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EXCLUSIF.Immigration : sept Français sur dix veulent changer les règles,immigration,france,

26 Octobre 2013, 00:23am

Publié par hugo

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EXCLUSIF.Immigration : sept Français sur dix veulent changer les règles
Notre sondage BVA pour i-télé et « le Parisien »-« Aujourd’hui en France » est sans appel : sept Français sur dix souhaitent une réforme du droit du sol. Mais ils y voient aussi une manœuvre électorale de Copé…
Henri Vernet | Publié le 25.10.2013, 23h51 | Mise à jour : 26.10.2013, 00h06
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ILLUSTRATION. CEREMONIE DE REMISE DES DECRETS DE NATURALISATION FRANCAISE A LA PREFECTURE DE BEAUVAIS (OISE) ILLUSTRATION. CEREMONIE DE REMISE DES DECRETS DE NATURALISATION FRANCAISE A LA PREFECTURE DE BEAUVAIS (OISE) | LE PARISIEN/ Arnaud DUMONTIER Zoom 1 réactionRéagirAgrandir le texte Diminuer le texte Imprimer l'article Tout leParisien.fr sur votre mobile Réformer les règles de l’immigration, en touchant notamment au droit du sol ? C’est la proposition choc lancée par Jean-François Copé au début de la semaine, déclenchant un tollé à gauche et suscitant un léger malaise auprès d’une partie de son propre camp. Eh bien, révèle le sondage BVA pour l’émission « CQFD », sur i-télé, et notre journal, les Français sont massivement pour.
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Pour ne pas biaiser les résultats, en effet, BVA n’a pas fait référence dans sa question à la proposition de Copé. « Du coup, le résultat est d’autant plus intéressant puisqu’il fait apparaître que les sympathisants de gauche sont tout de même 47 % à être favorables à une telle réforme », commente Céline Bracq, de BVA Opinion. Plus piquant encore, les sympathisants écolos l’approuveraient à 43 %, alors que les dirigeants verts sont vent debout contre cette idée !


« Les Français sans pitié pour ceux qui voudraient profiter du système»


Plusieurs raisons à cela. D’abord, le thème de l’immigration regagne du terrain parmi les préoccupations prioritaires des Français, même s’il reste nettement derrière le pouvoir d’achat ou l’emploi. Brandi en permanence par le FN de Marine Le Pen, désormais repris par l’UMP et même par la gauche — avec la réforme annoncée par Valls du droit d’asile —, le sujet préoccupe de plus en plus, constatent les sondeurs.


Autre explication à ce véritable plébiscite, l’idée, largement partagée, que la nationalité française se mérite. « Les Français se montrent sans pitié pour ceux qui voudraient profiter du système, poursuit Céline Bracq. Ils estiment que seuls ceux qui respectent les règles doivent avoir accès à la nationalité. » En cela, donc, ils rejoignent la proposition de Copé. Celui-ci veut en finir avec l’acquisition automatique de la nationalité à 18 ans, lorsque les enfants sont nés de parents séjournant illégalement en France.


Pour autant, l’opinion n’est pas dupe. Pour 76 % des personnes interrogées, le patron de l’UMP cherche avant tout à mobiliser les électeurs en vue des élections municipales et européennes de l’an prochain, plutôt que de parler d’un sujet qui préoccupe les Français. De fait, l’UMP étant minoritaire, ce projet n’a aucune chance de passer. Même parmi les amis de la droite, ils sont majoritaires (56 %) à dénoncer ce calcul électoraliste. « Or, reprend Céline Bracq, il n’est pas souhaitable pour un homme politique que sa démarche apparaisse aussi tacticienne. Nous avions enregistré des résultats similaires lors du débat sur l’identité nationale en 2009 : l’année suivante, les élections régionales furent catastrophiques pour l’UMP alors que le FN, lui, avait progressé… »


LeParisien.fr
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Bonus : les banquiers croient encore au Père Noël,economie,

26 Octobre 2013, 00:21am

Publié par hugo

nion bancaire : le patron de la BCE met la pression sur les dirigeants européens
Rémunérations 7
Bonus : les banquiers croient encore au Père Noël
Le cabinet Johnson Associates estime que les bonus 2013 des traders obligataires américains accuseront une chute de 10% à 15%. REUTERS.
Le cabinet Johnson Associates estime que les bonus 2013 des traders obligataires américains accuseront une chute de 10% à 15%. REUTERS.


