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Près de 60% des femmes algériennes estiment que le mari a le droit de frapper son épouse (RAPPORT),femmes,violence,violence conjugales,

23 Juin 2015, 03:16am

Publié par hugo

Près de 60% des femmes algériennes estiment que le mari a le droit de frapper son épouse (RAPPORT)
HuffPost Algérie | Par Mehdi Alioui
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Publication: 10/06/2015 16h07 CEST Mis à jour: 11/06/2015 14h48 CEST H426474101322321566
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59% des femmes algériennes, âgées entre 15 et 49 ans estiment qu'un mari a "le droit de frapper ou de battre" son épouse pour diverses causes, selon une enquête par grappes à indicateurs multiples (Multiple Indicator Cluster Survey - MICS), réalisée en Algérie en 2012-2013 par le Ministère de la Santé, en collaboration avec le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) et le Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA).


Cette enquête, qui concernait 41.184 femmes éligibles, a pu récolter les réponses de 38.548 d'entre elles, résidentes au Nord (Centre, Est et Ouest), dans les Hauts Plateaux et au Sud du pays. Les enquêteurs expliquent leur démarche par leur volonté d'"avoir une indication des croyances culturelles qui tendent à être associées à la prévalence de la violence des maris contre leurs femmes", explique le même document.
Une plus grande justification du phénomène a été constatée dans la zone rurale (66%), par rapport à la zone urbaine (55%), révèle le rapport MICS 4. Les femmes actuellement mariées ou l'ayant été par le passé sont plus nombreuses à justifier cette pratique, en comparaison aux femmes célibataires (56%).


Autre nuance soulignée par le MICS 4, la justification du phénomène est beaucoup plus présente chez les femmes âgées de 45 à 49 ans (64%), et touche moins celles âgées de 15 à 19 ans (55%).


LIRE AUSSI: Pour Amnesty International, les Algériennes ne sont pas suffisamment protégées contre les violences
Cette enquête a rajouté que les femmes algériennes ayant un niveau supérieur et celles vivant des les ménages les plus riches ne justifient pas la violence du mari à l'égard de son épouse, à hauteur de 41% et 48% respectivement. Au contraire, selon ce même document, les femmes sans niveau d'instruction, ou vivant dans les ménages les plus pauvres, justifient cette violence à hauteur de 76% et 70% respectivement.
48% des femmes justifient la violence du mari à l'égard de son épouse dans le cas où cette dernière manque de respect aux parents de son époux. D'autres estiment que le comportement du mari est légitime quand son épouse affiche son autonomie (46%), argumente avec lui (26%) ou "néglige les enfants" (37%).


Le document révèle que 25.7% justifient même la violence à l'égard des épouses quand celles-ci ... brûlent la nourriture. 7.1% des femmes interrogées estiment aussi que le mari a le droit de frapper son épouse si elle refuse ... "de lui donner son salaire".


LIRE AUSSI: En Algérie, les femmes sont mieux payées et plus qualifiées que les hommes
Les Hauts Plateaux plus enclin à la polygamie


Abordant également le mariage précoce et la polygamie, le MICS 4 indique que le mariage moins de 15 ans concerne 1% du total des femmes en âge de procréation âgées de 15-49 et 1% du total des femmes âgées de 20-49 ans ans. "Ce qui explique que le mariage précoce augmente en avançant dans les tranches d'âges des femmes", a rajouté le rapport.


En Algérie, le mariage des moins de 15 ans concerne 1% du total des femmes en âge de procréation âgées de 15-49 ans et 1% du total des femmes âgées de 20-49 ans ce qui explique que le mariage précoce augmente en avançant dans les tranches d'âge des femmes.


En ce qui concerne la proportion des femmes mariées avant d'atteindre l'âge de 18 ans, elle est de 6% des femmes âgées de 20-49 ans.


Concernant la polygamie, Le MICS 4 a révélé que la proportion de femmes mariées avec des hommes polygames est estimée à 3%. Cette même proportion augmente avec l'âge, passant de 1% chez les femmes âgés de 15-19 ans à 6% chez celles âgés de 45-49 ans.


Le niveau de polygamie est plus élevé dans les Hauts Plateaux, avec une proportion de 5% à au Centre et au Sud de ces régions, et 2% à l'Est.


violence


"Changer les mentalités"


Soumia Salhi, militante féministe, syndicaliste et ancienne présidente de l'association algérienne pour l'émancipation des femmes (AEF), avait estimé dans un entretien accordé à Radio M que "la vraie bataille" doit être menée dans la société.


Évoquant lors de cet entretien l'amendement du code pénal sur les violences faîtes aux femmes, elle avait indiqué que "la loi est en retard par rapport aux pratiques sociales".


LIRE AUSSI: La militante Soumia Salhi: l'amendement sur les violences faites aux femmes n'est qu'une "maigre avancée"
Une analyse visiblement incohérente avec les chiffres avancés par le Ministère de la Santé dans son MICS.


Bien que la loi algérienne relative aux violences conjugales accuse un lourd retard, selon The Guardian ou Amnesty International notamment, le changement des mentalités dans la société est de mise.


""il faut lutter et déconstruire cette image réductrice de la femme dans la société (...) Et ce n'est qu'à travers des réformes politiques profondes et appliquées que la société pourrait s'accommoder à l'égalité la femme", avait-elle déclaré au HuffPost Algérie.


