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Le blog de hugo,

Inclusives et body positives: comment les marques de lingerie opèrent leur révolution Publié,femmes,societe,

21 Mai 2019, 04:30am

Publié par hugo

 Inclusives et body positives: comment les marques de lingerie opèrent leur révolution
Publié le 6 mai 2019 à 0:30
Avec des représentations de corps moins normés, des collections adaptées à différentes morphologies et un discours dé-stigmatisant, le secteur de la lingerie est en train d’évoluer. On vous explique pourquoi.
 
 
instagram.com/chantelleparis
C’était au mois de décembre, quelques semaines avant le passage à l’année 2019: une publicité géante de la marque Aubade était affichée en plein Paris, sur les hauteurs des Galeries Lafayette, montrant l’une des culottes de la collection, portée par une mannequin positionnée de dos. Rien de très inhabituel pour cette marque connue pour ses publicités suggestives, mais qui n’aura pas manqué, quelques mois après le mouvement #MeToo, de faire polémique et d’être accusée de sexisme. Ce n’est pas la première fois que le secteur de la lingerie est pointé du doigt, notamment pour reléguer le corps des femmes à une image sexy, mais aussi pour mettre en scène un type de corps toujours similaire, généralement très mince et blanc, dans le but de plaire au regard masculin.
Cette époque est doucement en train d’être révolue, grâce à des marques qui cassent les codes de la lingerie, loin des défilés de la marque Victoria’s Secret. Savage X Fenty, la marque de lingerie créée par Rihanna, avait entamé le processus il y a quelques mois en présentant un défilé grandiose qui bousculait tout ce qu’on avait pu voir jusqu’ici. Un show à l’américaine, avec des corps divers, du plus musclé au plus gros, toutes les carnations possibles, et une ode à la féminité totalement assumée. Un événement qui a marqué les esprits, puisque c’était la première fois qu’une marque de lingerie présentait une collection aussi décomplexée.
 
 
 
La petite révolution des dessous
En France, le changement n’a pas tardé à s’opérer, puisque des institutions de la lingerie Française comme Chantelle ont, elles aussi, décidé de faire bouger les lignes pour proposer des collections plus inclusives. À commencer par choisir la mannequin métisse rousse Tehya Elam, originaire de Las Vegas et qui a notamment été remarquée au défilé Savage X Fenty. Même s’il n’est pas franchement hors-normes, le choix de cette égérie a le mérite de s’éloigner des codes plus traditionnels pour une marque aussi prestigieuse que Chantelle.
 
 
 
“Sortir des carcans de la beauté normée, éviter toute forme de définition stricte et caricaturale des genres sont autant de convictions qui animent notre démarche et face auxquelles nous nous sentons un devoir de responsabilité”, explique le directeur artistique de la marque, Renaud Cambuzat. Une identité qui correspond aussi à une nouvelle offre, comme la ligne SoftStretch qui propose des sous-vêtements à taille unique, s’adaptant à toutes les morphologies. Photographiée par l’espagnole Carlota Guerrero, cette ligne est “une nouvelle façon d’appréhender la lingerie: ce n’est plus au corps de s’adapter à la forme du sous-vêtement, mais à ce dernier de faire corps avec toutes les morphologies”.
 
 
Pour Sylvie Borau, professeure de marketing à la Toulouse Business School, “c’est un marché croissant qui permet aux marques de se positionner, et d’améliorer leur image en adaptant leurs produits à différentes morphologies”. Elle note cependant que “beaucoup de marques continuent d’utiliser des mannequins idéalisés pour vendre des produits liés à la séduction et les modèles avec ces corps ne sont pas près de disparaître”.
S’il reste du chemin à faire, ce qui se dessine est prometteur, notamment grâce à Instagram, où la lingerie “nouvelle génération” est plébiscitée. Comme la jeune marque française Ysé qui, dans ses campagnes, montre des corps pluriels qu’on pourrait voir au quotidien, non retouchés et (parfois) avec des bourrelets.
 
 
Au-delà de ce qu’on montre, c’est aussi dans l’offre proposée que la révolution est vraiment en marche, dans le choix des bonnets par exemple, comme la marque Louise Feuillère qui propose de choisir sa lingerie sur mesure selon la taille de sa poitrine ou encore Sorbet Coco qui étend son offre jusqu’au bonnet K. Le futur de la lingerie passera par une diversité des corps, de l’offre proposée, mais sans doute aussi par la non-binarité, comme le propose Les Girls Les Boys, ou par des corps plus âgés, comme le fait Lonely Lingerie.
 
 
Jennifer Padjemi
 
Comment Vinted vous pousse à acheter plus de fringues
1. Comment Vinted vous pousse à acheter plus de fringues
On a lu pour vous cet article qui analyse les méthodes du site de seconde main Vinted et on vous le recommande. 
 
