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#MenInHijab : en Iran, des hommes portent le hijab pour protester contre le voile obligatoire,egalite,parite,religions,

7 Septembre 2016, 06:23am

Publié par hugo

#MenInHijab : en Iran, des hommes portent le hijab pour protester contre le voile obligatoire
02 août 2016 à 17h37 — Mis à jour le 02 août 2016 à 17h59
Par Chedine Tazi
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Depuis quelques jours, on peut voir sur Facebook des clichés d’hommes à la tête couverte d’un voile, en signe de protestation contre le port obligatoire du hijab. À l’origine du mouvement, la journaliste iranienne Masih Alinejad, qui a appelé ses compatriotes masculins à partager leurs photos sous le hashtag “#MeninHijab .


Une campagne née de la colère d’une militante


Masih Alinejad n’en n’est pas à son premier coup sur les réseaux sociaux. En 2014, la journaliste iranienne, exilée aujourd’hui à New York, créait le site « My Stealthy Freedom », [ma liberté furtive], qui appelait les Iraniennes à s’afficher sans leur voile, l’espace d’une photo.


Depuis le 22 juillet, l’idée lancée par la militante sur sa page Facebook est d’inviter les hommes à se couvrir la tête du voile d’une femme de leur entourage, qui apparaissent parfois elles-mêmes, tête dénudée, sur les photos.






Plusieurs Iraniens ont répondu à son appel et affichent leur autoportrait sur la page de Masih Alinejad, qui compte déjà plus d’un million d’abonnées sur Facebook.


Repérée à l’international par le quotidien britannique The Independent, la campagne de Masih Alinejab est née de l’indignation de la journaliste suite à la déclaration du chef de la diplomatie iranienne, Mohammed Javad Zarif, qui a affirmé à une sénatrice française que les touristes s’accommodaient parfaitement du voile obligatoire lorsqu’elles visitaient l’Iran.


Regardez cette photo de vous en Hijab. Comment la ressentez-vous ? Cette photo est-elle comique, bizarre, ou bien la ressentez-vous comme une insulte personnelle ? C’est exactement ainsi que les femmes ne croyant pas au hijab obligatoire le ressentent.
Le 21 juillet, Masih Alinejab a répondu au ministre en publiant un montage de ce dernier coiffé d’un hijab. Le lendemain, la militante publie une traduction française de la description accompagnant le post. Elle y interpelle le ministre : « Regardez cette photo de vous en Hijab. Comment la ressentez-vous ? Cette photo est-elle comique, bizarre, ou bien la ressentez-vous comme une insulte personnelle ? C’est exactement ainsi que les femmes ne croyant pas au hijab obligatoire le ressentent. »




Et d’ajouter : « M. Zarif, vous, ainsi que de nombreux autres hommes, avez pris l’habitude de voir tous les jours les femmes porter le hijab obligatoire et vous pensez que c’est normal, mais pour des millions d’Iraniennes cette obligation est une insulte à leur dignité. »


Liberté de choisir


Dans cette publication, la militante précise toutefois : « Nous ne sommes pas contre le hijab mais nous voulons le choix. Nous voulons pouvoir choisir de porter le hijab ou non et c’est vous ainsi que les autres politiciens de la république islamique qui nous déniez ce droit. »


Le combat de la journaliste et des dizaines d’hommes qui la soutiennent est donc avant tout celui de la liberté de choisir. Les Iraniens ayant osé répondre à son invitations accompagnent leurs portraits de témoignages:






Sur la photo ci-dessus, deux hommes posent en hijab et commentent : « Nous sommes père et fils. Mon cœur souffre des injustices imposées à ma femme, ma mère et mes sœurs. J’espère un jour nous voir tous vivre en harmonie quels que soient nos choix de vie ».


Si nous avions eu les réseaux sociaux [en 1979], nous aurions pu rappeler sa promesse à la république islamique. Qui sait, peut-être n’aurions même nous pas de hijab obligatoire…




Sur cet autre cliché, deux hommes posent avec les femmes auxquelles ils ont emprunté les hijab, brandissant la couverture d’un journal écrit en farsi. On peut lire dans la description : « La copie du journal date de 1979, lorsque les dirigeants de la république islamique déclaraient qu’il n’y aurait pas de hijab obligatoire. Pour les Iraniens, la une de ce journal est devenue une amère plaisanterie. Si nous avions eu alors les réseaux sociaux, nous aurions pu rappeler sa promesse à la république islamique. Qui sait, peut-être n’aurions même nous pas de hijab obligatoire »…






