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Allaiter en portage,femmes,bebes,

26 Février 2015, 23:11pm

Publié par hugo

PortagePublié le 5 mars 2012 - Mis à jour le 2 mai 2014
Allaiter en portage






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Allaiter en portageAllaiter bébé en portage, vous avez déjà essayé ? Choisissez bien votre porte bébé !
Les bébés et petits enfants "emportés" au cœur de la vie sociale de leurs parents sont très "pratiques", peu encombrants, plus légers et faciles à transporter… et à allaiter !


Allaiter en portageAllaiter en portage
Allaiter tout en portant bébé dans un porte-bébé kangourou n'est pas une sinécure. La hauteur de portage est souvent difficile, voire impossible à moduler de façon instantanée. Bien souvent, les seins sont inaccessibles tant que bébé est dans le porte-bébé kangourou, un écran textile s’immisçant souvent entre le porteur et l’enfant.


Certains porte-bébés souples et confortables peuvent faciliter l’allaitement à l’éveil – c’est à dire lorsque l’enfant est en éveil calme actif – tout en permettant à sa mère de poursuivre ses activités si cela s’avère nécessaire. Nulle obligation d’attendre que votre enfant dorme ou qu’il soit disposé à jouer seul pour vaquer à vos occupations ... Et lorsque le besoin de téter s’impose, à la caisse du supermarché par exemple, vous voilà sauvée ! Bébé tète, tandis que vous emballez vos courses, sous les yeux médusés des voisins (lorsqu’ils ont compris ce qui se passe – beaucoup croiront simplement que votre enfant dort ! Ils n’imaginent pas ce qui est en train de se passer !)


Le portage est une réponse au besoin naturel de proximité et de contact corporel du bébé. L’enfant porté bénéficie d’une expérience sensorielle multiple et, entre autres choses, d’un accès au sein plus aisé… Pas étonnant, dans ces conditions, que maman détecte si finement les micro-signaux en « langage des corps » que bébé émet à son intention : petits bruits, petits mouvements, qui « parlent » à sa maman. Cette proximité favorise une réponse quasi instantanée. Maman adapte son porte-bébé afin que bébé accède confortablement au sein. Les positions dans lesquelles il peut téter sont variées. Son besoin en mouvement est satisfait, avant et après la tétée, voire simultanément. Ensuite, le portage après le repas facilite la digestion. Et pour les bébés qui souffrent d’un reflux, être porté en position grenouille verticale pendant et entre les repas, le ventre bien appuyé contre celui de maman, permet d’apporter du réconfort à un bébé qui, sans cela, serait envahi par la douleur.


Bien installés, un hamac porte-bébé à boucles rondes (ou sling) ou une écharpe n’appuient pas sur les seins et ne risquent pas de gêner la lactation. Un porte-bébé asiatique s’adapte très bien à la situation. Les possibilités sont nombreuses. Explorez, et vous trouverez probablement des positions qui vous conviendront, à vous et à votre bébé ! N’hésitez pas à poser la question lors d’un atelier sur le portage : c’est le bon endroit pour découvrir ces petits gestes qui font la différence !


Ingrid van den Peereboom

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ThèmesPorter mon bébéAllaitement
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http://www.femininbio.com/sante-bien-etre/conseils-astuces/allaiter-en-portage-8780?fb_action_ids=1547024465578756&fb_action_types=og.recommends&fb_source=feed_opengraph&action_object_map={%221547024465578756%22%3A227988424055861}&action_type_map={%221547024465578756%22%3A%22og.recommends%22}&action_ref_map=%5B%5D

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Les bébés à trois "parents" autorisés au Royaume-Uni,bebes,sante

3 Février 2015, 22:55pm

Publié par hugo

Les bébés à trois "parents" autorisés au Royaume-Uni
Publié le 03-02-2015 à 12h26
Mis à jour à 22h52
A+A-
Les députés britanniques doivent décider s'ils autorisent la conception de bébés à partir de trois ADN différents
(c) Afp Les députés britanniques doivent décider s'ils autorisent la conception de bébés à partir de trois ADN différents (c) Afp

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Londres (AFP) - Les députés britanniques ont autorisé mardi la conception de bébés à partir de trois ADN différents afin d'éviter la transmission de maladies graves, un pas controversé qui fait du Royaume-Uni le premier pays à autoriser ce procédé.


