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Le blog de hugo,

poemes

Le Pont Mirabeau,Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913, poesie,poemes,

6 Octobre 2015, 03:10am

Publié par hugo

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Le Pont Mirabeau


Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu’il m’en souvienne
La joie venait toujours après la peine.
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l’onde si lasse
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
L’amour s’en va comme cette eau courante
L’amour s’en va
Comme la vie est lente
Et comme l’Espérance est violente
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913

http://www.poetica.fr/?s=le+pont+mirabeau+

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El Desdichado,gerard de nerval,poesie,poeme,

6 Octobre 2015, 03:06am

Publié par hugo



El Desdichado


Je suis le Ténébreux, - le Veuf, - l’Inconsolé,
Le Prince d’Aquitaine à la Tour abolie :
Ma seule Etoile est morte, - et mon luth constellé
Porte le Soleil noir de la Mélancolie.
Dans la nuit du Tombeau, Toi qui m’as consolé,
Rends-moi le Pausilippe et la mer d’Italie,
La fleur qui plaisait tant à mon coeur désolé,
Et la treille où le Pampre à la Rose s’allie.
Suis-je Amour ou Phébus ?… Lusignan ou Biron ?
Mon front est rouge encor du baiser de la Reine ;
J’ai rêvé dans la Grotte où nage la sirène…
Et j’ai deux fois vainqueur traversé l’Achéron :
Modulant tour à tour sur la lyre d’Orphée
Les soupirs de la Sainte et les cris de la Fée.
Gérard de Nerval

http://www.poetica.fr/?s=el+desdichado

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L’Amoureuse,PAUL ELUARD,poesie,

6 Octobre 2015, 03:03am

Publié par hugo



L’Amoureuse


Elle est debout sur mes paupières
Et ses cheveux sont dans les miens,
Elle a la forme de mes mains,
Elle a la couleur de mes yeux,
Elle s’engloutit dans mon ombre
Comme une pierre sur le ciel.
Elle a toujours les yeux ouverts
Et ne me laisse pas dormir.
Ses rêves en pleine lumière
Font s’évaporer les soleils,
Me font rire, pleurer et rire,
Parler sans avoir rien à dire.
Paul Eluard

http://www.poetica.fr/poeme-858/paul-eluard-amoureuse/

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POEMES PAR BERTRAND STEFANINK,titre oublier

21 Juillet 2015, 01:12am

Publié par hugo

TITRE OUBLIER

je t oublierai amour si tu m oublies .

j ai oublier le mot amour , j ai oublier tout les mot qui sont autour de l amour et du couple

un homme qui n a pas de compagne c est une fleur qui n a pas d eau et de terre

j ai effacer de ma tete amour, couples , femmes ,enfants , car je suis un homme seul et l amour m a

oublier sur un route qui va vers couples, amours, famille ;

solitude tu me fait souffrir, je ne veux plus vivre avec toi .

je cherche l amour mais elle ma oublier ,amour ou est tu ?? que fais tu pour moi ?

vient me combler de bonheur et faire avec moi des bisou partout , que j embrasse tes collines et après..............................

COPYRIGHT C BERTRAND STEFANINK

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Arthur RIMBAUD (1854-1891) Roman,poesie,poeme

28 Mars 2015, 05:18am

Publié par hugo

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Arthur RIMBAUD (1854-1891)


Roman


I


On n'est pas sérieux, quand on a dix-sept ans.
- Un beau soir, foin des bocks et de la limonade,
Des cafés tapageurs aux lustres éclatants !
- On va sous les tilleuls verts de la promenade.


Les tilleuls sentent bon dans les bons soirs de juin !
L'air est parfois si doux, qu'on ferme la paupière ;
Le vent chargé de bruits - la ville n'est pas loin -
A des parfums de vigne et des parfums de bière...


II


- Voilà qu'on aperçoit un tout petit chiffon
D'azur sombre, encadré d'une petite branche,
Piqué d'une mauvaise étoile, qui se fond
Avec de doux frissons, petite et toute blanche...


Nuit de juin ! Dix-sept ans ! - On se laisse griser.
La sève est du champagne et vous monte à la tête...
On divague ; on se sent aux lèvres un baiser
Qui palpite là, comme une petite bête...


III


Le coeur fou robinsonne à travers les romans,
- Lorsque, dans la clarté d'un pâle réverbère,
Passe une demoiselle aux petits airs charmants,
Sous l'ombre du faux col effrayant de son père...


