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Le blog de hugo,

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Santé : les femmes moins sportives que les hommes,femmes,hommes,

3 Juin 2019, 04:21am

Publié par hugo

 Santé : les femmes moins sportives que les hommes
L'OMS préconise de faire 10 000 pas par jour. Selon une étude, les adolescentes françaises font beaucoup moins d'exercice que les hommes. Une tendance qui persiste à l'âge adulte.
FRANCE 2
 
 
 
 
 
 
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Mis à jour le 29/05/2019 | 17:41
publié le 29/05/2019 | 15:55
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Nous la préparons pour vous chaque matin
Selon une étude réalisée en 2019, seulement 48% des Françaises pratiqueraient une activité sportive, soit moins d'une sur deux. "Je ne fais pas beaucoup de sport. Je fais vraiment du sport quand je vais en vacances dans ma maison de campagne avec mes parents et ma famille", dévoile une femme venue assister au tournoi de Roland-Garros.
Une baisse progressive avec l'âge
Entre 6 et 11 ans, 69 % des filles pratiquent une activité physique tandis qu'entre 12 et 17 ans, 53% font de l'exercice, selon l'étude d'Attitude prévention en 2019. "On a peut-être plus tendance à encourager les garçons à faire du sport (...) c'est peut-être ça qui contribue au fait que les filles se sentent moins légitimes à poursuivre le sport ou à s'investir complètement dans une pratique sportive", détaille Nicolas Forstmann de l'INSEP. Une fois adultes, les femmes prises entre travail et enfants ont moins l'habitude de consacrer du temps au sport. Les Françaises marchent trop peu, avec une moyenne journalière de 7 578 pas, loin des 10 000 préconisés par l'OMS. Marcher est un moyen efficace de prévenir les maladies cardiovasculaires, le diabète et le cancer du sein.

https://www.francetvinfo.fr/societe/droits-des-femmes/sante-les-femmes-moins-sportives-que-les-hommes_3466013.html

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VIDEO. L'Égyptienne Nouran Salah veut offrir aux femmes la liberté de pédaler,femmes,sport,

3 Février 2019, 12:09pm

Publié par hugo


VIDEO. L'Égyptienne Nouran Salah veut offrir aux femmes la liberté de pédaler
En Égypte, Nouran Salah a créé l'association Cairo Cycling Geckos pour défendre une des pratiques interdites aux femmes : faire de la bicyclette.
 
 

BRUT
Brut.
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Mis à jour le 31/01/2019 | 17:20
publié le 31/01/2019 | 17:20
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Nous la préparons pour vous chaque matin
"Quand je vois les femmes pédaler, je vois le bonheur dans leurs yeux", confie Nouran Salah. Pourtant, cette pratique est quasiment interdite aux femmes égyptiennes. Elles se font régulièrement harceler dès qu'elles montent à vélo. "Dans les quartiers pauvres, ils pensent que les bicyclettes rompent l’hymen", ajoute Nouran Salah. Cette Égyptienne de 24 ans compte ainsi bien faire évoluer la condition des femmes en leur permettant de se déplacer à vélo. Pour ce faire, elle a créé le Cairo Cycling Geckos, une association qui pousse les femmes à pédaler dans les rues afin de normaliser cet acte. "Le vélo donne beaucoup de liberté. Pourquoi les hommes peuvent-ils en profiter et pas les femmes ?", questionne l'Égyptienne.
Une association caritative pour le droit des femmes
En 2016, Nouran Salah a commencé son action en distribuant des repas en vélo tous les jours pendant le ramadan. Aujourd'hui, l'association compte une cinquantaine de membres qui se réunissent deux fois par mois pour distribuer des jouets, des couvertures, des vêtements et des fournitures scolaires dans les rues du Caire. Mais la fondatrice de l'association veut aller encore plus loin. Elle multiplie les initiatives pour lutter pour le droit des femmes et ce, toujours via la bicyclette. "Et parce que je perçois l'espoir d'un changement, je continue d'espérer", lance Nouran Salah.
A lire aussi

https://www.francetvinfo.fr/monde/afrique/egypte/video-l-egyptienne-nouran-salah-veut-offrir-aux-femmes-la-liberte-de-pedaler_3169737.html

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“What The Foot?!”, le projet photo qui s'intéresse à l'empowerment des femmes par le foot,femmes,sport

11 Décembre 2018, 08:50am

Publié par hugo

 “What The Foot?!”, le projet photo qui s'intéresse à l'empowerment des femmes par le foot
Publié le 10 décembre 2018 à 0:33
Avec le collectif Huma, Virginie Nguyen Hoang parcourt le monde et raconte l’histoire de celles qui ont trouvé dans le football un moyen de s’émanciper.
 