Un autre Iranien, posant aux côtés de sa nièce sur Facebook, témoigne à son tour : « Lorsque je porte le hijab, même pour un court moment, j’ai l’impression de ne plus être moi-même, c’est la pire sensation au monde et c’est absolument inacceptable pour toute personne libre. (…) Mon message, en tant qu’humain libre, est que chacun, en tant qu’être intelligent, doit avoir le choix et décider par soi-même comment s’habiller. La contrainte n’est acceptable pour personne et j’espère qu’un jour ce sera la réalité dans mon antique patrie. »

http://www.jeuneafrique.com/346311/societe/meninhijab-iran-hommes-portent-hijab-protester-contre-voile-obligatoire/

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"La beauté n'a pas d'âge, la fertilité si" : la campagne italienne qui choque le Net,femmes,societe,

7 Septembre 2016, 01:07am

Publié par hugo


"La beauté n'a pas d'âge, la fertilité si" : la campagne italienne qui choque le Net
Par Lucile Quillet | Le 02 septembre 2016
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Le ministère de la Santé italien a créé la polémique en lançant une campagne de communication pour inciter les femmes à faire des enfants.


En ce moment
Remportez un séjour à l'Hôtel Bachaumont
Remportez un week-end typiquement parisien à l’Hôtel Bachaumont
Le ministère de la Santé italien ne s'attendait sans doute pas à ce que sa nouvelle campagne de communication pro-natalité reçoive un tel accueil. Jeudi, ses affiches de sensibilisation sont devenues la risée des réseaux sociaux. Sur l'une, on voit un nid d'oiseau sur fond de coucher de soleil, surtitré : « Dépêche-toi, n'attends pas la cigogne ». Sur une autre, on y aperçoit une jeune femme, une main sur le bas ventre, l'autre brandissant un sablier, légendée : « La beauté n'a pas d'âge, la fertilité, si ». Ou encore « La fertilité est un bien commun », illustrée par un robinet d'eau qui goutte. Des formules désuètes, qui ont fait bondir bon nombre d'internautes sur Twitter.


Cette campagne devait annoncer le lancement de la Journée de la fertilité, baptisée « Fertility Day », le 22 septembre prochain. Opération réussie : le hashtag #FertilityDay s'est rapidement hissé dans le top des sujets italiens les plus discutés sur Twitter d'après le site Courrier international. Discuté ou plutôt... très critiqué. En Italie, et au-delà de ses frontières.


Certains internautes se sont indignés du ton injonctif de ces réclames, qui sous-entend qu'il faut mettre ses capacités reproductives au service des autres, comme la journaliste @FranceFattori :


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Francesca Fattori @FranceFattori
#fertilityday #Italie "Non, ton utérus - et tes spermatos, soyons pas sexistes - ne t'appartiennent pas !"
8:32 AM - 1 Sep 2016
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D'autres comme @AlexandreAfonso ont trouvé cela très embarrassant pour l'Italie d'avoir à quémander aux femmes de faire des enfants « pour le bien de la Nation », quand d'autres utilisateurs du réseau ont répondu avec humour à ces arguments jugés infantilisants. Ainsi @LaraTelli avec cette image rétro légendée « Oh mon Dieu ! J'ai oublié de faire des enfants ! » :


1 Sep
Alexandre Afonso @alexandreafonso
Italy begs women to have more babies for the sake of the nation, totally embarrasses the nation http://buff.ly/2caAZNW
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Lara Martelli @LaraTelli
@alexandreafonso vu sur Facebook ;) #fertilityday pic.twitter.com/X4I77plILf
1:58 PM - 1 Sep 2016
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La campagne a aussi été perçue comme une régression pour les droits de la femme, notamment par @haveyourmetila qui commente « Et ils disent que nous n'avons plus besoin du féminisme » :


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Armadilla. @haveyoumetila
"we don't need feminism" they said #fertilityday
8:38 PM - 31 Aug 2016
52 52 Retweets 58 58 likes
Pour l'auteur italien Roberto Saviano, la campagne est « une insulte faite à tous : ceux qui n'arrivent pas à concevoir, et ceux qui aimeraient mais n'ont pas de travail » :


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Roberto Saviano ✔ @robertosaviano
Il #fertilityday è un insulto a tutti: a chi non riesce a procreare e a chi vorrebbe ma non ha lavoro. E il 22 mi rovinerà il compleanno.
3:53 PM - 31 Aug 2016
2,801 2,801 Retweets 5,497 5,497 likes
De nombreux internautes ont critiqué la campagne pour avoir fait fi du contexte économique difficile dans lequel vivent de nombreux Italiens. Le taux de chômage dépasse 11,4%, et grimpe jusqu'à 39,2 % chez les 15-24 ans. L'association ACT! a ironisé sur le fait qu'un enfant est « à durée indéterminée », contrairement à un travail...


