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Coaching maman : apprendre à lâcher prise,MAMAN,mere,bebes,enfants,

8 Octobre 2013, 01:36am

Publié par hugo

Vidéo
Coaching maman : apprendre à lâcher prise

Comment allez-vous ? A vrai dire, vous ne savez pas. Vous savez comment vont vos enfants et quand est le prochain rendez-vous chez le dentiste. Comment se porte votre mari et à quelle heure est le match de foot. Comment vont vos copines et les enfants de vos copines.


Mais comment vous allez VOUS : bonne question. Vous aimeriez prendre cinq minutes avec vous-même, vous détendre, vous consulter, vous programmer du bon temps. Sauf que vous n'en avez pas.


Enfin, c'est ce que vous croyez. Attention, lisez bien : être mère débordée et avoir du temps pour soi, c'est faisable.


Bonne nouvelle.
Grande nouvelle.


Pour comprendre COMMENT, nous avons rencontré Sihem Aubertin, coach de vie, et Stéphanie, maman de trois enfants et cadre dynamique, lors d'une consultation.


Découvrez donc en vidéo comment procéder pour dégager comme par magie du temps pour vous. Voici pour rappel :
- Prenez 5 feuilles ! Chaque feuille est un domaine de votre vie. Nommez-les : "moi avec moi, moi et ma carrière pro, moi maman, moi dans ma vie de femme, moi dans ma vie sociale.
- Puis notez vos objectifs ! Stéphanie, notre maman, a choisi de se concentrer sur son domaine moi et moi" et a noté pour objectif d'avoir du temps pour elle. Vous pouvez noter sur le pro "monter ma structure dans 18 mois", dans votre vie de femme "surprendre mon mari au lit"... etc.
- Fixez ensuite trois micro-actions par objectif pour commencer ! Des PETITES étapes, largement accessibles, réalisables, qui vous encourageront à poursuivre. Exemple : prendre un bain tous les 15 jours, m'acheter un livre sur la création d'entreprise et lire un chapitre par week-end, commander un ensemble de lingerie en trois clics sur internet pour que Monsieur tombe du lit... Que de choses simples et faisables maintenant.
- Une fois que c'est fait, récompensez-vous. Félicitez-vous. Voyez le boulot accompli et continuez. N'oubliez pas que de tout noter, c'est prendre conscience de son avancée et ça aide à progresser. De plus, on y voit plus clair et on se sent moins submergée.
A vous !


Journaliste : Caroline Michel
Images/Montage : Marion Dalle

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L’odeur de n’importe quel bébé dope le cerveau des mères,meres,enfants,bebes,

26 Septembre 2013, 02:49am

Publié par hugo

L’odeur de n’importe quel bébé dope le cerveau des mères
L’odeur de n’importe quel bébé dope le cerveau des mères Sentir un bébé dope n'importe quelle mère24/09/2013
L’odeur d’un bébé active chez une maman le circuit de la récompense, stimulé en général par la nourriture ou la drogue.
Une étude canadienne, publiée dans le Frontiers in Psychology, explique que l’odeur d’un nouveau-né active le circuit de la récompense d’une maman, même si elle n’est pas la mère de l’enfant. Pour cette étude, les chercheurs ont présenté un pyjama de nouveau-né, imprégné de son odeur, à 2 groupes de 15 femmes. Le premier groupe était composé de jeunes mères ayant donné naissance dans les 6 semaines précédentes, les autres femmes n’avaient jamais eu d’enfants. Leur cerveau était scanné pendant l’expérience et les résultats sont incroyables : même si l’odeur du pyjama n’est pas celle de leur nouveau-né, elle provoque, chez les mamans uniquement, une montée en flèche de la dopamine et active le circuit de la récompense de leur cerveau. "Ce circuit est spécialement activé quand quelqu’un d’affamé se met à manger, ou quand un addict de drogue prend sa dose alors qu’il est en manque", explique le docteur Johannas Frasnelli, auteur principal de l’étude. Il y a donc un changement neurologique lié au statut biologique de la mère, "et c’est sûrement le fait d’avoir un enfant qui cause ce changement hormonal, même si l’expérience peut aussi jouer un rôle".
Source : Daily mail
Auteur : Marie de Laitre

