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Les vrais chiffres de l'inégalité salariale entre hommes et femmes | Grand écart #1, egalite, salaire

14 Octobre 2020, 00:53am

Publié par hugo

 

 Les vrais chiffres de l'inégalité salariale entre hommes et femmes | Grand écart #1
742 vues•Sortie le 2 sept. 2020

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À poste égal au sein de la même entreprise, une femme gagne déjà moins qu’un homme. Mais dés lors qu'on tient compte du revenu entre toutes les femmes salariées et tous les hommes salariés, l'écart se creuse d'autant plus parce que les hommes ont des postes plus rémunérateurs (on parle alors de «ségrégation professionnelle») et parce que les femmes travaillent significativement plus à temps partiel (c’est l’effet «durée du travail»).

Chaque mois, dans Grand écart, décortiquez les différences en un graph pour penser les bonnes solutions. Ce mercredi 2 septembre, Julie Desrousseaux dessine le véritable chiffre de l'inégalité salariale entre hommes et femmes. 

Pour plus de solutions : https://www.pourleco.com/en-vrai/la-f...

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Parité hommes-femmes : les entreprises espagnoles devront publier les écarts de salaires , femmes, feminisme, salaires, economie,

14 Octobre 2020, 00:51am

Publié par hugo

 Parité hommes-femmes : les entreprises espagnoles devront publier les écarts de salaires
Il s'agit de permettre aux salariées et aux syndicats de pouvoir exiger l'égalité salariale, au sein de l'entreprise ou devant la justice, dans ce pays où, en 2018, les femmes gagnaient en moyenne 14% de moins que leurs compatriotes masculins. 

La ministre du Travail espagnole, Yolanda Diaz et le Premier ministre Pedro Sanchez, lors de questions au gouvernement, le 5 mai 2020, à Madrid. La ministre du Travail espagnole, Yolanda Diaz et le Premier ministre Pedro Sanchez, lors de questions au gouvernement, le 5 mai 2020, à Madrid.  (ANDRES BALLESTEROS / AFP)
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franceinfo avec AFP
France Télévisions
Mis à jour le 13/10/2020 | 19:18
publié le 13/10/2020 | 19:12

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il y a 5 heures
Coronavirus : l'Inserm a reçu 25 000 candidatures de volontaires pour tester des vaccins en 10 jours

Depuis son arrivée au pouvoir en janvier, le gouvernement de coalition de gauche en Espagne a fait de l'amélioration des droits des femmes une des pierres angulaires de son programme. Dernière mesure en date : les entreprises espagnoles de plus de 50 salariés devront désormais publier les écarts de salaires entre leurs employés en fonction de leur genre, selon un décret approuvé mardi 13 octobre par le gouvernement. Cette obligation de transparence doit permettre aux salariées et aux syndicats de pouvoir exiger l'égalité salariale, au sein de l'entreprise ou devant la justice, a expliqué la ministre du Travail, Yolanda Diaz.

"Il est crucial de savoir comment fonctionne le système de rémunération, car c'est là que se perçoivent toutes les discriminations dont nous souffrons en tant que femmes, au cours de notre carrière professionnelle et de notre vie", a-t-elle déclaré. Ainsi, la grille devra comporter le salaire moyen et médian en vigueur dans l'entreprise "détaillés par sexe", pour chaque catégorie professionnelle ou type de poste de travail, afin de respecter une "obligation de rémunération égale pour un travail de valeur égale", selon ce texte. Les entreprises ont six mois pour se mettre en conformité avec ce règlement.

Un écart de salaire de 14%
Les Espagnoles gagnaient en 2018 en moyenne 14% de moins que leurs compatriotes masculins, soit un peu mieux que la moyenne européenne (14,8%) et française (15,5%), selon les dernières données disponibles d'Eurostat, basées sur le salaire horaire brut.

