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Top 5 des plus gros clichés sur la trentaine

2 Juillet 2013, 19:24pm

Publié par hugo



FAMILLE
Par 30ansoupresque , Blogueuse - Publié le 2 juillet 2013
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Top 5 des plus gros clichés sur la trentaine

© Eyecandy Images




Trente ans : âge symbolique ? En tout cas, il s’agit d’un âge qui stimule l’imagination des personnes qui s’apprêtent à l’atteindre ainsi que de leur entourage. Pour vous aider à démêler le vrai du faux, voici le top 5 des plus gros clichés sur la trentaine !
A LA UNE DU COMPTOIR
Jennifer Lopez s’excuse d’avoir chanté pour le président de Turkménistan
The Best le meilleur artiste : diffusion dès le 26 juillet sur TF1
Inside Llewyn Davis : Justin Timberlake, une guitare et Carey Mulligan
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Top 5 des plus gros clichés sur la trentaine !

1- À 30 ans on est raisonnable
Le plus gros cliché sur la trentaine c’est sans conteste le fait de de penser qu’à 30ans, on est raisonnable. Qu’à 30 ans on mange équilibré, on ne fume pas, on boit raisonnablement - voire pas -, on se couche tôt, on prend soin de son corps et de son esprit...
Pourtant, il ne faut pas se leurrer, on ne change pas de mode de vie du jour au lendemain. Cette évolution, quand elle a lieu, se passe en douceur, sur plusieurs années. On ne passe pas du jour au lendemain des beuveries étudiantes à une vie monacale.
Et même si l’on commence à prendre conscience de ses limites, je vous rassure : à 30 ans, on sait encore s’amuser ;)


2- À 30 ans on sait ce qu’on veut dans la vie
Hum... non, pas vraiment, en fait. Mais en fait, si, un peu, mais euh... peut-être pas vraiment, quand même...


3- À 30 ans on ne pense qu’à se caser et à avoir des enfants
Il s’agit ici d’un cliché typiquement associé aux femmes. En effet, il est commun de penser qu’à 30 ans d’un seul coup les femmes se mettent à prendre conscience de leur horloge biologique et ne pensent plus qu’à une seule chose : dénicher le géniteur parfait, lui passer la corde au cou et lui faire plein de bébés.
Messieurs, rassurez-vous, en vérité, la majorité des trentenaires ont surtout une idée en tête : profiter de la vie ! que ce soit seules ou accompagnées d’ailleurs.


4- À 30 ans on ne pense qu’à sa carrière
Et voici le pendant masculin du cliché précédent. Ainsi, les hommes de 30 ans ne penseraient qu’à évoluer professionnellement, à "faire carrière". Pour eux la famille passerait après.
Là encore, il suffit de regarder autour de soi pour voir qu’il y a autant de situations différentes que de personnes. Les trentenaires pensent à profiter de la vie et si pour les uns cela signifie tout donner dans son boulot, pour les autres l’épanouissement peut se trouver dans la vie de famille comme dans le célibat.


5- À 30 ans on est vieux
Une croyance populaire veut qu’à 30 ans on soit à peu près au milieu de sa vie. Dès lors, on se sent obligé de faire un bilan de milieu de vie, de comptabiliser tout ce que l’on n’a pas encore fait, de regarder le temps qui inéluctablement a passé... et on se sent vieux. À 29 ans, on a la vingtaine guillerette... et d’un coup lorsque le glas des 30 ans sonne, il semble marquer la fin de la jeunesse.
Pourtant, ces idées sont sans fondement. Certes, il fut un temps où l’âge de 30 ans se situait effectivement au milieu de la vie... mais ça, c’était vers la fin des années 1940, quand l’espérance de vie moyenne était d’environ 60 ans. Aujourd’hui, l’espérance de vie en France est de... 81 ans ! La symbolique de l’âge des 30 ans doit donc évoluer. Avoir 30 ans n’est plus une étape, ce n’est plus qu’un chiffre rond... et l’occasion de faire une belle fête !




