Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le blog de hugo,

sante

Congrès mondial du cancer : des chercheurs dressent un premier bilan sur l’immunothérapie, efficace sur certains malades,sante,

4 Juin 2019, 20:57pm

Publié par hugo


Congrès mondial du cancer : des chercheurs dressent un premier bilan sur l’immunothérapie, efficace sur certains malades
Cette technique fonctionne bien pour environ un patient sur cinq. Les médecins cherchent à comprendre comment améliorer ce traitement qui permet d'éviter la chimiothérapie.
Un infirmier dans un hôpital. (Illustration).  (FRANÇOIS DESTOC / MAXPPP)
Édité par Thomas Pontillon
franceinfo
Solenne Le Hen
Radio France
Mis à jour le 02/06/2019 | 08:03
publié le 02/06/2019 | 08:03
Partager
Twitter
Partager
Envoyer
LA NEWSLETTER ACTU
Nous la préparons pour vous chaque matin
Il y a quelques années, les médecins parlaient de l'immunothérapie comme d’une "révolution". Au congrès mondial du cancer à Chicago, la très bonne surprise des premiers essais d’immunothérapie est désormais loin. Les chercheurs réunis aux États-Unis reviennent sur cette méthode avec désormais plus de recul et peuvent même établir un premier bilan.
Une méthode qui fonctionne sur un patient sur cinq
Le principe est de renforcer le système immunitaire du patient pour que ce soit le corps du malade lui-même qui détruise le cancer. Cette méthode fonctionne très bien mais pour seulement un patient sur cinq. Il reste à trouver pourquoi.
L’immunothérapie est aujourd’hui utilisée pour combattre le mélanome, le cancer de la peau, les cancers du rein, du poumon, et ORL notamment. Il faut arriver à étendre le champ explique le professeur Aurélien Marabelle, président de la société française d’immunothérapie. "On a identifié des cancers qui ne répondent pas bien à l'immunothérapie. Il s'agit des cancers de la prostate, la plupart des cancers du côlon, ceux du pancréas. On a des cancers qui sont résistants à ces traitements. L'explication claire de cette résistance, on ne l'a pas aujourd'hui, dit-il. Cela fait partie des grands enjeux de recherche à la fois scientifique et clinique, d'essayer de mieux comprendre pourquoi un patient va répondre ou pas à l'immunothérapie".
Les chances de survie augmentent
Au congrès de Chicago cette année, l’un des thèmes principaux, c’est aussi la durée de survie des patients car désormais les médecins ont quelques années de recul sur l'imnunothérapie. Yohann Loriot, cancérologue à l’Institut Gustave Roussy de Villejuif, prend l'exemple du cancer de la vessie.
Il vient de prouver que chez les patients qui réagissent bien à l'immunothérapie, très peu ont rechuté au bout de deux ans. "Les patients traités depuis plusieurs années sont toujours en vie, chose que l'on ne voyait pas jusqu'à présent avec la chimiothérapie dans le cancer de la vessie. Clairement, l'immunothérapie change le pronostic des patients. Évidemment ce n'est pas très intéressant si cela dure trois ou quatre mois, c'est beaucoup plus intéressant si ça dure un an, deux ans, voire plusieurs années", conclut-il.
La recherche se poursuit
Actuellement, 3 000 essais cliniques sont menés dans le monde sur l’immunothérapie. La recherche fourmille, explique Diane Damotte, chercheuse dans le cancer du poumon. "Il y a pleins de molécules. Les laboratoires pharmaceutiques sont en train de sortir une quantité de médicaments qui ciblent pleins de choses différentes. On a probablement la réponse sous les yeux, mais il faut la trouver", dit-elle. L’enjeu de demain, c'est de pouvoir trouver les bonnes combinaisons pour les malades avec ces médicaments qui existent déjà.
A lire aussi

https://www.francetvinfo.fr/sante/cancer/congres-mondial-du-cancer-des-chercheurs-dressent-un-premier-bilan-sur-limmunotherapie-efficace-sur-certains-malades_3471271.html

Voir les commentaires

Cancer du sein : un nouveau traitement améliore la survie des malades,femmes,sante

3 Juin 2019, 15:44pm

Publié par hugo

Cancer du sein : un nouveau traitement améliore la survie des malades
Le ribocuclib, un traitement qui agit sur la multiplication des cellules tumorales, améliore considérablement le taux de survie des femmes souffrant d’un cancer du sein hormonodépendant, selon un essai clinique international.
Par la rédaction d'Allodocteurs.fr, avec AFP
Rédigé le 03/06/2019
 
Crédits Photo : © Fotolia / hanack

Comment améliorer la survie des femmes souffrant de cancer du sein ? Cette question fait partie des préoccupations qui animent le Congrès annuel de l’American Society of Clinical Oncology (ASCO) à Chicago.
Des chercheurs de l’université de Californie à Los Angeles (UCLA) ont présenté à cette occasion les résultats d’un essai clinique international : selon eux, un nouveau type de traitement, le ribociclib, permet d’améliorer considérablement le taux de survie des femmes de moins de 60 ans atteintes d’un cancer du sein hormonodépendant.
 