En France, un index de l'égalité professionnelle entre femmes et hommes, créé en février 2019, s'applique aux entreprises de 50 à 250 salariés depuis mars 2020. L'index comprend cinq critères : l'écart de rémunération femmes-hommes (40 points), l'écart dans les augmentations annuelles (20 points), l'écart dans les promotions (15 points), les augmentations au retour de congé maternité (15 points) et enfin la présence de femmes parmi les plus gros salaires de l'entreprise (10 points). Mais cette formule restait toujours à parfaire selon les syndicats, interrogés à l'heure du premier anniversaire.

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https://www.francetvinfo.fr/societe/droits-des-femmes/parite-hommes-femmes-les-entreprises-espagnoles-devront-publier-les-ecarts-de-salaires_4140273.html

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La pression s'accentue pour demander la panthéonisation de Gisèle Halimi , femmes, feminisme,

13 Octobre 2020, 23:48pm

Publié par hugo

 La pression s'accentue pour demander la panthéonisation de Gisèle Halimi
Des collectifs féministes organisent un happening et appellent à manifester en ligne dimanche en faveur de l'entrée Gisèle Halimi au Panthéon.

 L\'avocate Gisèle Halimi le 10 Mars 2000 à Rabat. L'avocate Gisèle Halimi le 10 Mars 2000 à Rabat. (MAXPPP)
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Julie Marie-Leconte
Radio France
Mis à jour le 11/10/2020 | 11:59
publié le 11/10/2020 | 08:07

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il y a 4 heures
Coronavirus : l'Inserm a reçu 25 000 candidatures de volontaires pour tester des vaccins en 10 jours

Deux mois et demi après la disparition de l'avocate et figure du féminisme français Gisèle Halimi, le collectif qui demande sa panthéonisation a retenu la date du 11 octobre, date anniversaire du procès de Bobigny, pour organiser un rassemblement place des grands hommes, et appeler à une manifestation en ligne toute la journée. 

Une action féministe pour demander l\'entrée au Panthéon de Gisèle Halimi était organisée dimanche 11 octobre devant le monument.Une action féministe pour demander l'entrée au Panthéon de Gisèle Halimi était organisée dimanche 11 octobre devant le monument. (LAURIANE DELANOE / RADIO FRANCE)
Cependant, pour l'heure, ce n'est pas l'option retenue par l'exécutif. En septembre dernier, Emmanuel Macron avait annoncé un hommage national aux Invalides. La panthéonisation est une affaire de temps long, justifie l'Elysée. Un conseiller confie d'ailleurs que le palais reçoit une à deux demandes par semaine.

La cause a des soutiens
Pourtant la pression s'accentue. Une pétition lancée en août dernier pour demander la panthéonisation de Gisèle Halimi a dépassé les 31 000 signatures. Et mardi dernier, c'est le conseil de Paris qui a adopté une résolution pour la réclamer. Résolution portée par le groupe communiste et Raphaëlle Primet, élue du 20e arrondissement. "Ils n'ont peut-être pas envie d'aller vite, mais peut-être qu'on peut au moins arriver à les obliger à se prononcer dans un premier temps et à le faire ensuite, explique-t-elle. Gisèle Halimi s'est battue pour le droit des femmes, mais aussi contre le colonialisme, pour le droit des homosexuels", rappelle Raphaëlle Primet. 

Il y a très peu de femmes au Panthéon, et encore moins de progressistes. On trouve que ce serait un beau symbole qu'elle puisse y rentrer.
Raphaëlle Primet, élue communiste au conseil municipal du 20e arrondissement de Paris
à franceinfo

La cause a des soutiens y compris au sein du gouvernement. Elisabeth Moreno notamment, la ministre déléguée à l'Egalité hommes femmes, la qualifie de juste.

En attendant, la date pour l'hommage national aux Invalides n'est même pas arrêtée, officiellement en raison de l'épidémie de coronavirus. Pas question de faire une cérémonie à dix, explique l'entourage d'Emmanuel Macron,"il faut que l'hommage rendu soit à la hauteur de ce que représente Gisèle Halimi".

