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La CNAF augmente ses aides pour la création de places en crèche en 2015,economie,bebes,creches,

20 Novembre 2014, 17:49pm

Publié par hugo

La CNAF augmente ses aides pour la création de places en crèche en 2015
La CNAF augmente ses aides pour la création de places en crèche en 2015 Le montant de l’aide à l’investissement par place créée va donc augmenter d’environ 2 000 euros en 2015.5/11/2014
La Caisse nationale des allocations familiales annonce un budget 2015 en hausse pour la branche famille et en particulier la petite enfance.
Plus de places en crèche, des rénovations mieux accompagnées… les aides de la Caisse nationale d’allocations familiales (CNAF) augmenteront en 2015. L’objectif ? Développer l’accueil du jeune enfant dans les crèches ou auprès des assistantes maternelles à l’heure où, avant 3 ans, les enfants sont de moins en moins gardés par leurs parents. Le montant de l’aide à l’investissement par place créée va donc augmenter d’environ 2 000 euros en 2015. Les investisseurs, en particulier les communes parfois frileuses, seront ainsi incitées à créer des places supplémentaires. Parmi les autres mesures adoptées par la CNAF pour 2015, on trouve un soutien renforcé aux relais d’assistantes maternelles (RAM) afin « d’assurer une présence de proximité sur tout le territoire », détaille la CNAF. Elle souhaite également apporter son soutien au développement des lieux d’accueil parents-enfants, où les familles reçoivent une écoute précieuse en cas de difficultés au quotidien. Autant de mesures qui viennent renforcer l’objectif, ambitieux, du gouvernement, de créer 100 000 places en crèches supplémentaires d’ici 2017.
Source : CNAF
Auteur : Chloé Margueritte > COMMENTER0
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Crèches : comment le gouvernement va-t-il créer plus de berceaux ?,bebes,

21 Octobre 2014, 21:57pm

Publié par hugo

Crèches : comment le gouvernement va-t-il créer plus de berceaux ?


Par Ariane Hermelin
Publié le 21 octobre 2014
Le gouvernement donne un coup de pouce à la création de places en crèche
© REVELLI-BEAUMONT/SIPA
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Le gouvernement a décidé de mettre en place une aide exceptionnelle aux communes pour favoriser la création de nouvelles places en crèches. Le coût d’une place en crèche, qui a quasiment doublé en treize ans, va en outre être scruté à la loupe par une groupe de travail qui rendra ses conclusions en décembre.


C’est un coup de pouce bienvenu. Le ministère des affaires sociales a annoncé lundi 20 octobre l'instauration d'une aide exceptionnelle aux communes qui décideraient de créer des places en crèches en 2015, alors que le nombre de places n’augmente pas assez vite et qu'on estime qu'il manque encore 400 000 berceaux.




>> Places en crèches : qui sont vraiment ces veinards qui en obtiennent ? <<


Augmenter la participation au financement de la CNAF
Les autorités se basent sur l'avis du Haut Conseil de la famille (HCF), qui avait préconisé, dans un avis publié le 10 octobre, d'augmenter de 25 % la subvention apportée par la Caisse nationale d'allocations familiales (CNAF) aux communes, à 11 000 euros par place en moyenne contre 8 800 euros actuellement. Le gouvernement va proposer au conseil d'administration de la CNAF de suivre cette recommandation, et l'aide exceptionnelle devrait être créée en 2015.


Le HCF soulignait qu'en 2013, le nombre de places en crèches a augmenté de 10 706, alors que l'objectif fixé était 21 155. Un retard qui peut s'expliquer notamment par « la situation financière et l'accès au crédit difficiles pour les collectivités locales ».


Simplifier les normes de construction pour accélérer la création de berceaux
Le ministère annonce par ailleurs « un travail de simplification, par l'allégement des normes qui encadrent la construction de places de crèche ». La Croix rapporte qu’en 2013, seulement 6 000 créations de places ont été décidées, contre 11 000 budgétées. L’augmentation du coût d’une place en crèche serait en cause ; celui-ci est en effet passé 18 000 € en 2000 en moyenne pour une place à 34 000 € en 2013. Un groupe de travail, avec l'Association des maires de France (AMF) et la CNAF, va plancher sur le sujet pour comprendre cette hausse des coûts, qui serait due en partie à l’évolution des normes de construction.


L’enjeu pour le gouvernement est d'accroître de 275 000 le nombre de places d'accueil de jeunes enfants pendant le quinquennat, soit une augmentation de 20% en cinq ans, répartie ainsi : 100 000 places de crèche, 100 000 places chez des assistantes maternelles et 75 000 places en école maternelle. Les ministres Marisol Touraine et Laurence Rossignol ont réaffirmé lundi que cet objectif « ambitieux » serait tenu.