Cette décision, approuvée par 382 députés tandis que 128 ont voté contre, doit encore être validée par la Chambre des Lords le 23 février, une étape considérée comme une formalité.


Environ 125 bébés naissent chaque année en Grande-Bretagne avec un dysfonctionnement mitochondrial, transmis par la mère. Les mitochondries sont des petits organites (structures spécialisées) présents dans les cellules qui transforment le glucose en molécule énergétique. Défectueuses, elles provoquent un déficit énergétique pour l'organisme et sont responsables de maladies dégénératives graves et telles que le diabète ou la myopathie.


Une technique, développée à Newcastle, permet de bloquer la transmission de la maladie de la mère à l'enfant. Elle consiste à retirer de l'ovule de la mère la mitochondrie défectueuse pour la remplacer par une mitochondrie saine provenant d'une autre femme qui reste anonyme.


Après avoir été fécondé par le sperme du père en laboratoire, l'ovule est ensuite implanté dans l'utérus de la mère.


Le futur enfant sera porteur de toutes les caractéristiques génétiques de son père et de sa mère puisque l'ADN mitochondrial représente moins d'1% de la quantité totale d'ADN contenue dans une cellule humaine.


Mais le changement sera permanent et se transmettra de génération en génération, un élément au coeur des crispations que suscite cet acte.


Pour les défenseurs de la technique, elle constitue une avancée majeure. "Nous sommes finalement parvenus à une étape déterminante en donnant aux femmes un choix précieux, celui de devenir mère sans craindre une maladie mitochondriale pour leur enfant", s'est ainsi félicité Robert Meadowcroft, le responsable de la campagne contre la dystrophie musculaire.


Cette technique "offre aux familles la première lueur d'espoir d'avoir un bébé qui pourra vivre sans douleur ni souffrances", avait plaidé un collectif d'associations internationales dans une lettre ouverte aux députés.


Lord Robert Winston, l'un des pionniers de la fécondation in vitro, a assuré que la procédure était comparable à une simple prise de sang.


- Boîte de Pandore -


Pour ses opposants, au contraire, elle va trop loin en matière de modification génétique et ouvre la boîte de Pandore de la sélection des bébés.


"Une fois cette frontière éthique franchie, une fois acté le fait qu'il est permis de manipuler le génome humain, il deviendra difficile de ne pas franchir les étapes suivantes pour aboutir à un monde de bébés fabriqués sur mesure, un scénario que tout le monde veut éviter", s'alarme David King de l'association Human Genetics Alert.


Le professeur René Frydman, père scientifique du premier bébé éprouvette français, s'est également montré très réservé, jugeant ce procédé insuffisamment testé.


"Avec cette thérapie germinale, on modifie le génome, on introduit 1% d'un génome qui vient d'ailleurs et on ne sait pas quel impact cela risque d'avoir", a-t-il dit à l'AFP, craignant par ailleurs qu'elle soit exploitée à l'avenir pour faciliter les grossesses tardives. On pourrait en effet, selon lui, injecter des mitochondries provenant d'une femme jeune et en bonne santé pour "rajeunir l'embryon" d'une femme plus mûre et lui donner ainsi plus de chance de se développer.


Plusieurs experts ont également mis en garde contre les risques plus importants pour les enfants conçus de cette manière de développer un cancer.


Les Eglises catholique et anglicane d'Angleterre ont aussi émis des réserves.


Selon une enquête réalisée par l'institut ComRes, l'opinion publique y était également réticente. Au total 41% des personnes interrogées ont dit être contre un changement de la loi sur l'embryologie et la fertilisation humaine, qui date de 2008, contre 20% qui étaient pour.


Après modification de la loi, toutes les femmes en âge de procréer concernées par ce problème génétique, et dont le nombre a été évalué à 2.500, ne pourront toutefois pas prétendre automatiquement au procédé. Elles devront passer par l'avis de l'organisme britannique responsable en matière de bioéthique, le Human fertilisation and embryology authority (HFEA).


Les premiers bébés nés de cette technique qui combinera les ADN de deux femmes et un homme pourraient naître dès l'automne 2016.




