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Paje : elle facilite peu le retour à l'emploi des mères
Paje : elle facilite peu le retour à l'emploi des mères La Paje a eu une influence assez modeste sur le retour à l'emploi des mères 21/07/2014
Une étude de l’Insee démontre que la mise en place de la Prestation d’accueil du jeune enfant (Paje), en 2004, a eu une influence plutôt modeste sur le retour à l’emploi des mères.
La prestation d'accueil du jeune enfant (Paje) a été instaurée en 2004. Elle comprend notamment un complément de libre choix du mode de garde, une aide financière pour faire garder ses enfants. Cette aide, qui s'est mise en place progressivement, devait favoriser le retour à l'emploi des mères après la naissance d'un ou plusieurs enfants. Selon une étude de l'Insee, basée sur les données des déclarations fiscales des familles, cette prestation a permis, en moyenne, une augmentation de 1,1 point du taux d'activité des femmes dont le plus jeune enfant est âgé de 2 ans. Cette hausse est relativement modeste. « Cette modestie des effets s’explique peut-être par le fait que le recours à une garde payante reste contraint par la disponibilité d’un tel mode de garde et que les places disponibles restent très en-deçà du nombre d’enfants d’âge préscolaire », analyse l’Insee. A noter que la taille de la famille joue sur la reprise ou non de l’activité. L’étude souligne ainsi que « le dispositif de la Paje n’a pas d’effet sur le taux d’activité des mères d’un seul enfant. » Par contre, dans les familles de deux enfants ou plus, il a permis d’augmenter de 1,6 point le taux d’activité des mères. Une reprise d’activité, toutefois, bien souvent partielle. Du côté des papas, la mise en place de la Paje n’a pas eu d’effet. Aussi, 94 % des pères de familles nombreuses continuent à travailler, sans influence sur leur carrière et ce quel que soit l’âge du plus jeune enfant.
Source : Insee
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8 raisons de Sciences-Fort Pourquoi papas méritent plus de crédit
Posté le: 11/07/2014 12:50 HAE Mise à jour: 11/07/2014 24:59 HAE Imprimer l'article DADS CRÉDIT
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Oui, les papas sont plus impliqués dans la vie de leurs enfants que jamais. Mais cela ne signifie pas qu'ils ne sont pas encore le bout de presque chaque blague parentales.


Il suffit de penser 2012 Huggies annonce affirmant que les couches de la marque sont le nec plus ultra "Papa Test" - une plaisanterie qui a atterri à plat, comme un jeu a incité l'entreprise à langer à tirer de la campagne de Facebook. Ensuite, bien sûr, il n'y avait que 2007 Verizon annonce , qui a été interdit pour représenter un autre malheureux "Tout le monde aime Raymond"-type de père. Spectacles comme Lifetime "mauvais payeurs papas" et de Fox "Bad Dads" ont également soulevé plus de quelques sourcils . Sentant un thème ici?


Avec un nombre toujours croissant de familles à double revenu et les ménages où la femme est le principal soutien de famille , les rôles des pères se déplacent, même si la perception du public n'a pas encore, Matthew Weinshenker , professeur adjoint de sociologie à l'Université Fordham, dit Le Huffington Post. (C'est-à-rien de la façon dont un nombre croissant de couples de même sexe sont en train de redéfinir ce que signifie être une «mère» ou un dire «père». Ces couples poussent les rôles de genre traditionnels dernières et élargir la gamme des relations que les enfants peuvent avoir avec leurs parents - et leurs enfants sont en passe très bien , la recherche montre).


Heureusement, un nombre croissant de recherches scientifiques est là pour sauvegarder ces papas, pauvres fréquentés. Voici huit choses que la science nous a appris sur la relation père-enfant qui pourrait vous convaincre d'aller au-delà du "père maladroit" stéréotype.


Playtime est important, et les papas ont couvert.


Des études ont régulièrement montré que la façon la plus commune pour les pères d'interagir avec leurs enfants est dans le contexte du jeu . Mères, d'autre part, ont tendance à prendre plus de la planification et de l'organisation qui entrent dans la prestation de soins.


La façon dont les papas interagissent avec les enfants les encourage à prendre des risques.