 
Téléphonez sans compter et accédez à internet en France comme en Europe !
En Europe comme en France
 

A lire aussi : Cancer du sein : bientôt un test sanguin pour choisir le meilleur traitement ?
70% de survie après trois ans et demi
Mais de quoi s’agit-il précisément ? Le ribociclib est un inhibiteur du cycle cellulaire. Concrètement, il agit sur la réplication des cellules tumorales en bloquant leur multiplication. Selon ces chercheurs, ajouter cet inhibiteur à un traitement d’hormonothérapie permet de pousser le taux de survie jusqu'à 70%, après trois ans et demi. De même, le taux de mortalité chez les patientes ayant reçu ce traitement a été de 29% moins élevé que chez celles n'ayant reçu qu'un placebo.
Autre avantage : ce traitement est moins toxique qu'une chimiothérapie traditionnelle car il cible plus spécifiquement les cellules cancéreuses. D'après le docteur Harold Burstein, oncologue à l'institut américain Dana-Farber Cancer Institute à Boston qui n'a pas pris part à ces recherches, il s'agit bien d'une "étude importante" puisqu'elle démontre que réguler le cycle cellulaire "se traduit par une amélioration notable" du taux de survie, explique-t-il à l’AFP.
12.553 dollars pour 28 jours de traitement
Pour le moment,  l'étude ne s'est concentrée que sur des patientes souffrant d'un cancer du sein hormonodépendant, a expliqué à l'AFP l'autrice principale de ces travaux, la docteure Sara Hurvitz. L’essai clinique a ainsi réuni plus de 670 femmes de moins de 59 ans à un stade avancé du cancer du sein (stade 4) et qui n’avaient reçu aucun traitement antihormonal préalable.
Le ribociclib, commercialisé sous le nom de Kisqali par les laboratoires Novartis est administré par comprimé pendant 21 jours, suivi d'une pause de sept jours. Ce traitement de 28 jours coûte 12.553 dollars, mais "la majorité des patients disposant d'une assurance privée aux Etats-Unis ne payeront rien" a indiqué Jamie Bennett, une porte-parole des laboratoires Novartis.
De plus en plus de cancers du sein avancés avant la ménopause
Le cancer du sein hormonodépendant de stade 4 pourrait concerner 268.000 nouvelles femmes aux États-Unis en 2019. La forme la plus avancée de cette maladie est la première cause de décès liés au cancer chez les femmes âgées de 20 à 59 ans. Et bien que le stade avancé de cancer du sein soit moins commun chez les femmes avant la ménopause, sa fréquence aurait progressé de 2% chaque année entre 1978 et 2008 chez les Américaines âgées de 20 à 39 ans.
Voir aussi sur Allodocteurs.fr

https://www.allodocteurs.fr/maladies/cancer/cancer-du-sein/cancer-du-sein-un-nouveau-traitement-ameliore-la-survie-des-malades_27228.html

Voir les commentaires

Les jeunes femmes pratiquent moins de sport que les hommes,societe,sante,

3 Juin 2019, 04:50am

Publié par hugo

 Les jeunes femmes pratiquent moins de sport que les hommes
Jusqu’à l’âge de 11 ans, les petites filles et les petits garçons ont à peu près la même pratique sportive. Mais dès le début de l’adolescence, les filles deviennent plus sédentaires. Les explications d'un spécialiste de l'Insep.    
Par la rédaction d'Allodocteurs.fr
Rédigé le 29/05/2019
 
 
 
Les jeunes femmes pratiquent moins de sport que les hommes

Jusqu’à l’âge de 11 ans, les petites filles et les petits garçons ont à peu près la même pratique sportive. Mais dès le début de l’adolescence, les filles deviennent plus sédentaires. La rupture se fait autour de l’âge de 11 – 12 ans.
Elles sont 69% à pratiquer un sport entre 6 et 11 ans. Mais elles ne sont plus que 53% entre 12 et 17 ans.
 
