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Le blog de hugo,

Sauriez-vous reconnaître des violences conjugales ? (probablement pas)

12 Juillet 2019, 23:40pm

Publié par hugo

 
 
Sauriez-vous reconnaître des violences conjugales ? (probablement pas)
 
 
 
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Sauriez-vous reconnaître des violences conjugales ? (probablement pas)
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Marinette — Femmes et féminisme
Ajoutée le 3 juil. 2019

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Si vous pensez être victime de violences conjugales ou connaître une victime de violences conjugales, il existe un numéro unique en France : le 3919
-
Les intervenantes, dans l’ordre d’apparition :
* Louise Delavier est chargée de mission dans l’association "En avant toutes" : https://enavanttoutes.fr/
* Marie-France Casalis est responsable de formation au Collectif Féministe Contre le Viol : https://cfcv.asso.fr/
* Anne Jonquet est avocate au barreau de la Seine-Saint-Denis, spécialisée dans la défense des femmes victimes de violences
* Julie Vella est cofondatrice de l’association "Elle's imagine’nt" : http://www.ellesimaginent.fr/
* Brigitte Chabert est présidente de l’Union Régionale Solidarité Femmes d’Île-de-France : http://www.solidaritefemmes.org/
* Pauline Delage est sociologue, chargée de recherche au CNRS
-
* Le site "Comprendre l’égalité" pour creuser la question des violences faites aux femmes : https://www.comprendre-egalite.com/
* Ou la playlist sur la chaîne YouTube du Centre Hubertine Auclert : https://www.youtube.com/watch?v=7SSP5...

https://www.youtube.com/watch?v=Ts3Qumj2U5c&list=WL&index=32&t=172s

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60 % des Françaises disent avoir été agressées sexuellement dans un lieu festif

12 Juillet 2019, 23:35pm

Publié par hugo

 
 
 
 
 
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60 % des Françaises disent avoir été agressées sexuellement dans un lieu festif
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Brut
 
Ajoutée le 12 juil. 2019

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60 % des Françaises disent avoir été agressées sexuellement dans un lieu festif. Zones réservées aux femmes, ateliers de Krav Maga… Pour lutter contre le harcèlement sexuel, certains festivals ont pris des initiatives.
 
https://www.youtube.com/watch?v=yXRmHbBLLoU

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Meurtre de Johanna Blanes à Mont-de-Marsan : quatre personnes sont en garde à vue, dont le principal suspect,femmes,violences,viol

12 Juillet 2019, 23:31pm

Publié par hugo

 Meurtre de Johanna Blanes à Mont-de-Marsan : quatre personnes sont en garde à vue, dont le principal suspect
Le principal suspect est un Syrien âgé de 32 ans. Son ADN a été retrouvé sur le corps de la jeune femme par les enquêteurs.
Les policiers de Mont-de-Marsan ont barré l'accès au tunnel sous la voie ferrée, dimanche 7 juillet, après la découverte du corps de Johanna Blanes. (FRÉDÉRIC DENIS / RADIO FRANCE)
franceinfo
Radio France
Mis à jour le 12/07/2019 | 19:11
publié le 12/07/2019 | 18:58
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il y a 6 heures
"Sur le terrain, les retours sont terribles" : des députés de la majorité regrettent les affaires de Rugy
Quatre hommes sont actuellement en garde à vue, dans le cadre de l’enquête sur le meurtre de Johanna Blanes, à Mont-de-Marsan (Landes), dont le principal suspect, un Syrien âgé de 32 ans, indique France Bleu Gascogne après la conférence de presse du procureur de la République, Olivier Janson, vendredi 12 juillet. L'hypothèse d'un viol collectif n'est pas exclue, précise le parquet
Le suspect nie le meurtre
L’ADN du Syrien, âgé de 32 ans et réfugié politique en France, a été retrouvé sur le corps de la jeune femme. Le portable de Johanna Blanes a été récupéré lors d'une perquisition dans l'appartement du principal suspect, à Saint-Pierre-du-Mont, où vivent les quatre personnes actuellement en garde à vue. Après la disparition de la jeune femme, les enquêteurs ont découvert que le téléphone avait été utilisé avec une carte SIM correspondant au numéro de téléphone du suspect.
Le Syrien est déjà connu de la police pour des faits de violences conjugales, mais nie le meurtre de Johanna Blanes. Son ADN figurait déjà au fichier automatisé des empreintes génétiques.
L'autopsie révèle que la jeune femme de 24 ans est morte par "asphyxie mécanique et écrasement au niveau du cou et du thorax". Des traces de violences sexuelles ont été constatées, relève le procureur. Le corps de la femme avait été retrouvé gisant dans un tunnel pour piétons, sous une voie ferrée, au bout de la rue du Ruisseau, près de l'IUT de Mont-de-Marsan, dimanche matin.
A lire aussi