Sous les jupes des hommes: quand la masculinité se réécrit par le style

http://cheekmagazine.fr/mode/lingerie-sous-vetements-inclusivite/

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Des géants de la mode optent pour des silhouettes plus rondes dans leurs pubs,femmes,societe,

21 Mai 2019, 03:37am

Publié par hugo

 Des géants de la mode optent pour des silhouettes plus rondes dans leurs pubs
Par Delphine Perez, 16 mai 2019 | 16h35

H&M, Princesse tam.tam, Ysé font poser des mannequins rondes pour leurs collections.
Connaissez-vous le body positivisme ? Cette attitude, qui consiste à assumer sa silhouette sans jugement, gagne en popularité sur les réseaux sociaux. Le mouvement devenant un marqueur de modernité, les marques commencent à s’y intéresser de plus près.
Preuve de ce frémissement, des poids lourds du prêt-à-porter comme H&M, Princesse tam.tam ou la marque de lingerie Ysé ont choisi de montrer des silhouettes plus rondes et plus naturelles dans leurs campagnes de pubs.
Ces marques ont notamment publié des photos sur les réseaux sociaux de mannequins grandes tailles pour leur collection d'été. Et le résultat est très réussi.
La photo en bikini avec un petit ventre
 
 
On dirait qu’H&M et Ysé ont choisi la même mannequin
 
 
Vergetures apparentes
 

Focus sur la beauté des corps non retouchés
 
Mais ces enseignes se soucient-elle vraiment de la diversité des corps ? Qu’elles présentent des publicités avec des mannequins maigrissimes ou qu’elles insèrent quelques silhouettes différentes, ces références de la mode génèrent des millions de recettes.
La bonne nouvelle reste que des corps qui ne répondent pas aux standards du mannequinat sont désormais visibles.
leparisien.fr

http://www.leparisien.fr/laparisienne/style/des-geants-de-la-mode-optent-pour-des-silhouettes-plus-rondes-dans-leurs-pubs-16-05-2019-8073336.php

TROP MAIGRES c ets pas  bon pour la sante  et  ce ne seont pas des  filles  qui a mon avis  sont bien dans leur peau , entre  un peu de poids et  trop  et pas assez il ya  un  juste milieu , 

un kilo  de trop pas grave  !!!! il  faut  essayer  de ne pas  trop manger  gras etc  mais  aussi  de se faire plaisir  ,  *

 

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Egalité salariale, santé des travailleurs, droits des femmes : au Parlement européen, le FN vote contre ou s’abstient,economie,politiques,

21 Mai 2019, 03:35am

Publié par hugo

 Élections
Egalité salariale, santé des travailleurs, droits des femmes : au Parlement européen, le FN vote contre ou s’abstient
par Rachel Knaebel 15 mai 2019
 