>> Places en crèches : la grande loterie pour les jeunes mères <<
les articles Famille Voir aussi : famille enfants garde d'enfants

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Paris : la mairie du 9e expérimente la crèche de secours,bebes,paris,

4 Octobre 2014, 13:39pm

Publié par hugo

Paris : la mairie du 9e expérimente la crèche de secours
Paris : la mairie du 9e expérimente la crèche de secours Une urgence pour faire garder bébé sur Paris ? Un numéro : 01.71.37.75.50 30/09/2014
La mairie du 9e arrondissement de Paris lance, dès mercredi, une solution de crèches d’urgence pour remédier à un problème de garde temporaire d’un tout-petit.
Pour apporter une solution aux imprévus de garde des familles, la mairie du 9e va mettre en place un service de crèches de secours. Déjà adopté dans quelques grandes villes, ce dispositif d’urgence, promesse de campagne de la nouvelle maire du 9e, Delphine Bürkli, voit le jour pour la première fois à Paris. La mesure vise à centraliser les demandes de garde ponctuelles pour les enfants âgés entre 10 semaines et moins de 3 ans. Par ailleurs, il n’est pas nécessaire d’être inscrit au préalable en crèche pour bénéficier de ce service de garde éphémère. En pratique, à partir du 1er octobre, les parents en panne de mode de garde peuvent contacter le Relais information de la mairie du 9e arrondissement de Paris * qui se charge ensuite de trouver une place pour leur bébé dans l’une des 6 crèches qui participent à l’expérimentation. Cette solution peut s’appliquer de quelques heures à 5 jours consécutifs. Si la mairie peut être amenée à vérifier que les parents n’ont vraiment aucun autre mode de garde disponible, cette garde d’urgence n’entraîne pas de surcoût, c’est le tarif habituel de la crèche qui s’applique. Pour le moment, il s’agit d’une expérimentation assez limitée puisque seules 6 crèches sur les 20 que compte l’arrondissement se sont portées volontaires pour en faire partie. L’expérience doit ainsi durer 6 mois mais « ce programme est voué à s'étendre d'ici un an à l’ensemble des structures du 9e arrondissement s'il s'avère efficace », selon la mairie. A terme, cette mesure d’urgence pourrait peut-être tenter d’autres arrondissements de la Capitale.
*01.71.37.75.50
Sources : Mairie du 9e et Metronews
Auteur : Chloé Margueritte > COMMENTER1
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Pourquoi les crèches peinent à recruter,emploi,creches,enfants,

12 Septembre 2014, 22:24pm

Publié par hugo

Accueil›Société
Pourquoi les crèches peinent à recruter
AUDE DERAEDT 11 SEPTEMBRE 2014 À 18:46
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MODE ZEN
Les auxiliaires de puéricultures sont de plus en plus difficile à trouver sur le marché de l'emploi.
Les auxiliaires de puéricultures sont de plus en plus difficile à trouver sur le marché de l'emploi. (Photo Jean-Pierre Muller. AFP)
DÉCRYPTAGEAlors que le nombre de crèches ne cesse d'augmenter, le manque de personnel qualifié pour encadrer les enfants devient criant.
Les portes d’une vingtaine de crèches parisiennes sont restées closes ce jeudi. Une quarantaine d'autres ont ouvert malgré la grève d’une partie de leur équipe. En cause, un ras-le-bol chez les salariés de la petite enfance, qui dénoncent un manque de personnel et le non-respect des quotas d’encadrement dans les crèches gérées par la ville. Mais la situation est loin de ne concerner que la capitale. Car en réalité, c’est l’embauche des auxiliaires de puériculture qui pose problème. Alors que les ouvertures de crèches se multiplient sur le territoire, ces salariés sont devenus une denrée rare pour les recruteurs, qui ne parviennent plus à dénicher suffisamment de personnel qualifié.
SUR LE MÊME SUJET
Appel à la grève dans les crèches parisiennes
Places en crèche : les enfants du début d'année favorisés
«La pénurie touche toutes les catégories qualifiées, que ce soit les directeurs, ou les éducateurs de jeunes enfants, explique Sylvain Forestier, le président de la Fédération française des entreprises de crèche (FFEC). Mais elle est beaucoup plus forte chez les auxiliaires de puéricultures.» Ces salariés qualifiés, premiers liens avec les enfants, devraient représenter entre 50 et 60% du personnel d’une crèche. Mais depuis quelques années, les recrutements deviennent difficiles et les 4 000 diplômés par an ne suffisent plus. Au point que certains établissements municipaux, notamment dans les Hauts-de-Seine, ont été forcés de fermer, faute de personnel.


