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Un médecin risque la radiation pour ses propos sur l’extermination des handicapés,handicap,racisme,

28 Juin 2017, 11:35am

Publié par hugo

Un médecin risque la radiation pour ses propos sur l’extermination des handicapés

Par Benjamin Morin, correspondant à Caen
A Lyon, en 2009. Jean-François Pion ne comprend pas «qu’on laisse [les handicapés] se reproduire».
A Lyon, en 2009. Jean-François Pion ne comprend pas «qu’on laisse [les handicapés] se reproduire». Photo Sébastien Erome. SignaturesFacebook Twitter

Jean-François Pion a minimisé samedi devant la chambre disciplinaire de l’ordre régional des médecins de Basse-Normandie ses déclarations justifiant la solution finale pour les handicapés.

A Lyon, en 2009. Jean-François Pion ne comprend pas «qu’on laisse [les handicapés] se reproduire». Photo Sébastien Erome. Signatures

Jean-François Pion a minimisé samedi devant la chambre disciplinaire de l’ordre régional des médecins de Basse-Normandie ses déclarations justifiant la solution finale pour les handicapés.

  • Un médecin risque la radiation pour ses propos sur l’extermination des handicapés

«Nazis», «cyanure», «stérilisation»… Dans la salle d’audience où il est question de personnes handicapées, les propos choquent. Certaines personnes soupirent. Jean-François Pion, lui, reste stoïque. Assis derrière son avocat, le médecin cherbourgeois écoute attentivement le compte rendu fait par le magistrat rapporteur. Il est un peu plus de 11 heures, samedi. Généraliste à Cherbourg dans la Manche, l’homme comparaît devant la chambre disciplinaire de l’ordre régional des médecins de Basse-Normandie, à Caen (Calvados).

L’agence régionale de santé (ARS) lui reproche des propos tenus au chevet d’un patient handicapé, le 21 janvier dernier. Le praticien aurait notamment défendu «la logique de la solution finale des nazis». Lui ne nie pas les propos au cœur de la polémique. Il les nuance. Les minimise. C’est une infirmière de la maison d’accueil spécialisé (MAS) de la Glacerie, une commune de 5 900 habitants, du Nord-Cotentin, qui a rapporté les faits à sa hiérarchie. Cette dernière a saisi l’ARS, qui a transféré le dossier au conseil de l’ordre des médecins.

L’établissement accueille des personnes lourdement handicapées, dont l’état de santé nécessite une surveillance et des soins constants. Il y a cinq mois, l’infirmière et le docteur Pion attendent à la MAS une ambulance qui doit transporter un patient présentant un handicap sévère vers l’hôpital de Cherbourg. Dans le bureau des infirmières, le médecin partage alors ses réflexions sur la place dans la société «des neuneus» hébergés au sein de l’établissement. Pendant quarante minutes, le généraliste développe sa réflexion. Il aborde le sort réservé aux handicapés et aux homosexuels par le régime nazi. Le médecin évoque leur extermination. Jean-François Pion explique alors à son interlocutrice que «les nazis ont pris les individus qui ne servaient à rien dans la société», détaille le magistrat rapporteur. Face à l’infirmière, perplexe, il ajoute que seuls ceux qui ont servi de cobayes «ont été utiles, de cette façon». Pour le généraliste : «Si on parle de façon intellectuelle, c’est logique.»

«Cyanure». A la barre, l’homme est sûr de lui, confiant. Il rappelle qu’aucune faute ne lui a jamais été reprochée «en vingt ans de service». Les propos en question ? Des paroles «cyniques, désabusées et philosophiques» tenues sous le coup de la fatigue. Son avocat, Thomas Baudry, rappelle que son client est l’un des fondateurs de l’antenne cherbourgeoise de SOS Médecins. Surtout, les allusions à l’extermination des handicapés auraient été faites «dans un cadre privé», insiste son conseil.

Propos privés, propos publics… Pour l’ARS, ça ne change rien. L’agence accable le médecin. Sa directrice émet «un doute sérieux» sur sa capacité à s’occuper de personnes handicapées. Devant l’infirmière de la MAS, Jean-François Pion a expliqué ne pas comprendre «qu’on les laisse [les handicapés, ndlr] se reproduire». Leur stérilisation serait «une bonne chose». Et il interroge : «Vous trouvez que c’est une vie ?» Avant d’évoquer une solution ultime : «Parfois, un bon coup de cyanure et paf !»

S’il ne conteste pas ses déclarations, le praticien normand regrette qu’elles soient incomplètes. L’homme affirme avoir exprimé «sa distance, ses doutes, ses troubles» vis-à-vis du sort réservé aux handicapés dans l’Allemagne nazie. L’avocate de l’ARS ne croit pas à une maladresse. Le parquet de Cherbourg a été saisi du dossier. Un deuxième témoin devrait être entendu pour des faits similaires.

Alertée, l’ARS reproche au généraliste des manquements graves au code de déontologie. Elle a demandé samedi sa radiation. L’avocate de l’agence a dénoncé les propos «nauséabonds et honteux» du Cherbourgeois, pour qui le terme handicapé est un «pansement de vocabulaire». Lui parle de «neuneus». Il l’assume, «c’est un parler vrai».

Tribune. A la barre, le Cherbourgeois explique qu’il n’a pas été compris par l’infirmière. C’est tout. Il s’agissait «d’un discours philosophique», nuance le praticien qui poursuit son argumentaire. Le tribunal devient sa tribune. Il nie défendre l’eugénisme, mais s’inquiète «de générations entières de personnes sous tutelle ou curatelle».

Jean-François Pion s’interroge sur les solutions à mettre en œuvre «pour éviter que ces situations se reproduisent». Face à des magistrats abasourdis, il évoque alors les résultats des politiques de stérilisation forcée menées en Norvège et en Angleterre. Le médecin est catégorique : en France, «ces patients deviennent des cas sociaux». L’avocate de l’ARS, elle, enfonce le clou : «Un médecin n’a pas le droit de dire qui doit vivre ou mourir.» La chambre disciplinaire a mis son jugement en délibéré. La décision devrait être rendue dans un peu moins d’un mois.

Benjamin Morin correspondant à Caen

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Scandale ! Des mineures thaïlandaises offertes en "dessert" à des PDG,femmes,filles,

28 Juin 2017, 11:20am

Publié par hugo

Scandale ! Des mineures thaïlandaises offertes en "dessert" à des PDG
par Anais Moine le 26 juin 2017
1 178 partages
 
 

Ce n’est un secret pour personne, la Thaïlande est un des hauts lieux de la prostitution mondiale. Cependant depuis quelques semaines c’est une tradition, pourtant connue de tous, qui fait polémique dans le royaume.