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Christine Lejoux | 25/10/2013, 17:09 - 622 mots


La plupart des banquiers d'investissement sondés par eFinancialCareers tablent sur une augmentation des bonus qui leur seront versés, au titre de l'année 2013. Mais les mauvais résultats des banques au troisième trimestre pourraient avoir raison de cet optimisme.
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La crise, quelle crise ? La plupart des banquiers d'investissement escomptent une hausse de leur bonus - la partie variable de leur rémunération -, au titre de l'exercice 2013, d'après une enquête réalisée par le site d'offres d'emploi eFinancialCareers auprès de 4.642 professionnels de la finance aux Etats-Unis, en Allemagne, au Royaume-Uni, à Singapour, à Hong Kong, en Australie et au Moyen-Orient.


S'il y a bien un pays où l'optimisme est de mise, c'est le Royaume-Uni, 58% des financiers de la City étant convaincus que le bonus qui leur sera versé début 2014 ne saurait être en baisse par rapport à l'année précédente. Mieux, les banquiers d'affaires et autres traders du Moyen-Orient sont 61% à miser sur une augmentation de leur rémunération variable. Une proportion qui demeure supérieure à 50% dans la région Asie-Pacifique.


Un troisième trimestre de mauvaise facture


Comment pourrait-il en être autrement, estiment ces financiers, au regard des bons résultats dégagés par les banques, au premier semestre ? C'est là que le bât blesse. L'enquête d'eFinancialCareers a été réalisée en septembre, avant que le secteur bancaire commence à publier ses comptes du troisième trimestre.


Or celui-ci est loin d'avoir été d'aussi bonne facture que les six premiers mois de l'année, à en juger par les résultats publiés ces quinze derniers jours par les établissements américains, lesquels ont donné le coup d'envoi de "la saison des trimestriels", dans le secteur bancaire.


Le coût des litiges juridiques en cause


Ainsi, Goldman Sachs a vu son chiffre d'affaires plonger de 20%, à 6,7 milliards de dollars. Pis, JPMorgan a accusé une perte nette - de 380 millions de dollars -, du jamais vu pour la première banque des Etats-Unis depuis près de dix ans. Comme Goldman Sachs, JPMorgan a pâti de la chute d'activité sur les marchés obligataires et dans le refinancement de crédits hypothécaires. Mais également des provisions liées à la douzaine de litiges en cours entre la banque et le gouvernement américain.


Cette question des litiges ne concerne pas seulement JPMorgan. Nombre de banques, des deux côtés de l'Atlantique, sont aujourd'hui priées par les autorités boursières de passer à la caisse, notamment pour leur rôle dans la crise des subprimes (crédits hypothécaires américains à risque) de 2008.


JPMorgan et Goldman Sachs ont annoncé une baisse des bonus


Face à cette flambée des coûts liés aux litiges juridiques, les banques cherchent à faire des économies, notamment sur les bonus, affirme Jon Terry, associé chez PricewaterhouseCoopers à Londres.


De fait, lors de la présentation de ses résultats du troisième trimestre, le 11 octobre, JPMorgan a averti que les bonus versés au titre de 2013 aux collaborateurs de sa division de banque d'investissement seraient inférieurs de… 15% au montant de l'an dernier. Et, de son côté, Goldman Sachs a prévenu que les rémunérations variables des neuf premiers mois de l'année 2013 seraient en baisse de 5%.


Vers une baisse de 10% à 15% des bonus des traders obligataires


C'est dire si les 42% de banquiers américains interrogés par eFinancialCareers qui tablent sur une hausse de leur bonus 2013 risquent de tomber de haut. A commencer par les traders sur les marchés obligataires. En juillet, le cabinet Johnson Associates, spécialisé dans les rémunérations du secteur bancaire, pronostiquait encore une augmentation de 5% à 15% de leurs bonus, au titre de 2013.