Et, comme elle vous trouve immensément naïf,
Tout en faisant trotter ses petites bottines,
Elle se tourne, alerte et d'un mouvement vif...
- Sur vos lèvres alors meurent les cavatines...


IV


Vous êtes amoureux. Loué jusqu'au mois d'août.
Vous êtes amoureux. - Vos sonnets La font rire.
Tous vos amis s'en vont, vous êtes mauvais goût.
- Puis l'adorée, un soir, a daigné vous écrire !...


- Ce soir-là..., - vous rentrez aux cafés éclatants,
Vous demandez des bocks ou de la limonade...
- On n'est pas sérieux, quand on a dix-sept ans
Et qu'on a des tilleuls verts sur la promenade.

http://poesie.webnet.fr/lesgrandsclassiques/poemes/arthur_rimbaud/roman.html

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 A Julie,poesie,poemes,

28 Mars 2015, 05:17am

Publié par hugo

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A Julie


On me demande, par les rues,
Pourquoi je vais bayant aux grues,
Fumant mon cigare au soleil,
A quoi se passe ma jeunesse,
Et depuis trois ans de paresse
Ce qu’ont fait mes nuits sans sommeil.
Donne-moi tes lèvres, Julie ;
Les folles nuits qui t’ont pâlie
Ont séché leur corail luisant.
Parfume-les de ton haleine ;
Donne-les-moi, mon Africaine,
Tes belles lèvres de pur sang.
Mon imprimeur crie à tue-tête
Que sa machine est toujours prête,
Et que la mienne n’en peut mais.
D’honnêtes gens, qu’un club admire,
N’ont pas dédaigné de prédire
Que je n’en reviendrai jamais.
Julie, as-tu du vin d’Espagne ?
Hier, nous battions la campagne ;
Va donc voir s’il en reste encor.
Ta bouche est brûlante, Julie ;
Inventons donc quelque folie
Qui nous perde l’âme et le corps.
On dit que ma gourme me rentre,
Que je n’ai plus rien dans le ventre,
Que je suis vide à faire peur ;
Je crois, si j’en valais la peine,
Qu’on m’enverrait à Sainte-Hélène,
Avec un cancer dans le coeur.
Allons, Julie, il faut t’attendre
A me voir quelque jour en cendre,
Comme Hercule sur son rocher.
Puisque c’est par toi que j’expire,
Ouvre ta robe, Déjanire,
Que je monte sur mon bûcher.
Alfred de Musset
Poème classé dans Alfred de Musset, Amour, Beauté, Désir.

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Louis Aragon, (1897 – 1982),poesie,poemes,histoire,histoire de france,politiques,

2 Novembre 2014, 00:59am

Publié par hugo

Louis Aragon
Louis Aragon, (1897 – 1982). Écrivain français. Vers 1940. © akg – images Louis Aragon, (1897 – 1982). Écrivain français. Vers 1940.
© akg – images
Écrivain et poète, Louis Aragon est né en 1897. Il a à peine 20 ans et poursuit des études de médecine lorsqu’il rencontre André Breton. Tous deux admirent Mallarmé, Rimbaud et Apollinaire. Parti pour le front des Ardennes en juin 1918, Aragon en revient décoré de la croix de guerre. Aragon devient l’un des chefs de file de l’avant-garde littéraire. Avec André Breton et Philippe Soupault, il crée la revue Littérature. C’est le début des années vingt. À Paris, la saison « dada » bat son plein.
1920-1938. Le procès Barrès (1921) marque la scission entre Tzara et les futurs surréalistes. Aragon publie ses premiers textes (Feu de joie, 1920 ; Anicet ou le Panorama, 1921 ; Les Aventures de Télémaque, 1922) et signe avec Breton le Premier Manifeste du surréalisme (1924). Tous deux adhèrent au parti communiste français en 1927. Aragon fait ensuite la rencontre décisive d’Elsa Kagan (séparée de son mari, André Triolet). Ensemble, ils voyagent en URSS et représentent les surréalistes lors du congrès des écrivains révolutionnaires de Kharkov (1930). Après l’affaire du poème « Front rouge », Aragon opère une mise au point dans L’Humanité qui entraînera la rupture définitive avec André Breton. Il se lance dans le militantisme, et se consacre parallèlement à l’écriture romanesque (Les Cloches de Bâle, 1934 ; Les Beaux Quartiers, 1936) et journalistique (L’Humanité, secrétaire général de la revue Commune, puis rédacteur en chef du quotidien Ce soir en 1937).
1939-1945. La déroute de la France conduit Aragon jusqu’à Périgueux. Capturé, il parvient à s’échapper, se réfugie en zone libre et rencontre Pierre Seghers (1940) et Henri Matisse (1941). Il s’engage en politique – utilisant ses romans pour illustrer le réalisme socialiste et prôner l’avènement du communisme (Aurélien, 1944 ; Les Communistes, 1949-1951) – et participe à la Résistance en créant avec Elsa Triolet le Comité national des écrivains pour la zone Sud et le journal La Drôme en armes. Il s’engage aussi par ses poèmes, publiés dans la clandestinité, dans lesquels l’amour de la femme (Les Yeux d’Elsa, 1942) rejoint l’amour de la patrie (« Le Musée Grévin », 1943 ; « La Rose et le Réséda », 1944).
1945-1982. Aragon reste fidèle à la ligne générale du Parti, et fonde Les Lettres françaises. Anéanti par la disparition d’Elsa Triolet (juin 1970), il décide de léguer au CNRS ses archives personnelles ainsi que celles d’Elsa. Il meurt le 24 décembre 1982.
Louis Aragon laisse une œuvre considérable qui explore les ressorts classiques ou novateurs, lyriques ou politiques, de l’écriture romanesque et poétique.
« La Rose et le Réséda »
Lire le poèmePistes pédagogiquesPour aller plus loin
« J’écris dans un pays dévasté par la peste »
Lire le poèmePistes pédagogiquesPour aller plus loin
« Je vous salue ma France »
Lire le poèmePistes pédagogiquesPour aller plus loin
« Strophes pour se souvenir »