Sur le web : Le Royaume-Uni commémore la mort de Churchill

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Royaume-Uni : les députés autorisent la conception de bébés à partir de trois ADN,sante,bebe,

3 Février 2015, 22:50pm

Publié par hugo

LA PARISIENNE SOCIÉTÉ
Royaume-Uni : les députés autorisent la conception de bébés à partir de trois ADN
Les députés britanniques ont approuvé ce mardi l'autorisation de la conception de «bébés à trois parents», c'est à dire à partir de trois ADN différents, lorsqu'un des parents risque de transmettre des maladies dégénératives.


03 Févr. 2015, 17h03 | MAJ : 03 Févr. 2015, 18h13

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ILLUSTRATION.  Le procédé consite à retirer de l'ovule de la mère un élément défectueux susceptible d'entrîner des maladies dégénératives pour le remplacer par un élement sain provenant d'une autre femme qui reste anonyme. Après avoir été fécondé par le sperme du père en laboratoire, l'ovule est ensuite implanté dans l'utérus de la mère.


ILLUSTRATION. Le procédé consite à retirer de l'ovule de la mère un élément défectueux susceptible d'entrîner des maladies dégénératives pour le remplacer par un élement sain provenant d'une autre femme qui reste anonyme. Après avoir été fécondé par le sperme du père en laboratoire, l'ovule est ensuite implanté dans l'utérus de la mère.




(LE PARISIEN /JEAN-BAPTISTE QUENTIN)
La question des «bébés à trois parents» anime depuis plusieurs semaines les débats au Royaume-Uni. Ce mardi, les députés britanniques ont fini par trancher et ont autorisé cette conception d'enfant à partir de trois ADN différents qui permet d'éviter la transmission de certaines maladies.


C'est le premier pays à autoriser ce procédé très controversé, même s'il ne concerne qu'une ultra-minorité de couples.


Les observateurs hésitent entre dérive de la génétique ou extraordinaire progrès scientifique. En effet environ 125 bébés naissent chaque année en Grande-Bretagne avec un dysfonctionnement mitochondrial, transmis par la mère. Les mitochondries sont des petits organites (structures spécialisées) présents dans les cellules qui transforment le glucose en molécule énergétique. Défectueuses, elles provoquent un déficit énergétique pour l'organisme et sont responsables de maladies dégénératives graves telles que le diabète ou la myopathie.


La deuxième femme reste anonyme


Cette technique des «trois parents», développée à Newcastle, permet de bloquer la transmission de la maladie de la mère à l'enfant. Elle consiste à retirer de l'ovule de la mère la mitochondrie défectueuse pour la remplacer par une mitochondrie saine provenant d'une autre femme qui reste anonyme. Après avoir été fécondé par le sperme du père en laboratoire, l'ovule est ensuite implanté dans l'utérus de la mère.


Le futur enfant sera porteur de toutes les caractéristiques génétiques de son père et de sa mère puisque l'ADN mitochondrial représente moins d'un pour cent de la quantité totale d'ADN contenue dans une cellule humaine. Mais le changement sera permanent et se transmettra de génération en génération.


Les opposants à cette technique estiment qu'elle va trop loin en matière de modification génétique et ouvre la boîte de Pandore de la sélection des bébés. D'autres craignent des approximations médicales. Le professeur René Frydman, père scientifique du premier bébé éprouvette français, s'est par exemple montré très réservé, jugeant ce procédé insuffisamment testé.


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Petites maternités: La Cour des comptes préconise des fermetures pour «sécurité insuffisante»,femmes,enfants,bebes,matrenite,

2 Février 2015, 23:25pm

Publié par hugo

Economie
SANTE Une quinzaine d'établissements en France sont plus particulièrement concernés par le rapport de la Cour...