PÉNURIE D’ÉCOLES
Emmanuelle Juigner est auxiliaire de puériculture à Paris. Ce jeudi, elle a participé au mouvement de grève organisé à Paris, sous les couleurs de la CGT. Si elle reconnaît que la ville de Paris n’embauche que du personnel qualifié, cela ne l’empêche pas de constater «le manque d’auxiliaires sur le terrain». «Il n’y a pas suffisamment d’écoles pour les former en France, et souvent, elles sont trop chères», souligne-t-elle. Pour devenir auxiliaire de puériculture, il faut passer un concours d’Etat après la troisième. Il existe 122 écoles en France permettant de suivre cette formation d’un à deux ans. 51 d’entre elles sont privées, avec des frais de scolarité de 3 000 à 4 000 euros.


«Il est difficile d’obtenir les autorisations nécessaires pour en ouvrir une nouvelle, explique Sylvain Forestier, qui est aussi le directeur de la première crèche à avoir créé une école de puériculture. Pour ouvrir la nôtre, il nous a fallu entreprendre deux ans de démarches auprès du Conseil régional, alors que le financement était entièrement privé.» Conscient de cette situation, le ministère des Affaires sociales et de la Santé, qui «fixe annuellement un quota pour un certain nombre de formations», notamment d’auxiliaires de puériculture, déclare vouloir «travailler avec les conseils régionaux pour les inciter à développer cette offre de formation».


Si cette situation concerne toute la France, certaines régions sont plus touchées que d’autres par le manque de personnel qualifié. «La tension est surtout centrée sur la Haute-Savoie, ou les auxiliaires préfèrent travailler en Suisse, ainsi que sur la région parisienne», explique Sylvain Forestier. En cause : la multiplication du nombre de crèches – 10 000 places créées depuis 2001 rien qu’à Paris. «Comme c’est là qu’il y a le plus de demande, c’est aussi là qu’il y a le plus de migrations internes», ajoute Sylvain Forestier. Caroline Kovarsky, déléguée générale de la FFEC, donne un exemple : «Si une crèche se crée dans le quartier où habite une auxiliaire de puériculture, elle aura tendance à démissionner pour travailler dans cette crèche.»


MANQUE DE PASSERELLES
C’est d’ailleurs l’un des points sur lesquels la Fédération française des entreprises de crèches incite à travailler. «En région parisienne, la solution serait surtout de fidéliser le personnel qualifié à un lieu de travail», explique Caroline Kovarsky. En mai, la FFEC a par ailleurs remis un rapport au ministère des Affaires sociales dans lequel elle propose de faciliter les évolutions de carrière des CAP petite enfance. «Beaucoup de diplômés de CAP se retrouvent au chômage à cause de leur nombre. Nous avons proposé au ministère de permettre aux CAP ayant trois ans d’expérience d’évoluer à travers une formation vers la catégorie 1 [catégorie qui englobe les auxiliaires de puériculture] afin de mettre un terme à la pénurie d’auxiliaires.»


Car le problème, c’est aussi le manque de passerelles entre les deux statuts. En 2010, un rapport du ministère de la Santé indiquait déjà que «les qualifications BEP ou CAP [étaient] souvent peu valorisées, alors même que le contenu d’emploi est assez similaire, voire identique à celui d’auxiliaire de puériculture». Dans ce même rapport, les enquêteurs précisaient que ces «carrières [offraient] peu de perspectives d’évolution professionnelle». Un point sur lequel le ministère affirme travailler actuellement, l’une des pistes étant d'«encourager la valorisation des acquis de l’expérience, afin de favoriser les passerelles et les évolutions de carrières entre les professions de la petite enfance».


Aude DERAEDT
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Crèches : l’INED analyse le profil des enfants accueillis,enfants,creches,