Mais, compte tenu de l'impact négatif qu'a eu le "shutdown" (fermeture partielle de l'administration américaine) sur le marché obligataire, les investisseurs redoutant un défaut de la dette américaine, Johnson Associates estime désormais que les bonus 2013 des traders obligataires américains accuseront une chute de 10% à 15%.


Maigre consolation pour ces derniers, les rémunérations variables qui leur seront versés à partir de 2015 ne seront pas plafonnés à 100% de leur salaire fixe (ou 200% en cas d'approbation par la majorité des actionnaires), comme cela sera le cas dans l'Union européenne.
















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Musée virtuel du protestantisme,protestants,musee virtuel,

25 Octobre 2013, 01:03am

Publié par hugo



Musée virtuel du protestantisme

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L’Église catholique d’Allemagne tend la main aux personnes divorcées,protestants,divorcés,Allemagne,

25 Octobre 2013, 00:58am

Publié par hugo

15 octobre 2013 - 08:25 laurence villoz 3504 signes
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EGLISES
L’Église catholique d’Allemagne tend la main aux personnes divorcées
Tags: Allemagne Divorce Catholiques
Capture decran 2013-10-17 a 16.03.59Les catholiques qui se remarient après un divorce se sentent souvent exclus par l’Église. Le remariage est considéré comme un péché. Mais l’Église a décidé de tendre la main aux personnes concernées en assouplissant les règles.
Après des années de discussions, l’Église catholique d’Allemagne veut s’occuper des personnes remariées. Fribourg-en-Brisgau, le deuxième plus grand diocèse d’Allemagne sur les 27, vient de publier dans cette perspective un guide à l’intention des animateurs en pastorale. Il a été distribué dans les églises et se pose comme un signal pour toute l’Allemagne.
Améliorer la situation
L’objectif est d’améliorer la situation des catholiques divorcés et remariés. Désormais, ils ont le droit d’exercer une fonction dans l’Église tel que conseiller de paroisse et ont accès aux sacrements.
Jusqu’à maintenant, les personnes divorcées et remariées étaient exclues des sacrements comme la réception de la sainte communion, la confession, le baptême, la confirmation et l’onction des malades. Cette manière d’agir suscite la critique depuis des années. D’ailleurs, le pape François a souhaité une réflexion sur des réformes.
«En cas d’échec d’un mariage, nous voulons faire preuve d’ouverture à l’égard des personnes touchées. Nous voulons les écouter et aller à leur rencontre», a déclaré le père Andreas Möhrle, doyen de la cathédrale de Fribourg et directeur diocésain de la pastorale. De plus, face au taux élevé de divorces, l’Église ne peut plus se permettre d’exclure tant de personnes.
Un nouveau guide
Le nouveau guide d’accompagnement pastoral des personnes séparées, divorcées ou remariées civilement décrit, pour la première fois, les moyens par lesquels les catholiques remariés civilement après un divorce peuvent accéder, avec autorisation officielle, à la communion et à la confession.
Il s’agit d’un accompagnement complet et d’un soutien des personnes concernées, en vue de «rendre possible pour elles une pratique religieuse active», a expliqué le père Möhrle. À la fin d’un «processus de dialogue pastoralement et théologiquement fondé», mené avec un prêtre, on peut prendre «une décision de conscience de manière responsable», indique le document.
Mais le nouveau guide ne se réduit en aucun cas à la question de la réception des sacrements, a souligné le père Möhrle. Il prévoit aussi des prières spéciales à l’intention des couples mariés pour la seconde fois. Toutefois, l’orientation pastorale précise qu’il ne s’agit nullement d’une bénédiction analogue à un mariage religieux.
«D’une part, nous constatons que les personnes concernées se sentent souvent marginalisées et qu’elles en souffrent; de l’autre, nous sommes conscients des exigences de l’enseignement de l’Église et du droit canonique», a indiqué le père Möhrle. Le guide pastoral facilite une approche concrète.
Résultat d’un processus de dialogue
Le document élaboré à Fribourg-en-Brisgau est le résultat d’un processus de dialogue mené au sein de l’Église catholique d’Allemagne et des réflexions d’une assemblée diocésaine tenue il y a environ six mois. Lors de la visite en Allemagne du pape Benoît XVI. il y a deux ans, le président allemand de l’époque, Christian Wulff (CDU), avait plaidé en faveur d’une approche moderne de l’Église à l’égard des personnes divorcées et remariées.
Source: agences dpa et KNA

