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Strasbourg : la nuit, les femmes pourront descendre du bus où elles veulent,femmes,violences,societe

15 Juin 2019, 04:58am

Publié par hugo

 Strasbourg : la nuit, les femmes pourront descendre du bus où elles veulent
 
La mesure concerne les bus circulant après 22 heures. / © CTS
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Entre 22 heures et 23h15, dès ce lundi 17 juin, les femmes pourront demander à descendre du bus quand elles le souhaitent sur la ligne de bus 24, à Strasbourg.
Par Vincent Ballester
Publié le 13/06/2019 à 16:58 Mis à jour le 14/06/2019 à 09:35
C'est une mesure qui avait été annoncée lors de la journée internationale des droits des femmes. À compter du lundi 17 juin 2019, la Compagnie des transports strasbourgeois (CTS) propose à l'expérimentation la descente à la demande. Elle durera jusque décembre 2019, voire mars 2020. Cette mesure doit permettre aux femmes de pouvoir descendre au plus près de leur habitation, et éviter le harcèlement dont elles sont souvent victimes.
 
 
TÉMOIGNAGE - Harcèlement de rue à Strasbourg : "j'en avais marre de me sentir rabaissée, déshumanisée, salie"
Où ?
La seule ligne de bus concernée est la 24, entre l'Ancienne douane et la rue Stéphanie dans le Neuhof. Le bus sera marqué d'un macaron bien visible. Il sera possible de s'arrêter entre deux arrêts, mais à des emplacements précis indiqués par la conductrice ou le conducteur du bus. Il n'y a parfois pas de chaussée pour permettre un arrêt sécurisé, d'où cette légère restriction.
​​
Pour qui ?
Seules les femmes voyageant seules ou accompagnées de jeunes enfants pourront en bénéficier. Il est à noter qu'il s'agit de descendre du bus entre les arrêts, et non d'y monter.
 
Quand ?
À compter du lundi 17 juin, les femmes pourront demander à descendre entre les arrêts de 22 heures à 23h15 (l'heure de la fin de service). Elles devront en aviser la conductrice ou le conducteur dès leur montée dans le bus, et au plus tard un arrêt avant la descente.
 
Dépliant de la CTS : descente à la demande en soirée pour les femmes by Vincent Ballester on Scribd

 
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A lire aussi
 
TÉMOIGNAGE - Harcèlement de rue à Strasbourg : "j'en avais marre de me sentir rabaissée, déshumanisée, salie"
StrasbourgBas-RhinAlsacetransports
 

https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/bas-rhin/strasbourg-0/strasbourg-bus-nuit-femmes-pourront-descendre-du-bus-elles-veulent-1684888.html

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Christelle N’Cho Assirou, l'Ivoirienne qui milite pour que "les femmes profitent de toutes les opportunités offertes" par le numérique,femmes,