 
Un esprit saharienne pour cette veste vert olive Un Jour Ailleurs réalisée dans un tiss...
Veste Wasteland
 

Et selon Nicolas Forstmann, chargé d’études de l’INSEP, les causes sont multiples « Par exemple, la difficulté de maintenir une pratique compétitive, les conditions d’accueil sont moins favorables pour les équipes féminines que les équipes masculines (créneaux, vestiaires). De plus, les pratiques ne sont pas forcément adaptées aux envies des adolescentes, qui sont plus portées sur le bien-être, la santé, l’entretien que sur la compétition. »
Les deux freins principaux sont le manque de motivation et les contraintes d’emploi du temps surchargé.
La majorité des femmes sous la barre des 10 000 pas/jour
L’influence des parents est importante. Parmi les enfants qui pratiquent une activité physique, 81% d’entre eux ont des parents qui eux-mêmes sont sportifs. Et ce sont les enfants des parents qui marchent le plus chaque jour qui effectuent leurs fameux 10 000 pas quotidiens.
Et cette sédentarité persiste ensuite au fil des années. Une femme sur 3 en France fait moins de 5000 pas par jour. Et 8 sur 10 ne font pas les 10 000 pas par jour recommandés par l’OMS. Ce qui représente en moyenne 7 heures de sédentarité, en plus des heures de sommeil.
Pas assez de temps libre
L’argument principal avancé est la contrainte horaire. D’ailleurs, on remarque que les femmes reprennent le sport à partir de 40 ans. Une fois leurs enfants plus grands, elles profitent d’avoir plus de temps disponible pour s’y remettre. Plus qu’un problème de motivation, ce serait plutôt lié à un problème de répartition des tâches.
Pourtant les femmes gagneraient à consacrer plus de temps à l’activité sportive. Elle réduit le risque de cancer du sein et sa récidive. "Mais aussi l’apparition de maladies cardiaques et métaboliques. Et fait reculer l’arrivée de la dépendance", selon Nicolas Forstmann, chargé d’études de l’INSEP.

https://www.allodocteurs.fr/bien-etre-psycho/sport-et-sante/sport-et-ados/les-jeunes-femmes-pratiquent-moins-de-sport-que-les-hommes_27208.html

Voir les commentaires

Cancérologie : l'immunothérapie nourrit l'optimisme,sante

3 Juin 2019, 04:32am

Publié par hugo

 Cancérologie : l'immunothérapie nourrit l'optimisme
C'est probablement le fait le plus saillant du congrès de l'ASCO 2014 : de nombreuses études de petite envergure, destinées à évaluer l'innocuité d'une sollicitation du système immunitaire contre les tumeurs, se sont soldées par la guérison d'un ou plusieurs patients. Si les effets secondaires de ces traitements sont au final loin d'être bénins, ces stratégies confirment cette année tout leur potentiel.
Par Florian Gouthière, envoyé spécial au congrès de l'ASCO
Rédigé le 03/06/2014, mis à jour le 04/06/2014
 
Cancérologie : l'immunothérapie nourrit l'optimisme

La revue Science ne s'était pas trompée, en décembre dernier, en attribuant à l'immunothérapie contre le cancer le statut d'avancée scientifique de l'année. Le précédent congrès de l'ASCO avait également applaudit la publication de premiers résultats spectaculaires de cette stratégie dans la lutte contre le mélanome ou le cancer du poumon.
Les cellules cancéreuses ne sont pas des corps étrangers à l'organisme. Quand bien même le système immunitaire détecterait leur comportement anormal, ces cellules expriment des signaux très forts qui interdisent aux différents agents de l'immunité de faire leur office.
L'une des stratégies d'immunothérapie les plus étudiées par les laboratoires consiste à introduire dans l'organisme des molécules qui empêchent, à un niveau ou un autre, la communication entre les cellules malades et ces agents.
Cette année, les présentations consacrées à des expériences d'immunothérapie se comptent par centaines. L'objectif d'un grand nombre de ces recherches n'est, généralement, que d'évaluer la tolérance, par l'organisme, des substances destinées à doper l'immunité contre les tumeurs. Elles sont, de ce fait, réalisées auprès d'un nombre restreint de volontaires.
 
