Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le blog de hugo,

egalites

Egalité Professionnelle entre les femmes et les hommes,egalite,parites,emploi,

16 Novembre 2016, 23:45pm

Publié par hugo

Ajoutée le 16 janv. 2014
Cette vidéo revient sur l'historique et constat de la réalité sur l'égalité professionnelle entre les hommes et les femmes...

Retrouvez cette vidéo et bien d'autres sur la WebTV de la FCE CFDT :

https://www.youtube.com/watch?v=_vrqOjml5-s

Voir les commentaires

La différence entre les hommes et les femmes - Épisode 12 de "Bienvenue dans le monde du travail",emploi,femmes,egalite,parite,

16 Novembre 2016, 23:43pm

Publié par hugo

http://www.info-tpe.fr | En France, en 2012, les femmes gagnent en moyenne 25% de moins que les hommes : bienvenue dans le monde du travail !
Producteur: Force Ouvrière
Conception, réalisation: Pierre Wolf/S

 

https://www.youtube.com/watch?v=38TA4te6Dlg&t=147s

 

Voir les commentaires

Les "agounot" israéliennes, prisonnières de leur mariage,femmes,mariages,religions,

16 Novembre 2016, 03:45am

Publié par hugo

Share articleAjouter un commentaire
judaïsmeIsraeldivorcedroits des femmes
Les "agounot" israéliennes, prisonnières de leur mariage
L'avocate féministe Susan Weiss dans son bureau à Jérusalem. Elle se bat sur tous les fronts des droits des femmes face aux religieux, avec son <em>Center for women’s justice</em>
L'avocate féministe Susan Weiss dans son bureau à Jérusalem. Elle se bat sur tous les fronts des droits des femmes face aux religieux, avec son Center for women’s justice
(c) Elsa Mourges
En Israël, selon les principes du judaïsme, c’est à l’homme que revient le choix d’accorder, ou pas, le divorce à sa femme. S’il refuse son épouse devient alors une agouna, une enchaînée en Hébreu. Rencontre avec Susan Weiss, bien décidée à faire changer les règles de la désunion, avocate des « Femmes du mur », l’un de ses autres combats.
10 NOV 2016
 Mise à jour 10.11.2016 à 10:37 par    
Elsa Mourgues
dansAccueilTerriennesFemmes, le poids des religions
Aliza* est enfin libre. Il y a quelques semaines elle a obtenu son guet. Un parchemin sur lequel est inscrit qu’elle n’a plus d’obligation maritale. Son divorce, elle l’avait demandé il y a plus de dix ans. “Après mon deuxième enfant c’est devenu infernal, j’ai dit stop je n’en pouvais plus. Il était violent, jaloux, égoïste. Il m’humiliait”, raconte la toute jeune divorcée. Mais quelles que soient les raisons qui l’ont conduites à demander le divorce ce n’était de toute façon pas à elle de choisir. Malgré le caractère libéral du pays, le mariage civil n’existe pas en Israël. C’est donc à l’un des douze tribunaux rabbiniques du pays de prononcer mariages et divorces peu importe que l’on soit pratiquant ou non, croyant ou pas.

La loi est la même pour tous : “c’est l’homme qui doit donner le guet à sa femme, parce que c’est ce qui est écrit dans la Torah.” Fin de la discussion. Le mari d’Aliza a refusé de lui donner son guet et a fui aux Etats-Unis, la laissant avec leurs enfants et pas mal de dettes. Au bout de deux ans, des médiateurs l’ont retrouvé pour tenter de le convaincre. Peine perdue.

Mise à jour 15 novembre 2016 : une première victoire juridique
Les maris israéliens qui refusent d'accorder le divorce religieux à leur femme pourront désormais être poursuivis par la justice et encourront même des peines de prison ferme, a annoncé lundi 14 novembre 2016 le ministère de la Justice israélien.
Après des années de monopole du rabbinat sur les divorces religieux, le ministère a indiqué dans un communiqué que la justice civile allait s'impliquer afin de "libérer" les femmes qui sont dites enchaînées religieusement à leur mari selon la loi juive.

