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EN AUSTRALIE, L'ÉGALITÉ DES SEXES INTÉGRÉE AU PROGRAMME SCOLAIRE,femmes,hommes,egalite, parite,

3 Novembre 2016, 00:02am

Publié par hugo

EN AUSTRALIE, L'ÉGALITÉ DES SEXES INTÉGRÉE AU PROGRAMME SCOLAIRE
DATE DE PUBLICATION : 18/10/2016 À 15:07 | COMMENTAIRE (0) Enfants amis à l'école 
Le programme se nomme "Respectful Relationships". Il a été pensé pour encourager l'égalité des genres afin d'aller à l'encontre des stéréotypes de notre société et lutter contre le sexisme.
Dès 2017, l'État de Victoria en Australie (dans le sud-est du pays) mettra en place un nouveau programme dédié à en finir avec les inégalités des sexes, le sexisme ordinaire et les violences faites aux femmes.
 
 
"Respectful Relationships" se base sur la tolérance et la prise de conscience pour faire évoluer les mentalités dès le plus jeune âge. Comme l'explique une des professeure en charge du programme, Sue mcGowan : "Nous savons qu'un changement culturel est nécessaire et que l'éducation peut jouer un rôle à par entière. Il a été prouvé que les écoles et les services à la petite enfance peuvent avoir un rôle puissant qui changera les futures générations"
 

 
Le programme prendra ainsi effet en 2017 auprès des enfants scolarisés à l'école primaire, dans les collèges et dans les lycées. Chaque réflexion sera adaptée aux âges des enfants, avec des notions simples dès tout petit, telles que "les filles ont droit de jouer au foot" ou "les garçons ont le droit de pleurer".
Les enseignements évolueront en même temps que l'enfant pour qu'il soit en phase avec le programme et qu'il puisse aisément faire un parallèle entre les réflexions et le quotidien. Pour les lycées, le programme envisage même d'évoquer des sujets parfois tabous comme la transsexualité.
 
 
À l'origine de ce projet, un problème de société où les femmes ne se sentent pas totalement en sécurité en Australie. Les violences faites aux femmes sont un réel problème, d'après le ministre de l'Éducation de l'État de Victoria. Au média The Australian, il a déclaré : "Nous ne resterons pas sans rien faire tant qu'une femme est tuée chaque semaine en Australie en raison de violences conjugales."
 
Si certains y voient comme un projet d'incriminer les hommes, on rappelle que d'après un rapport réalisé par l'organisation anti-violence Our Watch, une femme australienne sur trois a déjà été victime de violences physiques depuis l'âge de 15 ans et au moins une fois par semaine une femme meurt sous les coups de son compagnon.
 
Par Katia Fache

http://www.marieclaire.fr/,en-australie-l-egalite-des-sexes-integree-au-programme-scolaire,832305.asp

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Femme et imam, c'est possible (au Danemark),femmes,religion,

31 Octobre 2016, 12:04pm

Publié par hugo

Femme et imam, c'est possible (au Danemark)
Femme et imam, c'est possible (au Danemark)Sherin Khankan, à Copenhague, en 2016 (Linda Kastrup / Scanpix Denmark / AFP)
Décidée à secouer l’islam, la Danoise Sherin Khankan est l’une des rares musulmanes à diriger une mosquée. "Rien ne l’interdit dans le Coran", assure la quadragénaire qui dérange islamophobes et radicaux.

Nathalie FunesNathalie FunesPublié le 30 octobre 2016 à 08h49
Derrière son comptoir, le vendeur de cheeseburgers affiche une moue dubitative. Ça l’étonnerait "vraiment", insiste-t-il, qu’il y ait une mosquée pour femmes au-dessus de sa tête. C’est pourtant là, dans un immeuble jaune planté sur la rue piétonne de Købmagergade, la principale artère commerçante de Copenhague, qu’a élu domicile Mariam, la seule mosquée dirigée par des femmes au Danemark. Au rez-de-chaussée : l’enseigne jaune et verte de la chaîne de fast-food "Sunset Boulevard". Au premier étage, aucun signe distinctif, juste une feuille de papier blanche punaisée sur la porte d’entrée de l’appartement : "Veuillez enlever vos chaussures."

Sherin Khankan vous reçoit donc en chaussettes. Fine, élancée, cheveux longs, peau translucide, yeux bleus maquillés, robe à fleurs liberty, 42 ans, l’air d’en avoir dix de moins. Elle est la fille cadette d’une infirmière finlandaise et d’un réfugié politique syrien opposé au régime de Hafez al-Assad, arrivé au Danemark il y a près d’un demi-siècle. Une mère chrétienne, un père musulman. Dans la famille Khankan, on fêtait Noël et l’Aïd el-Kébir. Sherin est devenue pratiquante à l’âge adulte. Elle est aujourd’hui la responsable, proche du soufisme, et l’une des quatre imams, toutes des femmes, de la mosquée Mariam.

"Mon père était entouré de femmes, ma mère, ma sœur, moi. Chez nous, il préparait les repas, il m’a toujours dit que je pouvais faire ce que je voulais. Ça l’a un peu surpris que je devienne imam, car je n’ai pas été élevée dans un cadre très religieux, mais il n’a pas critiqué ma démarche. Il l’a appris par la presse. Le 3 mars dernier, j’ai fait la une du quotidien 'Information', avec ma photo en pleine page et ce titre : 'Est-elle la première femme imam ?' Depuis ce jour, ça n’arrête pas."