Vous voulez connaître le secret de la trentaine ? Et bien sachez-le, en réalité avoir 30 ans c’est avoir tous les avantages de la jeunesse... sans en avoir les inconvénients ! Et ça, seules les trentenaires le savent…




Claire
www.30ansoupresque.com

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Allocations familiales: accord sur le budget et les effectifs de la CNAF,bebe,enfants,

1 Juillet 2013, 17:45pm

Publié par hugo

Allocations familiales: accord sur le budget et les effectifs de la CNAF
L'Expansion.com avec AFP - publié le 01/07/2013 à 18:39
Le gouvernement s'est entendu avec la Caisse nationale des allocations familiales quant au budget et effectifs alloués jusqu'en 2017. L'accord prévoit l'embauche de 700 agents, qui seront restitués via les départs à la retraite.


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L'État a trouvé s'est accordé avec la Caisse nationale des allocations familiales sur son budget et ses effectifs jusqu'en 2017.
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La Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf), qui se disait il y a peu "au bord de la rupture" en raison d'une "charge de travail insupportable", s'est accordé lundi avec l'Etat sur son budget et ses effectifs jusqu'en 2017, a indiqué à l'AFP son président.


L'accord a été trouvé à Matignon et va déboucher sur la signature de la prochaine Convention d'objectifs et de gestion (COG), lors d'un conseil d'administration extraordinaire le 9 juillet, a précisé le président (CFTC) du CA, Jean-Louis Deroussen.


Comme déjà annoncé par le gouvernement, le Fonds national d'action sociale (Fnas), qui finance en particulier les crèches, les centres de loisirs et d'autres actions en faveur des jeunes, va augmenter de 7,5% par an, soit une dépense annuelle de 6,6 milliards d'euros en 2017.


"Cela permettra de financer les 100.000 solutions d'accueil collectives" promises, assure Jean-Louis Deroussen.


Mais les collectivités locales, qui cofinancent avec les Caisses d'allocation familiales (CAF) la construction des crèches, ont déjà prévenu que leurs marges de manoeuvre étaient extrêmement réduites.


700 agents supplémentaires embauchés, ou presque


L'évolution du Fnas va aussi permettre, selon M. Deroussen, de financer la réforme des rythmes scolaires et la prise en charge des enfants lors des temps libérés dans la journée. "En année pleine, à partir de 2015, et sur l'ensemble des communes, nous allons disposer d'un budget annuel de 250 millions d'euros", a-t-il précisé.


Le véritable point d'achoppement portait sur les effectifs des Caisses, dont certaines sont régulièrement contraintes de fermer temporairement pour faire face à la charge de travail.


"Nous avons obtenu un accord avec l'Etat pour embaucher 700 agents supplémentaires immédiatement, dont 500 emplois d'avenir", s'est félicité M. Deroussen. Mais d'ici 2017, ces 700 emplois et 1.000 autres devront "être restitués", via le non remplacement de départs en retraite.


>>> À lire : Comment le gouvernement veut mettre les fonctionnaires à la diette en 2014


Entre-temps une mission de l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS) et de l'Inspection générale des finances (IGF) devra déterminer l'évolution réelle de la charge de travail, en vue d'éventuels ajustements d'effectifs.


"Si on supprimait le RSA activité", que le gouvernement entend réformer, "on pourrait peut-être accepter la restitution d'effectifs supplémentaires", a ajouté le président de la Cnaf.


La Cnaf gère et verse les prestations familiales, comme les "allocations familiales", les aides au logement, les aides à la garde d'enfant et des prestations sociales comme le RSA.




En savoir plus sur http://lexpansion.lexpress.fr/economie/allocations-familiales-accord-sur-le-budget-et-les-effectifs-de-la-cnaf_392409.html#PhIRPuDCaPe5A4AS.99

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L'envie d'être papa Psychologie de l'homme Le papa nouveau,bebe,enfants,

29 Juin 2013, 02:07am

Publié par hugo

Envie d'enfant



Voir aussi nos dossiers :
L'envie d'être papa
Psychologie de l'homme
Le papa nouveau
Comment naît le désir de paternité ?
Certains hommes ont toujours eu envie d’avoir des enfants. D’autres affirment, sans hésitation, qu’ils n’en auront jamais. Enfin, certains voient leur désir de paternité s’éveiller au moment de la première échographie. D'où vient l’envie de devenir père ?