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ACT! @act_agire
altro che #fertilityday... vogliamo scegliere se e quando fare figli, liberi dal ricatto della precarietà
2:29 PM - 31 Aug 2016
39 39 Retweets 43 43 likes
Un problème de natalité... et de précarité


Certes, le taux de natalité italien n'est pas au meilleur de sa forme. Avec 1,37 enfant par femme italienne, c'est l'un des plus bas en Europe, d'après les chiffres d'Eurostat. Pour la première fois depuis 1919, la population de la botte méditerranéenne a baissé en 2015, selon le journal Les Échos. Le gouvernement a notamment prévu dans son plan national pour la fertilité de doubler le montant des allocations à l'arrivée du premier enfant, rapporte le journal Le Monde.


Il n'empêche qu'en Italie, comme dans beaucoup d'autres pays européens, la gent féminine est plus durement frappée par la précarité. Les femmes actives ont plus souvent que les hommes des contrats à temps partiel (avec un salaire moindre) et des contrats à durée déterminée, selon les informations de la Commission européenne. L'Italie n'échappe pas aux écarts de salaires entre hommes et femmes, qui s'élèvent à 6,7% (un des taux les plus bas de l'Union européenne), selon les données d'Eurostat.


Le désaveu de Matteo Renzi


En pleine polémique, le président du conseil Matteo Renzi a rappelé ces éléments conjoncturels pour désavouer la campagne. « Je n'ai aucun ami qui ferait un enfant parce qu'il a vu une affiche à ce sujet », a-t-il affirmé au journal Corriere della Sera. Ajoutant que la « vraie campagne » pour convaincre les Italiens de procréer serait de leur fournir « un travail à durée indéterminée », « un prêt », « une crèche en bas de chez eux ». Le cabinet de communication du ministère en a tiré les leçons en retirant jeudi les images de la campagne polémique du site officiel du « Fertility Day ».


Revoir la campagne "He for She"


En images
Premiers clichés de la campagne HeForShe France
Premiers clichés de la campagne HeForShe France
Premiers clichés de la campagne HeForShe France
Premiers clichés de la campagne HeForShe France
Voir toutes les photos
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http://madame.lefigaro.fr/societe/la-beaute-na-pas-dage-la-fertilite-si-la-campagne-qui-choque-lit-010916-116129

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Burkina – Laure Zongo : « Toute exploitation abusive de l’image de la femme doit être condamnée »,femmes,feministe,sexisme,

6 Septembre 2016, 14:48pm

Publié par hugo



Burkina – Laure Zongo : « Toute exploitation abusive de l’image de la femme doit être condamnée »
05 septembre 2016 à 18h03
Par Rodrigue Tagnan
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Laure Zongo, la ministre burkinabè de la Femme, de la Solidarité nationale et de la Famille, a annulé fin août le concours Miss "Bim Bim" destiné à élire la femme au plus gros postérieur. Selon elle, cette décision, qui a été motivée par des considérations d'ordre éthique, s'inscrit dans une démarche globale du gouvernement décidé à promouvoir les bonnes mœurs. Interview.


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La troisième édition du concours Miss « Bim Bim » élisant habituellement la femme au plus gros postérieur a été annulé fin août sur décision de la ministre burkinabè de la Femme, de la Solidarité nationale et de la Famille. Alors que les organisateurs affirmaient vouloir « promouvoir une image positive du corps de la femme africaine », Laure Zongo y déplorait plutôt une attitude sexiste dévalorisant la femme.


Pour justifier sa décision, la ministre se réfère aux affiches dont « le contenu particulièrement explicite sur la nature de l’événement » est choquant pour l’opinion nationale. Laure Zongo estime donc que le gouvernement n’avait dès lors autre choix que de réagir en annulant le spectacle.


Jeune Afrique : pourquoi avez-vous décidé de l’annulation du concours Miss « Bim Bim » ?


Laure Zongo : Nous avons souhaité l’annulation dudit concours parce que nous avons été interpellés sur les réseaux sociaux, nous avons même reçu des appels téléphoniques attirant notre attention sur les spots publicitaires et les affiches relatives au défilé qui portait atteinte à l’image de la femme, à son intégrité. Lorsque nous avons pris connaissance des affiches en question, nous avons discuté avec les promoteurs de l’activité et il s’est avéré qu’un recadrage était nécessaire.


Les mentalités et les comportements sont fonction des préoccupations du moment
Il ne s’agit pourtant pas d’un concept nouveau. Ce genre de concours existe sous différentes formes et appellations dans d’autres pays de la sous-région. Et Miss « Bim Bim » au Burkina en était à sa 3e édition…


Effectivement. Mais nous n’avions pas connaissance des deux dernières éditions. En ce qui nous concerne, nous venons toute juste de découvrir ce concours et avec l’ampleur des interpellations et des critiques qu’il a suscitées, il était aussi de notre devoir de nous prononcer là-dessus.