Tout a commencé quand une mère d’un des "desserts", car oui c’est bien comme ça que les filles sont appelées, a contacté les médias. La tradition n'est pourtant pas nouvelle et bien connue des Thaïlandais mais une sorte d’omerta stagne d'ordinaire autour de ce problème. La mère, habitant la région de Mae Hong Son, a révélé le chantage qui a été exercé sur son enfant par la police elle-même. En effet, les policiers de la province menaçaient les jeunes filles de les envoyer en prison pour consommation de drogue si elles n’acceptaient pas de se prostituer. Un sergent, accusé de diriger le réseau de prostitution, ainsi que huit autres policiers, ayant eu des rapports avec des mineures, ont depuis lors été arrêtés.

Boonyarit Nipavanit, un fonctionnaire de la province en question, a déclaré à l’AFP que "Cette tradition est répandue depuis bien longtemps". Il ajoute, "Lorsque des groupes de hauts fonctionnaires viennent pour des séminaires ou des voyages d'affaires, la coutume [est] de les accueillir avec de la nourriture, puis de 'déballer des tapis', ce qui signifie leur fournir des filles." En effet, si le royaume est bien connu pour son tourisme sexuel, la part la plus importante de la prostitution ne viendrait pas des vacanciers mais bien des Thaïlandais eux-mêmes. Les femmes ou jeunes filles, sont assimilées à de simples biens, que l’on peut acheter, louer ou même choisir : "Parfois, nous recevions des informations sur le type de filles qu’ils aimaient… Parfois, les fonctionnaires devaient préparer cinq à dix femmes pour chacun pour qu’ils puissent choisir".

 

Cette pratique découle notamment du fait que dans un pays à la hiérarchie très établie comme la Thaïlande, la seule façon de bénéficier d’une ascension sociale n’est pas de travailler davantage mais de choyer particulièrement son patron. Lakkana Punwichai, éditorialiste thaïlandaise spécialiste des problèmes sociaux explique à l’AFP, "Nous n’avons pas de système de mérite dans la bureaucratie, nous devons corrompre nos chefs". Elle ajoute d’ailleurs que cette tradition n’est pas propre à la province de Mae Hong Son mais bien à l’ensemble du royaume puisqu’il y règne une "culture qui ne considère pas les filles comme des êtres humains mais comme des biens. C’est un cadeau. Comme de la nourriture ou des vêtements magnifiques - toute chose a un prix".

 
 

Les jeunes filles, prises dans une spirale, ont souvent trop peur et honte de parler. D'autant plus que, dans ces petites provinces, tout le monde se connait. La police, souvent corrompue quand elle ne participe pas elle-même au trafic sexuel, tente d’étouffer les affaires. Le trafic sexuel de mineurs en Thaïlande ne concerne pas seulement les jeunes filles, bien qu'elle soient les plus touchées, mais également les garçons. De nombreuses ONG dénoncent par ailleurs le fait que des pédophiles étrangers se rendraient en vacances dans le royaume simplement pour pouvoir satisfaire leurs besoins.

http://www.aufeminin.com/news-societe/scandale-mineures-thailandaises-offertes-en-dessert-pdg-thailande-prositution-jeunes-femmes-royaume-thailandais-femme-thailandaise-prostituee-prostitu-s2291431.html

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La procréation médicalement assistée en France 1/2,bebe,grossesse,pma

28 Juin 2017, 11:18am

Publié par hugo

ContributionsLa procréation médicalement assistée en France 1/2

Lors des Assises de l’Institut Emilie du Chatelet « Contre le sexisme, le corps en action », qui a eu lieu le 23 juin dernier, Virginie Rozée, sociologue à l’Institut national d’études démographiques est intervenue pour présenter la procréation médicalement assistée. Quelques jours avant que  le Comité consultatif national d’éthique donne un avis favorable à son ouverture aux femmes célibataires et aux couples lesbiens.
La situation actuelle de la PMA en France

La procréation médicalement assistée (PMA) regroupe un ensemble de techniques et procédures médicales qui aident à concevoir un enfant. Il y a deux principales techniques :

  • l’insémination artificielle lorsque le sperme du conjoint ou d’un donneur est déposé dans l’appareil reproductif de la femme et que la fécondation se fait in vivo ;
  • a fécondation in vitro (FIV) lorsque la fécondation a lieu en éprouvette. Dans ce cas, les embryons sont issus des gamètes des parents et/ou de donneur/donneuse, et ils sont replacés dans l’utérus soit de la future mère soit d’une autre femme appelée « gestatrice » (ou plus communément « mère porteuse »).

Les autres techniques comme par exemple le diagnostic préimplantatoire sont des variantes de ces deux principales techniques.

En France, 2,6% des enfants sont nés par AMP d’après le rapport de l’Agence de biomédecine de 2011. On observe une augmentation de ces naissances depuis plusieurs décennies, depuis notamment la naissance d’Amandine, le premier bébé éprouvette, en 1982. L’accès est cependant particulièrement restrictif. En effet, la PMA est réservée aux couples hétérosexuels en union, vivant, en âge reproductif, dont l’infertilité a été avérée. L’âge reproductif n’est pas défini par la loi mais une limite de 43 ans a été fixée, pour les femmes uniquement, par l’assurance maladie (au-delà de 43 ans, la prise en charge n’est pas illégale mais elle n’est plus remboursée par l’assurance maladie). Par ailleurs, certaines techniques comme la gestation pour autrui (GPA) ou le double don sont interdites ; d’autres, peu accessibles ou disponibles, comme le don de gamètes, et en particulier le don d’ovocytes. En fait, dès qu’il y a un tiers qui intervient dans la procréation, la PMA devient en France interdite ou compliquée.

La prise en charge médicale de la PMA en France est donc genrée, hétéronormative, intraconjugale et palliative puisqu’elle est calquée sur un modèle reproductif « naturel » d’un père, une mère et un enfant issu de cette union. D’ailleurs, en 2009, le terme de « PMA » a été officiellement remplacé par celui d’« AMP » (assistance médicale à la procréation) pour insister sur le fait que la médecine aide une procréation qui aurait pu se faire « naturellement ». Cet encadrement particulièrement restrictif entrave la libre disposition de son corps, de son corps reproducteur, puisque toutes les femmes, tous les couples et tous les hommes n’y ont pas accès alors que techniquement, il est possible pour elles/eux de concevoir un enfant quels que soient leur situation matrimoniale, leur âge et leur orientation sexuelle.