Les droits des Israéliennes, chasse gardée des religieux
Le cas d’Aliza n’est pas isolé. En Israël, mariages et divorces sont la chasse gardée des institutions religieuses. Et les femmes souvent obligées de rester marié juridiquement à l’homme dont elles veulent se séparer. Une situation qui touche des centaines d’Israéliennes qu’elles soient laïques ou religieuses.

Au début de ce mois de novembre 2016, les « Femmes du mur »  (Women of the Wall) ont à nouveau tenté de briser les murs qui les empêchent de prier comme les hommes devant le mur des lamentations à Jérusalem. Ces pionnières, comme l’avocate Susan Weiss, se battent pour faire sauter d’autres verrous du judaïsme orthodoxe, comme ceux qui interdisent aux femmes de demander le divorce.

A revoir dans Terriennes, sur le même thème :

> Quand les "Femmes du mur" prient à Jérusalem, mais sous bonne garde

D’après Suzan Weiss, fondatrice du Center for women’s justice de Jérusalem (Centre pour les droits des femmes), qui a par ailleurs porter les demandes des « Femmes du mur » devant la Cour suprême israélienne, “au moins une femme israélienne sur trois a dû céder à des pressions ou du chantage pour obtenir son divorce”. La féministe aux cheveux courts, une coupe rare dans la ville trois fois saintes, regorge d’exemples de femmes qui ont subi des pressions lors de la procédure de divorce : “parfois c’est du petit chantage, le mari va demander de récupérer des cadeaux comme des boucles d’oreilles… Et parfois il exige plusieurs millions de shekel (monnaie israélienne) ou de garder la maison ! ”.

De nombreuses femmes achètent ainsi leur guet pour ne pas devenir une agouna. Un statut qui empêche la femme de refaire sa vie : elle ne peut pas se remarier, même si elle est techniquement séparée de son mari depuis des années et vit avec quelqu’un d’autre. Les enfants issus d’une nouvelle union sont considérés comme illégitimes. Une position difficile à assumer au sein des communautés les plus religieuses.
 
Plusieurs associations comme le centre de Suzan Weiss tentent de venir en aide à ces femmes. “Il existe des recours, explique l’avocate, dans certains cas on peut entamer des poursuites judiciaires contre le mari”. Paradoxalement l’Etat autorise ces poursuites tout en continuant à être favorable au statu quo sur la question du guet. De fait, un mari récalcitrant peut être condamné à de la prison ferme pour avoir refusé le guet à sa femme mais rien ni personne ne peut l’obliger à le lui donner. Pour Suzan Weiss “c’est un camouflage, l’Etat ne prend pas ses responsabilités et il cautionne le fait que des centaines de femmes restent captives de leur mariage”.
 
Des formes de pressions ont été imaginées pour contraindre les maris les plus têtus à accorder le guet. Dans le cas d’Aliza, après dix ans de négociations le tribunal rabbinique a finalement banni son mari de la communauté pour le forcer à lui accorder son guet : “Ils lui ont interdit de prier dans une synagogue, de manger avec d’autres juifs à la même table,... et quand ces interdictions ont été publiées dans les synagogues aux Etats-Unis, le lendemain il a accepté de me donner mon guet”.

Les langues se délient et les femmes témoignent de plus en plus

Susan Weiss, avocate
Parfois ça marche, parfois non car quoiqu’il arrive c’est toujours l’homme qui aura le dernier mot. Et cela conduit forcément à des situations absurdes. “Par exemple, il y a le cas d’une femme qui était en procédure de divorce, son mari était d’accord mais il a eu un accident et il est tombé dans le coma. Il est dans un état végétatif depuis des années et comme il ne peut pas parler, il ne peut pas lui donner son 'guet'.” rapporte Suzan Weiss.
 