Des coups de fil quotidiens pour des demandes d’interview ou de discours venus du monde entier, deux cents messages en attente dans sa boîte mail, un emploi du temps bourré à craquer. Comme en ce début d’automne où elle enchaîne un pince-fesses organisé par la fondation Suzanne-Giese pour la remise du prix de la féministe de l’année, auquel elle avait été nominée, une visite de la mosquée Mariam par une classe de lycéens de Copenhague, un aller-retour à Paris pour un rendez-vous chez Stock, qui doit publier ses Mémoires l’an prochain, et une conférence pour une quinzaine de membres de 3F, l’un des plus gros syndicats du Danemark, sagement assis en tailleur sur la moquette beige de la salle de prière.

"Rien n’interdit l’imamat aux femmes"

Sherin Khankan, debout, toujours en chaussettes, raconte son parcours et ses tentatives pour secouer l’islam. Un master en sociologie de la religion décroché à l’université de Copenhague, la création en août 2001 du Forum des Musulmans critiques qui milite pour une relecture du Coran et l’égalité des sexes, et, enfin, l’ouverture en février de la mosquée Mariam.

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"C’est un projet que je porte depuis quinze ans. J’ai toujours voulu combattre les structures patriarcales de l’islam et promouvoir des imams femmes. Ici, la polygamie est interdite, le divorce facilité, et la nullité du mariage automatique en cas de violence conjugale."

Les autres imams de Mariam sont plutôt discrètes. Deux refusent de voir leur nom cité, la troisième, Saliha Marie Fetteh, professeur d’arabe à l’université de Copenhague, évoque peu son rôle publiquement. C’est Sherin Khankan qui a pris en charge le volet médiatique.

Deux heures durant, face à la brochette de syndicalistes, avec son allure de madone, sa voix douce et son mobile qui ne cesse de vibrer, elle multiplie les attaques contre le machisme de ses pairs : « Vous imaginez qu’on dise à des fidèles africains : 'Vous devez rester sur le balcon, à l’abri des regards, vous n’avez pas le droit de conduire la prière, mais vous avez le paradis sous vos pieds' ? Cela ferait un tollé. Et pourtant, c’est ce qu’on demande aux musulmanes. Alors que rien, ni dans le Coran ni dans les hadiths, n’interdit l’imamat aux femmes." Les membres de 3F applaudissent de bon cœur.

C’est moins le cas parmi les autorités musulmanes. Même si Sherin Khankan assure qu’elle a reçu peu de messages négatifs, plusieurs imams – mâles – du pays sont montés au créneau. "La base théologique du concept est fausse, a déclaré Waseem Hussain, du Centre islamique danois, au quotidien 'Politiken'. Faut-il aussi un lieu de culte réservé aux hommes ? Cela ferait sûrement des histoires au sein de la population danoise." A la mosquée Al-Sunna, nichée dans un appartement de la rue Vesterbrogade, en centre-ville, l’imam, en djellaba noire, se montre tout aussi réticent. "Les femmes peuvent venir ici quand elles veulent, dit-il en écartant le rideau gris foncé qui cache leur espace. Elles n’ont pas besoin d’avoir un endroit à elles." Yasmin, la trentaine, pantalon noir, baskets, n’est pas d’accord. Elle a participé à une prière entre femmes à Mariam, dont elle est devenue une habituée, et dit qu’elle se sent "plus à l’aise, plus écoutée, davantage considérée".

Une double culture revendiquée

Mariam – où ont déjà été célébrés cinq mariages, et qui accueille une soixantaine de femmes pour la prière un vendredi par mois – n’est pas la première mosquée féminine au monde. La plus ancienne est née en Chine au début du XIXe siècle. L’Afrique du Sud en a ouvert une en 1995, le Canada en 2005. Los Angeles accueille une Women’s Mosque of America depuis l’an dernier. Bradford, en Grance-Bretagne, doit inaugurer une version britannique en 2018.

"Aucun verset dans le Coran n’interdit à une femme d’être imam et de diriger la prière, indique Joshua Abdallah Sabih, professeur associé en études islamiques et juives à l’université de Copenhague. Mais la question est régulièrement discutée dans la jurisprudence et divise la communauté. La plupart des oulémas estiment que c’est prohibé. Une minorité, notamment à l’université Al-Azhar du Caire, autorise un imamat féminin uniquement pour un public de femmes et sans appel à la prière. Sherin Khankan incarne à la fois la liberté – elle est diplômée, féministe, trilingue danois-anglais-arabe, mais elle représente aussi la tradition : elle se réfère systématiquement aux textes sacrés. C’est en naviguant entre les deux qu’elle essaie de faire bouger les lignes."

Les murs de la mosquée Mariam illustrent cette double culture revendiquée. Comme ce verset peint à la main ("Je vous ai créés différents, vous devez donc vous entendre") ou ces traductions en danois du livre du politologue français Olivier Roy, "l’Islam mondialisé", qui côtoient les exemplaires reliés du Coran. "En attendant les lustres turcs, les mosaïques et les tapis orientaux", promet Sherin Khankan.