Cette enquête par grappes à indicateurs multiples produit des statistiques précises sur la situation des enfants, des femmes et des ménages au niveau national, selon les milieux de résidence urbain et rural, par espace de programmation territoriale, et selon les caractéristiques socio-démographiques et socio-économiques des membres des ménages, dans différents domaines relatifs à la santé, à l’éducation, à la protection, au VIH/SIDA et aux conditions de vie de la population.


En Algérie, l’enquête MICS4 a ciblé un échantillon de 28000 ménages répartis selon les sept espaces de programmation territoriale et fournit ainsi des statistiques représentatives de la population algérienne au niveau national et au niveau de ces territoires.


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PLUS: Societe Algerie Mics Unicef Unicef Algérie Violence Conjugale Algérie Violence Conjugale Multiple Indicator Cluster Survey Multiple Indicator Cluster Survey 4 Multiple Indicator Cluster Survey Algeria MICS 4 Femme Algérie

http://www.huffpostmaghreb.com/2015/06/10/violence-conjugale-algeri_n_7552472.html

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Ovidie: "Les jeunes femmes d'aujourd'hui sont-elles vraiment plus libres sexuellement?",femmes,sexes,societe,

23 Juin 2015, 01:11am

Publié par hugo

Ovidie: "Les jeunes femmes d'aujourd'hui sont-elles vraiment plus libres sexuellement?"
Styles Vie Perso Sexo
Par Anaïs Giroux, publié le 18/06/2015 à 14:49 , mis à jour le 22/06/2015 à 09:57
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"A quoi rêvent les jeunes filles?" est le deuxième documentaire qu'Ovidie réalise pour France 2."A quoi rêvent les jeunes filles?" est le deuxième documentaire qu'Ovidie réalise pour France 2. Ovidie/Infrarouge-France2
Dans A quoi rêvent les jeunes filles, son documentaire diffusé le 23 juin sur France 2, l'auteure et réalisatrice interroge la génération de femmes qui a grandi avec Internet sur leur rapport au sexe. Rencontre.


Pourquoi avoir choisi de se pencher sur ce "à quoi rêvent les jeunes filles"?


J'ai décidé de faire ce documentaire il y a un peu plus de trois ans. Le point de départ, c'est la publication du rapport de Chantal Jouanno sur l'hypersexualisation des jeunes filles, en mars 2012. La presse s'était focalisée sur les points les plus vendeurs: les mini-miss et le porno chez les ados. J'étais dépitée. Les médias accusaient une fois de plus le porno, au lieu de se questionner sur ce qu'il reflète de notre société, au même titre que la publicité ou le cinéma classique. Pourquoi cette génération-là regarde ce type de porno, et éventuellement, le reproduit?


Je suis donc partie du constat de Chantal Jouanno sur l'hyper érotisation. Durant un trajet entre chez moi, dans Paris, et mon bureau à Boulogne, j'ai compté le nombre de femmes à poil ou juste dénudées que je croisais sur mon chemin. J'ai réalisé que tous les jours, je passais sans m'en rendre compte devant une cinquantaine d'images à caractère sexuel, mettant en scène spécifiquement des corps de femmes. C'est ce que j'ai voulu montrer au début du documentaire, où l'on voit une femme dans le métro passer devant un panneau avec écrit "éjaculation précoce" en grosses lettres, sans même lever le nez.


Sur ce point, j'étais d'accord avec la sénatrice. Effectivement, il y a du cul partout, et on a l'impression que les jeunes filles sont beaucoup plus libérées qu'avant. Mais la question du film n'est pas de savoir si elles se transforment en grandes putains. La question c'est: est-ce qu'elles sont vraiment plus libres? Avec ces images, qui constituent en fait une somme d'injonctions, n'est-on pas plutôt en train de plonger dans une autre sorte d'aliénation, et de les enfermer dans une forme de tyrannie sexuelle?


Comment as-tu choisi tes intervenantes?


Le travail de recherche et d'entretiens a duré deux ans, parce que je voulais aller plus loin qu'une réponse binaire avec d'un côté, les censeurs, et de l'autre, les libertaires. Le film ne dure qu'une heure, j'ai donc été obligée de sélectionner, mais j'ai rencontré énormément de gens, dont Mar_Lard, parce que j'avais lu son article dénonçant le sexisme dans le jeu vidéo; Ariane, car elle était rédactrice pour Le Tag Parfait, magazine en ligne sur la culture porn; Clarence, qui m'avait déjà interviewée pour son blog féministe Poulet Rotique; Ortie, parce qu'elle se présente comme ayant "la nationalité française et la nationalité Internet".


Car pour moi, le sujet du film n'est pas l'impact du porno mais l'impact d'Internet. Pour cette génération de jeunes femmes entre 18 et 25 ans, la création de la personnalité se passe sur Internet. Leurs amis viennent d'Internet, leurs inspirations, etc. Et elles se voient constamment, sur leur téléphone, sur les réseaux sociaux... C'est ça le vrai sujet, ce "miroir moderne". Avec comme dérive, le fait de faire de soi un produit, de se vendre en permanence.


Je n'apparais pas dans le documentaire, parce que je voulais leur donner la parole, les interroger sur ce qu'elles ressentent. Mais ce n'est pas non plus juste une succession de points de vue: j'ai choisi ces extraits en particulier parce qu'ils viennent confirmer tout ce que j'ai pu voir en centre de planification ou lors de débriefs d'interventions scolaires sur la sexualité.


