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Un quart des nourrissons allaités jusqu'à 6 mois en France,france,bebes,femmes,meres,

7 Octobre 2014, 20:05pm

Publié par hugo

Un quart des nourrissons allaités jusqu'à 6 mois en France
Selon une étude, moins du quart des bébés français sont encore allaités à 6 mois. La France est ainsi l'un des pays où les mères choisissent d'allaiter le moins longtemps possible.


Un bébé (image d'illustration).
Crédit : AFP
Un bébé (image d'illustration).
PAR LA RÉDACTION NUMÉRIQUE DE RTL , AVEC AFP PUBLIÉ LE 07/10/2014 À 03:44
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Un peu moins d'un quart des nourrissons français sont encore allaités à l'âge de six mois, dont seulement la moitié de façon exclusive, contre 33% aux Pays-Bas et 82% en Norvège, selon une étude publiée ce mardi dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH).


Ce résultat contraste avec les recommandations du Programme national nutrition santé (PNNS) qui préconise l'allaitement maternel "de façon exclusive jusqu'à 6 mois et au moins jusqu'à 4 mois pour un bénéfice santé". Il est tiré d'une étude réalisée par des chercheurs de l'Institut de veille sanitaire (InVS) portant sur un échantillon aléatoire de 3.368 enfants, nés au cours du 1er trimestre 2012 dans 136 maternités tirées au sort en France métropolitaine.


A un an, le taux d'allaitement tombe à 9%


Baptisée Epifane, l'étude montre que 74% des mères ont débuté un allaitement maternel à la maternité et que 39% des nourrissons étaient toujours allaités à l'âge de trois mois dont 10% de façon exclusive, 11% de façon prédominante, tandis que 18% recevaient également des préparations pour nourrissons du commerce.


A six mois, 23% des bébés étaient encore allaités dont la moitié consommaient des petits pots en complément. A un an, le taux d'allaitement tombait à 9%. Quant à l'allaitement exclusif ou prédominant, il dure moins de trois semaines et demi chez la moitié des femmes étudiées, selon cette analyse.


En France, les mères choisissent d'allaiter "le moins longtemps possible"


Selon l'InVS, "la France est non seulement l'un des pays d'Europe où le taux de l'allaitement maternel à la naissance est l'un des plus bas mais également l'un des pays où les mères choisissent d'allaiter leur enfant le moins longtemps possible". Les chercheurs espèrent désormais pouvoir identifier les facteurs associés à la durée de l'allaitement "et d'aider ainsi au ciblage des interventions" destinées à se rapprocher des recommandations.


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9 femmes sur 10 estiment qu’être mère, ça s’apprend !,enfants,parents,meres,maman,

4 Octobre 2014, 14:03pm

Publié par hugo

9 femmes sur 10 estiment qu’être mère, ça s’apprend !
9 femmes sur 10 estiment qu’être mère, ça s’apprend ! Etre mère, ça s'apprend ...2/10/2014
La construction de la relation mère-enfant nécessite un accompagnement avant et après l’accouchement, comme vient le souligner une nouvelle étude Ipos Santé pour le laboratoire Gallia.
Etre mère, ça s’apprend ! C’est ce que pensent et ressentent 9 femmes sur 10, selon une enquête Ipsos santé* qui s’est intéressée à la relation mère-enfant avant et après l’accouchement. Parmi les femmes interrogées, 21 % ont déclaré se sentir mère avant l’accouchement (avec les premières échographies, les changements du corps, le bébé qui bouge), tandis que pour 28 % d’entre elles, c’est après la naissance du bébé qu’elles ont investi leur rôle de mère. Les questions portaient avant tout sur l’accompagnement des mères et futures mères tant sur le plan affectif (proches, famille, conjoint) que sur le suivi médical par les professionnels de santé. « Traditionnellement, une femme est censée être heureuse à ce moment-là. Si on ne l’autorise pas à parler d’elle, elle ne le fera pas, intégrant le fait qu’elle est censée parler du bébé », décrypte Danielle Capgras-Barberon, sage-femme. Une mère a donc besoin d’être accompagnée dans la construction de son nouveau rôle, tout au long de la grossesse et surtout après la naissance. Côté affectif, c’est le père qui attise leur confiance en elles. Ainsi, elles sont plus de 91% à déclarer que leur conjoint est un soutien. Pour Gallia, c’est le résultat d’une évolution de la société et du rôle du père (congé parental adapté, notamment). Mais les professionnels de santé ont également un rôle fort à jouer dans le « devenir mère ». Et cet accompagnement est d’autant plus important après la naissance, même plusieurs mois après l’accouchement. En effet, 43 % des mères affirment avoir ressenti le baby-blues. Mais c’est surtout au moment du retour au travail que la relation mère-enfant est la plus fragile (vers 4-6 mois), au moment de concilier deux rôles : mère et femme active, de gérer un temps devenu précieux, des émotions nouvelles. Puis, c’est la diversification alimentaire, le passage du lait aux aliments plus solides, qui marque une nouvelle étape dans la relation entre le bébé et sa maman. Pour près de 93 % des mères « nourrir son bébé est une source de joie », malgré quelques difficultés et interrogations. Et pour 53 % des femmes interrogées, la relation se construit plus intimement par l’allaitement. Là encore, l’accompagnement est essentiel puisque les interrogations des mères sont nombreuses (notamment la peur de mal faire). Globalement, la plupart des mères suivies par l’étude ont vécu une expérience positive durant leur maternité naissante lorsqu’elles étaient bien suivies par des professionnels et entourées affectivement.
*Enquête du devenir maman réalisée par Ipos Santé pour le Laboratoire Gallia auprès de 811 femmes, dont 506 mères ayant un enfant de moins de 12 mois, et 305 femmes enceintes, du 16 au 30 juin 2014.
Source : Enquête Ipsos pour le laboratoire Gallia
Auteur : Chloé Margueritte > COMMENTER0
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Réduction du congé parental des mères et de la prime à la naissance : réponse aujourd’hui,parents,conge parentales,bebes,