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Pauvreté : Les mères célibataires toujours plus fragiles,femmes,meres,enfants,chomage,emplois,economie

7 Septembre 2013, 01:13am

Publié par hugo

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Pauvreté : Les mères célibataires toujours plus fragiles



Les mères célibataires, premières victimes de la pauvreté Présenté aujourd’hui dans le magazine Convergence, un sondage Ipsos-Secours Populaire révèle que la pauvreté, croissante en France, touche particulièrement les femmes, d’autant plus si elles sont mères isolées.
Selon le rapport commandé par le Secours Populaire auprès de l’institut de sondage Ipsos*, 41% des Français ont déjà connu une situation de pauvreté une fois dans leur vie. Une fois de trop et surtout 4% de plus que l’année dernière. Mais les premières victimes restent encore et toujours les femmes. 55% d’entre elles sont touchées par la précarité. Et les statistiques ne font qu’augmenter lorsqu’il s’agit des bénéficiaires du RSA et des travailleurs pauvres, catégories dans lesquelles la gent féminine représentent 57% et 70% des personnes concernées.
Pour le Secours Populaire, la pauvreté « se fabrique d’abord au féminin » et se conjugue visiblement au singulier. Les plus fragiles de cette population féminine étant les mères célibataires. Au cours des 12 derniers mois, elles sont six sur 10 à avoir rencontré des « difficultés financières importantes » afin d’assurer leurs dépenses de logement et d’alimentation. Et encore ! 62% de ces mères seules confient avoir peiné à se procurer de la nourriture saine et équilibrée et elles sont 61% à avoir déjà eu du mal à payer leur loyer ou un emprunt immobilier. Tout aussi alarmant, 49% d’entre elles ont eu du mal à payer certains actes médicaux et 48% à s’en sont privées afin de privilégier ceux de leurs enfants. Et ce ne sont pas les seules privations qu’elles s’imposent.
Les inégalités en ligne de mire
Chômage, temps partiels subis, inégalités persistantes et contexte de crise, les causes demeurent également les mêmes. Les personnes interrogées en sont conscientes. A la question « Selon vous, que faut-il faire en priorité pour éviter que les femmes ne connaissent une situation de précarité? » 48% des sondés, hommes et femmes, répondent en priorité qu’il faut lutter contre les écarts de salaire entre les hommes et les femmes à poste équivalent. Mais encore faut-il pouvoir accéder à ces postes, rappelle Étienne Mercier, directeur adjoint du pôle Opinion et Recherches sociales d’Ipsos.
C’est là qu’intervient le projet de loi rendu en juillet par Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits des femmes. Présenté au Sénat le 16 septembre prochain, il préconise une série de mesures visant à combattre les inégalités homme-femme, de la revalorisation professionnelle et salariale à la mise en place d'une garantie pour les impayés de pensions alimentaires.
*Le sondage a été réalisé sur Internet en juillet auprès d'un échantillon représentatif de la population française composé de 849 personnes (405 hommes et 444 femmes dont 169 mères célibataires de 15 ans et plus).


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En Europe, les mamans perdent leurs boulots,bebes,femmes, maternite,conge de maternite,

31 Août 2013, 20:09pm

Publié par hugo

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En Europe, les mamans perdent leurs boulots


En Italie, seules 77,3% des mères conservent leurs emplois deux ans après l’accouchement contre 81,6% en 2006 / SOUTEYRAT JEREMIE/SIPA
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RÉAGIR !Ven, 30/08/2013 - 15:18Par
Ludovic Clerima (Paris) Benjamin Leclercq (Paris) Ariel Dumont (Rome)
En Angleterre, près de 50 000 femmes sur 340 000 perdent leurs emplois ou se retrouvent déclassées chaque année après un congé maternité. Une pratique discriminante, mais pourtant très répandue dans bon nombre de pays européens.


Les mamans mises au placard dans les entreprises. C'est le constat d'une étude menée par la House of Commons Library. 50 000 femmes sur 340 000 ayant un emploi perdent leurs postes à la suite d'un congé maternité. Pressions exercées par les supérieurs, déclassement voire licenciement, rien n'est épargné aux jeunes mamans promptes à reprendre le travail, révèle The Independent. Il faut dire que l'Angleterre est le pays d'Europe où le congé maternité est le plus long (52 semaines).