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EXCLUSIF. Les protestants français sermonnent Valls,protestants,valls,

25 Octobre 2013, 00:38am

Publié par hugo

ACTUALITÉ > POLITIQUE > EXCLUSIF. LES PROTESTANTS FRANÇAIS SERMONNENT VALLS
EXCLUSIF. Les protestants français sermonnent Valls
Publié le 29-09-2013 à 16h04Eric AeschimannPar Eric Aeschimann
Lors du méga-culte à Bercy en présence du ministre de l'Intérieur, le patron des protestants a répondu aux déclarations du ministre de l'Intérieur sur les Roms.




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Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls lors des fêtes protestantes de 2013. (PIERRE ANDRIEU / AFP)
Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls lors des fêtes protestantes de 2013. (PIERRE ANDRIEU / AFP)
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Et voilà que les protestants s'y mettent ! Depuis qu'il a estimé que seule une minorité des Roms "cherche à s'intégrer", Manuel Valls est passablement chahuté à gauche. Mais il ne s'attendait probablement pas à se faire remonter les bretelles en se rendant au culte géant organisé par la Fédération protestante de France (FPF) à Bercy.


Pendant deux heures, le ministre de l'Intérieur a assisté patiemment à l'office auquel participaient 20.000 personnes et qui venait clôturer l'édition 2013 des journées "Protestants en fête". A la fin, François Clavairoly, le nouveau président de la Fédération protestante, a prononcé l'envoi, juste avant le dernier chant et la dispersion des fidèles.




C'est alors qu'il a rappelé la mission du protestant : "Il nous faut protester. Protester veut dire attester d'une espérance dans la cité", a dit Clavairoly, avant d'ajouter: "... et contester l'injustice, plaidant pour le plus vulnérable, l'exclu, autrement dit le plus petit de nos frères, que l'on voit humilié chaque jour." Il regardait alors le ministre de l'Intérieur sur les Roms qui était à quelques mètres de lui.


"Je suis certain qu'il les aura entendus"


Lors d'un point de presse tenu dans les coulisses du Palais Omnisport de Bercy après le culte, François Clavairoly a confirmé que ces propos étaient destinés au ministre de l'Intérieur et répondaient à ses déclarations sur les Roms. "Je suis certain qu'il les aura entendus", a-t-il déclaré.


Des juifs cachés au Chambon-sur-Lignon à l'aide aux personnes menacées d'expulsion, les protestants français ont une tradition de solidarité aux immigrés et aux étrangers stigmatisés.


Via la Cimade, ils se sont opposés à plusieurs reprises à la politique migratoire de Nicolas Sarkozy, préférant toutefois exprimer leurs désaccords lors d'entretiens en tête-à-tête avec les autorités.


C'est la première fois qu'un dirigeant protestant sermonne ainsi un membre du gouvernement Hollande sur le sujet. Qui plus est devant un aussi large public.

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Protestantisme, résistance et spiritualité,protestant,stephane hessel,

24 Octobre 2013, 23:35pm

Publié par hugo

Protestantisme, résistance et spiritualité


Fédération protestante de France Fédération protestante de France·32 vidéos
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Mise en ligne le 22 mars 2011
Entretien avec Stéphane Hessel. Une vidéo proposée par la Fédération protestante de France. Durée 3'33. Réalisation J.Fontanieu, N.Derobert, B. Bories. ©FPF-FEP 2011
Catégorie
Organisations à but non lucratif
Licence
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Le Sénat veut s'attaquer à tous les acteurs de la fraude et de l'évasion fiscales,economie,

24 Octobre 2013, 23:32pm

Publié par hugo

Ayrault a fixé trois priorités dans son plan sur l'innovation
Chômage : pas d'inversion de la courbe, mais ralentissement confirmé
Fiscalité 12
Le Sénat veut s'attaquer à tous les acteurs de la fraude et de l'évasion fiscales
Le Sénat veut s


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latribune.fr | 24/10/2013, 17:14 - 481 mots


La commission d'enquête sénatoriale sur le rôle des banques dans l'évasion fiscale propose une série de mesures visant "toute la chaîne des acteurs". Mais elle ne cible pas vraiment les banques...
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Le Sénat a fait ce jeudi des propositions visant "toute la chaîne des acteurs" de l'évasion fiscale, depuis les sociétés qui font de la publicité pour des placements frauduleux, jusqu'aux "repentis", qui devraient être encouragés à investir dans l'économie réelle.


