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Le blog de hugo,

poemes

Heine. Le Phénix,poesie,poemes,

11 Février 2016, 00:19am

Publié par hugo

Heine. Le Phénix
26
Dimanche
Apr 2015
Posted by Claire in Claire Placial, Heinrich Heine ≈ Poster un commentaire



Le Phénix


Voilà un oiseau, il vient volant de l’ouest,
Il vole vers l’est,
Vers l’Orient, patrie des jardins
Où embaument et croissent les épices,
Et où les palmes bruissent et les puits rafraîchissent –
Et en volant le merveilleux oiseau chante:


« Elle l’aime ! Elle l’aime !
Elle porte son portrait dans son petit cœur,
Et le porte gentiment, secrètement dissimulé,
Et lui-même n’en sait rien !
Mais quand elle rêve il se tient devant elle,
Elle prie et pleure et baise ses mains
Et crie son nom,
Et d’avoir crié elle se réveille et git effrayée,
Et frotte étonnée ses beaux yeux –
Elle l’aime, elle l’aime ! »


*


Debout adossé au mat, sur le pont supérieur,
J’étais là, à écouter le chant de l’oiseau.
Comme des chevaux noir-vert aux crinières d’argent,
Bondissaient les vagues aux blanches boucles,
Comme une procession de cygnes voguaient à notre rencontre,
Leurs voiles scintillantes, les habitants de Helgoland,
Ces hardis nomades de la mer du Nord ;
Au dessus de moi, dans le bleu éternel,
Papillonnaient de blancs nuages
Et resplendissait le soleil éternel,
Cette rose du ciel, aux pétales de feu,
Qui joyeuse se reflétait dans la mer ; –
Et le ciel et la mer et mon propre cœur
Chantèrent en écho :
« Elle l’aime ! elle l’aime ! »


Traduit par Claire Placial


https://lefestindebabel.wordpress.com/2015/04/26/heine-le-phenix/#comment-555

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Nouveaux poèmes,HEINE,poemes,poesie,

9 Février 2016, 21:31pm

Publié par hugo

SI TUAS DE BONS YEUX

ET REGARDES MES CHANSONS,

TU Y VERRAS UNE JEUNE BELLE

S Y PROMENER DE-CI DE-LA

--------------------------------------------------------------

SI TU AS DE BONNE OREILLES

TU POURRAS MEME ENTENDRE SA VOIX

ET SES SOUPIRS ,rites et chants

envouteront ton pauvre coeur .

---------------------------------------------------------------------------------------

CAR AVEC SON REGARD ET SES MOTS,

ELLE va comme moi te troubler ;

ET,reveur printanier amoureux

TU vas dans les bois divaguer .

http://livre.fnac.com/a4217/Heinrich-Heine-Nouveaux-poemes

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NOUVEAU PRINTEMPS,HEINE , poemes,poesie,

9 Février 2016, 21:16pm

Publié par hugo

AVEC TES YEUX BLEUS

TU ME REGARDES AIMABLEMENT ,

JE NE METS ALORS SI FORT A RÊVER.

ET A TES YEUX BLEUS

JE NE CESSE DE PENSER

UNE MER DE PENSÉES BLEUES

SE DÉVERSE SUR MON COEUR

TROUVER SUR LA REFERENCE EN DESSOUS

Nouveaux poèmes
Heinrich Heine (Auteur) - Anne-Sophie Astrup (Auteur) - Jean Guégan (Auteur) - Paru en février 1998 -

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Heine, Adam premier,poemes poesie,

9 Février 2016, 21:13pm

Publié par hugo

Heine, Adam premier
04
Vendredi
May 2012
Posted by Claire in Claire Placial, Heinrich Heine, Poésie ≈ Poster un commentaire
Chantier de traduction : autour de H. Heine


Adam der erste est publié en 1844, dans le recueil Neue Gedichte (Nouveaux poèmes). Depuis douze ans Heine vit en exil à Paris. L’intertexte biblique est évident ; cette énième relecture de la chute et de l’expulsion du paradis est sans doute à comprendre, entre autres, dans la perspective de l’exil du poète, dû aussi bien à la censure subie par le poète, qu’à sa condition difficile de Juif converti au protestantisme, le baptême n’ayant pas pour autant permis à Heine d’accéder à une pleine intégration dans la société allemande.