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Aux élections européennes du 26 mai, le Rassemblement national de Marine Le Pen pourrait arriver en tête, comme en 2014. Il devrait dépasser les 20 % de voix. Dans toute l’Europe, des partis d’extrême droite travaillent à une large alliance pour constituer un groupe qui pourrait dépasser 80 députés au Parlement européen. Pour quelle politique ? Que votent les élus du Rassemblement national à Bruxelles et Strasbourg ? Ils se sont certes prononcés contre les récents accords de libres échange, mais aussi, et à chaque fois que cela leur est possible, contre toutes les mesures de protection des travailleurs européens.
Le Front national est arrivé en tête lors des élections européennes de 2014, obtenant près de 25 % des voix et passant de 3 à 24 représentants au Parlement européen. Depuis, le parti a changé de nom, une partie de ses députés l’ont quitté tout en continuant à siéger, comme Bruno Gollnish, Jean-Marie Le Pen ou Florian Philippot. Marine Le Pen a de son côté abandonné son mandat européen pour devenir députée de l’Assemblée nationale en 2017. Aujourd’hui, 15 députés du Rassemblement national siègent à Strasbourg au sein du groupe appelé « Europe des nations et des libertés ». L’extrême droite française s’y est alliée avec les élus italiens de la Ligue – le parti de Matteo Salvini, ministre de l’Intérieur italien –, ceux du FPÖ autrichien, de l’Ukip britannique – qui ont fait campagne pour le Brexit – et du PVV néerlandais, ainsi qu’une poignée d’élus d’extrême droite belges, polonais ou allemand.
Pour le scrutin du 26 mai, le Rassemblement national (RN) est crédité de plus de 20 % d’intentions de votes. À jeu égal avec La République en marche (LREM), il pourrait faire élire une vingtaine de députés. Ils rejoindront probablement la nouvelle alliance d’extrême droite en cours de constitution sous l’égide de la Ligue de Matteo Salvini : l’Alliance européenne des peuples et des nations (EAPN). Grâce à la montée de l’extrême droite presque partout en Europe, de l’AfD allemande au parti espagnol Vox, le groupe pourrait compter près de 90 sièges, contre 37 aujourd’hui (sur 751 sièges, la sortie du Royaume Uni de l’UE ayant été reportée. Ce pôle des extrêmes droites deviendrait ainsi la quatrième force politique en Europe, après la droite conservatrice, les sociaux-démocrates, juste derrière le centre-droit néolibéral.
Secret des affaires : FN et LREM, même combat
Que voteront cette vingtaine de députés français du RN au Parlement européen ? Ils s’inscriront certainement dans la droite ligne de leurs prédécesseurs. En avril 2017, juste avant les élections présidentielles et législatives françaises, Basta ! avait décodé les positions des élus européens du Front national pendant les trois premières années de législature (voir l’article). Nous rappelions que le FN a soutenu la directive sur le « secret des affaires », directement inspirée par des cabinets de lobbying au service de grandes multinationales, qui empêche salariés, syndicalistes et journalistes d’alerter ou d’informer sur ce que les entreprises font, dès lors que leurs enquêtes mettraient en péril leur business.
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Transposé en France par la majorité macroniste, ce « secret des affaires » a déjà été invoqué pour protéger un laboratoire pharmaceutique face au scandale du Levothyrox, dénoncé par le site Les Jours, ou pour entraver une enquête du Monde sur les « Implant Files ». En Allemagne, il a servi à poursuivre en justice un journaliste ayant enquêté sur une affaire de fraude fiscale. Cela, en partie grâce aux votes des élus FN/RN. Ceux-ci s’étaient aussi désintéressés des discussions et votes en commission sur les accords de libre-échange avec les États-Unis et le Canada. Et se sont opposés à une résolution pour lutter contre la désindustrialisation en Europe.
Égalité salariale entre hommes et femmes : Le RN vote contre
Ces deux dernières années, les élus du RN ont continué dans la même veine : ils votent systématiquement contre les mesures de protection des travailleurs, encore plus s’il s’agit de travailleuses. En mars dernier, les députés européens doivent se prononcer sur une résolution en faveur de l’égalité professionnelle entre femmes et hommes dans l’UE. Dans les faits, il s’agit d’en finir avec les écarts de salaire injustifiés, à postes équivalents. Le texte incite la Commission européenne à agir contre ces discriminations salariales par le biais d’une directive, et demande la création d’un observatoire européen de la violence sexiste. La résolution est adoptée. Mais les élus du FN votent contre, sauf Louis Aliot, absent [1].
En mai 2018, c’est contre l’égalité de traitement pour les travailleurs détachés que votent les élus d’extrême droite. La possibilité du travail détaché a été créée par une directive de 1996, quand l’Union européenne ne comptait que quinze pays. Grâce à elle, les entreprises peuvent faire venir des travailleurs d’un autre pays européen, tout en les employant aux conditions du pays d’origine. Concrètement, cela permet à un employeur en France d’embaucher à moindre frais, pendant une période limitée, des travailleurs venus de pays où le salaire minimum et les protections sociales sont bien plus faibles qu’en France.
Mettre fin au dumping social des travailleurs détachés : le RN s’abstient
Ce statut pousse à la fois au dumping social et à l’exploitation des travailleurs (lire notre article Salaire amputé, logement indécent et droits bafoués : bienvenue dans la vie d’un travailleur détaché). 22 ans après les début du travail détaché, l’Europe légifère enfin pour imposer l’égalité de salaire entre travailleurs détachés et locaux. En mai 2018, le Parlement européen adopte ainsi un texte imposant que les travailleurs détachés touchent le même salaire, à poste équivalent, que ceux du pays où se déroule la mission, y compris les primes prévues par les conventions collectives. Le texte ne met pas fin à l’exploitation des travailleurs en Europe, mais restreint la mise en concurrence des salariés français, belges, allemands avec des travailleurs polonais, bulgares, roumains employés auparavant pour moins chers, et littéralement exploités.
Qu’on fait les élus du FN/RN lors de ce vote, le 29 mai 2018 ? Ils se sont abstenus. Sauf l’un d’entre eux, Nicolas Bay, qui a voté pour, en expliquant ensuite s’être trompé et qu’il souhaitait en fait lui aussi s’abstenir. Au sein du groupe des élus d’Extrême droite Europe des nations, seuls les députés du FPÖ autrichien ont voté pour cette égalité salariale entre locaux et « détachés » [2].
Face aux cancers professionnels qui frappent les ouvriers : le RN s’abstient
Le 11 décembre 2018, une résolution est soumise au vote des députés européens sur la protection des travailleurs face aux produits cancérigènes. C’est une question essentielle de santé au travail : 100 000 européens meurent chaque année d’un cancer professionnel, en grande majorité des ouvriers. Le projet de résolution fixe des seuils d’exposition plus stricts et inclut de nouvelles substances dans la liste des produits considérés comme toxiques, comme les émissions de diesel. Encore une fois, tous les députés du Rassemblement national s’abstiennent. Les Italiens de la Ligue votent pour, les Autrichiens du FPÖ et les Polonais contre [3].
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Le Parlement européen s’est aussi récemment prononcé sur deux nouveaux accords de libre échange, avec le Japon (le Jefta) et avec Singapour (au sujet de cet accord, voir notre article). Les élus du RN semblent davantage s’intéresser à la question des accords commerciaux à l’approche du scrutin que lorsqu’il s’agissait de se mobiliser contre les traités de libre-échange avec le Canada et les États-Unis. Le 13 février, ils votent contre l’accord avec Singapour, comme l’ensemble des élus français des groupes verts et de la gauche radicale, ainsi qu’une partie des socialistes. Les libéraux et la droite votent pour.
Émancipation des femmes : Le RN vote contre
Le RN s’oppose systématiquement à toute mesure d’égalité entre femmes et hommes. Le 4 avril dernier, le Parlement donne son feu vert à une directive sur l’équilibre entre vie familiale et vie professionnelle. Le texte définit des normes minimales pour protéger les parents dans toute l’Europe, inciter les pères à s’occuper de leur famille, aider les mères à pouvoir continuer à travailler, et donc renforcer l’égalité femmes-hommes. Les élus RN s’abstiennent ou votent contre [4]. D’ailleurs, plusieurs d’entre-eux ne cessent de rappeler leur vision de la « famille traditionnelle » [5] – comme le député RN Gilles Lebreton lors d’une intervention dans l’hémicycle européen en 2016 – et en faveur d’une « politique nataliste » qui se veut surtout anti-immigration, comme le défend la députée RN Marie-Christine Arnautu [6], en prenant exemple sur les discours de Viktor Orban, le Premier ministre hongrois, et de Matteo Salvini en Italie. Bref, pour le RN, même quand il s’agit de réduire les inégalités, rien de ce qui vient de l’Europe n’est bon à prendre.
Rachel Knaebel
Lire aussi :
 Natalité, famille, patrie : comment Viktor Orban renvoie les femmes hongroises au foyer
 Notre précédente enquête (20 avril 2017) : Au Parlement européen, les votes méprisants du FN et de Marine Le Pen à l’égard des travailleurs

https://www.bastamag.net/election-europeene-RN-FN-Le-Pen-vote-parlement-europeen-droit-des-travailleurs