Pour celles qui conservent leur emploi, les perspectives d'obtenir une augmentation ou une promotion se réduisent. Les recours en justice sont difficiles à mettre en œuvre. Le quotidien souligne qu'une plainte pour discrimination à l'embauche après un congé maternité peut coûter jusqu'à 1200 livres (près de 1400 euros).


Yvette Cooper, ex Premier Ministre entre 2008 et 2009 sous Gordon Brown témoigne pour The Independent. Elle fut la première chef de gouvernement à prendre un congé maternité au cours de son mandat.


Quand j'ai eu mon troisième enfant, mes collègues étaient hostiles à l'idée que je prenne un congé maternité. Mes relations de travail s'en sont trouvées détériorées. C'était plus difficile de garder contact avec eux durant mes absences ou de moduler mon emploi du temps […] Ce fut une vraie bataille."


Un manque flagrant d'information


D'après une enquête menée auprès de 1000 mères par le cabinet d'avocats Slater & Gordon, la moitié des mamans avouaient que leur rôle au sein de l'entreprise avait changé à leur retour. Un quart d’entre-elles ont vu leurs demandes d'aménagement horaire refusées.


Pour Yvette Cooper, cette situation est inacceptable dans une Angleterre où les mères représentent un cinquième de la main d’œuvre.


Les entreprises et l'économie dépendent du travail des femmes. Trop souvent, les jeunes mères sont mises de côté. Les employeurs estiment qu'ils peuvent ne pas prendre au sérieux les femmes revenues d'un congé maternité. Nous avons besoin d'une action nationale pour faire face à cette discrimination."


Pas de place pour les mères espagnoles


En Espagne aussi, post-maternité rime encore beaucoup avec précarité. Les grossesses continuent de peser lourdement sur les trajectoires professionnelles des femmes. La dernière enquête sérieuse disponible sur le sujet, menée en 2006 par le Centro de Investigaciones Sociológicas (CIS), en témoigne: faire des enfants "réduit l'activité professionnelle d'une femme sur trois, et limite l'accès à la promotion d'une femme sur quatre".






L’Espagne est l'un des pays européens où, retrouver son emploi après une grossesse, est le plus compliqué. Comme l'Italie ou l'Irlande, le degré d'insertion des mères sur le marché de l'emploi est faible et le taux d'emploi des femmes en général demeure l'un des plus bas: 51% en 2012.


En 2006, le CIS note qu'en Espagne une mère sur quatre abandonne définitivement le travail après avoir eu son enfant.


Comme la France ou les Pays-Bas, l'Espagne indemnise à taux plein 16 semaines de congé maternité, soit moins que la moyenne des pays de l'OCDE en 2011 (19 semaines). L'année dernière en Espagne, les congés maternités ont baissé de près de 8% par rapport à 2011.


Des Françaises mises à la porte


En France n'est guère plus reluisante. Il suffit de quelques clics pour tomber sur des forums où des milliers de femmes expriment leurs désarrois.


Ce fut le cas d’Élodie, qui témoigne sur le site du défenseur des droits. Après son retour de congé maternité en septembre 2009, la jeune femme ne retrouve aucune des fonctions qu'elles exerçaient auparavant. En décembre, son directeur lui propose de choisir entre une rupture conventionnelle, un licenciement pour faute grave ou un poste de commercial sans préciser ni son salaire ni les horaires et missions qui lui seront affectées. Élodie refuse et reçoit une lettre de licenciement au mois de mars.


En 2009, d'après une enquête menée par la Halde, 46% des Français estiment que la grossesse constitue un frein pour la carrière professionnelle.






Une réalité que confirme l'OFCE (Observatoire français des conjonctures économiques) en 2010. Une femme de plus de 39 ans n'ayant jamais interrompu sa carrière gagne jusqu’à 23% de plus que celles qui ont fait des pauses pour des raisons familiales. Et plus d’une femme sur quatre affirme s’être sentie discriminée au travail pendant sa grossesse alors que le droit français prévoit des mesures à l'encontre des entreprises.