https://www.francetvinfo.fr/societe/violences-faites-aux-femmes/meurtre-de-johanna-blanes-a-mont-de-marsan-quatre-personnes-sont-en-garde-a-vue-dont-le-principal-suspect_3533431.html

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Besançon : interpellé pour violences conjugales, un homme fait l'éloge de Jonathann Daval,femmes,

12 Juillet 2019, 23:28pm

Publié par hugo

 Besançon : interpellé pour violences conjugales, un homme fait l'éloge de Jonathann Daval
Le quadragénaire n'a pas supporté que sa compagne lui annonce leur séparation.
Les faits ont eu lieu, dans la soirée du mercredi 10 juillet 2019, à Besançon (Doubs). (CAPTURE ECRAN GOOGLE MAPS)
franceinfo
Radio France
Mis à jour le 12/07/2019 | 13:19
publié le 12/07/2019 | 13:19
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"Sur le terrain, les retours sont terribles" : des députés de la majorité regrettent les affaires de Rugy
Mercredi soir, dans le quartier de Saint-Claude à Besançon, un homme âgé d'une quarantaine d'années a tenté d'étrangler sa femme puis menacé de tuer son fils de six ans avec deux couteaux de cuisine, rapporte France Bleu Besançon, vendredi 12 juillet. Il ne supportait pas le projet de séparation de sa compagne. Lors de son interpellation, le mari a fait l'éloge de Jonathann Daval, mis en examen pour le meurtre de son épouse Alexia Daval en octobre 2017. Il a vanté son courage, car "il a su se libérer de sa femme castratrice".
"Particulièrement choquant"
Lors d'une conférence de presse, vendredi, le procureur de la République de Besançon a expliqué trouver "particulièrement choquant que monsieur Daval puisse être brandi comme l'icône de ce qu'il faut faire quand on est un mari qui constate que son épouse veut vous quitter". Etienne Manteaux a farouchement dénoncé ces propos : "Certains ont dit que Jonathann Daval n'était pas un meurtrier. Commettre des violences graves qui entraînent la mort de quelqu'un, ce sont des faits criminels même sans intention d'homicide".
Entre lundi et vendredi, les policiers et gendarmes du Doubs sont intervenus sur six affaires de violences conjugales. Six femmes ont été frappées, giflées et menacées par leur conjoint.
A lire aussi

https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/disparition-d-une-joggeuse-en-haute-saone/besancon-interpelle-pour-violences-conjugales-un-homme-fait-l-eloge-de-jonathann-daval_3532971.html

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Vacances: Partir en solo vous coûtera 53 % plus cher que si vous êtes en couple, selon l'UFC-Que choisir,couples,amours,