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Cinéma et handicap : à Cannes, le festival Entre’2 marches voit plus long,handicap,

20 Mai 2019, 04:31am

Publié par hugo

 Accueil > Vie Sociale > Culture/Loisirs > Cinéma et handicap : à Cannes, le festival Entre’2 marches voit plus long
 
De 29 films en 2010, l'équipe du festival Entre'2 marches est passée cette année à 700 candidatures en provenance de 91 pays. © Olivier Wagner
Cinéma et handicap : à Cannes, le festival Entre’2 marches voit plus long
Corinne Manoury il y a 3 jours Culture/Loisirs Laisser un commentaire
Pour son dixième anniversaire, Entre’2 marches joue dans la cour des grands. L’autre festival de Cannes, dédié au thème du handicap, présente en effet cette année des longs métrages en compétition. Début des festivités samedi 18 mai.
« Si nous voulions faire un vrai festival de cinéma, il fallait passer au long métrage ! » C’est ainsi, tout simplement, que Dominique Véran, présidente d’Entre’2 marches, justifie le choix de ne plus se limiter aux courts métrages pour cette dixième édition du festival se tenant à Cannes du 18 au 24 mai.
Devoir de mémoire avec La Faim des fous
Dans la sélection du festival cette année, en compétition, il y a le documentaire de Franck Seuret, La Faim des fous. Un film qui lève le voile sur le terrible destin de 45 000 personnes en situation de handicap, mortes de dénutrition dans les asiles psychiatriques pendant la Seconde Guerre mondiale. Destin que leurs proches ont souvent découvert par hasard, comme Isabelle Gautier, fil rouge du documentaire.
Lire aussi
The Voice : une candidate handicapée sélectionnée pour les battles
Également au programme, This Business of autism de l’Américain Stephen Mackey. Un documentaire qui présente les avantages économiques et sociétaux de développer l’emploi des adultes autistes.
Autisme aux États-Unis, histoires de fratries dans l’Himalaya
Mon Frère, ce héros du réalisateur israélien Yonatan Nir présente l’histoire d’un groupe de jeunes atteints du syndrome de Down qui entreprennent un trek exigeant dans l’Himalaya indien, en compagnie de leurs frères et sœurs. Face à des défis physiques et émotionnels, ils se redécouvrent.
Hors compétition, deux autres longs métrages seront projetés durant la cérémonie d’ouverture, samedi 18 mai. D’une part, Amour, sexe et handicap de Jean-Michel Carré, président du jury cette année. D’autre part, Handi’Cap en terres népalaises d’Olivier Marchal. Un film relatant l’aventure de Dominique Véran avec une autre personne en fauteuil, une personne non-voyante et une personne sourde sur le toit du monde.

https://www.faire-face.fr/2019/05/17/festival-cinema-handicap-cannes/

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Emploi et handicap : une journée en duo à France Bleu Hérault,handicap,emploi

20 Mai 2019, 04:27am

Publié par hugo

 
Accueil > Emploi > Emploi et handicap : une journée en duo à France Bleu Hérault
 
Le secrétariat d’État chargé des personnes handicapées revendique plus de 12 000 duos en 2019. Objectif : faire découvrir différents métiers aux personnes en situation de handicap. © DR
Emploi et handicap : une journée en duo à France Bleu Hérault
Sophie Massieu il y a 4 jours Emploi, Secteur Ordinaire Laisser un commentaire
France Bleu Hérault accueille deux personnes en situation de handicap, ce 16 mai, dans le cadre du DuoDay. Hamid Mihoub, qui travaille dans l’Ésat APF France handicap de Montpellier, espère que cela lui ouvrira des perspectives d’emploi en milieu ordinaire. Et l’équipe qui le reçoit se montre impatiente de partager son quotidien.
« J’aime la musique et l’information. » Voilà ce qui a guidé le choix de Hamid Mihoub, 44 ans, quand avec son référent il a choisi, sur la plateforme du DuoDay, l’entreprise qui allait l’accueillir. Ce travailleur de l’Ésat APF France handicap de Montpellier ne quittera pas la ville et passera son jeudi 16 mai à France Bleu Hérault, la locale de Radio France.
Il a rencontré l’équipe en amont, notamment pour vérifier l’accessibilité des locaux. Pour eux tous, participer à l’édition du DuoDay 2019 est une première.
Cette année, le secrétariat d’État chargé des personnes handicapées revendique plus de 12 000 duos. Le principe ? Pendant une journée, des personnes handicapées sont accueillies en entreprise et découvrent différents métiers.
« Des pistes pour la suite. »
Participer à la conférence de rédaction, voir comment se prépare une émission avant son passage à l’antenne, voilà ce que va apprendre Hamid Mihoub. « Nous montrerons comment fonctionne une radio en situation habituelle », promet Hervé Chabbal, directeur des programmes de la station.
« Je vais découvrir la façon de travailler dans une entreprise ordinaire. J’espère que cela me donnera des pistes pour la suite. Pour mes loisirs ou mon travail, explique Hamid Mihoub. Et puis je veux faire bonne figure ! Je porte la bannière de l’Ésat ! » Élisabeth Badinier, rédactrice en chef, trouve là l’occasion de se « mettre à la place d’une personne handicapée et peut-être de faire tomber des préjugés, voire ensuite de traiter avec moins de froideur certains sujets d’actualité… »
Lire aussi
Le Févier d’Or, une chocolaterie qui a tout bon
400 collaborateurs de Radio France mobilisés pour le DuoDay
Au total, Radio France a créé cinquante duos et mobilisé quatre-cents de ses collaborateurs, les personnes étant le plus souvent reçues par des équipes. «Il est important pour nous de montrer que tous nos métiers sont accessibles», justifie Sophie Coudreuse, déléguée à l’égalité des chances.
Et de se réjouir que, des métiers de l’antenne aux fonctions support comme les achats ou les ressources humaines, tous les services soient impliqués. «Cela permet à la mission handicap d’élargir son réseau interne pour, ensuite, faciliter stages et recrutements… »
« Cela permet à la mission handicap d’élargir son réseau interne pour, ensuite, faciliter stages et recrutements… »
Le Duo2, un DuoDay à l’envers
La Fondation des amis de l’atelier, qui gère huit Ésat, a organisé des Duo2, en octobre 2018 et mars 2019. Le but ? Accueillir des personnes valides au sein de l’un de ses établissements. Lors de la dernière édition, soixante duos ont été formés. La fondation envisage donc d’organiser des journées de ce type tous les trois mois. Par ailleurs, elle participe au Duoday avec cent vingt-cinq personnes en situation de handicap engagées.