Intime, le désir d’avoir un enfant peut survenir à différents moments dans la vie d’un homme : lorsqu’il pense avoir trouvé la bonne personne, quand il se sent stable professionnellement ou encore lorsque le tic-tac de son horloge biologique s’accélère.
Cependant, certains éléments peuvent expliquer comment naît le désir de paternité et pourquoi il peut apparaitre à un moment plutôt qu’à un autre.
La stabilité avant bébé
On ne vous apprendra rien : les hommes et les femmes ne fonctionnent pas de la même manière. Et ceci est d’autant plus vrai lorsqu’il s’agit d’enfants !
Alors que les femmes font intervenir, dès le projet de grossesse, la dimension affective, les hommes, eux, sont beaucoup plus cérébraux. En effet, si les prémices de ce désir commencent pour les femmes, dans leur corps, ils débutent, pour les hommes, dans leur tête.
Il leur faut réfléchir, parfois pendant plusieurs années, avant de s’estimer prêts à entrer dans la paternité. Pourquoi ? Tout simplement parce l’une de leurs priorités est d’être parvenus à une stabilité amoureuse, familiale, professionnelle et, surtout, financière avant de penser à avoir un enfant. Le principal souci - et donc angoisse - d’une grande majorité des hommes étant de pouvoir subvenir aux besoins de leur famille.
La première échographie
Parfois, même après avoir atteint la stabilité financière, il existe des hommes chez qui le désir de paternité ne se révèle que lors de la grossesse de leur compagne, souvent même au moment de la première échographie.
Car même si l’envie est déjà présente lors de la conception, l’idée d’un bébé est toujours plus abstraite pour un homme que pour une femme. Cette dernière porte l’enfant et le sent grandir en elle. L’homme, lui, malgré toute l’implication dont il peut faire preuve, est extérieur à cela.
L’échographie intervient alors comme un révélateur puisqu’elle lui permet de mettre une image sur l’idée qu’il a de son bébé. Cela l’aide à ancrer son existence dans le réel, et par là même, souvent, à sentir naître le profond désir de paternité.
Le poids de sa propre histoire
Importante est également la place qu’occupe l’histoire personnelle. Et plus précisément, l’image que l’homme a de son propre géniteur, en tant que fils. Car le comportement du père, qu’il ait été bon ou mauvais, a une influence sur l’envie de devenir père à son tour.
Par exemple, un fils ayant eu un géniteur absent et indifférent pourra réagir de deux façons différentes : soit il ne verra jamais naître en lui un désir de paternité de peur de reproduire ce qu’il a vécu, soit, au contraire, il éprouvera une envie irrépressible d’avoir un enfant afin de donner ce qu’il n’a pas reçu. Dans les deux cas, le désir sera conditionné par l’expérience vécue.
Capucine Junguenet
Mis à jour le 20 novembre 2012


Le désir de paternité en vidéo


Forum Envie d'enfant - Les clubs

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Allaiter son enfant pour qu’il soit PDG ?,bebe,enfants,

29 Juin 2013, 02:01am

Publié par hugo

Allaiter son enfant pour qu’il soit PDG ?
Allaiter son enfant pour qu’il soit PDG ?27/06/2013
Une étude britannique originale met en parallèle l’allaitement et la réussite sociale, sans avoir vraiment établi de lien de cause à effet...
Les bébés allaités auraient plus de chances de dépasser socialement leurs parents ? Une étude s’est penchée sur l'influence de l'allaitement maternel sur la mobilité sociale. Les conclusions publiées dans les Archives of Disease in Childhood montrent, sans réel lien avéré, que les enfants qui ont pris le sein ont de meilleures performances cognitives et donc davantage de chances de bénéficier de l’ascenseur social.
Pour arriver à ses conclusions, les chercheurs de l’ « University College London » et de l' « Université d'Essex » ont suivi deux cohortes d’enfants : 17 419 d’entre eux étaient nés en 1958 et 16 771 en 1970. Ils ont pris en compte le type d'allaitement, la classe sociale du père, puis, environ 30 années plus tard, leur classe sociale, selon leur emploi exercé. Les enfants ont également passé des tests cognitifs et de stress à l’âge de 10-11 ans.
Résultats : dans les deux groupes, le fait d’avoir été allaité est associé à une forte probabilité de se trouver à un niveau social ascendant par rapport au père. L’étude montre également que les mères d’un milieu aisé ont tendance à plus allaiter leur enfant.
Source : Archives of Disease in Childhood
Auteur : Christine Diego Hernandez