Mais dans un certain nombre d'études menées sur des patients très malades, les taux de survie des individus traités est drastiquement supérieur à celui des groupes témoins.
Dans plusieurs cas, des régressions tumorales importantes – voire des disparitions pure et simples de tumeurs – ont été constatées chez quelques patients.
Le nombre de malades traité est, dans tous ces cas, trop faible pour pouvoir en tirer des conclusions triomphales. Mais le simple fait que des rémissions soient déjà observées à si petite échelle démontre l'intérêt réel de ces voies de traitements.
Des résultats prometteurs
Une étude présentée lundi 2 juin à l'ASCO, réalisée sur 53 patients atteints d'un mélanome avancé, portait sur les bénéfices en terme de survie de l'administration conjointe de deux molécules empêchant les cellules cancéreuses de freiner l'action du système immunitaire (ipilimumab et nivolumab). Alors qu'à l'heure actuelle seuls deux patients sur dix sont encore en vie deux ans après le début d'un diagnostic, dans l'étude ce taux était de près de neuf sur dix.
Une autre étude a été menée sur 68 patients atteints d'un cancer de la vessie métastasé. Chez trente d'entre eux, les cellules cancéreuses présentaient à leur surface une grande quantité de protéines PD-L1 (dont la fonction est, là aussi, d'interdire toute agression par le système immunitaire). Ces malades se sont vus administrer une molécule inhibitrice du nom de MPDL3280A. Selon les données présentées au congrès, les tumeurs ont cessé leur progression voir régressé chez 13 patients (suivi à 12 semaines), celles-ci étant même indétectables à l'examen radiologique chez 2 malades !
Troisième exemple, avec un essai mené sur seulement 9 femmes atteintes d'un cancer du col de l'utérus (provoqué par le papillomavirus humain). Ici, les chercheurs ont prélevé des lymphocytes de l'organisme des malades, et ont sélectionné les cellules immunitaires reconnaissant les protéines caractéristiques d'une infection au papillomavirus. Après avoir été multipliées in vitro, ces cellules ont été réinjectées chez les patientes. Deux sont aujourd'hui en rémission, respectivement depuis vingt-deux et quinze mois.
Là où le bât blesse
Si l'immunothérapie nourrit l'optimisme des cancérologues, ceux-ci sont bien conscients des limites actuelles de cette approche. La première est son efficacité à moyen et long terme. En effet, les expériences menées ces dernières années montrent que, bien souvent, les molécules qui rendent possible les attaques contre les cellules malades ne sont efficaces que quelques semaines. De nombreuses études présentées au congrès de l'ASCO montrent qu'encore bien souvent, les stratégies d'immunothérapie retardent le développement de la maladie de quelques mois plus qu'elles ne la guérissent.
Une autre limite est la toxicité des molécules employées. En autorisant l'organisme à combattre des cellules du "soi", l'immunothérapie est encore une voie de traitement dangereuse. Dans une étude de l'efficacité de l'ipilimumab (utilisé seul) pour le traitement de mélanomes avancés non métastasés, présentée le 2 juin à l'ASCO, 6 des 471 patients traités sont décédés à la suite d'effets secondaires du traitement (inflammation du côlon, myocardite, ou syndrome de Guillain-Barré).
Dernier obstacle sur la route de l'immunothérapie : d'un individu à l'autre, les protéines qui s'expriment à la surface des cellules cancéreuses ne sont pas les mêmes. Aussi, une molécule efficace chez un malade pourra être sans effet chez de nombreux autres. Par ailleurs, les tumeurs sont parfois hétérogènes, toutes les cellules qui la composent n'étant pas forcément issues d'une même lignée.(1)
L'enjeu de l'immunothérapie, aujourd'hui, se joue donc au niveau d'analyses cellulaires longues et fastidieuses. il s'agit de déterminer quels marqueurs, à la surface des tumeurs, permettent de prédire quels patients pourront réagir le mieux à telle ou telle combinaison de molécule. Les prochains congrès de l'ASCO devraient fourmiller de travaux destinés à élucider, au cas par cas, cette question.
---
(1) Toutefois, lorsque les premières cellules sont détruites, la libération de certaines protéines spécifiques des cellules cancéreuses déclenche parfois, localement, des réactions immunitaires qui aident à faire régresser la tumeur. 
 