De même, il est en France difficile voire impossible pour les femmes de mettre leurs capacités reproductives à la disposition d’autrui si elles le souhaitent : la GPA est interdite ; et faire un don d’ovocytes en France s’avère relativement compliqué pour de diverses raisons. Jusqu’à récemment par exemple, les donneuses devaient être mères ce qui excluait de fait toutes celles qui auraient souhaité faire un don mais qui n’avaient pas d’enfant.

Le monde médical entretient également une prise en charge genrée. Les médecins refusent souvent, par exemple, les couples dont la femme a plus de 40. Ce refus est lié à la baisse des taux de succès des techniques de PMA avec l’âge lorsque les femmes utilisent leurs propres ovocytes. Mais si elles recourent au don d’ovocytes, alors l’âge de la future mère impacte moins le taux de succès si la donneuse est jeune. Il n’y a donc pas de raison, techniquement, de refuser la prise en charge d’une femme de plus de 40 ans pour un don d’ovocytes. Par ailleurs, l’âge des hommes est peu pris en compte alors qu’on sait que les risques de maladie génétique chez l’enfant augmentent avec l’âge du père. On observe donc un certain pouvoir biomédical que l’on retrouve dans les processus et protocoles de la PMA et qui font perdre aux femmes et aux couples une certaine autonomie reproductive (voir les travaux de Laurence Tain).

La PMA en France met donc en scène des privilèges et des inégalités de genre. La France fait partie à cet égard, avec l’Allemagne et la Suisse, des pays dont l’encadrement et la prise en charge sont parmi les plus restrictifs d’Europe. A titre d’exemple, les femmes, indépendamment de leur situation matrimoniale ou de leur orientation sexuelle, ont accès à l’insémination avec donneur en Espagne depuis 1977.

 

 

Virginie Rozée – Sociologue à l’Institut national d’études démographiques (Ined)

Texte actualisé le 27 juin 2017 après l’avis du Comité consultatif national d’éthique (CCNE).

http://www.50-50magazine.fr/2017/06/28/la-procreation-medicalement-assistee-en-france-12/

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 De Rugy président de l'Assemblée nationale : les féministes réagissent,femmes,feminisme,politiques,

28 Juin 2017, 10:33am

Publié par hugo

 
 De Rugy président de l'Assemblée nationale : les féministes réagissent

ÉCLAIRAGE - Elles sont 224 femmes à siéger à l'Assemblée nationale. Un taux record d'élues pour un hémicycle présidés par... les hommes.
 François de Rugy a été élu président de l'Assemblée nationale, ce mardi 27 juinCrédit : PDN/SIPA
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publié le 27/06/2017 à 17:45 mis à jour le 28/06/2017 à 11:23
Ils sont huit hommes à diriger l'Assemblée nationale. Mardi 27 juin, les députés élus lors des élections législatives ont fait leur rentrée dans l'hémicycle français avec, au programme, l'élection de la présidence de cette institution française.
Cinq députés se sont portés candidats à la présidence de l'Assemblée national : Laurence Dumont, Caroline Fiat, Laure de La Raudière, François de Rugy et, enfin, Jean-Charles Taugourdeau.
 
Parité à l'Assemblée nationale : quelle place pour les députées ?
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Après deux heures de procédure, les résultats sont tombés aux alentours de 17 heures : François de Rugy, ancien candidat de la primaire de la gauche, écologiste marchant désormais dans les rangs du parti d'Emmanuel Macron, a obtenu la majorité absolue des suffrages exprimés avec 353 voix sur 543.
Jean-Charles Taugourdeau se place en deuxième position (94 voix), suivi de très loin par les trois députées à avoir tenté leur chance pour le poste de présidente de l'Assemblée nationale : Laurence Dumont, Caroline Fiat et Laure de La Raudière qui obtiennent chacune moins de 35 voix.
8 postes à responsabilité attribués à des hommes
Malgré un taux record de femmes élues le 18 juin dernier, et l'appel de nombreux élus et associations féministes à faire élire une femme au "perchoir", l'Assemblée nationale n'en reste pas moins une institution de pouvoir à 100% masculine.
Le cru 2017 de l'Assemblée reste en majorité tenu par des hommes. Sur 8 postes à responsabilité (la présidence et les chefs de groupe), 8 ont été attribués à des députés. Soit, après un rapide calcul, une représentation des femmes qui s'élève à 0%.
Sur les réseaux sociaux, les commentaires fusent sur la promesse rompue de La République en Marche de nommer une femme à cette fonction.
Brigitte Bourguignon, d'abord pressentie pour le poste a "félicité François de Rugy" avant de confier être "déçue pour les femmes", jugeant également au micro de LCP que "nous avons peut-être raté un moment important parce que, symboliquement, il y a des moments qui comptent dans la République, et ici on est sous les ors de la République, et ce sont des moments qui comptent symboliquement".
"Un pas en avant ; deux pas en arrière"
"Nous regrettons de constater le manque de volonté politique de féminiser les plus hauts postes de l’État français. Dans l’ordre de préséance de la République française (...) la première femme de cet ordre est douzième et c’est la nouvelle Garde des Sceaux, Nicole Belloubet", s'indigne l'association Politiqu'Elles dans un communiqué publié dès l'annonce du résultat.
Le groupe d'action féministe "La Barbe" a quant à lui réagi avec humour (noir) en félicitant sur Twitter l'Assemblée nationale pour n'avoir nommé que des hommes aux postes à responsabilité, et s'est dit prêt à "envoyer 224 barbes aux députées pour une action perchoir".
Raphaëlle Rémy-Leleu, porte-parole d'Osez le féminisme contactée par Girls, a salué la féminisation de l'Assemblée nationale avant de tempérer : "Elle concentre tous les pouvoirs aux hommes ; c'est un pas en avant et deux pas en arrière", souffle-t-elle au téléphone.
Et d'ajouter : "C'est affligeant notamment concernant les réactions des gens disant qu'Emmanuel Macron n'avait pas vraiment promis (un ministère des Droits des femmes, une femme Premier ministre ou une femme présidente à l'Assemblée, ndlr.). Quand tu es président de la République, tu fais en sorte de mettre les choses en ordre de marche", explique ensuite Raphaëlle Rémy-Leleu avant de s'indigner contre les arguments entendus ici et là pour expliquer le choix de François de Rugy.
"C'est faux de dire que si les femmes n'accèdent pas à ces postes c'est parce qu'elles n'ont pas les compétences. François de Rugy n'a pas été choisi pour ses compétences mais bien parce qu'il est un homme. Mettre en avant une femme à la présidence de l'Assemblée, ce n'aurait pas été un symbole mais donner aux femmes un accès au pouvoir". Mais ça, les députés de l’hémicycle ne semblent pas encore prêt à l'accorder.
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http://www.rtl.fr/girls/identites/de-rugy-president-de-l-assemblee-nationale-les-feministes-reagissent-7789133646
 