Adam premier


Tu as envoyé, avec l’épée de flamme,
Le gendarme céleste
Et tu me chasses du paradis,
Sans justice et sans pitié !


Je m’en vais, avec ma femme
Vers d’autres pays terrestres ;
Mais, que j’aie goûté au fruit de la connaissance,
Tu ne peux plus rien y faire.


Tu ne peux plus rien y faire, si je sais
Combien tu es petit et nul,
Et à quel point tu te donnes de l’importance
Grâce à la mort et au tonnerre.


Oh Dieu ! comme il est infâme, ce
Consilium abeundi !
Voilà ce que j’appelle un magnificus
du monde et un lumen mundi !


Ils ne me manqueront jamais
Les espaces paradisiaques ;
Ce n’était pas un vrai paradis –
On y trouvait des arbres interdits.


Je veux jouir d’un plein droit à la liberté !
Si j’y trouve la plus petite limite,
Le paradis pour moi se transforme
En enfer et en prison.


Traduit par Claire Placial





Adam der erste


Du schicktest mit dem Flammenschwert
Den himmlischen Gendarmen,
Und jagst mich aus dem Paradies,
Ganz ohne Recht und Erbarmen!


Ich ziehe fort mit meiner Frau
Nach andren Erdenländern;
doch daß ich genossen des Wissens Frucht,
Das kannst du nicht mehr ändern.


Du kannst nicht ändern, daß ich weiß
Wie sehr du klein und nichtig,
Und machst du dich auch noch so sehr
Durch Tod und Donnern wichtig.


O Gott! wie erbärmlich ist doch dies
Consilium-abeundi!
Das nenne ich einen Magnifikus
Der Welt, ein Lumen-Mundi!


Vermissen werde ich nimmermehr
Die paradiesischen Räume;
Das war kein wahres Paradies –
Es gab dort verbotene Bäume.


Ich will mein volles Freiheitsrecht!
Find ich die g’ringste Beschränknis,
Verwandelt sich mir das Paradies
In Hölle und Gefängnis.

https://lefestindebabel.wordpress.com/2012/05/04/heine-adam-premier/

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Heine, Déclaration,poemes,poesie,

9 Février 2016, 21:11pm

Publié par hugo

Heine, Déclaration
20
Dimanche
Apr 2014
Posted by Claire in Claire Placial, Heinrich Heine, Poésie ≈ 1 Commentaire
VI.


Déclaration


Le soir venait crépusculaire,
Le flot s’enrageait plus sauvage,
Et j’étais assis sur la plage, et regardais
La blanche danse des vagues,
Et ma poitrine enflait comme la mer,
Et lancinante me prit une profonde nostalgie
De toi, oh chère image,
Qui partout m’environne,
Et partout m’appelle,
Partout, partout,
Dans le vent mugissant, dans la mer rugissante,
Et dans le soupir de ma propre poitrine.


Avec un faible roseau j’écrivis dans le sable :
« Agnes, je t’aime ! »
Mais les viles vagues se déversèrent
Sur le doux aveu,
Et l’effacèrent.


Roseau qui se brise, sable qui s’envole,
Vagues qui s’écoulent, je ne me fierai plus à vous !
Le ciel se fait plus sombre, mon cœur plus sauvage,
Et d’une main forte, dans les forêts de Norvège,
J’arrache le plus haut sapin,
Et je le plonge
Dans l’abîme brûlant de l’Etna, et avec cette
Plume de géant abreuvée de feu
J’écris sur l’obscure voûte céleste :
« Agnes, je t’aime ! »


Désormais flamboie chaque nuit
Là-haut l’éternelle écriture enflammée,
Et les générations renouvelées
Lisent jubilantes les célestes paroles :
« Agnes, je t’aime ! »


Traduit par Claire Placial, 2014





VI.


