trucs cool à coller, n’oubliez pas que les stickers madmoiZelle sont aussi cool que gratuits ♥
À lire aussi : Simone Veil face à l’extrême-droite, un monument de courage dont il faut se souvenir
Tous les articles Actu en France Société
Les autres papiers parlant deFéminismeJournée internationale des droits des femmesStreet Art

http://www.madmoizelle.com/simone-veil-street-art-8-mars-886679

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L’errance de Blandine, réfugiée congolaise violée par des soldats, en quête d’une vie meilleure,femmes,viol

30 Mai 2018, 08:55am

Publié par hugo

 L’errance de Blandine, réfugiée congolaise violée par des soldats, en quête d’une vie meilleure
Par Esther | 29 mai 2018 | Aucun Commentaire
Blandine a fui la République Démocratique du Congo en 1997 pour échapper aux violences, notamment sexuelles. Depuis, son parcours l'a amenée dans de nombreux autres pays, sans qu'elle puisse pour l'heure rentrer chez elle.
Esther est partie à la rencontre des Sénégalaises durant trois semaines. Elle a réalisé interviews, portraits, reportages, qui s’égrainent au fil des jours sur madmoiZelle.
Pour retrouver le sommaire de tous les articles publiés et la genèse du projet, n’hésite pas à jeter un œil à l’article de présentation : madmoiZelle en reportage au Sénégal !
Précédemment : Réfugiées à Dakar, des femmes racontent leur quotidien et leurs parcours
Pendant que les membres du groupe de femmes réfugiées dont je vous parlais dans un article précédent s’affairent de nouveau dans la préparation du savon qu’elles produisent, je m’assois face à Blandine*.
Tout au long de la journée, j’ai senti qu’elle avait des choses à dire, sans oser venir me voir directement. Suite aux messages d’encouragements d’une autre membre du groupe, je lui propose qu’on discute.
Je commence par lui demander depuis quand elle vit au Sénégal, mais comme beaucoup d’autres, elle me répond que « c’est compliqué ».
Son récit débute en 1997, alors que Mobutu, despote régnant sur la République Démocratique du Congo, s’apprête à tomber face à son futur remplaçant, Joseph Kabila.
« Mon mari faisait du commerce. Régulièrement, il faisait des trajets dans les régions, avant de revenir à Kinshasa [ndlr : la capitale]. Un jour, je lui ai proposé de faire le trajet avec lui et on est partis ensemble.
Mais à ce moment-là, les pro-Kabila et les pro-Mobutu s’affrontaient déjà. Kabila avait formé des régiments de mercenaires, parmi lesquels les Maï-Maï. Ils ont kidnappé mon mari, pour le forcer à combattre auprès d’eux. »
Blandine devint captive au même moment. Mais sa guerre à elle ne se déroulait pas au front. Elle m’explique, en fixant la toile cirée qui nous met à l’ombre, prenant soin d’éviter mon regard :
« Nous les femmes nous étions prisonnières à disposition des soldats. Le viol je l’ai vécu plusieurs fois, c’était régulier. »
À lire aussi : Le documentaire « Syrie, le cri étouffé », sur le viol de femmes, est en replay
Jusqu’à ce qu’elle parvienne à convaincre un soldat de les faire s’évader, elle et son mari.
« Je n’avais pas vu mon mari depuis deux semaines. Par l’intermédiaire du mari d’une autre femme j’ai su qu’il était blessé et ne pouvait pas revenir.
Au début le soldat ne voulait pas m’aider, mais il a fini par organiser notre sortie. Il parlait ma langue car il était aussi originaire de la capitale, ça a beaucoup aidé.
On a pris une pirogue et on a traversé vers le Congo Brazzaville. »
Réfugiée, une vie d’errance ?
Mais le Congo Brazzaville ne semble pas suffisamment éloigné du danger lorsqu’on a eu des proches qui ont travaillé à la présidence du temps du dictateur déchu Mobutu.