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Congé parental : Les hommes encore peu motivés à pouponner,bebe,enfants,

29 Juin 2013, 00:44am

Publié par hugo

Accueil > Société > News société
Congé parental : Les hommes encore peu motivés à pouponner



Une étude publiée aujourd’hui par l’Insee démontre que seulement 5% des pères ont cessé leur activité professionnelle pendant au moins un mois pour s’occuper de leur plus jeune enfant, quand les femmes sont 37%.
Le 3 juillet prochain, le gouvernement présentera son projet de loi pour « l’égalité entre les hommes et les femmes », dans lequel figurera un volet sur le congé parental. Son objectif ? Instaurer un plus grand partage de l’éducation des enfants entre les deux parents. Pour ce faire, le gouvernement entend dédier 6 mois du congé parental au père. De ce fait, il sera réduit à 2 ans et demi pour la mère, et ne pourra se prolonger jusqu’à 3 ans qu’avec le père.
​Aujourd’hui, l’INSEE publie une étude qui tombe à pic puisqu’elle démontre une répartition très inégale du congé parental entre les hommes et les femmes. En effet, si 33% des parents ont modifié leur temps de travail pendant au moins un mois en dehors du congé maternité ou paternité, les femmes sont bien plus nombreuses à le faire puisqu’elles sont plus de 55% contre 9% pour les pères.
Moins elles sont diplômées, plus les femmes ont tendance à s’arrêter : ainsi, 47% des mères titulaires d’un diplôme de niveau CAP-BEP stoppent leur activité, contre 29% des mères titulaires d’un Bac +2. Des chiffres qui n’ont rien d’étonnant puisque plus le salaire est bas, moins il est intéressant pour la maman de continuer à travailler puisque ses revenus sont parfois totalement absorbés par la garde de l’enfant.
46% des hommes n'ont même pas envisagé prendre un congé parental
Quand elles s’arrêtent, les mères le font à 90% pour le « bien-être de l’enfant », loin devant le coût des modes de garde (33%), ou le besoin de se remettre de la naissance (30%). Quant aux hommes, ils se sentent pour leur part en général peu concernés par le congé parental puisque 46% d’entre eux reconnaissent ne même pas l’avoir envisagé a priori, contre un quart des femmes. Et pour ceux qui avaient considéré l’option, la plupart évoquent l’incidence négative potentielle sur leur carrière (30% contre 16% des femmes).
En Suède, pays où l’égalité entre les hommes et les femmes est réputée être la plus forte, les hommes sont également encore bien moins nombreux que les femmes à profiter de leur congé parental puisqu’ils prennent environ 24% du nombre total de jours dédiés. Un chiffre nettement supérieur à la moyenne européenne, mais qui démontre que malgré toutes les politiques incitatives, les inégalités demeurent.
Parité : Les femmes encore très peu présentes dans la haute fonction

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Congé parental : 100 000 pères concernés en 2017, espère Vallaud-Belkacem,bebe,enfant,

27 Juin 2013, 22:15pm

Publié par hugo



FAMILLE


Par Charlotte Arce - Publié le 27 juin 2013
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Congé parental : 100 000 pères concernés en 2017, espère Vallaud-Belkacem

© iStockphoto




Alors que le projet de loi pour l'égalité entre les hommes et les femmes sera présenté en conseil des ministres le 3 juillet, la ministre des Droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem a d'ores et déjà dévoilé son projet de réforme du congé parental d'éducation. Son objectif ? Que 100 000 pères y aient recours d'ici 2017.