12 Juillet 2019, 23:27pm

Publié par hugo

  Vacances: Partir en solo vous coûtera 53 % plus cher que si vous êtes en couple, selon l'UFC-Que choisir
BUDGET Pour partir en croisière, un touriste solo devra débourser 93 % d'argent en plus qu'un couple
20 Minutes avec agence
Publié le 11/07/19 à 14h16 — Mis à jour le 11/07/19 à 14h16
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Illustration: Un couple partant sur la route des vacances. — SUPERSTOCK/SUPERSTOCK/SIPA
Un célibataire doit débourser 53 % d’argent en plus pour ses vacances que les personnes qui partent à deux. Le budget des vacanciers solo est en effet plus élevé de 400 euros en moyenne, selon une étude publiée ce jeudi par l' UFC-Que Choisir.
La plus grande différence est observée sur les croisières, où les personnes seules font face à des tarifs plus élevés de 93 %. Pour les amateurs de clubs de vacances, l’addition est 32 % plus salée en France et 37 % plus chère à l’étranger, en prenant en compte le prix des billets d’avion.
 
« Comment ne pas s’insurger devant les surtarifications ? »
Les vacanciers solitaires qui ont opté pour un séjour en hôtel à l’étranger subissent quant à eux un surcoût de 52 %. Pour arriver à ces conclusions, les spécialistes ont étudié 86 séjours touristiques. Ils ont comparé les prix proposés à des personnes voyageant seules ou en couple. Plus que le constat de cette différence, c’est l’absence d’une justification logique que déplorent les auteurs de l’étude.
« Le fait que ce soit un petit peu plus élevé n’est pas forcément choquant », analyse Mathieu Escot, directeur d’étude pour l’UFC-Que Choisir, sur franceinfo. « S’il est compréhensible que l’occupation d’une même chambre soit facturée peu ou prou au même prix, […] comment ne pas s’insurger devant les surtarifications des prestations directement liées au nombre de voyageurs ? »
Face au phénomène, l’association de défense des consommateurs « exhorte les voyagistes à adopter une tarification responsable des vacances en solitaire ». Tout en conseillant aux vacanciers de bien étudier les tarifs des suppléments appliqués.
Société
Guichets SNCF: «Un temps fou», «Je n’ai pas pu prendre de billet», «C’était plus simple avant»… Nos lecteurs racontent leurs déboires
Lille
Hauts-de-France: Des trains à 2 euros, tout l’été, pour aller à la mer ou visiter la région
 
Vacances d'ete

https://www.20minutes.fr/societe/2562035-20190711-vacances-partir-solo-coutera-53-plus-cher-si-couple-selon-ufc-choisir

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75 féminicides en 2019 : rassemblement à Saint-Denis « Pas une de plus ! »,femmes,violences,

12 Juillet 2019, 00:52am

Publié par hugo

 Contre les violences faites aux femmes
75 féminicides en 2019 : rassemblement à Saint-Denis « Pas une de plus ! »
75 femmes ont été tuées depuis le début de l’année 2019, parce qu’elles sont des femmes. Il y a quelques jours Leila, une jeune femme de 20 ans a été victime d’un féminicide. Un rassemblement est appelé ce jeudi 11 juillet sur le parvis de la basilique de Saint-Denis contre les féminicides, « Pas une de plus ! ». Le collectif Du Pain et des Roses sera présent, et appelle à se mobiliser dans la rue et à s’organiser contre les violences faites aux femmes indépendamment de l’Etat et de ses institutions.
Joan Manchette
jeudi 11 juillet
 