Que peux-tu nous dire de cette sexualité justement?


Entre la première génération qui a grandi avec Internet et la mienne, dix ans se sont écoulés, et pourtant, la sexualité n'est pas la même. Les sondages montrent bien que les jeunes femmes entre 18 et 25 ans acceptent plus de pratiques "à contrecoeur", et plus de pratiques de soumission. Sur plusieurs points, comme l'égalité salariale ou le statut de mère, elles sont plus libres que les générations précédentes. En revanche, sexuellement, elles se sont replongées dans une nouvelle forme d'aliénation.


Ce qui a été le plus dur avec ce film, c'est, contrairement à Chantal Jouanno, de garder la tête froide et de ne pas céder à la panique morale. De ne pas se dire: "Oh, à 14 ans, elle est déjà épilée intégralement, ou à 18 ans, elle a fait des trucs que moi-même à 35 ans, avec mon CV chargé, je n'ai pas essayé... Mais que va faire ma fille?" J'ai essayé de ne pas me laisser parasiter par un quelconque jugement moral et de ne pas me servir de bouc émissaire comme le jeu vidéo ou le porno.


Dans ton documentaire, tu sembles pourtant voir d'un mauvais oeil le succès de James Deen, une star du X que les jeunes femmes adorent et qui est spécialisé dans la domination. Et si c'est leur fantasme après tout?


Évidemment qu'il ne faut ni juger ni condamner une nana qui a envie de se faire prendre comme dans un "gonzo". Je ne reproche rien non plus à James Deen, si ce n'est de revendiquer le droit pour les femmes d'être soumises et d'aimer ça. Si on a envie de revendiquer d'aimer ça, on n'a pas besoin de lui pour le dire à notre place! On est assez grandes pour s'émanciper. Je n'ai par ailleurs aucun problème avec ce type de pratiques dans le porno. Mais pourquoi est-ce que le même rôle est toujours assigné au même genre?


>>> A lire aussi: J'aime me faire dominer, et alors?


Qu'on ne me fasse pas croire que la domination est un fantasme qui sort de nulle part. Le porno fait partie d'un environnement culturel, et le reflète -c'est d'ailleurs pour ça que le porno américain n'a rien à voir avec le porno japonais ou danois. Ces pratiques ne relèvent pas d'un fantasme, mais de l'instauration d'une norme. Et si l'on couche comme ça en 2015, c'est parce que le milieu du porno a intégré des codes sociaux vieux comme le monde, de domination, mais aussi homophobes. C'est bien pour cela que dans le porno, la domination-soumission ou la sodomie se pratiquent toujours dans le même sens.


Que proposes-tu alors à la place avec tes films porno?


Prenons comme exemple mon dernier film, Le Baiser. Je propose une vision qui n'est pas stéréotypée en représentant une forme de pansexualité. Ça peut paraître un détail, mais il y a une scène bisexuelle entre deux hommes, et je crois que c'était la première fois depuis l'existence de la case adulte du samedi soir sur canal, hors de la nuit gay. De manière générale dans mes films, tout ne tourne pas autour du phallus, on n'est pas dans l'enchaînement mécanique fellation-pénétration vaginale-éjaculation. Je demande aussi à mes acteurs de se regarder dans les yeux. Ne serait-ce que ça, ça change tout dans une scène.




Était-ce important que le documentaire soit diffusé sur France 2, une chaîne hertzienne?


Oui, pour qu'il soit vu par le plus grand nombre. Mais c'est surtout Infrarouge, une case de qualité, qui m'intéressait. Dès la rédaction de la note d'intention, l'équipe de l'émission a été présente et bienveillante, à aucun moment ils n'ont voulu exercer de censure ou tenter de faire du film quelque chose de graveleux ou racoleur. Surtout, ils tenaient à un film engagé.


J'ai aussi été soutenue par la production [Yami2] dans mes idées de réalisation. Je me suis lancée dans des choses assez oniriques, voire contemplatives, avec des projections d'images sur corps. Ces moments sont des respirations visuelles dans le film pour pouvoir écouter ma voix off et s'interroger en même temps que moi. Je pense qu'on s'est bien débrouillés financièrement: pour un budget de documentaire télé normal, je trouve qu'esthétiquement, c'est réussi.


Le film a été projeté avant sa diffusion à la télévision. Quelles ont été les réactions?


J'ai l'impression que ça a filé la patate à pas mal de nanas! Pendant la projection, j'ai entendu des approbations dans la salle: des filles se sont senties concernées. Je l'ai montré à plusieurs générations et ça fonctionne chez toutes. Les mecs, eux, sont stupéfaits en général. Ils tombent des nues.


En tant qu'éducatrice, que penses-tu de la façon dont la presse féminine aborde le sexe?


Les magazines féminins ne donnent que des conseils pour se rendre intéressante sexuellement et plaire aux hommes. Si on te suggère d'essayer le SM soft à la Fifty Shades of Grey, ce n'est pas pour ton épanouissement personnel, c'est pour montrer que tu es une déesse du sexe. Aujourd'hui, en plus de contrôler ton propre corps -en étant mince, épilée, etc.- et de tenir ton rôle dans la société, tu es obligée de réussir ta vie sexuelle. Ce que je trouve hyper flippant.