La bataille de l’égalité homme-femme sur la question du mariage n’est pas gagnée mais l’avocate est optimiste : “les langues se délient et les femmes témoignent de plus en plus, il y a des pages facebook sur ce thème où les femmes peuvent parler librement”.
 
En juin 2014 la sortie du film Le procès de Viviane Amsalem, de et avec la magnifique Ronit Elkabetz, a entrouvert la porte au débat au sein de la société israélienne.

 

La pression publique se fait de plus en plus forte envers les tribunaux rabbiniques pour qu’ils agissent plus rapidement et plus efficacement contre les maris récalcitrants. Et la question du mariage civil revient régulièrement sur le devant de la scène, même si avec la présence de partis ultra-orthodoxes au sein de la coalition gouvernementale, la Knesset (parlement israélien ) est loin d’aller dans ce sens. Mais pour Suzan Weiss : “ On ne peut pas vivre dans une société où une femme peut porter un pistolet mais ne peut pas divorcer.”

* Le prénom a été modifié

Les "Femmes du mur", à Jérusalem, le 2 novembre 2016, alors qu'elles réclamaient les mêmes droits de prière pour les femmes que les hommes au mur des Lamentations. S'en sont suivi heurts et bousculades avec des juifs orthodoxes ayant essayé de leur barrer l'accès du site... Et qui verrouillent les droits civils des femmes
Les "Femmes du mur", à Jérusalem, le 2 novembre 2016, alors qu'elles réclamaient les mêmes droits de prière pour les femmes que les hommes au mur des Lamentations. S'en sont suivi heurts et bousculades avec des juifs orthodoxes ayant essayé de leur barrer l'accès du site... Et qui verrouillent les droits civils des femmes
AP Photo/Sebastian Scheiner
judaïsmeIsraeldivorcedroits des femmes
Elsa Mourgues
Mise à jour 10.11.2016 à 10:37
SUR LE MÊME THÈME

http://information.tv5monde.com/terriennes/les-agounot-israeliennes-prisonnieres-de-leur-mariage-137740

Voir les commentaires

Demain les hommes et les femmes seront-ils égaux ? - Le Chiffroscope

12 Novembre 2016, 02:17am

Publié par hugo

Demain les hommes et les femmes seront-ils égaux ? - Le Chiffroscope

 
https://www.youtube.com/watch?v=HZqKrOopxXc

Voir les commentaires

Lundi 7 novembre, à 16h34, "quand je me suis levée pour partir, mes collègues ont ri",femmes,feministes,egalite,,parite,

8 Novembre 2016, 21:50pm

Publié par hugo

Lundi 7 novembre, à 16h34, "quand je me suis levée pour partir, mes collègues ont ri"
Par Mylène Bertaux | Le 07 novembre 2016
 
Partager
À 16h34 et 7,5 secondes, plusieurs centaines de manifestants se sont rassemblés ce lundi place de la République à Paris pour l'égalité salariale. Reportage.
En ce moment
Renouvelez votre dressing pour l’hiver avec One Nation Paris 
Renouvelez votre dressing pour l’hiver avec One Nation Paris
« Vite, vite, tendez la banderole. Il ne reste que quatre minutes. » Céline, la vingtaine, active les militants en ce lundi 7 novembre pour les derniers préparatifs avant l'heure fatidique : 16h34 et 7,5 secondes. Si les femmes étaient payées autant que les hommes, elles auraient pu s'arrêter de travailler à cette échéance, et ce pour le restant de l'année. C'est pour protester contre ces inégalités salariales persistantes que les Françaises étaient appelées à cesser leur activité, et rallier des grands points de rassemblement aux quatre coins de l'hexagone.

À Paris, rendez-vous était pris place de la République, dans le Xe arrondissement. À l'appel de plusieurs associations féministes, dont Les Glorieuses et Les Effrontées, entre 200 et 300 personnes avaient bravé le froid en cet après-midi pluvieux et gris. Dans les rangs, peu de rouge, comme recommandé, mais des membres d'associations, des militantes, de jeunes actifs, des chômeurs et des retraités. Tous avaient tenu à faire corps pour défendre les droits des femmes en matière salariale.