4 Octobre 2014, 13:36pm

Publié par hugo

Réduction du congé parental des mères et de la prime à la naissance : réponse aujourd’hui
Réduction du congé parental des mères et de la prime à la naissance : réponse aujourd’hui Les mères pourraient bientôt voir le congé parental limité à 18 mois au deuxième enfant29/09/2014
On devrait savoir en fin de journée si le gouvernement envisage bien de réduire la prime à la naissance et le congé parental pris par chaque parent au deuxième enfant
Le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) doit être présenté cet après-midi par les Ministres des Affaires sociales, du budget et de la famille. Et ce texte devrait comporter quelques mesures d’économie impactant directement les familles. Dans la ligne de mire en effet : le congé parental. Celui-ci serait maintenu à trois ans au deuxième enfant mais les mères ne pourraient suspendre leur activité, contre indemnisation, que pour une durée de 18 mois maximum. Aux pères de s’arrêter eux aussi 18 mois pour que la prestation s’étende jusqu’aux trois ans de l’enfant. C’est donc une contrainte supplémentaire à celle d’abord évoquée par la loi pour l’égalité entre les hommes et les femmes votée en août. Celle-ci prévoyait la transformation du complément de libre choix d’activité (CLCA) en prestation partagée d’accueil de l’enfant (PreparE). Il était initialement prévu que cette prestation partagée soit versée pour un maximum de deux ans et demi au premier parent puis six mois au second. Cette modification devait entrer en vigueur à compter du 1er octobre. Mais les décrets d’application n’ont toujours pas été publiés. Et l’annonce aujourd’hui du PLFSS devrait de nouveau changer la donne. Autre coupe budgétaire envisagée : la réduction de la prime à la naissance. Son montant (930 euros) devrait être réduit à l’arrivée du deuxième enfant pour les familles les plus aisées. Enfin, pour les familles les plus aisées des moins aisées puisque le versement de cette allocation est déjà conditionnée aux revenus et qu’une partie des parents n’y ont déjà pas droit.
Source: Le Parisien
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Le congé parental bientôt réduit pour les mères,conge parentale,meres,conge de maternite,

30 Septembre 2014, 01:24am

Publié par hugo


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Les News Grossesse & bébé






Le congé parental bientôt réduit pour les mères


lundi 29 septembre 2014


Lors de la présentation du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS 2015), le gouvernement a annoncer une nouvelle réforme du congé parental, qui devrait aboutir à une nouvelle réduction de ce congé pour les mères ainsi que la division par trois de la prime de naissance dès le deuxième enfant.


congé parental


Le gouvernement envisage de réformer de nouveau le congé parental pour répartir la durée du congé plus "équitablement entre les deux conjoints".
Après plusieurs rumeurs, le gouvernement confirme une prochaine nouvelle réforme du congé parental avec une réduction du temps dédié à la mère. Pour en savoir plus sur les mesures annoncées dans le cadre du PLFSS 2015, découvrez notre article "PLFSS 2015 : la politique familiale à l'heure de la rigueur".