Au Danemark, la communauté musulmane, estimée à 270.000 personnes, pour l’essentiel originaires de Turquie, d’Irak, du Liban, de Syrie et du Pakistan, reste marquée par l’affaire des caricatures de Mahomet, parues dans le quotidien "Jyllands-Posten" en 2005. Elle avait provoqué manifestations et boycotts partout dans le monde, et entraîné la montée du Parti populaire danois, d’extrême droite et anti-immigrés, devenu la deuxième formation politique du pays. Islamophobie, radicalisation… Sherin Khankan est d’une prudence de Sioux sur ces sujets sensibles.

"Si une femme est obligée de porter le voile par son mari, son frère ou son père, je me battrai pour qu’elle puisse le retirer, dit-elle. Mais si c’est son choix, il faut le respecter. Demander à une musulmane d’enlever son foulard est une violation de son identité."

En 2002, elle avait démissionné du Parti social-libéral danois après avoir refusé de signer une résolution qui condamnait la charia, "pour ne pas stigmatiser davantage la communauté musulmane". Pour le reste, l’imam mène une vie de danoise type. Elle se baigne tous les jours dans l’eau glacée du détroit d’Oresund, été comme hiver. Elle habite un village de pêcheurs à une demi-heure en voiture de Copenhague avec son mari, médecin d’origine pakistanaise, et ses quatre enfants, âgés de 5 à 12 ans, et elle travaille comme responsable d’une association d’aide aux femmes victimes de violences psychologiques, Exitcirklen (l’imamat est bénévole). "Sherin Khankan incarne cette nouvelle élite de l’islam occidentalisé, conclu Saer el-Jaichi, professeur d'études islamiques à la faculté des humanités de Copenhague. Aux Etats-Unis, en Europe, on voit de plus en plus de femmes qui, comme elles, sont à la fois parfaitement intégrées et très pratiquantes. Elles dérangent, à la fois les islamophobes et les radicaux, car elles ont une approche nouvelle de l’identité musulmane." Sherin Khankan sort dans la rue avec ses cheveux longs, lâchés sur les épaules. Elle ne porte pas le voile. Elle en met juste un pour prier.

Nathalie Funès

LA FEMME DANS LES AUTRES RELIGIONS 

"Dans les trois grandes religions monothéistes, le système patriarcal domine, et la femme est jugée trop impure pour s’occuper du sacré, à part dans le protestantisme." Voilà le bilan dressé par Christine Pedotti, directrice déléguée de "Témoignage chrétien" et coprésidente du Comité de la Jupe pour l’égalité des sexes dans les cultes. Il y a eu effectivement des pasteurs protestantes dès les années 1870 en Allemagne et à partir de 1929 en France. Mais, chez les catholiques, les prêtres sont mâles à 100%. Des femmes diacres ont pourtant existé aux origines de l’Eglise. La pratique s’est arrêtée aux IIIe et IVe siècles, quand le christianisme a commencé à s’imposer dans la Gaule.

Côté judaïsme, les premières femmes ont été ordonnées rabbins dans les années 1930. Il y en a plus d’un millier aux Etats-Unis, où les courants libéraux sont majoritaires, beaucoup moins en Europe et seulement trois en France. "Les pays protestants, qui ont l’expérience de la Réforme, sont plus ouverts aux mouvements libéraux et à la féminisation du rabbinat, indique Delphine Horvilleur, rabbin du Mouvement juif libéral de France (MJLF) au centre de Beaugrenelle à Paris, qui a débattu en mai à Copenhague avec Sherin Khankan, à l’invitation de l’Institut français du Danemark. C’est d’ailleurs assez significatif que l’initiative de la mosquée Mariam soit née dans un pays protestant, où l’égalité des sexes n’est pas un vain mot." N. F.

Nathalie Funes
Nathalie Funes
Journaliste
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En Afrique du Sud, la mosquée "arc-en-ciel" de l'imam gay Muhsin

http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20161028.OBS0469/femme-et-imam-c-est-possible-au-danemark.html?xtref=https%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2F#https://www.facebook.com/

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Rémunération: les femmes seront autant payées que les hommes dans 170 ans,femmes,economies,salaires,egalites,

27 Octobre 2016, 19:01pm

Publié par hugo

Rémunération
Rémunération: les femmes seront autant payées que les hommes dans 170 ans
Le 26.10.2016 à 19h01

Selon le rapport 2016 du Forum économique mondial (WEF) sur la parité homme/femme, l'égalité salariale entre hommes et femmes sera atteinte en... 2186.

Egalité salariale hommes/femmes
Dans le classement des pays les plus performants en matière d'égalité homme/femme, l'Islande arrive en tête, devant la Finlande, la Norvège et la Suède.
(C) AFP
L'égalité salariale entre hommes et femmes pourrait devenir une réalité dans 170 ans, en raison d'un "fort ralentissement" dans ce domaine, selon le rapport 2016 du Forum économique mondial (WEF) sur la parité homme/femme.

Si rien ne change, il faudra attendre 2186 pour atteindre la parité économique entre les hommes et les femmes au travail, a indiqué Saadia Zahidi, l'un des auteurs du rapport.