"Pour le même poste, 2 000€ de différence"

 
Amandine, 22 ans, est venu de Lille pour manifester. Membre du conseil de son Université, elle déplore la difficulté d'avoir une voix en tant que jeune femme au sein d'une assemblée qui n'en compte que trois.
Photo Valentin Chesneau-Daumas / LeFigaro.fr/Madame
« Je n'ai pas envie, à diplôme égal, d'avoir un salaire différent », assène Amandine, 22 ans. Les badges qui ornent le revers de son perfecto en cuir indiquent ses opinions militantes. La jeune femme, étudiante en licence de sciences politiques, a fait le déplacement depuis Lille. En écho à ses propos et au micro, Fatima Benomar, porte-parole de l'association Les Effrontées rappelle que « les femmes gagnent aujourd'hui 15,1% de moins que les hommes ».

Évelyne, blonde au carré mi-long impeccable, est la seule de son entreprise de 2 000 salariés à avoir fait le déplacement. Pourtant, raconte cette chargée de communication de 57 ans, le plafond de verre est une réalité au sein de la société qui l'emploie. « Plus on monte dans l'échelle des cadres, moins il y a de femmes. Et, pour un poste de direction, il y a en moyenne 2 000 euros de différence. » Quid de ses collègues, restées sur leur lieu de travail ? « Quand je me suis levée pour partir, elles ont ri. »

"On veut participer au renouveau du féminisme"

Les femmes présentent au rassemblement se sentaient privilégiées. « Ce n'est pas donné à tout le monde de pouvoir quitter son poste à 16h34, explique Camille 31 ans, employée dans l'associatif. Ce n'est pas le cas de mes amies qui sont ouvrières, caissières, infirmières ou encore assistantes sociales. »

Paula et Jean, respectivement 29 et 31 ans, ont fait le déplacement en couple. « Je viens là pour essayer à ma manière de rendre visible le problème, explique la jeune urbaniste. D'ailleurs, mon employeuse m'appuie et serait venue avec moi si elle n'avait pas ses enfants à la maison... » Pour eux, leur présence était une évidence. « C'est le minimum que l'on puisse faire. La démarche est bien différente quand on en parle à la maison et quand on sort. Et puis, on se prépare pour les élections qui arrivent. »

 
Paula, 29 ans, et Jean, 31 ans. « Pas plus tard qu'hier on disait qu'il fallait qu'on se bouge. »
Photo Valentin Chesneau-Daumas / LeFigaro.fr/Madame
Un cortège transgénérationnel

Le peu qu'on a gagné, on est en train de le perdre. 
« Ensemble, maintenant, on veut l'égalité. » Pendant que l'assemblée reprend les slogans scandés, Sylviane, 67 ans, visse ses lunettes écailles sur son nez. Elle est l'une des rares à avoir respecté le dress code demandé : un foulard rouge noué autour du cou et des boucles d'oreilles grenat. Elle fait partie de ces femmes qui, plus jeunes, se sont battues pour la contraception et l'IVG et porte un regard désabusé sur la situation actuelle des femmes. « Ce que j'ai envie de dire aux jeunes femmes d'aujourd'hui, c'est qu'elles ont intérêt à être hypers vigilantes, parce que le peu qu'on a gagné, on est en train de le perdre. »

Ana, Julie et Sara, en additionnant leur âge, n'arrivent pas loin de celui de Sylviane. Elles viennent de Bourgogne et tiennent à témoigner leur soutien aux femmes actives. « C'est important de montrer qu'elles doivent se battre pour obtenir les mêmes droits que les hommes », expliquent-elles avec conviction avant de repartir vers leur auberge de jeunesse, dans le XXe arrondissement.