Ainsi, un refus d'embauche, que se soit pour un poste de titulaire, stagiaire ou en formation, motivé par la grossesse d'une femme est interdit en France. Même chose pour la résiliation d'un contrat de travail durant la période d'essai. Cette législation s'applique au début de la grossesse et jusqu’à quatre semaines après la fin du congé maternité.


Monti à la rescousse des "mamas" italiennes


En Italie, selon l’Istat, l’Institut national des statistiques, une femme sur quatre soit 22,7% de la population féminine active, a perdu son emploi l’an dernier après un congé maternité. Seules 77,3% des mères conservent leurs emplois deux ans après l’accouchement contre 81,6% en 2006. Le pourcentage de licenciement frôlait la barre des 24% l’an dernier.


La réforme de l’emploi introduite en 2012 par le gouvernement technocrate de Mario Monti, prévoit que les démissions des salariées ou les "résolutions consensuelles d’un contrat de travail" signées durant les trois années suivant l’accouchement doivent être contresignées par le service de l’inspection du ministère du travail. Les patrons pris en flagrant délit sont passibles d’une amende de 5 à 30.000 euros.


Cette procédure a été introduite pour réduire le nombre de lettres de démissions en blanc, une pratique courante en Italie. De nombreux employeurs font signer une lettre non datée aux demandeuses d’emploi avant de les recruter afin qu'elles ne prennent pas de congé maternité.


Reste que, selon les syndicats, les cas de harcèlement, de changements de postes ou de pressions pour pousser les salariées de retour d’un congé vers la sortie augmentent d’années en années. Mais la plupart des cas ne finissent jamais devant les tribunaux, d’où la difficulté d'obtenir des données statistiques pertinentes.


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Mots clés
DISCRIMINATION, CONGÉ MATERNITÉ, FEMMES, ENTREPRISE, TRAVAILLE, ENCEINTE
RÉACTIONS

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Maman - Pierpoljak,maman,femmes,meres,enfants,

13 Août 2013, 19:12pm

Publié par hugo

Maman, je ne chanterai pas
Mon enfance difficile
Car tu m'as toujours appris
Qu'il y avait bien plus faible
Plus malheureux que soi
Cette vérité dans le timbre de ta voix
A fait qu'aujourd'hui encore
Je n'ai rien oublié
Car depuis tout petit tu n'as cessé de m'aimer
Cette chanson est pour toi
Qui c'est sacrifiée pour moi


J'ai la chair de poule
Quand j'entend parler de Paul Cézanne
J'ai l'odeur de la fumée
Et la chaleur des flammes
Qui me remplit la tête
Purification ou tempête
Maman je ne me plains pas
Tu sais que ça me fait sourire
Les rivière et la G.C. trop de bon souvenirs
Les kilomètres à pieds ça en use
Des paires de souliers


Maman, maman
Ma reine et mon roi à la fois
Maman, maman
Personne d'autre que toi


Tu sais que je n'ai jamais vraiment
Digéré la vie scolaire
Même s'il nous disaient que les lentilles
Nous donnaient du fer
Je sais pas pourquoi plus tard
J'ai détesté les épinards
Maman tu m'as appris à aimer la nature
Tu nous as toujours emmenés
Mais on avait pas de voiture
Tu connais les oiseaux
Tu pêches à la main dans les ruisseaux


Tu m'as dit que le monde
Comptait des gens différents
Mais qu'ils avaient le même cœur
Qu'ils avaient le même sang
Le même sang que nous Maman
Merci pour tout
Merci de m'avoir appris et montré que l'amour
Existait à l'air libre
Et même au milieu des tours
Ma mère, mon professeur
Pour se regarder à l'intérieur


Maman, maman
Ma reine et mon roi à la fois
Maman, maman
Personne d'autre que toi

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Les jeunes mamans timides allaiteraient moins,bebes,maman,femmes,meres,