Une politique familiale pas très claire…


Votée le 4 août 2014, la loi sur l'égalité homme-femme prévoit que les parents de bébés qui naitraient à compter du 1er octobre 2014 ne pourraient prendre que deux ans et demi de congé parental au lieu de trois, les six derniers mois étant réservé au deuxième parent ou perdus. Mais les décrets d’application de cette loi tardant toujours à venir, les futurs parents sont toujours dans le flou. Et les dernières rumeurs ne devraient pas les aider à clarifier la situation.


Alors que le Parisien avançait que le gouvernement envisageait de diviser le congé parental pour moitié à chaque parent, soit 18 mois pour la mère et 18 mois pour le père, les annonces du PLFSS 2015 sont un peu moins tranchées. Oui, une réforme est envisagée pour mieux répartir la durée du congé entre les deux conjoints mais la répartition finale n'est pas encore arrêtée et devrait être discutée au Parlement. Si l’objectif annoncé serait d’inciter les hommes à s’investir pleinement dans leur rôle de père, cela permettra surtout au gouvernement de belles économies.


La ministre Marisol Touraine a déjà annoncé sur France Inter que le déficit du régime général de la Sécurité sociale s'établirait à 11,7 milliards d'euros alors qu’il devait initialement passer sous la barre des 10 milliards. Autre mesure annoncée lors de la présentation du PLFSS, la réduction de l’allocation de naissance 930 € dès le deuxième enfant (elle sera divisée par trois). Là encore, 200 millions d'économies sont attendus.


De nombreuses associations très remontées


Selon le Mouvement Mondial des Mères France, "quelques 600.000 parents prennent chaque année un congé parental. C'est le cas d'une mère sur deux à la naissance de son deuxième enfant et de 80 % des mères à la naissance du 3ème enfant. Dans 73 % des cas, les mères de deux enfants restent en congé parental jusqu'aux 3 ans de l'enfant et dans 87% des cas pour un troisième enfant (source CNAF). Toutes ces familles vont donc être très largement pénalisées par cette réforme". L'association poursuit en soulignant le manque de clarté de la politique familiale du gouvernement : "Comme la CNAF a annoncé début septembre que du fait de réduction budgétaire, elle serait dans l'impossibilité de créer les 100.000 places de crèches prévues, il s'agit de faire des économies de façon odieuse : on supprime aux parents l'allocation de congé parental mais on ne leur assure en aucune façon une possibilité de mode de garde de remplacement".


D’autres associations Sos Maman, Osez le féminisme, Famille de France… ont dénoncé ce qu’elles considèrent comme un recul de la politique familiale fait sur le dos des femmes.


David Bême


Sources :


Communiqué du Mouvement mondial des mères France – 29 septembre 2014 (accessible en ligne)


Le Parisien – 27 et 29 septembre 2014


Présentation du PLFSS 2015 - 29 septembre 2014






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Couvade : la grossesse des pères,santes,grossesse,peres,

28 Septembre 2014, 01:35am

Publié par hugo

Journal des Femmes Maman Père
Rédaction Jdf
JournalDesFemmes.com
Mis à jour le 04/11/13 14:54
Couvade : la grossesse des pères
Couvade : grossesse nerveuse des papas Pendant la grossesse, les papas prennent parfois presque autant de poids que leur femme, dorment mal, s'inquiètent pour tout, s'agacent, perdent leurs repères. Qui sont ces hommes atteints de couvade et comment les aider ?


La couvade des papas. Un terme bien mystérieux qui fait penser à une poule qui garde ses œufs précieusement au creux de ses plumes. Et pourtant, et c'est bien là tout le problème, les futurs papas victimes de couvade ne peuvent pas tenir le rôle de la volaille bienveillante.


La couvade : qu'est-ce que c'est ?


Trêve de comparaison ! Ce qu'on appelle aujourd'hui la couvade ou "grossesse nerveuse" désigne un ensemble de symptômes bien réels ressentis par les pères en devenir. Ils apparaissent généralement à la fin du premier trimestre et connaissent un pic à la fin du troisième. Ils disparaissent heureusement après la naissance. Aucune étude scientifique ne les recense mais ils ont été observés par les chercheurs. D'après le New Scientist, une équipe américaine a même montré que les singes mâles prenaient du poids quand leurs femelles étaient enceintes !
Les symptômes ressemblent étrangement à ceux de la grossesse : nausées, fringales, prise de poids, troubles digestifs, maux de tête, insomnies, variation de l'humeur, hypersensibilité et parfois même augmentation du taux de prolactine (l'hormone qui provoque la lactation). Bref, un tableau qui mène tout droit aux remarques les plus désagréables à entendre pour un homme. "Mais dit donc, c'est toi ou Gigi qui l'attend ce bébé ?" Et pourtant, la couvade, qui touche 20 % des hommes, mérite qu'on la considère avec le plus grand intérêt.
D'où vient ce phénomène étrange ?