A LIRE AUSSI


https://www.francetvinfo.fr/societe/droits-des-femmes/la-pression-s-accentue-pour-demander-la-pantheonisation-de-gisele-halimi_4136435.html

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Culture : dans "Entre toutes les femmes", Marlène Schiappa met en lumière celles qui font bouger les lignes , femmes, feminisme,

13 Octobre 2020, 23:46pm

Publié par hugo

 Culture : dans "Entre toutes les femmes", Marlène Schiappa met en lumière celles qui font bouger les lignes
Dans son nouvel ouvrage "Entre toutes les femmes", la ministre déléguée en charge de la citoyenneté Marlène Schiappa revient sur ses rencontres marquantes avec certaines femmes qui tentent de faire changer les mentalités dans la société française.

 
France Télévisions
Mis à jour le 10/10/2020 | 11:45
publié le 10/10/2020 | 11:45

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Elles sont chef d’entreprises, à la tête d’associations, femme de ménage ou même récompensée par un Prix Nobel. Toutes ces femmes sont mises à l’honneur par Marlène Schiappa dans son livre "Entre toutes les femmes". La ministre déléguée en charge de la citoyenneté met en valeur les forces mais aussi les faiblesses de ces "outsiders qui arrivent quelque part, qui sont en minorité et qui doivent s’imposer."

Elle partage les constats mais pas la solution d’Alice Coffin
L’élue Alice Coffin s’est attiré les foudres d’une partie de la société à travers des déclarations en opposition aux hommes. Si elle condamne le cyber-harcèlement qui a suivi cette affaire, Marlène Schiappa estime partager des constats mais pas la solution. "Le féminisme, c’est une forme d’humanisme. L’idée, c’est qu’on puisse femme et homme partager un même espace de vie, de travail, de dialogue. Un même espace politique dans le respect de qui nous sommes et sans être assigné à une identité", explique-t-elle.


https://www.francetvinfo.fr/societe/droits-des-femmes/culture-dans-entre-toutes-les-femmes-marlene-schiappa-met-en-lumiere-celles-qui-font-bouger-les-lignes_4136345.html

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VIDEO. La réponse cinglante de la ministre espagnole de l'Égalité à une députée d'extrême droite, femmes, feminisme, EXTREME DROITE , IVG

13 Octobre 2020, 23:37pm

Publié par hugo

 VIDEO. La réponse cinglante de la ministre espagnole de l'Égalité à une députée d'extrême droite
Agacée par les remarques d'une députée d'extrême droite, la ministre espagnole de l'Égalité Irene Montero a tenu à répondre à sa question : "Qu'est-ce qu'être une femme ?"
Brut.
France Télévisions
Mis à jour le 09/10/2020 | 11:05
publié le 09/10/2020 | 11:05

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En plein Parlement espagnol ce 7 octobre, lors d'un débat sur une proposition de loi facilitant l'accès à l'IVG pour les jeunes filles de 16 à 18 ans, Irène Montero, la ministre espagnole de l’Égalité a dénoté avec sa réponse enflammée adressée à la députée d'extrême droite Lourdes Méndez. Cette dernière lui avait demandé : "Qu'est-ce qu'être une femme ?"

"Eh bien, pour une personne féministe, être une femme signifie avoir un plus grand risque de pauvreté, un plus grand risque d'exclusion sociale, un plus grand risque de violence, un plus grand risque d'être moins bien payée pour le même travail, un plus grand risque de prendre en charge tous les soins, un plus grand risque de ne pas pouvoir développer pleinement son projet de vie parce qu'elle doit se consacrer à d'autres tâches que les hommes n'assument malheureusement pas à conditions égales", a lancé la ministre.