Après avoir travaillé dans les mines de charbon pour faire un peu d’argent, le couple décide de fuir vers le Cameroun car « là-bas c’était stable, c’était la paix ».
« On a fait le trajet dans les remorques qui transportaient du bois. Quand on passait les frontières si il y avait des gardes, il fallait descendre et passer par les tropiques, avec des gens qui connaissaient le chemin car on n’avait plus de papiers. »
Blandine et son mari rejoignent ainsi Douala, où ce dernier peut faire soigner sa jambe, enfin. Au bout de quelques mois ils décident de rejoindre la tante de Blandine au Niger.
« Mais là-bas, on vivait chez elle, on ne pouvait pas travailler… On ne pouvait pas construire une vie comme ça. Un cousin est revenu de Libye où il travaillait et quand il est reparti, on est repartis avec lui.
La Libye, c’était bien. On avait du travail, c’était stable sous Khadafi. Mais au moment où les guerres ont commencé à éclater, Khadafi a dit à ses soutiens que l’opposition se servait des étrangers pour les tuer. Donc c’est devenu très dangereux pour les noirs, des gens faisaient du porte à porte pour les trouver dans les maisons. »
À lire aussi : Dina, réfugiée digne et bouleversante de la guerre en Libye, raconte son histoire dans EXILÉES
Après quelques années de vie paisible qui ont permis au couple de donner naissance à deux enfants, c’est de nouveau le début de l’errance.
« Le patron de mon mari nous a dit « il faut que je vous fasse sortir du pays, ça devient trop dangereux ». Il a tout payé pour nous, tout le trajet jusqu’au Sénégal car il appréciait le travail de mon mari. »
La famille traverse la frontière de l’Algérie, pour rejoindre le Mali.
« Le chauffeur nous a dit « je vais vous déposer dans cette maison pour la nuit, je reviens vous chercher demain matin ». Mais pendant la nuit des touaregs sont venus, avec des couteaux, pour tout nous prendre.
Ils m’ont violée. Et le lendemain le chauffeur est revenu, peut-être qu’il savait que les touaregs faisaient ça. Ma fille avait 8 ans, elle se souvient de cette nuit-là. »
Lorsque je lui demande si elle a reçu un quelconque soutien psychologique, une thérapie, Blandine explique simplement avoir fait des tests à l’hôpital au Mali :
« Heureusement grâce à Dieu je n’avais pas d’infections. »
« Une fois arrivées ici, on rencontre toutes les mêmes problèmes »
Aujourd’hui, comme ses camarades du groupe de femmes, elle désespère d’avoir « une bonne vie ».
« Ici, on n’a pas le statut de réfugiés. C’est dur hein. Moi je travaille, je suis gardienne pour une société de sécurité. Mon mari faisait pareil mais l’entreprise a fait faillite alors pour l’instant il est au chômage.
C’est très dur car on n’a pas de moyens. Mon mari suit une formation en plomberie donnée par Caritas… C’est Caritas qui paie aussi la scolarisation de mes enfants.
Pour la santé c’est compliqué, le HCR ne fait rien pour nous qui n’avons pas le statut de réfugié. »
Blandine souhaiterait retourner à Kinshasa, mais « les billets sont trop chers, on n’arrive déjà même pas à payer le loyer et à fournir pour l’alimentaire. »
À lire aussi : « Il y a plein de gens qui veulent reconstruire la Syrie » : Hala, Aïsha et Ayat racontent leur vie de réfugiées au Liban
Elle remonte ses manches, manifestant l’envie de retourner aider à la production du savon au beurre de karité.
Il est 17h et le groupe de femmes a encore dix bacs à faire, avant de revenir démouler et découper le tout dans deux jours. « Pour ne pas devenir folles », avoir une activité, comme elles le mentionnaient au début de notre rencontre.
*Les prénoms ont été modifiés
Sommaire madmoiZelle en reportage au Sénégal
Tous les articles Actu dans le Monde Société Témoignages

