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Parité en politique : la France à la traîne, présidences de collectivités comprises,parite,egalite,politiques,

11 Septembre 2016, 03:37am

Publié par hugo

PARITÉ 09/09/2016
Parité en politique : la France à la traîne, présidences de collectivités comprises
par Marion Esquerré
Egalité femme-homme en politique : trêve de chabadabada ! © Flickr-CC-F.Michel
Le dernier classement de l’Union interparlementaire est effarant : de la 32e, la France est passée à la 60e place en termes de parité à l’Assemblée nationale. Ce que relève le Haut conseil à l’égalité femmes/hommes dans l’édition 2016 de son « Guide de la parité », dans un inlassable souci de convaincre. Si les assemblées délibérantes et la répartition de postes d’adjoints est proche de la parité dans les collectivités du fait des contraintes légales, on en est loin pour les présidences d’exécutifs…


Cet article fait partie du dossier:
La parité, une obligation croissante dans les communes et leurs intercommunalités
voir le sommaire
A quelques mois des élections législatives de 2017, les partis politiques préparent l’investiture de leurs candidats. C’est l’occasion pour le Haut conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes de publier son édition 2016 du « Guide de la parité », comme une piqûre de rappel.


Car, s’inquiète la haute instance, la France a rétrogradé dans le classement international de la parité établi par l’Union interparlementaire. « En termes de part des femmes dans la chambre basse du Parlement, notre pays passe de la 36e place en juin 2012, à la 60e quatre ans plus tard. Les autres pays progressent plus vite que la France. »


Et d’illustrer : « Avec 26,2% des femmes à l’Assemblée nationale, la France est loin derrière la tête du classement, à savoir le Rwanda avec les 63,8% de femmes, et se classe entre l’Irak et le Pérou ».


Les sanctions financières insuffisantes
Petite lueur d’espoir, la mise en œuvre de la loi du 4 août 2014 pour l’égalité réelle entre les femmes et les hommes, à partir des prochaines législatives, doit permettre le doublement des retenues financières aux partis politiques en cas de non-présentation d’un nombre égal de femmes et d’hommes candidats et candidates. Cependant, il n’est pas certain que cela incite les partis politiques à faire mieux.


Ainsi, le HCE insiste notamment sur le fait que les partis doivent « veiller à ne pas réserver davantage aux hommes qu’aux femmes les circonscriptions réputées “gagnables” ». Au lendemain des élections, 75% des sénateurs et 73,1% des députés étaient des hommes – concernant les députés, au fil des démissions, remplacements, décès, etc., ce chiffre est désormais de 73,8%.


Parité pour les seuls adjoints…
Dans les collectivités, la parité est mieux respectée, par la force de la loi. Mais reste le problème de la répartition des pouvoirs qui ne dépend que de la seule volonté des formations politiques.


On le voit avec les conseils municipaux, départementaux ou encore régionaux : malgré une parité dans la constitution des listes (sauf pour les communes de moins de 1 000 habitants), et même la parité parfaite dans l’assemblée délibérante des conseils départementaux depuis l’instauration du mode d’élection par binômes homme-femme, le plus haut poste, celui de maire ou président revient en grande majorité à des hommes. Ainsi, 91 % des présidences régionales et 90 % des présidences départementales sont trustées par des hommes.


… mais très peu de présidentes d’intercos et de femmes maires
On ne compte par ailleurs que 8% de présidentes d’intercommunalité et 16% de femmes maires. Et si on dénombre 52,5% d’adjointes au maire dans les communes de plus de 1 000 habitants, c’est là encore le fait de contraintes légales strictes


« Le partage à égalité du pouvoir progresse mais doit encore s’étendre et s’accélérer. C’est une exigence démocratique », déclare le Haut conseil dans un communiqué.


Son guide rappelle la genèse du principe de parité, revient pour les déconstruire sur les préjugés auxquels ce principe est encore confronté et rappelle les lois et règles qui s’imposent aujourd’hui dans la sphère politique et celle du travail.


Références


« Guide de la parité », 42 pages, édition 2016. Lire le document.
Lire le dépliant de présentation.
Thèmes
Démocratie localeMandat

http://www.courrierdesmaires.fr/64177/parite-en-politique-la-france-a-la-traine-presidences-de-collectivites-comprises/

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« La violence de l’Amérique est structurellement liée à l’idéologie suprémaciste blanche »,USA,racisme,etat unis,

11 Septembre 2016, 03:35am

Publié par hugo

La violence de l’Amérique est structurellement liée à l’idéologie suprémaciste blanche »
Publié le 09 septembre 2016 à 12h40 — Mis à jour le 09 septembre 2016 à 12h40
par Jean-Pierre Ndiaye
Journaliste et sociologue sénégalais auteur de La Jeunesse africaine face à l'impérialisme (1971).


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Depuis des dizaines d’années, j’ai choisi de plonger dans un silence profond, mais la publication d’un livre sur un penseur africain-américain m’incite aujourd’hui à m’exprimer.


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Comme l’écrit Cheikh Hamidou Kane dans ce livre foisonnant d’érudition, « le brillant sociologue et intellectuel sénégalais Mahamadou Lamine Sagna nous montre comment son collègue et ami Cornel West, Maître Griot des temps modernes, se forge des Armes Miraculeuses pour la conquête d’une postmodernité véritablement universelle ».