"Être féministe et être une femme, c'est savoir qu'une société féministe, c'est une société meilleure pour les femmes et aussi pour les hommes"
Puis, Irène Montero monte au créneau. Elle retourne la question à la députée : "Puisque vous dites que "l'idéologie de genre" est une "invention sociale-communiste", selon vous, je me demande : que signifie pour vous être une femme ?" Elle ajoute: "Comment expliquez-vous le fait qu'il y a beaucoup plus de femmes que d'hommes menacées de pauvreté ou d'exclusion sociale ? Comment expliquez-vous les disparités salariales ? Comment expliquez-vous la violence machiste ? (…) La question est de savoir ce que c'est pour vous d'être une femme. Puisque vous niez toutes ces discriminations qui sont la réalité quotidienne des femmes dans notre pays."

A LIRE AUSSI


https://www.francetvinfo.fr/societe/droits-des-femmes/video-la-reponse-cinglante-de-la-ministre-espagnole-de-l-egalite-a-une-deputee-d-extreme-droite_4134919.html

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Allongement de l'IVG : la question qui divise à l'Assemblée nationale , FEMMES , feminisme , IVG

13 Octobre 2020, 23:32pm

Publié par hugo

 Allongement de l'IVG : la question qui divise à l'Assemblée nationale
Jeudi 8 octobre, les députés ont voté l'allongement du délai légal pour recourir à l'avortement. Il passera de 12 à 14 semaines si le texte va au terme du processus législatif.
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V.Astruc, T.Curtet, M.Sourd, M.Barrois, P.Lagaune, A.Luquet, G.Gheorghita, M.Marini
France 2
France Télévisions
Mis à jour le 08/10/2020 | 22:36
publié le 08/10/2020 | 22:36

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Une nouvelle bataille sur l'IVG a lieu à l'Assemblée nationale. Pour la première fois, une majorité de députés En Marche s'affranchit des réticences du gouvernement et vote en faveur de l'extension à 14 semaines du délai pour avorter. Un vent de fondre s'est emparé de l'hémicycle, alors que mercredi 7 octobre, en Conseil des ministres, le président de la République a fait part de son "extrême réserve sur ce texte. 14 semaines ça peut être un grand traumatisme".

Olivier Véran cherche à ne pas braquer sa majorité
Jeudi 8 octobre, à l'Assemblée nationale, Olivier Véran le ministre de la Santé, tout en défendant la position du gouvernement, cherche à ne pas braquer sa majorité. "J'ai vu des gynécologues qui m'ont dit que la difficulté qu'on a aujourd'hui, c'est de recruter des gynécologues-obstétriciens capables de faire des avortements par aspiration déjà entre 10 et 12 semaines. Si on allonge le délai de 12 à 14, on a un peu peur qu'il y ait un peu plus de démotivation et que ce soit plus difficile demain", a-t-il déclaré.


https://www.francetvinfo.fr/societe/droits-des-femmes/allongement-de-l-ivg-la-question-qui-divise-a-l-assemblee-nationale_4134013.html

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MR PASCAL BRUCKNER JE N ECARTE PAS LES JAMBES , je n ai pas bseoin de montrer montruc

13 Octobre 2020, 23:25pm

Publié par hugo

MR  PASCAL  BRUCKNER  JE N ECARTE PAS LES JAMBES  , je n ai pas bseoin de montrer mon truc  , je n ai pas besoin d etre vulgaire  et  ,,,,,,,,,,,,,,,,,,,  

j ai  un mec  qui  dans le tram  T3  FAISAI TCELA  TROP ET JE LUI AI  REFERME  SES JAMBES  AVEC MES JAMBES  !!!!!

SI  VOUS  ECATREZ  TROP LES JambeS OU ECARTEZ LES JAMBES  VOUS  ETES   VULGAIRES  !!!!