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Les féminicides, les violences sexistes et sexuelles, sont un fléau qui touche une femme sur quatre dans le monde et particulièrement les très jeunes femmes. Ces dernières années une mobilisation nouvelle, internationale, féministe, de femmes qui descendent dans la rue contre les violences faites aux femmes, s’est développée. En France, la réalité de ces violences ne cesse de s’assombrir et c’est désormais une femme qui meurt tous les deux jours sous les coups de son conjoint ou de son ex-conjoint. Il y a quelques jours encore, une jeune femme de 20 ans, Leila est décédée suite à des violences en Seine Saint Denis.
Le collectif Du Pain et des Roses participe à toutes les mobilisations contre les violences faites aux femmes, en France et dans tous les pays où le collectif est présent, et appelle à se mobiliser ce jeudi 11 juillet pour dénoncer ce féminicide et les autres. En tant que féministes révolutionnaires, communistes, internationalistes nous pointons le fait que cette brutalité extrême à l’encontre des femmes, et celle aussi qui touche les personnes LGBTI, est le dernier maillon mortel d’une longue chaîne de violences. Des violences qui ont leurs racines dans cette société patriarcale, sexiste, et qui sont légitimées, reproduites et justifiées par l’Etat capitaliste et ses institutions. C’est pour cela que nous ne pouvons remettre entre les mains du gouvernement, de sa police, de ses institutions, la vie des femmes et des personnes LGBTI.
Nous devons nous organiser indépendamment de l’Etat et de ses institutions et nous ne pouvons attendre d’eux qu’ils mettent un terme à ces violences. En effet, l’Etat capitaliste et le système patriarcal fonctionnent main dans la main pour assurer la domination économique, sociale et politique d’une minorité sur la majorité de la population, et des femmes qui composent cette majorité.
Ainsi, nous ne pouvons que dénoncer l’hypocrisie des déclarations du gouvernement et tout particulièrement de Marlène Schiappa qui promet, en réponse aux féminicides, un « grenelle sur les féminicides » à la rentrée prochaine ainsi que des subventions et des places d’hébergement pour cet été. Ce ne sont que des promesses en l’air et des « pansements » qui visent à masquer la réalité d’une société capitaliste, patriarcale et impérialiste, dont les gouvernements actuels sont les représentants. Comment un gouvernement qui organise consciemment la précarisation de la majorité de la population peut-il se targuer d’être celui qui va protéger les femmes des violences patriarcales ?
Le collectif Du Pain et des Roses exige des pouvoirs publics la mise en œuvre de tous les moyens nécessaires pour pallier les conséquences de la violence machiste, des refuges pour les victimes de violences avec des moyens et des professionnel·le·s qualifié·e·s. Comme la précarité est très souvent la raison qui empêche les femmes victimes de violences de partir du foyer pour se protéger, nous exigeons également la mise en place de mesures élémentaires pour pallier cette précarité, telles que le maintien du salaire lors des licenciements économiques, des aides couvrant les dépenses alimentaires familiales pour les femmes sans emploi, un logement pour tou·te·s, des crédits logements à taux zéro, etc.
Notre détermination sera sans faille : s’ils touchent à une seule d’entre nous, nous nous organiserons par milliers !
Crédits photo : O Phil des contrastes

https://www.revolutionpermanente.fr/75-feminicides-en-2019-rassemblement-a-Saint-Denis-Pas-une-de-plus

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Violences faites aux femmes : combien dépense le gouvernement ?,femmes,violences,

12 Juillet 2019, 00:49am

Publié par hugo

 Violences faites aux femmes : combien dépense le gouvernement ?
ÉCLAIRAGE - L'égalité entre les hommes et les femmes a été érigée en "grande cause nationale" en 2017 par Emmanuel Macron. Mais combien dépense l'État dans la lutte contre les violences faites aux femmes ?
Marlène Schiappa, secrétaire d'État en charge de l'égalité entre les femmes et les hommes
Crédit : TRISTAN REYNAUD/SIPA
 
Arièle Bonte 
et AFP
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publié le 10/07/2019 à 20:01
Interrogée sur d'éventuels "manquements" dans la lutte contre les violences faites aux femmes, Marlène Schiappa, secrétaire d'État en charge de l'égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations, a affirmé dimanche 7 juillet au JDD que "530 millions sont mobilisés cette année", sans préciser si ces crédits iraient tous à la lutte contre les violences.
Invitée sur France Inter le lendemain, Marlène Schiappa a cette fois précisé : "Il y a 530 millions pour l'année 2019, c'est un record historique en termes de budget pour l'égalité entre les femmes et les hommes".
En réalité, la part allouée à la lutte contre les violences faites aux femmes est une partie du total des 530 millions d'euros, qui doivent être consacrés en 2019, à la politique d'égalité entre les femmes et les hommes.
Un budget minimum d'environ 506 millions d'euros
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Grenelle des violences conjugales : une fausse bonne idée soutenue par Schiappa ?
 
