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Le blog de hugo,

Adieu Foulards

22 Mars 2014, 04:40am

Publié par hugo

ADIEU FOULARDS, ADIEU MADRAS - Henri Salvador menu
Tonalité : C | C# | D | D# | E | F | F# | G | G# | A | A# | B | C


F Dm Am
Adieu, madras, adieu, foulards
Bb F F7
Adieu, robe soie, adieu, collier chou
Bb C7 Am Dm
Doudou à moin, li qu'a pa'ti
Gm7 C7 F F7
Héla, héla, c'est pou' toujou'
Bb C7 Am Dm
Doudou à moin, li qu'a pa'ti
Gm C7 F
Héla, héla, c'est pou' toujou'.




Bonjour, Monsieur le Gouverneur
Moin veni' fair' un' tit' pétition
Pou' 'mander vous la permission
Pou' laisser Doudou moin à moin
Pou' 'mander vous la permission
Pou' laisser Doudou moin à moin.


Non, non, Mam'zell', il est trop tard
La consigne est déjà signée
Doudou à vous, li qu'a pa'ti
Le navire est sur la bouée
Doudou à vous, li qu'a pa'ti
Le navire est sur la bouée.


Adieu, madras, adieu, foulards
Adieu, grains d'or, adieu, collier chou
Doudou à moin, li qu'a pa'ti
Héla, héla, c'est pou' toujou'
Doudou à moin, qu'a pa'ti
Héla, héla, c'est pou' toujou'.
Afficher les accords de guitare


Afficher les accords de piano


Afficher les accords de ukulélé


Afficher les accords de mandoline

---------------------------------------------------------------------------------------------

Parole de Adieu Madras, Adieu Foulards:
1. Adieu Madras, adieu foulards
Adieu rob soie, adieu colliers, choux
Doudou à moin, li qu'a pati
Héla, héla, c'est pou' toujour'
Doudou à moin, li qu'a pati
Héla, héla, c'est pou' toujour'
Si aujourd'hui je vis à Paris
C'est pas pour ça que j'oublie le pays.


2. Adieu mes îles au grand soleil
Beaux paysages sous le bleu du ciel
On n'y peut rien, c'est ça la vie
Le temps s'enfuit et tout finit
On n'y peut rien, c'est ça la vie
Le temps s'enfuit et tout finit.
Si aujourd'hui je vis à Paris
C'est pas pour ça que j'oublie le pays.


3. Ferme les yeux, et pense à moi
Jolie Doudou qui était dans mes bras
Peut-être un jour on se reverra
Il faut y croire, ne pleure pas
Peut-être un jour on se reverra
Il faut y croire, ne pleure pas
Si aujourd'hui je vis à Paris
C'est pas pour ça que j'oublie le pays.


4. Adieu la plage, adieu biguine
Bouquets de fleurs aux couleurs si fines
L'avion décolle, le bateau va
Adieu foulards, adieu Madras
L'avion décolle, le bateau va
Adieu foulards, adieu Madras
Si aujourd'hui je vis à Paris
C'est pas pour ça que j'oublie le pays.


5. Adieu Madras, adieu foulards
Adieu rob' soie, adieu colliers, choux
Doudou à moin, li qu'a pati
Héla, héla, c'est pou' toujour'
Doudou à moin, li qu'a pati
Héla, héla, c'est pour' toujour'


[ Ces sont Adieu Madras, Adieu Foulards Paroles su

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De plus en plus de femmes SDF à Paris,paris,chomage,emploi,economie,

22 Mars 2014, 01:55am

Publié par hugo

BFMTV > Société > Diversité
De plus en plus de femmes SDF à Paris
Selon le Samusocial de Paris, les femmes seules avec enfants représentaient près de la moitié des demandes d'hébergement formulées par des familles, à Paris, en 2013.




A.S. avec AFP
Le 07/03/2014 à 13:16
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Une femme change son enfant dans une chambre réservée aux familles sans abri, en février 2013, à Bondy, en banlieue parisienne. (Joël Saget - AFP)
Une femme change son enfant dans une chambre réservée aux familles sans abri, en février 2013, à Bondy, en banlieue parisienne. (Joël Saget - AFP)1 / 1
Qu'elles soient seules ou avec des enfants, de plus en plus de femmes font partie de la population des sans-domicile fixe à Paris, souligne le Samusocial dans un communiqué, ce vendredi, à la veille de la Journée des droits des femmes.


Parmi les appelants au 115 de Paris, le numéro d'appel d'urgence des sans-abris, "les femmes seules avec enfants représentaient en 2013, 41% des demandes d'hébergement effectuées par les familles", explique le Samusocial de Paris.


Forte augmentation des nuitées hôtelières


"Chaque jour, le Samusocial de Paris recherche les places disponibles sur Paris et la région parisienne afin de répondre aux femmes en situation de détresse qui se retrouvent à la rue avec un ou plusieurs enfants", insiste-t-il, précisant qu'entre 98% et 100% des demandes d'hébergement faites par les familles sont satisfaites.


Mais pour cela, "le Samusocial de Paris doit le plus souvent faire appel à l'hôtel faute de places adaptées en centres d'hébergement", rappelle-t-il. Les nuitées hôtelières réservées par le 115 de Paris ont ainsi augmenté de "48% en 2012 (tout type de familles confondues) et de 20% en 2013".