12 Septembre 2014, 21:48pm

Publié par hugo

Crèches : l’INED analyse le profil des enfants accueillis
Crèches : l’INED analyse le profil des enfants accueillis Obtenir une place en crèche est un casse-tête pour beaucoup de parents ...10/09/2014
Trois sociologues de l’Ined se sont intéressés au profil des enfants et des familles qui bénéficient de places en crèche.
En France en 2011, seuls 16% des enfants de moins de 4 ans sont accueillis dans une crèche, selon une étude publiée par l’Institut national d’études démographiques (Ined). Or, c’est un mode de garde plébiscité par les parents. Pour 32% d’entre eux, c’est un bon vecteur de socialisation pour l’enfant avant sa scolarisation. La plupart des parents ne peuvent y avoir accès, faute de place, et les modalités d’attribution restent souvent très opaques pour les familles. Quel est le profil des enfants accueillis en crèche et de leurs parents?
Les plus représentées : mamans jeunes, précaires, salariées du public
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les familles monoparentales ne sont pas particulièrement favorisées. Ainsi, « seulement 13% des structures d’accueil de jeunes enfants retiennent la situation de monoparentalité comme critère favorisant l’attribution d’une place mais beaucoup plus quand l’isolement de la mère est associé à un autre critère », détaille l’Ined.
Cet « autre critère » semble être la précarité des mères, la situation des pères étant bien souvent moins déterminantes. Ce sont donc les mères sans emploi qui sont le plus représentées dans les crèches. Cela peut semble paradoxal mais les mères sans diplômes ont moins accès à la crèche (elles demandent plus naturellement de l’aide à leur famille). On retrouve également davantage de jeunes mamans (moins de 25 ans) dans les structures d’accueil collectives que de mères plus âgées. Autre critère déterminant : le secteur d’activité des parents. « Les mères salariées du secteur public ou indépendantes confient plus souvent leurs enfants aux crèches que celles du secteur privé », explique l’Ined. Les crèches hospitalières, assez répandues et importantes en taille, peuvent expliquer la forte présence des salariées du public. L’origine ethnique semble également jouer. « Les enfants de mère de nationalité étrangère sont plus fréquemment en crèche que les enfants de parents français ».
Davantage d’enfants de début d’année et de « petit troisième »
Les enfants nés à l’automne ont moins accès à la crèche. Ce sont donc les enfants nés en début d’année (entre janvier et avril) qui bénéficient plus largement d’une place en crèche. Autre différence, le troisième enfant est plus fréquemment accueilli. Les mères de familles nombreuses sont donc soutenues par ces collectivités pour le maintien dans leur activité professionnelle. Les parents jumeaux et triplés ont également plus de chances d’obtenir une place en crèche.
Encore de fortes disparités régionales
Mais la disparité tient également au nombre de places disponibles, chiffre qui varie beaucoup selon les régions. Ainsi, les places disponibles dans ces structures d’accueil sont plus nombreuses dans les grandes métropoles et notamment à Paris. On note 38 places pour 100 enfants de moins de 4 ans dans la capitale alors que la moyenne nationale est de 16. Sans réelle surprise, c’est en zone rurale que l’accès est le plus limité. Pour l’Ined, c’est une question de priorité politique : « l’accueil des jeunes enfants n’est pas forcément une priorité des élus locaux, si bien que de nombreux parents ne disposent pas de crèche à proximité de leur foyer ou de leur travail en zone rurale ».
Quelles solutions au manque de places ?
Faute de place dans les établissements collectifs, les parents se débrouillent avec le système D ou se tournent vers d’autres modes de garde. Ainsi, un enfant de moins de trois ans sur deux est gardé par ses parents alors que 29% sont accueillis chez une assistance maternelle. De nouvelles mesures encouragent également la scolarisation des enfants dès 2 ans. Le gouvernement prévoit la création de 100 000 places en crèche supplémentaires d’ici 2017. Objectif qui ne sera peut-être pas atteint si l’on tient compte du bilan de 2013, année au cours de laquelle les créations ont été moins importantes que prévu. Autre problématique : la pénurie de professionnels. On ne forme pas assez de personnel qualifié pour permettre l’ouverture de nouvelles structures (voire pour faire fonctionner celles qui existent déjà). A Paris, les salariés des crèches prévoient d’être en grève demain pour dénoncer justement le manque d’effectifs. Les 3 et 12 juin derniers, 140 établissement sur les 450 que compte la capitale étaient fermés après un premier appel à la mobilisation.
Auteur : Chloé Margueritte > COMMENTER6
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L’objectif de 100.000 places de crèches d’ici 2017 ne sera peut-être pas atteint,enfants,education,