 
En novembre 2018, un an après qu'Emmanuel Macron a érigé l'égalité entre les femmes et les homme en "grande cause nationale", cinq organisations (le Conseil économique social et environnemental, le Haut conseil pour l'égalité, la Fondation des femmes, le Fonds pour les femmes en Méditerranée et Women's Worldwide Web), ont publié un rapport intitulé "Où est l'argent contre les violences faites aux femmes".
Les "ressources mobilisées actuellement" pour la prise en charge des femmes victimes de violences atteignent "environ 79 millions d'euros", ont-elles estimé, se basant notamment sur le document de politique transversale, qui détaille les prévisions de dépenses des différents ministères.
Pour arriver à ce chiffre, les cinq organisations ont additionné le budget des dispositifs d'accueil, des places d'hébergement, des intervenants sociaux en commissariats et gendarmerie (etc.), mais jugent cette somme nettement insuffisante.
Le "besoin financier minimum pour une prise en charge de qualité des femmes victimes de violences conjugales" serait d'environ "506 millions d'euros", dans l'hypothèse la plus basse, et de "1,1 milliard", dans l'hypothèse la plus haute, selon elles.
Trois axes à financer : l'éducation, l'hébergement et la formation
"Le document de politique transversale ne comprend qu'une partie de ce qui est fait", a répondu à l'AFP le cabinet de la secrétaire d'État, évoquant l'idée d'un budget comprenant par exemple le financement des formations ou le coût des heures consacrées par certains fonctionnaires à des missions de lutte contre les violences.
Le cabinet s'est refusé à avancer sa propre estimation des sommes consacrées à la lutte contre les violences. Ces calculs seront rediscutés pendant le "Grenelle contre les violences conjugales" en septembre, selon la même source.
"Il n'y a pas de solution miracle", s'est par ailleurs défendue Marlène Schiappa sur BFMTV, mardi 9 juillet.  "Si on fait un chèque d'un milliard et que les féminicides s'arrêtent, on le fait immédiatement".
"Trois axes sont très insuffisamment financés. L'éducation, l'hébergement et la formation", a déploré de son côté Caroline De Haas, membre du collectif #NousToutes, contactée par l'AFP. La militante a plaidé pour la création au collège d'un "brevet de la non-violence, un peu sur le modèle de l'Attestation scolaire de sécurité routière" que passent les élèves.
"Cela semble nécessaire en partant du principe que ces violences sont un enjeu de santé publique aussi élevé que celui de la sécurité", a-t-elle avancé, appelant également à davantage de "places d'hébergements pérennes avec un accompagnement social" pour les femmes victimes de violences.
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https://www.rtl.fr/girls/identites/violences-faites-aux-femmes-combien-depense-le-gouvernement-7798013458

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Féminicides : 121 femmes tuées en 2018 par leur conjoint ou ex-compagnon,femmes,violences

12 Juillet 2019, 00:47am

Publié par hugo

 Féminicides : 121 femmes tuées en 2018 par leur conjoint ou ex-compagnon
Le gouvernement a dévoilé ce mercredi 10 juillet les chiffres relatifs aux violences conjugales pour l'année 2018. L'an dernier, 149 personnes sont décédées sous les coups de leur partenaire ou de leur ex-partenaire de vie. Parmi ces victimes, on dénombre 121 femmes.
La lutte contre les violences faites aux femmes a été nommée Grande Cause du quinquennat
Crédit : iStock / Getty Images Plus
 