Le jeu a été montré pour aider à enseigner aux enfants comment contrôler leur corps ainsi que leurs émotions , de les encourager à prendre des risques et être plus ambitieux sur le long terme. Même la façon dont les pères tiennent leurs enfants fait une différence. Melanie Corne Mallers, professeur associé à la California State University, Fullerton, a déclaré à The Huffington Post que les papas ont tendance à retenir leurs enfants sur le monde, tandis que les mères ont tendance à tenir leurs enfants dans, en face d'eux. Cette différence subtile est en fait une manière dont les pères encouragent leurs enfants à prendre des risques, Mallers dit, ce qui peut leur être utile plus tard dans la vie en termes de leur capacité à s'engager avec leur environnement, se sentir confiant, résoudre des problèmes et faire face au stress.


Selon Mallers, les mères sont plus susceptibles de donner à leurs enfants un sentiment qu'ils sont en sécurité et protégé du monde. Alors que les papas peuvent aussi transmettre ce sens, ils sont beaucoup plus susceptibles de communiquer que, comme Mallers dit, "Oui, le monde est en sécurité, maintenant et aller l'explorer."


papa fixation gosse


Playtime avec les papas peut réellement aider les enfants à établir des relations solides plus tard dans la vie.


Le lien entre le père et l'enfant peut influer sur la capacité de l'enfant à établir des relations étroites avec d'autres personnes plus tard dans la vie. Une étude publiée en 2002 a conclu que «les adolescents de fixation des représentations ont été prédites par les pères de jeu la sensibilité», qui signifie la capacité d'un père pour savoir quand pour contester un enfant et quand faire marche arrière pendant les récréations. Essentiellement, ce jeu rough-and-tumble est temps de qualité entre un père et son enfant, et il ne doit pas être sous-évalué.


Le rejet de père pourrait blesser un enfant encore plus que le rejet d'une mère.


Ronald Rohner a étudié les relations père-enfant depuis les années 1960. "Comme la plupart des Américains, j'ai commencé il ya 50 ans pensent, 'OK, bien sûr, les pères sont là et ils sont importants à certains égards, mais l'un est vraiment important maman," Rohner, directeur exécutif de l'Ronald et Nancy Rohner Centre pour l'étude de interpersonnelle acceptation et le rejet, dit The Huffington Post.


Au cours de ses recherches, Rohner a fait la découverte surprenante que l'amour d'un père contribue souvent au développement de la personnalité de l'enfant plus que celle d'une mère . Plus précisément, le rejet d'un père peut amener un enfant à développer des problèmes de comportement, et les sentiments résultant de l'insécurité, d'anxiété et d'hostilité peut conduire, à terme, d'abus ou de toxicomanie de l'alcool. Rejet par un père peut également nuire à la capacité à long terme d'un enfant à établir des relations de confiance.


Rohner note qu'il ya toujours des exceptions, et que, dans certains cas, il regarda, l'influence des deux parents était à peu près égale, ou l'amour d'une mère est le facteur plus indicatif du développement de l'enfant. Mais la tendance lourde qu'il a trouvé était que les papas ont tendance à exercer le plus d'influence quand il s'agit de rejet.


Mauvaises relations père-enfant peuvent rendre les enfants plus stressés dans le long terme.


Rohner n'est pas le seul qui a trouvé que l'amour d'un père perçue (ou son absence) a du punch développement. Dans une étude 2012 de 912 hommes et femmes, Mallers trouvé que les fils qui ont déclaré de bonnes relations avec leurs pères étaient mieux à gérer le stress que les garçons qui n'ont pas perçu leur relation d'enfance avec leur père à être forte. Mallers dit ce cravates aussi de retour à temps de jeu avec les pères, qui aide les enfants à développer des compétences de résolution de problèmes et gardez le calme en cas de difficultés.


père


Fondamentalement, le temps passé avec les pères questions.


Bien que différentes études ont abouti à des conclusions différentes, les résultats font ressortir la livraison clé: Passer du temps avec le papa peut améliorer la capacité de l'enfant à communiquer avec les autres d'une manière positive. Richard Koestner, psychologue à l'Université McGill, a étudié les résultats de la recherche longitudinale menée à l'Université de Yale dans les années 1950 et a conclu que le moins de temps passé avec un père d'un enfant, le moins que l'enfant était capable de ressentir de l'empathie .


"Nous avons été surpris de constater que la façon dont les parents étaient affectueux avec leurs enfants fait aucune différence dans l'empathie," Koestner dit le New York Times en 1990 . "Et nous étions étonnés de la force de l'influence du père après 25 ans."