Près de 4.000 femmes hébergées en mars 2013


Au 4 mars 2013, 3.812 femmes seules avec enfants étaient hébergées, précise le Samusocial. Par ailleurs, en 2013, les femmes seules représentaient 9% des demandes d'hébergement. "Comme pour toutes les personnes isolées, l'accès au 115 est rendu difficile durant la journée du fait des nombreux appels de familles", entraînant "un déplacement des appels de femmes isolées vers le soir, avec des octrois de places d'hébergement tardifs qui les fragilisent", ajoute le Samusocial.

De plus, "la perte d'un volume de chambres d'hôtel réservé à des séjours de courte durée pour les personnes isolées a entraîné une baisse des possibilités d'hébergement pour les femmes seules", ajoute-t-il. Le Samusocial ouvrira cet été 25 places pour les femmes dans un nouveau centre du 14e arrondissement de Paris.


A lire aussi


Des radios distribuées aux SDF pour rompre l'isolement à Noël

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Accord sur de nouvelles règles d'indemnisation pour les chômeurs,emploi,salaire,économie,chômage,

22 Mars 2014, 01:53am

Publié par hugo

Accord sur de nouvelles règles d'indemnisation pour les chômeurs
Le Monde.fr avec AFP | 22.03.2014 à 01h11 • Mis à jour le 22.03.2014 à 01h35


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L'accord entre patronat et syndicats prévoit notamment un nouveau système de « droits rechargeables » pour l'indemnisation des chômeurs. L'accord entre patronat et syndicats prévoit notamment un nouveau système de « droits rechargeables » pour l'indemnisation des chômeurs. | AFP/PHILIPPE HUGUEN
Patronat et syndicats sont parvenus, dans la nuit de vendredi à samedi et après une négociation marathon, à un accord sur de nouvelles règles d'indemnisation pour 2,2 millions de chômeurs, notamment un nouveau système de « droits rechargeables ». Le texte présenté par le patronat (Medef, CGPME, UPA) a recueilli un premier avis positif de trois syndicats (CFDT, FO, CFTC).
Le projet d'accord prévoit la mise en œuvre « des droits rechargeables », un nouveau système qui permettra aux chômeurs de conserver l'ensemble de leurs droits à indemnisation, en cas de reprise d'emploi. Il demande, en échange, des efforts aux cadres qui touchent une importante indemnité de départ et devront désormais attendre jusqu'à centre quatre-vingt jours avant de toucher des allocations.


Les intermittents, qui ont largement manifesté leur opposition à une réforme de leur statut, conservent leur régime spécifique mais verront leur indemnisation plafonnée à 5 475 euros bruts mensuels. Au total, les économies réalisées grâce aux nouvelles règles se chiffreaient à environ 400 millions d'euros, selon les syndicats.


Confrontés à un chômage record (3,31 millions de demandeurs d'emploi sans activité fin janvier), les partenaires sociaux avaient débuté mi-janvier des discussions afin de définir une nouvelle convention Unedic. Une tâche compliquée par la situation financière du régime : son déficit a atteint 4 milliards d'euros fin 2013.


« NOUS AVONS GAGNÉ DES DROITS POUR LES PLUS PRÉCAIRES »


Le négociateur de la Confédération française des travailleurs chrétiens (CFTC), Yves Razzoli, a salué un « texte relativement équilibré, plutôt bien écrit, raisonnable et raisonné ». « L'effort demandé aux chômeurs est acceptable car il est compensé par d'autres mesures, comme les droits rechargeables », a-t-il assuré.


Son homologue de Force ouvrière (FO), Stéphane Lardy, s'est également montré très positif. « On a évité le pire, nous avons gagné des droits pour les salariés les plus précaires », a-t-il dit à la presse.


A l'opposé, Eric Aubin, de la Confédération générale du travail (CGT), a dénoncé un texte qui ne comporte que « des sacrifices ou des reculs pour les demandeurs d'emploi », « aboutissement de discussions de couloirs auquel le ministère a participé ». Frank Mikula, de la Confédération française de l'encadrement-Confédération générale des cadres (CFE-CGC), a lui déploré que « le Medef a atteint son objectif, toutes les économies ont été faites sur les demandeurs d'emplois », notamment les cadres, « aucune nouvelle cotisation [des entreprises] n'est ajoutée ».


Les syndicats doivent consulter leurs instances dirigeantes avant de signer officiellement cette nouvelle convention Unedic, qui devra aussi être agréée par l'Etat.

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Le Kenya légalise la polygamie, imposée ou non,femmes,articles femmes hommes

22 Mars 2014, 01:47am

Publié par hugo

Le Kenya légalise la polygamie, imposée ou non
Le Monde.fr avec AFP | 21.03.2014 à 15h19 • Mis à jour le 21.03.2014 à 20h26


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Le Parlement kényan à Nairobi, en septembre.
La décision a provoqué la fureur d'élues qui ont claqué la porte du Parlement de Nairobi. Les députés kényans ont voté une loi permettant aux hommes d'épouser autant de femmes qu'ils le souhaitent, sans en toucher mot à leur première épouse.
La proposition de loi, adoptée tard jeudi 20 mars, formalise en droit kényan des lois coutumières. A l'origine, le texte donnait la possibilité aux épouses de s'opposer à une décision de leur mari d'épouser plusieurs femmes. Mais unissant leurs forces au-delà des appartenances politiques, les élus hommes sont finalement allés plus loin, abandonnant cette clause donnant voix au chapitre aux femmes.