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PMA à l'étranger : un couple de femmes raconte,femmes,grossese,bebe,pma

28 Juin 2017, 10:19am

Publié par hugo

PMA à l'étranger : un couple de femmes raconte

Par Julie Mazuet | Le 27 juin 2017
http://i.f1g.fr/media/ext/1900x1900/madame.lefigaro.fr/sites/default/files/img/2017/06/pma-femmes-mariage.jpg
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Isabelle et Nathalie, parents d'un fils depuis 2014, ont eu recours à une procréation médicale assistée en Belgique. La première témoigne de leur parcours.
En ce moment
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⦁ Si la procréation médicale assistée (PMA) avait été ouverte aux couples de femmes, Isabelle et sa femme Nathalie, en ménage depuis dix ans, n'auraient pas eu besoin d'aller en Belgique pour devenir parents. Elles n'auraient pas eu besoin de parcourir près de 300 km à leurs frais pour rallier Gand depuis Paris afin de procéder à une insémination artificielle. Elles n'auraient pas eu à débourser un peu plus de 1800 euros, tous coûts confondus.
Alors que le Comité consultatif national d'éthique (CCNE) s'est déclaré favorable à l'ouverture de la procréation médicale assistée - aujourd'hui réservée aux seuls couples hétérosexuels - aux couples de femmes et aux femmes célibataires, Isabelle nous livre les différentes étapes qui ont abouti à la naissance d'un petit garçon, en septembre 2014.
"On ressentait une forte hostilité"
«Quand nous avons pris la décision de faire un enfant, le contexte était très particulier. Nous étions en plein débat sur le mariage pour tous. On ressentait une forte hostilité», explique la musicienne, aujourd'hui âgée de 40 ans. À cause de l'actualité, le couple va jusqu'à reporter son projet de fonder une famille. «On se demandait : connaît-on vraiment le pays dans lequel on vit ?» Avec le recul, Isabelle estime que «la société française est finalement plus avancée que l'état de sa législation, du moins à Paris». Six mois après des discussions parfois houleuses à l'Assemblée nationale, Isabelle et Nathalie sautent le pas et concrétisent leur désir de parentalité.
«La première chose, confie la première par téléphone, c'est de trouver un gynécologue sympathisant de la cause, qui accepte de prescrire des examens, puis de suivre le processus de PMA et la grossesse. À Paris, ce n'est pas très compliqué.» Notamment grâce aux réseaux associatifs. Deuxième étape : prendre contact avec un centre d'insémination. «Nous avons choisi Gand, en Belgique, parce qu'à Bruxelles les délais étaient plus longs.»
À partir de là, tous les frais relatifs aux examens effectués de l'autre côté de la frontière sont à la charge du couple. Isabelle sort sa calculette mentale. «Un Paris-Gand, c'est 3h30 de route, donc environ 100 euros aller-retour. Le prix de l'insémination tourne autour de 300 euros, auxquels il faut ajouter le coût des paillettes de sperme, environ 150 euros. Et chaque nouvelle tentative coûte environ 400 euros supplémentaires.»
"Se libérer la veille pour le lendemain"
Ne vous inquiétez pas, vous n'êtes pas les premières, on voit ça souvent
Outre le prix, d'autres obstacles peuvent venir compromettre une PMA. «Ce n'est pas évident, par exemple, vis-à-vis de son employeur. Il faut pouvoir se libérer la veille pour le lendemain et garder la raison pour soi, ce qui nécessite une certaine dose de courage», liste la quarantenaire. Quand la femme qui souhaite devenir mère doit procéder à plusieurs inséminations ou, pis, qu'elle rencontre des problèmes de fertilité, ça se corse encore davantage et le coût grimpe. «Avec Nathalie, nous avons eu de la chance mais je n'ose même pas imaginer comment font les femmes qui habitent Clermont-Ferrand ou Lyon et qui doivent se rendre en Belgique ou en Espagne d'un jour sur l'autre pour cause d'ovulation...»
En revanche, reconnaît la musicienne, «quand on tombe enceinte, on tombe aussitôt dans la légalité». À en croire son récit, la suite ressemble à une grossesse classique. «À l'hôpital Thonon, où j'essayais en salle d'accouchement de plus ou moins justifier ma présence, une infirmière m'avait répondue, texto : "Ne vous inquiétez pas, vous n'êtes pas les premières, on voit ça souvent".» Et Isabelle de résumer, encore étonnée : «Une fois l'enfant conçu, plus personne ne se préoccupe de savoir comment vous l'avez fait».
"Né de père inconnu"
Ni l'agent de mairie au moment de déclarer la naissance de l'enfant, ni la crèche au moment de l'inscription, ni même le prêtre au moment du baptême n'ont tiqué. «Je m'attendais à avoir au moins un petit problème, mais non», se souvient la quarantenaire qui martèle que ces démarches ont été effectuées dans une grande ville, sous-entendant que son expérience n'est sûrement pas observable partout en France.
Pour devenir officiellement le parent de son fils, Isabelle a néanmoins dû passer devant monsieur le maire, ce qu'elle n'aurait pas fait dans d'autres circonstances. «En France, l'adoption n'est ouverte qu'aux couples mariés», détaille la musicienne qui inclut, dans les frais de la PMA, ceux liés à la procédure d'adoption (entre 200 et 400 euros). D'après elle, nombreuses sont les personnes à penser que la procréation médicale assistée à l'étranger est simple et rapide. «C'est plus compliqué que cela, mais nous avons la chance que cela soit faisable.»
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⦁ Tags : ⦁ grossesse, ⦁ pma, ⦁ adoption, ⦁ maternité, ⦁ Homosexualité
http://madame.lefigaro.fr/societe/pma-a-letranger-un-couple-de-femmes-raconte-270617-133014
 
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Pourquoi le retrait n'est pas une bonne méthode de contraception,sexes,

27 Juin 2017, 04:49am

Publié par hugo

 
Pourquoi le retrait n'est pas une bonne méthode de contraception

Selon un rapport du Centre de Contrôle des Maladies
, le retrait est l'une des méthodes de contraception les plus populaire chez les adolescents.
 