12 Août 2013, 00:13am

Publié par hugo

Les jeunes mamans timides allaiteraient moins
allaitement bébé Les femmes ayant confiance en elles seraient plus disposées à donner le sein à leur bébé. 9/08/2013
A en croire une nouvelle étude britannique, la personnalité des femmes aurait une influence sur le choix d’allaiter ou non.
La personnalité des femmes aurait-elle une influence sur leur choix d’allaiter ? Il semblerait que oui selon une nouvelle étude britannique publiée dans le « Journal of Advanced Nursing » et relayée par le « Daily Mail ». D’après les résultats des chercheurs, les jeunes mamans timides allaiteraient moins que les autres.
Pour dresser ce constat, les scientifiques ont suivi 602 mères ayant un enfant âgé entre 6 et 12 mois. Ils ont remarqué que les femmes considérées comme émotionnellement stables et ayant confiance en elles sont significativement plus disposées à donner le sein à leur bébé. Au contraire, les jeunes mamans anxieuses et stressées choisissent plus souvent une solution alternative, comme le lait infantile.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) et les autorités sanitaires conseillent aux femmes d’allaiter jusqu’au six mois de l’enfant. En effet, les bienfaits du lait maternel ne sont plus à démontrer. Il renforce notamment le système immunitaire du bébé, limite les infections respiratoires et le risque d’asthme ou d’allergie. Néanmoins, le choix d’allaiter est personnel. Il convient donc à chaque femme d’opter, sans pression, pour la solution qui lui convient le mieux.
Source : Journal of Advanced Nursing
Auteur : Elodie Moreau Voir aussi "Allaitement maternel : des bénéfices sans cesse confirmés"

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Choisir un 2ème et un 3ème prénom pour bébé,bebes,

11 Août 2013, 16:16pm

Publié par hugo

Choisir un 2ème et un 3ème prénom pour bébé
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Ventre prénoms

Certains parents choisissent d'accoler un 2ème prénom, parfois un 3ème, au premier prénom de leur enfant. Pourquoi avoir plusieurs prénoms ? Comment les choisir ? Comment s'y prendre ? Nos réponses.
2ème et 3ème prénom : une histoire de coutumes...
Le deuxième prénom, ainsi que le 3ème, se placent après le 1er prénom - le prénom usuel - et avant le nom de famille. Ceci n'est en rien une obligation : les parents sont libres de donner plusieurs prénoms ou non à leur enfant. On peut même aller jusqu'à 5, 6 prénoms, il n'y a pas de nombre limites. Mais en général, les parents qui font le choix de donner plusieurs prénoms à leur enfant s'arrêtent à 2, voire 3.
L'usage voulait que le bébé porte les prénoms de son parrain et de sa marraine, ou bien de ses grands-parents. Mais la tradition diffère selon les pays. En France, même si on a plusieurs prénoms, on reste principalement nommé par le premier, notre prénom d'usage. À la Réunion par exemple, la tradition voulait que le premier prénom était utilisé par les membres de la famille (pas très pratique lorsque l'enfant porte le prénom de son père, qui est aussi celui du grand-père !), tandis que le 2nd était plutôt utilisé en dehors du cercle familial.
Certains couples choisissent un 2ème prénom pour éviter les homonymes, surtout avec des noms de famille courants.
2ème et 3ème prénom : ce que dit la loi
C'est lors de la déclaration de naissance que le parent communique le ou les prénoms attribué(s) à son enfant. Les prénoms ainsi choisis figureront sur son acte de naissance, ainsi que ses papiers d'identitié, séparés par une virgule, pour ne pas être confondus avec les prénoms composés.
par Marine Chassang

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Les colères de l’enfant dues au manque de sommeil,bebes,enfants,