15 Juin 2019, 04:56am

Publié par hugo

Christelle N’Cho Assirou, l'Ivoirienne qui milite pour que "les femmes profitent de toutes les opportunités offertes" par le numérique
De la Côte d'Ivoire, Christelle N'Cho Assirou clame depuis plus d'une décennie "les femmes aussi" quand on parle de technologies de l'information.
L'ivoirienne Christelle N'Cho Assirou déclarée femme "remarquable" dans le secteur des nouvelles technologies par l'Unesco. (MAGIC STUDIO - ABBAS/UNESCO)
Falila Gbadamassi
Rédaction Afrique
France Télévisions
Mis à jour le 13/06/2019 | 09:40
publié le 13/06/2019 | 09:40
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LA NEWSLETTER ACTU
Nous la préparons pour vous chaque matin
Vingt-trois femmes, dont le profil a été estimé "remarquable" dans le secteur des technologies de l’information, ont été mises en avant en mars 2019 par l'Organisation des Nations unies pour l'Education, la science et la culture (Unesco) à l'occasion de la Journée internationale des femmes. L’Ivoirienne Christelle N’Cho Assirou est l’une d’elles et elle participe à la Journée de la femme digitale (JFD) qui se tient à Dakar, au Sénégal, le 13 juin 2019.
A la tête d’Ictina, une entreprise de services numériques qui existe depuis quatre ans, elle est surtout une activiste. Elle essaie depuis plus d’une décennie à travers l’association qu’elle a créée en Côte d’Ivoire, Femmes & TIC, d'œuvrer à ce qu'en Afrique "les femmes puissent se lancer, non seulement dans des usages responsables des technologies, mais aussi afin qu’elles puissent en profiter dans l’ensemble de leurs activités".
franceinfo Afrique : quelle est la place des technologies de l’information en Côte d’Ivoire et permettent-elles une meilleure inclusion des femmes dans la société ?
Christelle N'Cho Assirou : elles ont un peu révolutionné la place de la femme en Côte d'Ivoire. Il y a une prise de conscience chez elles de l'étendue de leurs capacités. Les technologies ont créé une ouverture sur le monde qui fait sauter toutes les barrières. Du coup, les femmes peuvent s'informer et se former grâce à Internet. Quel que soit leur domaine d’activité, elles peuvent désormais avoir accès à des modèles de réussite locaux ou à l’étranger.
Pour les femmes qui font du commerce ou proposent des services, par exemple, elles ont la possibilité de démultiplier leurs marchés. Il est vrai que nous n’avons pas encore véritablement de plateforme dédiée à l'e-commerce. Néanmoins, l’inclusion financière est boostée par le numérique. Le paiement mobile facilite les échanges. Il y a un gain de temps énorme pour les femmes. Elles peuvent mieux gérer leur temps et mieux s'occuper de leur famille.
Il y a également un impact en matière de leadership, parce que les femmes ont de nouveaux canaux d’expression grâce aux réseaux sociaux. Beaucoup ont compris qu’ils ne devaient pas seulement servir à l’usage qu’elles en faisaient au début d’Internet : les jeunes filles cherchaient alors à rentrer en contact avec des Européens pour avoir un mari ou aller vivre à l’étranger. Même s’ils existent encore, ces usages sont de plus en plus dilués. Nous avons une jeunesse plus alerte et ouverte d’esprit qui compte profiter au maximum des nouvelles opportunités qui lui sont offertes par le numérique.
Vous êtes sur le terrain avec votre ONG. Comment se manifeste cette appropriation des technologies de l’information par les jeunes filles et les femmes dans votre pays ?
L’ONG s’occupe de développer les compétences numériques des femmes et des jeunes filles afin qu’elles deviennent des ressources actives quand on parle, par exemple, de la construction d'Internet. Le blockchain, l'intelligence artificielle sont des nouvelles problématiques et il faut une véritable expertise pour s'y attaquer. Et cette expertise ne peut pas être seulement masculine. Dans le domaine du développement d’applications, nous avons formé beaucoup de jeunes femmes qui, grâce à leurs acquis, proposent des solutions techniques. L’une d’elles, formée en 2017 sur le langage de programmation Java, est en train de concevoir une place de marché pour le vivrier (marché virtuel).
Un autre groupe de jeunes filles a élaboré une cartographie de la production vivrière en Côte d’Ivoire afin que l’on sache où elle se trouve, quand elle est disponible et comment rentrer directement en contact avec les producteurs. De même, certaines jeunes femmes se sont davantage affirmées parce qu’elles pouvaient exprimer leur leadership et qu’elles avaient quelque chose à apporter à leur communauté. Elles sont devenues des leaders dans leurs écoles et y ont mis en place de ce qu'on appelle des "Clubs TIC". Aujourd’hui, elles s’expriment plus facilement en public et communiquent mieux sur les réseaux sociaux. D'autres tiennent des blogs ou se servent d'internet pour proposer leur expertise.
Comment l’idée de cette association est-elle née ?
Femmes & TIC, qui est née en 2007, est le fruit d’un retour d’expériences partagées avec des amis et mon époux. Nous étions tous membres de l’association ivoirienne pour Linux et les logiciels libres. Dans ce mouvement, devenu panafricain, nous étions 1% de femmes parmi 99% d’hommes. Ce qui me choquait !
Au milieu des années 2000, l’Internet était censé être l’avenir, tout comme les logiciels libres… On disait que c’était l'opportunité pour les pays africains de rattraper leur retard technologique, une opportunité pour les jeunes, l’entrepreneuriat et la création d’emplois... et il n’y avait que des hommes impliqués. Les jeunes filles et les femmes n’étaient-elles pas tout aussi intelligentes pour s’intéresser, adhérer et travailler à cette révolution qui s’annonçait ? J’ai donc pensé que la trop forte présence masculine pouvait intimider et qu'il fallait mettre en place un cadre d’expression.