« C'EST L'AFRIQUE »


« Quand vous épousez une femme africaine, elle doit savoir que la deuxième va suivre, puis la troisième (...). C'est l'Afrique », a expliqué devant la chambre l'un de ces élus, Junet Mohammed, cité par Capital FM.


« A chaque fois qu'un homme rentre à la maison avec une femme, elle est considérée comme la deuxième ou la troisième femme, a renchéri Samuel Chepkong'a, président de la commission des affaires juridiques et légales du Parlement, cité par le quotidien Nation. Selon la loi coutumière, vous n'avez pas besoin de dire à votre épouse quand vous rentrez à la maison avec une deuxième ou une troisième femme. Toute femme que vous ramenez à la maison est votre femme. »


UNE PRATIQUE COMMUNE


Comme dans beaucoup de pays africains, la polygamie est une pratique commune au Kénya. Jeudi, c'est surtout l'abandon de la clause imposant le consentement de la première épouse qui a déclenché la colère des élues.


Lire : Akuku, kényan, 130 épouses, 300 enfants


« Si c'est bien vous l'homme dans la maison, et que vous choisissez de ramener quelqu'un d'autre – ou deux ou trois autres personnes – je pense que vous devez avoir le cran d'admettre que votre femme et votre famille ont le droit de savoir », a estimé devant la chambre l'une d'entre elles, Soipan Tuya, également citée par Capital FM. Le texte doit encore être promulgué par le président kényan pour entrer en vigueur.


Lire aussi : Combien d'enfants un homme peut-il avoir ?




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Les Femen ne font pas preuve de « pratiques sectaires », selon la Miviludes,femen,femmes,feminisme,

22 Mars 2014, 01:32am

Publié par hugo

Blogs
← « Les inquiétudes » de la philosophe évincée d’une formation par l’Eglise catholique
21 mars 2014
Les Femen ne font pas preuve de « pratiques sectaires », selon la Miviludes
Après diverses profanations de lieux de culte, notamment catholiques, par des membres du groupe radical des Femen, le président du groupe d'études sur les sectes à l'Assemblée national, le député UMP Georges Fenech, convaincu que ce mouvement « se livrait à des actions spectaculaires s'apparentant à des pratiques à caractère sectaire » avait, le 10 février, sollicité l'avis de la Mission interministérielle de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) et demandé la dissolution du groupe.


Dans un courrier du 20 mars, le président de la Miviludes, Serge Blisko, tient certes à se montrer « vigilant » face aux agissements des Femen, et concède qu'ils ont « pu choquer une partie de l'opinion publique », mais apporte une fin de non-recevoir au député qui fut aussi son prédécesseur à la tête de cet organisme dépendant de Matignon. M. Blisko rappelle à M. Fenech - qui, étant donné son action depuis des années sur ces sujets, ne pouvait les ignorer -, l'ensemble des « critères d'appréciation de la dangerosité » et des « indices de perception des dérives », conçus par des commissions d'enquête et par la Mission elle-même pour déterminer ce qui relève de dérives sectaires.


Une dissolution qui relève du ministère de l'intérieur


Ainsi hormis de possibles « troubles à l'ordre public », les membres des Femen ne se sont donc a priori pas rendus coupables de « déstabilisation mentale, d'exigences financières exorbitantes, de rupture avec l'environnement d'origine, d'embrigadement des enfants, de refus de soins, d'important démêlés judiciaires, d'atteinte à l'intégrité physique, de détournement de circuits économiques traditionnels ou de tentatives d'infiltration des pouvoirs publics ». En outre, précise, la Miviludes, ses services n'ont pas reçu de « signalement » relatif aux Femen.


Quant à la dissolution éventuelle de ce groupe, elle ne relève en aucun cas de la Miviludes, qui se garde bien d'y faire allusion, mais du ministère de l'intérieur ce que M.Fenech, magistrat de formation, n'ignorait pas.


Stéphanie Le Bars

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La maltraitance des enfants,enfants,sante,

22 Mars 2014, 01:28am

Publié par hugo

La maltraitance des enfants


Aide-mémoire N°150
Janvier 2014


Principaux points


Environ 20% des femmes et 5 à 10% des hommes disent avoir subi des violences sexuelles dans leur enfance, et 23% des personnes déclarent avoir été physiquement maltraitées dans leur enfance.
La maltraitance dans l’enfance altère parfois à vie la santé physique et mentale de ceux qui en sont victimes et, de par ses conséquences socioprofessionnelles, elle peut au bout du compte ralentir le développement économique et social d’un pays.
Il est possible de prévenir la maltraitance des enfants. Pour cela, une approche multisectorielle s’impose.
Les programmes de prévention efficaces sont ceux qui soutiennent les parents et leur apprennent à être de bons parents.
L’accompagnement des enfants et des familles dans la durée peut réduire le risque de répétition des mauvais traitements et minimiser leurs conséquences.
La maltraitance à enfant désigne les violences et la négligence envers toute personne de moins de 18 ans. Elle s’entend de toutes les formes de mauvais traitements physiques et/ou affectifs, de sévices sexuels, de négligence ou de traitement négligent, ou d’exploitation commerciale ou autre, entraînant un préjudice réel ou potentiel pour la santé de l’enfant, sa survie, son développement ou sa dignité, dans le contexte d’une relation de responsabilité, de confiance ou de pouvoir. Parfois, on considère aussi comme une forme de maltraitance le fait d’exposer l’enfant au spectacle de violences entre partenaires intimes.