Le congé parental d'éducation n'est pas qu'une affaire de femmes. C'est ce que souhaite rappeler la ministre des Droits des femmes Najat Vallaud-Belkacem à travers la réforme du congé de « Libre Choix d'Activité » qu'elle présentera mercredi 3 juillet en conseil des ministres.
Car aujourd'hui, le congé parental séduit peu les jeunes papas et reste très largement l'apanage de leur compagne : « 97% des congés parentaux sont aujourd'hui pris par des femmes », soit 522 000 mères, a rappelé Najat Vallaud-Belkacem lors d'une rencontre avec l'Association des journalistes de l'information sociale (Ajis).
Une tendance que la ministre des Droits des femmes cherche à inverser, au nom de l'égalité entre les hommes et les femmes. Actuellement, seuls 18 000 pères posent un congé parental après la naissance d'un enfant. Un chiffre bien trop bas, selon la ministre, dont la réforme vise à inciter les pères à recourire davantage au congé parental : « Le projet de réforme du congé parental pourrait porter le nombre des hommes y ayant recours à 100 000 d'ici 2017 […] C'est un projet assez ambitieux », a admis Najat Vallaud-Belkacem.

Un partage du congé parental
L'objectif de cette réforme ? Instaurer une période de partage du congé parental d'éducation. Ainsi, les parents d'un seul enfant, qui ont actuellement droit à six mois de congé, pourront bénéficier de six mois supplémentaires à condition que ce soit le second parent qui en bénéficie. A partir de deux enfants, la durée du congé sera maintenue à 3 ans, à condition que le second parent arrête de travailler pendant six mois. Si cette condition n'est pas remplie, le congé parental sera raccourci à deux ans et demi.
Pourtant, faire accepter cette réforme, directement inspirée du modèle allemand, aux pères de famille ne va pas être chose facile. Une étude de l'Insee publiée mardi 25 juin montre en effet que 46% des hommes interrogés n'ont pas envie de prendre de congé parental. Les raisons invoquées par ces messieurs ? Un tiers se dit inquiet pour sa carrière, 9% craignent que leurs relations avec leur employeur se dégrade, 6% redoutent que leur promotion hiérarchique ne soit freinée.

Une réforme pour plus de parité
Cette réforme serait pourtant, selon la ministre, un grand pas vers l'égalité entre les hommes et les femmes, car celles-ci sont bien trop souvent tenues à distance du marché du travail une fois qu'elles sont devenues mères de famille : « En moyenne, une année d'interruption d'activité pour une femme équivaut à 10% de décrochage de salaire » par rapport aux hommes. Un écart de salaire qui ne se rattrape jamais.
Najat Vallaud-Belkacem se veut toutefois optimiste en se référant à l'exemple allemand, qui a mis en place en 2007 une réforme similaire : « Ils [les Allemands, ndlr] avaient 3 ou 4% seulement d'hommes qui prenaient le congé parental. Trois ans plus tard, ils étaient à 20% », s'est-elle enthousiasmée.


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Les babyphones dangereux pour la santé des bébés ?

27 Juin 2013, 01:50am

Publié par hugo

Par Marie-Laure Makouke - Publié le 20 juin 2013
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Les babyphones dangereux pour la santé des bébés ?

© iStockphoto




Très sensibles aux ondes électromagnétiques, les bébés y sont pourtant très exposés, notamment en raison de la présence, de plus en plus courante, d'un babyphone dans leur chambre. Mais ces appareils visant à les surveiller à distance sont-ils dangereux pour leur santé ?


Les ondes électromagnétiques émises par les babyphones sont-elles dangereuses pour les nourrissons ? C’est la question sur laquelle s’est penchée une étude menée par un laboratoire de physique de l’Institut Pascal, rattaché au CNRS de Clermont-Ferrand. Le laboratoire a donc testé cinq types d’appareils, dotés de technologies différentes et commercialisés par plusieurs marques. Résultat : « un écart de puissance d’émission d’ondes de 1 à 33, entre un modèle analogique (1,25 milliwatts) et un modèle DECT (la technologie d’un téléphone sans fil) à 41 milliwatts », révèle Le Parisien.