 
Une jeune joueuse en Côte d'Ivoire ©Olivier Papegnies
L’association Fútbol Militante qui lutte en Argentine pour la réappropriation de l’espace public par les femmes, les Dégommeuses, en France, qui ont pour objectif de lutter “contre le sexisme, les LGBT-phobies, et toutes les discriminations”, ou encore le centre sportif Olympafrica de Soubré, en Côte d’Ivoire, grâce auquel 30 jeunes filles s’entraînent… Voilà quelques-unes des initiatives que promet d’explorer What The Foot?!, un projet de reportage photographique porté par le collectif belge Huma, qui devrait voir le jour en juin prochain, au moment du coup d’envoi de la Coupe du Monde féminine de football.
“Avec Huma, nous travaillons à plusieurs photojournalistes, photographes et rédacteur·rice·s sur des sujets sociaux, humains, explique Virginie Nguyen Hoang, cofondatrice de ce groupe de travail. On raconte les histoires de celles et ceux à qui la parole n’est pas donnée en général.” Pour appuyer ses propos, cette Belge de 31 ans cite Je suis humain, l’exposition photo qu’elle et ses collègues ont réalisée l’année dernière pour faire évoluer l’image des réfugié·e·s et demandeur·se·s d’asile, “qui ne sont pas forcément misérables, enfermé·e·s dans des centres, et qui s’intègrent parfois très bien”. Autre exemple: les European Special Olympics Games, une très belle série de photos consacrée aux Jeux Olympiques pour athlètes atteints de déficience mentale, publiée en 2014.
Depuis cet été, c’est au foot féminin et à l’empowerment qu’il peut représenter pour les femmes aux quatre coins du monde, que Virginie Nguyen Hoang a choisi de s’intéresser avec ses collaborateur·rice·s. Rien d’étonnant pour celle qui pratique ce sport depuis maintenant 15 ans. “What The Foot, c’est la contraction de l’expression ‘What the fuck’, qui exprime de la surprise, et de football, explique-t-elle. C’est un clin d’œil à l’étonnement généralement suscité par le bon niveau de certaines joueuses de foot.” Nous lui avons posé cinq questions pour en savoir davantage sur ce projet ambitieux, que vous pouvez soutenir en participant à la cagnotte Ulule.
Justine, joueuse des Red Cougs à Bruxelles, ©Frédéric Pauwels
Comment est né What the Foot?!?
Tout a débuté au moment où Frédéric Pauwels (Ndlr: photojournaliste, cofondateur du collectif HUMA) a assisté à l’un de mes matchs. Il s’est dit que mon équipe, composée exclusivement de femmes, pouvait constituer un bon sujet de reportage, et a commencé à nous suivre lors de nos rencontres sportives, ainsi qu’en dehors du terrain, dans les activités et sorties que nous organisions entre nous. Laure Derenne, notre rédactrice, s’est greffée au projet, et très rapidement, en discutant du sexisme du monde du ballon rond avec les joueuses étrangères, originaires de France, d’Italie ou d’Espagne qui font partie du groupe, nous avons eu envie d’élargir notre travail au football féminin en général.
Quel est votre objectif?
Nous voulons raconter comment la pratique de ce sport peut être un vecteur d’émancipation. Dans certains pays, avoir un bon niveau de football, équivalent, voire meilleur que celui des hommes, peut aider les femmes à s’affirmer, à prendre le dessus, à exiger le respect et à braver l’interdit. En Iran, celles qui ont gagné l’autorisation d’entrer dans les stades sont un bel exemple de contestation du rapport hommes-femmes qui y existe. C’est vraiment l’aspect positif, ce que peut apporter cette pratique aux femmes, que nous désirons mettre en avant.
Où en est le projet aujourd’hui?
Nous avons commencé la production. Huma suit mon équipe depuis plus d’un an, et de mon côté, je me suis intéressée à la seule équipe entièrement féminine de personnes handicapées mentalement de Belgique. Deux membres du collectif sont partis en Jordanie, d’autres en Palestine, un départ est bientôt prévu pour l’Iran et l’Argentine, et je m’envole dans quelques jours pour l’Égypte, avec pour objectif de suivre des femmes qui pratiquent ce sport dans un quartier populaire. Nous envisageons d’autres pays, mais nos voyages seront conditionnés par notre budget.
© Johanna De Tessieres
Comment avez-vous sélectionné les histoires que vous souhaitez raconter?
Géographiquement, il nous semblait indispensable d’explorer des territoires hors d’Europe. Nous avons donc choisi un ou plusieurs pays sur chaque continent. Concernant nos personnages, nous avons effectué énormément de recherches cet été pour trouver des récits qui sortent de l’ordinaire, et qui recoupent plusieurs profils différents, de femmes joueuses, de coachs, d’arbitres, et de supportrices.
En tant que joueuse, as-tu l’impression que la situation évolue?
Je pense que les choses s’améliorent, oui. Pour parler de la Belgique, il y a 15 ans, il était impossible de trouver une équipe féminine si tu avais moins de 14 ans. J’entendais également pas mal de remarques du genre “Le foot c’est un sport de gars”, ou “C’est trop violent pour les filles”. Aujourd’hui, une jeune qui tape dans le ballon, ça surprend moins. Par contre, quand on sort du milieu amateur, les inégalités sont encore bien présentes. Il n’y a qu’à regarder les différences de salaire entre les pros. Les femmes ont d’ailleurs du mal à accéder à ce statut et à vivre de leur sport. Idem pour les infrastructures: les hommes ont la priorité sur les terrains et les vestiaires. Et malheureusement, nous avons pu constater sur les réseaux sociaux, en lançant notre projet, que quelques préjugés sont toujours bien ancrés, comme le fait de considérer les joueuses forcément comme des gouines à l’allure de camionneuses…
Propos recueillis par Margot Cherrid