La presse féminine est restée sur l'idée que les femmes ont une sexualité cérébrale, et les hommes une sexualité mécanique. On trouve donc beaucoup d'articles pour donner aux femmes des techniques pour satisfaire les hommes... mais aucun pour leur expliquer à elles comment prendre du plaisir. En plus, ce sont toujours les mêmes sujets. Quel ennui, alors qu'il y a tant de choses à explorer en terme de sexualité féminine.





À quoi rêvent les jeunes filles? d'Ovidie, produit par Christophe Nick/Yami2, le 23 juin sur France 2. A visionner également sur YouTube.





Read more at http://www.lexpress.fr/styles/sexo/ovidie-les-jeunes-femmes-d-aujourd-hui-sont-elles-vraiment-plus-libres-sexuellement_1690679.html#5pA7I2jLJA4b1gjt.99

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SEXE : 9 GESTES À NE PAS FAIRE PENDANT L'ACTE,couples,amours,

23 Juin 2015, 01:06am

Publié par hugo

Accueil » Sexualité » Pratiques sexuelles » Sexe : 9 gestes à ne pas faire pendant l'acte
SEXE : 9 GESTES À NE PAS FAIRE PENDANT L'ACTE


Que vous soyez expérimenté ou non, il y a certains gestes à éviter absolument pendant l'acte sexuel si vous voulez partager un vrai moment d'extase sans embûches, ni tue-l'amour.
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Foncer sur ses parties génitales


Page suivante Enchaîner trop de ...


D'un point de vue excitation, les hommes et les femmes sont conçus différemment. "Pour lui, commencer le rapport directement par une fellation ne pose pas de problème, explique Albert Barbaro, médecin sexologue. En revanche, caresser directement la vulve ou la poitrine de votre partenaire pour lui donner envie n'est pas une bonne idée !"


Ce qu'il faut faire : pour que la partenaire apprécie des caresses plus intimes, elle a besoin d'être mise en conditions : caresses dans les cheveux, souffle dans le cou, baisers sur le corps… Il faut prendre son temps.


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Foncer sur ses parties génitales
Foncer sur ses parties génitales
Enchaîner trop de positions
Enchaîner trop de positions
Etre trop féroce lors d'une fellation
Etre trop féroce lors d'une fellation
Une fessée sans lui demander
Une fessée sans lui demander
Rire pendant un cunnilingus ou une fellation
Rire pendant un cunnilingus ou une fellation
Tenter une pratique anale sans en parler avant
Tenter une pratique anale sans en parler avant
Se laisser aller trop tôt
Se laisser aller trop tôt
Ne pas se laver avant le rapport
Ne pas se laver avant le rapport
S’endormir directement après l’orgasme
S’endormir directement après l’orgasme
«»
La redaction
Publié par Chloé Polidano, journaliste santé et validé par Dr Albert Barbaro, médecin sexologue le Mercredi 17 Juin 2015 : 15h38
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http://www.medisite.fr/pratiques-sexuelles-sexe-9-gestes-a-ne-pas-faire-pendant-lacte.877666.80.html

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Couple: ils ont tout de suite su que c'était le/la bon(ne),couples,amours,

23 Juin 2015, 01:04am

Publié par hugo

BFMTV Psycho-Sexo
Couple: ils ont tout de suite su que c'était le/la bon(ne)
17/06/2015 à 19h42
Couple: ils ont tout de suite su que c'était le/la bon(ne)
Flickr/CC/MFer Photography
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Parfois, lors de la première rencontre, c'est une évidence: vous êtes face à votre âme soeur. Ces chanceux de l'amour témoignaient dans Lahaie, l'Amour et Vous sur RMC.


Agathe, en couple depuis 16 ans


"Je n'ai jamais rêvé de prince charmant, mes parents se sont séparés quand j'avais 5 ans. Je n'attendais rien, je ne voulais pas me marier. Mes histoires duraient entre 6 mois et un an. J'étais méfiante et je ne laissais pas de place à un homme dans ma vie. Je suis partie à l'étranger, à Cuba pour travailler et faire la fête. Au bout de 15 jours, j'avais rencontré mon futur mari.


Tout d'un coup, il y avait quelque chose d'extrêmement fluide et serein. C'était un sentiment de sécurité. Et ça dure depuis 16 ans. Je ne me sentais pas faite pour un homme français. Mon père a été élevé au Venezuela, il y avait quelque chose de très famille protection, valeur du couple. Et ça a été formidable de découvrir ça avec lui".


Hugo, en couple depuis deux ans:


"J'ai vécu avec une femme manipulatrice. Elle avait vécu pendant 13 ans avec un manipulateur. Nous nous sommes rencontrés sur Internet et lorsque nous nous sommes rencontrés pour la première fois, c'était naturel. Dans nos gestes de tendresse, tout est naturel".


Mélanie, en couple depuis 9 ans:


"Nous nous sommes rencontrés sur Internet. Au début, sa photo ne me plaisait pas vraiment, mais il a insisté pour que nous échangions. Et quand il parlait j'avais l'impression qu'il me connaissait. Ca résonnait en moins, mais je n'étais pas sûre d'avoir une attirance pour lui. Au bout de 4 mois, il m'a dit que ça ne servait à rien que l'on parle si nous n'allions pas nous rencontrer.


Et là, j'ai eu peur de le perdre. J'y suis donc allée. Et dès que je l'ai vu, il était très différent de sa photo qui n'était vraiment pas prise du tout à son avantage. Et puis on s'est revu. Nous nous sommes mariés il y a 7 ans et avons eu 2 enfants".