12 Septembre 2014, 19:03pm

Publié par hugo

L’objectif de 100.000 places de crèches d’ici 2017 ne sera peut-être pas atteint
L’objectif de 100.000 places de crèches d’ici 2017 ne sera peut-être pas atteint LEs aides prévues pour la création de places en crèches n'ont pas toutes été utilisées en 20139/09/2014
Il y a eu en 2013 moins de créations de places en crèches que prévu. Le retard pris est-il rattrapable pour tenir les objectifs ?
Après l’évocation hier d’un éventuel rabotage de la prime à la naissance et de l’indemnisation du congé parental au deuxième enfant, une autre question suscite de nombreux commentaires et s’est trouvée ce matin au cœur de la conférence de presse de rentrée de la CNAF. Les 100.000 places de crèche supplémentaires prévues d’ici 2017 pourront-elles être atteintes ? Les crédits alloués à ces créations vont-ils être réduits? En 2013, le gouvernement s’est engagé sur la création d’ici 2017 de 100.000 places chez les assistantes maternelles, 100.000 places en établissement d’accueil du jeune enfant et 75.000 places en maternelle pour les moins de trois ans. Or, les créations de places en crèches en 2013 ont été moins importantes que prévu. Le budget du Fonds National d’Action sociale (FNAS) voté pour quatre ans a été « sous-exécuté » en 2013, c’est à dire que les aides financières allouées aux ouvertures de crèches n’ont pas toutes été utilisées. En conséquence, le budget prévu pour la période 2014-2017 a été « rebasé », aligné sur les dépenses réellement effectuées en 2013 et donc… revu à la baisse. Ce budget sera bien en augmentation par rapport aux années précédentes mais dans une moindre mesure que ce qui avait initialement été décidé.
Pour le moment, la CNAF évoque de simples reports de créations mais la question demeure : ce retard sera-t-il rattrapé d’ici 2017 ? Cette sous-exécution budgétaire est assez classique en début d’exercice, lorsque vient d’être signée la convention d’objectif et de gestion (COG) entre l’Etat et la Cnaf (ici valable pour cinq ans entre 2013 et 2017). Des raisons « conjoncturelles » sont également avancées pour expliquer ce démarrage assez lent : les élections municipales ont pu susciter un certain attentisme de la part des collectivités. La CNAF s’inquiète malgré tout de l’éventuelle poursuite de cette « sous exécution » et se demande comment pousser les collectivités locales à lancer la construction de nouvelles crèches. Le message de la CNAF est clair : « nous avons les moyens de créer des places d’accueil, ça ne dépend pas que de nous mais aussi des communes ». Mais côté communes il peut aussi être objecté que depuis 10 ans le coût de création d’une place a été quasiment multiplié par deux alors que les aides, elles, n’ont augmenté que de 32%. Pourquoi une telle augmentation du coût de création ? Les normes de construction plus drastiques ou la part croissante du secteur privé constituent peut-être des pistes d’explication. Ce que dément d'ailleurs Jean-Emmanuel Rodocanachi, le président de la Fédération Française des Entreprises de crèches: "Sur la période 2000-2013 nous n'avons représenté qu'à peine 10% des nouvelles crèches. Il faut plutôt chercher du côté des cabinets qui répondent aux appels d'offre des communes (dont ce n'est pas le coeur de métier). Ces derniers peuvent avoir tendance à proposer davantage de mètres carrés que nécessaire. Les communes n'ont pas la possibilité de réaliser des économies d'échelle. Les nouvelles normes de construction, elles aussi, ont pu jouer."La CNAF planche en tous cas sur la question.

Source: CNAF
Auteur : Gaëlle Guernalec-Levy > COMMENTER0
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Places en crèche : les enfants du début d'année favorisés,enfants,creches,

10 Septembre 2014, 03:59am

Publié par hugo

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Places en crèche : les enfants du début d'année favorisés
AFP 10 SEPTEMBRE 2014 À 00:31
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Dans une crèche, en janvier.
Dans une crèche, en janvier. (Photo Eric Cabanis. AFP)
L’essentiel des places se libère en septembre, lorsque les enfants plus âgés rentrent à l’école maternelle.
Pour avoir une place en crèche, mieux vaut naître en début d’année qu’à l’automne, et dans une grande ville, selon une étude de l’Institut national des études démographiques (Ined) publiée mercredi.
La crèche est le mode d’accueil le plus demandé par les parents d’enfants de moins de trois ans, étant perçue comme bénéfique au développement de l’enfant, à son éveil et son autonomie, souligne cette étude. Pourtant, seuls 16% des enfants de moins de 4 ans pas encore scolarisés y étaient accueillis en 2011. Quelque 29% étaient gardés par une assistante maternelle, la moitié par leurs parents (en général la mère) et seule une petite proportion (4,5%) par les grands-parents ou d’autres membres de la famille.