A cette époque, on parlait aussi beaucoup de l'Objectif du millénaire pour le développement qui promouvait l’égalité des sexes et l’autonomisation de la femme. Au regard de cette prise de conscience au niveau mondial, nous nous sommes dit qu’il y avait quelque chose à faire. Nous voulions que cet objectif puisse être atteint dans le secteur des technologies ou que ce dernier favorise la démarche. En 2006, nous avons démarré avec des réunions informelles qui nous ont permis de faire plusieurs constats.
Soit le sujet passionnait, il y avait ainsi déjà des filles dans les filières, mais elles étaient timides. Soit, les aînées avaient démarré leur carrière comme ingénieurs en informatique, puis bifurqué vers des métiers connexes : il y a donc eu, trop tôt, une dilution de profil de carrière. Aujourd’hui encore, à Abidjan, quand il y a des forums sur les thématiques technologiques, il n’y a que des messieurs en cravate.
De même, dans les regroupements professionnels, il n'y a pas d’entreprises tenues par les femmes. Ce n’est pas possible, quand on sait que c’est l’activité la plus pourvoyeuse d’emplois dans le monde aujourd’hui et qu’il y a besoin, à l’horizon 2020-2025, d'environ deux millions de postes ! Pourquoi les femmes que l’on cherche justement à autonomiser ne pourraient pas les occuper ? En outre, les métiers de 2030-2050 ne sont pas encore identifiés, parce que le secteur est tellement dynamique que de nouvelles professions s'inventent chaque jour. Il suffit d’avoir la volonté d’apprendre et les femmes le peuvent. En somme, nous disons juste : les femmes aussi !
Quelles sont les activités que vous menez pour que votre leitmotiv se concrétise ?
Nous avons des activités phares qui tournent autour de la célébration de la Journée internationale des jeunes filles dans les technologies de l'information initiée par l’Union internationale des Télécommunications. L’objectif étant d’encourager des carrières. Nous organisons également des formations ouvertes à toutes les femmes et nous soutenons d’autres activités et d'autres associations.
Nous apportons aussi notre expertise à l’Etat. Nous avons également développé un tissu associatif composé, par exemple, les "Clubs TIC" dans les écoles de jeunes filles et les établissements mixtes. En outre, nous sommes allées au-delà des frontières de la Côte d’Ivoire.
Grâce à l’Organisation internationale de la Francophonie, Femmes & TIC est depuis 2014 un réseau panafricain. Des versions de l’association ivoirienne existent aujourd’hui au Burkina Faso, au Bénin, en Mauritanie, au Niger, à Djibouti, au Mali, en Centrafrique, au Tchad et même en Haïti. Nous avons ainsi créé le réseau Femmes, numérique et développement de l’espace francophone (Fenudef, dont elle est coordinatrice, NDLR).
Nous avons également mis en place une conférence, dont la troisième édition se tiendra à Abidjan en septembre 2019. Le Fenudef est un espace de partage d’expériences, d’échanges et de mutualisation. Notre objectif étant de devenir une force de proposition pour nos Etats et un référent sur la question du genre et des technologies. Nous organisons également des formations régionales.
Sur quelles ressources humaines fonctionne l’association ivoirienne ?
Le milieu associatif repose sur des bénévoles. Cependant, nous avons la chance de pouvoir nous appuyer sur une cinquantaine de membres actifs. Leur implication peut varier, d'autant que c'est une association de femmes et que notre quotidien peut être bouleversé par une maternité, l’éducation des enfants, quand ils sont jeunes. Il y a des baisses de régime dans l'activité de la majorité de nos membres, mais il y a toujours un noyau dur qui est très engagé et qui permet à notre organisation d'être dynamique.
Vous êtes une activiste. L’Etat ivoirien fait-il ce qu’il faut pour accompagner ce mouvement que vous avez initié, à une échelle moindre, avec votre association ?
Oui, je peux être affirmative aujourd’hui ! Je n’aurais pas eu la même réponse, il y a quelques années. Il y a une réelle volonté politique. Elle est perceptible de la présidence au ministère en charge des Technologies, en passant par tous les secteurs concernés.
En Côte d'Ivoire, depuis 2011-2012, il y a un compendium des compétences féminines. C'est une base de données qui concentre toutes les compétences féminines dans tous les secteurs d’activité du pays, en local ou appartenant à la diaspora. L’idée étant de proposer aux gouvernants des profils auxquels, ils peuvent faire appel.
Que faudrait-il en Côte d’Ivoire et en Afrique pour donner plus d’envergure à votre démarche en faveur du genre dans le numérique ?
Nous sommes des associations et nous n’avons pas toujours notre place dans les instances de décision. En tant qu'acteurs de terrain, nous avons pourtant une expertise et nous sommes par conséquent une force de proposition. Si on en tenait compte et que, de notre côté, nous parvenions à mieux capter des fonds pour réaliser nos objectifs, nous pourrions faire mieux et plus.
Avec notre réseau panafricain, nous travaillons au lancement du Women and Girl startup challenge, une compétition dont l’objectif est faire émerger des entrepreneures dans les technologies de l’information.
A lire aussi