https://www.faire-face.fr/2019/05/16/duoday-emploi-duo-france-bleu-herault/

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Europe. L’ombre de l’extrême droite sur les politiques migratoires,

20 Mai 2019, 04:25am

Publié par hugo

 
 

Europe. L’ombre de l’extrême droite sur les politiques migratoires
Jeudi, 16 Mai, 2019
Emilien Urbach
Derrière des oppositions de façade, en matière d’immigration, les dirigeants européens ont collectivement obéi, durant les cinq dernières années, aux logiques du repli nationaliste et de l’emballement répressif.
Bouclage des frontières, externalisation du contrôle des flux migratoires, violation des traités internationaux, accords honteux avec des États piétinant régulièrement les droits de l’homme, communication anxiogène, criminalisation des actions de solidarité… Depuis les élections européennes de 2014, qui ont vu, en France, le parti lepéniste arriver en tête, les dirigeants des pays membres de l’Union européenne (UE) ont choisi, en matière d’immigration, de mener une politique d’extrême droite en s’appuyant sur le fantasme d’une supposée « crise migratoire ».
Il y a, bien sûr, les purs et durs, à l’image du président hongrois, Viktor Orban, qui vont jusqu’à priver les demandeurs d’asile de nourriture ou montent des murs de barbelés à leurs frontières. Et il y a ceux, plus hypocrites, qui feignent, de temps à autre, l’indignation mais n’hésitent pas à refouler quotidiennement des mineurs isolés, à jouer de la matraque contre les exilés, à embastiller leurs soutiens ou à prolonger la durée légale de la rétention administrative des étrangers passibles d’expulsion. Pour ceux-là, qu’il s’agisse, par exemple, de la stratégie de non-accueil délibérément mise en place, en son temps, à Calais, par le ministre de l’Intérieur du gouvernement Valls, Bernard Cazeneuve, et plus récemment, par ses successeurs, dans le Briançonnais, ou du refus, l’été dernier, d’Emmanuel Macron, d’accueillir l’ Aquarius dans un port français, on nous a d’abord expliqué que leurs choix visaient justement à contrer l’ascension des partis populistes et xénophobes.
Au final, à force de jouer sur les peurs et de combattre la solidarité, partout en Europe, des groupuscules néofascistes agissent en toute impunité et le nombre de gouvernements européens tombés aux mains des partis les plus réactionnaires s’agrandit, imposant finalement à tous leurs logiques criminelles. A contrario, en Grèce, par exemple, où, malgré un contexte social et économique très défavorable, de véritables moyens ont été donnés à l’accueil des immigrés, l’hospitalité et la fraternité restent de solides barrages contre la progression des aspirations identitaires et haineuses.
En tout cas, même si les eurodéputés et la Commission parviennent parfois à élaborer des propositions plus humanistes, elles se heurtent régulièrement aux décisions des États réunis au sein du Conseil européen et deviennent, le plus souvent, inopérantes. Ce fut le cas des plans de relocalisations consécutifs à l’émotion suscitée par la photo du petit Aylan Kurdi, retrouvé mort sur une plage turque, le 3 septembre 2015.
L’hypocrisie européenne et française face au drame libyen
Si l’UE trouve les moyens d’être contraignante quand il s’agit de déficit public, elle ne l’est absolument pas quand il s’agit de l’accueil des étrangers. La proposition portée par Ian Brossat, tête de liste du PCF pour les prochaines élections européennes, d’une « clé de répartition » régulant le nombre de demandeurs d’asile que chaque État devrait accueillir va dans le bon sens. Mais il faudra un tout autre rapport de forces au sein de l’Union pour réussir à l’imposer.
En attendant, les États s’appuient sur les accords de Dublin pour éviter d’avoir à prendre leurs responsabilités (lire ci-contre) et multiplient les subventions accordées aux programmes de renforcement des frontières, comme à l’agence Frontex. Avec 328 millions d’euros de budget, l’organisme de contrôle aux frontières européennes a réalisé plus de 13 000 opérations d’expulsions, en 2018, contre 3 500 en 2015, alors que le nombre d’exilés entrés sur le territoire européen était sept fois plus important.
« Un jour se tiendra un deuxième procès de Nuremberg où les dirigeants européens auront à répondre de leurs crimes », déclarait à l’Humanité, en août 2018, le maire de Palerme Léoluca Orlando, lors d’une rencontre à la villa Niscemi, dans la capitale sicilienne. Moins d’une semaine après la noyade de près de 70 personnes fuyant la Libye, aux larges des côtes tunisiennes, ses propos restent plus que jamais d’actualité.
Ces morts, comme des milliers d’autres, sont la conséquence directe des politiques européennes qui ont entraîné la disparition des navires de sauvetage en Méditerranée centrale. Une dizaine, affrétés par différentes ONG, y naviguaient encore, durant l’été 2016. Mais, entre-temps, les pays membres de l’Union européenne, l’Italie en tête, ont choisi d’abandonner la zone aux milices libyennes de la Tripolitaine. Plusieurs esquifs de guerre ont même été livrés par le gouvernement populiste de Giuseppe Conte et Matteo Salvini à ces groupes armés. Et, nouvel exemple d’hypocrisie européenne, la France annonce, au début de la semaine, qu’elle compte accueillir une poignée de réfugiés bloqués sur un navire au large de Malte mais s’apprête, elle aussi, à offrir six bateaux aux Libyens. 6 000 exilés sont actuellement enfermés dans des centres de détention libyens, dont 3 000 aux alentours de Tripoli où des affrontements sont en cours, depuis début avril, dans lesquels sont utilisés les navires européens.
« Depuis le début des combats, seulement 455 personnes ont pu être évacuées », déclarait vendredi dernier, dans un communiqué, l’ONG Médecins sans frontières, envisageant de saisir le Conseil d’État pour faire interdire la livraison des bateaux français.  « C’est un scandale qu’en toute connaissance de cause (…) la France décide de donner plus de moyens pour que les réfugiés et migrants soient ramenés en Libye. Tout devrait être mis en œuvre au contraire (…) pour permettre le retour de capacités de sauvetage en mer. »
Au lieu de cela, le ministre de l’Intérieur italien, Matteo Salvini, a annoncé, ce même vendredi, qu’il comptait prendre un décret infligeant une amende de 5 500 euros aux sauveteurs en mer pour chaque personne secourue, sans aucune réaction des autres membres de l’UE.
des centaines d’exilés trouvent la mort dans le désert nigérien
Dans ce silence assourdissant, l’homme fort de l’extrême droite européenne semble être seul maintenant à faire, en matière d’immigration, la pluie et le beau temps. Et il compte pousser jusqu’au bout la logique d’externalisation des politiques migratoires de l’UE. L’été dernier, il militait pour la création de « centres d’accueil et d’identification » au sud de la Libye et, sur ce plan aussi, ses homologues, siégeant au Conseil européen, lui ont déjà emboîté le pas. Comme pour les accords passés avec la Turquie d’Erdogan, le Soudan d’El Béchir ou encore le Maroc, l’UE a pris l’habitude, ces dernières années, de conditionner le versement des aides financières au développement à la mise en place de politiques de limitation des flux migratoires vers l’Europe. Au Niger, un des meilleurs alliés de la France sur le continent africain, le « hotspot » d’Agadez est le parfait exemple de cette politique aux relents colonialistes. Largement financée par le Fonds fiduciaire d’urgence pour l’Afrique, la France promettait de venir y chercher des milliers de réfugiés correspondant à ses critères d’attribution de l’asile. En fin de compte, seules quelques dizaines de personnes ont finalement pu rejoindre l’Hexagone alors que la région entière est déstabilisée et que des centaines d’exilés trouvent finalement la mort dans le désert nigérien, pourchassés par des 4×4 eux aussi financés par les pays membres de l’UE.
Dans l’esprit comme dans les faits, les idées d’extrême droite, non sans l’aide des lobbies de la sécurité et de l’armement, président largement à la mise en œuvre des politiques migratoires européennes. Pour changer de cap dans les cinq années qui viennent, il faudra sans doute que les parlementaires porteurs d’une autre vision que celle de l’Europe forteresse soient plus nombreux. Mais leurs actions risquent bien de rester vaines sans imposer de profonds changements dans le fonctionnement démocratique de l’UE.
Émilien Urbach
 