Pourquoi ne pas simplement supprimer tous les concours de « Miss » puisqu’on entend aussi des critiques sur le concept de l’événement lui-même, que certains trouvent dégradant pour l’image de la femme ?


C’est un point de vue relatif. Nous sommes dans une société où les mentalités et les comportements sont fonction des préoccupations du moment. De ce fait, ce qui était, hier, apprécié peut ne pas l’être aujourd’hui. Et c’est vrai que le Burkina Faso, à l’instar d’autres pays, est submergé d’une panoplie de concours magnifiant la femme sous diverses formes mais toute dénaturation négative de l’image de la femme ou toute exploitation abusive de cette image visant à dévaloriser la femme doit être condamnée.


Les organisateurs, eux, estiment qu’il ne s’agit pas, contrairement à ce que beaucoup affirment, d’une dégradation de l’image de la femme. Ce concours visait, selon eux, à encourager les femmes de forte corpulence à s’aimer et à s’apprécier comme telle. Qu’en pensez-vous ?


Au cours des concertations avec les organisateurs, ils ont indiqué qu’ils souhaitaient décomplexer la femme de forte corpulence. Mais, en parcourant les différentes affiches et spots publicitaires, ce n’est pas l’impression que nous avons eue. Nous pensons que si tel était leur souhait, ils auraient pu envisager un partenariat avec des stylistes pour créer des modèles adaptés que ces femmes auraient pu porter lors de leur défilé en vue de se mettre en valeur. À notre avis, c’est par là qu’il fallait commencer.


Les femmes doivent respecter leur corps pour donner l’exemple aux futures générations
En juillet dernier, le gouvernement avait déjà annulé un concert de l’artiste camerounais Franko, auteur de la célèbre chanson « Coller la petite ». Cette mesure s’inscrit-elle dans le cadre d’une politique globale du gouvernement ?


Il y a une vision gouvernementale qui est la promotion et la protection des bonnes mœurs et des droits de la femme. Des textes et des lois ont été adoptés dans ce sens. Toutes nos actions s’inscrivent donc dans cette démarche globale visant à protéger et à promouvoir les droits et la dignité de la femme.


Pensez-vous que les mesures d’interdiction sont réellement efficaces ? Sur quel autre aspect, le gouvernement devrait-il agir ?


Les interdictions peuvent parfois ne pas être efficaces. C’est pourquoi, nous mettons beaucoup l’accent sur les actions de sensibilisation. Nous avons par exemple interpellé les organes de régulation pour plus de vigilance dans l’exercice de leur profession. Nos actions s’adressent aussi aux femmes qui sont les premières concernées parce qu’elles doivent se respecter et respecter leur corps pour donner l’exemple aux futures générations. Je pense que si nous conjuguons ensemble nos efforts avec tous les acteurs, nous pourrons atteindre nos objectifs de protection et de promotion des bonnes mœurs.

http://www.jeuneafrique.com/354569/societe/rose-zongo-ministre-burkinabe-de-promotion-de-femme-toute-exploitation-abusive-de-limage-de-femme-etre-condamnee/

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« L’homme blanc plus intelligent que l’homme noir » : les propos d’une candidate au concours miss RDC provoquent un tollé,racisme,

5 Septembre 2016, 19:46pm

Publié par hugo

« L’homme blanc plus intelligent que l’homme noir » : les propos d’une candidate au concours miss RDC provoquent un tollé
05 septembre 2016 à 14h53 — Mis à jour le 05 septembre 2016 à 14h56
Par Laure Broulard
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Selon certains, c'est "la plus grosse gaffe de l'année". Dorcas Dienda a déclaré sur un plateau télévisé que "l'homme blanc est plus intelligent que l'homme noir". Et elle ne s'est pas arrêtée là...


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« Nous le savons, ce n’est pas un sujet tabou : l’homme blanc est plus intelligent que l’homme noir ». Ces quelques mots, prononcés la semaine dernière par la candidate-miss sur le plateau télévisé du concours de Miss RDCongo 2016 font le buzz sur le web congolais. La vidéo du débat des miss a été visionnée des milliers de fois, et modifiée au gré de l’humour des internautes…










Les réactions indignées ne se sont pas faites attendre, dans la presse comme sur les réseaux sociaux : sur sa page Facebook, le rappeur congolais Alesh a dénoncé des propos racistes et appelé à l’élimination de la candidate avant la finale qui est prévue pour le 10 septembre. Il a également lancé un hashtag sur Twitter, #DorcasDiendaOut…


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#AfricanRevolution @AleshDrc
#DorcasDiendaOut #ToutSaufMissRaciste #JeSuisNoirEtTresIntelligent !!!
00:46 - 2 Sept 2016
1 1 Retweet 1 1 j'aime
Suivre
Pasta_Mongi @6a66121cf4f9480
J'appel au boycott de MissRDCongo si cette jeune fille ne retire pas sa candidature! #DorcasDiendaOut
20:57 - 1 Sept 2016
1 1 Retweet 1 j'aime
Des excuses maladroites….