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publié le 27/06/2017 à 12:27
Que les parents le veuillent ou non, les adolescents font et feront l'amour toujours trop tôt pour eux. Alors autant qu'ils le fassent de manière responsable. Bonne nouvelle, la notion de protection semble bien ancrée chez les jeunes : selon un rapport du Centres pour le contrôle et la prévention des maladies aux États-Unis, 90% des femmes et 95% des hommes de 15 à 19 ans avouent utiliser des méthodes de contraception lors de leurs relations sexuelles entre 2011 et 2015. Pourtant, les moyens qu'ils utilisent ne sont pas toujours efficace. L'une d'elles est particulièrement prisée par la jeune génération : le retrait.
Le rapport du centre américain le confirme, si la grande majorité se protège grâce au préservatif, le retrait est le deuxième moyen de contraception la plus populaire chez les jeunes devant la pilule de contraception : près de 60% des femmes de 15 à 19 ans sexuellement actives avouent utiliser cette méthode lors de leurs coïts.
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VIDÉO - Sexe : qu'est-ce que LELO, le préservatif du futur ?
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Une méthode qui n'en est pas une
Se retirer avant l'éjaculation est perçue comme la méthode de contraction la plus simple et la plus naturelle, à tort. Car ce n'est pas une bonne solution : elle ne protège absolument pas des IST (Infections Sexuellement Transmissibles) comme la syphilis ou le VIH, car elles peuvent être transmises à la fois par contact mais également par la pré-éjaculation, contre laquelle le retrait ne protège absolument pas.
À cause de cette même pré-éjaculation, qui peut contenir des spermatozoïdes, se retirer ne protège pas non plus d'une éventuelle grossesse. Selon la Fondation médicale Palo Alto, près de 25% des couples utilisant le retrait peuvent tomber enceints. Son efficacité dépend en effet de la capacité de se retirer à temps, ce qui demande de l'expérience et du self-control. À choisir, mieux vaut utiliser le préservatif.
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Parité à l'Assemblée nationale : quelle place pour les députées?,egalite,parite,politiques,

27 Juin 2017, 04:43am

Publié par hugo

 
Parité à l'Assemblée nationale : quelle place pour les députées ?

ÉCLAIRAGE - Elles sont 224 femmes à siéger à l'Assemblée nationale. Un taux record d'élues pour un hémicycle présidés par... les hommes.
 L'Assemblée nationale, le 18 octobre 2016.Crédit : CHAMUSSY/SIPA
 
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publié le 26/06/2017 à 15:40
La parité à l'Assemblée, ce n'est pas gagné. 224 femmes pour 353 hommes, c'est le nouveau visage de l'Assemblée nationale. Un taux record d'élues (39%) salué par les associations féministes et revendiqué par les équipes de La République en Marche. Le parti d'Emmanuel Macron ayant présenté aux élections législatives une parité presque parfaite en terme de candidatures.
"L'Assemblée national enregistre son record de femmes députées. fierté d'y avoir contribué avec toute la commission d'investiture La République en Marche", a par exemple tweeté Marlène Schiappa, la secrétaire d'État chargé de l'égalité entre les femmes et les hommes, le jour des résultats.
À lire aussihttp://www.rtl.fr/girls/identites/resultats-legislatives-2017-les-nouveaux-
Résultats législatives 2017 : les nouveaux visages des députées à l'Assemblée
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Quelques jours après la rentrée des nouveaux députés, la formation nécessaire pour prendre ses quartiers dans l'hémicycle, l'Assemblée nationale s'est constituée en plusieurs groupes avec, pour chacun, un élu chef de parti, jouissant donc d'un peu plus de responsabilité.
La parité reste à surveiller à tous les étages
Plusieurs associations féministes ont, dès les résultats des élections législatives, manifestées leur réserve quant aux résultats chiffrés d'une presque parité. Elles ont alors argué qu'il fallait attendre la composition des commissions, la nomination des groupes de députés et la révélation du nom du président ou de la présidente pour crier victoire en faveur de la parité à l'Assemblée.
Comme le soulignait par exemple l'association Politiqu'Elles, les députées sont en majorité représentées dans "les commissions les moins prestigieuses des familles, de l'environnement et de la culture et beaucoup moins dans les plus prisées comme les finances et les affaires étrangères", a également rappelé Politiqu'Elles.
Une Assemblée dirigée par des hommes
Pour cette édition 2017, les sept postes de présidence de groupe ont été attribués à sept hommes (André Chassaigne, Olivier Faure, Richard Ferrand, Marc Fesneau, Christian Jacob, Jean-Luc Mélenchon et Thierry Solère). Soit, après un rapide calcul, une représentation des femmes qui s'élève à 0%.
Un taux moins bon que celui de la promotion 2012 où le groupe écologiste avait été présidé par un duo où au moins une femme était représentée.
En cause : peu de femmes se sont portées candidates, souligne un article des Nouvelles News avant d'ajouter que seul le clan des socialistes présentait une candidate (Delphine Batho) face à l'élu Olivier Faure après l'abandon de Marielle de Sarnez du groupe MoDem. Delphine Batho n'avait cependant aucune chance de battre le président sortant du groupe socialiste au regard des résultats du vote : 3 voix contre 31.
Une Assemblée dirigée par une femme ?
Elles sont déjà deux députées de La République en Marche à s'être portées candidate à la présidence de l'Assemblée nationale. Sophie Errante (Loire-Atlantique) et Brigitte Bourguignon (Pas-de-Calais) s'opposent à François de Rugy, ancien candidat de la primaire citoyenne de la gauche durant l'élection présidentielle.
"Une femme présidente de l’Assemblée nationale, ce serait bien, non ?" a lancé Sophie Errante à LCP tandis que Brigitte Bourguignon a ajouté : "C’est le moment d’avoir une femme au perchoir… que ce soit Sophie ou moi !". Fin du suspens ce mardi 27 juin à 15 heures.
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http://www.rtl.fr/girls/identites/parite-a-l-assemblee-nationale-quelle-place-pour-les-deputees-7789113604
 
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16 photos de bébé à prendre absolument au cours de sa première année,,bebe,grossesse,

27 Juin 2017, 04:39am

Publié par hugo

 
16 photos de bébé à prendre absolument au cours de sa première année
 
par Dounia Malki le 31 mai 2017
330 partages
 
Votre grossesse vous a semblé durer (trop) longtemps ? Sachez qu’une fois votre bébé là, les années vont filer à la vitesse de la lumière ! En un rien de temps, votre bout de chou va babiller, rouler par terre puis se mettre debout pour finir par tenir une conversation. Parce que tous ces moments de votre enfant sont importants, il est capital d’essayer de les capturer en photos. Quels clichés prendre réaliser un bel album photo ? On a la réponse !
Comme toutes les jeunes parents, vous êtes probablement complètement gaga de votre bébé. Résultat, vous prenez des photos de lui à tout bout de champs mais vous avez malgré tout la sensation de ne pas en prendre assez, ou pire, de rater un cliché important.
​Rassurez-vous : voici la liste des photos de bébé à prendre absolument pour réaliser un bel album photo. Si vous les avez, vous êtes parés !
Les premières photos de votre bébé
 