Dans un contexte d’offre limitée, la crèche n’est pas accessible de la même manière à tous les enfants, constate l’étude. Les enfants nés en début d’année (de janvier à avril) ont toujours plus de chances d’être accueillis en crèche que ceux nés à l’automne (octobre-novembre-décembre) de la même année. L’essentiel des places se libère en septembre, lorsque les enfants plus âgés rentrent à l’école maternelle, et ces places semblent davantage bénéficier aux enfants nés au premier et deuxième trimestres. Il n’y a pas de différence entre filles et garçons, ni entre enfants biologiques et enfants adoptés. En revanche, le rang dans la fratrie importe, le troisième enfant étant plus fréquemment accueilli dans les structures collectives que les deux premiers, signe d’une volonté d’aider les mères de familles nombreuses à conserver leur activité professionnelle. De même, les jumeaux et triplés sont plus fréquemment en crèche que les enfants issus de naissance simple.


Les enfants dont la mère est au chômage sont surreprésentés, mais ceux issus de familles monoparentales ne semblent pas bénéficier d’un accès privilégié. Les places en crèche sont beaucoup plus fréquentes dans les grandes métropoles et en particulier à Paris, où leur nombre est de 38 pour 100 enfants de moins de trois ans, tandis que la moyenne nationale n’est que de 16.


Mais les plus grandes inégalités se trouvent entre les zones urbaines et rurales. Outre son coût plus difficile à supporter pour les petites communes, l’accueil des jeunes enfants n’est pas forcément une priorité des élus locaux.


Cette étude est publiée alors que la Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf) s’est inquiétée mardi de la forte hausse du coût d’une place en crèche, qui a presque doublé en dix ans, pouvant représenter un frein pour les communes et menacer l’objectif de 100.000 nouvelles places d’ici à 2017.


Entre 2000 et 2013, le coût d’investissement dans un berceau est en effet passé de 18 000 euros à 34 000 euros, a souligné le directeur général de la Cnaf, Daniel Lenoir. Or la participation de la Caisse n’a pas augmenté autant, passant sur la période de 6 600 euros à 8 800 euros. La différence doit être financée par les collectivités locales. Mais leur situation financière est souvent dégradée et la Cnaf redoute qu’elles ne soient pas très partantes pour investir dans ces places en crèches, devenues si chères.


AFP
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COMMENT CHOISIR LE SERVICE DE GARDE DE VOTRE PETIT?,bébés,enfants,crèches,

31 Juillet 2014, 19:04pm

Publié par hugo

COMMENT CHOISIR LE SERVICE DE GARDE DE VOTRE PETIT?


28 JUILLET 2014




À QUI CONFIEREZ-VOUS VOTRE BÉBÉ QUAND VOUS REPRENDREZ LE TRAVAIL? MÊME SI CETTE ÉTAPE VOUS SEMBLE ENCORE BIEN LOIN, MIEUX VAUT Y RÉFLÉCHIR PLUS TÔT QUE TROP TARD…


Au Québec, il y a trois principaux types de service de garde pour les enfants qui ne sont pas encore en âge d’aller à l’école :


les centres de la petite enfance ou « CPE » (organismes sans but lucratif ou coopératives);
les garderies (généralement des entreprises à but lucratif, mais parfois aussi des organismes sans but lucratif ou des coopératives);
les services de garde en milieu familial (offerts par des personnes dans des résidences privées; par exemple, une voisine qui offre un service de garde chez elle).
Les CPE et les garderies doivent obtenir un permis du ministère de la Famille et des Aînés pour accueillir plus de six enfants. Quant à la personne qui souhaite offrir un service de garde en milieu familial à plus de six enfants, elle doit obtenir une reconnaissance d’un bureau coordonnateur de la garde en milieu familial. Pour obtenir un permis ou la reconnaissance d’un bureau de coordonnateur, le service de garde doit répondre à différents critères, notamment s’engager à assurer la santé, la sécurité et le bien-être des enfants qu’il reçoit.


LE PROGRAMME ÉDUCATIF DES SERVICES DE GARDE
Tout enfant a le droit de recevoir des services de garde éducatifs personnalisés de qualité. Les services de garde doivent notamment offrir un programme éducatif dont les activités favorisent le développement global de l’enfant. Ces activités doivent lui permettre de développer toutes les dimensions de sa personne, notamment sur les plans affectif, social, moral, cognitif, langagier, physique et moteur.


Les activités doivent aussi amener l’enfant à avoir de saines habitudes de vie et de saines habitudes alimentaires. Elles doivent lui permettre de s’adapter progressivement à la vie en collectivité et à s’y intégrer harmonieusement.