Oui, cet ouvrage qui est le fruit d’un long travail de critique et de synthèse des écrits d’un auteur singulier, Cornel West, me remplit d’émotion, par la vertu de son style mais également grâce à son contenu. Il ravive mes souvenirs et fait remonter à la surface les pièces de mes pensées enfouies dans les océans de l’oubli.


Je reprends donc la plume, non seulement parce que Mahamadou Lamine Sagna me dédie son ouvrage – même si cela pourrait être une raison suffisante –, mais aussi parce qu’il réactualise d’une certaine façon mes écrits sur l’injustice en Amérique et dans le monde.


L’auteur nous montre en effet comment la pensée de Cornel West est à la fois philosophique, politique et sociale. Elle retrace la biographie des populations africaines-américaines et exprime un idéal de l’universel. Elle nous renseigne sur les processus de formation et de structuration des imaginaires collectifs, ainsi que sur les mécanismes de domination que j’ai tenté de montrer dans mon livre.


À LIRE AUSSI :États-Unis : quand les héritiers de Martin Luther King ont un rêve…
Il est vrai que j’ai écrit ce livret au lendemain de Mai 68, en pleine guerre froide, et que la pensée de ce philosophe est produite dans le contexte différent de la globalisation. Il n’en demeure pas moins que nos deux démarches sont habitées par une préoccupation commune de lutte contre l’injustice et de combat pour un nouvel humanisme.


Cornel West montre que la violence de l’Amérique est structurellement liée à l’idéologie suprémaciste blanche et au mythe du cow-boy
Autrement dit, si l’on n’habite pas le monde de la même manière dans les années 1960 et 1970 et dans les années 2000, les structures et les idéologies impérialistes qui portent la violence sont de même nature. Ainsi, Cornel West a-t‑il raison de proposer de déconstruire :


1 – les collusions entre la religion et la politique, qui entraînent des dysfonctionnements dans les procédures et les processus démocratiques. Sans que la déconstruction de cette alliance politico-religieuse conduise à rejeter la religion. Selon West, il y a deux types de christianisme : le christianisme constantinien et le christianisme prophétique. Le premier, en référence à l’alliance de l’Église avec l’empereur romain Constantin en l’an 312, est représenté de nos jours par certains courants évangéliques et est cerné par de puissants lobbys économiques.


Le second est généreux, engagé au côté des faibles et cherche toujours la paix. Selon Cornel West, ce christianisme-là, incarné par Martin Luther King Jr, ajoute à la démocratie une morale politique, alors que le christianisme constantinien lui est néfaste ;


2 – les trois dogmes dominant de l’Amérique impériale que sont l’intégrisme de l’économie de marché, le militarisme agressif, le renforcement interne de l’autoritarisme ;


3 – les trois formes de nihilisme que sont le nihilisme paternaliste, le nihilisme évangélique et le nihilisme sentimental.


Cornel West montre que la violence de l’Amérique est structurellement liée à l’idéologie suprémaciste blanche et au mythe du cow-boy. Mais il ne s’arrête pas là ! Il nous invite à dépasser la violence structurelle et idéologique en nous inspirant de l’esprit du blues, du jazz et du rap. Certes, pour le rap, je ne peux pas dire grand-chose, mais concernant le blues et le jazz, j’ai montré dans différents articles comment ces musiques ont su porter les revendications d’humanisme des damnés de la terre.


C’est le blues qui permettra à l’Amérique de sortir de son blues
Ainsi, après les attaques terroristes odieuses et inhumaines contre l’Amérique le 11 septembre 2001, Cornel West affirme qu’il faut certes condamner vigoureusement et lutter contre toutes les formes de terrorisme, mais soutient aussi que l’Amérique ne doit pas entrer dans un cycle de violence et de revanche. Ce jour-là, dit-il, l’Amérique tout entière a subi l’épreuve de la violence gratuite et a découvert ce que c’est que de vivre dans l’insécurité.


C’est toute la nation américaine qui a été « négrifiée » : elle a subi l’expérience de ce qu’est être noir. Quelques jours après l’attaque, c’est toute la nation qui a le blues. Alors, il invite cette nation à s’inspirer du peuple du blues : c’est le blues qui permettra à l’Amérique de sortir de son blues. Mais quelles sont les leçons du peuple du blues ? Mais qu’est-ce que le blues, qu’est-ce que le peuple du blues ?


À LIRE AUSSI :États-Unis : la question raciale envahit le débat politique
Pour Cornel West, les leçons du peuple du blues résultent de la question suivante : « Comment rester ouvert et montrer une solidarité significative avec des gens qui vous harcèlent ? » Il répond : « Frederick Douglass et Bessie Smith, Ida B. Wells-Barnett et Duke Ellington, Sarah Vaughan, Malcolm X et Martin Luther King Jr, Ella Baker et Louis Armstrong ont tous, à partir d’une tradition démocratique profonde, montré la voie de la sagesse à suivre dans ces moments difficiles que nous vivons. Ils savaient tous que, bien que le monde soit plein de nombreuses larmes, et bien que l’air soit rempli de pleurs, nous devons tous embarquer dans le même bateau d’une quête démocratique pour le triomphe de la sagesse, de la justice et de la liberté1. »


Rappelons-le, Amiri Barak, de son vrai nom LeRoi Jones2, a écrit un livre intitulé Blues People. Il y montre comment le bluesman exprime à travers son jeu des expériences douloureuses. C’est cette perception que Cornel West applique à la situation de l’Amérique au lendemain des attaques terroristes. Il invite ainsi la nation américaine à se servir des expériences « du peuple du blues », c’est‑à-dire des expériences des populations africaines-américaines pour transformer une tragédie en espoir.