"L'idée c'est de répartir la responsabilité sur toute la chaîne des acteurs", en amont comme en aval de la fraude, a dit Eric Bocquet, sénateur du Nord, rapporteur d'une commission d'enquête lancée en avril 2012 et présidée par le sénateur du Cher, François Pillet.


Cette commission a ainsi recommandé de "créer un délit spécifique d'incitation à la fraude fiscale comportant notamment la répression du démarchage et de la publicité pour des dispositifs d'évasion fiscale".


Des barrages sur internet


Les sénateurs proposent également de "réfléchir" à la mise en place de barrages sur internet, pour "restreindre l'accès du public à des sites commerciaux offrant des montages « clé en main » d'évasion fiscale illégale", ou l'ouverture de comptes dans des paradis fiscaux.


Au total, la commission d'enquête a présenté 34 propositions, adoptées "à l'unanimité" selon son président, qui portent aussi bien sur le renforcement des moyens de l'administration fiscale, sur l'établissement d'un "registre international des trusts", ces sociétés de droit anglo-saxon qui sont souvent des coquilles vides servant à dissimuler des capitaux, ou sur le statut des commissaires aux comptes vérifiant les bilans des entreprises.


Non aux cartes bancaires à la provenance non identifiée


Les sénateurs souhaiteraient aussi interdire l'usage en France de cartes bancaires lorsque le "bénéficiaire effectif" du compte n'est pas identifiable, et copier au niveau européen l'accord américain dit "FATCA" qui impose l'échange automatique d'informations entre les fiscs de divers pays.


Plus en aval, une fois l'évasion fiscale démasquée, la commission propose d'"ouvrir un débat sur la conditionnalité des remises de pénalités fiscales, notamment pour les « repentis » investissant dans l'économie réelle."


Traitement de faveur en cas de réinvestissement en France?


En clair, les sénateurs s'interrogent sur un traitement éventuellement plus favorable pour les fraudeurs, s'ils s'engagent à réinvestir en France les capitaux qu'ils avaient dissimulés dans des paradis fiscaux. Bocquet, affirmant "exclure toute idée d'amnistie", a déclaré que cette proposition relevait "d'un champ purement pragmatique" et visait seulement à "ouvrir le débat".


Il a estimé que les risques liés à l'évasion fiscale étaient "un bruit de fond de l'économie mondiale", face auquel les administrations étaient "souvent désarmées". Il a fait valoir qu'en "l'état actuel, il faudrait 25 ans (à l'administration fiscale française) pour régulariser les dossiers" d'évasion fiscale en souffrance.


Le rapporteur a en outre insisté sur "l'indispensable protection des donneurs d'alertes", c'est-à-dire les "sources et les journalistes" révélant des affaires d'évasion fiscale.


Les banques oubliées?


Le rapport publié ce jeudi surprend tout de même par une sérieuse lacune: s'agissant d'une commission d'enquête consacrée au rôle des banques dans l'évasion fiscale, on pouvait s'attendre à des mesures ciblant directement les banques, les contraignant plus. Or les dispositions proposées ne visent qu'indirectement les établissements financiers, insistant notamment sur la protection des salariés chargés du contrôle interne".







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Chômage : pas d'inversion de la courbe, mais ralentissement confirmé,chomage,emploi,salaire,

24 Octobre 2013, 23:27pm

Publié par hugo

Le Sénat veut s'attaquer à tous les acteurs de la fraude et de l'évasion fiscales
Emploi 47
Chômage : pas d'inversion de la courbe, mais ralentissement confirmé
En septembre, le nombre de chômeurs de catégorie A s'est établi à 3.295.700 en France métropolitaine.
En septembre, le nombre de chômeurs de catégorie A s'est établi à 3.295.700 en France métropolitaine.