http://www.cndp.fr/poetes-en-resistance/poetes/louis-aragon/

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Paul Eluard, (1895 – 1952),poesie,poemes,histoire,histoire de france,politique,

2 Novembre 2014, 00:29am

Publié par hugo

Paul Éluard
Paul Eluard, (1895 – 1952). 1945.
49, avenue d’Iéna. 75016 Paris.
Droits : Etat
Grindel Eugène, Eluard Paul (dit). (C) Grindel-Boaretto Cécile
(C) Ministère de la Culture – Médiathèque de l’Architecture et du Patrimoine.
Dist. RMN / Studio Harcourt Paul Eluard, (1895 – 1952). 1945.
49, avenue d’Iéna. 75016 Paris.
Droits : Etat
Grindel Eugène, Eluard Paul (dit). (C) Grindel-Boaretto Cécile
(C) Ministère de la Culture – Médiathèque de l’Architecture et du Patrimoine.
Dist. RMN / Studio Harcourt
Paul Éluard naît en 1895 sous le nom d’Eugène Grindel, à Saint-Denis dans la banlieue parisienne. Atteint de tuberculose, il se fait hospitaliser en Suisse en 1912 : il découvre alors la poésie, commence à écrire et rencontre l’amour en la personne de Gala, une jeune Russe qu’il épousera en 1917. Mobilisé entre-temps en 1914, il part sur le front avant d’être éloigné des combats en raison d’une bronchite aiguë. Cette expérience de la guerre et de ses champs de bataille le traumatise et lui inspire Poèmes pour la Paix (publiés en 1918). Repéré alors par Jean Paulhan, il rencontre l’avant-garde littéraire et artistique de l’époque qu’il rejoint : Breton, Aragon, Soupault, De Chirico, Dali, Picasso et Max Ernst. Il adhère à l’idée dadaïste de renouveler la langue puis, en octobre 1924, signe avec son ami André Breton le Manifeste du surréalisme. Ses problèmes de santé, ses difficultés conjugales et ses souffrances sentimentales inspireront sa poésie surréaliste, lyrique et sensible – Capitale de la douleur (1926) ; L’Amour, la Poésie (1929) ; La Vie immédiate (1932) ; Les Yeux fertiles (1936). Libre en amour comme en poésie, il sera très affecté par le départ de Gala, qui le quitte en 1929 pour vivre avec Dali. Il retrouvera le bonheur avec Maria Benz, surnommée Nusch, qu’il épousera en 1944. Le 1er septembre 1939, Paul Éluard est mobilisé dans le Loiret comme lieutenant dans l’Intendance. Il intervient auprès du président de la République pour faire libérer le peintre Max Ernst, interné comme « ressortissant allemand ». Démobilisé après l’armistice de 1940, l’exode l’entraîne dans le Tarn, puis il revient à Paris auprès de son épouse. Entré dans la Résistance en 1942, il rencontre le fondateur des Éditions de Minuit, Pierre de Lescure, avec qui il collabore. Le recueil Poésie et Vérité (1942), publié semi-clandestinement, sans visa de censure, rassemble des poèmes s’élevant nettement contre le nazisme et la collaboration, dont le plus célèbre, « Liberté », traduit en dix langues, fut parachuté par la Royal Air Force sur les contrées occupées. Paul Éluard y expose son « but poursuivi : retrouver, pour nuire à l’occupant, la liberté d’expression ». Il continue le combat armé d’une plume : il écrit Sept Poèmes d’amour en guerre (1943) et publie Au rendez-vous allemand (1945), composé de poèmes écrits dans la clandestinité, sous les pseudonymes de Jean du Haut ou de Maurice Hervent.
Après la guerre, le poète produit des Poèmes politiques (1948) et mêle continûment simplicité de la langue et force des images (Poésie ininterrompue I, 1946 ; Corps mémorable, 1947 ; Poésie ininterrompue II, 1953, recueil posthume). Paul Éluard reste un poète empreint de fièvre révolutionnaire, d’aspiration humaniste.
« Liberté »
Lire le poèmePistes pédagogiquesPour aller plus loin
« Gabriel Péri »