Nicolas, en couple depuis 2 mois:


"Après m'être séparée de mon épouse, je me suis occupé un peu de moi. J'ai rencontré ma nouvelle compagne sur Internet. Je me suis rendu compte que tout ce que j'avais vécu jusque-là était faux et j'ai rencontré la personne qui me correspondait vraiment.


Je ne pensais pas me remettre de mon divorce, et j'ai finalement trouvé tout ce que je n'avais pas eu avec mon épouse pendant 10 ans. Nous avions les mêmes aspirations sur le plan familial".


Par La rédaction

http://vous.bfmtv.com/psycho-sexo/couple-ils-ont-tout-de-suite-su-que-c-etait-lela-bonne-895428.html

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Assistanat sexuel: "C'est de la non-assistance à personne en danger que de ne pas l'autoriser",handicap,sexes,

23 Juin 2015, 00:59am

Publié par hugo

Assistanat sexuel: "C'est de la non-assistance à personne en danger que de ne pas l'autoriser"
22/06/2015 à 19h25
Assistanat sexuel:
Flickr/CC/Svennevenn
Paulina BENAVENTE
Paulina
BENAVENTE


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Sexe et handicap. Un tabou que veut faire sauter l'Association pour la promotion de l'accompagnement sexuel (Appas). L'association organise depuis mars 2015 des formations à l'accompagnement sexuel des personnes handicapées. Une activité assimilée à de la prostitution en France, mais reconnue chez certains voisins européens (Allemagne, Suisse, Pays-Bas, Italie).


"Dans l'inconscient collectif, on n'a pas envie de voir une sexualité des handicapés", assène Vanessa Luciano, la vice-présidente de l'Association pour la promotion de l'accompagnement sexuel (Appas). "On se dit qu'ils ne sont pas sexués, qu'ils n'ont pas d'envies. C'est de la non-assistance à personnes en danger que de ne pas autoriser cet assistanat sexuel".


L'Appas réclame la reconnaissance du statut des aidants sexuels. Assimilée à de la prostitution en France, cette activité est reconnue en Allemagne, aux Pays-Bas, en Belgique, au Danemark, en Italie et en Suisse. Le débat avait pourtant été lancé en 2007 puis en 2010 avec deux colloques sur le sujet. Dans un rapport de 2011, le député UMP Jean-François Chossy appelait à "promouvoir l’idée que toute personne doit pouvoir recevoir l’assistance humaine nécessaire à l’expression de sa sexualité" plaidant pour "un cadre éthique et juridique".


Le Comité consultatif national d'éthique (CCNE) tranche en 2013: "Il n'est pas possible de faire de l'aide sexuelle une situation professionnelle comme les autres en raison du principe de non-utilisation marchande du corps humain".


Un stage de formation du 25 au 28 juin


Pourtant l'accompagnement sexuel existe bel et bien en France. En mars dernier, l'Appas a même organisé le premier stage de formation à l'assistance sexuelle aux handicapés en Alsace. Le deuxième aura lieu cette semaine, du 25 au 28 juin. Plus de 200 candidats pour une quinzaine de personnes retenues, dont la majorité provient du milieu médicosocial.


Claire, 29 ans, a suivi le stage de mars dernier: " Le but n'est pas d'établir une relation régulière mais d'aider la personne à reprendre possession de son corps. Il est compliqué pour les gens d'imaginer l'état de détresse de certaines personnes".


La détresse, Patricia, 44 ans, l'a connue. Handicapée moteur de naissance, elle ne peut bouger ni ses bras, ni ses jambes, elle vit sur son fauteuil roulant: "Au fur et à mesure des années, je me rendais compte qu'il y avait des manques, et je n'avais pas de solution. J'ai pensé à appeler des escorts, mais j'ai eu peur de l'inconnu".


"Je ne peux donner satisfaction à mon corps qui se tord de douleur"


C'est finalement suite à une tribune dans Libération, en 2013, qu'elle prend contact avec Jill Nuss, ancienne accompagnante sexuelle et épouse de Marcel Nuss, fondateur de l'Appas. Elle y décrit son impuissance face à son corps qu'elle ne peut contrôler: "Même avec la plus grande volonté du monde, je ne peux donner satisfaction à mon corps qui se tord de douleur chaque jour tant sa demande est forte. Il ne cesse de me réclamer de la tendresse, des caresses, des baisers ou tout simplement d’être allongée contre un autre et de sentir sa chaleur. Est-ce trop demander ?"


Pierre, atteint de la maladie des os de verre a aussi souffert de la solitude: "Ma vie amoureuse a été inexistante jusqu'à il y a très peu de temps". Il découvre l'existence de l'accompagnement sexuel en 2013. Pierre a alors 54 ans. Depuis, il voit des accompagnantes sexuelles en fonction de ses moyens, mais a aussi connu "deux vraies histoires".


"Les mamans en pleurs au téléphone"


Face à ces détresses individuelles, les opposants à l'assistanat sexuel pointent d'"importants risques de dérive". "J'entends les critiques, mais qu'ils proposent une solution!", lance Vanessa Luciano. "On ne force pas les gens, ce sont eux qui viennent nous voir. Ce sont les mamans en pleurs au téléphone, ce ne sont pas aux mères de masturber leur enfant. Une auxiliaire de vie ne veut pas le faire, un médecin ne veut pas le faire, une prostituée veut le faire mais parfois elle n'est pas formée et pas apte à le faire".