http://cheekmagazine.fr/societe/huma-football-feminin-virginie-nguyen-hoang-what-the-foot/

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Fichage ethnique au PSG : SOS Racisme ne croit pas «à un système organisé par le club»,sport,racisme,

12 Novembre 2018, 00:54am

Publié par hugo

  Fichage ethnique au PSG : SOS Racisme ne croit pas «à un système organisé par le club»
>PSG|R.F.| 08 novembre 2018, 22h18 |2
 
Hermann Ebongue, le vice-président de SOS Racisme, estime que cette pratique de fichage ethnique est « de la bêtise pure ». LP/Icon Sport. Anthony Dibon

Selon Hermann Ebongue, le vice-président de l’association, les révélations de Mediapart et d’Envoyé Spécial ne font pas la preuve d’une discrimination organisée par le PSG.
A longueur d’année, SOS Racisme œuvre aux côtés du PSG pour lutter contre les comportements racistes, xénophobes et antisémites des supporteurs parisiens. Hermann Ebongue, son vice-président, est donc particulièrement concerné par l’affaire du fichage ethnique pratiqué par les recruteurs du centre de formation parisien.
« Ce fichage, cette nomenclature et cette discrimination raciale sont un signe d’imbécillité et d’ignorance, soutient-il. C’est de la bêtise pure. Mais je ne crois pas en l’existence d’un système organisé par le club. Il suffit d’ailleurs d’observer la couleur de peau des jeunes qui évoluent actuellement dans les équipes du PSG pour se rendre compte qu’il n’existe aucune discrimination ».
 