11 Août 2013, 15:41pm

Publié par hugo

Les colères de l’enfant dues au manque de sommeil
sommeil enfant comportement Le manque de sommeil est associé à un risque accru d'impulsivité, de colères, de caprices et d'hyperactivité. 8/08/2013
C’est enfin prouvé scientifiquement : des nuits trop courtes influent sur le comportement des enfants…
Énervement, agitation… on le sait, le manque de sommeil influe sur le comportement des enfants. Mais, ce fait est pour la première fois prouvé scientifiquement. Une nouvelle étude américaine révèle, en effet, que les colères des enfants sont aussi dues à des nuits trop courtes.
Pour dresser ce constat, l’équipe de chercheurs a suivi près de 9000 enfants de 4 ans et interrogé les parents sur les heures de coucher et de lever. Les scientifiques ont remarqué que dormir moins de 10 heures par nuit à cet âge est associé à un risque accru d'impulsivité, de colères, de caprices et d'hyperactivité. Mais ce n’est pas tout : le risque d'agressivité augmente de 80 %. « Bien que ces résultats ne soient pas une surprise, nous n'étions pas certains d'observer ce type d'association entre le comportement et la durée du sommeil de ces enfants. Le lien est probablement plus fort que nous ne l'avions imaginé », explique l’auteur de l’étude, le professeur E. K. Stein.
Le sexe des enfants, le nombre d'heures de télévision et les symptômes dépressifs chez la mère n'ont pas d’influence sur la durée de sommeil. En revanche, les garçons qui regardaient plus de deux heures de télévision le soir et ceux qui avaient une mère dépressive présentaient davantage de perturbations comportementales que les autres.
Si ces résultats supposent que la durée du sommeil est cruciale pour le bien-être des tout-petits, aucun lien de causalité n’est établi. « Nous ne pouvons pas vraiment dire si ce sont les perturbations émotionnelles qui altèrent le sommeil de l'enfant ou si c'est le manque de sommeil qui crée une perturbation émotionnelle. Il va falloir pousser plus loin les investigations », souligne le Pr Stein. Néanmoins la pédiatre précise que « si la durée du sommeil de l'enfant diffère de ce qui est préconisé, les professionnels de santé devraient en explorer les raisons et conseiller les familles pour les aider à augmenter ce temps de sommeil ».
Source : Journal of Developmental and Behavioral Pediatrics
Auteur : Elodie Moreau

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Les papas français fâchés avec le congé parental !,peres,papas,meres,maman,bebes

6 Août 2013, 03:57am

Publié par hugo

Les papas français fâchés avec le congé parental !
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papa bébé ombre herbe congé parental

Lorsqu'il s'agit d'arrêter de travailler pour s'occuper des enfants, la disparité homme-femme est flagrante.
En France, on est souvent très à cheval sur les questions de parité. En ligne de mire actuellement : le congé parental. Le 3 juillet prochain, le gouvernement va examiner un projet de loi. Le but ? Instaurer 6 mois obligatoires du partage du congé parental pour rétablir l'égalité homme-femme. Cependant, dans un rapport de l'INSEE publié hier, on apprend que seulement un papa sur neuf arrête ses activités pour s'occuper de ses enfants. Le congé parental, une affaire de femme ? A priori oui, puisqu'on apprend aussi qu'une maman sur deux réduit ou cesse temporairement son activité professionnelle après une naissance.
Le gouvernement veut donc réduire considérablement cette disparité. Alors question : pourquoi les hommes sont si peu nombreux à avoir recours à ce congé ? Le rapport met en avant plusieurs raisons. D'abord, l'envie : pour 46% de ces nouveaux papas, le désir de prendre ce congé est totalement absent. Alors que chez les femmes, ce chiffre tombe à 15%. Autre motif : la peur pour la carrière. Oui, un tiers des hommes invoquent le travail comme principale raison de ne pas rester à pouponner bébé. Les papas citent également l'argent, puisque ce congé n'est pas assez payé, selon 15% d'entre eux. « Je ne pense pas y avoir droit » : voilà ce que pointe aussi ce rapport. Pour de nombreuses professions (chefs d'entreprise, artisans, professions libérales...), il est difficile de justifier une activité professionnelle suffisante. En effet, 30% de ces papas non-salariés pensent ne pas remplir les conditions requises.
Pour le ministère du droit des femmes, l'objectif est maintenant d'inscrire une part de congé obligatoire pour les hommes. Mais, pour ne pas trop accabler nos bons papas, disons que les femmes ont une certaine part de responsabilité dans cette « exclusion » de l'homme. L'INSEE nous montre qu'elles seraient neuf sur dix à dire que maman à la maison « c'est mieux pour l'enfant ». Dernier chiffre : trois femmes (honnêtes) sur dix avouent que ce congé « elles en avaient besoin pour se remettre de la naissance ».
Une parité homme-femme dans le congé parental qui est loin d'être acquise et surtout... qui sera loin de faire l'unanimité !