En savoir plus sur l'immunothérapie contre le cancer :
Leucémie : résultats encourageants de l'immunothérapie, article du 20 février 2014
L'immunothérapie contre le cancer, avancée scientifique de l'année, article du 20 décembre 2013
Mélanomes avancés : bénéfices confirmés des traitements par ipilimumab, article du 30 septembre 2013
L'immunothérapie : le nouvel outil de la lutte contre le cancer, article du 3 juin 2013
Congrès de l'ASCO 2014
- Cancers de l'enfant : les thérapies ciblées ont de l'avenir, article du 2 juin 2014.
- Cancer : réviser les standards de traitements, article du 1er juin 2014.
- Cancer du sein : des mécanismes biologiques insoupçonnés jouent sur la survie à long terme, article du 1er juin 2014.
- La cancérologie fait son bilan annuel à Chicago, article du 31 mai 2014.

https://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-cancerologie-l-immunotherapie-nourrit-l-optimisme_13585.html

Voir les commentaires

Santé : les femmes moins sportives que les hommes,femmes,hommes,

3 Juin 2019, 04:21am

Publié par hugo

 Santé : les femmes moins sportives que les hommes
L'OMS préconise de faire 10 000 pas par jour. Selon une étude, les adolescentes françaises font beaucoup moins d'exercice que les hommes. Une tendance qui persiste à l'âge adulte.
FRANCE 2
 
 
 
 
 
 
France 2
France Télévisions
Mis à jour le 29/05/2019 | 17:41
publié le 29/05/2019 | 15:55
Partager
Twitter
Partager
Envoyer
LA NEWSLETTER ACTU
Nous la préparons pour vous chaque matin
Selon une étude réalisée en 2019, seulement 48% des Françaises pratiqueraient une activité sportive, soit moins d'une sur deux. "Je ne fais pas beaucoup de sport. Je fais vraiment du sport quand je vais en vacances dans ma maison de campagne avec mes parents et ma famille", dévoile une femme venue assister au tournoi de Roland-Garros.
Une baisse progressive avec l'âge
Entre 6 et 11 ans, 69 % des filles pratiquent une activité physique tandis qu'entre 12 et 17 ans, 53% font de l'exercice, selon l'étude d'Attitude prévention en 2019. "On a peut-être plus tendance à encourager les garçons à faire du sport (...) c'est peut-être ça qui contribue au fait que les filles se sentent moins légitimes à poursuivre le sport ou à s'investir complètement dans une pratique sportive", détaille Nicolas Forstmann de l'INSEP. Une fois adultes, les femmes prises entre travail et enfants ont moins l'habitude de consacrer du temps au sport. Les Françaises marchent trop peu, avec une moyenne journalière de 7 578 pas, loin des 10 000 préconisés par l'OMS. Marcher est un moyen efficace de prévenir les maladies cardiovasculaires, le diabète et le cancer du sein.

https://www.francetvinfo.fr/societe/droits-des-femmes/sante-les-femmes-moins-sportives-que-les-hommes_3466013.html

Voir les commentaires

Les protections hygiéniques, bientôt gratuites en France ?,femmes,sante,

3 Juin 2019, 03:22am

Publié par hugo

Les protections hygiéniques, bientôt gratuites en France ?
par Leslie Muya
le 28 mai 2019

Bonne nouvelle en cette journée mondiale de l’hygiène féminine ! Le gouvernement veut expérimenter des distributions gratuites de protections hygiéniques. C’est un projet d’expérimentation étudié par plusieurs ministres, parlementaires, entrepreneuses et associations qui se sont réunis ce mardi pour lutter de manière concrète sur la "précarité menstruelle".
Le gouvernement souhaite mettre en place un plan afin d’aider les femmes à s’acheter des protections hygiéniques. Dans un communiqué, Marlène Schiappa -secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes- estime que "la précarité menstruelle est un sujet majeur", et que la question de l'hygiène féminine soulève aussi des questions de "santé environnementale". En effet, la composition des serviettes fait souvent la une des journaux pour les produits toxiques qu'elles contiennent.
Ainsi, alors que l’on célèbre aujourd'hui la journée mondiale de l’hygiène féminine, Marlène Schiappa a réuni plusieurs acteurs. Lors de cette rencontre, Patricia Schillinger (LRM) s’est vue confiée une "mission sur l’expérimentation de la gratuité des protections hygiéniques". La sénatrice doit étudier "les objectifs et modalités" de la mise en place de ce projet dans plusieurs "lieux collectifs".
Une mission qui doit certainement la réjouir car en fin d’année dernière, la politicienne avait déposé un amendement dans le cadre du projet de loi de financement de la Sécurité sociale 2019. En effet, Patricia Schillinger voulait se battre pour instaurer une expérimentation qui permettrait de distribuer gratuitement des produits menstruels dans des écoles, hôpitaux, prisons. Mais à la demande de la ministre de la Santé Agnès Buzyn, l’amendement avait été retiré. Elle s’était engagée à travailler sur le sujet en 2019.
Cette rencontre a été l’occasion de faire le point sur un problème de société : la perception des règles. En effet, les menstruations sont souvent perçues comme quelque chose de chose de sale, quelque chose qu’on doit taire. Ainsi, les personnes réunies, dont les secrétaires d’Etat Brune Poirson (transition écologique), Christelle Dubos (santé), Agnès Pannier-Runacher (économie et finances), ainsi que des entrepreneuses, des industriels ou encore des responsables d’association ont tenté de trouver une "une stratégie commune" visant à "lever le tabou des règles" . La discussion s’est poursuivie sur la composition des protections. En effet, il est primordial d’améliorer l’information des consommatrices sur le sujet.
"On peut retrouver des pesticides tel que le glyphosate ou encore des pesticides interdits aujourd'hui dans l'Union européenne comme le lindane" dans les protections hygiéniques, expliquait à France Info le professeur Gérard Lafargue qui a mené l’étude de l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses).
A voir aussi : Pourquoi les règles sont-elles si taboues ?