Petites maternités: La Cour des comptes préconise des fermetures pour «sécurité insuffisante»
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Illustration: un bébé dans une maternité en France.
Illustration: un bébé dans une maternité en France. - SERGE POUZET/SIPA
20 Minutes avec AFP
Créé le 23.01.2015 à 15:14
Mis à jour le 23.01.2015 à 16:09
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Les petites maternités doivent faire l'objet d'un contrôle accru et « fermer sans délai » dans le cas où elles ne pourraient respecter les normes de sécurité, estime la Cour des comptes dans un rapport publié vendredi. Une quinzaine d'établissements, fonctionnant à titre dérogatoire, sont visés en particulier.
Le site du Figaro dresse la liste de treize maternités situées sous le seuil de sécurité des 300 accouchements par an: le CH Die, le CH Ariège Couserans, le CH Saint Palais et la polyclinique Sokkori, le CH Lourdes, le CH Bourg-Saint-Maurice, le CH Privas, la clinique Porto-Vecchio, le CH Saint-Affrique, le CH Ussel, le CHU Brest Hôpital de Carhaix-Plouguer, le CH Apt et le CH Decazeville.
Trop peu d'accouchements par an
Commandé par la commission des Affaires sociales du Sénat, le rapport des sages de la rue Cambon dresse un état des lieux du réseau des maternités en France. De 1972 à 2012, les deux tiers des maternités ont fermé, rappelle la Cour, la France comptant désormais quelque 544 établissements. Mais la « qualité et la sécurité des prises en charge restent imparfaitement assurées », peut-on lire dans le rapport, qui juge « inévitable » une « nouvelle phase de réorganisation ».
La Cour des Comptes s'inquiète entre autres du maintien de petites maternités exerçant une faible activité, alors que des décrets parus en 1998 imposent aux établissements un seuil minimum de 300 accouchements par an.
« Un nombre significatif de petites maternités a été maintenu en dépit d'une baisse globale de leur nombre de 35% depuis 2002 », peut-on lire dans le rapport. « En 2013, 13 maternités réalisant moins de 300 accouchements demeuraient en fonctionnement par dérogation (...) et 35 autres maternités avaient une activité faible, comprise entre 300 et 500 accouchements », est-il précisé.
Neuf recommandations
La Cour s'alarme également des « résultats médiocres de la France » en matière de périnatalité, le pays occupant le 17e rang européen pour la mortalité néonatale (dans les 27 jours suivant la naissance), avec un taux de 2,3 pour 1.000. Elle souligne en outre les « difficultés de recrutement » des personnels qualifiés (gynécologues-obstétriciens, anesthésistes-réanimateurs, pédiatres, notamment), rencontrées en particulier dans les zones géographiques les moins attractives ou les plus isolées, ainsi que le « faible taux d'occupation des lits », source de difficultés financières.


Livrant neuf recommandations, la Cour des comptes préconise notamment de « contrôler la sécurité du fonctionnement des maternités bénéficiant d'une autorisation d'ouverture par dérogation au seuil de 300 accouchements par an, et plus largement dans l'ensemble des petites maternités, et les fermer sans délai en cas d'absence de mise en conformité immédiate ».
Elle prône aussi l'analyse systématique des résultats de périnatalité des maternités, de « redéfinir » leur « modèle économique », ou encore, « pour les maternités isolées dont le maintien serait jugé nécessaire, (d')établir un cadre de financement et des dispositifs de mutualisation d'équipes appropriés ».
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http://www.20minutes.fr/economie/1524331-20150123-petites-maternites-cour-comptes-preconise-fermetures-securite-insuffisante

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Loi anti-ondes : le wi-fi interdit dans les crèches,sante,enfants,bebes,

1 Février 2015, 00:38am

Publié par hugo

Contre les effets électromagnétiques
Loi anti-ondes : le wi-fi interdit dans les crèches
par
Zoé Valié
|
Publié le 31 Janvier 2015


L 'Assemblée nationale a adopté une proposition de loi qui interdit le wi-fi dans les crèches et les garderies, pour protéger les jeunes enfants contre les effets potentiels des ondes électromagnétiques.
Loi anti-ondes : le wi-fi interdit dans les crèches
VALINCO/SIPA
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Les garderies wi-fi free! C'est ce qu'exige une proposition de loi qui vient d'être définitivement adoptée à l'Assemblée nationale jeudi 29 février après un marathon parlementaire de deux ans. Le texte interdit l'installation d'équipements terminaux fixes équipés d'un accès sans fil à internet dans les espaces dédiés à l'accueil, au repos et aux activités des enfants de moins de trois ans. Sont donc concernées les crèches et les garderies, mais uniquement dans les zones où évoluent les enfants, et non pas dans les parties administratives de ces établissements par exemple.