LES SERVICES DE GARDE À 7 $
Si un service de garde est subventionné par le gouvernement, il peut offrir des places à faible coût (aussi appelées « places à contributions réduites »). Le coût exigible par le service de garde aux parents est alors fixé par le gouvernement (le tarif quotidien présentement fixé à 7 $ sera indexé à 7,30 $ à partir du 1er octobre 2014).


Pour aider les CPE et les garderies subventionnées à intégrer un enfant handicapé, le gouvernement peut aussi leur offrir des allocations. Quant aux parents qui reçoivent des prestations d’aide sociale, ils n’ont pas à payer les services de garde pour un certain nombre de journées ou de demi-journées par année.


Si le service de garde n’est pas subventionné, il peut fixer lui-même le montant de la contribution pour ses services. Toutefois, les parents peuvent avoir droit à un crédit d’impôt pour frais de garde d’enfant, voire à un versement anticipé de ce crédit.



QUELS SERVICES DE GARDE SONT SUBVENTIONNÉS?
Les CPE et les services de garde en milieu familial reconnus par un bureau coordonnateur de la garde en milieu familial sont subventionnés. Quant aux garderies, elles peuvent ou non avoir des places subventionnées.


Le montant de la contribution réduite couvre les frais des services suivants :


un maximum de 10 heures de garde continue par jour, pendant les heures d’ouverture;
les collations si l’enfant est gardé durant les heures prévues pour leur distribution;
le repas du midi ou du soir si l’enfant est gardé durant les heures prévues pour les repas ou, dans les autres cas, le petit-déjeuner;
tout le matériel éducatif utilisé par le service de garde, et tout autre bien ou service qui doit être mis à la disposition de l’enfant (p. ex. articles d’hygiène communs, matériel de bricolage, livres, pièces de théâtre, etc.).
Il ne peut donc pas y avoir de frais supplémentaires, sauf pour les services suivants :


une sortie occasionnelle organisée dans le cadre d’une activité éducative (p. ex. visite au zoo ou cueillette de pommes);
une sortie pour utiliser des installations sportives ou récréatives payantes, hors service de garde (piscine municipale, patinoire, etc.);
des articles personnels d’hygiène, comme des couches, de la crème solaire et une brosse à dents; le parent a toutefois le choix de fournir lui-même ces articles;
un repas supplémentaire.
Pour ces frais supplémentaires, le service de garde doit remettre aux parents une description détaillée des sorties, des articles d’hygiène et des repas et préciser le montant des frais. Si le parent accepte, le tout doit faire l’objet d’une entente particulière.


Si le parent refuse des services pour lesquels des frais supplémentaires sont exigés, son enfant ne peut être privé des services de garde de base, sauf pour le service de garde en milieu familial qui organise une sortie occasionnelle.


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Crèche ou nounou ? Les clés pour faire le bon choix,bebes,creches,

10 Juillet 2014, 16:43pm

Publié par hugo

Crèche ou nounou ? Les clés pour faire le bon choix
CRÉÉ : 03-07-2014 17:36
ENFANT - Quel mode de garde choisir pour son enfant ? Epineuse question pour toutes les familles. Metronews liste avantages et inconvénients de chaque mode de garde.


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crecheDifficile de choisir une bonne méthode de garde pour son enfant. Photo : https://www.caf.fr/
Crèche ou nourrice ? Accueil collectif ou individuel ? Pas facile de choisir à qui et comment laisser "la chair de sa chair" à la reprise du travail ou au retour des vacances. Chaque type d’accueil a un potentiel bien particulier... et des inconvénients. Analyse.


Accueil collectif
Type : crèches, micro-crèches, haltes-garderies, structures multi-accueil, jardins d’enfant, accueil parental, MAM (Maison d’assistantes maternelles).


- Avantages : Sécurité, partage, apprentissage de la vie en société, préparation à la collectivité (école), éveil… Ce type d’établissement est soumis au respect d’une stricte réglementation et fait l’objet d’une autorisation de fonctionnement délivrée par le Président du Conseil général après avis des services de la protection maternelle et infantile (Pmi). C’est dire si l’environnement est parfaitement sécurisé. Et que l’équipe encadrante est formée. Aussi bien aux premiers soins qu’à l’éveil des tout-petits. Musique, ateliers peintures, modelage, sorties culturelles, diversification alimentaire… Le "projet pédagogique" est clairement affiché à la signature du contrat.


- Inconvénients : le manque de flexibilité. Les crèches publiques collectives gardent rarement votre enfant après 18 h 30. Et les "virus" pullulent. Le bruit entraîne parfois certaines difficultés pour dormir. Les dortoirs étant souvent collectifs, quand l’un pleure… L’attachement : un référent par enfant mais il est de fait moins "exclusif" qu’avec sa nourrice "privée". Les MAM (maisons d'assistantes maternelles) ou micro-crèche sont à cet égard un bon compromis.