Ampleur du problème
La maltraitance des enfants est un problème universel qui a de graves conséquences, à vie, pour ceux qui en sont victimes. Malgré l'existence de plusieurs études mnées dans des pays à revenu faible ou intermédiaire, les données font enocre défaut pour de nombreux pays.


La maltraitance des enfants est un phénomène complexe et difficile à étudier. Les estimations actuelles varient considérablement selon les pays et selon la méthode de recherche utilisée. Elles sont fonction:


des définitions de la maltraitance qui sont retenues;
du type de maltraitance étudié;
de la couverture et de la qualité des statistiques officielles;
de la couverture et de la qualité des études fondées sur des informations fournies par les victimes elles-mêmes ou par les parents ou les personnes qui ont la charge de l’enfant.
Néanmoins, des études internationales révèlent qu’environ 20% des femmes et 5 à 10% des hommes disent avoir subi des violences sexuelles dans leur enfance et que 23% des personnes déclarent avoir été être physiquement maltraitée pendant leur enfance.. Par ailleurs, beacuoup d'enfants sont victimes de violence affective (parfois appelée violence psychologique) et de négligence .


On estime que, chaque année, 34 000 enfants de moins de 15 ans sont victimes d’homicides. Ce chiffre ne rend pas compte de l’ampleur réelle du problème car une proportion importante des décès dus à des mauvais traitements sont attribués erronément à une chute, des brûlures, la noyade ou d’autres causes.


Dans les situations de conflit armé et dans les contextes où il y a des réfugiés, les fillettes et les jeunes filles sont particulièrement exposées aux violences sexuelles, à l’exploitation et aux sévices de la part des soldats, des forces de sécurité, des membres de leurs communautés, du personnel humanitaire et d’autres catégories de personnes.


Conséquences de la maltraitance
La maltraitance entraîne des souffrances pour les enfants et leurs familles et peut avoir des conséquences à long terme. Elle provoque un stress auquel on associe une perturbation du développement précoce du cerveau. Un stress extrême peut affecter le développement du système nerveux et immunitaire. Dès lors, les enfants maltraités, devenus adultes, sont davantage exposés à divers troubles comportementaux, physiques ou psychiques, tels que les suivants:


propension à commettre des violences ou à en subir;
dépression;
tabagisme;
obésité;
comportements sexuels à risque;
grossesse non désirée;
alcoolisme et toxicomanie.
Au travers de ces conséquences comportementales et psychiques, la maltraitance peut favoriser les pathologies cardiaques, le cancer, les suicides et les infections sexuellement transmissibles.


Au-delà de ses répercussions sur la santé et la société, la maltraitance des enfants a un coût économique, lié notamment aux hospitalisations, au traitement des troubles psychiques, à la protection de l’enfance et aux dépenses de santé à plus long terme.


Facteurs de risque
Plusieurs facteurs de risque en matière de maltraitance des enfants ont été recensés. Ils ne sont pas présents dans tous les contextes sociaux et culturels mais ils peuvent donner un éclairage général lorsque l’on tente de comprendre les causes du phénomène.


Facteurs tenant à l’enfant
Il importe de souligner que les enfants sont les victimes de la maltraitance et qu’ils ne sont jamais à blâmer pour les mauvais traitements qu’on leur inflige. Plusieurs facteurs peuvent prédisposer l’enfant à être maltraité:


il est âgé de moins de 4 ans ou est adolescent ;
c’est un enfant non désiré ou qui ne répond pas aux attentes de ses parents ;
Il a des besoins spéciaux ou pleure de façon persistante, ou il présente une anomalie physique.
Facteurs tenant au parent ou à la personne qui s’occupe de l’enfant
Plusieurs facteurs chez le parent de l’enfant ou la personne qui s’occupe de lui peuvent augmenter le risque de maltraitance. On citera les suivants:


la difficulté à établir un lien avec un nouveau-né ;
le manque d’attention pour l’enfant ;
le fait d’avoir soi-même subi des maltraitances dans l’enfance ;
un manque de connaissances sur le développement de l’enfant ou des attentes irréalistes ;
l’abus d’alcool ou de drogues, y compris durant la grossesse ;
l’implication dans des activités criminelles ;
le fait de connaître des difficultés financières.
Facteurs relationnels
Plusieurs facteurs relevant des relations au sein des familles ou entre partenaires intimes, amis et pairs peuvent accroître le risque de maltraitance de l’enfant. En voici quelques-uns:


des troubles physiques ou psychiques ou des problèmes liés au développement chez un membre de la famille ;
l’éclatement de la cellule familiale ou des violences entre d’autres membres de la famille ;
l’isolement par rapport à la communauté ou l’absence d’un réseau de soutien ;
une perte de soutien de la part de la famille élargie pour l’éducation de l’enfant.
Facteurs communautaires et sociétaux
Parmi les caractéristiques de l’environnement communautaire ou social associées à l’augmentation du risque de maltraitance des enfants figurent, entre autres:


les inégalités sexuelles ou sociales;
le manque de logements appropriés ou de services de soutien aux familles et aux institutions;
les taux de chômage élevés ou la pauvreté;
la facilité d’accès à l’alcool et aux drogues;
des politiques et programmes inappropriés pour prévenir la maltraitance des enfants, la pornographie enfantine, la prostitution et le travail des enfants;
des normes sociales et culturelles qui encouragent ou glorifient la violence envers autrui, y compris l’usage des châtiments corporels, exigent un respect absolu des rôles sociaux dévolus à chaque sexe ou amoindrissent le statut de l’enfant dans les relations parents-enfants;
des politiques sociales, économiques, de santé et d’éducation menant à des niveaux de vie peu élevés, ou à des inégalités ou une précarité socio-économiques.
Prévention
La prévention de la maltraitance des enfants exige une approche multisectorielle. Les programmes efficaces sont ceux qui apportent un soutien aux parents et leur apprennent à être de bons parents. On citera, notamment:


les visites d’infirmières à domicile pour fournir aux parents un soutien, des conseils et des informations;
les programmes de formation parentale, généralement proposés en groupe, pour améliorer les compétences des parents en matière d’éducation, leur inculquer de meilleures connaissances du développement de l’enfant et promouvoir des stratégies positives de gestion du comportement de l’enfant;
les interventions à volets multiples, avec généralement des composantes soutien et éducation des parents, enseignement préscolaire, et soins à l’enfant.
D’autres programmes de prévention se sont révélés assez prometteurs.


Les programmes de prévention du traumatisme crânien imputable à de mauvais traitements (aussi appelé syndrome du bébé secoué, syndrome du nourrisson secoué et traumatisme cérébral infligé). Ce sont habituellement des programmes organisés en milieu hospitalier à l’intention des nouveaux parents qui vont quitter l’hôpital ou la clinique pour les informer des dangers du syndrome du bébé secoué et leur indiquer la conduite à adopter face à un bébé qui pleure sans qu’on sache le calmer.
Les programmes de prévention des violences sexuelles à enfant. Habituellement organisés dans les écoles, ces programmes sont destinés à enseigner aux enfants:
qu’ils sont maîtres de leur corps;
quelle est la différence entre des contacts physiques appropriés et des gestes déplacés;
comment reconnaître les situations de violence;
comment dire «non»;
comment parler à un adulte de confiance des sévices subis.
De tels programmes renforcent effectivement les facteurs de protection contre les violences sexuelles (ainsi, grâce à eux, l’enfant est informé de l’existence des sévices sexuels et sait comment s’en protéger), mais on ne dispose pas d’éléments indiquant si ces programmes sont également efficaces contre d’autres types de violence.


Plus ces interventions auront lieu tôt dans la vie de l’enfant, plus elles seront bénéfiques pour l’enfant lui-même (développement cognitif, compétences comportementales et sociales, réussite scolaire, par exemple) et pour la société (diminution de la délinquance et de la criminalité, par exemple).


Par ailleurs, la détection précoce des cas associée à la prise en charge des enfants victimes et de leurs familles dans la durée peut aider à réduire la répétition des mauvais traitements et à en atténuer les conséquences.


Pour que le travail de prévention et la prise en charge aient le maximum d’efficacité, l’OMS recommande que les interventions aient lieu dans le cadre d’une approche de santé publique en quatre étapes :


définition du problème
dentification des causes et des facteurs de risque
conception et expérimentation d’interventions destinées à minimiser les facteurs de risque
diffusion d’informations concernant l’efficacité des interventions et extension de celles qui ont fait leurs preuves.
Action de l’OMS
L’OMS, en collaboration avec plusieurs partenaires:


propose des orientations techniques et normatives pour un travail de prévention de la maltraitance des enfants fondé sur des bases factuelles ;
préconise un soutien et des investissements internationaux accrus en faveur des efforts de prévention de la maltraitance des enfants fondés sur des bases factuelles ;
fournit un soutien technique pour les programmes de prévention de la maltraitance des enfants fondés sur des bases factuelles dans plusieurs pays à revenu faible ou intermédiaire.
Pour de plus amples informations:
Centre des médias de l’OMS
Téléphone : +41 22 791 2222
Courriel : mediainquiries@who.int

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Pense-bête pour Nicolas Sarkozy : voici ce qu’était la Stasi,politique,histoire,allemagne,

22 Mars 2014, 00:38am

Publié par hugo

POINT GODWIN BIS20/03/2014 à 22h37
Pense-bête pour Nicolas Sarkozy : voici ce qu’était la Stasi
Pascal Riché | Cofondateur Rue89


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Maîtriser un adversaire, image trouvée dans les archives de la Stasi (Top Secret, par Simon Menner)
Nicolas Sarkozy donne rarement des leçons de libertés publiques, ce qu’on peut aisément comprendre. Pas besoin de réveiller le souvenirs des peines planchers, de l’extension de la rétention de sûreté, de la loi sur l’audiovisuel public, du fichier Edvige, des test ADN, de l’exploitation des fadettes de journalistes par la DCRI, de la chute de la France dans le classement de la liberté de la presse.