En attendant, l'association a soumis à une quarantaine de députés un projet de loi visant à faire "une exception sur la loi sur le proxénétisme, en faveur de l'accompagnement à la vie affective et à la santé sexuelle des usagers du système de santé".


Paulina BENAVENTE
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http://vous.bfmtv.com/psycho-sexo/assistanat-sexuel-c-est-de-la-non-assistance-a-personne-en-danger-que-de-ne-pas-l-autoriser-896610.html

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Quelle est la place de la masturbation au sein du couple ?,sexes,couples,amours,

23 Juin 2015, 00:53am

Publié par hugo

Quelle est la place de la masturbation au sein du couple ?
08/04/2015 à 12h20 Mis à jour le 09/04/2015 à 12h14
couple-masturbation
DR
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Ce geste n'est souvent pas jugé à sa juste valeur et pourtant, il est vraiment bénéfique pour le couple. Explications.


Certaines femmes prennent plutôt mal le fait d’apprendre que leur conjoint pratique la masturbation solitaire. Elles ressentent alors la sensation de se faire tromper, de ne plus réussir à assouvir les besoins de leur homme et craignent ainsi la rupture… « Dommage, déplore le sexologue Philippe Brenot, car cette crainte est évidemment injustifiée. Il faut le répéter : il n’y a aucune jalousie à avoir par rapport à cela. Rien de plus normal, pour un homme comme pour une femme, que de se faire du bien en solo. » C’est même une très bonne chose pour le couple puisse qu’en pratiquant le plaisir solitaire, l’homme apprend à mieux maîtriser son érection et son éjaculation. C’est un moyen pour lui de se perfectionner pour pratiquer l’acte avec vous. « Il est temps de voir la masturbation comme un complément de la sexualité de couple. Car elle n’est ni l’équivalent d’un coït, ni un substitut. C’est une activité autonome qui favorise l’équilibre personnel… et donc conjugal » nous explique le psychiatre. Surtout que cette pratique peut également se faire à deux…

http://vous.bfmtv.com/psycho-sexo/quelle-est-la-place-de-la-masturbation-au-sein-du-couple-1267198.html

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Une Australienne tatouée gagne son combat judiciaire pour allaiter

22 Juin 2015, 23:49pm

Publié par hugo

A PARISIENNE SOCIÉTÉ À LA UNE
Une Australienne tatouée gagne son combat judiciaire pour allaiter
R.T | 19 Juin 2015, 12h15 | MAJ : 20 Juin 2015, 13h38



RÉAGIR
2
En Australie, une jeune femme tatouée a été autorisée à allaiter.
En Australie, une jeune femme tatouée a été autorisée à allaiter. DR
Le débat fait rage au pays des koalas. Une jeune mère à qui la justice australienne avait interdit d'allaiter son bébé au motif qu'elle venait d'être tatouée et que la santé de l'enfant était en jeu a obtenu gain de cause ce vendredi en appel.


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Un tribunal aux affaires familiales de Sydney a cassé à l'unanimité la décision du juge de première instance, estimant que la preuve du «risque» encouru par l'enfant, un garçon de 11 mois, n'était pas faite. La mère, âgée de 20 ans, s'était fait tatouer un symbole sur un doigt et un pied au mois de mai sans dire au tatoueur qu'elle était en train d'allaiter.


Le père, dont elle est séparée, a saisi ce motif pour garder l'enfant avec lui, expliquant que son ex souffrait de problèmes psychiatriques et de drogue.


La jeune femme a alors sollicité l'arbitrage de la justice qui a décidé le 5 juin de lui attribuer la garde principale de l'enfant à condition qu'elle s'abstienne de l'allaiter. Le juge a estimé qu'elle avait peut-être contracté un virus transmis par voie sanguine au moment de se faire tatouer.


Les tests VIH et d'hépatite s'étaient pourtant révélés négatifs.Le tribunal faisait par ailleurs valoir que la jeune femme avait suivi un traitement pour dépression post-natale et qu'elle avait consommé du cannabis à une reprise au cours des deux dernières années.


Interdiction d'allaiter sa fille de ... 6 ans


Dans sa décision, le tribunal aux affaires familiales a estimé que les juges ne devaient pas prendre leurs «sentiments personnels» pour des «faits» incontestables ou «des preuves d'expert». Il a en outre reproché au juge Mathew Meyers d'avoir omis de prendre en considération le préjudice émotionnel et physiologique de l'enfant brutalement privé du sein de sa mère. Cette polémique fait suite à une autre, aux antipodes, où une cour de justice a interdit une mère de continuer à allaiter a fille de... 6 ans ! La mère de 52 ans nourrit encore sa fille au sein et juge la chose «normale»...



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GPA : trois questions sur la décision attendue de la Cour de cassation,lois,droits,

22 Juin 2015, 23:46pm

Publié par hugo

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Actualités / Société / Loi sur la famille / Gestation pour autrui
GPA : trois questions sur la décision attendue de la Cour de cassation



Le procureur général a rendu son avis, vendredi, recommandant l'inscription à l'état civil de deux enfants nés à l'étranger de gestation pour autrui, sous réserve de la réalisation d'un test de filiation.