Face aux critiques et à la mobilisation contre sa participation, la jeune femme s’est excusée publiquement dans une vidéo postée sur la page Facebook du concours Miss RDCongo. Mais elle est encore une fois devenue la risée du web en parlant de blancs « plus rusés que nous ce qui leur a permis de nous coloniser et de dessiner la carte de l’Afrique »…

http://www.jeuneafrique.com/354666/societe/lhomme-blanc-plus-intelligent-lhomme-noir-propos-dune-candidate-concours-miss-rdc-provoquent-tolle/

je me demande comment je dois prendre cela ???cest du racisme c ets sur mais apres ????

une betise de cetet femme OUI

UN COMPLIMENT POUR L HOMME BLANC?????

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Tunisie : l’IVG face à la pression conservatrice,femmes,ivg,

5 Septembre 2016, 19:43pm

Publié par hugo

Tunisie : l’IVG face à la pression conservatrice
Publié le 30 août 2016 à 08h07
Par Frida Dahmani - Tunis
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Légalisée en 1973, l’interruption volontaire de grossesse se heurte encore à bien des obstacles, notamment d’ordre moral. Reportage.


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Constitution tunisienne : droits et libertés, les compromis les plus audacieux
«Je suis moi-même mariée », ment Marwa, 23 ans, pour couper court à la curiosité de sa voisine, une trentenaire portant le voile qui la questionne sur sa situation personnelle et explique, en passant, que son époux ne veut pas un troisième enfant. Toutes deux attendent d’être reçues par un gynécologue de centre du planning familial de L’Ariana, près de Tunis.


Elles ont le même souhait : se faire avorter. Mais Marwa appréhende ce moment ou plutôt les procédures préliminaires. « Pour plus de discrétion, j’ai vu un médecin du privé qui voulait attendre pour pratiquer un avortement par aspiration ; il exigeait 450 dinars [182 euros], contre 180 dinars pour l’interruption de grossesse médicamenteuse, à laquelle je pouvais prétendre jusqu’à la fin de la cinquième semaine de grossesse. »


Arguments moraux


Étudiante sans grands moyens, Marwa s’est alors adressée au planning familial. Depuis la loi de 1973 autorisant l’interruption volontaire de grossesse (IVG), il suffit d’avoir 18 ans et une carte d’identité pour pouvoir accéder gratuitement à ces structures étatiques. Sa grande appréhension est d’être jugée et qu’on tente de la convaincre de garder l’enfant.


« Je ne suis pas en mesure d’assumer un bébé, et mes parents ne sont pas au courant. Le moment est pénible, mais je n’ai pas d’autre choix », se justifie Marwa, en détresse depuis l’entretien obligatoire avec une psychologue. La praticienne l’a poussée à revenir sur sa décision en avançant des arguments d’ordre moral et a fini par lui suggérer d’épouser le père de l’enfant. Les sages-femmes ont fait de même, arguant pour certaines que c’est la volonté de Dieu.


« Nous devons nous assurer que nos patientes prennent la mesure de leur acte pour éviter que l’avortement ne devienne une forme de contraception », explique Samira, une infirmière, qui reconnaît néanmoins que le personnel soignant, fortement islamisé, sort de plus en plus souvent de son rôle et se laisse aller à des avis personnels où la morale prime.


Pourtant, le parti islamiste n’a pas tranché sur la question et n’a pas tenté de modifier la loi. Rached Ghannouchi, président d’Ennahdha, qui estime que « l’IVG est une agression contre la vie », considère comme possibles celles effectuées avant le développement du fœtus, tandis que les plus tardives « relèvent du meurtre ».


À LIRE AUSSI :Tunisie – Mohamed Talbi : « Ennahdha est comme un cancer »
Des difficultés d’accès


Pourtant, aussi bien à l’hôpital de La Rabta que dans les centres de planning familial, les candidates à l’avortement, dans des salles impersonnelles et lugubres, semblent se tenir sur le banc des accusées en attendant l’effet de la pilule abortive qui leur a été distribuée. « C’est ma vie, nul ne devrait pouvoir s’en mêler ! », s’insurge l’une d’entre elles, mais qui écoute avec intérêt une sage-femme expliquer que chaque cas est personnel et que, si l’avortement est autorisé, le législateur a également agi contre les trop nombreux abandons d’enfants en contraignant les mères célibataires à comparaître devant une commission pour désigner le père de leur enfant et à l’épouser.