Trangénérationnel, le mouvement dépasse aussi les « étiquettes ». « C'est la première fois que nous travaillons main dans la main », s'enthousiasme Alix Heuer, 28 ans. La cofondatrice des Glorieuses prend Suzy Rojtman, membres du Collectif National pour les Droits de la Femme, dans ses bras. « Toutes les associations féminines ont répondu présentes », se félicitent les deux jeunes femmes. Et si le nombre de participants pouvait paraître décevant, les organisatrices pensaient déjà, la nuit tombée, au prochain rendez-vous, le 8 mars 2017, journée internationnale des droits de la femme.

Portraits de manifestants parisiens :

En images
 Portrait du 7 novembre à 16h34
 Portrait du 7 novembre à 16h34
 Portrait du 7 novembre à 16h34
 Portrait du 7 novembre à 16h34
Voir toutes les photos
La rédaction vous conseille :
Inégalités salariales : dans les coulisses de la mobilisation du lundi 7 novembre à 16h34
Que risque-t-on à quitter son travail le lundi 7 novembre à 16h34 ?
Inégalités salariales : où manifester en France à 16h34 ?

 


inShare
5
Tags : Féminisme, sexisme, Égalité

http://madame.lefigaro.fr/societe/mobilisation-du-lundi-7-novembre-a-16h34-071116-117672

Voir les commentaires

La Californie adopte une loi stricte sur l'égalité salariale homme/femme,egalite,parites,femmes,salaires,economies,

6 Novembre 2016, 23:28pm

Publié par hugo


ACCUEILINTERNATIONAL
La Californie adopte une loi stricte sur l'égalité salariale homme/femme
 07h26, le 07 octobre 2015, modifié à 15h56, le 07 octobre 2015
AA
La Californie adopte une loi stricte sur l'égalité salariale homme/femme
@ MANDEL NGAN / AFP
76 partages
L'État américain a adopté mardi 7 octobre une loi considérée comme l'une des plus progressistes dans le pays, suscitant les louanges d'Hollywood.

Une législation stricte pour plus d'égalité salariale. La Californie s'est dotée mardi d'une loi considérée comme l'une des plus progressives aux Etats-Unis pour défendre l'égalité de salaires entre hommes et femmes, applaudie à Hollywood.

Unanimité politique. "66 ans après le passage de la loi californienne sur l'égalité de salaire, beaucoup de femmes gagnent encore moins que les hommes à travail égal", a constaté le gouverneur de Californie, Jerry Brown, qui a ratifié la loi mardi. La nouvelle législation fait partie des plus strictes de la nation et a reçu un soutien des démocrates comme des républicains, précise le bureau du gouverneur dans un communiqué.

Ouverture dans 3
Contenu sponsorisé
Un litige professionel ?
Société Générale protège votre activité juridiquement en cas de litige
Lire la suiteLire la suiteby
Une égalité stricte (dans les mots). La loi actuelle garantissait déjà l'égalité de salaire hommes-femmes à travail égal mais le nouveau texte va plus loin, garantissant l'égalité pour "tout travail similaire en substance". Elle interdit aussi les représailles contre les employés qui invoquent la loi pour demander l'égalité de paie, protège ceux qui veulent discuter de leur salaire, entre autres.

Hollywood applaudit. La comédienne Geena Davis, engagée dans le combat pour l'égalité de salaire et présidente de la Commission californienne sur le statut des femmes, a qualifié le passage de la loi de "priorité" qui va rendre cet Etat de l'ouest américain "plus fort". Patricia Arquette, Oscar 2015 du meilleur second rôle, a de son côté estimé que la nouvelle loi avait bénéficié d'un soutien bipartisan parce que "les femmes soutiennent les familles et tirent notre économie". "Elles ont aussi un grand pouvoir politique". En recevant son Oscar en février, elle avait fait un vibrant plaidoyer pour l'égalité de salaires, chaleureusement applaudie par ses consoeurs Meryl Streep ou Jennifer Lopez? "Il est temps pour nous les femmes, d'obtenir l'égalité salariale et l'égalité des droits aux Etats-Unis", avait-elle déclaré.