L'arrêt rendu le 26 juin 2014 par la Cour européenne des droits de l'homme, estimant que la France devait inscrire à l'état civil les enfants nés de GPA à l'étranger, fait jurisprudence en France.
L'arrêt rendu le 26 juin 2014 par la Cour européenne des droits de l'homme, estimant que la France devait inscrire à l'état civil les enfants nés de GPA à l'étranger, fait jurisprudence en France. (JULIAN RUPP / AFP)
Par Louis Boy, Thomas Baïetto
Mis à jour le 19/06/2015 | 18:58 , publié le 19/06/2015 | 18:58
La Cour de cassation rendra sa décision le 3 juillet, mais on a sans doute déjà une idée de la façon dont elle tranchera le cas de la demande d'inscription à l'état civil de deux enfants nés à l'étranger de gestation pour autrui (GPA). Le procureur général a rendu, vendredi 19 juin, un avis favorable à cette inscription, mais sous réserve qu'un test de filiation soit pratiqué.


Quelle est la situation des deux enfants concernés ?
Les deux cas concernent des enfants nés par GPA en Russie, de pères biologiques français. La cour d'appel de Rennes avait refusé l'inscription à l'état civil du premier, le 15 avril 2014, mais l'avait acceptée pour le second, le 16 décembre 2014. Dans ce dernier cas, c'est le parquet qui s'était pourvu en cassation, explique sur Twitter une journaliste de France Inter.


Entre-temps, le 26 juin 2014, la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) a rendu un arrêt, qui fait jurisprudence, interdisant à la France de refuser de reconnaître la filiation des enfants nés à l'étranger de mères porteuses : ce serait porter atteinte à leur "identité", a estimé la CEDH.


Que recommande le procureur général ?
Suivant l'avis de la CEDH, le procureur général de la Cour de cassation a recommandé vendredi l'inscription à l'état civil des deux enfants, mais à une condition : qu'un test établisse la filiation biologique avec leur père.


"La retranscription automatique de l'acte de naissance étranger sur l'acte civil français reviendrait à une reconnaissance automatique de la gestation pour autrui", interdite en France, a-t-il estimé. La Cour de cassation a jusqu'au 3 juillet pour décider ou non de suivre ses recommandations.


Que changerait cette décision dans le droit français ?
L'arrêt de la CEDH est censé faire jurisprudence en France. Mais c'est la première fois depuis cette décision que la Cour de cassation se penche sur le sujet et, auparavant, elle avait toujours rejeté les pourvois en cassation des parents d'enfants nés de GPA à l'étranger.


Caroline Mécary, avocate spécialiste en droit de la famille, contactée par francetv info, estime que le parquet "propose une solution qui est apparemment progressiste, mais qui, en réalité, est en contradiction totale avec les arrêts de la CEDH". En effet, en conditionnant la reconnaissance à un test de filiation biologique, la justice créerait, pour elle, une inégalité entre les enfants selon leur mode de conception.


Elle estime que la Cour de cassation ne suivra pas cet avis et s'en tiendra à l'arrêt de la CEDH : "Une autre solution entraîneraît le risque de nouvelles condamnations de la France par la Cour européenne, et, ça, les magistrats de la Cour de cassation le savent."


Enfin, cette décision, tout comme l'arrêt de la CEDH, ne changeront rien au droit de la France à interdire la gestation pour autrui sur son sol.


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Les pédiatres néerlandais veulent légaliser l'euthanasie pour les moins de 12 ans,lois,droits,

22 Juin 2015, 23:42pm

Publié par hugo

Les pédiatres néerlandais veulent légaliser l'euthanasie pour les moins de 12 ans
19 Juin 2015, 14h33 | MAJ : 19 Juin 2015, 14h33



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Aux Pays-Bas, des enfants âgés de 12 ans et plus peuvent demander à être euthanasiés s'ils endurent des souffrances intolérables
Aux Pays-Bas, des enfants âgés de 12 ans et plus peuvent demander à être euthanasiés s'ils endurent des souffrances intolérables (AFP/Angelika Warmuth)
Des enfants qui endurent des souffrances intolérables et sont incurables doivent pouvoir demander à mourir, estiment vendredi les pédiatres néerlandais, alors que la loi prévoit un âge minimum de 12 ans pour les demandes d'euthanasie.
"Nous estimons qu'une limite d'âge arbitraire comme celle de 12 ans doit être changée et que la capacité de chaque enfant à demander à mourir doit être évaluée au cas par cas", a déclaré à l'AFP le professeur en pédiatrie à l'Université de Groningen, Eduard Verhagen, qui a participé à l'élaboration de la décision au sein de l'Association néerlandaise des pédiatres.