https://www.francetvinfo.fr/monde/afrique/societe-africaine/christelle-ncho-assirou-l-ivoirienne-qui-milite-pour-que-les-femmes-profitent-de-toutes-les-opportunites-offertes-par-le-numerique_3486111.html

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VIDEO. Avec "#MeFoot", Lucie Brasseur se bat afin d'obtenir "plus de respect" pour les footballeuses,femmes,feminisme,

13 Juin 2019, 00:58am

Publié par hugo

 VIDEO. Avec "#MeFoot", Lucie Brasseur se bat afin d'obtenir "plus de respect" pour les footballeuses
L'équipe de France féminine de football participe à la première Coupe du monde organisée en France. L'écrivaine Lucie Brasseur se bat pour que les Bleues soient les égales des Bleus.
FRANCEINFO
 
 
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franceinfo
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Mis à jour le 12/06/2019 | 17:09
publié le 12/06/2019 | 13:46
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Nous la préparons pour vous chaque matin
"C'est la première fois que notre sélection féminine va avoir un maillot fait pour elle, sans étoile, car elles n'ont pas été championnes du monde de football", se félicite Lucie Brasseur qui le porte fièrement. "Ces dernières années, elles jouaient avec la version féminine du maillot masculin", nuance-t-elle. Mais au début des années 2010, les Bleues jouaient avec les maillots de l'équipe masculine, et "on voit les filles avec les maillots qui pendouillent", se souvient Lucie Brasseur, auteure du livre #MeFoot, titre qui fait volontairement référence à #MeToo.
"C'est assez compliqué d'avouer qu'on aime le foot quand on est une femme. Il y a beaucoup de combats féministes présentés dans les pages du livre donc il fallait un titre un peu coup de poing", explique la jeune femme née dans les Yvelines.
Barbie footballeuse et baby-foot mixte
"Je ne suis pas pour l'égalité, je suis juste pour plus de respect", soulignant que le Ballon d'or masculin a touché 8 millions d'euros alors que son homologue féminine n'a reçu que 400 000 euros.
"Ça ne choque presque plus que des femmes pratiquent la boxe ou le handball, mais le football, ça choque toujours", s'insurge-t-elle encore. Néanmoins, un baby-foot mixte va être lancé dans le commerce. "C'est génial parce que les petites filles vont pouvoir se projeter dans la pratique. Mattel sort une Barbie footballeuse et Panini a sorti un album spécial pour la Coupe du monde féminine", note Lucie Brasseur.
Elle exige en conclusion "que les primes de match soient sensiblement les mêmes pour les filles et les garçons de l'équipe de France".
A lire aussi

https://www.francetvinfo.fr/sports/foot/coupe-du-monde-de-foot-feminin/avec-mefoot-lucie-brasseur-se-bat-pour-plus-de-respect-pour-les-footballeuses_3486239.html

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VIDEO. Au Parlement japonais, la tension monte au sujet des talons hauts au travail,femmes,emplois,sexismes