PSGSOS-RacismeFichage ethniqueMediapartFootball LeaksEnvoyé Spécial

http://www.leparisien.fr/sports/football/psg/fichage-ethnique-au-psg-sos-racisme-ne-croit-pas-a-un-systeme-organise-par-le-club-08-11-2018-7938627.php

LE PSG  FAIT  FROT ENTRE  LES SUPPORTERS   RACISTES ,et  les joueur s  ficher car  blancs  ou blacks et d ou  ils viennent antilles  etc 

STOP  A CE GENRE 

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« Africain », « Maghrébin » : Le fichage ethnique du PSG pour recruter de jeunes joueurs,racisme,

10 Novembre 2018, 08:03am

Publié par hugo

 
« Africain », « Maghrébin » : Le fichage ethnique du PSG pour recruter de jeunes joueurs
Selon Mediapart, la cellule de recrutement de jeunes joueurs au Paris Saint Germain utilise des critères discriminatoires. En effet, les fiches comportent des informations sur l’origine ethnique des joueurs.
Frédéric Apoyo
jeudi 8 novembre

 0
 
Crédits photo : A. Martin/L’Equipe
« Français », « Africains », « Maghrébins », « Antillais ». C’est avec ces caractérisations que des recruteurs du Paris Saint Germain, de 2013 à 2018, remplissaient la section « origines » des feuilles d’évaluation des jeunes joueurs susceptible d’intégrer le centre de formation du club. Une pratique strictement interdite, passible de 5 ans d’emprisonnement et de 300 000 € d’amende.
Face à ces révélations de Mediapart, relative à l’affaire Football Leaks et publié ce jeudi 8 novembre, la direction du club de la capitale a confirmé ces pratiques, précisant simplement que celles-ci étaient une initiative personnelle d’un responsable du recrutement. Une défense vacillante, révélant au mieux une passivité totale, ou, plus certainement, une pirouette pour cacher une pratique généralisée. Sur la base des révélations de Mediapart et de la CNIL, qui a ouvert une enquête préliminaire, le procureur de la République pourrait s’auto-saisir de l’affaire.
Quoi qu’il en soit, l’article de Mediapart met l’accent sur l’un des aspects les plus sombre du foot-business, et qui pourrait engendrer de nouvelles révélations. Car il y a fort à parier que le PSG n’est pas le seul club à procéder de la sorte : trier les joueurs selon des critères ethnique et xénophobes, que cela soit pour des raisons de stratégie commerciale, financière ou par simple préjugé raciste sur la question des « qualités intrinsèques » selon l’origine. Une façon de discriminer de jeunes pousses avant même qu’elles puissent intégrer un centre de formation.
 
Mots-clés football   /    Culture et Sport

http://www.revolutionpermanente.fr/Africain-Maghrebin-Le-fichage-ethnique-du-PSG-pour-recruter-de-jeunes-joueurs

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Poitiers : une équipe mixte de natation synchronisée,articles femmes hommes,

5 Novembre 2018, 01:54am

Publié par hugo

Poitiers : une équipe mixte de natation synchronisée

Des hommes et des femmes dans une même équipe de natation synchronisée, c'est le pari d'une équipe mixte à Poitiers (Vienne) qui fait parler d'elle.
FRANCE 3
avatarFrance 3France Télévisions

Mis à jour le 03/11/2018 | 18:09
publié le 03/11/2018 | 18:09
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L'idée de créer une équipe mixte de natation synchronisée à Poitiers (Vienne) vient d'une boutade. En juin dernier, Éric Zoaro, président du club CEP Poitiers NatSynchro, a défié les petits amis des nageuses d'accompagner ces dernières sous l'eau et de créer une équipe mixte. "Au début, ils m'ont pris pour un fou", raconte-t-il. Il aura fallu quatre mois au lieu de sept pour que le premier entraînement ait lieu.
Une discipline difficile, loin des clichés

Au menu de chaque entrainement, la pratique du rétropédalage, le porté... Une technique beaucoup plus difficile à appréhender pour les hommes que pour les femmes. Le défi de l'équipe mixte est à la fois simple et ambitieux : produire une chorégraphie digne de ce nom pour le gala de juin 2019. Et si l'engouement persiste, l'objectif du club pourrait être une qualification aux Jeux olympiques de 2024, autrement dit plonger pour de bon dans le grand bain.


https://www.francetvinfo.fr/societe/droits-des-femmes/poitiers-une-equipe-mixte-de-natation-synchronisee_3016813.html

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Gay Games à Paris : "Les principes sont simples : la participation, l'inclusion et le dépassement de soi"

5 Août 2018, 08:15am

Publié par hugo

 Gay Games à Paris : "Les principes sont simples : la participation, l'inclusion et le dépassement de soi"