DR
Selon lui, en reprenant en chœur le chant du blues, l’Amérique guérira de sa maladie et sortira du cycle de violence et de revanche. Il écrit : « Le blues est l’interprétation la plus profonde de l’espoir tragicomique en Amérique. Il nous encourage à affronter fermement les dures réalités de notre vie personnelle et politique, sans sentimentalisme innocent ni cynisme froid. »


Cette pensée me rappelle ce que j’ai écrit sur John Coltrane, Miles Davis et Thelonious Monk. Je disais notamment que la musique de ce dernier porte sur « le sarcastique, l’humour tonique, la dérision. » C’est ce que j’entends aussi, entre autres, dans la rythmique et les mélodies si bien écrites en mode mineur de cette partition : Cornel West, une pensée rebelle, de Mahamadou Lamine Sagna.

http://www.jeuneafrique.com/mag/354449/societe/violence-de-lamerique-structurellement-liee-a-lideologie-supremaciste-blanche/

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DES HOMMES AGRESSÉS POUR AVOIR DÉFENDU LEURS FEMMES JUGÉES SUR LEUR TENUE,femmes,sexisme,societe,

10 Septembre 2016, 02:44am

Publié par hugo

DES HOMMES AGRESSÉS POUR AVOIR DÉFENDU LEURS FEMMES JUGÉES SUR LEUR TENUE
DATE DE PUBLICATION : 08/09/2016 À 09:46 | COMMENTAIRE (0) Dispute de couple
L'histoire se passe à Toulon : des hommes ont violemment été passés à tabac pour avoir défendu leurs femmes, jugées parce qu'elles portaient un short.
Quand s'arrêtera-t-on de juger les tenues que portent les femmes, et le corps des femmes ?! Une simple tenue vestimentaire (absolument pas provocante) a déclenché un règlement de compte des plus choquants.


Vas-y, mets-toi toute nue !


Ainsi commence l'agression verbale adressée à des femmes qui se promenaient en short en compagnie de leurs maris et enfants dans la cité des Œillets à Toulon. La scène se déroule dimanche dernier, en pleine journée. Une dizaine de jeunes les prend à partie gratuitement, pour la simple raison - si on peut l'appeler ainsi - que les femmes portaient un short.

Interrogé, le procureur de Toulon aurait déclaré "Un prétexte pour les insulter et provoquer l'incident" dans une cité de la ville réputée dangereuse.



Pour défendre leurs femmes, les maris se sont interposés, appelant calmement au respect. La réponse de la bande de jeunes ne s'est pas faite attendre : ils se sont jetés sur les maris, les ont violemment frappés au visage, le tout devant leurs femmes et leurs enfants. La violence est telle que l'un des maris est désormais arrêté pour ITT (Incapacité Temporaire de Travail).

Bien que les agresseurs aient pu être interpellés grâce aux caméras de surveillance, on reste inquiet quant à la condition des femmes dans la société où les phénomènes de ce genre se renouvellent un peu trop souvent. Avant l'été dans la même ville, c'est une jeune-fille qui avait été agressée parce qu'elle portait un short. Indignée, elle avait souhaité transmettre un message sur Facebook. Par la suite, une marche et une manifestation #Tousenshort avait eu lieu pour la soutenir et dénoncer l'injustice.




Par Katia Fache

http://www.marieclaire.fr/,agresses-pour-avoir-defendu-leurs-femmes-jugees-sur-leur-tenue,827939.asp

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BADBUZZ : DES SOUTIENS-GORGE TAILLE 12 ANS POUR GOMMER LES IMPERFECTIONS,femmes,filles,sexes,sexisme,societe,

10 Septembre 2016, 02:38am

Publié par hugo

BADBUZZ : DES SOUTIENS-GORGE TAILLE 12 ANS POUR GOMMER LES IMPERFECTIONS
DATE DE PUBLICATION : 08/09/2016 À 15:31 | COMMENTAIRE (0) Soutien-gorge fillette
Au lieu de soutenir les fillettes de 12 ans à bien vivre la transition de leur corps pendant l’adolescence, la société de la lingerie a décidé de les faire se sentir encore plus précaires.
Souvenez-vous : cela n’a pas toujours été facile d’avoir 12 ans. Vos parents ne vous comprenaient pas, vos professeurs ne vous comprenaient pas, et vos amis ne vous comprenaient pas non plus ! Vous vous sentiez trop vieille pour faire ce que vous aviez le droit de faire, mais pas vous ne l’étiez pas assez pour faire ce que vous vouliez faire. Et puis bien sûr, il avait ce corps, en plein changement hormonal, dans lequel vous n’étiez pas toujours très à l’aise.


En d’autres termes, avoir 12 ans est déjà assez difficile comme ça pour que l’on ait en plus à se sentir « imparfaite » dans son corps et que l’on se sente obligée, si précocement, d’adhérer à certaines « normes » de beauté.




via GIPHY



Pourtant, en France, lorsque vous faites du shopping avec votre petite fille, il vous est désormais possible de tomber, au rayon enfants, sur des soutiens-gorge rembourrés promettant de « gommer les imperfections » d’un corps de « taille 12 ans ».


C’est ce qu’a pu découvrir Florence Braud. Outrée, la maman a décidé d’exprimer son mécontentement sur Twitter. Un message retwitté des centaines de fois depuis.