SUR LE MÊME SUJET :
Oscars 2015 : le discours très engagé de Patricia Arquette
L'égalité hommes-femmes au travail attendra... 2095
La loi pour l'égalité hommes-femmes définitivement validée
http://www.europe1.fr/international/la-californie-adopte-une-loi-stricte-sur-legalite-salariale-hommefemme-2525593

Voir les commentaires

Les écarts de salaires toujours aussi importants en France,egalites,parites,articles femmes-hommes,salaires,economies,

6 Novembre 2016, 23:23pm

Publié par hugo


ACCUEILÉCONOMIE
Les écarts de salaires toujours aussi importants en France
 08h46, le 28 juin 2016, modifié à 11h31, le 28 juin 2016
AA
Les écarts de salaires toujours aussi importants en France
Image d'illustration@ MYCHELE DANIAU / AFP
797 partages
Selon les chiffres de l'année 2013 révélés lundi par l'Insee, les Français ont gagné en moyenne 1.696 euros par mois.

INFOGRAPHIE
20.350 euros. Voilà ce qu'ont gagné en moyenne les Français durant l'année 2013, selon des chiffres de l'Insee publiés lundi. Mais cette moyenne cache d'importantes différences entre sexes et entre catégories professionnelles.

Un salaire en recul. Ces chiffres de 2013 cachent une mauvaise nouvelle pour le porte-monnaie des Français. Le salaire moyen a en effet reculé de 0,4% par rapport à 2012. Un coup de mou pas inédit puisque, de 2009 à 2012, ce salaire a reculé de 0,9% par an, alors qu'il avait augmenté régulièrement depuis 1995. Mais l'Insee révèle aussi que le pouvoir d'achat est depuis 2013 en hausse, preuve que le salaire n'est pas la seule et l'unique ressource des Français. 

Ouverture dans 0
Contenu sponsorisé
Vous cédez votre activité ?
Société Générale vous aide à préparer cette cession dans les meilleures conditions.
Lire la suiteLire la suiteby

-25% chez les femmes. Malgré les mesures prises par les gouvernements successifs, la disparité des salaires entre hommes et femmes reste forte en France. En 2013 en effet, les femmes ont gagné en moyenne 25% de moins que les hommes. L'écart se creuse même au fur et à mesure que l'âge augmente : 10% de différence chez les 25-29 ans, 22% chez les plus de 55 ans. 


L'âge influe également sur le revenu salarial : ce dernier "augmente avec l’âge des salariés jusqu’à 54 ans : il atteint pour les 50–54 ans un montant 3,6 fois plus élevé que celui des moins de 25 ans", souligne l'Insee.


D'importants écarts en fonction du statut et du diplôme. Les écarts de salaires en fonction du statut restent aussi importants puisque qu'un cadre gagne en moyenne trois fois plus (40.000 euros par an) qu'un employé ou un ouvrier. Une différence encore plus forte dans le privé : les 10% les mieux payés y gagnent 16,9 fois plus que les 10% les moins payés. 


SUR LE MÊME SUJET :
Salaire des patrons : l'Assemblée rend contraignant le vote des actionnaires
Le PDG de M6 juge son salaire d'1,4 million d'euros "pas énorme"
Revalorisation du salaire des profs : concrètement, ça donne quoi ?
Europe1
Par Gabriel Vedrenne

http://www.europe1.fr/economie/les-ecarts-de-salaires-toujours-aussi-importants-en-france-2784208

Voir les commentaires

Égalité hommes/femmes: heurts près du mur des Lamentations,egalite,parite,religions,

4 Novembre 2016, 18:11pm

Publié par hugo

Share articleAjouter un commentaire
Israelreligionjudaïsmefemmesmanifestation
Égalité hommes/femmes: heurts près du mur des Lamentations
Des dizaines de manifestants réclamant les mêmes droits de prière pour les femmes que les hommes au mur des Lamentations à Jérusalem se sont rassemblés mercredi 2 novembre 2016
Des dizaines de manifestants réclamant les mêmes droits de prière pour les femmes que les hommes au mur des Lamentations à Jérusalem se sont rassemblés mercredi 2 novembre 2016
afp.com - MENAHEM KAHANA
02 NOV 2016
 Mise à jour 03.11.2016 à 08:10 AFP 
© 2016 AFP
dansAccueilMondeFemmes, le poids des religions
Des dizaines de manifestants réclamant les mêmes droits de prière pour les femmes que les hommes au mur des Lamentations à Jérusalem se sont empoignés mercredi avec des juifs orthodoxes ayant essayé de leur barrer l'accès du site, a constaté un photographe de l'AFP.