Si l'on s'en tient à la définition du dictionnaire, la couvade désigne la coutume selon laquelle le père tient le rôle de la mère. En effet, qu'il s'agisse des anciennes habitudes de nos campagnes ou de celles encore observées dans des tribus plus éloignées, les futurs pères s'adonnent pendant la grossesse à une sorte de rite initiatique.
Lise Bartoli le décrit dans son ouvrage Venir au monde comme "une forme de gestation symbolique effectuée par le père, parallèle à la fécondation réelle de la mère". Interdits alimentaires et règles comportementales spécifiques jalonnent ainsi la grossesse... du père.
Cette couvade est censée responsabiliser le géniteur. La psychothérapeute explique que certains aborigènes d'Australie restent couchés quand s'approche l'heure de la naissance.
Chez nous aussi, à l'époque médiévale, dans la région basque, les pères restaient alités, simulaient l'accouchement, recevaient les cadeaux et prodiguaient les premiers soins au nourrisson alors que leur femme déjà debout reprenait le cour normal de la vie ! L'origine étymologique du terme "couvade" nous apprend donc que l'homme a besoin d'une manière ou d'une autre de s'impliquer physiquement dans la grossesse de sa femme.
Pourquoi se manifeste-t-il ?
couvade papas 220
La couvade des papas. © D. Ott - Fotolia
En effet, même si les hommes contribuent largement à la conception d'un enfant, ils n'ont pas, pendant ces neuf mois, de fonction bien définie comme le résume Benoît Le Goëdec, sage-femme et auteur du Guide des papas débutants, "ils souffrent de ne pas vivre physiquement la grossesse". En prenant du poids, ils montrent qu'ils deviennent pères.
Aussi, quand l'époque ou le lieu ne permettent plus de jouer la scène des contractions à la place de la maman, papa doit trouver d'autres moyens de s'exprimer. Chaque homme a ses raisons de couver : certains sont très inquiets pour la santé du bébé, d'autres se sentent exclus -toutes les attentions sont pour la mère, la vie tourne autour de son ventre. Enfin, restent ceux qui vivent mal ce tournant de leur vie, doutent de leurs capacités en tant que parent. Surtout que dans une société où homme et femme se partagent les tâches à égalité, la grossesse devient une aventure de plus à laquelle chacun se doit de contribuer autant que l'autre. Bref, pour dire qu'ils comptent, s'inquiètent, s'impliquent, partagent, endossent, certains futurs papas somatisent.
Ça se soigne !


Être au courant de l'existence de la couvade, c'est pouvoir aider son homme à la surmonter. D'abord en l'encourageant à suivre la même hygiène de vie que celle que l'on s'impose soi-même : limiter les aliments trop gras et trop sucrés, éviter le grignotage, veiller à manger de tout, boire suffisamment d'eau, poursuivre une activité physique régulière, se reposer suffisamment. Ensuite, en partageant avec lui vos astuces contre les nausées ou l'insomnie : tisanes calmantes, exercices de relaxation, massages...
Enfin, en agissant sur le fond du problème, c'est-à-dire en lui confiant des tâches bien précises qui le valorisent dans son rôle de père : s'occuper des démarches administratives pour la maternité, la naissance et la crèche, préparer la chambre et les affaires du bébé, les faire-part par exemple... Mais aussi participer activement à la grossesse en vous accompagnant aux rendez-vous médicaux, aux échographies, aux cours de préparation à l'accouchement. Privilégiez tout particulièrement l'haptonomie, une des techniques utilisées dans ces séances qui permet au père, par le biais du toucher, de communiquer avec le futur bébé et donc de trouver sa place dans cette relation à trois.
Bien sûr, si la situation devenait vraiment problématique, vous pouvez en parler avec votre gynécologue ou votre médecin traitant qui pourra si besoin orienter le futur père de votre enfant vers un spécialiste.
Témoignez :