Les jeunes enfants vulnérables
« Chacun comprendra que, compte tenu de leur sensibilité particulière aux champs électromagnétiques, les jeunes enfants doivent être tenus éloignés de la source d’émission, d’autant plus que de par leur taille, ils sont susceptibles d’avoir la tête particulièrement proche d’une box », avait justifié dans son rapport, la députée écologiste Laurence Abeille, principale auteur de cette proposition de loi relative à « la sobriété, à la transparence, à l'information et à la concertation en matière d'exposition aux ondes électromagnétiques ».
« Alors qu’il est admis par la communauté scientifique que la pénétration du rayonnement électromagnétique dans le cerveau est bien plus importante dans l’enfance qu’à l’âge adulte, en conséquence de la dimension plus petite du crâne, mais également d’une perméabilité plus importante de la boîte crânienne de l’enfant, ces dispositions paraissent de bon sens », avait-elle ajouté.


Peu d'ondes mais en continu
Au cours des premières discussions parlementaires sur le texte, la députée avait reconnu que le wi-fi émettait peu de rayonnements électromagnétiques, mais en continu. Le député PS de l'Isère, François Brottes, avait, pour sa part, souligné qu'il n'avait pas attendu cette proposition de loi pour prendre une telle mesure dans sa commune (Crolles).
La proposition de loi exige aussi que, dans les classes des écoles primaires, le wi-fi soit désactivé lorsqu'il n'est pas utilisé pour les activités numériques pédagogiques. Soit un peu « comme on éteint la lumière avant de sortir d’une pièce », avait justifié Laurence Abeille.


L'association Priartem critique « les coups de rabot » qu'a subi la proposition de loi au cours de ces deux ans. Mais elle salue le texte comme une « première étape dans la reconnaissance par la loi de la nécessité de réguler le développement de la téléphonie mobile et de toutes les applications sans fil ».








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La survie des grands prématurés s'est améliorée en France

1 Février 2015, 00:37am

Publié par hugo

La survie des grands prématurés s'est améliorée en France


Résumé : Quelle survie pour les grands prématurés en France ? Une étude nationale révèle une amélioration globale de la prise en charge depuis 15 ans. Mais un risque majeur pour ceux nés avant la 25ème semaine. Un vrai débat de société !


Par L'AFP pour Handicap.fr, le 01-02-2015
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La survie des enfants grands prématurés en France s'améliore et le nombre de ceux qui survivent sans séquelles sévères augmente, selon les auteurs d'une étude nationale française présentée le 28 janvier 2015.


Des maternités pour grossesses à haut risque
L'amélioration globale de la prise en charge ces 15 dernières années de 8 500 enfants nés vivants chaque année entre le 5e et le 7e mois de grossesse explique ces progrès. La plupart (80 à 85%) naissent dans des maternités de type 3 pour grossesses à haut risque, dotées de réanimation néonatale, relève Pierre-Yves Ancel, responsable de l'équipe Inserm à l'origine de l'étude dont les premiers résultats sont parus dans la revue spécialisée Jama Pediatrics. De plus, certains traitements (corticoïdes donnés à la mère, "surfactant" pulmonaire pour faciliter la respiration du nouveau-né) sont utilisés plus souvent, avec parallèlement une tendance à être "beaucoup moins agressifs", en particulier dans les techniques de ventilation respiratoire, ajoute le Pr Jean-Christophe Rozé, chef de service de médecine néonatale au CHU de Nantes.


4 000 enfants suivis
L'étude "Epipage 2" a inclus près de 7 000 grands prématurés nés en 2011 (vivants ou mort-nés) dans 25 régions de France. A ce jour, plus de 4 000 enfants sont suivis. Coût : 6 millions d'euros pour les suivre seulement jusqu'à 6 ans. Tout enfant né avant 37 semaines d'aménorrhée (ndlr, depuis les dernières règles) soit au 8e mois de grossesse est considéré comme prématuré. La grande (et la très grande) prématurité se situent schématiquement entre la 22e (5 mois) et la 31e semaine (7 mois). C'est à partir de la 25e semaine que les chercheurs constatent une amélioration significative de la survie des prématurés ces 15 dernières années et par comparaison avec la première étude Epipage.