L'année dernière, le WEF avançait un horizon moins lointain pour cet objectif, soit "seulement" 118 ans.

Selon le WEF, le fossé entre les sexes a atteint en 2016 59% dans le domaine économique, l'un des quatre indicateurs du Forum économique, avec l'éducation, la santé et l'émancipation politique, pour réaliser cette étude annuelle qui porte sur 144 pays.

Concrètement, si un homme gagne 100 dans le monde, la femme ne touche que 59, malgré "de plus longues heures de travail".

La France au 17ème rang

En 2008, ce fossé était de 58,3%, et en 2013, la meilleure année pour cet indice calculé par le WEF depuis 2006, il était de 59,9%.

Dans le classement des pays les plus performants en matière d'égalité homme/femme, l'Islande arrive en tête, devant la Finlande, la Norvège et la Suède.

Le Rwanda arrive devant l'Irlande à la 5e place. Les Philippines suivent devant la Slovénie, la Nouvelle-Zélande et le Nicaragua.

C'est la 8ème année de suite que l'Islande occupe la première place. Les salaires des femmes y représentent 87% de ceux des hommes.

En France, le décalage entre hommes et femmes est comblé à 75%. La France occupe le 17ème rang du classement du WEF.

Un taux d'activité qui stagne

Par région géographique, l'Europe occidentale se positionne devant l'Amérique du Nord, l'Amérique latine et les Caraïbes, l'Europe orientale et l'Asie centrale. Suivent l'est de l'Asie et le Pacifique, l'Afrique subsaharienne, le sud de l'Asie et le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord.

Dans le monde, le taux d'activité stagne à 54% chez les femmes contre plus de 80% pour les hommes et le nombre de femmes qui occupent des postes à haute responsabilité reste bas.

La parité entre parlementaires, hauts cadres et directeurs n'est observée que dans quatre pays. Alors même que le taux de femmes diplômées d'une université est égal ou supérieur à celui des hommes dans près de 100 pays.

Les graphiques de Challenges

Les avancées sont les plus importantes dans le secteur de l'éducation, où l'écart entre les hommes et les femmes s'est réduit de 1% en 2016. Le décalage s'est en revanche très légèrement dégradé dans la santé, avec un taux de 96%.

(avec AFP)

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Sur le web : Salaires: pas d'égalité hommes-femmes avant 170 ans?

http://www.challenges.fr/emploi/remuneration/remuneration-les-femmes-seront-autant-payees-que-les-hommes-dans-170-ans_435300?xtor=RSS-16&utm_content=bufferdc7fc&utm_medium=social&utm_source=twitter.com&utm_campaign=buffer

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Barack Obama veut des tables à langer dans les toilettes pour hommes,egalite,parite,

26 Octobre 2016, 08:33am

Publié par hugo

Barack Obama veut des tables à langer dans les toilettes pour hommes
 12/10/2016 à 16h04
Des toilettes publiques à Hong Kong (photo d'illustration) 
Des toilettes publiques à Hong Kong (photo d'illustration) - Philippe Lopez - AFP
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Les pères américains vont pouvoir changer leurs bébés dans les toilettes publiques pour hommes. Barack Obama a décidé que les tables à langer ne serait plus réservées qu'aux femmes.

C'est un petit pas pour bébé mais une grande avancée pour l'égalité des sexes. Et pour les papas. Des tables à langer vont voir le jour dans les toilettes publiques pour hommes aux États-Unis. Barack Obama a signé le 7 octobre dernier le "Babies Act", pour "bathrooms accessible in every situation" -soit "toilettes accessibles en toute situation".

Ce projet, proposé en avril dernier par un parlementaire démocrate, a été voté à l'unanimité cet été.

"Le gouvernement doit davantage s'assurer que les bâtiments publics sont ouverts aux familles. Aucun père ou mère ne devrait plus jamais avoir à s'inquiéter pour trouver un endroit sûr et hygiénique pour changer son enfant", commentait alors David Cicilline, le rapporteur du texte. 
"Il n'y a JAMAIS de tables à langer"

Un sujet qui avait largement suscité l'intérêt de l'autre côté de l'Atlantique, plusieurs personnalités s'en étaient emparé. Comme l'acteur Ashton Kutcher, qui avait posté en 2015 un message sur sa page Facebook invitant à prendre davantage en considération les pères. Le jeune papa avait même lancé une pétition et recueilli plus de 100.000 signatures.

"Il n'y a JAMAIS de tables à langer dans les toilettes publiques pour hommes. Les premières que je trouve qui en ont une auront droit à une mention gratuite sur ma page!  #SoyezLeChangement"

En France, une initiative similaire a timidement vu le jour. Aux aéroports parisiens d'Orly et Roissy, des espaces de change neutres ont été installés, ouverts aux mères comme aux pères pour changer leur enfant.
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 Olivier Razemon @OlivierRazemon
#Orly. Tiens, maintenant, dans les 
toilettes de l'aéroport, changer un enfant n'est plus réservé aux seules femmes
4:16 PM - 2 Jul 2014
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Céline Hussonnois-Alaya
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http://www.bfmtv.com/societe/barack-obama-veut-des-tables-a-langer-dans-les-toilettes-pour-hommes-1047173.html#page/contribution/index

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Pourquoi les Islandaises ont arrêté de travailler à 14 h 38 lundi,femmes,egalite,parite,salaire,economie,

25 Octobre 2016, 01:06am

Publié par hugo


Pourquoi les Islandaises ont arrêté de travailler à 14 h 38 lundi
A l’appel de syndicats et d’organisations féministes, des femmes ont cessé leur journée de travail pour dénoncer les inégalités de salaires entre hommes et femmes.