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« Ce cœur qui haïssait la guerre… »,histoire,histoire de france,poesie,poemes,politique,

1 Novembre 2014, 22:57pm

Publié par hugo

Poètes


« Ce cœur qui haïssait la guerre… »
Ce cœur qui haïssait la guerre voilà qu’il bat pour le combat et la bataille !
Ce cœur qui ne battait qu’au rythme des marées, à celui des saisons, à celui des heures du jour et de la nuit,
Voilà qu’il se gonfle et qu’il envoie dans les veines un sang brûlant de salpêtre et de haine.
Et qu’il mène un tel bruit dans la cervelle que les oreilles en sifflent,
Et qu’il n’est pas possible que ce bruit ne se répande pas dans la ville et la campagne,
Comme le son d’une cloche appelant à l’émeute et au combat.
Écoutez, je l’entends qui me revient renvoyé par les échos.
Mais non, c’est le bruit d’autres cœurs, de millions d’autres cœurs battant comme le mien à travers la France.
Ils battent au même rythme pour la même besogne tous ces cœurs,
Leur bruit est celui de la mer à l’assaut des falaises
Et tout ce sang porte dans des millions de cervelles un même mot d’ordre :
Révolte contre Hitler et mort à ses partisans !
Pourtant ce cœur haïssait la guerre et battait au rythme des saisons,
Mais un seul mot : Liberté a suffi à réveiller les vieilles colères
Et des millions de Français se préparent dans l’ombre à la besogne que l’aube proche leur imposera.
Car ces cœurs qui haïssaient la guerre battaient pour la liberté au rythme même des saisons et des marées,
du jour et de la nuit.
Robert Desnos, 1943 (paru dans L’Honneur des poètes)
Repris dans Robert Desnos, Destinée arbitraire, Paris, Gallimard, 1975
© Éditions Gallimard
« Tous les droits d’auteur de ce texte sont réservés. Sauf autorisation, toute utilisation de celui-ci autre que la consultation individuelle et privée est interdite »
www.gallimard.fr
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Robert Desnos adapté en dessin animé sur France 3,poesie,poeme

1 Novembre 2014, 22:21pm

Publié par hugo

Robert Desnos adapté en dessin animé sur France 3
Tags : Robert Desnos, France 3, Ludo
Par Céline Fontana
Publié le 01/11/2014 à 16:56 Réagir

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Robert Desnos adapté en dessin animé sur France 3D.R.
Après le succès d'En sortant de l'école, consacré à Jacques Prévert, France 3 récidive.
Treize textes de Robert Desnos vont à leur tour prendre vie au gré de courts métrages d'animation de trois minutes environ. Couplet de la rue de Bagnolet, Le Zèbre ou Le Salsifis du Bengale proposent autant d'approches inventives, sélectionnées avec soin parmi une centaine de projets.


«Le but est de permettre d'accéder autrement à la poésie, souligne Delphine Maury, productrice (Tant Mieux Prod). Mais aussi de mettre à l'honneur de jeunes réalisateurs sortant d'écoles françaises, de leur offrir une carte de visite dans leur univers graphique.» La première saison, primée via Tant de forêts au Festival international du film d'animation d'Annecy, est sortie en salle début octobre. La seconde, réalisée par le studio 2 Minutes à Angoulême, sera diffusée au printemps 2015, dans Ludo, sur France 3, sous le même intitulé. Des comédiens, à l'instar de Jacques Gamblin, lui prêtent leur voix.






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