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Florence Braud @Babeth_AS
"Gomme les imperfections" et "offre une forme lisse"... Pour un soutif en 70A au rayon enfant... #LeCulLesRonces
10:52 - 2 Sept 2016
409 409 Retweets 155 155 j'aime


De même, il ne fallut que peu de temps à Florence Braud pour constater que, si jeunes déjà, les petites filles ne portant pas de soutiens-gorge pouvaient faire l'objet de moqueries par d'autres qui en portent :


« L’an dernier, j’ai acheté des brassières à ma fille, qui était en sixième, alors qu’elle n’en avait pas besoin. Seulement une gamine de sa classe s’était moquée d’elle à ce sujet. Pas parce qu’elle n’avait pas de seins, non, mais parce qu’elle n’avait pas de brassière. Parce que les filles DOIVENT porter des brassières ou des soutifs. Du coup, ma fille a réclamé une brassière, pour que l’autre gamine lui fiche la paix. Ça m’a attristée de voir que, si tôt, elle subissait déjà les injonctions à la féminité » peut-on lire dans BuzzFeed.


Face au tollé, la marque Dim a tenu à préciser que ces soutiens-gorge n'avaient pas pour but de gommer les imperfections morphologiques des fillettes mais celles des textiles. « Il s’agit de gommer les imperfections des matières (plis, superpositions etc) afin de rendre le produit lisse au porté et harmonieux sous le vêtement ».

Source marieclaire.co.uk
Par Lola Talik

http://www.marieclaire.fr/,badbuzz-des-soutiens-gorge-taille-12-ans-pour-gommer-les-imperfections,827966.asp

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ALLEMAGNE : UN MILLIER DE JEUNES FILLES MARIÉES PARMI LES RÉFUGIÉS,femmes,allemagne,

10 Septembre 2016, 02:17am

Publié par hugo

ALLEMAGNE : UN MILLIER DE JEUNES FILLES MARIÉES PARMI LES RÉFUGIÉS
DATE DE PUBLICATION : 08/09/2016 À 12:27 | COMMENTAIRE (0) réfugiés allemagne mariage précoce fille
1.000 filles mariées, parmi les 1,2 million d’immigrants entrés dans le pays dans le cadre de la politique d’accueil d'Angela Merkel. La moitié serait âgées entre 16 et 18 ans, d'autres seraient encore plus jeunes.
Ces chiffres annoncés par le Sunday Times, soulèvent la question de l'interdiction du mariage des mineurs en Allemagne pour protéger les jeunes réfugiées, dont la plupart des unions sont précoces et conclues conformément à la charria.



MARIAGES PRÉCOCES : DES CHIFFRES ALARMANTS


Dans son article le journaliste Bojan Pancevski prend l'exemple de Fatima, 15 ans, qui à l'instar de nombreuses jeunes réfugiées, est heureuse de bénéficier en Allemagne de commodités comme le logement, la nourriture et la sécurité. Un confort d'autant plus nécessaire que cette orpheline qui s'est mariée avant son départ avec un syrien de 34 ans, est enceinte...




Si ce mariage précoce a été conclu en Syrie avant l'arrivée du couple en Allemagne, l'augmentation du nombre de mariages d'enfant fait parti des préoccupations auxquelles doit faire face le gouvernement allemand. Les chiffres officiels font état -rien qu'en Bavière- de 160 filles mariées avant 16 ans, et de 550 entre 16 ans et 18 ans sur le territoire allemand. Mais le journaliste s'inquiète surtout des autres unions, conclues conformément à la sharia (le code légal Islamique) et qui ne figurent nulle part.




Rappelons qu'en Allemagne, en Belgique et en France, nous sommes autorisés à nous marier qu’à partir de 18 ans, mais il est possible de se marier à 16 ans par dérogation. Un garde-fou juridique que ne semble pas suffisant pour le ministre allemand de la Justice, Heiko Maasau.




Aucune des personnes immigrant [en Allemagne] n’a le droit de placer ses racines culturelles ou ses convictions religieuses au-dessus de nos lois



a t-il déclaré journal Bild.



Et d'ajouter: «tout le monde doit respecter les règles et les lois, qu’ils aient grandi [en Allemagne] ou qu’ils soient nouveaux».




Une déclaration qui fait également référence à la validation par un tribunal de Bavière du mariage d’un Syrien de 21 ans avec sa cousine de 14 ans. Le tribunal avait estimé qu’il était valide, parce qu’il avait été conclu en accord avec la loi syrienne. L’homme avait déposé une plainte contre les services sociaux allemands parce qu’ils avaient séparé le couple et placé la fille sous leur tutelle légale.




Si les autorités locales tentent maintenant de faire appel contre ce verdict, le ministre souhaite également créer un groupe de travail chargé d’examiner comment la loi peut être modifiée pour éventuellement interdire les mariages pour les personnes âgées de moins de 18 ans.




En France, le Sénat avait adopté en 2005 à l'unanimité un amendement portant de 15 à 18 ans l'âge minimum légal pour les jeunes femmes afin de lutter contre les mariages forcés.


Une loi qui ne résout pas pour autant la position à tenir pour les tribunaux qui font face aux demandes de dérogation.


L’association suisse Terre de Femmes, une organisation dédiée aux droits des femmes, vient de lancer une pétition pour interdire le mariage des moins de 18 ans. Cette pétition a déjà recueilli 100.000 signatures.