TÉMOIGNAGES


Votre homme a t-il fait une couvade ?
Nausées, kilos en trop, ventre arrondi... Certains papas ressentent les mêmes symptômes de grossesse que les futures mamans. Confiez-nous votre expérience.
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Nous avons mené une enquête auprès de 965 papas en janvier dernier pour mieux connaître leur façon d'appréhender la paternité et la grossesse de leur compagne. Voici les principaux éléments à retenir...
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GROSSESSE / COUVADE


Grossesse nerveuse homme
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Etre mère, un rôle qui s'apprivoise,mere,maman,

27 Septembre 2014, 19:22pm

Publié par hugo

Journal des Femmes Maman Magazine
Audrey Achekian
25/09/14 16:46
Etre mère, un rôle qui s'apprivoise
Etre mère, un rôle qui s'apprivoise
DERNIÈRE MINUTE


Il faudrait plus d'un an pour perdre ses kilos de grossesse
Tendances : les jouets qui vont cartonner à Noël
Devoirs des enfants : les parents n'y comprennent rien !
Toute l'actualité Maman
Quand devient-on maman ? Comment se sentent les jeunes mères ? Deux études se sont intéressées au sujet. Résultats.


Devenir maman : évident ou inquiétant ? Cette semaine, plusieurs études se sont intéressées au ressenti des parents. Mais alors que se passe-t-il dans leur tête ? Comment les familles se sentent-elles ? Une enquête Candia/ Ifop réalisée sur plus de 800 mamans montrent qu'elles sont 58 % à se sentir détendues ! Toutefois, elles sont 89 % à avouer se sentir "parfois dépassées".


Une étude Gallia, elle, s'est intéressée aux jeunes mamans. A la question "quand devient-on mère ?", 21 % des femmes interrogées répondent pendant la grossesse et pour 29 % cela s'est passé après la naissance. Un phénomène qui s'observe aussi chez les hommes : dans une enquête du JournalDesFemmes.com, nous révélions que 29 % des internautes se sentaient pères au moment de la naissance et 23 % lorsqu'ils ont pris bébé dans les bras. De façon plus générale, 9 femmes sur 10 indiquent que "devenir maman est un véritable apprentissage" dans l'enquête Gallia. Positives, ces femmes sont "83 % à être confiantes dans leur capacité à devenir mère". Mais une fois que bébé est là, les doutes commencent. 43 % des mères ont ressenti le fameux baby-blues. De plus, alors qu'elles sont 82 % des mamans à se déclarer confiantes pendant les 3 premiers mois de bébé, le pourcentage descend à 75 % lorsque l'enfant atteint les 4-6 mois. Mais pour le Dr. Marie-France Le Heuzey, pédopsychiatre au CHU Robert Debré (75), ces chiffres sont sous-estimés : "Je pense que ces femmes censurent beaucoup leurs propos ! Prenez le phénomène du baby-blues par exemple : il touche l'ensemble des mamans, mais moins de la moitié d'entre elles le reconnaissent". Pour autant, elles sont une majorité (81 %) a déclaré ne pas avoir besoin de parler de leur vie personnelle. Serait-ce grâce à la présence des papas ? En effet, elles sont 91 % à se sentir soutenues par leur conjoint. Il est aussi possible que le corps médical leur apporte de nombreuses réponses : 82 % considèrent les professionnels de santé comme la principale source d'informations.


Source : Etude du Laboratoire Gallia réalisée par Ipsos Santé auprès de 811 femmes.


Et vous, qu'en pensez-vous ? Parlez-en sur notre forum Maman.







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Famille : le congé parental pourrait être réduit de moitié pour les mères,conge parentales,parents,meres,maman,

27 Septembre 2014, 15:31pm

Publié par hugo

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Info le ParisienFamille : le congé parental pourrait être réduit de moitié pour les mères
Catherine Gasté et Boris Cassel | Publié le 26.09.2014, 22h23 | Mise à jour : 23h00
Envoyer Actuellement, une mère peut interrompre partiellement ou totalement son activité pendant trois ans, moyennant une allocation versée par la Caisse d’allocations familiales allant jusqu’à 530 € mensuels. Cette durée pourrait être réduite de moitié... au profit des pères qui gagneraient les mêmes droits Actuellement, une mère peut interrompre partiellement ou totalement son activité pendant trois ans, moyennant une allocation versée par la Caisse d’allocations familiales allant jusqu’à 530 € mensuels. Cette durée pourrait être réduite de moitié... au profit des pères qui gagneraient les mêmes droits | AFP / Philippe Huguen
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280 réactionsRéagirAgrandir le texte Diminuer le texte Imprimer l'article Tout leParisien.fr sur votre mobile Les économies, c'est maintenant. Alors qu’ils se sont engagés à baisser la dépense publique de 21 milliards d'euros en 2015, l’Elysée et le gouvernement rendent ce week-end leurs derniers arbitrages sur la « douloureuse » à présenter aux Français.