LE MONDE | 24.10.2016 à 22h30

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image: http://s2.lemde.fr/image/2016/10/24/534x0/5019593_6_30fc_2016-10-24-e82d165-11606-1likhd8-aqrfqolxr_2d3617df7c90b238704f09750f80366e.jpg
Après avoir quitté le travail à 14 h 38, à 15 h 15, les Islandaises étaient appelées à manifester.
Partout en Islande, des femmes ont quitté leur travail à 14 h 38 lundi 24 octobre, a rapporté Iceland Review. Pourquoi ? Parce que, comparativement aux hommes, les femmes islandaises travaillent sans être payées après cette heure précise (sur une journée de travail de huit heures).
Ce mouvement, à l’appel des syndicats et des organisations féministes, vise à dénoncer les inégalités de salaires entre hommes et femmes. En Islande, une femme gagne en moyenne 18 % de moins qu’un homme.
Egalité prévue pour 2068
Sur l’île, le 24 octobre est un jour spécial pour les femmes. A cette date, en 1975, 90 % des femmes se sont mises en grève pour rejoindre le centre de la capitale, Reykjavik, et manifester à l’occasion de ce qu’elles ont appelé « Kvennafrídagurinn » (« Le jour de repos des femmes »). Puis ce mouvement s’est répété en 2005 et 2008.
En 1975, les femmes avaient quitté leur travail à 14 h 8. Puis en 2008, à 14 h 25. Donc, depuis 2008, soit en onze ans, les Islandaises ont réduit l’inégalité de salaire avec les hommes de trois minutes. A ce rythme, elles atteindront l’égalité parfaite en 2068.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/europe/article/2016/10/24/pourquoi-les-islandaises-ont-arrete-de-travailler-a-14-h-38-lundi_5019594_3214.html#heCYAvhljmyPBK1H.99

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On aime cette pub canadienne pour promouvoir la mixité ,parite,egalite,mixite,articles femmes hommes

23 Octobre 2016, 01:32am

Publié par hugo

On aime cette pub canadienne pour promouvoir la mixité ! Publié le 20 octobre 2016 à 18h07 On aime cette pub canadienne pour promouvoir la mixité !
© Capture d'écran campagne #WomenBelong par "Famous 5"
Utiliser les clichés et les détourner pour dénoncer des inégalités ? C’est le pari de la fondation canadienne « Famous 5 », engagée en faveur de l’égalité femmes-hommes depuis 1996. Dans sa nouvelle campagne vidéo aux allures de spot publicitaire, elle dénonce avec humour le manque de mixité des métiers.
La campagne s’intitule #WomenBelong, que l’on pourrait traduire par « La place des femmes est… ». « La place des femmes est dans la cuisine ? Pourtant, seulement 24% des chefs sont des femmes ». « Les femmes doivent être chaudes ? Pourtant, elles ne sont que 3,8% à être pompier », ou encore : « la place des femmes est sur le banc ? Pourtant, seules 35% des juges sont des femmes. » Pour appuyer l’initiative et en finir avec ces clichés, chacun des treize métiers cités dans la vidéo est associé au portrait d’une femme canadienne qui l’exerce. De la femme chirurgien à l’athlète de haut niveau en passant par la mère au foyer, l’idée de cette campagne est d’interpeller chacun sur la faible mixité de certains secteurs tout en pointant du doigt les clichés sexistes encore ancrés dans la société canadienne. En France, la réalité est similaire, puisque seuls 17% des métiers peuvent être considérés comme mixtes, c’est-à-dire comportant entre 40% et 60% des deux sexes*.


#WomenBelong from Famous 5 on Vimeo.

JUSTIN TRUDEAU, PREMIER MINISTRE FÉMINISTE

La campagne a vraisemblablement été appréciée du Premier ministre Justin Trudeau, qui n’a pas hésité à la relayer sur Twitter. Elu il y a à peine un an, ce dernier n’a cessé de gagner la confiance des défenseurs de l’égalité des sexes. Le 8 mars dernier, Justin Trudeau déclarait ainsi au quotidien national anglophone, « The Globe and Mail », qu’il était fier d’être féministe et que « l’égalité de genre n’était pas une menace mais une opportunité. »

Quant à la date choisie pour le lancement de la campagne #WomenBelong, ce mardi 18 octobre, ce n’est pas un hasard. Il s’agit, au Canada, de la célébration du « Persons day » : en 1927, cinq femmes lancent une pétition pour que le terme « personne », utilisé dans la Constitution, soit associé autant aux femmes qu’aux hommes, ce qui n’était pas le cas auparavant. Une action résolument féministe à laquelle la Fondation « Famous 5 » (ndlr : les cinq célèbres) doit son nom.