⦁ La maternité
Pour un album photo complet, il ne faut pas négliger les photos prises à la maternité. Si vous n’avez pas encore accouché, pensez à prendre une photo de vous en route pour la maternité. Cela n’a l’air de rien mais croyez-nous, l’émotion, l’excitation et la peur qui se liront sur votre visage se doivent d’être immortalisées en photo. Après tout, c’est le moment où votre vie va changer à jamais !
⦁ L’accouchement
Certaine maman rêvent d’avoir une photo de leur accouchement encadrée dans leur salon. D’autres trouvent cela un peu trop personnel. Point de jugement : si vous voulez une photo de votre accouchement, rien ne vous empêche de la prendre (ou plutôt, de demander à la personne qui vous accompagne de la prendre pour vous).
⦁ Les premiers instants de votre bébé
Evidemment, ce moment est à prendre en photo. Toutefois, vous avez le choix entre deux options : soit vous prenez des photos de votre bébé sitôt l’accouchement terminé, soit vous attendez de vous refaire une beauté (l’accouchement, c’est du sport !) avant d’immortaliser ces instants.
Concernant les photos à prendre après votre accouchement, il vous en faut évidemment une de votre bébé mais aussi plusieurs de votre nourrisson entouré de sa famille, ainsi qu’un cliché de son poignet portant son bracelet de naissance. ​
Les incontournables des tout-petits
 
⦁ Bébé qui dort
Profondément endormi, bébé est tout mignon ! Ces photos sont incontournables et méritent d’être prise régulièrement afin que vous puissiez immortaliser sa croissance.
Un conseil : flash, bruit du déclencheur ou chaussures qui couinent sont à proscrire absolument, vous risqueriez de réveiller votre bébé.
⦁ Bébé qui pleure
Moins classique, cette photo est malgré tout incontournable pour que vous puissiez vous rappeler du bien que cela fait de dormir, mais aussi pour que vous puissiez taquiner gentiment votre enfant lorsqu’il sera plus grand en lui rappelant toutes ces nuits où il vous a réveillé.
⦁ La première dent
C’est un moment incroyable de la vie de votre enfant qu’il convient d’immortaliser en photo !
⦁ Les premiers pas
Bien que la meilleure option est de filmer cet instant, une photo de votre bébé qui fait ses premiers pas est capitale ! Ce jour, vous vous en rappellerez toute votre vie.
⦁ Le premier déguisement
Habiller son bébé selon les festivités (Noël, Halloween, Pâques, etc...) est particulièrement tendance. Même si vous n’êtes pas très portée sur les déguisement, vous ne pourrez que craquer devant votre bébé vêtu d’une tenue de lutin du Père Noël ou déguisé en lapin de Pâques.
⦁ Bébé nageur
La première fois que votre bébé fera trempette dans une piscine doit être prise en photo ! Non seulement, sa réaction promet d’être intéressante, mais surtout, il sera tout mignon avec sa bouée.
⦁ ​Le premier anniversaire
On dit souvent qu’il ne faut pas en faire trop pour le premier anniversaire de son enfant car il ne s’en rappellera pas. Certes, mais cela reste un moment magique qu’il convient d’immortaliser. Après tout, c’est la première fois de sa vie qu’il a un gâteau d’anniversaire !

⦁ Mais aussi...
Le premier Noël, la rencontre de bébé avec ses frères et soeur, le moment où il commence à ramper, l’instant où il s’amuse avec le chien ou le chat de la famille, celui où il joue paisiblement ou encore bébé avec ses lunettes de soleil.
Les incontournables des jeunes enfants
Ce n’est pas parce que bébé a fêté son premier anniversaire que vous devez ranger votre appareil photo ! Bien d’autres clichés importants sont à prendre.
 
⦁ La première rentrée
Ce moment où votre enfant va prendre son cartable pour la première fois pour aller à l’école va vous donner les larmes aux yeux ! Il est important de le prendre en photo le premier jour d’école (à la maison pour qu’il ne soit pas gêné devant ses camarades de classe).
Vous pouvez par exemple prendre une photo chaque année le jour de la rentrée des classes, une jolie faon de voir son évolution qu'il adorera regarder une fois devenu grand.
⦁ La première fête d’anniversaire avec ses copains
Cela n’a l’air de rien, pourtant c’est un moment important pour votre enfant. Vous vous rappelez encore de votre première boom ?
⦁ Le premier sport
Danse classique, foot, équitation, tennis : quel que soit le sport de prédilection de votre enfant, prenez-le en photo vêtu de son équipement complet !
⦁ Le premier meilleur ami ou la première meilleure amie
​Qui sait, dans plusieurs années, ils seront peut-être toujours les meilleurs amis du monde ! Quand bien même ils ne se parleront plus, sachez que cette amitié aura compté pour votre enfant.
⦁ Le premier amoureux ou la première amoureuse
Les amours d’enfant ont quelque chose de tellement mignon et touchant qu’il serait dommage de ne pas prendre en photo votre enfant accompagné de son amoureux ou de son amoureuse.
⦁ La première dent de lait qui tombe
Le sourire quelque peu édenté de votre enfant signifie une chose : la petite souris va passer !
Quelles poses choisir pour les photos de mon bébé ?
Si pour les premières photos de votre bébé une mise en scène est nécessaire, le naturel reste quand même l'option à privilégier. La raison ? Les clichés sont plus "vivants", plus originaux et plus beaux.
Si vous avez envie de jouer la carte de l'originalité, rien ne vous en empêche ! Vous pouvez par exemple prendre en photo votre bébé en train de pleurer... pendant que vous ferez semblant de pleurer à côté de lui. ​
En panne d’inspiration ? Jetez donc un oeil à notre sélection des meilleures photos de bébés !
//www.pinterest.com/pin/create/button/?url=http%3A%2F%2Fwww.aufeminin.com%2Fbebe%2F16-photos-de-bebe-a-prendre-absolument-pour-constituer-un-bel-album-s2247614.html&description=Une+photo+pour+vous+rappeler+de+la+taille+de+votre+b%C3%A9b%C3%A9&media=https%3A%2F%2Fimage.afcdn.com%2Fstory%2F20170517%2Fune-photo-pour-vous-rappeler-de-la-taille-de-votre-bebe-1086109_origin.jpg
 
 © Instagram MimiIkon
​​​​​​A lire aussi : 25 objets pour bébé qui ne devraient pas exister
par Dounia Malki 330 partages
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Optimisez vos chances de tomber enceinte rapidement,femmes,sante,grossesse