Video Player is loading.
Pause
Mute
Loaded: 0%
Progress: 0%
Remaining Time
-0:00
Fullscreen
A lire aussi : Encore du glyphosate dans les serviettes hygiéniques et tampons, même "bio"
Le glyphosate et les pesticides vont-ils (enfin) être retirés de nos protections hygiéniques ?
Pour suivre l'actu, abonnez-vous à la newsletter buzz
Suivez-nous sur Pinterest.
Pour retrouver nos meilleurs articles sur Messenger, inscrivez-vous ici
Voir aussi : 10 astuces super pratiques qui vont faciliter la vie des femmes !

 https://www.aufeminin.com/news-societe/les-protections-hygieniques-bientot-gratuites-s4001560.html

Voir les commentaires

Des stars mobilisées pour la campagne « Un baiser d’adieu à la Sep »,sante,handicap,

3 Juin 2019, 02:56am

Publié par hugo

 Accueil > Santé > Des stars mobilisées pour la campagne « Un baiser d’adieu à la Sep »
 
Cette campagne digitale positive a lieu simultanément dans 15 pays. © DR
Des stars mobilisées pour la campagne « Un baiser d’adieu à la Sep »
Claudine Colozzi il y a 4 jours Santé, Société Laisser un commentaire
À l’occasion de la Journée mondiale de la sclérose en plaques (Sep) le 30 mai 2019, retour sur la campagne internationale de levées de fonds pour financer la recherche contre cette maladie. De nombreuses personnalités, comme Patrick Bruel ou le DJ Bob Sinclar, ont apporté leur soutien.
Depuis 2016, la Ligue française contre la Sclérose en plaques (Sep) a rejoint la campagne internationale de levée de fonds Kiss Goodbye to MS. En français : « Un baiser d’adieu à la Sclérose en plaques ». Présente dans 15 pays, cette campagne sur les réseaux sociaux a en effet pour objectif de récolter de l’argent destiné à financer des travaux de recherche. Car la Sep, rappelons-le, est la première cause de handicap non traumatique chez les jeunes adultes, après les accidents de la route.
Un t-shirt blanc avec un baiser rouge
Ainsi, durant tout le mois de mai, différentes personnalités ont participé à ce vaste mouvement. Comme le chanteur Patrick Bruel. L’idée : arborer un t-shirt blanc avec un large baiser rouge. Le DJ Bob Sinclar, l’acteur Tomer Sisley ont également rejoint l’initiative. Ainsi que les comédiens de la série de TF1 Demain nous appartient .
Lire aussi
Autisme : Emoface, une application au service des émotions et des situations
 
De son côté, la comédienne Double A , elle-même touchée par la maladie, a apporté son soutien. Comment ? En réunissant un Plateau d’humoristes. Cette soirée a eu lieu 13 mai dans un bar parisien le Player One.
 
Des supporters de foot sensibilisés à la Sep
Autre temps fort, Calypso Goulet (responsable de la campagne média conduite par l’agence Oxygen) et Cassiopée, sa sœur, ont accompagné leur maman Viannette-Ann atteinte de sclérose en plaques pour donner le coup d’envoi du match FC Nantes-RC Strasbourg le 24 mai. Une belle visibilité dans un stade de la Beaujoire rempli de supporters.
 