Une digression qui en dit long sur la solitude de certaines femmes face à des grossesses non désirées. La pression conservatrice s’exprime par les chiffres : en 2015, sur près de 35 000 avortements, 14 000 ont été effectués dans le secteur public. « On observe une baisse de 2 % des IVG dans les cliniques du planning familial et de plus de 55 % dans les services hospitaliers. Ces chiffres attestent d’une indisponibilité des services et des difficultés rencontrées par les femmes pour y accéder », relevait en 2013 l’Association tunisienne des femmes démocrates (ATFD).


« Le glissement, s’il est avéré, se verra sur le temps. C’est une question de niveau d’éducation et de sensibilisation », note le gynécologue Faouzi Ariane, qui rappelle que « l’État encourage les naissances, notamment en fournissant gratuitement les médicaments traitant la stérilité ».

http://www.jeuneafrique.com/mag/348846/societe/tunisie-livg-face-a-pression-conservatrice/

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Un amendement rendant inéligible les élus coupables d'agression sexuelle rejeté par le Parlement,politiques,violences,femmes,

5 Septembre 2016, 19:38pm

Publié par hugo

Démocratie
Un amendement rendant inéligible les élus coupables d'agression sexuelle rejeté par le Parlement
image: http://www.vanityfair.fr/uploads/images/thumbs/201606/b1/assembl__e_7763.jpeg_north_562x_white.jpg


assemblée
L'ouragan de l'affaire Baupin semble avoir laissé peu de traces à l'Assemblée nationale. Alors qu'un amendement déposé par Cécile Duflot et Noël Mamère le 27 juin 2016 prévoyait de rendre inéligible les députés condamnés pour violence, le vote qui s'en est suivi fut des plus décevants. Sur les 577 élus de la chambre basse du Parlement, seuls 15 ont daigné voter, comme l'a rapporté la députée Europe Écologie-Les Verts Eva Sas dans un tweet posté le 1er juillet 2016.




Pourtant, au cœur d'un scandale d'agressions sexuelles et harcèlement en mai dernier, l'ex-vice-président de l'Assemblée nationale avait présenté sa démission. Au début du mois, huit femmes étaient sorties de l'ombre et avaient confié avoir été victimes du comportement violent de Denis Baupin, avant d'être rejointes par cinq autres femmes. Début juin, trois plaintes ont été déposées contre lui. Aujourd'hui encore, alors qu'une enquête a été ouverte, le parlementaire persiste à nier en bloc ces accusations.




En savoir plus sur http://www.vanityfair.fr/monde-de-vf/articles/un-amendement-rendant-ineligible-les-elus-coupables-dagression-sexuelle-rejete-par-le-parlement/43913#68p3RPsCgKhGRrHM.99

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Les propos de Bruno Le Maire sur "nos femmes" scandalisent, mais il ne les a pas prononcés,femmes,sexisme,patriarcat,

4 Septembre 2016, 11:49am

Publié par hugo

Les propos de Bruno Le Maire sur "nos femmes" scandalisent, mais il ne les a pas prononcés
Le HuffPost
Publication: 03/09/2016 21h24 CEST Mis à jour: 04/09/2016 11h01 CEST
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POLITIQUE - Et la phrase polémique du jour est attribuée à... À l'occasion de la rentrée des Républicains ce samedi 3 septembre à La Baule, Bruno Le Maire a fait un discours plutôt remarqué. Mais pas forcément dans le bon sens. Intervenant en fin d'après-midi, après François Fillon et Alain Juppé, l'outsider de la primaire de la droite a appelé à "se débarrasser de François Hollande".


Du très classique, sauf que le député de l'Eure a aussi tenu à s'exprimer sur la question du burkini, qui a agité les débats au mois d'août. Pour exprimer tout le mal qu'il pensait de ce vêtement de bain porté par certaines femmes musulmanes, voici ce que Bruno Le Maire a lancé lors de son discours: "En France, les femmes (et non "nos femmes" comme indiqué précédemment) sont visibles et elles n'ont pas vocation a être dissimulées".


"Les femmes", et non "nos femmes". La nuance est importante - c'est ce pronom possessif qui a été en grande partie reproché au candidat à la primaire de droite. Des soutiens à Bruno Le Maire ont diffusé dimanche matin une vidéo (visible ci-dessus) qui contredit le tweet de BFMTV (effacé depuis), premier média à rapporter en ces termes l'intervention de Bruno Le Maire.


EN DIRECT - Bruno Le Maire: "Nos femmes ont vocation à être visibles, pas dissimulées" https://t.co/LIEhlp6yN7 pic.twitter.com/NFTVIglxEr


— BFMTV (@BFMTV) 3 septembre 2016


Des propos attribués au député qui ont beaucoup fait réagir sur les réseaux sociaux, certain(e)s y voyant une marque de sexisme, voire de xénophobie. Internautes anonymes, mais aussi célébrités comme Valérie Damidot ou personnalités politiques comme Cécile Duflot et Laurence Rossignol, la ministre des Droits des femmes, se sont indignées sur Twitter.