Quel taux de survie ?
Plus les enfants sont prématurés, plus le taux de survie diminue : la survie est de 94% chez les grands prématurés, né entre la 27e et la 31e semaine, de 60% à 25 semaines et de moins de 1% avant 24 semaines. Le pourcentage d'enfants sortis de néonatalogie sans pathologie grave (complications cérébrales, respiratoires ou digestives) est largement majoritaire (81%) chez les grands prématurés (nés entre 27 et 31 semaines d'aménorrhée). Ce taux de survie sans pathologie néonatale sévère est plus faible chez les enfants extrêmement prématurés : il est de 30% à la 25e semaine, et de 12% à la 24e semaine. Le pronostic peut par ailleurs varier s'il s'agit d'une fille ou d'un garçon, selon les spécialistes. Il existe "une zone grise", en gros pour les naissances à 24-25 semaines, où la prise en charge est proposée ou non en France, en fonction des équipes et des parents, relève le Pr Rozé, en évoquant là un "débat sociétal".


"50% de la prématurité est provoquée par l'équipe médicale, soit pour sauver la mère, soit pour sauver l'enfant", selon le Dr Ancel notant que la prématurité a "très légèrement augmenté". L'âge tardif de la grossesse et les traitements de l'infertilité, entre autres, y contribuent.


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Handicap.fr vous suggère les liens suivants :
Sur Handicap.fr
Prématurité : 65 000 bébés chaque année mènent ce combat
La prématurité, principale cause du handicap chez l'enfant (rapport)
"Accompagnement de fin de vie" pour le bébé grand prématuré
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Les grands prématurés vivent en meilleure santé,sante,bebes,

1 Février 2015, 00:16am

Publié par hugo

ACCUEIL > QUESTION D'ACTU > LES GRANDS PRÉMATURÉS VIVENT EN MEILLEURE SANTÉ
Etude sur 7 000 bébés
Les grands prématurés vivent en meilleure santé
par
Valérie Van den Bos
avec
Julie Levallois
|
Publié le 29 Janvier 2015


La prise en charge des grands prématurés a augmenté leur survie et leur qualité de vie à court terme en 15 ans. C’est le résultat publié par des chercheurs français de l'Inserm sur 7 000 nourrissons.
Les grands prématurés vivent en meilleure santé
Rafael Ben-Ari/Cham/NEWSCOM/SIPA
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L’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) s'est penché en 2011 sur 7 000 enfants nés avant terme, principalement des grands prématurés. Les premiers résultats, parus dans le JAMA Pediatrics, soulignent la meilleure survie à court terme de ces grands prématurés, et dans un meilleur état de santé, par rapport à la situation d'il y a 15 ans.

Une survie en meilleure santé
Les naissances avant terme restent très rares, nous apprend cette étude de l’Inserm : seuls 3 % surviennent avant la 34e semaine de grossesse. Les accouchements avant la 27e semaine, eux, sont extrêmement marginaux.
Dans l’immense majorité des cas (80-85 %), la survie des grands prématurés s’est améliorée en quantité et en qualité. Chez les prématurés nés entre 25 et 29 semaines, « pour sept enfants pris en charge en 2011, dans les services de réanimation néonatale, un de plus va survivre sans pathologie sévère par rapport à 1997 », résume Pierre-Yves Ancel, épidémiologiste et coordonateur de l’étude EPIPAGE 2. La survie en bonne santé s’est aussi améliorée, mais dans une moindre mesure, chez les prématurés nés entre 30 et 31 semaines.

Une prise en charge améliorée
Plusieurs facteurs permettent d’expliquer ce meilleur taux survie des prématurés. De manière générale, les femmes enceintes à haut risque sont mieux dirigées vers les maternités adéquates. « Les enfants naissent plus souvent dans une maternité de type 3 où il y a un service de réanimation, et les mamans ont plus souvent reçu des corticoïdes (pour accélérer la maturation du poumon, ndlr) », explique François Goffinet, chef de la maternité de l’hôpital Port-Royal (Paris). « On a davantage voulu prendre en charge ces enfants, puisque le taux de césariennes des grands prématurés a augmenté en 15 ans. On identifie aussi mieux les enfants qui vont naître prématurément, et les pédiatres utilisent plus de surfactants. Ce sont des produits qui permettent d’améliorer les échanges respiratoires après la naissance de l’enfant. »
L’amélioration des outils techniques pour prendre en charge les grands prématurés sont aussi à noter. La ventilation des enfants est par exemple moins agressive