Chaque personne souhaitant apporter son soutien pouvait participer en organisant un événement ou en lançant un défi. Ou tout simplement en abordant quelque chose de rouge sur une photo partagée avec le hashtag #KissGoodByeToMS.
Partager sur
 Facebook
 Twitter
 Google +
 LinkedIn

A propos de Claudine Colozzi

https://www.faire-face.fr/2019/05/29/sep-stars-mobilises/

Voir les commentaires

Le burn-out enfin reconnu comme maladie par l'Organisation mondiale de la santé,sante

2 Juin 2019, 01:28am

Publié par hugo

Le burn-out enfin reconnu comme maladie par l'Organisation mondiale de la santé
9885Partages
Partager sur Facebook
 
 

 
Le burn-out enfin reconnu comme maladie par l'OMS
 
Par Louise Col
Publié le Lundi 27 Mai 2019

Lors de la 72e session de l'Assemblée mondiale de la santé, l'OMS a enfin voté l'ajout du burn-out au classement international des maladies. Cette année, le congrès a largement abordé le thème des maladies mentales, qui concerneraient près d'1 milliard de personnes.

A lire aussi
 
maladies
Le burn-out, enfin reconnu comme maladie professionnelle ?
 
bien-être
Santé : Une Web TV dédiée aux maladies du cerveau
 
News essentielles
Chic, mon enfant rentre (enfin) à l'école
On avait l'habitude de définir le burn-out comme un "état" ou un "épuisement", c'est désormais une maladie. Ce samedi 25 mai, après une semaine de discussions, l'Organisation mondiale de la santé (OMS), rassemblée en Assemblée mondiale de la santé pour la 72e session, a pris une décision déterminant un tournant majeur dans la médecine : la reconnaissance du burn-out au classement international des maladies (ICD-11).
Selon l'OMS, il s'agit ainsi d'un "syndrome conceptualisé comme résultant d'un stress professionnel chronique qui n'a pas été géré correctement". L'organisation le caractérise en trois dimensions : "1) des sentiments de perte ou d'épuisement ; 2) une distance mentale accrue avec le travail, ou des sentiments de négativité ou de cynisme liés au travail ; et 3) une diminution de l'efficacité professionnelle."
 
Elle précise également que le burn-out "réfère spécifiquement au phénomène dans le contexte occupationnel et ne devrait pas être appliqué pour décrire des expériences dans d'autres domaines de la vie", avant d'exclure de cette référence les "troubles de l'adaptation, les troubles spécifiquement associés au stress, les troubles de la peur ou l'anxiété, et les troubles de l'humeur."
Près d'1 milliard de personnes souffriraient de maladies mentales
Un vote qui n'entrera en application qu'en janvier 2022, mais qui contredit les propos tenus le 13 mai sur France Inter par la ministre du Travail Muriel Pénicaud, qui stipulait au sujet des suicides chez France Télécom par exemple que "ces sujets-là sont des sujets internationaux. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a dit très fermement après étude que ce n'était pas une maladie professionnelle."
 
Maintenant que le burn-out a bien été reconnu comme maladie d'un point de vue international, il pourrait techniquement être ajouté au tableau des maladies professionnelles, quant à lui établi au niveau national.
Cette année, les maladies mentales ont pris une place de taille au sein de l'Assemblée, témoignant de l'urgence médicale qu'elles représentent. D'après l'OMS, environ 1 milliard de personnes en seraient touchées et les trois-quarts ne pourraient pas bénéficier d'aides, principalement à cause du manque de structures adaptées à leur soin dans beaucoup de pays. L'organisation rapporte également que le suicide est la deuxième cause de mortalité chez les jeunes.
Mise à jour du 28/05/2019 : Le porte-parole de l'Organisation mondiale de la santé a annoncé mardi que le burn-out n'était finalement pas reconnu comme une "maladie" mais comme un "phénomène lié au travail", selon Franceinfo.
La confusion viendrait du fait que l'OMS a annoncé l'entrée du syndrome à la Classification internationale des maladies. L'année dernière, il y figurait déjà sous le chapitre "Facteurs influençant l'état de santé". "L'inclusion dans ce chapitre signifie précisément que le burn-out n'est pas conceptualisé comme une condition médicale, mais plutôt comme un phénomène lié au travail", a indiqué le porte-parole.