Certains ont toutefois pondéré leur indignation dimanche matin, demandant des comptes à BFMTV.


Samedi :


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laurence rossignol ✔ @laurossignol
Nos femmes, nos chevaux, nos gens... https://twitter.com/bfmtv/status/772099348435992576 …
20:02 - 3 Sept 2016
159 159 Retweets 143 143 j'aime
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Cécile Duflot ✔ @CecileDuflot
"Nos femmes ont vocation à être visibles" #BLM mépriser ET se moquer du monde et surtout de nous, femmes. Libres.
20:16 - 3 Sept 2016
194 194 Retweets 213 213 j'aime
Pronom possessif #CQFD RT @gduval_altereco: "Nos femmes" je rêve... https://t.co/6qKlAJhTwx


— Cécile Duflot (@CecileDuflot) 3 septembre 2016


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Pascale Boistard ✔ @Pascaleboistard
"Nos femmes..." Non merci @BrunoLeMaire #patriarcat #sexisme https://twitter.com/bfmtv/status/772099348435992576 …
20:09 - 3 Sept 2016
103 103 Retweets 70 70 j'aime
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Valérie Damidot ✔ @DamidotValerie
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19:47 - 3 Sept 2016
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Stephanie Lamy @WCM_JustSocial
La formule de @brunolemaire "NOS femmes" est non-seulement misogyne à mort, mais aussi xénophobe. Sous-entend "LEURS femmes" #LaBaule2016
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"Nos" femmes? Combien chacun chez @lesRepublicains ? Le sexisme ordinaire de la droite https://twitter.com/BFMTV/status/772099348435992576 …
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.@BFMTV on m'écrit, video à l'appui, que cette citation est fausse. Vous nous expliquez ? https://twitter.com/bfmtv/status/772099348435992576 …
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Sexe : 5 positions faciles spécial orgasme féminin,femmes,sexes,

3 Septembre 2016, 21:47pm

Publié par hugo

Sexe : 5 positions faciles spécial orgasme féminin


Une enquête Ifop a permis de révéler les cinq positions qui permettent aux femmes d'atteindre facilement l'orgasme.
5e position : La pieuvre
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1/5
©Planet.fr


Page suivante 4e position : La levrette Suivant
52% des femmes interrogées par l'Ifop dans le cadre d'une grande enquête sur l'orgasme ont répondu qu'elles atteignaient facilement l'orgasme dans la position de la pieuvre.


C'est quoi ? Face à une partenaire étendue sur le dos, l'homme s'agenouille entre ses cuisses. Il rapproche ses hanches, la soulève et la pénètre. Plus il soulève le bassin de sa partenaire, plus la pénétration est profonde. De son côté, la femme augmente le plaisir avec des contractions vaginales.

http://www.medisite.fr/orgasme-sexe-5-positions-faciles-special-orgasme-feminin.752192.81.html?utm_campaign=Echobox&utm_medium=Social&utm_source=Facebook#link_time=1472828405

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Harcèlement sexuel en Europe : qui sont les femmes les plus concernées ?,femmes,violences,sexes,

3 Septembre 2016, 19:56pm

Publié par hugo

Harcèlement sexuel en Europe : qui sont les femmes les plus concernées ?
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Dernière MAJ:
29/07/2016
Sophie Claudet : Dans votre étude publiée en 2014, on voit qu’une femme sur deux a déjà été harcelée sexuellement dans l’Union européenne et que la Suède et le Danemark arrivent en haut de la liste avec 80 et 81 % de femmes qui disent avoir déjà été harcelées sexuellement. C’est assez contradictoire avec l’image que nous avons des pays Scandinaves en avance sur l‘égalité entre les sexes…


Joanna Goodey : Quand vous regardez l‘égalité homme/femme, là où les niveaux de parité sont les plus hauts, on voit que les femmes dénoncent plus facilement certains comportements inadmissibles. Quand la parité est installée depuis des dizaines d’années dans certains pays, les femmes sont plus enclines à parler de leur vécu, elles disent plus facilement que certains comportements sont inacceptables et elles sont plus disposées à parler de ça à un enquêteur pour une étude. Dans d’autres pays, le harcèlement sexuel est toujours perçu comme une affaire privée.
Quand on regarde les données, on voit par exemple que dans les pays du Sud et du Sud-Est de l’Europe, les femmes sont souvent moins disposées à parler de leurs expériences de violence conjugale à leur famille, à leurs connaissances, à leurs amis; alors que dans les pays Scandinaves on parle plus facilement de ces sujets, ce n’est pas quelque chose que l’on cache. C’est pour cela que les femmes de notre enquête sont plus disposées à dire “oui cela m’est arrivé et c’est inadmissible”.