Dans le Figaro pourtant, non sans une certaine hardiesse, l’ex-Président s’est fendu d’un article véhément pour protester contre les écoutes judiciaires dont il a fait l’objet.


En soi, le débat sur l’abus des écoutes en France est légitime. On constate une dérive certaine, facilitée par les progrès technologiques. S’il faut une nouvelle loi pour mieux encadrer ces méthodes d’enquête, l’idée n’a jamais traversé l’esprit de Nicolas Sarkozy quand il était au pouvoir. Sous la droite, le nombre d’interceptions judiciaires a d’ailleurs explosé.


Les seules écoutes qui, depuis dix ans, ont scandalisé l’ancien Président de la République et ancien ministre de l’Intérieur, sont celles qui l’ont personnellement visé ces dernières semaines. Et pour les dénoncer dans le Figaro, il a recours à une comparaison bien surprenante de la part d’un ancien chef d’Etat normalement au fait de l’histoire contemporaine :


« Aujourd’hui encore, toute personne qui me téléphone doit savoir qu’elle sera écoutée. Vous lisez bien. Ce n’est pas un extrait du merveilleux film La Vie des autres sur l’Allemagne de l’Est et les activités de la Stasi. Il ne s’agit pas des agissements de tel dictateur dans le monde à l’endroit de ses opposants. Il s’agit de la France ».


De même qu’il existe un point Godwin (lorsque le débat se termine par une référence à Hitler), Sarkozy invente ici le point Stasi. Il faut rappeler quand même, pour rester sur terre, ce qu’était cette sinistre administration.


Ecoutes, filatures, décomposition, liquidations


La Stasi n’a rien à voir avec le travail des juges français. C’est le diminutif du ministère de la Sécurité d’État (Ministerium für Staatssicherheit, MfS), chargé de la police politique et de l’espionnage en Allemagne de l’Est.


Ce n’était pas un petit ministère : en 1989, lorsque le Mur était encore debout, elle comptait environ 266 000 agents, soit 1% de la population : 91 000 fonctionnaires et 175 000 informateurs. On a aussi estimé à 190 000 le nombre d’agents informels basés en RFA.




Le blason de la Stasi
La Stasi écoutait beaucoup : toutes les communications passant par satellites étaient contrôlées ainsi que 30 000 téléphones en Allemagne de l’Ouest.


La Stasi lisait aussi beaucoup. Elle disposait d’une pièce dans chaque bureau de poste du pays dans lesquelles des agents ouvraient les lettres et colis pour les inspecter.


La Stasi suivait. Elle filait des suspects dans la rue. Elle était inventive : elle avait même imaginé d’utiliser des isotopes radioactifs pour garder la trace de suspects, et les repérer grâce à des compteurs Geiger.


La Stasi emprisonnait : entre sa création en 1950 et sa dissolution en 1989, la Stasi comptait dix-sept prisons, où l’on pouvait atterrir sans autre forme de procès.




Une prison de la Stasi (Wikimedia Commons/CC)
La Stasi « décomposait ». Ah, la décomposition, Zersetzung, ça c’est un truc que Nicolas Sarkozy n’a pas encore connu dans la France de François Hollande. C’est une technique extraordinaire inventée par la Stasi pour éviter de torturer, ce qui est trop voyant. Il s’agit de dissoudre psychologiquement les dissidents, les casser, leur tordre l’esprit. Les « éteindre » avant qu’ils ne nuisent. Cela passait par des actions anodines (vous rentrez chez vous, votre meuble a changé de place, votre réveil ne réveille plus, votre thé a changé de marque...) à des actions plus radicale (votre femme perd son emploi, votre fils rate ses études...)


Voici la définition que la Stasi en donnait dans son manuel :


« Décomposition. Méthode opérationnelle du Ministère de la sécurité d’État pour une lutte efficace contre les agissements subversifs, en particulier dans le traitement des opérations. Avec la décomposition, au travers de différentes activités politiques opérationnelles, on prend de l’influence sur les personnes hostiles et négatives, en particulier sur ce qu’il y a d’hostile et de négatif dans leurs dispositions et leurs convictions, de sorte qu’elles soient secouées et peu à peu changées, et le cas échéant que les contradictions ainsi que les différences entre les forces hostiles et négatives soient provoquées, exploitées ou renforcées.
Le but de la décomposition est la fragmentation, la paralysie, la désorganisation et l’isolement des forces hostiles et négatives, etc. »


La suite est ici, c’est assez long.


Une directive de 1976 donnait des exemples de techniques de décomposition :


« dégradation systématique de la réputation, de l’image et du prestige sur la base de données d’une part vraies, vérifiables et dégradantes, et d’autre part fausses, vraisemblables, irréfutables et toujours dégradantes ; organisation systématique d’échecs professionnels et sociaux pour démolir la confiance en soi de l’individu ; […] stimulation des doutes relatifs aux perspectives d’avenir ; stimulation de la méfiance et du soupçon mutuel au sein des groupes […] ; mise en place d’obstacles spatiaux et temporels rendant impossibles, ou du moins entravant les relations réciproques des membres d’un groupe […], par exemple par […] l’attribution de lieux de travail éloignés. »




Appareil photo espion utilisé par la Stasi (Roi Boshi/Wikipedia Commons/CC)
La Stasi terrorisait. Il a été découvert qu’elle finançait à l’Ouest la Fraction Armée Rouge, la bande à Baader.