27 Juin 2017, 04:37am

Publié par hugo

⦁ 
Optimisez vos chances de tomber enceinte rapidement


par Nathalie Barenghi le 19 avril 2017
1 839 partages
 
C’est décidé, vous voulez un enfant ! Vous savez comment on fait les bébés depuis bien longtemps. Mais comme ni les cigognes, ni les choux et ni les roses ne sont d'un grand secours en cas de désir d'enfant, voici quelques petits moyens pour tomber enceinte (plus) rapidement, dans les meilleures conditions et débuter sereinement votre grossesse.
Je fais le plein de vitamine B9
Dès que vous avez un souhait de grossesse, il est important d'aller consulter votre médecin et de lui en parler. En effet, la prise de vitamine B9 (que l'on appelle aussi "folates" ou "acide folique") avant même le début de la grossesse, diminue le risque d'anomalies du tube neural du foetus. On trouve cet acide folique naturellement dans la levure en paillettes, les épinards, le cresson, la chicorée, le pissenlit, la mâche, le melon, les noix, les châtaignes et les pois chiches.
Pourquoi c'est important ?
Parce qu’il a été scientifiquement démontré qu’un faible statut en folates chez la mère augmente les risques d'apparition d'anomalies du tube neural (AFTN) chez le foetus en développement, il convient de prendre des folates, comme inofolic® Caps, pour les prévenir.
Attention, l'effet bénéfique est obtenu par la consommation journalière de 400 μg d'acide folique, au moins un mois avant la conception et jusqu'à trois mois après la conception. La prise de folates jusqu'à la 12ème semaine d'aménorrhée suffit à réduire les risques d'AFTN dans 2/3 des cas.
Le complément alimentaire inofolic® Caps*, par exemple, permet de pallier aux carences en acide folique des femmes en désir de grossesse.
Rapprochez-vous de votre médecin ou de votre pharmacien pour plus d’informations.
* La supplémentation en acide folique augmente le statut maternel en folates.
J'arrête la pilule
C'est une évidence mais il vaut mieux le dire quand même !
Ensuite, patience : il faut savoir que l’arrêt de la pilule ne provoque pas obligatoirement la reprise de l’ovulation tout de suite. Donc ne paniquez pas si vous ne tombez pas enceinte dans les trois mois qui suivent.
Je sais quand j'ovule
C’est en effet au moment de l'ovulation que les chances de tomber enceinte sont les plus grandes. Elle se situe généralement vers le 14ème jour après le début des règles. Vous pouvez connaître ce moment en mesurant votre température sur tout un cycle. La chaleur du corps est plus forte en effet juste après l’ovulation. Notez les données, elles vous serviront à mieux connaître votre cycle et vos périodes de fertilité.
Vous pouvez utilisez notre outil pour CALCULER VOTRE DATE D'OVULATION
Il existe aussi en pharmacie des tests d’ovulation (Primatime, Revelatest, Biotester, Ovutest, Discretest).
Avantage : ils annoncent un à deux jours à l’avance le jour de l’ovulation et permettent donc d’anticiper. Se basant sur la concentration d’hormones présentes dans l’urine, ils sont fiables à 96%.
Je fais suffisamment l'amour
La durée de vie des spermatozoïdes est d’environ 72 heures une fois expulsés dans les cavités génitales. Donc pour optimiser vos chances de grossesse, essayez de ne pas rester plus de 3 jours sans sexe.
Contrairement à certaines idées reçues, il n’est pas prouvé qu’une position spéciale lors du rapport ou après le rapport favorise la montée des spermatozoïdes dans le col de l’utérus. Mais dans le doute, tentez les positions suivantes...
Je choisis la bonne saison
La fécondité n’est pas la même au long de l’année. Les spermatozoïdes sont produits en plus grand nombre au début du printemps et à la fin de l’automne. Ils sont plus mobiles à la fin de l’été, au début de l’automne. C’est donc l’automne, le début de l’hiver qui semble, pour les hommes, le moment le plus propice pour concevoir un bébé.
Je mange équilibré
Manger sainement favorise la fertilité. Les régimes hypocaloriques font certes maigrir mais peuvent avoir un impact hormonal contre la fertilité. Donc mieux vaut arrêter les restrictions quelques mois avant de vouloir tomber enceinte. Mais ce n'est pas non plus une raison pour se "lâcher" : trop de sucre augmente la production de d’adrénaline, hormone qui va interagir avec la progestérone dont le rôle est de préparer l’utérus à une éventuelle grossesse.
Le café, l’alcool et le tabac ont aussi un impact négatif sur la fécondité.
Je fais attention aux médicaments
Certains antalgiques, comme les anti-inflammatoires non stéroïdiens agissent sur les hormones prostaglandines qui ont un rôle dans la contraction de l’utérus. Demandez à votre médecin mais mieux vaut s'en passer pendant la période de l’ovulation.
Je me relaxe à fond
Le stress, l’anxiété, la peur de ne pas y arriver sont autant de raisons qui peuvent rendre moins aisée la conception. Donc, laissez du temps au temps, si vous venez d’arrêter la pilule, soyez très à l’écoute de votre corps pour reprendre contact avec vos rythmes naturels. Interrogez-vous aussi éventuellement sur des blocages psychologiques inconscients qui peuvent empêcher la conception.
Pour mettre toutes les chances de votre côté
Les meilleurs positions pour tomber enceinte
Quel test de grossesse choisir ?
Tout savoir sur la glaire cervicale
Comment tomber enceinte en 10 questions
Etes-vous prête à avoir un bébé ? Faites le test !
... Maintenant, vous vous demandez si "ça a marché" ?
Enceinte ou pas ? les premiers signes qui ne trompent pas
Vos moyens de détecter un début de grossesse (avant le retard de règles)
Voir aussi : Booster sa fertilité : 80 aliments à privilégier
http://www.aufeminin.com/vouloir-un-enfant/tomber-enceinte-rapidement-s639819.html
 

http://www.aufeminin.com/vouloir-un-enfant/tomber-enceinte-rapidement-s639819.html

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L’histoire des tirailleurs sénégalais n’a pas été beaucoup racontée »,histoire,histoire de france,politiques,