* Rapport du commissariat général à la stratégie et à la prospective 
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« Fraternité générale » : le mouvement dont vous allez entendre parler (et, surtout, que vous allez rejoindre),,egalite,parite,

23 Octobre 2016, 01:15am

Publié par hugo

Elle>Société>News
« Fraternité générale » : le mouvement dont vous allez entendre parler (et, surtout, que vous allez rejoindre) Publié le 21 octobre 2016 à 10h38 « Fraternité générale » : le mouvement dont vous allez entendre parler (et, surtout, que vous allez rejoindre)
© La Fraternité MDJ de Crégy-Lès-Meaux Fraternité générale
L’idée est partie d’un constat. Un an après les attentats de Paris, comment se rassembler ? Positivement ? Confraternellement ? « Après les attentats de Charlie, l’Hyper Cacher, le 13 novembre et tout ce qu’on a subi depuis d’extrêmement douloureux, il faut absolument se mobiliser », lance Abdennour Bidar le 20 septembre dernier, lors de la présentation à la presse du nouveau mouvement citoyen baptisé « Fraternité générale ». Le philosophe, qui dénonce « une montée des individualismes, des replis sur soi et des forces politiques qui attisent et jouent sur les différences pour nous diviser », explique avoir rencontré l’envie de dialoguer, de se mobiliser et d’agir chez de nombreuses personnes. Mais comment ? « En puisant dans nos racines pour réhabiliter la grande oubliée de notre devise républicaine : la fraternité », propose-t-il. « On vit dans des banquises sociales, dans des sociétés très froides, entre le "je" et le "nous", on n’a pas à choisir ». Le philosophe en est persuadé : « on peut mettre en synergie nos intérêts personnels et collectifs ». C’est l’idée de « Fraternité générale », mouvement apolitique mais hautement citoyen : faire rayonner du 2 au 10 novembre des initiatives partout en France. Des concerts, des terrasses musicales, de l’art urbain, du sport  et des rencontres fraternelles, bref tout pour se rassembler, partager, échanger pour « faire vive la fraternité ». C’est sur ce site lancé pour l’événement que vous pourrez retrouver l’agenda et créer vos propres actions.

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Le philosophe Abdennour Bidar ©Fraternité générale

MARIE DRUCKER ET JULIETTE BINOCHE ENGAGÉES

Les journalistes Marie Drucker et Claire Chazal, l’actrice Juliette Binoche l’ex-championne de boxe Aya Cissoko, la gynécologue Ghada Hatem à l’origine de la création de la Maison des femmes à Saint-Denis, le philosophe Edgar Morin, le chanteur Feloche ou encore l’écrivain Alexandre Jardin, pour ne citer que quelques noms, ont déjà affirmé haut et fort qu’ils rejoignaient le mouvement. A la télévision, vous avez peut-être déjà découvert des courts-métrages inédits. L’idée ? La productrice Fabienne Servan-Schreiber a incité les réalisateurs à faire jouer leur imagination autour du thème de la fraternité. Quelques exemples sont à découvrir ci-dessous. La fraternité pour résister à tous les cynismes et à tous les scepticismes, on dit "oui". Et vous ?


> Du 2 au 10 novembre, partout en France. Plus d’infos sur le site de Fraternité générale. Réagissez aussi avec le hashtag #fraternitegenerale sur Facebook, Twitter et Instagram.

mega_pave_fraternite_generale
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VIDEO. "Manterrupting" : quand les hommes ne peuvent s'empêcher d'interrompre les femmes,femmes,respect

20 Octobre 2016, 09:04am

Publié par hugo

VIDEO. "Manterrupting" : quand les hommes ne peuvent s'empêcher d'interrompre les femmes
Un chercheur américain a remarqué la tendance qu'ont les hommes à couper la parole aux femmes. Ce phénomène est caractérisé par les concepts de "manterrupting" et "mansplaining".


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Mis à jour le 18/10/2016 | 15:56
publié le 18/10/2016 | 14:53

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Le sexisme ne se traduit pas seulement par un patron qui reluque de haut en bas son employée, ou par ces hommes pas très fins qui sifflent les femmes dans la rue. Il peut se manifester sous de nombreuses autres formes. L'une d'entre elles : cette tendance qu'auraient plusieurs hommes à couper systématiquement la parole aux femmes lors de réunions publiques ou débats. Les féministes américaines se sont penchées sur le phénomène et lui ont donné un nom : le "manterrupting", une contraction des mots man et interrupting.

De l'"hommeterruption" à la "mecsplication"

Dans le milieu du cinéma, en entreprise comme en politique, nombreuses sont les femmes restant silencieuses, agacées de se voir couper la parole. Parfois, certains hommes vont jusqu'à se réapproprier les propos de leur interlocutrice, ou essayer de leur expliquer ce qu'elle pense. Un phénomène nommé "mansplaining", ou "mecsplication" en français.