La Stasi, enfin, liquidait. Les opposants potentiels, mais pas seulement. Sa direction avait même donné ordre de tirer sur les familles qui tentaient de passer à l’Ouest :


« N’hésitez pas à faire usage de votre arme à feu, pas même en cas de violation des frontières par des femmes et des enfants, souvent utilisés par les traitres ».


Voilà ce qu’était la Stasi. Maintenant, relisons la phrase de Nicolas Sarkozy, placé sous écoute, en France, dans le cadre d’une enquête judiciaire :


« Aujourd’hui encore, toute personne qui me téléphone doit savoir qu’elle sera écoutée. Vous lisez bien. Ce n’est pas un extrait du merveilleux film La Vie des autres sur l’Allemagne de l’Est et les activités de la Stasi. Il ne s’agit pas des agissements de tel dictateur dans le monde à l’endroit de ses opposants. Il s’agit de la France ».


A tout prendre, le « ces bâtards de Bordeaux ! » de son avocat Me Thierry Herzog, était plus digne.


ALLER PLUS LOIN


Sur Rue89
Ces photos de la Stasi sont très drôles. Mais pas du tout drôles
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L'Allemagne confrontée au « permis d'abattre » de la Stasi
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20/03/2014 Handicap et accessibilité : quand une pétition dépasse les 100 000 signataires en une semaine sur change.org,politique,handicap,article sur le handicape,

22 Mars 2014, 00:11am

Publié par hugo

« Handicap et difficultés d’élocution : quand un spot déloge les idées reçues de plus d'1 million d'internautes sur YouTube | Page d'accueil | J’ai déjà regardé pour vous la 2e saison de Caïn, qui démarre ce soir sur France 2 /Pour en finir avec l'angélisme des handicapés »


20/03/2014
Handicap et accessibilité : quand une pétition dépasse les 100 000 signataires en une semaine sur change.org
ad'ap,accessibilité,pétition,change.org,lobbies,signatairesLa pétition lancée par l’APF, avec le soutien du sportif handicapé Philippe Croizon, jeudi 13 mars sur change.org pour « dire oui à l’accessibilité », s’est répandue comme une bouffée de colère. La colère de toutes ces personnes en situation de handicap ne voulant pas attendre dix années de plus leur liberté d’aller et venir. Résultat : 100 000 signataires en une semaine !


Le Premier ministre a en effet annoncé fin février que les exploitants n’ayant pas rendu accessible leur établissement recevant du public ou leur service de transport avant début 2015 bénéficieront d’un délai supplémentaire de trois à neuf années, voire un peu plus, s’ils s’engagent formellement sur un calendrier chiffré des travaux à réaliser. C’est le dispositif des agendas d’accessibilité programmée (Ad’ap).




« Un des meilleurs démarrages » des 22 000 pétitions de change.org


« C’est l’un des meilleurs démarrages enregistrés parmi les 22 000 pétitions mises en ligne sur notre site, précise Sarah Durieux, chargée de campagne senior de la plateforme change.org. Le résultat est d’autant plus remarquable qu’elle a bénéficié d’une faible médiatisation. Mais le texte en préambule de la pétition, rédigé par Philippe Croizon, lui a apporté une dimension humaine. »


Une audience « révélatrice d’une véritable demande sociale ».


L’APF veut aussi y voir le signe que « le combat pour l’accessibilité réunit largement les Français. Cette audience est révélatrice d'une véritable demande sociale, puisque l'accessibilité profite à de nombreux publics : personnes âgées, parents avec poussette, femmes enceintes, etc. »


L’association demande des délais de mise en accessibilité plus resserrés. Elle veut croire que le succès de cette pétition, couplé à des manifestations locales, peut amener le gouvernement à revoir sa position.






Avec 140 000 signatures, les poussins auto-entrepreneurs ont fait reculer le gouvernement


« Notre site a montré qu’une pétition peut contribuer à faire bouger les choses, approuve Sarah Durieux. Le mouvement des poussins auto-entrepreneurs et sa pétition aux 140 000 signataires a obtenu un large amendement du projet de loi réformant son statut. »


Le gouvernement, lui, a fait savoir que l’ordonnance précisant les dispositions des Ad’ap serait publiée « à l’été ». Restent trois mois pour convaincre. Franck Seuret - Photo DR


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- Les personnes handicapées en colère MAINTENANT contre l’accessibilité dans DIX ANS


- Philippe Croizon et l’APF veulent l'accessibilité dans les plus brefs délais


- L’accessibilité, ce n’est pas maintenant mais dans 3 à 9 ans


19:15 Publié dans Accessibilité universelle | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : ad'ap, accessibilité, pétition, change.org, lobbies, signataires | | del.icio.us | | Digg! Digg | Facebook
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scandale d'Etat quand un gouvernement n'est pas capable de faire executer les lois
Écrit par : DOUARD | 20/03/2014
rien n'est fait pour les personnes a mobilite reduite ils en parlent mais ne savent faire que sa aller dans les rues en ville et vous verrez
un prcour du combattant que tu ne peux faire seule
Écrit par : barbet | 20/03/2014
Le temps de patienter encore entre 3 et 9 ans, un répit pour le gouvernement, avant de frapper encore plus fort. Attention pourrait y avoir de la casse.
Écrit par : Daniel Panier | 21/03/2014
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Agressées sexuellement sur le chemin de Saint-Jacques,femmes,violence,

22 Mars 2014, 00:10am

Publié par hugo

Agressées sexuellement sur le chemin de Saint-Jacques
Mis à jour le 20.03.2014 3 Commentaires
Deux randonneuses, une Suissesse et une Française, ont porté plainte pour des agressions sexuelles sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle.