Les autres papiers parlant deAfriqueCrise des réfugiésLa vie des madmoiZelles dans le monde
http://www.madmoizelle.com/refugiee-rdc-temoignage-916079

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La Palestine, le sport, les femmes : questions de Moussaoah (égalité),femmes,sport,

30 Mai 2018, 08:50am

Publié par hugo

 29 mai 2018
DÉBATS
La Palestine, le sport, les femmes : questions de Moussaoah (égalité)
 
Comme dans tous les pays du monde, l’accès des femmes aux sports a été et est encore un enjeu de luttes. Pour elles, l’accès aux pratiques sportives a, de tous temps et en tous lieux, interrogé le système social et politique. Et on peut dire que l’enjeu de l’appropriation du corps des femmes est la pierre angulaire d’un système sportif qui a d’abord commencé à les exclure, puis, face à la montée des revendications, à les minimiser et les ségréguer. Il a fallu attendre les JO de Londres (2012, pas ceux de 1948 …) pour que les mêmes épreuves soient ouvertes aux femmes comme aux hommes ! Depuis 30 ans, la Fédération Sportive et Gymnique du Travail co-anime, avec des professeur.e.s EPS palestiniennes, des sessions de formation « sport pour tous.tes ».
L’éducation physique, un levier d’émancipation ?
Très souvent utilitaire (la santé, la forme…) l’éducation physique devient fréquemment pour les filles un vecteur des stéréotypes les plus éculés mais les plus tenaces : être une bonne mère et une épouse disponible. C’est à ce titre (ne pas gâcher leur féminité) que de nombreuses activités sont restées interdites pour les filles et les femmes. C’est aussi à ce titre que les sportives doivent encore subir les diktats vestimentaires oscillant entre quasi nudité (beach volley) et recouvrement (autorisation du port du voile depuis les J.O. de Londres).
Les sociétés regardent donc attentivement le développement des pratiques féminines comme enjeu de démocratisation du sport et d’émancipation des femmes. En outre, il s’agit également de débarrasser la «planète sport » des scories de la financiarisation, du vedettariat, de la médiatisation qui vénère et exclut toujours les mêmes…les maladroit.e.s, les pauvres, les faibles….
En Palestine, développer un sport alternatif, sans domination, participe à la construction d’une société palestinienne plus active et plus revendicatrice. Le sport populaire est une des réponses… La Fédération Sportive et Gymnique du Travail (FSGT), née en 1934, est une des fédérations les plus emblématiques de cette orientation. Elle s’enrichit également de coopérations avec les peuples les plus démunis (Sahraouis), les plus spoliés (Palestine) ou les plus marginalisés (population sud africaine pendant l’apartheid).
En Palestine : trois décennies de coopération
Plusieurs projets de développement d’activités physiques et sportives se sont succédés depuis 30 ans, en particulier des sessions de formation « sport pour tous.tes » co-animées avec des professeur.e.s EPS palestiniennes.
Militantes syndicales, intéressées par le développement d’un sport accessible à tous-tes, nous avons construit progressivement avec elles des contenus adaptés à la situation culturelle complexe de la Palestine en général et des femmes en particulier. Les activités sportives n’échappent pas à cette situation pour le moins singulière.
D’un point de vue éducatif, si la Palestine est un pays fortement scolarisé, comme dans d’autres pays arabes, elle a tendance à privilégier certaines disciplines d’enseignement comme l’éducation religieuse, les mathématiques et les sciences ou encore les langues étrangères, tandis qu’il est consacré moins de temps à l’enseignement des sciences sociales, des arts, de l’éducation physique et de la technologie. L’enjeu concerne donc tout à la fois la place des activités sportives dans l’école et la société, leur contenu mais aussi leur accès pour la population qui en est la plus éloignée : les filles et les femmes. En interrogeant la place des femmes dans ce processus, c’est bien sûr leur place en général dans la société qui est questionnée : nature des pratiques investies, lieux, visibilité, popularisation…
Les formations
Au fur et à mesure de nos stages, nous avons rencontré des dizaines de femmes intéressées par nos propositions. En renouvelant une pensée pédagogique sur les sports, nous contribuons avec elles à enrichir un patrimoine éducatif où les apprentissages, les jeux, les savoirs sportifs doivent subir une profonde révolution culturelle. D’un modèle transmissif, répétitif et sélectif, formule dominante du système scolaire palestinien (mais pas seulement), nous envisageons une autre voie de développement pour le sport où les jeux occupent une place prépondérante. Cela ne peut être que bénéfique pour les filles qui, hormis les 45 minutes consacrées à l’éducation physique à l’école, ont très peu accès à des activités sportives.
Les projets se sont développés dans plusieurs villes. Cela concerne de nombreuses associations voulant développer des pratiques à l’usage de publics habituellement moins concernés par les pratiques sportives : clubs sportifs, association de femmes, municipalités ou association pour les personnes en situation de handicap…
L’organisation de chaque stage est réellement un enjeu
Dans un environnement fortement contraint, la scolarisation a cependant bien des réussites. La Palestine est le seul pays arabe qui scolarise 100% des filles. L’éducation physique existe même si les conditions (horaires, matériels) ne permettent pas un réel développement des compétences des enfants. Il est donc important de proposer des contenus rapidement transposables dans le contexte palestinien, par exemple, une organisation pédagogique rationnelle pour que tous les enfants jouent (les effectifs sont pléthoriques), l’utilisation optimum de matériel sportif simple et peu onéreux (des frisbee, par exemple) et une entrée dans les activités par le jeu afin de libérer au maximum l’imaginaire et les vitalités.
 