Pour lutter contre ces discriminations, des chefs d'entreprise n'hésitent pas à interdire purement et simplement l'interruption. Les conseillères de Barack Obama ont remarqué que leurs collègues masculins les interrompaient tout le temps. Et surtout, ils en profitaient au passage pour reprendre leurs idées. Du coup, elles ont inventé une stratégie qu’elles ont appelée "l’amplification" : dès qu’une femme propose une idée, une autre femme répète la même idée quelques minutes plus tard… Et, à chaque fois, elle rappelle le nom de sa collègue qui l’a proposée en premier. D’après les conseillères d’Obama, la technique fonctionne : elles ne sont plus interrompues.

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Wonder Woman devient la nouvelle ambassadrice de l'ONU pour l'émancipation des femmes (Photos),femmes,egalite,parite,

19 Octobre 2016, 01:58am

Publié par hugo

Accueil / Société / News société / Wonder Woman devient la nouvelle ambassadrice de l'ONU pour l'émancipation des femmes (Photos)

Wonder Woman devient la nouvelle ambassadrice de l'ONU pour l'émancipation des femmes (Photos)
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Publié par Violette Salle 
le 18 octobre 2016

 
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C'est une nouvelle qui va ravir les fans de DC Comics : la belle et immortelle Wonder Woman, va rejoindre les rangs des ambassadrices de l'ONU, le 21 octobre.
Il y a eu Nicole Kidman, Son Altesse Royale la Princesse Bajrakitiyabha Mahidol (Thaïlande), l'acteur Fahran Akhtar, la tenniswoman Sania Mirza, l'actrice Hai Qing, l'écrivaine Muniba Mazari, mais aussi Emma Watson et plus récemment, Anne Hathaway. Dans quelques jours, c'est l'héroïne de bande-dessinée Wonder Woman, alias Diana Prince, qui défendra la cause des femmes en tant qu'ambassadrice internationale, pour "l'égalité des sexes et l'émancipation de toutes les femmes et les filles". Une nouvelle qui était censée rester secrète, mais qui a été révélé par son interprète des années 70, Lynda Carter. Un choix qui paraît évident.


La venue du personnage, inspiré des mythiques guerrières Amazones, à l'ONU n'enchante pourtant pas tout le monde. Serait-ce à cause de sa plastique plantureuse, sa chevelure noire, sa petite jupe bleue, son bustier doré, sa couronne et son fameux lasso ? Claire Serre-Combe, porte-parole d'Osez-le-Féminisme a expliqué son regret à Europe 1 : "Wonder Woman n'est pas une personnalité réelle, je trouve ça dommage de ne pas nommer une femme qui agit au quotidien, une héroïne vivante du combat féministe." Elle a ajouté : "Ça reste une héroïne fictive avec des pouvoirs magiques, alors qu'il y a des femmes qui agissent au quotidien avec le peu de moyens dont elles disposent. Ça aurait été intéressant de mettre l'une d'elles en valeur."


 
 
Wonder Woman, nommée ambassadrice de l'ONU pour la cause des femmes © Getty
Wonder Woman, nommée ambassadrice de l'ONU pour la cause des femmes
Wonder Woman, nommée ambassadrice de l'ONU pour la cause des femmes
Lynda Carter, interprète de Wonder Woman dans les années 70
Cosplayeuse de Wonder Woman, au Comic Con de New York en 2014
Cosplayeuse de Wonder Woman, au Comic Con de New York en 2014
Wonder Woman, nommée ambassadrice de l'ONU pour la cause des femmes
Wonder Woman, nommée ambassadrice de l'ONU pour la cause des femmes
 
Stéphane Dujarric, porte-parole de l'ONU, défend ce choix. Selon lui, il est important que les jeunes puissent s'identifier à un personnage : "Nous devons nous montrer créatifs et mettre en place des partenariats créatifs pour toucher les jeunes générations, pour atteindre un public en dehors de ce bâtiment". Il a assuré que ce choix n'a fait l'objet d'aucune transaction financière avec DC Comics ou Warner Bros. Ce 21 octobre, Wonder Woman deviendra donc ambassadrice onusienne pour un an, et ce sera également le lancement d'une campagne sponsoriée par les célèbres studios, sur le thème de "l'égalité des sexes n'est pas seulement un droit fondamental, mais une nécessité pour un monde prospère, paisible et durable".

Mais qui es-tu, Wonder Woman ?
Toujours là où on ne l'attend pas, la super-héroïne incarne aussi le féminisme depuis sa création. Elle crée la Ligue des Justiciers avec ses deux comparses, Batman et Superman, et sera la seule femme à en faire partie. Elle refusera même de devenir la conquête de Batman, car elle n'appartient à personne. Apparue pendant la Seconde Guerre Mondiale, Diana Prince reflète le changement de la place de la femme dans la société américaine. Son créateur, le psychologue William Moulton Marston, a expliqué à l'époque que les femmes quittaient la maison pour remplacer leurs maris au travail, partis faire la guerre. Il dit, en 1943 dans The American Scholar : "Même les filles ne voudront pas être des filles tant que nos archétypes féminins manqueront de force, de vigueur et de puissance. Comme elles ne veulent pas être des filles, elles ne veulent pas être tendres, soumises, pacifiques comme le sont les femmes bonnes. Les grandes qualités des femmes ont été méprisées à cause de leur faiblesse. Le remède logique est de créer un personnage féminin avec toute la force de Superman plus l'allure d'une femme bien et belle."