D’autres pensent que les pratiques religieuses et culturelles des nouveaux arrivants devraient être respectées dans le cadre de leur asile. “Si ces manières de vivre sont communes ailleurs et que ces gens ont émigré ici légalement, cela signifie que nous les privons de leurs droits et que nous leur refusons notre protection”, pense le professeur de droit Hans Michael Heinig, dans le Sunday Times.


C'est compter sans la parole de nombreuses femmes qui luttent dans les camps de réfugiés contre les mariages précoces, en particulier la jeune militante syrienne de 15 ans Omaima en Jordanie (vidéo ci-dessous).



Par Désirée de Lamarzelle

http://www.marieclaire.fr/,mariage-precoce-allemagne-refugies,827955.asp

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Familles monoparentales : des enfants pas plus perturbés que les autres,famille,enfants,

10 Septembre 2016, 02:16am

Publié par hugo

Familles monoparentales : des enfants pas plus perturbés que les autres
Famille
Familles monoparentales : des enfants pas plus perturbés que les autres
Familles monoparentales : des enfants pas plus perturbés que les autres
Zoomer
Depuis quelques années, le nombre de familles monoparentales ne cesse d’augmenter. Selon une enquête de l’OCDE, dans la plupart des pays, l’énorme majorité (80%) de ces parents sont des femmes. Dès lors, des voix s’élèvent pour alerter sur l’absence du père et sur les problèmes (psychologiques, d’adaptabilité…) dont risquent de souffrir les enfants. Une étude britannique semble leur donner tort.


Une équipe du Centre de recherche sur la famille de l’Université de Cambridge suggère que les enfants issus de familles monoparentales sont généralement bien intégrés (à l’école par exemple), avec des sentiments positifs au sujet de la vie de famille.


Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont recruté 51 femmes qui élevaient seule leur enfant et 52 couples hétérosexuels avec un enfant issu d’un don de gamète ou de spermatozoïdes. Les mères des 2 groupes ont répondu à des questionnaires sur leur quotidien et celui de leur descendance.


Résultat, « aucune différence significative n’a été relevée », notent les auteurs. « Même si les mères célibataires connaissent plus souvent des situations financières précaires et des niveaux de stress plus élevés ».


Du côté des enfants, qui eux aussi ont répondu à des questions, la plupart (dans les 2 groupes) n’a pas exprimé de souhait concernant un éventuel changement familial. Dans l’ensemble, ils ont qualifié de « plaisir », le fait d’aller à l’école et tous ont expliqué avoir des amis. Et la grande majorité n’a pas été victime de brimades ou de moquerie.


Seule différence en fait, les enfants issus de familles monoparentales posent inévitablement des questions sur l’absence du père, « sans que cela n’altère le fonctionnement familial », expliquent les auteurs. « Nos résultats suggèrent que ce n’est pas l’absence ou la présence du père qui importe, mais la qualité de la relation entre parent et enfant. »

http://www.ladepeche.fr/article/2016/08/02/2394824-familles-monoparentales-des-enfants-pas-plus-perturbes-que-les-autres.html#&utm_source=ExtensionFactory.com&utm_medium=extension&utm_content=newtab&utm_campaign=extension

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Une loi ciblant « la longueur des jupes » fait scandale au Burundi,femmes,sexisme,

9 Septembre 2016, 15:43pm

Publié par hugo

Une loi ciblant « la longueur des jupes » fait scandale au Burundi
23 août 2016 à 13h54 — Mis à jour le 23 août 2016 à 14h00
Par Armel Gilbert Bukeyeneza - à Bujumbura
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Un projet de loi sur les violences basées sur le genre a été voté le 18 août par le Sénat. Un texte qui comporte une disposition controversée sur l’interdiction des « tenues indécentes » sur la voie publique.


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Les jeunes filles de la capitale n’en reviennent pas. Entendre que l’on ne peut plus porter sa jolie robe, sa jupe achetée à prix d’or, juste parce qu’elle est jugée trop courte ? Qu’il faut prendre ses leggins (pantalon moulant), les jeter à la poubelle pour le simple fait qu’ils exhibent des jambes de manière trop sexy ?


La nouvelle est tombée jeudi 18 août quand un projet de loi sur les violences sexuelles basées sur le genre, portant une disposition qui fait d’une « tenue indécente » une nouvelle infraction, a été voté au Sénat. La raison : il y aurait des tenues provocatrices qui attirent tous les regards, et qui seraient susceptibles d’entraîner des agressions sexuelles. Sous-entendu : les filles sont parfois responsables de ce qui leur arrive. Un discours misogyne qui provoque un tollé dans les rues de Bujumbura, et bien évidemment sur la Toile.


Déjà des arrestations à Bujumbura


Au Burundi, la polémique ne cesse d’enfler. Certaines voix s’élèvent déjà pour rire au nez des sénateurs « qui ont voté un projet de loi comportant une disposition qui ne vise qu’à détourner l’attention des jeunes de leurs vrais problèmes ». D’autres s’en prennent directement à la police qui, zélée, a déjà commencé à mettre en pratique un texte qui attend toujours sa promulgation pour devenir une loi.