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Romain Renier | 24/10/2013, 18:32 - 369 mots


Sans surprise, le nombre de chômeurs a fortement augmenté en septembre, après la baisse artificielle causée par le "bug" de SFR en août. En revanche, sur deux mois, la hausse n'est pas si importante. Mais la courbe du chômage ne s'est pas inversée.
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Le "miracle" d'août n'était bel et bien qu'une chimère. Le constat est simple : le gouvernement n'a toujours pas réussi à inverser la courbe du chômage. En septembre, le nombre de chômeurs de catégorie A, qui sert de référence, s'est établi à 3.295.700 en France métropolitaine. Soit une progression de 1,9% (60.000 chômeurs de catégorie A en plus), par rapport au mois d'août. Alors que 50.000 demandeurs d'emploi avaient disparu des listes entre juillet et août.


Il faut dire que les sorties des listes de Pôle emploi avaient été sérieusement dopées par un dysfonctionnement de SFR, prestataire de service pour l'agence pour l'emploi, qui n'avait pas acheminé les messages de relance aux chômeurs afin qu'ils réactualisent leur situation. Le défaut de réactualisation conduit à la radiation des listes. Selon une hypothèse de la Dares, entre 21.000 et 28.000 demandeurs d'emploi de catégorie A auraient ainsi été évacués des listes de manière artificielle en août.


Retour de bâton après le dysfonctionnement de SFR


Mais ce dysfonctionnement a aussi eu des effets, haussiers cette fois-ci, sur les chiffres de septembre. De fait, une partie des chômeurs sortis des listes suite au défaut de relance par Pôle emploi se sont réinscrits ensuite. Comme la baisse d'août est artificiellement basse, et que la hausse enregistrée en septembre est artificiellement haute, la progression de 1,9% entre août et septembre, soit 60.000 chômeurs de plus, est à relativiser.


>> Le "mystère" de la baisse surprise du chômage en août est éclairci


Un ralentissement entre juillet et août


Pour avoir une meilleure image de l'état du marché du travail, la Dares invite à comparer les chiffres de juillet aux chiffres de septembre. Là, le constat est différent. Car, s'il n'y a effectivement pas d'inversion de la courbe de progression du nombre de chômeurs sur deux mois, la hausse se limite à un petit 0,3%, soit 10.000 chômeurs de plus pour la catégorie A. La hausse moyenne serait alors de 5.000 chômeurs supplémentaire chaque mois en août et en septembre.


Il y a par ailleurs une petite lueur d'espoir, si l'on s'attache aux seules statistiques. Pour l'ensemble des catégories A,B et C, le nombre de demandeurs d'emploi a diminué de 0,2% avec 8.500 inscrits en moins entre juillet et septembre. Pas de quoi s'enflammer.




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Octobre rose : la pilule contraceptive, responsable de l'épidémie de cancer du sein ?,santes,femmes,seins,

24 Octobre 2013, 23:16pm

Publié par hugo

Par Marie-Laure Makouke - Publié le 24 octobre 2013
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Octobre rose : la pilule contraceptive, responsable de l'épidémie de cancer du sein ?

© iStock




Déjà soupçonnée de favoriser les accidents vasculaires et veineux, la pilule contraceptive serait-elle également responsable de la hausse du nombre de cancers du sein ? Alors que la mobilisation Octobre rose contre la maladie bat son plein, le professeur Henri Joyeux et le docteur Bérengère Arnal défendent cette thèse dans un livre coup de poing. Publié aux Éditions du Rocher, « Comment enrayer “l’épidémie” des cancers du sein et des récidives ? » lève le voile sur les causes « réelles » de la progression de la maladie.