Aux Pays-Bas, des enfants âgés de 12 ans et plus peuvent demander à être euthanasiés s'ils endurent des souffrances intolérables, sont incurables, sont proches de la mort, sont capables d'exprimer leur volonté et si leurs parents approuvent cette demande.
"Si un enfant de moins de 12 ans remplit les mêmes conditions, les pédiatres sont pour l'instant impuissants", assure M. Verhagen : "il est temps de s'attaquer au problème".
Les médecins recommandent en fait de suivre l'exemple de la Belgique, qui en février 2014 était devenue le premier pays au monde à prendre la décision d'autoriser les mineurs "en capacité de discernement" à choisir l'euthanasie.
Selon la loi belge, le mineur doit se "trouver dans une situation médicale sans issue entraînant le décès à brève échéance", être confronté à une "souffrance physique constante et insupportable ne pouvant être apaisée.
La capacité de l'enfant à comprendre ce qu'il demande doit être évalué au cas par cas et si l?initiative de demander l?euthanasie doit venir de l'enfant, les parents doivent donner leur consentement.
Pour ceux qui ne sont pas capables d'exprimer leur volonté, les médecins veulent pouvoir agir à la demande des parents, après l'accord d'une commission médicale, comme c'est le cas pour les nouveaux-nés jusqu'à 1 an.
Les pédiatres veulent mettre en place une commission pour continuer à examiner la question avant de rendre un avis officiel au gouvernement.
Il s'agit souvent de "situations extrêmes", assure Eduard Verhagen : ce sont des enfants "à l'approche de la mort et dont les parents veulent leur offrir la possibilité de mourir de manière humaine".
Entre 2002 et 2012, cinq demandes d'euthanasie de mineurs ont été honorées : un enfant de 12 ans et quatre jeunes de 16 à 17 ans, selon la même source.
Le débat belge avait provoqué un retentissement mondial alors que l'euthanasie provoque toujours des débats passionnés en France, notamment autour du cas du tétraplégique Vincent Lambert, en état végétatif chronique.




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Infertilité : 3 nouveaux espoirs pour avoir enfin un bébé,bebe,grossesse,

22 Juin 2015, 23:36pm

Publié par hugo

Accueil / Maman / Conception / Infertilité : 3 nouveaux espoirs pour avoir enfin un bébé


Infertilité : 3 nouveaux espoirs pour avoir enfin un bébé
21 partages


Publié par Laetitia Azi
Publié le 15 juin 2015


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Alors que nous venons de fêter les mamans, nous avons eu envie de faire un point sur trois découvertes récentes porteuses d’espoir en matière de fertilité féminine. La médecine avance et aujourd'hui, des femmes de science offrent de nouveaux espoirs à toutes celles qui rencontrent des difficultés pour faire un bébé.
Un bébé malgré l’ablation des ovaires, c’est enfin une réalité
Quand un cancer est diagnostiqué sur une personne jeune, le traumatisme de l’annonce est généralement accompagné dans un deuxième temps par la peur des répercussions des traitements sur sa fertilité future. Le Dr. Kate Stern, australienne, a réussi un miracle : permettre à une patiente dont les ovaires avaient été retirés de tomber enceinte grâce à une greffe de tissu ovarien. Un succès qui ouvre de nouvelles perspectives pour toutes les femmes ayant subi une ablation des ovaires ou des opérations pelviennes.


© Istock
Le premier ovaire humain artificiel, une piste désormais concrète
Professeur d’obstétrique et de gynécologie à l’université de Brown, Sandra Carson n’avait pas l’intention de créer un organe artificiel – mais plutôt un « laboratoire vivant », un cadre de recherche. Elle est ainsi la première à avoir réussi à créer une structure tissulaire en 3D aux cellules conformes à celles d’un ovaire naturel. La recherche est toujours en cours, mais Sandra Carson et son équipe espèrent que leurs avancées contribueront à maintenir la fertilité de femmes confrontées à la chimiothérapie ou autres traitements lourds. L’idée : prélever leurs ovocytes avant le début du traitement, les congeler et les emmener en temps voulu à maturité artificiellement.


© Istock
La fécondation in vitro dite « à trois parents », méthode polémique pour éviter la transmission de maladies graves
Certaines pathologies lourdes, telles que les myopathies, peuvent être transmises de la mère au foetus par les mitochondries, fournisseurs d’énergie des cellules.
Paula Amato, Professeur en obstétrique et gynécologie exerçant aux Etats-Unis, a contribué à concevoir une technique de thérapie des gènes pour enrayer les risques.
Ce procédé, souvent surnommé « fécondation in vitro à trois parents », consiste à prélever les ADN d’une femme aux mitochondries déficientes : ceux d’une donneuse aux mitochondries saines, et le sperme du père. Ce qui résulte dans les faits à avoir trois parents biologiques. Le bébé aura ainsi toutes les caractéristiques géniques de ses deux « vrais » parents, mais pas de mitochondries dangereuses. Comme souvent avec la manipulation génique, cette découverte a provoqué un débat éthique enflammé, certains parlant même de « bébés sur mesure ». Mais le gouvernement britannique a donné son feu vert à cette technique en février dernier, étant ainsi le premier pays à l’autoriser.


Ces trois scientifiques ont aidé – et vont encore aider - des milliers de femmes à devenir mères. Mais que nous réservent les méthodes de fertilité assistée du futur ? Et sommes nous prêts à faire face aux questions éthiques qu’elles ne manqueront pas de soulever ? Prenez la parole sur ce sujet sur twitter @4womeninscience et @aufeminin avec le hashtag #womeninscience


Pour plus d’infos sur ce sujet, rendez-vous sur discov-her.com




80 aliments pour booster sa fertilité © Istock

80 aliments pour booster sa fertilité
Les légumes
Les courgettes
Le fenouil
La carotte
Les poireaux
L'avocat
Les épinards
La betterave
Le chou-fleur
Les asperges
Les champignons
Les pousses de soja
L'oseille
Les brocolis
Les mange tout
Le poivron
L'aubergine
Les radis
Le concombre
Les haricots verts
Le céleri
Les choux de Bruxelles
Les artichauts
La salade

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Stérilité : Quelles en sont les principales causes ?

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