Pas d’amélioration chez les prématurés extrêmes
Pour les enfants nés à 24 semaines, en revanche, l’Inserm ne note aucune amélioration sur le plan de la survie. « Il n’y a pas eu plus de prises en charge de ces enfants, certainement pour des raisons de volonté des équipes médicales, mais pas uniquement », note François Goffinet. « L’implication des parents est quasiment systématique dans la décision de prendre en charge ces enfants extrêmement prématurés. Dans les 22-24 semaines d’aménorrhée, les pratiques en France font qu’on ne prend pas en charge ces enfants-là. » En effet, cette période est extrêmement critique : les chances de survie sont faibles, et ces enfants grandissent rarement sans troubles sur le plan physique, car ils ne sont pas matures.








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Publié le 29 Janvier 2015

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Les maternités dans le viseur de la Cour des comptes,maternites,femmes,sante,accouchement,economie,politiques,

30 Janvier 2015, 01:34am

Publié par hugo

Les maternités dans le viseur de la Cour des comptes
Les maternités dans le viseur de la Cour des comptes 23/01/2015
Dans un rapport publié aujourd’hui, la Cour des comptes dresse un bilan sévère sur certaines maternités françaises. 13 établissements réalisent moins de 300 accouchements par an. Un seuil de sécurité minimal fixé par la loi.
La Cour des comptes tire la sonnette d'alarme. En raison du faible nombre d’accouchements qui y sont réalisés, de nombreuses maternités n’assurent plus la sécurité des soins. 13 établissements (liste ci-dessous) se situent en effet sous le seuil minimal des 300 accouchements par an. En deçà de ce nombre, l’autorisation d’exercer doit normalement être retirée. Pour la Cour, il est urgent d’engager une nouvelle phase de réorganisation, afin de mettre en place une offre de soins « pérenne, ajustée aux besoins et efficace, mais aussi pour améliorer les indicateurs de périnatalité ». La France occupe le 17e rang européen pour la mortalité néonatale.
CH Decazeville (Aveyron) : 296
CH Apt (Vaucluse) : 291
CHU Brest Hôpital de Carhaix-Plouguer (Finistère) : 252
Clinique Saint Louis, Ganges (Hérault) : 249
CH Saint-Affrique (Sud-Aveyron): 249
CH Ussel (Corrèze) : 249
Clinique Porto-Vecchio (Corse) : 240
CH Bourg-Saint-Maurice (Rhône-Alpes) : 237
CH Privas (Ardèche) : 238
CH Lourdes (Hautes-Pyrénées) : 234
CH Saint Palais (polyclinique Sokkori) (Pyrénées-Atlantiques) : 231
CH Ariège Couserans (Ariège) : 219
CH Die (Rhône-Alpes): 137
Le maintien en fonctionnement de certains établissements est cependant souvent justifié par la géographie, souligne la Cour des comptes. C’est le cas de la polyclinique du Sud de la Corse (Porto-Vecchio). L’éloignement géographique particulier de la zone impose des temps de trajet très importants à une partie importante de la population (plus de deux heures trente de route vers les centres hospitaliers d’Ajaccio ou de Bastia). La fermeture des maternités de Die et d’Apt a fait l’objet de décisions de principe qui devraient être prochainement appliquées.
Par ailleurs, d’autres maternités réalisent un nombre plus important d’accouchements, mais connaissent également de grandes difficultés, rapporte le Cour. Le cas de la maternité du centre hospitalier de Montluçon, en Auvergne, cumule les difficultés : manque d’effectifs, déséquilibre financier. La reconstruction de la maternité des Lilas, en Ile de France, reste toujours dans l’impasse, également pour des raisons budgétaires. A La Rochelle et à Royan, les maternités sont menacées et des restructurations sont d’ores et déjà envisagées.
Source : Rapport de la Cour des comptes
Auteur : Candice Satara-Bartko > COMMENTER0
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L’intolérance au gluten indépendante de l’âge de la première introduction;bebes,sante,