Pour la 21e année consécutive en France, le mois d’octobre est placé sous le signe de la lutte contre le cancer du sein à travers la campagne « Le cancer du sein, parlons-en ! ». À cette occasion, une campagne d’information destinée aux femmes entre 50 et 74 ans rappelle l’importance d’un dépistage régulier pour prévenir la maladie. Alors qu’une femme sur huit sera concernée par la maladie au cours de sa vie, la mammographie reste l’arme la plus efficace pour la prévenir. En effet, détecté à un stade précoce, le cancer du sein peut non seulement être guéri dans plus de 90% des cas, mais aussi être soigné par des traitements de moins en moins agressifs. C’est dans ce contexte que le professeur Henri Joyeux, chirurgien cancérologue, et le docteur Bérengère Arnal, gynécologue obstétricienne, ont publié Comment enrayer « l’épidémie » des cancers du sein et des récidives ?, un livre coup de poing dans lequel ils pointent du doigt la responsabilité de la pilule contraceptive dans le développement de tumeurs cancéreuses. Pour ces professionnels de santé, les contraceptifs oraux dont certains sont accusés d’occasionner des accidents artériels et veineux auraient des effets indésirables bien plus pervers.


Une surexposition aux œstrogènes dangereuse pour la santé
« Les seins sont deux glandes hormono-dépendantes. À la puberté, ils se forment progressivement, d'abord sous l'action de trois types d’œstrogènes fabriqués par les ovaires. Puis lorsque le cycle se met en place, les ovaires fabriquent la deuxième hormone, destinée à préparer une éventuelle grossesse. Il s’agit de la progestérone, qui signifie “pour la gestation”. Globalement de quinze à cinquante ans, c’est-à-dire pendant 35 années consécutives, les ovaires des femmes fabriquent cycliquement et mensuellement, œstrogènes et progestérone », explique Henri Joyeux. Un cycle naturel que la pilule vient perturber en bloquant l’ovulation. « Avec la pilule contraceptive, on remplace les hormones fabriquées par les ovaires par des hormones artificielles, mais à des taux 20 à 50 fois supérieurs à la normale. Pendant trois semaines, les femmes sous pilule reçoivent donc un important shoot hormonal, avant que les comprimés placebos (sans hormone, ndlr) ingérés pendant la quatrième semaine ne déclenchent les menstruations ».


>> Pourquoi la pilule et les règles sont-elles cancérogènes ? La réponse de Philippe Vignal, gynécologue <<


Problème, cette surexposition aux œstrogènes n’est pas sans conséquence et pourrait être responsable de la hausse continuelle du nombre de cancers du sein. « En 1975, nous avions 7 000 nouveaux cas par an. Pour cette seule année 2013, 60 000 nouveaux cas ont déjà été recensés, chez des femmes de plus en plus jeunes qui plus est », déplore le cancérologue. Une analyse que partage Philippe Vignal. En 2012, lors de la sortie de L’enfer au féminin, sortir du cycle règles-cancer, ce gynécologue affirmait que contrairement aux idées reçues, le cancer du sein n’était pas une maladie multifactorielle. « Le dénominateur commun est toujours le même, ce sont les œstrogènes. Quand on dit que le poids est un facteur de cancer du sein, on oublie que la prise de poids induit une augmentation de l’exposition aux œstrogènes », signalait-il alors.


« Si on donnait des chiffres, les femmes consommeraient de moins en moins la pilule »
À l’heure actuelle pourtant, aucune étude ne permet d’évaluer la responsabilité de la pilule dans le développement de la maladie. « Si on donnait des chiffres, les femmes la consommeraient de moins en moins », présume le professeur Joyeux, accusant au passage l’industrie pharmaceutique de garder les principales intéressées dans l’ignorance « par crainte d’une explosion du nombre d’avortements ». Et si, selon lui, « les mères commencent à comprendre » et à chercher de nouveaux moyens de contraception, il regrette que les jeunes filles soient exposées aux « publicités mensongères des laboratoires » et que dans les collèges, lycées et universités, « la pilule leur soit désormais distribuée sous forme d’échantillons, sans la moindre explication ».