13 Juin 2019, 00:54am

Publié par hugo

 VIDEO. Au Parlement japonais, la tension monte au sujet des talons hauts au travail
Ce 5 juin, le Parlement japonais a été le théâtre d'un échange houleux entre la députée Kanako Otsuji et le ministre du Travail Takumi Nemoto.
BRUT
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Mis à jour le 12/06/2019 | 16:18
publié le 12/06/2019 | 16:18
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Au Japon, les entreprises ont le droit d'imposer des chaussures à talons hauts aux femmes. Une pression que pointe le hashtag #KuToo, soutenu par des milliers de Japonaises qui ont souhaité s'insurger contre cette mesure discriminatoire. Le mouvement social a fait écho au Parlement japonais ce 5 juin. En pleine séance, la députée Kanako Otsuji a interpellé le ministre du Travail Takumi Nemoto afin de lui préciser que cette loi "caduque" soulèvait également des problèmes liés à la santé et la sécurité des employés. "Aucun lieu de travail ne devrait obliger les femmes à porter des talons ou des escarpins", a lancé la femme politique.
Une indignation
Le ministre n'a pas sourcillé devant les accusations de la députée, prétextant que le port des talons était issu de "coutumes sociales" et qu'il pouvait être "professionnellement nécessaire". Face aux réponses courtes et évasives du politicien, Kanako Otsuji n'a eu d'autres choix que de s'adresser directement à la vice-ministre Emiko Takagai, plus à même de répondre au sujet. Celle-ci a reconnu l'incohérence d'une telle obligation. La députée a conclu cet échange houleux en rappelant au ministre du Travail que la loi en vigueur constituait "un harcèlement" pour toutes les travailleuses japonaises.
A lire aussi

https://www.francetvinfo.fr/societe/droits-des-femmes/video-au-parlement-japonais-la-tension-monte-au-sujet-des-talons-hauts-au-travail_3486395.html

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VIDEO. Pourquoi la footballeuse Ada Hegerberg déserte-t-elle le Mondial 2019 ?,femmes,sports

13 Juin 2019, 00:53am

Publié par hugo

VIDEO. Pourquoi la footballeuse Ada Hegerberg déserte-t-elle le Mondial 2019 ?
Première femme lauréate du Ballon d'Or, la Norvégienne Ada Hegerberg a délaissé la sélection nationale en 2017.
BRUT
 
 
 
 
 
 

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Mis à jour le 12/06/2019 | 16:17
publié le 12/06/2019 | 12:25
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Une joueuse manque à l'appel de la Coupe du monde féminine de football. Son nom ? Ada Hegerberg, une sportive norvégienne considérée comme la meilleure footballeuse au monde. En 2017, elle décide de quitter la sélection nationale dont elle faisait partie depuis ses 16 ans. La raison de son départ est intimement liée au manque de reconnaissance des femmes dans le milieu du football, un environnement toujours empreint de sexisme selon la championne. "Il s'agit de la façon dont sont respectées les femmes qui jouent au football et je ne crois pas que le respect était là", a-t-elle indiqué.
La joueuse qui dit "non"
Quelques mois après son départ, les footballeuses norvégiennes ont obtenu un accord leur permettant de percevoir le même salaire que leurs homologues masculins. Mais pour Ada Hegerberg, ce n'est pas suffisant. "Si vous êtes ambitieux pour l'équipe nationale, les attentes et les conditions doivent être au même niveau", a soutenu la sportive.
Ada Hegerberg a remporté quatre Ligues des champions avec l'Olympique Lyonnais et a été élue, à 23 ans, première femme lauréate du Ballon d'Or.
A lire aussi

 https://www.francetvinfo.fr/sports/foot/coupe-du-monde-de-foot-feminin/video-pourquoi-la-footballeuse-ada-hegerberg-deserte-t-elle-le-mondial-2019_3486147.html

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VIDEO. Bioéthique : Olivier Faure se dit favorable à l'extension de la PMA pour toutes, mais "contre la marchandisation du corps des femmes",femmes,bebe

13 Juin 2019, 00:51am

Publié par hugo

 VIDEO. Bioéthique : Olivier Faure se dit favorable à l'extension de la PMA pour toutes, mais "contre la marchandisation du corps des femmes"
Selon le Premier secrétaire du PS, Olivier Faure, l'extension de la PMA pour toutes les femmes serait "une reconnaissance utile".
 