Accueil Individuel ou semi-individuel
Type : nourrice à domicile ou au domicile, crèche familiale, garde partagée…


- Avantages : choix, intimité, proximité, adaptabilité… Pour être autorisée à accueillir des enfants à son domicile, une assistante maternelle doit être titulaire d’un agrément délivré par le Président du Conseil général. Pas de souci de formation donc. Et les "inspections" à domicile sont régulières. En ce qui concerne la garde à domicile, en mode partagée ou non, l’employée doit être déclarée chaque mois par vos soins à l’Ursaaf (déclaration en ligne sur le site pajemploi) et c’est vous qui établissez le contrat.


- Inconvénients : L’incertitude. Votre enfant a-t-il passé sa journée devant la TV ? Le manque de collectivité peut aussi entraîner un peu d’inhibition lors de l’entrée en maternelle. La relation parents/employeurs à gérer est parfois complexe. Contrat, dates des vacances, heures supplémentaires, congés payés, taxe de repas, de matériel de puériculture… Il faut tout noter noir sur blanc dans le contrat, rédigé sous forme de CDI généralement. Ne pas oublier de faire sa déclaration mensuelle (aide et conseils sur pajemploi).


Quels prix pour chaque forme de garde ?
Difficile d’établir une fourchette de prix. Ils dépendent du quotient familial des familles, du volume horaire, du type (public ou privé) de la structure. Des simulations sont possibles sur le site monenfant.fr et le site de la CAF. Des aides peuvent être allouées pour tous ces modes de garde. Papy-mamy en renfort non compris bien sûr.


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MARIE SANS
metronews.fr
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Grève dans les crèches : alliance originale entre le Parti de gauche et l'UMP,creches,bebes,politiques,paris

18 Juin 2014, 23:30pm

Publié par hugo

Grève dans les crèches : alliance originale entre le Parti de gauche et l'UMP
CRÉÉ : 17-06-2014 16:14
CONSEIL DE PARIS - Les élus parisiens ont adopté mardi, contre l'avis de la majorité PS, un vœu prévoyant d'embaucher davantage dans les crèches parisiennes touchées par un mouvement social. Le vote associe Danielle Simonnet (Parti de gauche), auteure du vœu, la droite et le centre. Une nouvelle grève est prévue jeudi.


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Grève dans les crèches : alliance originale entre le Parti de gauche et l'UMPAnne Hidalgo a promis de créer au moins 5.000 places en crèche durant la mandature. Photo : REVELLI-BEAUMONT/SIPA
Il y a les amitiés durables et les alliances de circonstance. Mardi, au Conseil de Paris, une association originale entre l'élue du Parti de gauche, Danielle Simonnet, l'UDI et l'UMP, a permis de faire adopter, contre l'avis de l'exécutif, un vœu prévoyant d'embaucher massivement dans les crèches parisiennes.


Alors qu'un troisième mouvement de grève est prévu jeudi dans les établissements de la petite enfance, l'opposition gauche-droite a fait passer, par 34 voix contre 27, ce texte initié par Danielle Simonnet qui demande la création "d'au moins un à deux postes supplémentaires dans chaque établissement […], afin de rétablir des conditions de travail acceptables". D'après ce texte, le recrutement de "445 éducateurs de jeunes enfants, 640 auxiliaires de puériculture et 445 agents techniques serait nécessaire à court terme".


Abstention chez les Verts et les communistes


L'élue du Parti de gauche demande aussi dans ce vœu le respect du "droit effectif à la formation continue des agents". Satisfaite, Danielle Simonnet a toutefois relevé une "incohérence" dans ce vote, la droite critiquant "sans arrêt l'importance de la masse salariale de la Ville". Les élus écologistes et communistes, qui participent à l’exécutif parisien, se sont abstenus lors du vote, ouvrant la voie à l'adoption du texte. Les communistes avaient eux-même présenté un texte visant à "pourvoir immédiatement les postes créés dans les nouveaux établissements". Lundi, la maire PS Anne Hidalgo avait rappelé son objectif de créer "au moins 5.000 places" en crèche sous la mandature, rappelant les difficultés de recruter du personnel dans ce secteur.


Le texte devrait en tout cas satisfaire la CGT Petite enfance, qui revendique "un recrutement massif" et "un volant de remplacement conséquent" dans les crèches. Les agents se rassembleront jeudi à 19 heures sur le parvis de l'Hôtel de Ville.






VINCENT MICHELON
Service Paris
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