« Six filles viennent de se faire arrêter par la police au Lacoste Beach (une plage située au sud de la capitale) pour avoir porté des collants et des minijupes. J’ai dû emporter une sur ma moto qui était sur le point d’être appréhendée », témoignait déjà un conducteur de taxi moto, dimanche 21 août. Et de commenter la mesure avec raillerie : « Nous les motards allons être un peu à l’abri des policiers. Ils reviendront vers nous que quand ils auront épuisé les 2 000 Francs de ces jeunes filles [un billet réputé être fréquemment utilisé par les chauffeurs pour corrompre les policiers, NDLR] ».


Selon le gouvernement, il n’y a aucune clause qui parle expressément de minijupe et de collant mais d’habillement indécent qui constitue un attentat à la pudeur
Selon d’autres témoignages, d’autres arrestations ont été observées au centre-ville durant le même weekend. À en croire certaines sources, et les images qui circulent sur les réseaux sociaux, c’est la police anti-émeute, l’unité connue pour la terrible répression qu’elle mène dans les quartiers dits contestataires, qui conduisait l’opération.


« Apprendre aux hommes à respecter les femmes »


Pour l’initiateur du projet de loi, Martin Nivyabandi, ministre des Droits de l’homme et du Genre, cette histoire de minijupe et de collant n’est qu’une invention de ceux qui veulent torpiller les initiatives de son ministère. Il s’en est expliqué dans un post Facebook, dimanche 21 août. « Après l’adoption du projet de loi sur les VSBG (violences sexuelles basées sur le genre), de fausses informations parfois malveillantes semblent faire l’anti-propagande de ce projet de loi. Il n’y a aucune clause qui parle expressément de minijupe et de collant mais d’habillement indécent qui constitue un attentat à la pudeur. Il serait sage de ne pas faire dire à ce projet ce qu’il ne dit pas ».


Une justification qui passe mal aux oreilles de Pamela Mubeza, qui défend les droits des mères célibataires au sein de l’association Single mother association asbl (SMO). « Une tenue est indécente par rapport à quoi, à qui ? Et qui va juger ? », s’interroge-t-elle avant d’exprimer sa déception. « C’est dommage de voir que l’on doit toujours voter des lois, émettre des recommandations sur le corps des femmes. On devrait plutôt apprendre aux hommes à les respecter au lieu de continuer à restreindre le peu de droits qu’elles ont ».


La théorie de l’ourlet resurgit


Les autorités de Bujumbura reprendraient-elles à leur compte la fameuse (et controversée) théorie de l’ourlet de l’Américain Georges Taylor (1920) ? Celle-ci prétend établir une relation inverse entre la vitalité économique d’un pays et la longueur des jupes de ses habitantes… Quoi qu’il en soit, le débat trouve aujourd’hui un nouvel écho sur les réseaux sociaux, au vu des difficultés budgétaires actuelles du Burundi.

http://www.jeuneafrique.com/351088/societe/loi-ciblant-longueur-jupes-scandale-burundi/?utm_source=Facebook&utm_medium=Articles&utm_campaign=PostFB_23082016

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Ce soir, je m'impose : 7 bonnes raisons de prendre les devants au lit,femmes,amours,couples,amours,

9 Septembre 2016, 00:55am

Publié par hugo

Ce soir, je m'impose : 7 bonnes raisons de prendre les devants au lit
Caroline Michel, Mis à jour le 19/08/16 11:45
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Pas simple de prendre les devants et d’imposer ses désirs en pleine partie de jambes en l’air. On a beau être à l’aise, on craint de casser le rythme et l'ambiance. Pourtant, oser demander ce que l’on attend au lit, ce n’est que du positif. Voici les bonnes raisons de se lancer.


Envie de changer de positions, de rythme, de luminosité, envie d'utiliser un sextoy ou ne plus utiliser le sextoy, envie de se faire bander les yeux ou de regarder un porno, de lui dire qu'il fait mal ou qu'il est bien trop doux, que les préliminaires sont trop courts ou s'éternisent… il suffit de parler ou de guider Jean-Paul avec des gestes : on sait faire ! Mais la plupart du temps, on n'ose pas. On ne voudrait pas gêner ou vexer Jean-Paul. Stop ! Découvrez les bonnes raisons de vous imposer. Après ça, aucun doute, vous vous exprimerez pour toujours plus de plaisir au bout...!