Erklärung


Herangedämmert kam der Abend,
Wilder toste die Flut,
Und ich saß am Strand, und schaute zu
Dem weißen Tanz der Wellen,
Und meine Brust schwoll auf wie das Meer,
Und sehnend ergriff mich ein tiefes Heimweh
Nach dir, du holdes Bild,
Das überall mich umschwebt,
Und überall mich ruft,
Überall, überall,
Im Sausen des Windes, im Brausen des Meers,
Und im Seufzen der eigenen Brust.


Mit leichtem Rohr schrieb ich in den Sand:
« Agnes, ich liebe dich! »
Doch böse Wellen ergossen sich
Über das süße Bekenntnis,
Und löschten es aus.


Zerbrechliches Rohr, zerstiebender Sand,
Zerfließende Wellen, euch trau ich nicht mehr!
Der Himmel wird dunkler, mein Herz wird wilder,
Und mit starker Hand, aus Norwegs Wäldern,
Reiß ich die höchste Tanne,
Und tauche sie ein
In des Ätnas glühenden Schlund, und mit solcher
Feuergetränkten Riesenfeder
Schreib ich an die dunkle Himmelsdecke:
« Agnes, ich liebe dich! »


Jedwede Nacht lodert alsdann
Dort oben die ewige Flammenschrift,
Und alle nachwachsende Enkelgeschlechter
Lesen jauchzend die Himmelsworte:
« Agnes, ich liebe dich! »

https://lefestindebabel.wordpress.com/2014/04/20/heine-declaration/

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Heine, Hommage,poesie,poemes,

9 Février 2016, 12:05pm

Publié par hugo

BIENVENUE
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Heine, Hommage
16
Mercredi
Apr 2014
Posted by Claire in Claire Placial, Heinrich Heine, Poésie, Uncategorized ≈ Poster un commentaire
I.


Hommage


Vous, mes chants ! Vous mes bons chants !
Debout, debout ! En garde !
Faites sonner les trompettes,
Et hissez-moi l’étendard
De la jeune fille
Qui désormais régnera
Sur tout mon cœur, en reine.


Salut à toi ! ô jeune reine !


Au soleil là-haut
J’arrache l’or rouge rayonnant,
Et j’en tisse un diadème
Pour ta tête consacrée.
Dans la soie bleue volatile de la voûte céleste,
Où étincellent les diamants de la nuit,
Je te taille un précieux habit,
Et le dépose, comme manteau de couronnement,
Sur tes épaules royales.
Je te donne une cour
De sonnets tirés à quatre épingles,
De fiers tercets et de strophes courtisanes ;
Le coureur à ton service : mon esprit,
Le fou : ma fantaisie,
Le héraut, la larme riant dans les armoiries,
À ton service : mon humour.
Mais moi-même, ô reine,
Je m’agenouille devant toi,
Et en hommage, sur un coussin de velours rouge,
Je te remets
Le peu de raison
Que, par pitié, m’a laissé encore
Celle qui t’a précédée dans le royaume.


Traduit par ©Claire Placial, 2014





I.


Huldigung


Ihr Lieder! Ihr meine guten Lieder!
Auf, auf! und wappnet euch!
Laßt die Trompeten klingen,
Und hebt mir auf den Schild
Dies junge Mädchen,
Das jetzt mein ganzes Herz
Beherrschen soll, als Königinn.


Heil dir! du junge Königinn!


Von der Sonne droben
Reiß ich das strahlend rothe Gold,
Und webe draus ein Diadem
Für dein geweihtes Haupt.
Von der flatternd blauseid’nen Himmelsdecke,
Worin die Nachtdiamanten blitzen,
Schneid’ ich ein kostbar Stück,
Und häng es dir, als Krönungsmantel,
Um deine königliche Schulter.
Ich gebe dir einen Hofstaat
Von steifgeputzten Sonetten,
Stolzen Terzinen und höflichen Stanzen;
Als Läufer diene dir mein Witz,
Als Hofnarr meine Phantasie,
Als Herold, die lachende Träne im Wappen,
Diene dir mein Humor.
Aber ich selber, Königinn,
Ich kniee vor dir nieder,
Und huld’gend, auf rothem Sammetkissen,
Ueberreiche ich dir
Das bißchen Verstand,
Das mir, aus Mitleid, noch gelassen hat
Deine Vorgängerinn im Reich.