25 juin 2013

Pour aller plus loin...
> Lire notre actu bientot une formation pour obtenir le droit d'être parent ?
> Venez en parler sur le forum vie professionnelle de famili.fr
par famili
... je publie un article
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Les commentaires des ... je dépose un commentaire
Par Anonyme le 26 juin 2013 à 21:37
Oui, comme le dit le commentaire anonyme me précédent : laissez les gens faire et s'organiser comme ils veulent. Mais "les gens", ça inclue les mamans ET les papas. Trop de mères refusent de laisser un peu de "leur" place, de céder un bout de terrain, puis s'étonnent que le papa ne s'investisse pas... J'ai laissé à mon mari toute latitude pour trouver sa place, de même qu'il m'a laissé prendre la mienne comme je l'entendais. Je gagne plus que lui, je suis passionnée par mon métier, j'ai des projets professionnels, tandis que lui ne jure que par nos enfants. Et je vis un Bonheur absolu, lui aussi, nos filles aussi... si ce n'est le jugement de certains qui considèrent mon bûcheron de mari comme une "femme de ménage"... Et moi comme une maman carriériste. Aucun n'aurait ce genre de remarque si nos envies étaient inversées et entraient dans les petites cases toutes chaudes qu'on nous a préparées avant même notre venue au monde. Arrêtons de stigmatiser les autres, arrêtons de proposer un rôle prêt-à-porter selon les sexes, et libérons-nous de ces poids.
Signé : une maman excédée de constater que les femmes ne laissent pas plus de place aux hommes à la maison que les hommes ne leur en laissent au travail.
Stéphanie Dessinges (59)
Par Anonyme le 25 juin 2013 à 21:12
Perso le congé parental ce sera moi ou ce ne sera pas car je serais certainement fatiguée par l'allaitement deplus mon salaire est moins important (et je m'en fou). Les lois ne peuvent pas réglé la disparité homme/femme ce seront toujours les femmes qui porteront bébé et pourront l'allaiter. A quand le partage du congé maternité. La nature se rappellera toujours à ceux qui souhaitent l'égalité des sexes.LAISSEZ LES GENS FAIRE ET S'ORGANISER COMME ILS VEULENT.
... alerter le modérateur


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Etats-Unis : près d’une mère sur trois n’arrive pas à payer les couches de son bébé,bébés,femmes,mères,

2 Août 2013, 04:42am

Publié par hugo

Etats-Unis : près d’une mère sur trois n’arrive pas à payer les couches de son bébé
couche bébé 30 % des mamans américaines rencontrent des difficultés à payer les couches de leur bébé.1/08/2013
Selon une nouvelle étude américaine, près d’une mère sur trois n’arrive pas à payer les couches de son bébé. Une situation qui ne serait pas sans effet sur la santé des mamans et des enfants concernés…
Avec la crise, le budget des familles modestes est fortement impacté. Une nouvelle étude américaine révèle que près d’une mère sur trois n’arrive pas à payer les couches de son bébé. C’est en effet le constat dressé par une équipe de psychiatres de l’université de Yale, après avoir suivi 877 mères aux revenus modestes, de la ville de New Haven, dans le Connecticut. D’après leurs résultats, 30 % des mamans américaines rencontrent des difficultés à payer les couches de leur bébé. Par ailleurs, 8 % des mères les plus pauvres réutiliseraient les couches jetables.
Un véritable problème sanitaire qui ne serait pas sans impact sur la santé des femmes et des enfants concernés. Les mamans seraient plus anxieuses ce qui ne serait pas sans effet sur le développement de leur bébé. En effet, selon les chercheurs « avoir les moyens de donner des langes propres à son bébé serait un moyen d’atténuer le stress parental, un facteur ayant des conséquences néfastes sur le développement et la santé des enfants ».
Pour pallier cette situation, Megan Smith, l’auteur principal de l'étude, souligne qu’il est essentiel que les obstétriciens et les professionnels de santé indiquent aux femmes enceintes et aux jeunes mamans en difficulté les recours possibles permettant d’obtenir des couches pour leur bébé.
Source : Pediatrics
Auteur : Elodie Moreau > COMMENTER0
Plus d'actus1/08/2013 Menstruations : bientôt des jours de congés payés en plus en Russie ?

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