Oser demander ou guider l'autre vers son désir, c'est se respecter. Cela signifie que l'on s'écoute et que l'on met nos envies en action. Et c'est valorisant ! A force d'oser, on gagne en confiance en soi, au lit comme à l'extérieur. "Une baguette pas trop cuite s'il-vous-plait" : on ressort de la boulangerie plutôt fière d'avoir obtenu le résultat souhaité.
Si on ne demande rien, on risque de s'ennuyer. Bien sûr, on aime la façon que Jean-Paul a de nous tirer les cheveux, ce n'est pas le souci. Mais s'il le fait tout le temps, les rapports sexuels un peu sauvages deviennent davantage routiniers que surprenants. Alors on se lance, histoire d'égayer notre vie sexuelle, de partager nos fantasmes et nos idées coquines.
Et en plus d'égayer notre vie sexuelle à nous, on égaie celle de Jean-Paul. Car oui, en entrainant notre compagnon sur nos terrains et nos envies de découvrir telle ou telle position ou tel mouvement de langue, Jean-Paul délaisse légèrement ses habitudes et s'ouvre à la nouveauté. Parce qu'on a toutes et tous une petite zone de confort, et c'est bien à deux que nous apprenons à en sortir !
En s'imposant, on évite d'une part l'ennui, mais on évite aussi de faire semblant. Ne vaudrait-il pas mieux dire à l'autre que cette pratique, on ne l'aime pas, plutôt que de jouer celle qui apprécie ? En matière de sexe, il est important d'apprendre à se connaître dans le temps. Donc jouer un rôle pour faire plaisir, c'est non. L'autre sera ravi de découvrir ce que l'on adore et adore un peu moins.
Notre partenaire aimera toujours qu'on prenne les devants : de loin, nous préférons tous quelqu'un qui stoppe un missionnaire pour se retourner en levrette que quelqu'un qui attend gentiment que ça se passe ou que la Terre se retourne pour nous propulser les fesses au ciel. C'est plus excitant pour tout le monde.
Si on ne demande rien, on finit par penser (injustement) que Jean-Paul a le monopole du plaisir et de la situation. Et bêtement, on lui en veut d'être toujours celui qui initie (au début on adorait ça mais pourquoi aujourd'hui, on ferait comme lui le dicte ?). Oser demander, c'est donc ne pas s'enfermer dans une mauvaise impression, celle de ne pas avoir notre mot à dire alors que si, tout à fait. Car à termes, on pense que chacun est dans son rôle, que c'est comme ça, et nos rapports perdent en spontanéité et donc en plaisir.
On multiplie nos chances de prendre notre pied. Etouffer ses envies parce que bon, si on parle on va casser l'ambiance, c'est aussi étouffer notre capacité à jouir haut et fort. Si là, tout de suite, maintenant, notre corps réclame un cunnilingus, c'est qu'il sait ce qui est bon pour lui, non ?





7 bonnes raisons de m'imposer au lit ce soir © 123RF





Sexo : 9 accessoires hot pour l'été
L'été est réputé pour booster la libido. On se détend, on prend le soleil, on transpire et on s'attire. Pour mettre encore plus de chaleur dans votre hamac, voici 8 accessoires sexo à glisser dans votre sac, entre crème solaire et passeport.


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http://www.journaldesfemmes.com/couple/sexo/1611268-choisir-faire-l-amour-s-imposer/

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Célibataire : 4 choses à faire pour rencontrer quelqu'un à la rentrée,femmes,seduction,couples,amours,

9 Septembre 2016, 00:51am

Publié par hugo

Couple Séduction
Célibataire : 4 choses à faire pour rencontrer quelqu'un à la rentrée
Caroline Michel, Mis à jour le 26/08/16 17:00
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Le célibat vous enveloppe comme une seconde peau, sauf que vous préféreriez vous trouver dans les bras d'un homme. Que faire pour trouver l’amour, maintenant que les vacances sont finies ? Quatre conseils.


Cet été, vous aviez bon espoir : vacances entre copines, sorties, plages, peau bronzée. Forcément, vous alliez faire des rencontres. Car oui, même l'été, on peut vivre une relation durable qui passe ensuite les saisons. Sauf que le ciel bleu vous a comme zappée : à part trois coups de soleil qui brûlent sous la douche et un Robert avec qui vous avez flirtée un soir sans suite, rien. Mais rien. Et ça fait bien des mois que vous qualifiez votre vie amoureuse de "désert affectif", ajoutant "je n'ai rien à raconter moi". Dans votre voix, de la peine, dans votre cœur, des bras baissés. Comment faire pour que la rentrée, qui rime avec bonnes résolutions et nouvelle vie, vous apporte un bonheur amoureux d'un mètre quatre-vingt ?


Je tue le négatif et le laisse derrière moi
Qu'est-ce qu'on aime se répéter que notre vie amoureuse est un désastre, en entrant dans les moindres de détails : les ruptures bien saignantes, les types qui n'ont jamais rappelé alors que ça semblait bien parti, les relations éphémères qui finissent de nous achever… Que du bon, du qui nous fait dire "que c'est la misère et que ça le sera toujours". Penser ainsi c'est se tirer une balle dans le pied. On vit l'échec, on le porte sur nous, on l'imagine à chaque coin de rue alors la prochaine rencontre, même si elle se pointe avec un grand sourire et un avenir possible, on la détruira sans même sans apercevoir, persuadée que rien ne vaut le coup. Alors par pitié, on laisse le passé au passé. Il est révolu, qu'est-ce qu'on peut bien faire ? Rien. A part se projeter à demain qui est bourré de promesses. On s'ouvre (nous et nos yeux) et on garde la pêche !


Je prends soin de ma petite personne
S'occuper de soi est une clé pour mieux trouver l'amour. Car sinon, on semble déjà être la moitié de quelqu'un puisqu'on attend que l'autre vienne nous sauver. Etre soi, entière, et comblée par son petit quotidien, c'est bien plus attrayant qu'un regard de désespérée prête à ouvrir à sa porte. Donc en plus d'être positif, on se concentre sur sa personne, ses passions et ses sources de bonheur. Hors de question de se soumettre à la recherche de l'amour, on est bien plus fine que ça. On mène sa barque tranquille : on prend ses bains, on écrit parce qu'on aime ça, on lit, on fait des projets, d'appartement ou du boulot, on va à la danse et au judo, on enchaîne les films au cinéma. On apprend à se reconnaître et on sait ce qu'on veut, sans avoir l'air toujours disponible comme une petite coquille vide. Parce qu'on n'est pas comme ça ! Alors on ne va pas le devenir simplement de trop attendre un prince.