La copie sera dévoilée officiellement dès lundi après-midi par Christian Eckert, secrétaire d’Etat au Budget, Marisol Touraine, ministre de la Santé et des Affaires sociales, et Laurence Rossignol, secrétaire d’Etat chargée de la Famille, à la sortie de la commission des comptes de la sécurité sociale.
SUR LE MÊME SUJET
Réduction du congé parental : le débat ne fait que commencer Réduction du congé parental : le débat ne fait que commencer Soit dix jours d’avance sur le calendrier prévu. Objectif : maîtriser la communication et préparer les ménages à de nouveaux sacrifices.


« Ça va être dur pour tout le monde, glisse un proche de l’exécutif. Ces 21 milliards de dépenses en moins sont autant d’argent en moins. Les plus pauvres seront épargnés. » Mais les familles, elles, seront durement touchées.


Comme d’habitude, le gouvernement tentera de faire passer ces coupes budgétaires en les justifiant par de la « justice sociale ». Un exemple : le congé parental, dont la durée devrait être réduite à dix-huit mois pour les femmes selon nos informations. Actuellement, une mère peut interrompre partiellement ou totalement son activité pendant trois ans, moyennant une allocation versée par la Caisse d’allocations familiales allant jusqu’à 530 € mensuels. Seule condition : avoir déjà un enfant.


La prime à la naissance réduite pour les plus aisés


Une réforme a déjà été votée cet été afin de ramener ce droit à deux ans et demi pour les femmes. Car, à compter du 1er octobre, les pères pourront aussi prendre ce congé pendant six mois pour élever leurs bambins. Mais le gouvernement envisage d’aller encore plus loin dès 2015. Il s’agirait de couper la poire en deux en accordant un an et demi de congé à chacun des parents. Officiellement, au nom de la fameuse égalité hommes-femmes. Officieusement, car il y a des économies à la clé.


Le gouvernement table en effet sur le fait que les hommes seront peu nombreux à faire valoir ce droit, donc à réclamer la prestation partagée d’éducation de l’enfant (PPEE). Ce jeu de passe-passe pourrait rapporter « entre 300 et 400 millions d'euros », selon une source proche du dossier. Et, en jouant la carte de l’égalité et non la réduction pure et simple d’un droit, le gouvernement espère éviter les cris d’orfraie des associations familiales et des députés frondeurs.


Autre arbitrage délicat au menu de la branche famille -qui doit contribuer pour 700 à 800 M€ d’économies : la prime de naissance de 930 € versée à l’arrivée de chaque enfant. Il s’agit de réduire son montant pour les familles les plus aisées à partir du deuxième enfant. Un coup de rabot censé rapporter autour de 200 M€, qui va mettre le feu aux poudres au sein des associations familiales.


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58% des mamans s’avouent détendues et épanouies,maman,santes,meres,