SC : Toujours selon votre étude, plus la femme est éduquée et fait carrière, plus elle est susceptible d‘être harcelée sexuellement. Pourquoi ?


JG: Quand les femmes évoluent professionnellement, elles travaillent peut-être davantage dans des métiers dominés par les hommes. Par exemple, si vous êtes dans le milieu des affaires ou de la finance, ou que vous dirigez une entreprise, vous êtes sur des postes généralement occupés par des hommes. Elle travaille aussi dans un milieu plus masculin donc il y a plus de risques de violence. Quand les femmes travaillent dans des secteurs à forte concentration de femmes, les métiers paramédicaux par exemple ou auprès des enfants, qui sont des secteurs où les femmes sont majoritaires, elle sont moins exposées au risque de harcèlement sexuel, et dans ces milieux-là, elles ne prennent la place d’aucun homme.


Plus les femmes sont éduquées, plus elles sont conscientes que certains comportements sont inadmissibles. Et moins elles sont prêtes, si vous voulez, à supporter certaines attitudes.


SC: Comment arrêter ou réduire le harcèlement sexuel ?


JG: Des lois existent depuis plusieurs années sur la parité et traitent aussi du harcèlement sexuel. Mais le problème, c’est que si vous avez une loi, il faut l’appliquer, il faut que les gens soient au courant.
Il y a aussi une nouvelle convention du Conseil de l’Europe, appelée la Convention d’Istanbul et qui reconnaît le harcèlement sexuel. Plusieurs pays de l’UE ont ratifié, ont signé cette convention sur le harcèlement sexuel, mais il faut aussi édiquer les gens à ce sujet.
L‘éducation vise évidemment les garçons, les filles, les hommes et les femmes, le patronnat, beaucoup d’acteurs doivent être impliqués pour faire que la législation en place soit appliquée.

http://fr.euronews.com/2016/07/29/harcelement-sexuel-en-europe-qui-sont-les-femmes-les-plus-concernees

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Que fait l'Europe contre le harcèlement sexuel ?,femmes,violences,sexes,

3 Septembre 2016, 03:53am

Publié par hugo

Que fait l'Europe contre le harcèlement sexuel ?
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29/07/2016
Etreintes forcées, contacts physiques, commentaires sexuels, mails ou sms à caractère sexuels explicites…A partir de l‘âge de 15 ans, plus d’une femme sur deux a déjà été harcelée sexuellement en Europe et plus elle est instruite ou mène une brillante carrière professionnelle, plus elle risque de l‘être.


La France, est l’un des pays d’Europe où le harcèlement sexuel au travail est le plus courant. Et Le pays où les femmes diplômées sont le plus harcelées sexuellement.


Le dernier scandal sexuel en France implique un ex dirigeant du parti Europe écologie les Verts, (EELV), Denis Baupin, qui est accusé de harcèlement sexuel par plusieurs femmes. A ce jour, trois d’entre elles ont porté plainte. Denis Baupin nie ces accustions. Valerie Zabriskie, reporter à Euronews, a rencontré certaines de ses victimes présumées et des femmes qui ont été harcelée sexuellement au travail (voir le reportage ci-dessous).


Harcèlement sexuel au travail : briser la loi du silence


Le harcèlement sexuel au travail est un délit dans la plupart des pays de l’Union européenne même si les faits sont rarement dénoncés ou punis. Le Portugal et la Belgique sont allés plus loin en punissant le harcèlement de rue. Exemple avec le reportage de Filipa Souarch au Portugal (voir le reporage ci-dessous).


Le Portugal se bat contre le harcèlement de rue


Joanna Goodey, directrice du département Justice et Libertés à l’Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne, a supervisé en 2014 une enquête sur les violences sexuelles en Europe auprès de 42.000 femmes. Elle explique qu’il existe des lois sur la parité qui traitent aussi du harcèlement sexuel. “Il y a aussi une nouvelle convention du Conseil de l’Europe, appelée la Convention d’Istanbul et qui reconnaît le harcèlement sexuel. Plusieurs pays de l’UE ont ratifié, ont signé cette convention sur le harcèlement sexuel, mais il faut aussi édiquer les gens à ce sujet”, détaille-t-elle. L‘éducation vise “les garçons, les filles, les hommes et les femmes, le patronnat, beaucoup d’acteurs doivent être impliqués pour faire que la législation en place soit appliquée”, ajoute-t-ell

http://fr.euronews.com/2016/07/29/que-fait-l-europe-contre-le-harcelement-sexuel

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