https://www.humanite.fr/europe-lombre-de-lextreme-droite-sur-les-politiques-migratoires-672305

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Ils n’ont pas honte !. Lourdement armée d’un… fauteuil roulant,handicap,

20 Mai 2019, 02:11am

Publié par hugo

 Ils n’ont pas honte !. Lourdement armée d’un… fauteuil roulant
Jeudi, 16 Mai, 2019
Alexandre Fache
À Toulouse, Odile Maurin est poursuivie pour violence avec arme (son fauteuil) pour s’être placée devant un canon à eau.
Le fauteuil électrique d’une personne handicapée peut-il être une « arme par destination » ? C’est ce que tente de faire croire – sans rire – la justice, qui poursuit, ce jeudi à Toulouse, Odile Maurin, l’énergique présidente de l’association Handi-social, devenue, au fil des samedis, une figure des gilets jaunes de la Ville rose. La militante doit comparaître devant le tribunal correctionnel, accusée d’outrage et de violences envers des policiers, des violences qu’elle aurait exercées grâce à… son fauteuil roulant ! C’est la mobilisation du 30 mars qui vaut à Odile Maurin cette humiliante convocation. « Ce jour-là, la police nous a empêchés de poursuivre notre marche alors que le cortège était totalement pacifique », a-t-elle raconté à l’AFP, assurant que les pandores avaient « déclaré la guerre aux manifestants en faisant usage de grenades lacrymogènes et du canon à eau ». La militante reconnaît s’être placée devant ledit canon, mais pas du tout avoir « volontairement entravé l’arrivée des secours », et encore moins exercé une quelconque violence sur les hommes en bleu. « Oui, un policier est techniquement tombé », reconnaît-elle, « mais c’est son collègue qui avait manipulé le joystick de mon fauteuil que je ne contrôlais plus ». Précision : elle-même est sortie de cet épisode avec « cinq fractures au pied », quand son fauteuil, manipulé par les « forces de l’ordre », a « rencontré » un véhicule de police.
Pour la militante, aucun doute : ces poursuites constituent « une tentative d’intimidation » destinée à la « faire taire » et à l’empêcher de continuer ses actions coups de poing. Très mobilisée contre la loi Elan, Odile Maurin avait ainsi, en août, organisé le blocage d’un convoi de pièces de l’Airbus A380, puis celui d’un TGV en octobre, ou encore l’enfarinage d’un député En marche ! en novembre. Faute d’avoir pu consulter le dossier d’accusation, son avocat, Me Pascal Nakache, devrait demander le renvoi du procès.
Alexandre Fache