Étonnamment, alors que les bébés sont très sensibles aux ondes qui les entourent, ces appareils destinés à les surveiller à distance ne sont soumis à aucune réglementation, et rien n’oblige non plus les fabricants à indiquer la technologie utilisée. Pourtant, certains pays comme l’Allemagne ont, eux, créé un label pour ces émetteurs. Certes, ces émissions n’ont rien à voir avec celles d’une antenne-relais, du Wi-fi ou même d’un téléphone mais elles restent toutefois d’autant plus inquiétantes « qu’on place souvent le babyphone dans le lit de l’enfant, à dix centimètres de sa tête et qu’on le laisse allumé tout le temps, dans un environnement déjà imbibé d’ondes, entre télé, Wi-Fi et téléphones portables », souligne Sébastien Girard, le physicien qui mené cette enquête.


Certes, convaincre dès aujourd’hui les parents de se séparer de ces appareils de puériculture serait exagéré et prématuré. Toutefois, dans le doute, l’Agence nationale de sécurité sanitaire leur recommande de placer leur babyphone le plus loin possible de la tête de leur nourrisson. Et pour cause : « À un mètre, c’est tout aussi efficace. Multiplier la distance par deux, c’est déjà diviser par quatre la puissance du champ électromagnétique », précise-t-elle.


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Des crèches d'urgence pour les intérimaires testées en Bretagne,BEBE

26 Juin 2013, 21:06pm

Publié par hugo

Par La rédaction - Publié le 26 juin 2013
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Des crèches d'urgence pour les intérimaires testées en Bretagne

© Thinkstock




Les sociétés d'intérim expérimentent actuellement un dispositif de crèches d'urgence en Bretagne. Cette initiative du Fonds d'action social du travail intérimaire est destinée aux mamans qui ont recours à l'intérim pour travailler et qui rencontrent souvent plus de difficultés à faire garder leurs enfants de moins de 4 ans.


Le Fonds d'action social du travail intérimaire (Fastt), qui se compose essentiellement d'entreprises de l'intérim, a mis en place un nouveau dispositif de crèches d'urgence pour simplifier la vie des intérimaires mamans en Bretagne comme l'indique le site internet du Figaro. Expérimental, ce système installé en Ille-et-Vilaine et dans les Côtes d'Armor, propose d'accueillir les enfants de moins de quatre ans, au sein de cinq microcrèches. Pour pouvoir accéder à ce service de garde, les mamans doivent réserver une place pour l'enfant 48 heures à l'avance, être en mission au moment de la garde, et ne pas demander plus de 190 heures de garde par an. Ouvertes de 5 heures à 22h30, les crèches s'adaptent ainsi aux horaires décalés des mères qui ont recours à l'intérim pour travailler. Ce service est facturé entre 0,35 euro et 2,75 euros de l'heure.
Le Fastt précise que ce dispositif est un moyen de palier l'absentéisme des personnes positionnées sur des missions souvent obtenues au dernier moment : « Les parents qui nous contactent se retrouvent face à un imprévu, n'ont pas de solution de garde, ou alors celle-ci ne colle pas avec les horaires de leur mission, explique-t-on au Fastt. Ce dispositif permet aux entreprises de l'intérim de sécuriser les missions, et d'éviter l'absentéisme. » Une autre initiative subventionnée et également mise en place par le Fastt dans toute la France permet aux intérimaires féminines de faire garder leurs enfants à domicile. Deux solutions d'aide qui simplifient l'organisation de ces femmes intérimaires et mères.
Camille Coutant


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Le lait maternel riche de plus de 700 bactéries,bebe,

26 Juin 2013, 20:58pm

Publié par hugo

CRÉÉ : 11-01-2013 17:13
Le lait maternel riche de plus de 700 bactéries
Selon une étude scientifique le lait maternel, indispensable au développement immunitaire du nourrisson, contiendrait des centaines d'espèces de bactéries différentes. Un nombre supérieur aux estimations avancées jusque-là.






Plus de 700 espèces différentes de bactéries sont présentes dans le lait maternel. Photo : Sipa


ALEXANDRA BRESSON
Metrofrance.com
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Les bactéries ne sont pas toujours synonymes de pathologie. Quelquefois, ces dernières sont utiles à l'Homme, voire indispensables. Des chercheurs de l'université de Valence en Espagne ont notamment mis en exergue dans la revue American Journal of Clinical Nutrition la richesse microbienne du lait maternel, et son impact bénéfique quant à la santé du nouveau-né.