27 Juin 2017, 04:29am

Publié par hugo

 
Dans nos quartiers15 juin 2017
Gabriel Le Bomin : « L’histoire des tirailleurs sénégalais n’a pas été beaucoup racontée »
par Mounir Belhidaoui
 Crédits : Presse Nos Patriotes / Christine Tamalet
⦁ 
⦁ 
⦁ Il est connu pour avoir réalisé des documentaires fortement politisés. Dans Nos Patriotes, Gabriel Le Bomin réalise un beau récit sur un tirailleur sénégalais adopté dans une famille française, sur fond de résistance. Rencontre.
Ce film est-il un message de rappel pour dire à la France de ne jamais oublier l’apport des tirailleurs sénégalais à la résistance ?
Ce film est avant tout une histoire magnifique, celle d’Addi Ba, ce tirailleur sénégalais qui va, contre toute attente, faire un choix : celui de rester dans la France occupée. Il veut continuer à se battre clandestinement et de monter le premier réseau de résistance des Vosges, avec d’autres, des villageois et des fermiers notamment. Ce groupe invente ce qui ne s’appelle pas encore la résistance, improvise quelque chose qui n’a pas de référence, dans une sorte de bricolage héroïque. Ce qui est intéressant dans l’Histoire, c’est quand elle nous tend des miroirs. Elle nous invite à nous interroger sur notre époque. Dans Nos patriotes, il est évident qu’il y a des thématiques et des interrogations qui renvoient à des questions d’aujourd’hui. Qu’est-ce qu’être différent ? Qu’est-ce qu’être avec les autres ? Qu’est-ce que faire partie d’un groupe, en partageant les mêmes valeurs, en étant issu de parcours et de religions différentes ? Toutes ces questions sont dans ce film, qui ne veut néanmoins pas faire une leçon de morale.
On entend le discours d’Addi Bâ, qui déconstruit le discours raciste par l’ironie, le ridiculisant ainsi, ce qui fait qu’il se fait rapidement adopter dans tous les lieux où il se trouve.
Votre analyse est intéressante. Comment ce personnage, qui vient de ce qu’on appelait « l’Empire », qui a passé un temps en France, en est venu à épouser la culture française et se dire que ses racines se sont construites ici ? Il est par ailleurs confronté à un racisme ordinaire, une monnaie courante à l’époque. L’Empire était assez loin, et les représentants de ce qu’on appelle la colonisation sont regardés comme des personnes venant d’ailleurs. Il répond, à ceux qui lui disent qu’il est noir donc qu’il vient forcément d’Afrique, qu’il connaît très bien la Riviera, les châteaux de la Loire. Il leur raconte qu’il a fait le Tour de France alors que la famille qui l’accueille n’est jamais sortie de chez elle. Cela peut effectivement être traité de façon comique, comme on peut le voir dans le film.
Nous sommes dans une époque où il faut exister d’abord individuellement
Le film est tiré du livre Le terroriste noir de Tierno Monenembo. Comment êtes-vous tombé dessus ? Comment vous est venu l’envie de l’adapter ?
On a attiré mon attention sur ce livre le jour où il est sorti. Après lecture, je me suis dit : « Voilà un personnage qui me touche, avec lequel je suis en empathie, et je trouve formidable ce qu’il me raconte ». Ce personnage ne pense pas que sa différence, forte, soit un frein. Il dépasse ce qui pourrait constituer aujourd’hui des espèces de constructions identitaires érigées comme l’affirmation d’être différent. On vit dans un pays de liberté, de fraternité, d’égalité, ce n’est pas rien. Lui ne met pas en avant ses origines. Il n’a pas besoin de ça pour exister. C’est intéressant parce qu’aujourd’hui on est dans des périodes où chacun, à différents niveaux, sur-affirme ce qu’il est, ce qu’il pense être pour exister. Nous sommes dans une époque où il faut exister d’abord individuellement avant d’exister collectivement.
 réalisateur du film, Gabriel le Bomin
Il y a peu de films sur les tirailleurs africains. Espérez-vous que votre film va contribuer à en voir naître d’autres ?
Ce serait formidable, car ce sont des histoires qui ont été longtemps oubliées, peut-être volontairement. L’histoire des tirailleurs sénégalais, dans la Première et la Seconde Guerre mondiale, mais aussi dans les autres conflits, n’a pas été beaucoup racontée. L’Histoire se revisite, elle se dit. Il y a des livres qui racontent objectivement ce que ça a été, cette levée de troupes, leurs combats, leurs sacrifices, l’absence de reconnaissance et de pensions versées aux gens qui ont combattu. On a l’exemple des anciens tirailleurs sénégalais qui, aujourd’hui, perçoivent les pensions qui leur sont dûes, mais c’est extrêmement tardif. Le cinéma s’est peu emparé de ce sujet. Pourquoi ? Je ne sais pas, mais chaque époque produit des films qui lui ressemble.
Rien n’est éradiqué, tout peut resurgir
Avez-vous l’impression que la France était plus tolérante avant qu’aujourd’hui finalement ?
Ce qu’il y a de plus difficile dans l’Histoire, c’est l’histoire des psychologies et des mentalités. Chaque époque produit sa sensibilité. On peut en comprendre les faits, mais ce qui amène aux faits sont les mentalités et les psychologies. Croiser, dans la France de 1940, ce qu’on appelait un « sujet de l’empire », ce n’était pas banal. On sortait à peine des « zoos humains » (lors de la politique coloniale de la France, des Noirs Africains étaient présentés dans des zoos, ndlr) au jardin d’acclimatation avec les kanaks (les populations autochtones de Nouvelle-Calédonie, ndlr). Addi Ba était confronté à des réactions hostiles, mais il y avait aussi de la bienveillance dans une forme de paternalisme un peu raciste.
Va-t-on vers une société de la méfiance, comme on pouvait la retrouver lors de la Seconde Guerre mondiale ?
Les mécanismes que l’on pouvait retrouver avant sont encore là aujourd’hui. Ce qui amène ces mécanismes à se mettre en marche, c’est tout un ensemble. Pourquoi ces années-là provoquent et produisent le nazisme, le fascisme ? Il faut être très vigilant, rien n’est éradiqué, tout peut resurgir. On fait rentrer les monstres dans des boîtes, qu’on les enferme, mais ces monstres peuvent ressortir.
Etes-vous pour ou contre l’excuse nationale au sujet d’une responsabilité de la France dans un drame de l’Histoire ?
C’est difficile de demander à une génération de s’excuser pour une autre. En même temps, c’est facile de le faire. L’Histoire n’est pas une langue morte, elle se transmet. Mais ça reste difficile de présenter des excuses. Plutôt que de s’excuser, ce qui traduirait une faute morale dont nous hériterions, il serait plus intéressant de demander aux générations de regarder l’Histoire. Quand on a été en conflit, c’est intéressant de regarder l’Histoire les uns avec les autres, de voir ce que nos parents, nos grands-parents et nos arrière grands-parents ont vécu, et d’en tirer les conséquences.
⦁ 
⦁  Ecrit par⦁  Mounir Belhidaoui
⦁ http://www.respectmag.com/28847-gabriel-bomin-lhistoire-tirailleurs-senegalais-na-ete-beaucoup-racontee
 

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