DANS  CETTE  EN LAIR   VOUS  DITES  QUE LA FRANCE ET LES USA  N ONT PAS LA MEME  HISTOIRE , la police francaise  en  1933  1945  CE QUIS ETS PASSE  PAS GENIALE  et  l exploitation  esclavage  de l homme noir , voir le marche   triangulaire    en france  

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Strasbourg : pourquoi l'agression d'une jeune fille en jupe est-elle mise en doute ?, FEMMES, FEMINISME, violences,

13 Octobre 2020, 23:22pm

Publié par hugo

 Strasbourg : pourquoi l'agression d'une jeune fille en jupe est-elle mise en doute ?
L'agression d'une jeune fille dans une rue de Strasbourg qui a affirmé avoir été insultée et frappée parce qu'elle portait une jupe est mise en doute par les éléments de l'enquête. L'épluchage de la vidéosurveillance et l'appel à témoins n'ont rien donné et le témoignage de la jeune femme a légèrement varié.

Le témoignage d\'Elisabeth, qui raconte avoir été agressée au prétexte qu\'elle portait une jupe à Strasbourg, le 18 septembre 2020.Le témoignage d'Elisabeth, qui raconte avoir été agressée au prétexte qu'elle portait une jupe à Strasbourg, le 18 septembre 2020. (FRANCE BLEU / RADIO FRANCE)
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avec France Bleu Alsace
franceinfo
Radio France
Mis à jour le 08/10/2020 | 18:35
publié le 08/10/2020 | 17:42

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il y a 3 heures
Coronavirus : l'Inserm a reçu 25 000 candidatures de volontaires pour tester des vaccins en 10 jours

L'affaire a été révélée par France Bleu Alsace le 21 septembre, suscité une vague d'émotion mais est désormais mise en doute par les enquêteurs. Une étudiante de 22 ans raconte avoir été insultée et frappée au visage le 18 septembre vers 14h à Strasbourg parce qu'elle portait une jupe. Dans la foulée de son agression, elle a porté plainte au commissariat.

Elisabeth explique avoir croisé trois hommes d'une vingtaine d'années, près de la médiathèque Malraux à Strasbourg : "Un des trois hommes me dit 'regardez cette pute en jupe'. Je me permets de répondre 'pardon ?'. Là, ils me répondent 'tu te tais salope et tu baisses les yeux'. Deux m'attrapent chacun par un bras et le troisième me donne un coup de poing au visage. Et après, les trois s'enfuient", témoigne-t-elle. Elisabeth poste sur les réseaux sociaux les photos de son visage avec un œil au beurre noir, provoquant une importante indignation. "La jupe n'est pas responsable de l'agression, et la femme encore moins", déclare Marlène Schiappa, la ministre déléguée chargée de la citoyenneté, qui se déplace immédiatement à Strasbourg.

Pas d'image de vidéosurveillance
Le 22 septembre, la police de Strasbourg (DDSP) annonce qu'elle ouvre une enquête pour "violences commises en réunion suivies d'une incapacité n'excédant pas 8 jours" et qu'elle procède "au recueil de témoignages et à l'exploitation des images de vidéo-protection". D'après le témoignage, l'agression a eu lieu quai des Alpes, un endroit fréquenté en lisière du centre-ville. Mais plusieurs jours après, les enquêteurs manquent de preuves. Les images des caméras de vidéosurveillance du quai des Alpes ne montrent pas d'agression.

Pas de témoin
Juste après la révélation de l'agression, la DDSP lance un appel à témoins. Il ne donne rien, ce qui est "rare" d'après les enquêteurs. Personne n'y a répondu, alors que l'affaire a été très médiatisée. Elisabeth avait de plus affirmé qu'une quinzaine de personnes avaient assisté à la scène mais que personne n'avait réagi ni appelé les secours. "C'est ce qui me révolte le plus dans l'histoire", avait-elle alors raconté à France Bleu.