Il est intéressant de noter, cependant, que Rohner n'a pas trouvé que cela soit vrai dans sa recherche. Il dit que c'est la qualité du temps, et pas seulement la quantité, qui compte quand il s'agit d'enfants connaissant leurs pères affectueux ou non. Mais, si vous le trancher, les enfants bénéficient de temps face-à-face avec les papas.


Papas obligations avec leurs enfants grâce à la «hormone de l'amour."


Hormone de poussée d'une mère et de liaison de la fixation ultérieure à la naissance d'un nouveau bébé est un concept bien connu. Mais les papas libèrent beaucoup d'hormones, trop.


Des études ont suggéré que les nouveaux pères ont augmenté les niveaux d'ocytocine , alias le «hormone de l'amour», pendant les premières semaines d'un nouveau-né. L'ocytocine permet aux nouveaux papas à se lier avec leurs bébés, ce qui rend plus probable qu'ils s'engagent dans ce temps de jeu très importante. En fait, la poussée d'hormones Lovey Dovey dans pères est pensé pour être provoqué par lui-même la parentalité - «jeter le bébé en l'air, en tirant le petit pour s'asseoir, ou encourager l'exploration et le rire», selon une science en direct rapport d'une étude de 2010 menée par la psychologue Ruth Feldman de l'Université Bar-Ilan.


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En fait, les nouveaux papas éprouvent toutes sortes de fluctuations hormonales importants.


Pères présentent sur ​​un plongeon de 30 pour cent de la testostérone pendant les trois premières semaines de leur nourrisson, permettant aux papas à libérer leur nourricière intérieure et écrasent tout comportement agressif. De plus, en attendant leurs bébés à naître, les pères éprouvent un pic de cortisol , «l'hormone du stress" qui invite également l'attachement, et la prolactine , l'hormone qui provoque même les mères de produire du lait.


Puisque les hommes ne produisent pas des hormones pour aider à créer un bébé, Mallers émet l'hypothèse que le stress d'un nouvel enfant provoque de nombreux nouveaux papas à l'expérience de ces fluctuations.


En bref, ne pas sous-estimer l'importance des pères.


Au milieu des changements sociaux et culturels de ces dernières décennies, de nombreux papas ont modifié la façon dont ils se rapportent à leurs enfants. Comme Weinshenker a dit: "Je ne pense pas que nous allons revenir aux années 1950, où un homme est venu à la maison après une longue journée de travail et fumait sa pipe et peut-être un coup de pied le ballon avec ses enfants."


Et comme les femmes continuent à prospérer dans le marché du travail, les papas seront de plus en plus encouragés à passer à la plaque parentales et former forte, entretenir des liens avec leurs enfants. Ils attendent juste pour les annonceurs et les producteurs de télé-réalité pour rattraper ce que les chercheurs ont déjà trouvé.


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Actualité Société Famille
Changer bébé n'est plus réservé aux femmes dans les aéroports parisiens
Lucas Godignon, publié le 03/07/2014, mis à jour le 04/07/2014 à 19:37


La rénovation des espaces sanitaires à Orly et Charles-de-Gaulle permet d'adapter les lieux à l'évolution des mentalités et à l'implication des pères dans le soin des enfants. Un chantier lancé il y a trois ans, qui est toujours en cours.


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Changer bébé n'est plus réservé aux femmes dans les aéroports parisiens
L'espace bébé est désormais détaché des sanitaires. Ici à Orly-Sud, jeudi 3 juillet.
Aéroports de Paris
Même les pictogrammes des toilettes peuvent faire débat. En novembre dernier, le blog du Monde.fr dédié aux transports consacrait un billet à la silhouette féminine qui indique les espaces où changer son enfant. En-dessous, le symbole masculin semblait libéré de cette tâche plus ou moins ingrate. Dans l'article, des pères croisés à Orly exprimaient leur agacement devant cette signalétique genrée. Quant aux 500 commentaires publiés sous le billet, ils illustraient combien la France se divise sur les questions de genre et de sexualité.




Désormais, le pictogramme est "neutre", nous a expliqué Aéroports de Paris, comme le montre la photo publiée hier par le même journaliste du Monde, sur son compte Twitter. Un changement fait dans le cadre de la rénovation générale des blocs sanitaires d'Orly et Charles-de-Gaulle. Un projet à 40 millions d'euros qui sépare également les espaces bébé des toilettes des femmes, où on les trouvait alors. La restauration est en cours, mais avec plus de 200 toilettes, elle prend du temps. Le voyageur peut donc rencontrer l'une ou l'autre des signalétique selon l'endroit où il se trouve.