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Heinrich Heine,poeme,poesie,

9 Février 2016, 11:50am

Publié par hugo

Heinrich Heine
DU POÈTE ROMANTIQUE À L’ÉCRIVAIN VISIONNAIRE




Le 17 février 1856, Heinrich Heine, l’un des grands auteurs allemands du XIXe siècle, meurt à Paris. Il fut poète, polémiste, défenseur de la liberté de pensée, pionnier du rapprochement franco-allemand…


“Thema” nous parle d’un homme au regard et à l’engagement étonnamment actuels.




22h10 Film
Quand je pense à l’Allemagne, la nuit
(Denk ich an Deutschland in der Nacht)


Film de Gordian Maugg (Allemagne, 2005, 1h, VF)
Scénario : Alexander Häusser et Gordian Maugg
Avec : Rüdiger Vogler (Heine vieux), Fabian Busch (Heine jeune),
Katharina Wackernagel (son épouse Mathilde), Peter Wolf
(Gustav, frère de Heine), Rafael Mayer (l’éditeur Julius Campe)
Image : Lutz Reitemeier
Production : Katarina M. Trebitsch


Cloué au lit par la maladie, Heine parle avec ses proches et se souvient… Une évocation de sa vie avec l’acteur Rüdiger Vogler.


Heinrich Heine passe les huit dernières années de sa vie paralysé sur un lit de douleur, dans une mansarde minable de la rue d’Amsterdam, à Paris. Le grand poète, le nomade romantique, l’éternel amoureux, est devenu grabataire. Même prisonnier de ce qu’il appelle son “matelastombeau”, il continue de prôner la liberté. Son esprit reste vif et acéré. Il s’entretient avec son frère Gustav, son ami et éditeur Campe, son épouse Mathilde, la mulâtresse qui le soigne. Ces séquences dans la mansarde tissent le fil conducteur du film de Gordian Maugg et alternent avec des scènes où le poète rêve et se souvient.


De son enfance et de sa jeunesse à Düsseldorf, alors occupée par les troupes de Napoléon ; de son isolement en tant que juif qui le marquera à vie ; de ses premiers engagements politiques. Déjà opposé à tout nationalisme réducteur, il se pose en citoyen du monde. Il a des démêlés avec les autorités. En quête d’une identité allemande, il arpente le Harz. Les écrits qu’il en rapporte lui valent son premier succès littéraire. Si Heine croit enfin trouver la paix en se convertissant, en 1825, au protestantisme, il n’en est rien. Ses détracteurs sont de plus en plus féroces, ses oeuvres sont mutilées par la censure.


En 1931, il émigre à Paris, qu’il découvre avec enthousiasme. Il y rencontre sa future femme, Eugénie, qu’il rebaptise Mathilde. En 1843, Heine se rend clandestinement en Allemagne pour voir sa mère. Il trouve détestable la situation de son pays, qu’il décrira dans le magnifique Wintermärchen (Conte d’hiver). Il établit des relations chaleureuses avec Karl Marx, dont il apprécie les idées. Ironie du sort, c’est en 1848, alors que la révolution gronde dans les rues de Paris, que Heine est terrassé par la myopathie qui le clouera au lit pour huit ans.


Rüdiger Vogler - Acteur fétiche de Wim Wenders à ses débuts, Rüdiger Vogler a joué dans plus de cent vingts films et téléfilms. Il campe magistralement un Heinrich Heine malade mais en pleine possession de ses moyens, amoureux de la vie malgré sa souffrance.


Gordian Maugg - Gordian Maugg, 39 ans, réalisateur de cinéma, a un goût marqué pour les sujets historiques. Il mêle avec talent fiction poétique et scènes d’une rigueur toute documentaire, comme dans son dernier film, Zeppelin, coproduit par ARTE.