Une version fluctuante
De nouveau entendue par les enquêteurs, la jeune femme indique s'être trompée de lieu, et qu'elle en réalité était plus proche de son domicile au moment de l'agression. Les enquêteurs ont donc examiné d'autres caméras, dans le secteur du nouveau lieu présumé de l'agression, et épluché 50 heures de vidéo : un travail colossal pour une affaire comme celle-là, selon un policier. Mais là encore, sur les images, on ne voit ni Elisabeth, ni les trois hommes. Les enquêteurs se mettent dès lors à douter sérieusement de son témoignage, mais poursuivent leurs investigations. Pour l'instant, la jeune femme est la seule à avoir été entendue dans cette affaire.

Une appartenance à un collectif controversé
Contactée le 7 octobre, Elisabeth affirme à France Bleu Alsace dire la vérité : "Est-ce que je me suis réveillée comme ça avec d'un œil au beurre noir ?" Et elle se dit abasourdie par la violence de certains commentaires sur les réseaux sociaux. Plusieurs internautes pointent notamment le fait qu'Elisabeth fait partie du groupe Stras Défense, collectif controversé créé cet été sur Facebook qui lutte contre le harcèlement de rue et se présente comme apolitique.


A LIRE AUSSI


https://www.francetvinfo.fr/societe/droits-des-femmes/strasbourg-pourquoi-l-agression-d-une-jeune-fille-en-jupe-est-remise-en-doute_4133689.html

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Santé : le délai d’IVG réexaminé à l’Assemblée nationale , femmes, feminisme, IVG

13 Octobre 2020, 23:21pm

Publié par hugo

Santé : le délai d’IVG réexaminé à l’Assemblée nationale
Quarante ans après la loi Veil, faut-il allonger le délai légal pour avoir recours à l’interruption volontaire de grossesse ? C’est l’un des débats actuels à l’Assemblée nationale.

 
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M. Larguet, S. Thiebaut, O. Pergament, T. Curtet
France 3
France Télévisions
Mis à jour le 08/10/2020 | 18:35
publié le 08/10/2020 | 18:12

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Au sein de l’Assemblée nationale, les députés examinent un possible allongement de l’interruption volontaire de grossesse. Pour Sophie Godu, gynécologue et militante de la première heure, c’est une bonne nouvelle. Cela fait plus de quarante ans qu’elle pratique des interruptions volontaires de grossesse (IVG). Pour elle, allonger le délai d’accès à l’IVG de deux semaines pour le faire passer de 12 à 14 semaines serait une bonne décision, notamment pour toutes les femmes isolées qui découvrent leur grossesse tardivement.


Une majorité en faveur de l’allongement
"L’article 1, celui qui prévoit l’allongement du délai pour un avortement de 12 à 14 semaines vient d’être adopté", indique le journaliste Thierry Curtet, en direct de l’Assemblée nationale, jeudi 8 octobre. "La majorité était assez nette, avec 102 voix pour et 65 voix contre", détaille-t-il.


https://www.francetvinfo.fr/sante/politique-de-sante/sante-le-delai-divg-reexamine-a-lassemblee-nationale_4133739.html

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Ces lycéens québécois enfilent une jupe pour dénoncer le sexisme à l'école , articles femmes hommes, sexisme

12 Octobre 2020, 03:15am

Publié par hugo

 Ces lycéens québécois enfilent une jupe pour dénoncer le sexisme à l'école
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Des lycéens en jupe au Québec pour protester contre le sexisme
Des lycéens en jupe au Québec pour protester contre le sexisme
Louise  Col 
Par Louise Col
Publié le Vendredi 09 Octobre 2020
Pour dénoncer les restrictions vestimentaires dans leurs établissements scolaires, des lycéens québécois ont enfilé une jupe en cours. On applaudit.
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Le sexisme à l'école n'est pas une particularité française, loin de là. Alors que le débat fait rage autour des "tenues républicaines" que devraient porter les collégiennes et lycéennes (règle édictée par le fashion policier Jean-Michel Blanquer, ministre de l'Education nationale), au Québec aussi, la révolte gronde.