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Un signalement et une plainte ont été déposés par deux randonneuses, une Suissesse et une Française, pour des agressions sexuelles commises à Saint-Jean-Pied-de-Port (Pyrénées-Atlantiques) sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle, a-t-on appris auprès de la gendarmerie, qui a précisé qu'un suspect avait été interpellé.


«Un signalement a été effectué le 31 janvier à la gendarmerie de Saint-Jean-Pied-de-Port par une Suissesse au sujet d'un homme qui lui aurait proposé ses services de massage alors qu'elle faisait halte dans un gîte près du chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle,» a précisé la gendarmerie. «Un massage qui aurait tourné en agression sexuelle», a-t-on ajouté de même source.


Un suspect convoqué


«Le 19 février, une Française a déposé plainte pour les mêmes agissements, qui ont eu lieu dans un autre gîte aux alentours de la même ville», a poursuivi la gendarmerie, précisant qu'un homme résidant dans la région avait été entendu lors d'une garde à vue.


Le suspect est convoqué devant le tribunal correctionnel de Bayonne le 18 novembre 2014. «Il n'est pas impossible que d'autres personnes portent plainte», a-t-on estimé à la gendarmerie.
(afp/Newsnet)


Créé: 20.03.2014, 19h38

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Pauvreté: familles monoparentales et enfants restent les premières victimes,chomage,emploi,economie,mere seul,

22 Mars 2014, 00:03am

Publié par hugo

Pauvreté: familles monoparentales et enfants restent les premières victimes
BELGIQUE | Mis à jour le jeudi 20 mars 2014 à 14h11
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La crise qui persiste aggrave les problèmes actuels de la pauvreté, qui continue de toucher de plein fouet certaines catégories de population comme les familles monoparentales et les enfants, ressort-il de l'édition 2014 de l'Annuaire fédéral de la pauvreté en Belgique, présenté jeudi par la secrétaire d'État en charge de la Lutte contre la pauvreté Maggie De Block.
Pauvreté: familles monoparentales et enfants restent les premières victimes
Pauvreté: familles monoparentales et enfants restent les premières victimes - SISKA GREMMELPREZ - BELGA
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Politique, Social, Société
En Belgique, le seuil de pauvreté est fixé à 1000 euros nets par mois pour les personnes isolées et 2101 euros nets pour les ménages composés de deux adultes et deux enfants. Selon les derniers chiffres disponibles (2011), 15,3% de la population vit en dessous du seuil de pauvreté, avec des disparités significatives entre les Régions: 9,8% en Flandre, 19,2% en Wallonie et 34% dans la Région de Bruxelles-Capitale. Les familles monoparentales (38,5%), les personnes sans emploi (37,8%) et les aînés (20,2%) font partie des groupes les plus touchés.


Le risque de pauvreté ou d'exclusion sociale concerne par ailleurs 21% de la population, dont les familles monoparentales constituent un groupe vulnérable en constante augmentation. "Le taux de divorce a quadruplé au cours des trente dernières années et il continue d'augmenter. De nombreuses familles devenues monoparentales tombent ainsi sous le seuil de pauvreté du jour au lendemain", explique l'une des co-auteurs de l'Annuaire fédéral, Isabelle Pannecouke (UGent). Cette situation affecte "principalement les jeunes mères ayant des difficultés à trouver un emploi. Pour ces femmes généralement moins qualifiées, même les emplois à temps plein suffisent à peine pour se maintenir au-dessus du seuil de pauvreté et, a fortiori, au sein d'une économie toujours plus précarisée par des emplois précaires; les mini-jobs en sont la forme la plus récente", précise-t-elle.


Les enfants restent par ailleurs proportionnellement plus nombreux à être pauvres que le reste de la population (18,7% contre 15,3%). En Wallonie, près d'un enfant sur quatre vit sous le seuil de pauvreté ou subit de la déprivation (c'est-à-dire qui ne dispose pas d'un certain nombre de biens ou de services considérés comme nécessaires), contre un enfant sur dix en Flandre.


L'Annuaire fédéral pointe également un problème de pauvreté émergente chez les indépendants. Selon des données de la période 2008-2010, il ressort qu'environ un ménage sur huit avec un indépendant à titre principal perçoit un revenu inférieur au seuil de pauvreté.


Face à cette situation, Maggie De Block souligne l'importance de la sécurité sociale en Belgique et insiste sur la coopération entre les différentes entités et niveaux de pouvoir dans la lutte contre la pauvreté. Selon la secrétaire d'État, 67% des actions prévues dans le Plan fédéral de lutte contre la pauvreté lancé en 2012 ont été mises en oeuvre, et 33% sont en cours d'implémentation.


Belga

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