FRANCEINFO / RADIO FRANCE
franceinfo
Radio France
Mis à jour le 12/06/2019 | 11:56
publié le 12/06/2019 | 11:56
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Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste, s'est dit favorable mercredi 12 juin à la révision de la loi de bioéthique qui prévoit l’ouverture de la PMA (procréation médicalement assistée) à toutes les femmes, car "cela fait partie des engagements que nous avions nous-même pris pour l'élection présidentielle" de 2017.
"Des couples de femmes ou célibataires ont effectivement aussi droit à l'amour et à l'affection et ont aussi le droit, la possibilité d'avoir des enfants, estime-t-il. Aujourd'hui, elles le font de manière illégale. Elles vont à l'étranger pour le faire." Selon lui, le projet du gouvernement "est une reconnaissance utile".
Olivier Faure ouvert à la GPA sous conditions
Olivier Faure se dit aussi ouvert à la GPA (gestation pour autrui), mais pas à n'importe quelles conditions : "Je suis contre la marchandisation du corps des femmes et donc, il me paraît plus que discutable, il me paraît impossible d'accepter que demain il y ait des femmes qui louent leur ventre", précise le Premier secrétaire du PS.
Mais "quand il n'y a pas de transactions monétaires, quand vous avez une sœur qui veut porter l'enfant de sa sœur parce qu'elle ne peut pas en avoir parce qu'elle a un problème à l'utérus, ça ne me paraît pas fou. Ça me paraît même une forme d'humanité. On accepte le don d'organes, ça peut être vécu comme effectivement un formidable geste d'amour", explique Olivier Faure. Il a également assuré qu'il n'y aura pas de consignes de vote chez les socialistes lors de la révision de la loi de bioéthique.
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GPA : le marché clandestin des mères porteuses

https://www.francetvinfo.fr/societe/loi-sur-la-famille/gestation-pour-autrui/video-bioethique-olivier-faure-se-dit-favorable-a-l-extension-de-la-pma-pour-toutes-mais-contre-la-marchandisation-du-corps-des-femmes_3486065.html

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En Argentine, un homme condamné à indemniser son ex-femme pour ses tâches ménagères,femmes,

12 Juin 2019, 13:41pm

Publié par hugo

En Argentine, un homme condamné à indemniser son ex-femme pour ses tâches ménagères
Pendant leurs 27 ans de vie commune, cette femme s'est consacrée à l'éducation des enfants et aux travaux du foyer.
Diplômée en économie, cette femme s'est consacrée à l'éducation de ses enfants et aux travaux du foyer pendant leur vie commune. (ALIYEV ALEXEI SERGEEVICH / TETRA IMAGES RF / GETTY IMAGES)
franceinfo avec AFP
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Mis à jour le 11/06/2019 | 10:09
publié le 11/06/2019 | 06:32
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il y a 2 heures
Coupe du monde 2019 : ce qu'il faut retenir de la difficile victoire des Bleues face à la Norvège (2-1)
La justice argentine a condamné un homme à indemniser son ex-femme en lui versant 8 millions de pesos (environ 157 000 euros) pour les tâches ménagères qu'elles a faites pendant leurs 27 ans de mariage, rapporte lundi 10 juin la presse locale. Cette femme de 70 ans, diplômée en économie, s'est consacrée à l'éducation de ses enfants et aux travaux du foyer pendant leur vie commune.
"La dépendance économique des femmes vis-à-vis de leurs maris est l'un des mécanismes centraux à travers lesquels on subordonne les femmes dans la société", a expliqué la juge Victoria Fama. La magistrate a fixé une "somme raisonnable pour rééquilibrer la situation économique disparate des époux".
Le couple s'est séparé en 2009 et a divorcé en 2011. "Après 27 ans de mariage, le prévenu l'a quittée alors qu'elle avait 60 ans révolus, âge auquel les femmes perçoivent la pension de retraite, se voyant privée d'accès au marché du travail", lit-on dans le jugement. La compensation économique a été introduite dans le Code civil argentin en 2015. Elle peut consister en un versement unique, un revenu, l'usufruit de certains biens ou de toute autre manière convenue par les parties.
A lire aussi

https://www.francetvinfo.fr/societe/droits-des-femmes/en-argentine-un-homme-condamne-a-indemniser-son-ex-femme-pour-ses-taches-menageres_3484311.html

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VIDEO. Interdits historiques, inégalités salariales… hommes et femmes ne sont pas égaux dans le football,