Sylvain Zimmermann 
et AFP
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publié le 10/07/2019 à 17:41 mis à jour le 10/07/2019 à 18:08
Cent vingt et une femmes ont été tuées en 2018 par leur conjoint ou ex-compagnon, soit une tous les trois jours, selon des données communiquées mercredi par la délégation aux victimes du ministère de l'Intérieur.
Sur les 121 féminicides dénombrés, 26 sont qualifiés en assassinat, avec préméditation donc, 85 en meurtres et 10 en violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner.
Ce nombre, qui comprend les couples officiels (époux, concubins, etc.) ou non (amants, relations épisodiques...), est en légère baisse par rapport aux 130 féminicides recensés en 2017. Le gouvernement a annoncé dimanche la tenue d'un "Grenelle des violences conjugales" le 3 septembre prochain pour enrayer ce fléau.
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De plus, à partir de septembre 2019, des formations conjointes des magistrats et des enquêteurs spécialisés sur la conduite des affaires de violences conjugales seront mises en place. Christophe Castaner, ministre de l'Intérieur, a d'ailleurs déclaré être "pleinement engagé pour prévenir ces violences et favoriser une meilleure prise en charge des victimes."
Un collectif féministe a déjà recensé 76 féminicides depuis le 1er janvier dernier, de quoi accréditer l'hypothèse d'une tendance repartant nettement à la hausse ces derniers mois.
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https://www.rtl.fr/girls/identites/feminicides-121-femmes-tuees-en-2018-par-leur-conjoint-ou-ex-compagnon-7798016369

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Grenelle des violences conjugales : une fausse bonne idée soutenue par Schiappa ?,femmes,violences,

11 Juillet 2019, 23:44pm

Publié par hugo

Grenelle des violences conjugales : une fausse bonne idée soutenue par Schiappa ?
ÉCLAIRAGE - Attaquée sur son manque de résultats contre les féminicides, la secrétaire d'État à l'Égalité femmes-hommes Marlène Schiappa défend l'organisation d'un Grenelle des violences conjugales de septembre à novembre prochain.
Marlène Schiappa, à l'Assemblée nationale le 27 mars 2019
Crédit : Martin BUREAU / AFP
 
Arièle Bonte 
Journaliste
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publié le 09/07/2019 à 15:01
"S'il y avait des solutions miracles qui permettaient d'arrêter les féminicides, on l'aurait fait, les gouvernements précédents l'auraient fait avant nous". Marlène Schiappa, secrétaire d'État en charge de l'égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations, est la cible de critiques de la part de militantes féministes depuis qu'elle a annoncé, dimanche 7 juillet dans les colonnes du JDD, la mise en place d'un "Grenelle des violences conjugales" qui aura lieu du 3 septembre au 25 novembre prochain.
Caroline de Haas, initiatrice du mouvement #NousToutes citée par LCI, juge cette décision gouvernementale "décevante" parce qu'elle ne répond en rien aux "mesures d'urgence" demandées par le collectif. Un avis que partage le collectif national des droits des femmes, également cité par LCI et Anne-Cécile Mailfert, présidente de la Fondation des Femmes.
Dans un entretien accordé à Libération, cette dernière ajoute cependant être quand même satisfaite de la tenue de ce Grenelle. "Le 3 septembre, c’est aussi la rentrée politique, l’occasion pour le gouvernement de donner un bel élan à la mobilisation sur cette question".
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Violences faites aux femmes : combien dépense le gouvernement ?
 