​Wonder Woman est seule, libre, sexy et super-magique. Dans les années 70, alors incarnée par Lynda Carter, elle représente la femme puissante, à laquelle plusieurs jeunes filles s'identifient. Wonder Woman est bisexuelle, elle défend avec hargne et fierté son pays, et est une icône, pour plusieurs générations. On ne peut que dire oui !

A lire aussi, Emma Watson s'engage contre les mariages précoces

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TÉMOIGNAGE : "J'AI DEMANDÉ MON HOMME EN MARIAGE",parite,egalite,mariage

18 Octobre 2016, 08:01am

Publié par hugo

TÉMOIGNAGE : "J'AI DEMANDÉ MON HOMME EN MARIAGE"
DATE DE PUBLICATION : 18/03/2016 À 15:41 | COMMENTAIRE (0) Femme demandant en mariage
Et si c'était les femmes qui demandaient les hommes en mariage ? C'est du moins le pas que Delphine a sauté, surprenant son conjoint avec une demande en mariage aussi touchante que décalée. Sept ans plus tard, elle nous livre son témoignage.
La plupart des femmes attendent que leur homme se décide de lui-même, pose un genou par terre et prononce les quatre mots fatidiques : "Veux-tu m’épouser ?" Moi, je n’ai pas voulu attendre, ou du moins pas trop longtemps.
 
 
"POURQUOI PAS MOI ?"

Certes, comme tous les couples qui vivent ensemble depuis un moment, la question épineuse du mariage s’était déjà posée et plus précisément celle de la demande en mariage. Vous savez ce moment qu’on a toutes une fois un peu (trop) idéalisé ou au contraire imaginé sous tous les scénarios possibles. Nous étions d'accord sur le fait qu’on sauterait le pas un jour, quand nous aurions le temps et surtout l’argent pour le financer, mais le pourquoi du comment de la demande restait sujet à d’innombrables discussions…. et de fous-rires interminables.
 

 

Plutôt bout-en-train que grenouille de bénitier, Laurent avait plutôt tendance à tourner ce fantasme en dérision et à imaginer 1001 façons ridicules de me proposer de l’épouser, comme le font beaucoup d’hommes finalement, par pudeur ou par timidité. Moi au contraire, je lui soutenais, non sans humour, que j’attendais une demande très romantique, dans les règles de l’art mais surtout pas en public. 
 
 

 
 Mais lors d’une énième discussion, je lui lance, comme une ultime provocation mais sans réelle préméditation, que ce sera peut-être moi qui lui adresserai cette fameuse demande. Forcément, il a rit, persuadé que comme dans 80% des cas, ce serait lui, l’homme fort et viril, qui ferait sa proposition. Puis, l’idée de prendre les choses en main s’est mis à me trotter dans la tête : pourquoi pas moi, après tout ?
 
 
DE L'AMOUR... ET DE L'HUMOUR

Rapidement, j’ai échafaudé un plan. Sommaire certes, mains un plan tout de même : j’aillais surprendre Laurent et le demander en mariage. Pour de vrai. Je demande alors à une amie de me donner un grand linge blanc sur lequel j’inscris en lettres capitales, non sans rire : “Je le veux, si tu le veux, épouse moi ! Marié ou pendu dans l’année !”. 
 
Hors de question en effet de prendre ce moment trop au sérieux : on s’en était toujours amusé, il n’était pas question de s’arrêter. Et puis je ne voulais pas faire comme tout le monde, lors d'un dîner aux chandelles ou d’un week-end romantique. L'idée du drap était explicite et pleine de second degré.
 
 

 
 
J’attends donc une journée où son emploi du temps lui permet de rentrer plus tôt du travail et avec la complicité d’une amie, j’installe le drap sur la façade de notre maison afin qu’il tombe pile dessus, de jour, quand il rentre, après avoir récupéré les enfants à l’école. Forcément, rien ne s’est passé comme prévu.
 
Retardé au bureau, il me demande à la dernière minute de m’occuper de la sortie d’école et loi de Murphy oblige, le temps que je fasse l’aller-retour… il était rentré. Comme je l’avais prévu, il était non seulement plié de rire devant la maison mais surtout  complètement surpris. Jamais il n’avait pensé que j’étais capable de prendre une telle initiative ! Je crois qu’il s’est rendu compte à ce moment que j’étais un peu délurée… (rires). Car c’était sans compter les voisins qui avaient profité du spectacle, persuadés que c’était une surprise de mon homme… et non l’inverse.
 
 
"LE PLUS BEAU JOUR DE NOTRE VIE"
 
Évidemment, il a dit oui. Je dis “évidemment” car oui, c’était une certitude que nous nous marierons. Il aurait été décontenancé par ma démarche, j’aurai tout simplement pris mon mal en patience et qu'il se décide à me faire sa demande. 
 

 
Mais fort heureusement, je n’ai pas eu attendre et nous avons passé les 12 mois suivant à préparer le plus beau jour de notre vie. Cela fait aujourd’hui sept ans, et ce beau souvenir continue de nous faire rire, même après tout ce temps.
 
 
Par Alexandra Pizzuto

http://www.marieclaire.fr/,temoignage-j-ai-demande-mon-homme-en-mariage,818267.asp

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