 


https://www.humanite.fr/ils-nont-pas-honte-lourdement-armee-dun-fauteuil-roulant-672296
 

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Comment bien masturber son ou sa partenaire ?

20 Mai 2019, 02:05am

Publié par hugo

100% psycho-sexo
 
Comment bien masturber son ou sa partenaire ?
Rédigé le 07/05/2019 / 0
A l'occasion de la Journée mondiale de la masturbation, zoom sur la façon d'amener son ou sa partenaire au 7ème ciel juste avec ses doigts...
Pratique à part entière, elle n'est pas réservée aux plaisirs solitaires ! C'est même un jeu puissamment érotique lorsqu'elle est réalisée avec son ou sa partenaire. Chacun peut se caresser en regardant l'autre ou il/elle peut lui donner du plaisir avec ses doigts agiles. Voici quelques conseils pratiques.
Homme ou femme, les conseils communs
Privilégiez une position confortable, pour éviter les crampes...
Soyez doux/douce : le pénis comme la vulve et le vagin, sont des tissus vivants et délicats. A traiter avec la plus grande délicatesse au départ !
Utilisez un lubrifiant pour faciliter les caresses (notamment pour les femmes, on ne caresse jamais un clitoris à sec !). Ou au moins posez la question du lubrifiant, si vous constatez que le sexe n'est pas encore bien lubrifié. La salive n'est pas une option fiable avec un nouveau partenaire car elle est susceptible de transmettre des infections sexuellement transmissibles (herpès, papillomavirus,...).
Soyez très attentif aux signes indirects de plaisir : accélération de la respiration, gémissements, sursaut, jambes qui s'écartent ou dos qui se cambre... Ils traduisent que vous êtes sur la bonne voie !
Guettez les signes d'ennui... si elle/il semble penser à la liste de course ou à sa prochaine réunion, revoyez le modus operandi (en passant au point suivant par exemple).
Demandez-lui de se masturber en posant votre main sur la sienne, pour avoir le bon rythme. Puis inversez et demandez-lui de poser sa main sur la sienne pour avoir conscience de la pression.
Masturber une femme
Ne vous jetez pas goulûment sur le clitoris. Eveillez le désir avant, avec des caresses de tout le corps puis plus ciblées, de l'intérieur des cuisses, du ventre, de la vulve...
Testez les façons de faire : faites des cercles autour du clitoris, ou stimulez-le de haut en bas, tapotez-le... Prenez le temps car l'orgasme nécessite parfois
De temps en temps (ou en même temps si vous maîtrisez), introduisez dans le vagin un ou deux doigts crochetés vers l'avant, pour stimuler la paroi antérieure. Ou faites des mouvements de va-et-vient plus profond.
N'hésitez pas à lui demander si cela convient ou de vous montrer... Vous pouvez alors vous placer derrière elle, et la caresser ainsi.
Pour en savoir plus :
Comment bien masturber sa partenaire sur 100% psycho sexo
Livre Osez la masturbation féminine, Jane Hunt, aux éditions La Musardine. 8,10€
Masturber un homme
Attention à ne pas trop tirer le prépuce, ce qui est douloureux.
Variez le rythme, la pression et les mouvements : sur le côté (comme si on dévisser un bouchon) au niveau du gland, en alternant avec des mouvements de haut en bas, tout le long du pénis.
Vous pouvez varier les stimulations en ajoutant votre langue et votre bouche...
N'oubliez pas le reste du corps. Caressez avec la main libre, les testicules, le périnée, l'intérieur des cuisses.
Pour plus de détails :
Comment masturber son partenaire  sur 100% psycho-sexo
Livre Osez la masturbation masculine, par Antonin Paz, aux éditions LaMusardine. 8€

https://www.allodocteurs.fr/blogs/100-psycho-sexo/comment-bien-masturber-son-ou-sa-partenaire_1324.html

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« Les femmes ne sont bonnes qu’à avoir des enfants » : le coup de gueule des footballeuses allemandes,femmes,feminisme,