12 Juin 2019, 13:15pm

Publié par hugo

 
VIDEO. Interdits historiques, inégalités salariales… hommes et femmes ne sont pas égaux dans le football
Ce 7 juin, le premier match des Bleues a réuni près de 10 millions de téléspectateurs. Pourtant, les joueuses de football sont encore victimes d'un manque de reconnaissance.
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Mis à jour le 10/06/2019 | 14:43
publié le 10/06/2019 | 14:43
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"C'est le sport où il y a peut-être le plus d'inégalités", soutient Roxana Maracineanu, la ministre des Sports. La Coupe du monde de football a débuté ce vendredi 7 juin et une grande joueuse manquait à l'appel : Ada Hegerberg, première femme Ballon d'or. La cause ? Elle a décidé de ne pas rentrer sur le terrain pour dénoncer le peu de considération des dirigeants du football norvégien. "Il y a beaucoup de choses à faire pour améliorer les conditions des femmes qui jouent au football", a expliqué la militante. Que ce soit dans une cour d'école ou lors d'un match international, les discriminations au sein de ce sport sont encore manifestes. 
Tous égaux face au ballon ?
Les joueuses de football sont victimes des stéréotypes, du manque de reconnaissance et leurs revenus sont sans conteste inférieurs à ceux perçus par leurs homologues masculins. En France, le salaire brut moyen d'une joueuse de D1 sous contrat est de 2494 euros par mois, tandis que chez les footballeurs de Ligue 1, il est de 108 000 euros. Pourtant, "c'est exactement les mêmes règles, la même taille de ballon, (…) la même taille de terrain, la même taille de but", rappelle l'ex-footballeuse Mélissa Plaza.
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https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/metiers/video-interdits-historiques-inegalites-salariales-hommes-et-femmes-ne-sont-pas-egaux-dans-le-football_3483405.html

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Avec “Hors la loi”, elles rejouent le procès de Bobigny sur l’IVG,femmes,feminisme,

12 Juin 2019, 13:05pm

Publié par hugo

 
Avec “Hors la loi”, elles rejouent le procès de Bobigny sur l’IVG
Publié le 12 juin 2019 à 2:01
La pièce Hors la loi de Pauline Bureau, met en scène à la Comédie Française l’histoire de l’ado Marie-Claire Chevalier, jugée pour avoir avorté en 1971 alors que c’était encore illégal en France. Trois bonnes raisons de prendre sa place avant le 7 juillet.
 
 
© Brigitte Enguerand, coll.CF
C’était il y a à peine 50 ans et pourtant, en France, en 1972, une adolescente de 16 ans encourait la prison pour avoir refusé de poursuivre une grossesse issue d’un viol et pratiqué un avortement clandestin. Le procès de Marie-Claire Chevalier, rebaptisé par la presse “l’affaire Marie-Claire” et entré dans l’histoire comme le Procès de Bobigny, est devenu en 1972 le symbole de la lutte pour la légalisation de l’IVG, menée par l’avocate Gisèle Halimi et soutenue par des personnalités féministes comme Simone de Beauvoir et Delphine Seyrig, ou encore par des politiques comme Michel Rocard. Trois ans plus tard, et en partie grâce à ce procès médiatique, Simone Veil fera voter la célèbre loi qui porte son nom, et les femmes françaises découvriront une liberté nouvelle, celle de pouvoir interrompre une grossesse non désirée. Alors que le droit à l’avortement est aujourd’hui remis en question dans le monde, la pièce de théâtre Hors la loi, jouée actuellement au Théâtre du Vieux-Colombier de la Comédie Française, rend hommage à ces femmes anonymes et célèbres, qui se sont engagées pour que le choix de donner la vie, ou non, leur revienne. Pourquoi il ne faut pas manquer ça.
 