Je revois mes (grosses) exigences à la baisse
Le problème vient peut-être de là : on se plaint sans cesse de ne pas trouver l'amour, ou du moins de ne pas tomber sur des hommes qui nous font envie d'aller plus loin, mais est-ce qu'on les regarde bien ? Assez pour pouvoir conclure au bout de trois échanges que ça ne va pas le faire ? Il a dit " LOL ", tu comprends, c'est impossible pour moi. On se plante ! Il y a des garçons supers qui font des fautes d'orthographe, des garçons plein de caractère (on adore) qui au départ s'écrasent pour ne pas effrayer la dame, des garçons collants qui s'y prennent comme des manches parce qu'ils pensent que c'est ainsi que ça marche et qui retrouvent leur indépendance une fois la relation en marche. Alors crotte : on arrête de croire qu'un homme qui ne remplit pas tous nos critères rapidement est une mauvaise pioche, parce qu'il faut du temps pour être soi-même parfois. Et même si certains défauts apparents ne s'estomperont pas comme ça, qui nous dit que d'une part, on ne va pas finir par les trouver attendrissants et que d'autre part, sous ces défauts, ne se cachent des qualités insoupçonnées qui vont nous renverser de bonheur ?


J'écoute un peu moins mes amis
Entre celle casée depuis cent ans qui répète que le bon, on le voit d'un regard, et celle qui désespère d'être seule et brandit à tout-va que les hommes sont tous de parfaits connards, pas facile de trouver l'amour... prisonnière de clichés. Chacune pense bien ce qu'elle veut, et tant mieux si Sophie a ressenti une évidence dans les yeux de Paul et tant pis si Chloé a décidé de se fâcher avec la gente masculine. On ne doit pas tenter de s'accrocher à leur propos pour comprendre notre situation, non plus pour développer la prochaine. Alors stop aux remarques qui ne nous conviennent pas et nous désorientent. Stop aussi aux conseils qu'il faudrait soi-disant appliqués parce qu'ils ont fonctionné sur d'autres : "fais la morte, il doit courir". Non… si on a envie d'appeler, on le fait ! On pense par soi-même, ça fait le plus grand bien et c'est comme ça qu'on ouvre les portes : avec ses clés !




Célibataire : 4 choses à faire pour trouver quelqu'un à la rentrée © 123RF
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Comment trouver l'amour dans un pré ?
"L’amour est dans le pré" est de retour sur M6 et vous donne envie de rencontrer un agriculteur. Comment faire pour trouver l'homme idéal dans un champ, hors-caméra ? Suivez le guide.


Ne pas avoir de fantasmes sexuels, c’est possible ?
Ne pas rêver d’une longue étreinte dans les bras d’un médecin en blouse blanche dans un bungalow vue sur mer et menottes aux poignets, ça en inquiète certaines. Mais est-il nécessaire de se ronger les ongles à ce sujet ? Les fantasmes sont-ils importants et peut-on vivre sans ? Enquête avec Sophie Cadalen, auteure de "Rêves de femmes, ce que nos fantasmes disent de nous" aux éditions Leduc.s.


Et si on tentait l’autohypnose pour réussir sa vie amoureuse ?
Guérir d’un chagrin d’amour, sortir du célibat, améliorer son entente sexuelle avec son partenaire… c’est possible avec l’autohypnose. Partons à la découverte de cette pratique avec Jean-Michel Jakobowicz, hypnothérapeute à Genève et auteur de "Réussir sa vie amoureuse avec l’autohypnose".

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COUP DE GUEULE ENVERS LES FEMMES PARISIENNES

9 Septembre 2016, 00:43am

Publié par hugo

COUP DE GUEULE ENVERS LES FEMMES PARISIENNES
VOUS PENSEZ QUE VOUS VALEZ MIEUX QUE MOI CAR VOUS AVEZ LA DERNIERE ROBE,JUPES OU CHAUSSURES A LA MODE????
vous vous trompez dans cas la , vous êtes juste la société de consommation de la mode qui dure juste un mois ou un an .vous êtes juste des beeh , beeh , vous savez l animal qui est tuer à des fêtes chrétiennes ou autres fêtes .
si vous me croisez discuter avec moi, NE ME JUGEZ PAS SINON JE LE FERAIT AUSSI POUR VOUS !!!sans vous le dire .
LES FILLES ARRETEZ DE REVER D ACTEUR QUE VOUS NE POURREZ JAMAIS AVOIR ET QUI ONT PARFOIS LE DOUBLE DE VOTRE AGE ;COMME PAR EXEMPLE BEN AFFLECK , STAR ETC, moi je trouve cela BEBE DE VOTRE PART, on fait pense a des star quand on est ADO APRES JE TROUVE CELA MALADE MENTALE, malsain ,
REVER D UN MEC GENTIL, MALADROIT, QUI VIT sans marques sur ses affaires , ETC
VOUS PENSEZ QUE vous valez mieux que moi car vous parlez mode etc . LA MODE NE SERT A RIEN ,cela ne fait pas tourner le monde .la réflexion sur le monde , faire du bénévolat, parler discuter avec des gens , et signez des pétitions , faire des manif cela fait tourner le monde .
VOTRE MEC NE SERA JAMAIS LA STAR QUE VOUS AIMEZ DONC RÊVER DE LUI ET DE SES QUALITÉS , et faites lui perdre ses défauts voila
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BERTRAND STEFANINK@COPYRIGHT

COUP DE GUEULE ENVERS LES FEMMES  PARISIENNES
COUP DE GUEULE ENVERS LES FEMMES  PARISIENNES

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