20 Mai 2019, 01:43am

Publié par hugo


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« Les femmes ne sont bonnes qu’à avoir des enfants » : le coup de gueule des footballeuses allemandes
Publié le 17 mai 2019 à 16h45
©DW Sports/Twitter
Elles en ont assez des clichés sexistes quelles entendent encore trop souvent. Dans une vidéo diffusée mardi 14 mai sur Twitter, l’équipe de foot féminine d’Allemagne dénonce avec humour l’indifférence qui frappe le football féminin. A moins d’un mois de la Coupe du Monde de football féminin, leur clip s’avère nécessaire.
« Nous jouons pour une nation qui ne connaît même pas nos noms. » C’est par ce triste constat que débute une vidéo réalisée par l’équipe de foot féminine d’Allemagne et partagée sur Twitter mardi 14 mai. Sous une lumière tamisée laissant à peine voir leurs visages, les footballeuses allemandes pointent du doigt leur anonymat. Comment expliquer que personne ne les connaisse alors qu’elles ont été championnes d’Europe à huit reprises et double championnes du monde en 2003 et 2007 ? En posant la question, celles qui participeront à la Coupe du Monde féminine 2019 dans à peine trois semaines dénoncent l’indifférence qui frappe le football féminin. Mais ce n’est pas tout. Dans leur clip, les sportives allemandes énoncent les préjugés sexistes auxquels elles ont été confrontées tout au long de leur carrière : « Les femmes ne sont bonnes qu’à avoir des enfants » ou encore « C’est comme regarder des amateurs au ralenti ». Des idées reçues qu’elles démontent avec ironie : « On n’a peut-être pas des "balls" (testicules en anglais), mais on sait très bien s’en servir ! ».

Soutenons les Bleues !
À l’approche de la Coupe du Monde de football féminin, qui se tiendra en France du 7 juin au 7 juillet prochain, cette vidéo est nécessaire. Pas seulement pour les Allemands, mais pour nous aussi. Sommes-nous capables de citer les noms des 23 footballeuses de l’équipe de France ? Allons-nous nous mobiliser de la même manière pour elles que nous l’avons fait pour l’équipe de France masculine l’été dernier ? Une chose est sûre : les Bleues, elles, sont prêtes à rentrer dans la compétition et pourraient bien nous faire rêver. Alors, on se mobilise pour les soutenir !
 
http://www.elle.fr/Societe/News/Les-femmes-ne-sont-bonnes-qu-a-avoir-des-enfants-le-coup-de-gueule-des-footballeuses-allemandes-3790512

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#YouKnowMe : la riposte des femmes contre l’interdiction de l’IVG en Alabama,femmes,ivg,

20 Mai 2019, 01:40am

Publié par hugo

 #YouKnowMe : la riposte des femmes contre l’interdiction de l’IVG en Alabama
Publié le 17 mai 2019 à 12h26
C'est l'actrice américaine Busy Philipps qui a lancé le hashtag #YouKnowMe © Agence / Bestimage
Après la promulgation dans l’Etat de l’Alabama de la loi la plus répressive aux Etats-Unis concernant l’IVG, de nombreuses femmes ont tenu à témoigner de leur avortement sur les réseaux sociaux. Avec le hashtag #YouKnowMe, elles racontent pourquoi elles ont, un jour, fait le choix d’une IVG. Et pourquoi ce droit est précieux.
On dirait un mauvais scénario de science-fiction, et pourtant… Dans l’Etat de l’Alabama, aux Etats-Unis, les femmes ne pourront désormais plus avorter que si elles sont en danger de mort. Même si elles ont été violées ou victimes d’inceste, elles ne pourront plus décider de mettre un terme à leur grossesse. Et les médecins recourant à des IVG seront passibles de peines de prison. Ce projet de loi a d’abord été voté par les membres du Sénat, une majorité d’hommes blancs conservateurs, comme le rappelle l’actrice américaine Alyssa Milano dans un tweet. Mais c’est une femme qui l’a promulguée : Kay Yvey, la gouverneure d’Alabama. Alors que les associations vont porter l’affaire en justice, la riposte vient aussi des femmes. Et notamment avec un hashtag.

« J’ai vraiment peur pour les femmes et les filles de ce pays. »
Pour rappel, avant l’Alabama, c’est dans l’Etat de Georgie qu’ une autre loi - qui entrera en application en janvier 2020 - fait froid dans le dos. Les femmes ne pourront plus avorter à partir du moment où les médecins pourront détecter « une activité cardiaque embryonnaire ou fœtale », vers la sixième semaine de grossesse en général. Si elles décident d’avoir recours à un avortement, les femmes risqueront alors la prison à vie, voire la peine de mort. L’actrice Busy Phillips, qui a joué notamment dans « Dawson » avait été l’une des premières à réagir. « Toutes les femmes méritent de la compassion et de l’attention et non des jugements ou de l’ingérence lorsqu’il s’agit de leur propre corps. Les statistiques prouvent qu’une femme sur quatre va avoir recours à un avortement avant l’âge de 45 ans », avait-elle rappelé, avant de revenir sur sa propre expérience. « J’ai eu une interruption volontaire de grossesse lorsque j’avais 15 ans et je vous le dis car j’ai vraiment peur pour les femmes et les filles de ce pays et je pense qu’on a tous besoin de parler plus et partager nos histoires davantage », expliquait-elle très émue dans l’émission « Busy Tonight ».
Pour réagir à la situation en Alabama, elle a décidé de lancer un appel aux femmes via le hashtag  #YouKnowMe,  pour « partager et commencer à mettre fin à la honte ». « Une femme sur quatre a eu recours à une interruption volontaire de grossesse. Beaucoup de gens pensent qu’ils ne connaissent pas quelqu’un qui en a eu une, mais vous me connaissez (you know me). Faisons donc ceci : si vous êtes aussi cette personne sur quatre, partagez-le et commençons à mettre fin à la honte. Utilisez #Youknowme et partageons la vérité », écrit-elle sur Twitter.
Et elles ont écrit. Des centaines d’Américaines mais des Françaises aussi qui racontent leur histoire. Des témoignages, forts et puissants, qui rappellent combien la loi Veil a changé la vie des femmes. 
 
http://www.elle.fr/Societe/News/YouKnowMe-la-riposte-des-femmes-contre-l-interdiction-de-l-IVG-en-Alabama-3790428
 

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