Pour en venir à cette conclusion ils ont demandé à 18 mères de donner un échantillon de leur lait. Une première fois à la naissance de leur enfant, une deuxième fois six mois plus tard. Grâce à un séquençage d'ADN (une analyse de l'ensemble du matériel génétique) ces derniers y ont identifié pas moins de 700 espèces de bactéries différentes.


Une composition selon la mère


Des germes qui dans leur ensemble permettent au nourrisson de développer correctement son système immunitaire et sa flore intestinale. En revanche, la composition du lait serait différente d'une période à une autre : des bactéries du type Weisella, Leuconostoc, Streptococcus, et Lactococcus avant les six premiers mois puis des Veillonella, Leptotrichia, et Prevotella au-delà de cette période.


De plus, les chercheurs ont découvert que le lait maternel serait également différent selon le poids de la mère, car les femmes en surpoids ou ayant pris beaucoup de kilos pendant la grossesse auraient un lait moins riche en espèces bactériennes. Il en va de même pour le stress : le lait d'une femme ayant vécu une césarienne programmée à l'avance serait plus pauvre que celui d'une femme accouchant naturellement ou avec une césarienne programmée à la dernière minute.


À terme, de telles conclusions sur l'utilité de ces bactéries pourraient donner l'idée d'enrichir les laits artificiels. Ces boissons seraient ainsi capables de fournir aux bébés nourris au biberon les mêmes avantages nutritionnels que lors d'une tétée.

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Les antibiotiques favoriseraient l'apparition d'eczéma chez l'enfant

26 Juin 2013, 20:51pm

Publié par hugo

CRÉÉ : 26-06-2013 12:09
Les antibiotiques favoriseraient l'apparition d'eczéma chez l'enfant
MEDICAMENTS - Selon une récente étude menée par des chercheurs britanniques, la prise d'antibiotiques lors des premiers mois du nourrisson pourrait avoir un impact sur le développement de l'eczéma.






La prise d'antibiotiques chez les nourrissons, lors de leurs première année de vie, augmenterait leur risque de développer de l’eczéma. Photo : SUPERSTOCK/SUPERSTOCK/SIPA


ALEXANDRA BRESSON
metronews.fr
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Si les causes d'eczéma peuvent être multiples chez l'adulte (allergies, stress, génétique), elles demeurent plus mystérieuses en ce qui concerne les enfants. Plusieurs raisons sont notamment évoquées comme l'arrêt de l'allaitement maternel ou encore des aliments allergènes comme le lait de vache ou l'arachide.


Des chercheurs du Guy’s and St Thomas’ Hospital de Londres viennent d'ajouter une nouvelle hypothèse à la liste : les médicaments. Publiée dans la revue British Journal of Dermatology, leur étude conclut qu'une exposition du nourrisson aux antibiotiques lors de sa première année de vie augmente de 40 % les risques de survenue d'eczéma. Pour en venir à cette conclusion, les chercheurs ont passé en revue des informations provenant de 20 publications scientifiques différentes.


Aucun risque pendant la grossesse


Chaque publication étudiait l’influence des antibiotiques sur le développement de l’eczéma pendant la grossesse ou au cours des premiers mois de l'enfant. En revanche, l'ensemble des données suggère qu'une exposition prénatale (pendant la grossesse) n'aurait aucune influence. D'autres études vont être menées afin de déterminer précisément l'impact des antibiotiques sur cette maladie de peau, même si selon les chercheurs, la piste de la flore intestinale est privilégiée.


Ces résultats devraient inciter les médecins à se montrer plus vigilants quant à leurs prescriptions, même si dans certains cas le recours aux antibiotiques prévaut sur le risque d’eczéma, souvent bénin chez l'enfant. L'eczéma du nourrisson, également appelé eczéma atopique, se manifeste entre l'âge de trois mois et deux ans et touche de 10 % à 15 % des tout-petits. Ses symptômes sont le plus souvent la sécheresse cutanée, l'apparition de plaques rouges et des démangeaisons.

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