Ensuite, il s’agit de permettre aux stagiaires les moyens de suivre le cycle de formation, aujourd’hui constitué de 5 sessions d’1 semaine chacune. Pas facile dans une société où les femmes assurent largement les taches domestiques… Le changement de leur statut marital est un souvent un obstacle à la poursuite de la formation… Mais il est courant que les femmes participent aux stages en étant enceintes de plus de 8 mois ou avec des enfants en très bas âge et nous considérons ces faits comme un véritable besoin de rencontres et de débats.
Mais les contraintes les plus importantes concernent les conditions de vie dévolues aux femmes palestiniennes. La société, très dé-mixée ne contribue pas à développer les activités sportives féminines. Peu de clubs féminins, très peu d’accès aux installations sportives et aux piscines, un habillement peu propice au développement des pratiques et surtout la quasi impossibilité de pratiquer sous des regards extérieurs…. L’organisation de chaque stage devient alors un enjeu et il est parfois difficile de concilier nos exigences et leurs habitudes culturelles.
Le sport moyen d’épanouissement personnel, vecteur d’intégration sociale …
Dans cette société très dé-mixée où les partages de rôle selon le sexe sont encore très prégnants, l’appropriation des pratiques sportives par les femmes ouvre de nouveaux espaces de réflexion sur l’usage du temps personnel. On a ainsi pu remarquer lors des débats sur le sens et les enjeux des pratiques qu’elles étaient d’abord sensibles aux regroupements collectifs offert par ces nouveaux espaces. Elles expriment souvent le besoin d’échanger, de pouvoir exprimer leurs problèmes spécifiques d’enseignantes, de femmes, de mères ou d’épouses… Ces stages leur ouvrent un nouvel intervalle en leur permettant de quitter provisoirement leur espace familial et d’entretenir des réseaux de sociabilité et professionnel qui leur font tant défaut. Le sport moyen d’épanouissement personnel, vecteur d’intégration sociale, qui modifie les représentations et bouscule les stéréotypes joue alors d’autant mieux son rôle de lien social…
Les valeurs associées à l’éducation sportive par le jeu peuvent être un levier pour la transformation sociale de la société palestinienne. Ces valeurs interviennent sur le plan psychologique, culturel, éducatif, pédagogique et symbolique. Tout en étant un atout supplémentaire de lutte pour l’égalité entre les femmes et les hommes, ce travail de diffusion des activités physiques sportives pour l’ensemble de la population pourrait permettre la déconstruction d’une vision élitiste du sport.
C’est à cela que nous espérons contribuer.
 
Nina Charlier, Lydia Martins Viana, Anne-laure Goulfert, Mylène Douet Guerin
Programme inter-associatif pour le développement d’une éducation physique et sportive émancipatrice pour tou.te.s de la FSGT

http://www.50-50magazine.fr/2018/05/29/la-palestine-le-sport-les-femmes-questions-de-moussaoah-egalite/

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Simone Veil : des affiches pour célébrer son entrée au Panthéon

30 Mai 2018, 08:49am

Publié par hugo

 Simone Veil : des affiches pour célébrer son entrée au Panthéon
Un collectif de street-art lance une campagne de financement participatif pour rendre hommage à l'ancienne ministre de la Santé et rescapée de la Shoah.
Pour célébrer la journée internationale des droits des femmes, des militantes féministes ont placardé des affiches "Merci Simone" 0 Paris, le 8 mars 2018.
Crédit : GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP
publié le 29/05/2018 à 12:18
Le 1er juillet 2018, Simone Veil sera la cinquième femme à faire son entrée au Panthéon. Pour rendre hommage à l'ancienne ministre de la Santé, décédée le 30 juin 2017 à l'âge de 89 ans, "Merci Simone", un collectif de street-art, lance une nouvelle campagne de financement participatif sur la plateforme Ulule. L'objectif est de récolter des fonds pour financer l'impression et le collage d'affiches à l'effigie de cette femme politique qui s'est battue pour défendre les droits des femmes.
"Nous lançons un appel aux millions de Simons et Simones, qui souhaitent lui rendre un hommage national en affichant ce cri d'amour collectif pour lui dire tout simplement MERCI !", écrivent les membres du collectif sur la plateforme, qui avaient déjà lancé une campagne similaire le 8 mars 2018, à l'occasion de la Journée internationale des droits des femmes.
Celles et ceux qui veulent participer peuvent donner 5 ou 12 euros et receveront des affiches à coller sur des murs dans la rue pour dire merci à cette ancienne rescapée de la Shoah qui s'est battue pour la légalisation de l'avortement en France.
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L'ancienne ministre et présidente du Parlement européen sera inhumée au Panthéon, le 1er juillet prochain. Elle y reposera avec son époux, Antoine Veil.
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http://www.rtl.fr/girls/societe/simone-veil-des-affiches-pour-celebrer-son-entree-au-pantheon-7793568943

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