30 Janvier 2015, 01:25am

Publié par hugo

L’intolérance au gluten indépendante de l’âge de la première introduction
bébé-biberon23/01/2015
L’intolérance au gluten ne serait pas liée à l’âge de la première introduction de cette protéine dans l’alimentation, selon une étude publiée dans la revue Pediatrics
Pour éliminer le risque d' intolérance au gluten, il est actuellement recommandé d’attendre les 6 mois de l’enfant avant d’introduire cette protéine. Mais ce principe pourrait bientôt ne plus être d’actualité. Une récente étude, publiée dans la revue Pediatrics, révèle que l’âge d’introduction du gluten ne serait pas un facteur déclenchant de la maladie. Pour arriver à cette conclusion, des chercheurs ont suivi des nourrissons, dès leur naissance, en Finlande, aux Etats-Unis et en Allemagne. Tous étaient génétiquement prédisposés à développer cette intolérance, également appelée maladie cœliaque. Les médecins ont collecté des informations sur l'alimentation des enfants lors des visites cliniques effectuées tous les trois mois, pendant 5 ans. A noter que dans chacun de ces pays, l'âge de l'introduction du gluten est différent. C’est en Suède que les bébés commencent à en consommer le plus tôt, à l’âge de 22 semaines. En Allemagne et aux États-Unis, l’introduction a lieu aux alentours de 30 semaines. Les résultats de l'étude ont donc montré que l’âge de la première introduction au gluten n'était pas un facteur de risque d'intolérance. Néanmoins, l’étude a montré que les filles étaient davantage concernées et, qu’avoir un membre de sa famille intolérant augmentait aussi le risque de l’être. Pour rappel, le gluten est un mélange de protéines présent dans de nombreux aliments, en particulier : le pain, les biscuits, les pâtes, certains desserts lactés…
Source : Pediatrics
Auteur : Candice Satara-Bartko > COMMENTER0
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Rapport de la Cour des comptes : 13 maternités potentiellement dangereuses,femmes,bebes,maternites,

30 Janvier 2015, 01:20am

Publié par hugo

Rapport de la Cour des comptes : 13 maternités potentiellement dangereuses
Rapport de la Cour des comptes : 13 maternités potentiellement dangereuses23/01/2015
La Cour des comptes estime que trop de maternités n'appliquent pas aujourd'hui les normes sanitaires. Elle préconise leur fermeture immédiate.
Il est urgent de fermer des maternités. Dans un rapport dévoilé par Le Figaro, la Cour des comptes estime que trop d’établissements n'appliquent pas aujourd'hui les normes sanitaires indispensables pour assurer la sécurité des mères et des nouveau-nés. « La faiblesse des interventions des pouvoirs publics confine à la passivité et revient à attendre des accidents graves pour engager des restructurations ponctuelles », estime la Cour, qui reproche au gouvernement d'attendre les drames pour fermer les établissements. Il est vrai que la situation est critique. « La France est au premier rang en terme de natalité avec deux enfants par femme, mais nous sommes au 17e rang quant au risque de mortalité néonatale (enfants nés vivants mais décédés), souligne le sénateur Jean-Marie Vanlerenberghe, à l'initiative de ce rapport. Il y a donc de grands efforts à faire. » En septembre dernier, à Orthez (64), un accident grave durant une césarienne avait entraîné le décès d’une femme. La maternité souffrait depuis longtemps d’un manque de personnel et enregistrait moins de 400 accouchements par an. Elle est depuis fermée. Pour la Cour, il est donc urgent de « contrôler la sécurité » au sein de l'ensemble des petites maternités et « les fermer sans délai en cas d'absence de mise en conformité immédiate ». Treize établissements sont particulièrement concernés. Dans ce contexte, le sénateur Jean-Marie Vanlerenberghe demande à Marisol Touraine « de prendre en compte ces recommandations dans le projet de loi Santé ».
Source : Le Figaro
Auteur : Candice Satara-Bartko > COMMENTER3
http://www.parents.fr/Actualites/Rapport-de-la-Cour-des-comptes-13-maternites-potentiellement-dangereuses-2151903

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