Et dans les lycées québécois, ce sont les jeunes hommes qui montent au créneau pour s'élever contre les codes vestimentaires établis par leur établissement à l'encontre de leurs camarades féminines. De nombreux étudiants ont ainsi débarqué en cours vêtus d'une jupe pour défendre l'égalité et le droit à s'habiller librement.

Tom Ducret-Hillman fait partie de ces élèves féministes. Sur son Instagram, il délivre un message militant qui est rapidement devenu viral. "Le code vestimentaire c'est la chose la moins sensée que j'aies jamais vu pour vrai faudrait changer s'taffaire la. C'est en faisant des p'tites affaires comme ca qu'on va arriver a changer."


D'autres lycéens lui ont emboîté le pas comme Guillaume Dery, élève au Collège Saint-Paul, à Varennes (le "collège" québécois correspond à notre lycée) qui a publié une photo réjouissante devenue instantanément virale sur laquelle les adolescents arborent fièrement leur jupe. Une photo "likée" par la chanteuse féministe Angèle.

"Tu peux être un gars et être féministe en même temps"

"Dans mon école, il y a eu pas mal d'histoires avec le code vestimentaire. Des filles qui se font sortir de leurs cours à cause de la longueur de leurs jupes, d'autres qui reçoivent des commentaires totalement déplacés de la direction: "Regarde-toi comment t'as pas d'allure". Souvent, les filles se font dire qu'elles dérangent les garçons avec la manière dont ils s'habillent, et nous sommes totalement en désaccord. Nous pensons que c'est aux garçons de se concentrer par eux-mêmes et que cette responsabilité n'appartient pas aux filles. Les garçons portent la jupe pour démontrer leur soutien envers les filles, et que tu peux être un gars et être féministe en même temps. On essaye aussi de passer un message de tolérance. Si tu veux porter une jupe, tu peux le faire même si t'es un gars", explique le jeune homme au média Nightlife.

Ces actions solidaires ont été applaudies par les lycéennes, qui se sont réjouies de l'implication de leurs camarades. La jeune Cassandre Bau-Plourde, par exemple, a ainsi partagé l'initiative sur son compte Instagram, en dénonçant les nombreuses interdictions vestimentaires auxquelles se heurtent les lycéennes.

"L'hypersexualisation du corps féminin est au coeur de notre code vestimentaire à l'école. Le port de la brassière obligatoire, les bretelles spaghettis interdites, la jupe trop courte et j'en passe, démontre que le corps de la femme appartient encore à la société. En 2020, l'argument reste qu'il ne faut pas attirer l'oeil et qu'il ne faut pas déranger. Si j'ai chaud et que je mets une camisole moins couvrante? Et si je ne mets pas de brassière, parce que ça me fait mal ? Ils vont me priver d'une éducation pour ne pas déranger? Je pense que si j'assume mon habit, les autres sont capable de se gérer. Nous sommes tous capable d'être respectueux."


La jeune fille poursuit : "La masculinité toxique est extrêmement présente dans notre communauté. Les stéréotypes traditionnels parlent des hommes comme étant dominants, le plus fort, le charmeur, etc... Clairement, ceux-ci ont un énorme impact négatif dans notre environnement social. L'action de porter la jupe est un moyen pour casser les habitudes sexistes et malsaines. Au même titre que les femmes peuvent s'habiller comme elles le veulent, les hommes devraient aussi. Alors, si l'école est un lieu formateur pour notre société future, elle devrait s'adapter à la réalité des jeunes d'aujourd'hui et l'enseigner."

Cette campagne enthousiasmante et égalitaire, qui réunit filles et garçon dans un même élan féministe, fera-t-elle boule de neige dans les lycées français ?


https://www.terrafemina.com/article/sexisme-ces-jeunes-quebecois-portent-une-jupe-pour-denoncer-le-sexisme-au-lycee_a355405/1

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