26 Septembre 2014, 15:40pm

Publié par hugo

58% des mamans s’avouent détendues et épanouies
58% des mamans s’avouent détendues et épanouies Plus de la moitié des femmes se sentent bien dans leur maternité, plus décomplexées...22/09/2014
Les mères d’aujourd’hui semblent avoir balayé l’idéal de la « mère parfaite » et acceptent mieux les petits soucis du quotidien, tout en profitant de la joie d’être maman, selon une étude de l’Ifop pour Candia Baby.
Depuis 2005, plus de 800 000 bébés voient le jour chaque année en France*. Et leurs mères se sentent globalement bien dans leur maternité, qu’elles soient mères au foyer ou mamans actives, selon une étude de l’Ifop pour Candia Baby**. Ainsi, 58% des mamans interrogées déclarent être détendues et épanouies. Pourtant, 89% d’entre elles se sentent également parfois dépassées. Mais, ce n’est pas tant la maternité et l’épanouissement des femmes qui sont pointés du doigt que le temps dédié à plusieurs tâches. Qu’est-ce qui a changé ? Au-delà de l’éloignement de l’idéal de la « mère parfaite », c’est la situation des mamans qui évolue. En effet, en France en 2014, l’âge moyen au premier enfant est de 30,1 ans, soit plus tardivement qu’il y a 20 ans. A cette période de leur vie, les jeunes femmes ont eu le temps, en général, de stabiliser tout aussi bien leur vie personnelle que professionnelle. Par ailleurs, les mamans d’aujourd’hui semblent mieux accepter le fait que l’épanouissement de leur bébé passe aussi par le leur. « La principale quête de la plupart des mamans réside dans la recherche de ce bonheur communicatif : une vision plus détendue de l’éducation de bébé, la recherche d’un équilibre entre les besoins de l’enfant et ceux de maman … », détaille l’étude. La naissance d’un enfant devient alors un accomplissement que les mamans n’ont plus honte d’associer au développement de leur vie professionnelle. Ainsi, 63% des mères qui travaillent se sentent également épanouies, et sont une large majorité (85%) à organiser leur temps pour consacrer au moins 2h par jour à leur bébé. Et c’est même une maman sur trois qui a le sentiment de réussir à équilibrer son rôle de maman, épouse et femme active. Cette évolution de la place de la mère a notamment été accompagnée par l’émergence d’un « nouveau papa », plus impliqué dans la gestion de la famille au quotidien. Ce sont près de 88% des foyers qui s’occupent de leur enfant en couple. Le père s’investit plus régulièrement dans les familles où la mère travaille (90%), sans pour autant négliger les mamans au foyer (82%).
*Selon les derniers chiffres de l’Insee
**étude menée en juin 2014 sur près de 503 mamans de bébés âgés de 12 à 36 mois
Source : Etude Ifop pour Candia Baby
Auteur : Chloé Margueritte > COMMENTER0
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Devenir mère, relation maman-bébé, accompagnement : les femmes nous disent tout !,meres,mamans,femmes,

21 Septembre 2014, 20:11pm

Publié par hugo


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Maman qui allète dans la nature
Devenir mère, relation maman-bébé, accompagnement : les femmes nous disent tout ! 9 mamans sur 10 estiment qu’être mère, ça s’apprend ! Comment vivent-elles leur maternité ? Cette étude nous dit tout, sans tabou.
On ne naît pas mère, on le devient... C'est ce qui ressort d'une enquête "Devenir maman" réalisée par Ipsos pour le laboratoire Gallia auprès de 811 femmes, dont 506 mères avec un tout-petit de moins de 12 mois et 305 femmes enceintes. Hé oui, pour 89% des femmes (9 sur 10), devenir maman est un rôle qui s’apprend, et cela, dès les premières échographies. Mais ce n’est pas tout, l’étude révèle d’autres chiffres intéressants !

Se sentir mère
Comme l'explique Françoise Molénat, une pédopsychiatre qui a participé à l'enquête : "Le projet d'un enfant est la première étape dans le fait de devenir mère". Elles sont 21% à s'être senties mères dès la grossesse, en sentant leur bébé bouger. Et la clé de cet apprentissage serait d'abord la confiance en soi. 83% des femmes interrogées croient en leurs capacités à devenir mère. Il faut dire qu'elles s'inspirent d'exemples positifs autour d'elles ! A commencer par leur propre mère, source principal de soutien pour 82% des femmes. La relation mère-fille, ça ne s'oublie pas ! Les copines aussi ont leur rôle à jouer.
Aussi, les mamans sont nombreuses à laisser de côté leur vie personnelle au profit de leur enfant. 81% des femmes disent ne pas avoir besoin de parler de leur vie personnelle avec leurs proches et préfèrent parler de sujets concernant leur bébé comme son poids ou son alimentation. Françoise Molénat remarque que c'est un processus inconscient : "Souvent les femmes n'ont pas conscience de mettre de côté leur ressenti." Rien de plus naturel que l'amour maternel !
Être accompagnée dans son rôle de maman
L'accompagnement, le soutien des proches sont nécessaires, notamment pendant la période des 4 à 6 mois du bébé. L'étude pointe une perte de confiance des femmes dans leurs capacités à être mères à ce moment visiblement fatidique. En effet, le chiffre chute, passant ainsi de 83% de femmes confiantes à 75%. Un petit coup de mou pas si anodin... Et souvent lié à la reprise du travail. Heureusement, le père, véritable booster de confiance, est là !
Outre leur mère, pour 91% des femmes, le conjoint fait partie des principales sources d’accompagnement. Parmi le panel d'interrogées, 87% pensent que les pères peuvent "materner" comme elles. Et pourquoi pas ? Oui, le terme "paterner" conviendrait un peu plus… Julia, maman de Stanislas, 23 mois, témoigne pour les besoins de l'enquête : "J'ai de la chance, je me suis sentie épaulée par mon mari qui était vraiment très présent, moralement et physiquement." A côté, le rôle des professionnels de santé n'est pas négligé quand il s'agit de dorloter son bébé. Gynécologues, sages-femmes, médecins, conseillent la maman tout au long de sa maternité. Un soulagement !
Nourrir son bébé : une joie !
93% des femmes interrogées sont heureuses de nourrir leur nouveau-né. Du point de vue pratique : l'étude rajoute que 53% d’entre elles ont décidé d’allaiter pendant leur première grossesse. Parmi ces mamans allaitantes, 82% pensent offrir ce qu’il y a de mieux à leur enfant, et 62% ont l'impression de renforcer le lien maman-be?be?.Danielle Capegras-Baberon, sage-femme, fait remarquer l'engouement récent pour l'allaitement naturel, alors que dans les années 50, le biberon était signe d'évolution sociétale. Sarah, maman de Balkis, 10 mois, déclare : "Après beaucoup de recherches, j'ai décidé d'allaiter. J'ai eu des hauts et des bas (fatigue, baisse de lactation). Mais ça a renforcé le lien naturel avec mon bébé." Toutefois, les mamans se posent des question sur la manière de faire. Selon notre sage-femme : "Les premiers jours à la maison sont souvent source d’inquiétude. Donner le sein le sein à son premier enfant n'est pas toujours facile, on ne connaît pas les bonnes positions, on a peur de "mal-faire", on se demande si le bébé a assez mangé..."
Devenir maman : une belle aventure !