 
Fatima El Ouasdi, présidente de l'association Politiquelles, espère de son côté que cette "communication interministérielle va peut-être débloquer des moyens supplémentaires", a-t-elle réagi sur LCI. "Avant de dire de combien on a besoin, il faut trouver ce qui cloche et savoir exactement où mettre l'argent. Si on débloque un milliard d'euros comme en Espagne, on les met où ?".
75 femmes tuées depuis le début de l'année
"Il n'y a pas de solution miracle, ce n'est pas vrai", a réagi Marlène Schiappa lundi 8 juillet sur le plateau de BFM TV. "Si on fait un chèque d'un milliard et que les féminicides s'arrêtent, on le fait immédiatement". La secrétaire d'État a ainsi défendu sa stratégie : inviter les associations qui participeront au Grenelle pour "passer en revue" une série de "dysfonctionnements de terrain qui ne correspondent pas à la politique publique impulsée par le gouvernement".
Marlène Schiappa a alors cité le problème des femmes qui déposent plusieurs plaintes contre leur conjoint ou ex-conjoint et qui ne sont pas entendues par les forces de l'ordre mais elle a également déploré le manque d'attribution des "téléphones grave danger" censés être remis aux femmes menacées.
"Évidemment des moyens supplémentaires seront alloués par l'État via des subventions encore plus importantes de mon ministère et des moyens humains au 3919 pour le surcroît d'appels attendu et espéré, a également précisé la secrétaire d'État sur Twitter. Ces différentes annonces ont par ailleurs été saluées dans un communiqué par Solidarité Femmes, qui pilote le numéro d'urgence 3919., destiné aux femmes victimes de violences et aux témoins.
"Cet échange global sur un état des lieux, des propositions et une mise en œuvre de la lutte contre les violences ne peut qu’être positif", peut-on lire dans ce communiqué.
En 2017, 130 femmes ont été tuées par leur conjoint ou ex (au sein de couples officiels ou non), contre 123 en 2016, selon les dernières données du ministère de l'Intérieur. Depuis le 1er janvier, le collectif "Féminicides par compagnons ou ex" en a recensé 75.
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 https://www.rtl.fr/girls/identites/grenelle-des-violences-conjugales-une-fausse-bonne-idee-soutenue-par-marlene-schiappa-7798007026

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Violences conjugales : elle porte plainte contre l'État après l'assassinat de sa sœur et des ses parents,femmes,violences

11 Juillet 2019, 23:42pm

Publié par hugo

 Violences conjugales : elle porte plainte contre l'État après l'assassinat de sa sœur et des ses parents
En 2018, 149 personnes dont 121 femmes sont mortes sous les coups de leurs conjoints. Les pouvoirs publics ont-ils une part de responsabilité dans ces féminicides ? C'est ce que pense la sœur d'une victime.
FRANCE 2
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France 2
France Télévisions
Mis à jour le 11/07/2019 | 17:48
publié le 11/07/2019 | 15:50
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Nous la préparons pour vous chaque matin
Cathy Thomas en est convaincue. L'État n'a rien fait pour protéger sa sœur Isabelle et ses parents. En 2014, ils ont été tous les trois assassinés par l'ex-compagnon de sa soeur et ce, malgré les plaintes pour violences et les multiples mains courantes. "L'État n'est pas venu en aide pour essayer ou protéger mes parents et ma sœur. C'est pourtant un devoir régalien. Protéger ses concitoyens, quand ils sont en danger de mort", affirme Cathy Thomas qui a décidé de prendre la parole.
Sa sœur et ses parents assassinés
Le 4 août 2014, Patrick Lemoine poursuit en voiture Isabelle Thomas. Sur un parking de Grande-Synthe (Nord), il abat ses beaux-parents, puis son ex-compagne. L'homme était pourtant sous contrôle judiciaire. Une mesure qu'il n'a pas respectée. "Elle m'avait parlé de sa mort. Elle m'avait dit un jour, il me retrouvera et il me tuera", déclare Cathy Thomas, en larmes devant les caméras de France Télévisions. En 2018, 149 personnes dont 121 femmes sont mortes sous les coups de leurs conjoints.

https://www.francetvinfo.fr/societe/violences-faites-aux-femmes/violences-conjugales-elle-porte-plainte-contre-l-etat-apres-l-assassinat-de-sa-soeur-et-des-ses-parents_3531237.html

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