Parce que c’est une plongée dans les bouillonnantes années 70
Le hula hoop de la scène d’ouverture, le 33 tours de Johnny Hallyday, la table de cuisine en formica: tout est là, dans la mise en scène minimaliste mais très réussie de Pauline Bureau, qui nous fait passer de l’appartement simple des Chevalier au bureau de Gisèle Halimi puis au tribunal de Bobigny. Alors que la jeune “avortée” -comme on la présente alors- est en jupe plissée d’écolière, le personnage de Gisèle Halimi est en jean et les militantes de son groupe Choisir portent cheveux ultra longs, pattes d’eph et fument, rappelant les évolutions rapides de la société d’alors, auxquelles les policiers n’échappent pas, leur look n’ayant rien à envier à celui des activistes en matière de coupes de cheveux. Des écrans projettent régulièrement des images d’archives des manifestations féministes de l’époque, soulignant à quel point la mobilisation fut massive, aussi bien dans la rue que dans la presse: le Manifeste des 343, que Gisèle Halimi avait elle-même signé la même année, est largement évoqué.
© Brigitte Enguerand, coll CF
 
Parce que la petite histoire nous raconte la grande
Le procès de Marie-Claire Chevalier, violée par un camarade de lycée alors qu’elle n’avait que 15 ans, est celui de toutes les femmes qui, à travers les âges, ont dû avorter dans la clandestinité, dans des conditions plus ou moins pénibles en fonction de leur classe sociale. Le personnage de Gisèle Halimi revient dans sa plaidoirie sur l’injustice qui règne au début des années 70: les plus aisées vont pratiquer leur IVG dans les pays voisins qui l’autorisent et les plus célèbres ne sont jamais inquiétées. Seules les anonymes pauvres comme Marie-Claire Chevalier et sa famille sont poursuivies par la justice, ajoutant une inégalité sociale à l’inégalité fondamentale qui sépare hommes et femmes face à une grossesse non désirée. En suivant le destin brisé de cette famille modeste qui défie les autorités, c’est la vie de millions de femmes que l’on découvre -on estime alors qu’elles sont chaque année entre 500 000 et un million à avorter en secret, et 5000 à mourir de complications-, et le ras-le-bol qui les a conduites à se mobiliser pour que l’IVG soit enfin légalisée en France, quelques années après la contraception. Ces conquêtes historiques obtenues au prix d’événements tels que ce procès sont les droits fondamentaux dont jouit la jeune génération de femmes aujourd’hui, à son tour investie dans les combats de l’ère #MeToo.
Chacune d’entre elles incarne une facette du combat que mènent les femmes depuis toujours pour conquérir leur liberté.
 
Parce que c’est un hommage aux femmes engagées
En creux de la pièce, se dessine un portrait de l’avocate Gisèle Halimi, dont la carrière a été marquée par son engagement féministe. Lorsqu’elle décide de médiatiser le procès de Bobigny afin d’alerter l’opinion publique sur les dangers de l’avortement clandestin, elle s’est déjà illustrée dans la lutte pour l’indépendance de la Tunisie, le pays où elle a grandi, et pendant la guerre d’Algérie. C’est d’ailleurs son livre Djamila Boupacha, cosigné avec Simone de Beauvoir, qui donne l’idée à la famille Chevalier de la contacter pour qu’elle assure leur défense. La pièce Hors la loi montre comment, aux côtés de Beauvoir et d’autres, l’avocate intrépide décide de faire de cette banale affaire d’avortement un procès politique dénonçant la loi de 1920 qui pénalise contraception et avortement. Sa brillante plaidoirie est restituée sur scène, tout comme l’intervention de Simone de Beauvoir qui démontre que les petites filles sont poussées dès leur plus jeune âge à s’accomplir en tant que mères pour mieux tenir les foyers une fois devenues adultes. Les mots de charge mentale ne sont pas prononcés, mais c’est bien de ça que l’écrivaine parle déjà en 1972. Tous ces personnages féminins se succèdent sur la scène du Vieux-Colombier et l’on suit pendant deux heures leur destinée plus ou moins tragique, à l’instar de Marie-Claire Chevalier dont on partage les souffrances morales et physiques d’un avortement clandestin pour une fois visible, selon le souhait de la metteure en scène Pauline Bureau. Chacune d’entre elles incarne une facette du combat que mènent les femmes depuis toujours pour conquérir leur liberté; un combat sans cesse renouvelé et loin d’être achevé.
Myriam Levain
Hors La Loi, de Pauline Bureau, du 24 mai au 7 juillet, au Théâtre du Vieux-Colombier (Comédie Française).

http://cheekmagazine.fr/culture/theatre-hors-la-loi-proces-bobigny/

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Prévenir le cancer , ça dépend aussi de vous ,cancer,sante

12 Juin 2019, 12:32pm

Publié par hugo

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Le mot de l'éditeur Prévenir le cancer , ça dépend aussi de vous
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