Pour aller plus loin…
>Lisez notre article : Cet homme fait demi-tour pour embrasser sa fille... et sauve la vie de sa femme !
>Réagissez sur notre forum achats et préparatifs pour la naissance

par Marie Arnoux, Marine Chassang Filipe - Date de publication : 19/09/2014 à 11:21


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http://www.famili.fr/,devenir-mere-relation-maman-bebe-accompagnement-les-femmes-noous-disent-tout,452300.asp#xtor=cs1-17-[accueil]-[1]-[actu]-[menu_entrees]

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Pleurs du bébé : la réaction de la mère conditionnée par son enfance,femmes,meres,bebes,

12 Septembre 2014, 21:56pm

Publié par hugo

Pleurs du bébé : la réaction de la mère conditionnée par son enfance
bébé-pleurs11/09/2014
Les mères reproduiraient les schémas émotionnels vécus pendant l’enfance pour répondre aux pleurs de leurs bébés.
La réaction émotionnelle qui consiste à décrypter et à calmer les pleurs du bébé, dépendrait de l’affection reçue par les mères elles-mêmes, durant leur petite enfance. Les pleurs du petit enfant traduisent son besoin de communiquer avant l’acquisition du langage. Y répondre, sans excès, permet de contribuer au bon développement de l’enfant, en le rassurant et en assurant sa sécurité affective. Pourtant, bien souvent, dans les premiers mois, la fatigue de la mère s’accumulant, ils peuvent être mal interprétés, voire déstabilisants. Si cette tendresse est universelle, elle est toutefois conditionnée au rapport émotionnel que la mère a avec sa propre enfance. Ce sont les conclusions d’une étude américaine qui a suivi 259 mères pendant leur grossesse et jusqu’aux 6 mois de leur enfant. Elles devaient répondre à des questionnaires concernant leur personnalité, mais aussi leur état émotionnel dans différentes situations ainsi que leur propre expérience et souvenirs liés à l’affection reçue par leurs parents et entourage pendant la petite enfance. L’objectif était de comprendre comment les mères vivaient et analysaient les pleurs d’un bébé. Elles ont donc visionné des vidéos dans lesquelles 4 bébés pleuraient et les chercheurs ont analysé leurs réactions physiologiques (rythme cardiaque). Puis, elles ont tenté d’expliquer comment elles analysaient les pleurs des enfants. Résultat, celles qui ont reçu de l’écoute et de l’affection petites ou qui géraient mieux leurs propres émotions étaient plus attentives aux pleurs des bébés en général et à leurs besoins. Une fois devenues mères, leur bienveillance s’est vérifiée auprès de leur propre enfant. Les chercheurs souhaitaient surtout attirer l’attention sur l’importance du soutien à apporter aux mères dans la détresse pour les aider à mieux appréhender les premiers mois avec leur enfant. Leur apprendre à ne pas se laisser dépasser par des pleurs anodins, qui reflètent souvent un petit besoin, mais qui laissés sans réponse peuvent facilement s'accentuer.

Source : Journal « Child Development » et Santé log
Auteur : Chloé Margueritte > COMMENTER0
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