Pour l'entreprise, ce choix accompagne l'évolution des mentalités, les pères étant plus nombreux à changer les couches qu'il y a dix ou vingt ans. Isoler l'espace bébé permet également d'éviter les situations de malaise créées par l'irruption des hommes dans les toilettes des femmes


En revanche, le site d'Aéroports de Paris n'a pas encore suivi le mouvement. En plus de l'ancien pictogramme, on y trouve une vidéo de présentation de l'espace nurserie avec une actrice, sans homme dans les parages. Une disparité qui pourraît être corrigée à l'occasion de la refonte du site Internet, nous a-t-on assuré.




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changer bébé
Changer bébé à l'aéroport : désormais une tache pour maman ET papa ! Changer les couches de bébé semblait être une tache réservée aux mamans, selon les pictogrammes des toilettes publiques ! Aéroports de Paris rénove ses sanitaires et remédie à ça ! Explications.
L’égalité entre hommes et femmes fait souvent débat, et ce, jusqu’aux pictogrammes des toilettes ! En effet, pourquoi changer bébé serait une tache réservée aux mamans ? Pourquoi est-ce toujours une silhouette féminine qui indique l’emplacement dédié pour changer bébé ? Outre les mamans, ce sont nombre de papas qui se sont indignés devant cette "signalétique genrée" dans un article du Monde, en novembre dernier.
C’est pourquoi, aujourd’hui, Aéroports De Paris (ADP) intervient, selon L'Express. Dans le cadre de la rénovation générale des sanitaires des aéroports parisiens, les pictogrammes des toilettes vont, petit à petit, devenir neutres. On commence déjà à l’apercevoir à Orly, comme nous indique le journaliste Olivier Razemon sur son compte Twitter.




On voit bien qu’au-dessus du pictogramme masculin apparaît le symbole de l’espace bébé. Une façon de dire que cette tache n’est plus essentiellement réservée aux femmes. Dans certains lieux, on pourra même apercevoir des nurseries totalement séparées des sanitaires.
La rénovation, estimée à 40 millions d’euros, va prendre du temps mais elle est essentielle. Elle "accompagne l’évolution les mentalités", selon ADP. En effet, les papas sont de plus en plus nombreux à changer les couches des enfants, il fallait s’adapter. D’autre part, isoler l’espace bébé des toilettes des femmes évitera désormais les intrusions gênantes des papas dans les toilettes des femmes.
Si la marque ADP se veut réductrice des préjugés, son site ne montre pas encore l’exemple. Pour cela, il faudra qu'elle change la vidéo actuelle qui présente les nurseries en présence d’une femme uniquement…
Et vous, que pensez-vous de ce changement ?

Pour aller plus loin...
> Lisez notre article : Une femme enceinte tombe sur les rails du métro !
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par Pauline Jacmart, Marine Chassang Filipe - Date de publication : 07/07/2014 à 12:06







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VIDÉO : COMMENT CHANGER BÉBÉ EN DOUCEUR ?

Maman Trouve Surprenant allaitement Ally Dans l'adolescence Barista Chez Starbucks
Le Huffington Post | Par Caroline Bologne
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Posté le: 01/07/2014 13:00 HAE Mise à jour: Il ya 4 heures Imprimer l'articleJULIA WYKES
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Histoires sur les mères qui allaitent en public ont tendance à se terminer par des insultes, des larmes, et toutes les autres sortes de négativité. Il est donc rafraîchissant d'entendre parler d'une mère dont la décision d'allaiter en public conduit à l'acceptation et le soutien.


Maman Ottawa Julia Wykes a été faire des courses avec son fils de 5 mois, un matin, quand elle a décidé d'arrêter à Starbucks pour prendre un café à emporter. En attendant en ligne, cependant, son bébé est devenu grincheux, elle se mit à le soigner.


Soudain, une femme d'âge moyen marcha vers le comptoir et bruyamment plaint au barman, "Pourriez-vous cette femme à cesser de faire ça en public? C'est dégoûtant."