Le mouvement "Les Femmes du mur" se bat depuis des années pour obtenir le droit, actuellement réservé aux hommes, de prier et de lire la Torah collectivement et à voix haute devant le mur des Lamentations et de porter le châle de prière.

Il est soutenu par les mouvements juifs libéraux qui accordent une place égale aux femmes et aux hommes dans les rituels.

Aujourd'hui, les femmes prient individuellement dans un espace qui leur est dédié devant le mur, site le plus sacré où les juifs peuvent prier.

Des dizaines d'entre elles, soutenues par autant de rabbins et de membres de communautés juives non-orthodoxes étrangères, ont marché en direction du mur en portant, dans un geste de défiance, plusieurs rouleaux de la Torah.

Les 200 manifestants se sont heurtés à un groupe d'hommes orthodoxes qui les ont invectivés. Ils ont essayé d'empêcher les femmes d'entrer dans leur espace de prière avec les rouleaux dont ils ont tenté de s'emparer, provoquant une bousculade.

"Deux femmes sont tombées par terre, moi-même j'ai perdu des lunettes" dans la confusion, a raconté l'une des "femmes du mur", Sylvie Rozenbaum.

Pour les orthodoxes, seuls les hommes peuvent porter ces rouleaux qui contiennent une copie manuscrite de l'enseignement divin transmis par Moïse.

Les femmes ont finalement réussi à entrer dans la section avec les rouleaux.

"Tout ce que nous demandons, c'est que les ultra-orthodoxes n'exercent plus un monopole sur le judaïsme et que le gouvernement reconnaisse qu'il n'y a pas qu'une seule manière d'être juif en Israël et à l'étranger", a dit Sylvie Rozenbaum.

Le rabbin du mur, Shmuel Rabinowitz, a dénoncé une "provocation" de la part des "Femmes du mur": Elles ont "blessé la sensibilité de milliers de fidèles, hommes et femmes", et "profané la Torah en la faisant passer de mains en mains comme un vulgaire objet".

"Les Femmes du mur" disent avoir organisé un acte de "désobéissance civile".

Après des années de querelle, le gouvernement avait décidé en janvier 2016 de créer un espace mixte de prière, au sud du mur des Lamentations, dans le prolongement des sections hommes et femmes.

Mais cet espace attend toujours de voir officiellement le jour, à cause de l'opposition des partis ultra-orthodoxes, partenaires de la coalition gouvernementale de Benjamin Netanyahu.

Le bureau du Premier ministre a critiqué la manifestation de mercredi.

"Les violations du statu quo commises ce matin au mur des Lamentations sapent les efforts que nous menons actuellement pour parvenir à un compromis", a-t-il dit dans un communiqué.

Israelreligionjudaïsmefemmesmanifestation
AFP
© 2016 AFP
Mise à jour 03.11.2016 à 08:10
SUR LE MÊME THÈME

http://information.tv5monde.com/terriennes/egalite-hommesfemmes-heurts-pres-du-mur-des-lamentations-136969

Voir les commentaires

Trois ministères s’engagent à communiquer sans stéréotype de sexe,femmes,egalite,parite,

3 Novembre 2016, 20:43pm

Publié par hugo

3 NOVEMBRE 2016
Brèves
Trois ministères s’engagent à communiquer sans stéréotype de sexe
Mercredi 2 novembre, le Ministère des Familles, de l’Enfance et des Droits des Femmes, le Ministère des Affaires sociales et de la Santé ainsi que le Ministère du Travail, de l’Emploi, de la Formation et du Dialogue social ont signé une convention pour une communication publique sans stéréotype de genre. Ils s’engagent à suivre les recommandations du guide élaboré par le Haut Conseil à l’Egalité fh, comme par exemple de diversifier les représentations des femmes et des hommes et de féminiser les noms de métiers.