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L’information : c’est est en effet le cheval de bataille d’Henri Joyeux afin de permettre aux femmes de choisir un moyen de contraception inoffensif et ainsi d’enrayer la progression de l’épidémie de cancer du sein. Et à celles qui, malgré tout, ne jurent que par la pilule, il conseille de limiter au maximum sa prise. « Actuellement, les femmes consomment la pilule pendant 11 ans en moyenne ; leur corps reçoit ainsi d’énormes doses d’hormones exogènes. Or, cinq années au total seraient largement suffisantes. Mieux vaut donc commencer la pilule le plus tard possible. » Mais les femmes ne sont pas les seules concernées, leur partenaire ayant également un rôle à jouer pour prévenir la maladie. « Les hommes considèrent trop souvent, et à tort, qu’ils n’ont pas le moindre effort à faire dans la gestion de leur sexualité. Résultat, ce sont les femmes qui paient le prix de leur irresponsabilité. Ils doivent donc, eux aussi, être sensibilisés », estime le professeur Joyeux. Ces messieurs y sont d'ailleurs tout à fait enclins. Pour preuve, en 2012, un sondage exclusif du CSA pour Terrafemina révélait que 91% des Français considèrent que la contraception est « autant l'affaire de l'homme que de la femme ». Mieux encore, 61% des hommes s'étaient alors dits prêts à prendre une contraception orale masculine, si elle existait. Chiche ?

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Fonctionnaires: le gel des salaires refroidit le climat social,economie,emploi,

24 Octobre 2013, 01:24am

Publié par hugo

Affaire Cahuzac : l'Elysée voulait donner au ministre "crédit de sa bonne foi"
Pour le Medef, le rapport Moreau sur les retraites a tout faux
France 198
Fonctionnaires: le gel des salaires refroidit le climat social
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latribune.fr | 18/06/2013, 15:01 - 355 mots


Le point d'indice des salaires de fonctionnaires devrait être gélé pour la quatrième année consécutive en 2014. Pour Marylise Lebranchu, ministre de la fonction publique, aucune hausse n'est prévue tant que la croissance ne serait pas revenue. Cette annonce risque de détériorer le climat à trois jours de l'ouverture de la conférence sociale.
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Gelé depuis 2010, le point d'indice salarial des fonctionnaires devrait être maintenu tel quel en 2014. Marylise Lebranchu, ministre de la fonction publique, a fait cette annonce ce mardi sur France Info. "C'est effectivement la position que nous avons prise", a-t-elle déclaré en évoquant le gel du point d'indice qui permet de calculer le salaire de base des fonctionnaires.


En février dernier, elle avait déjà prévenu qu'une revalorisation ne serait envisageable qu'avec le retour de la croissance économique. Sur France Info, elle a ainsi rappelé la situation des comptes publics de l'Etat pour justifier la décision gouvernementale: "C'est une grande difficulté pour la France, une grande difficulté pour les comptes de l'Etat". Selon la Cour des comptes, une hausse de 1% du point augmenterait de fait de 800 millions d'euros la seule masse salariale de l'Etat (80,6 milliards d'euros en 2013).


Les retraites des fonctionnaires dans la ligne de mire


Pour la CGT, premier syndicat du public, Jean-Marc Canon a notamment jugé "hallucinant" que la ministre fasse une telle annonce par voie de presse alors qu'elle "voit les syndicats régulièrement" et que la conférence sociale approche. "C'est proprement scandaleux", a estimé de son côté Christian Grolier (FO), relevant que cette annonce survient "quasiment dans la même semaine" que la publication du rapport Moreau qui évoque la possibilité de remettre en cause le calcul des retraites des agents pour le rapprocher de celui du privé.


5,2 millions de personnes concernées


Près de 5,2 millions d'agents de l'Etat, des collectivités locales et des services hospitaliers sont concernés par cette décision. Les syndicats réclament le dégel de la revalorisation du point d'indice après trois années de blocage voulu sous le gouvernement de François Fillon. Ils entendent organiser une journée d'action avant octobre sur ce thème. Ils veulent d'autant plus mobiliser que les fonctionnaires sont également dans la ligne de mire de la réforme des retraites. Le rapport Moreau suggère au gouvernement d'engager un processus d'alignement entre le régime spécial des fonctionnaires sur celui du secteur privé.


Pour aller plus loin:


Marisol Touraine : le secteur public "fera évidemment partie de la réforme des retraites"


Le débat sur le jour de carence des fonctionnaires se cristallise sur "l"équité"







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