Le barman, un jeune homme dans la fin de l'adolescence, a dit qu'il allait "prendre soin d'elle" et se dirigea vers Wykes. Mais au lieu de se soucier de la demande du client qui se plaint, il a fait quelque chose d'autre: Il a offert la mère qui allaite un remplissage libre, lui a remis un bon pour une boisson gratuite, et dit: «Je suis désolé que vous deviez faire face à cette désagréable aujourd'hui."


Le client a claqué la porte du café dans un accès de colère. "Elle genre de défaite de son propre but", a déclaré Wykes Le Huffington Post par e-mail, "parce qu'elle était le seul qui avait remarqué j'allaitais, et elle a fini par appeler beaucoup plus attention à elle que si elle n'avait rien dit ! "


julia wykes soins infirmiers


Après son expérience chez Starbucks, dont la société a confirmé plus tard à HuffPost, Wykes a raconté l'histoire sur son rôle parental groupe Facebook locale, exprimant sa joie à la tournure surprenante des événements et exhortant ses autres parents pour faire pencher la baristas.


L'histoire a attiré l'attention d'au moins une maman, Annie urbain, le blogueur populaire derrière doctorat dans le rôle parental . Urban a raconté l'histoire de Starbucks sur la page de son blog Facebook, et à partir de là, il fait boule de neige dans un phénomène viral. "Tout à coup, il a été popping up sur mon fil d'actualité de partout dans le monde!" Wykes a dit.




Pour Wykes, qui a travaillé comme sage-femme et "aidé des centaines de mères allaiter" dans le monde, c'était la première fois qu'elle avait jamais connu ce genre de honte pour les soins infirmiers en public. "Dans mon expérience personnelle, souvent les gens ne remarqueront même pas quand je suis infirmière de mon fils en public - vous devez vraiment être regarder ou me rattraper juste au mauvais moment pour voir la peau exposée beaucoup - j'ai eu quelqu'un venir et caresser la tête de mon bébé sans se rendre compte qu'il était infirmier. "
La question de l'allaitement en public a été un sujet brûlant depuis un certain temps, engendrant d'innombrables histoires de nouvelles et passionnées blogue . Julia Wykes mis le doigt sur ​​la tête quand elle a offert ses deux cents sur la question: «Mon opinion a toujours été:. Si votre bébé a faim, nourrissez-Ce n'est pas grave comment ni où, assurez-vous que votre bébé est bien nourris et heureux. "


Elle a ajouté: «Mon ami et collègue sage-femme et j'ai un mantra que nous répétons à tous nos clients:« juste nourrir votre bébé! "


(Pointe de chapeau: Elle sait )

​

L'étude santé du jour : être mère après 33 ans, un gage de longévité
CRÉÉ : 27-06-2014 16:38
SANTÉ – Selon une étude publiée le 25 juin par la revue Menopause, les femmes qui mettent au monde leur dernier enfant après 33 ans atteignent des âges plus avancés que les autres. Le secret de cette longévité serait à chercher dans la génétique.


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Avoir son dernier enfant après 33 ans fait vivre plus longtempsLes femmes qui mettent au monde de leur dernier enfant entre 33 et 37 ans ont deux fois plus de chance que les autres de vivre jusqu'à 95 ans et plus. Photo : NICOLAS MESSYASZ/SIPA
Comment ça "après il sera trop tard" ? Une étude réalisée par des chercheurs de l'université de Boston devrait rassurer les femmes qui se sentent pressées par leur entourage à "faire vite" pour mettre en route leur petit dernier. Publiée le 25 juin dans la revue nord-américaine Menopause, elle démontre que les femmes ayant accouché de leur dernier enfant entre 33 ans et 37 ans ont deux fois plus de chance de dépasser les 95 ans que celles qui ont eu leur dernier enfant avant 29 ans.


Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont analysé les données démographiques d'un panel de 462 femmes : 311 ayant atteint 95 printemps et plus, et 151 décédées plus jeunes. Cette base de données préexistante du National Institute on Aging (NIA) avait au départ pour but d'étudier l'influence de la transmission génétique entre les générations.


Grossesse tardive : un signe de la bonne santé génétique de la femme


La grossesse elle-même serait-elle le secret de la longévité ? La réponse n'est pas si simple. Il s'agirait plutôt d'une prédisposition génétique. La capacité à enfanter après 33 ans serait le signe que l'appareil reproducteur de la femme ne vieillit pas rapidement, et donc que c'est aussi le cas pour son corps.