http://www.50-50magazine.fr/2016/11/03/trois-ministeres-sengagent-a-communiquer-sans-stereotype-de-sexe/

Voir les commentaires

Inégalités salariales: Les Françaises appelées à se mettre en grève à partir du lundi 7 novembre à 16h34,femmes,egalite,parite,salaire,

3 Novembre 2016, 11:08am

Publié par hugo

Inégalités salariales: Les Françaises appelées à se mettre en grève à partir du lundi 7 novembre à 16h34
DISCRIMINATION Si elles étaient payées comme les hommes, les salariées françaises pourraient travailler 38,2 jours ouvrés de moins sur l’année…

9
CONTRIBUTIONSRÉAGISSEZ À
CET ARTICLE    
4,2K1530    
IMPRIMERENVOYER
Les inégalités hommes-femmes se sont creusées depuis 2008.
Les inégalités hommes-femmes se sont creusées depuis 2008. - SUPERSTOCK/SIPA
H. B.
Publié le 02.11.2016 à 11:32
Mis à jour le 02.11.2016 à 13:43
Les Françaises veulent suivre l’initiative lancée par les Islandaises. Le collectif Les Glorieuses invite les salariées à réduire leur temps de travail pour combler l’inégalité salariale hommes-femmes en France. Le rendez-vous est fixé au lundi 7 novembre prochain. « A 16h34 (et 7 secondes), les femmes travailleront "bénévolement" », explique l’association qui appelle ainsi à la grève, estimant que « si les femmes étaient payées autant que les hommes, elles pourraient s’arrêter de travailler » ce jour-là, à cette heure précise.
View image on Twitter
View image on Twitter
 Follow
 Les Glorieuses @Les_Glorieuses
#7NOVEMBRE16H34 Les femmes veulent l'égalité des salaires https://www.facebook.com/events/169712343487629/ …
1:00 PM - 28 Oct 2016
  358 358 Retweets   142 142 likes
La date du 7 novembre n’a pas été choisie au hasard. Lundi prochain, les femmes auront travaillé le même nombre de jours ouvrés qu’un homme à salaire égal. « En étant payées 15,1 % de moins que les hommes (sources Eurostat 2010), elles gagneraient alors autant que sur l’année 2016. Les 38,2 jours ouvrés restant représentent la différence de salaire entre les femmes et les hommes », détaille le collectif.
>> A lire aussi : Les Islandaises manifestent pour l’égalité salariale
« Une problématique politique centrale »
« Nous appelons les femmes, les hommes, les syndicats et les organisations féministes à rejoindre le mouvement du "7 novembre 16h34" et à multiplier les événements et manifestations pour faire de l’inégalité salariale une problématique politique centrale », écrivent les organisatrices sur la page Facebook de l’événement.
>> A lire aussi : Egalité hommes-femmes, «pas avant 2186», estime le Forum économique mondial
Un rapport publié la semaine dernière par le Forum économique mondial (WEF) estime qu’ il faudra attendre jusqu’en 2186, soit 170 ans, pour connaître une véritable égalité entre les hommes et les femmes​ au travail.

Lundi 24 octobre dernier, des milliers d’Islandaises avaient quitté leur lieu de travail à 14h38. Ce geste symbolique avait pour vocation de montrer leur mécontentement vis-à-vis des inégalités salariales, qui dans leur pays, est estimé à environ 14 %.
MOTS-CLÉS :  Inégalités salariales, salaire, égalité hommes-femmes, discrimination, Emploi

http://www.20minutes.fr/societe/1953247-20161102-inegalites-salariales-francaises-appelees-mettre-greve-partir-lundi-7-novembre-16h34

Voir les commentaires