Société Santé burn-out News essentielles Work travail Bien au travail stress

https://www.terrafemina.com/article/burn-out-enfin-reconnu-comme-une-maladie-par-l-oms_a349289/1

Voir les commentaires

Les protections hygiéniques seront-elles bientôt gratuites pour les plus précaires ?,femmes,sante,

29 Mai 2019, 04:16am

Publié par hugo

 Les protections hygiéniques seront-elles bientôt gratuites pour les plus précaires ?
ÉCLAIRAGE - La secrétaire d'État chargée de l'égalité, Marlène Schiappa, a réuni mardi 28 mai plusieurs ministres, parlementaires, associations et industriels pour mettre en place une stratégie de lutte contre la "précarité menstruelle".
Les règles, un tabou sociétal qu'il est important de faire tomber
Crédit : Erol Ahmed
 
Arièle Bonte 
Journaliste
Partager l'article
 
 

publié le 28/05/2019 à 16:09
Expérimenter la gratuité des protections hygiéniques, c'est la mission qu'a donnée Marlène Schiappa, secrétaire d'État en charge de l'égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations, à Patricia Schillinger, sénatrice du Haut-Rhin La République en marche, ce mardi 28 mai lors de la Journée mondiale de l'hygiène menstruelle.
À cette occasion, la secrétaire d'État a convié Christelle Dubos (Secrétaire d'État des Solidarités et de la Santé), Brune Poirson (Transition écologique) et Agnès Pannier-Runacher (Économie et Finances), ainsi que plusieurs parlementaires, associations et industriels pour mettre en place une stratégie de lutte contre la "précarité menstruelle", une problématique qui n'épargne pas les personnes vivant sur le sol français.
Parmi cette stratégie, on retrouve donc la proposition-phare du gouvernement, tirée d'un amendement justement proposé par Patricia Schillinger en décembre dernier. La sénatrice demandait d'expérimenter, "au sein de régions volontaires, idéalement en métropole et outre-mer, la libre distribution de protections hygiéniques dans différents lieux accueillant, notamment, des publics vulnérables" pour les femmes les plus précaires, notamment dans les écoles, hôpitaux ou prisons.
À lire aussi
société
Travail : les femmes sont plus productives quand il fait chaud
 
 
 
À la suite de cette demande, Agnès Buzyn avait déclaré qu'elle s'engageait à "trouver un vecteur pour que nous améliorions la disponibilité, la gratuité, des protections hygiéniques, que nous trouvions ce vecteur d'ici la loi de finances de l'année prochaine, ou le PLFSS", rapportait Le Figaro.
4 arrondissements parisiens déjà engagés
Quelques mois plus tard, Patricia Schillinger se voit donc attribuer la mission d'étudier "les objectifs et modalités" de la mise en place d'un tel dispositif dans plusieurs "lieux collectifs" tandis que le gouvernement s'engage lui aussi à travailler sur des mesures concrètes concernant les produits d'hygiène. Ces dernières seront notamment détaillées dans le projet de loi sur l'économie circulaire porté par Brune Poirson.
Le débat autour de la "précarité menstruelle" avait défrayé la chronique en 2015, au moment des discussions sur le taux de TVA qui était appliqué aux protections hygiéniques. Depuis, le sujet fait figure d'enjeu sociétal et politique et plusieurs associations ou organisations se battent sur le terrain à l'image de Règles Élémentaires ou des Petites Glo.
Cette dernière milite par exemple pour rendre accessible les protections hygiéniques dans les établissements scolaires français. Grâce à une campagne lancée ces derniers mois, quatre arrondissements de Paris ont déjà annoncé qu'ils "mettront des distributeurs de protections périodiques bio en libre service dans les toilettes de leurs collèges dès septembre", comme le rappelle sur Twitter la fondatrice de cette newsletter féministe destinée aux adolescentes, Rebecca Amsellem.
 
La rédaction vous recommande

https://www.rtl.fr/girls/societe/les-protections-hygieniques-seront-elles-bientot-gratuites-pour-les-plus-precaires-7797725647

Voir les commentaires

Faut-il rembourser les protections périodiques ? Le Moment Meurice

28 Mai 2019, 20:27pm

Publié par hugo

 Faut-il rembourser les protections périodiques ? Le Moment Meurice
71 067 vues
 
1,3 k
 
47
 
Partager
 
Enregistrer
 
 
 

France Inter
Ajoutée le 28 mai 2019

Abonné 381 k
 
C'est aujourd'hui la journée internationale pour briser le tabou des règles. Les menstruations restent un sujet tabou, pourtant les femmes dépensent en moyenne 23 500 euros dans leur vie en protection hygiénique. Des propositions se font de plus en plus entendre pour faire rembourser ces protections par la Sécurité Sociale. Et les Français, ils sont d'accord ?
 
Le Moment Meurice - (28 Mai 2019 - Guillaume Martin)
Retrouvez « Le Moment Meurice » dans Par Jupiter ! sur France Inter et sur https://www.franceinter.fr/emissions/...

https://www.youtube.com/watch?v=t4jae85jgJw

Voir les commentaires