Ce constat n'envoie pas pour autant les conseils pour potentielles futures mamans aux oubliettes. En 2013, une étude suédoise abaissait de 35 à 30 ans l'âge à partir duquel la première grossesse serait plus risquée pour la mère et le bébé. En France, l'âge moyen du premier enfant pour une femme est 28 ans contre 24 ans à la fin des années 1960. "Je te l'avais bien dit ! Qu'est-ce que tu attends pour t'y mettre ?" entend-on déjà dans les chaumières.




NOÉLIE VIALLET
metronews.fr
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Vers une baisse de la durée du séjour en maternité
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Séjour à la maternité écourté : les sages-femmes veulent des garanties
femme-enceinte-allongée Les sages-femmes ne sont pas opposées à des séjours en maternité plus courts26/06/2014
L’Organisation nationale des sages-femmes n’est pas opposée à la sortie précoce après un accouchement, à condition que ce retour soit fait dans de bonnes conditions.
L’Assurance maladie propose de raccourcir le séjour à la maternité comme c’est déjà le cas dans de nombreux pays européens. Sur le principe, l’Organisation nationale des sages-femmes (ONSSF) n’est pas opposée, mais demande que ce retour précoce au domicile après accouchement (RPDA) soit encadré et que des professionnels de santé compétents prennent le relais médical auprès des mères et de leur bébé. « Ce RPDA ne peut s’entendre qu’au sein d’un parcours de santé coordonné interprofessionnel différent de celui défini dans le PRADO maternité actuel et prenant en compte les recommandations HAS publiées en mars 2014 sur le sujet », précise le syndicat, qui rappelle que « ce qui est délétère, ce sont des sorties précoces "sauvages" et précipitées, sans prise en charge organisée en ville ». Autre point important : l’ONSSF souhaite que le retour précoce au domicile ne soit organisé que lorsqu’il correspond à une demande du couple, c’est-à-dire finalement qu’il ne soit pas appliqué systématiquement à tous les accouchements à bas risque. En conséquence, le syndicat demande qu’un groupe de travail interprofessionnel soit mis en place avec l’Assurance maladie afin de définir les modalités mais aussi les moyens financiers et matériels de la mise en œuvre d’une telle mesure.
Source : ONSSF
Auteur : Candice Satara-Bartko > COMMENTER0
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L’Assurance maladie veut réduire à 3 jours le séjour à la maternité
mère-bébé L'Assurance maladie propose d'écourter d'une journée en moyenne le séjour à la maternité26/06/2014
L’Assurance maladie souhaite raccourcir d’une journée la durée d’hospitalisation après une naissance. Objectif : dégager quelques centaines de millions d'euros pour remplir les objectifs du plan d'économies des dépenses de santé.
Dans un rapport que s’est procuré Le Figaro et qui devrait être examiné aujourd’hui, l’Assurance maladie propose d'écourter d'une journée en moyenne le séjour à la maternité. Cela permettrait, d'après une source proche du dossier, de générer 280 millions d'économies nettes. Le but étant de remplir les objectifs du plan d'économies de Manuel Valls de 50 milliards d'euros. En France, la durée d’hospitalisation pour un accouchement par voie basse varie entre 4 et 5 jours contre 3 jours dans les autres pays développés. Selon l’Assurance maladie, il est possible de réduire le séjour en maternité si la mère et l’enfant bénéficient d’un accompagnement spécifique lors du retour à domicile. C’est déjà le cas dans les maternités qui ont mis en place le Programme d'accompagnement du retour à domicile des jeunes mamans ( Prado). Mais, depuis 2011, seuls cinq établissements ont adhéré au dispositif. En mars dernier, la Haute autorité de santé avait d’ailleurs précisé les conditions d’une sortie de maternité précoce, soit « au cours des 72 premières heures après un accouchement par voie basse (3 jours) » ou « des 96 premières heures après un accouchement par césarienne ». Concernant le suivi au domicile, la HAS recommandait deux visites, la première réalisée dans la semaine après la sortie et si possible dans les 48 heures suivant cette sortie. La seconde visite, quant à elle, serait planifiée selon l’appréciation du professionnel référent en charge du suivi de la mère et de l’enfant. Des visites supplémentaires pourraient éventuellement être réalisées.
Source : Le Figaro
Auteur : Candice Satara-Bartko > COMMENTER0
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Le risque de dépression plus important chez les mères voulant être trop parfaites.
Le risque de dépression plus important chez les mères voulant être trop parfaites. Un risque plus élevé de dépression pour les mères voulant être trop parfaites20/06/2014
Les mères qui veulent à tout prix être parfaites sont les plus à risque de faire une dépression postnatale, selon une étude américaine.
Les mamans qui se mettent trop la pression sur leur rôle après la naissance de leur enfant ont un risque plus important de dépression, selon une étude réalisée par les universités de Floride et du Michigan. Une sorte de burn-out maternelle en résumé. En effet, elles risquent d’en faire trop, et de refuser de voir les signes de fatigue ou de défaillance face à leur nouveau rôle de mère. Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont suivi 273 femmes enceintes âgées de plus de 18 ans et ont évalué le degré d’anxiété des futures mères face à leur nouveau rôle et les symptômes de dépression qu’elles pouvaient développer. Les femmes ayant les idées les plus précises et rigides sur leur rôle de mère et la parentalité avaient un risque plus élevé de dépression postnatale. Plusieurs facteurs de pression sur la future mère ont été déterminés par l’étude. Tout d’abord, la peur d’être perçue comme une mauvaise mère face aux attentes supposées de la société vis-à-vis de leur rôle et la crainte sur leur capacité à résoudre seule les problèmes liés à la parentalité. Mais la pression vient aussi de l’acceptation, par la femme elle-même, de sa nouvelle identité de mère. L’étude suggère que l’analyse de ces croyances auprès des mères durant leur grossesse pourrait permettre de les suivre et de les accompagner au mieux, en leur faisant accepter leur nouveau rôle sans trop de pression.
Sources : Journal of depression and anxiety et Santé Log
Auteur : Chloé Margueritte > COMMENTER1
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© Jupiter
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Le père idéal selon les mères