23.15
Nous avons partagé leurs rêves
Heine et son temps


Documentaire de David Wittenberg (Allemagne, 2005, 53mn)
WDR


Heinrich Heine hier et aujourd’hui, en Allemagne et en France : portrait d’un homme engagé. Nous dirions aujourd’hui qu’il défend les droits de l’homme et agit en citoyen engagé. Il n’était pas courant, dans la première moitié du XIXe siècle, de militer contre le racisme, l’antisémitisme et le nationalisme, de dénoncer les intégrismes, de plaider pour la démocratie. Et de traduire ensuite ses observations et ses engagements dans des phrases percutantes. Heine s’intéresse aussi à l’économie, à la révolution industrielle, au prolétariat. Il rêve d’une véritable liberté de presse et d’expression. Celui qui aura toute sa vie du mal à assumer son identité d’Allemand et de juif devientvisionnaire lorsqu’il s’agit d’imaginer l’avenir de la patrie qui l’a rejeté : “Là où l’on brûle les livres, on finit par brûler les hommes.” (Almansor, 1821)


Quand il n’évoque pas ses semblables, il décrit la nature. À l’aise dans la prose comme dans la poésie, il connaît parfaitement les livres des autres, auxquels il consacre divers essais. Heine est un romantique qui a su se détacher du romantisme pour entrer dans son siècle et capter l’esprit de son temps, avec une imagination et un humour qui lui sont propres.




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Edité le : 14-02-06
Dernière mise à jour le : 26-05-14

http://www.arte.tv/fr/heinrich-heine/1118474,CmC=1118468.html

Heinrich Heine
Là où on brûle des livres, on finit par brûler des hommes.

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SANS TOI JE NE SUIS RIEN ,poesie,poeme,

30 Décembre 2015, 03:48am

Publié par hugo

amours,
amours,

SANS TOI JE NE SUIS RIEN


MA SOLITUDE ME GLACE ,cela me ferait du bien de te voir.


je te sent loin de moi ,VIENS ME RECHAUFFER LE COEUR et je réchaufferait le tient.
Je te ferait oublier le passe et les ex .


Je te ferait oublier le passe et te tiendrai la main pour avancer jusqu'a a demain, demain et après demain et toujours avec toi .


TOI QUI SERA LA COMPAGNE ET LA MERE AVEC QUI J AURAI ENVIE D AVANCER MAIN DANS MA MAIN POUR TOUT LES DEMAINS A PARTIR D AUJOURD HUIS ET POUR LA VIE.


COPYRIGHT@BERTRAND STEFANINK

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POEMES DE BERTRAND STEFANINK,poesie,poemes,

20 Décembre 2015, 05:40am

Publié par hugo

AMOUR ET VIE
TOUS LES SOIRS JE PENSE A TOI , tous les soirs tu viens et tu repart au matin sans t avoir vu, sans t avoir senti .
JE VOUDRAIS caresser tes petites montagnes avec mes mains avec ma langue et mettre ma langue entre tes montagnes et descendre jusqu'a la rivière de vie .
DIS MOI OU ES TU ,,???,
DIS MOI QUAND EST CE QUE TU ME PRENDRAS DANS TES BRAS????


COPYRIGHT@BERTRAND STEFANINK

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DOULEURS ET AMOURS, POESIE DE BERTRAND STEFANINK

18 Décembre 2015, 04:45am

Publié par hugo

DOULEURS ET AMOURS
AMOUR, je n ai plus d aile , mon coeur est rempli d eau
mon coeur pleure de ne pas etre avec une autres coeur
amour mon coeur a froid
il a faim d amour , IL CHERCHE TON COEUR MAIS IL A MAL DE NE PAS LE TROUVER
mon coeur a envie de partager son coeur avec toi
le poète pleure que tu ne sois pas la
aime le poète qui a écrit ce poème
donne moi moi un bout de ton coeur et je te donnerai un bout de mon coeur
fais de moi un copain, un mari ......................
JE SUIS UN FANTOME POUR LES FEMMES FAIT DE MOI QUELQUN DE REEL , un homme réel


COPYRIGHT@ BERTRAND STEFANINK@

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