Elles le rêvent parfait mais acceptent qu’il ne le soit pas. Elles le voudraient à la fois bon parent et bon amant, indulgent mais exigeant. À quoi ressemble le père idéal selon les mères ? Nicole Prieur, philosophe, psychothérapeute et thérapeute familiale, nous dévoile leurs attentes.


Laurence Lemoine


Sommaire
Qu'il fasse preuve d'autorité
Qu'il accepte le temps de la maternité
Qu'il transmette ses passions
Qu'il fasse preuve d'autorité


« Depuis six ou huit ans, je vois les jeunes femmes évoluer dans leurs représentations du bon père. Elles attendaient surtout de lui qu’il soit une sorte d’assistant maternel, capable de se substituer à elles dans les fonctions de maternage et les tâches ménagères, et souffraient beaucoup qu’il ne soit pas aussi investi dans ces domaines qu’elles l’auraient souhaité. J’entendais beaucoup : “Je fais tout toute seule. Lui, il joue.” Aujourd’hui, bien qu’elles apprécient toujours qu’il les soulage, elles acceptent davantage l’idée qu’il occupe une place différente de la leur. Cela ne veut pas dire qu’elles envisagent la domesticité comme leur territoire. Mais elles considèrent qu’il a, lui, à faire preuve d’autorité. Là-dessus, elles sont un peu paradoxales : en même temps qu’elles lui demandent de s’imposer, elles aimeraient que ce soit à leur manière à elle. Souvent, elles trouvent qu’il cède trop vite, qu’il baisse trop facilement les bras ou se montre trop dur. De plus en plus, elles ont conscience de ne pas lui laisser l’espace d’être le père qu’elles attendent. »


Qu'il accepte le temps de la maternité


« Les couples d’aujourd’hui ont une certaine aisance à être des couples parentaux, même au-delà de la séparation. Ils savent relativement bien s’entendre sur les questions d’éducation et de répartition de garde. Ce qui leur est plus difficile, c’est de faire avec ce temps, après la naissance, où la sexualité est mise de côté. Souvent, les femmes se sentent bousculées par leur compagnon, pressées de redevenir l’amante alors qu’elles sont tout à leur bébé. C’est d’autant plus vrai lorsqu’elles sont devenues mères sur le tard, qu’elles ont longtemps attendu cette grossesse. Elles ont alors du mal à quitter leur corps de mère, aspirant à prolonger l’expérience de la maternité le plus longtemps possible en étant physiquement proches de leurs enfants. Ce qu’elles voudraient : qu’il fasse preuve de patience, qu’il soit présent pour les aider avec le bébé, qu’il soit lui aussi plus père qu’amant, sans craindre pour leur couple. »




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