Manuel Picaud, le co-président de l'organisation des Gay Games à Paris a détaillé samedi sur franceinfo le programme de cet événement inédit en France.
Manuel Picaud, co-président de l\'organisation des Gay Games à Paris
Manuel Picaud, co-président de l'organisation des Gay Games à Paris (SADAK SOUICI / LE PICTORIUM / MAXPPP)
avatarfranceinfoRadio France

Mis à jour le 04/08/2018 | 23:03
publié le 04/08/2018 | 19:51
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De samedi  04 août à samedi 11 août, Paris accueille pour la première fois les Gay Games, sorte de Jeux Olympiques LGBT créés il y a une trentaine d'années. 10 000 participants venus de 90 pays sont attendus.

"Les principes sont simples : la participation, l'inclusion et le dépassement de soi, et pas forcément la performance absolue, le virilisme ou le patriotisme", a détaillé Manuel Picaud, le co-président de l'organisation des Gay Games à Paris, invité de franceinfo samedi 4 août.

franceinfo : Comparé aux Jeux Olympiques, y a-t-il moins cette notion de performance dans les Gay Games ?

Manuel Picaud : Ce sont des jeux ouverts à tout le monde, organisés à l'origine par la communauté gay aux Etats-Unis, et pour la première fois cette année en France. Ce sont les jeux les plus inclusifs au monde, tout le monde peut participer, de 18 à 99 ans. Les principes sont simples : la participation, l'inclusion et le dépassement de soi, et pas forcément la performance absolue, le virilisme ou le patriotisme. On a parmi nos ambassadeurs Lilian Thuram, Ryadh Sallem et Emmeline Ndongue et l'arbitre anglais Ryan Atkin qui s'occupera des finales de football. Nous serons donc supportés par des joueurs de haut niveau.

Il y a de nombreuses compétitions autour du stade Jean Bouin où vous vous trouvez mais aussi ailleurs à Paris et hors de la capitale ?

Au stade Jean Bouin a lieu la grande cérémonie d'ouverture, avec une parade des 10 000 athlètes devant plus de 6 000 spectateurs. Tout au long de la semaine, 36 disciplines sont proposées dans toute l'Île-de-France et au Havre pour la voile. Ca va de la natation au patinage artistique, du football au hockey-sur-gazon. Il y a même de la pétanque. Il y aura à Paris, sur le grand parvis de l'Hôtel-de-Ville un village destiné à montrer une certaine vitrine des Gay Games, avec des animations culturelles, sportives, festives. Tout ceci est ouvert gratuitement au grand public. C'est une manière pour nous de montrer qu'on peut vivre tous ensemble, partager d'excellents moments et promouvoir l'idée du respect et de la diversité.

C'est un événement sportif et revendicatif, en particulier cette année sur le coming-out. C'est encore dur aujourd'hui de révéler son homosexualité, peut-être encore plus dans le monde sportif ?

L'homosexualité est un véritable tabou dans le sport dans notre pays, mais aussi dans le monde entier. Dans 70 pays, l'homosexualité est encore pénalisée, c'était le cas en 1982 en France rappelons-nous. Il y a encore des progrès à faire pour sortir des clichés, des stéréotypes pensant que les lesbiennes, les homosexuels ou les trans ne peuvent pas participer aux sports comme les autres. Nous revendiquons le fait qu'une personne trans puisse choisir le genre dans lequel il ou elle souhaite concourir. Nous réfléchissons à la manière d'inclure des personnes non-binaires, nous faisons du patinage artistique ou de la danse sportive en couples de même sexe, autant de manières de voir les choses différemment. La présence d'athlètes séropositifs a été le fer de lance de cette manifestation, créée au début de l'épidémie du Sida. Son fondateur était atteint du VIH. Moi-même je suis séropositif, je vis avec le virus depuis plus de trente ans, d'autres athlètes sont séropositifs et c'est aussi une manière de continuer le combat, de montrer que cela ne nous atteint pas pour faire du sport et avoir des rapports avec nos autres participants.
A lire aussi

 https://www.francetvinfo.fr/societe/lgbt/gay-games-a-paris-les-principes-sont-simples-la-participation-l-inclusion-et-le-depassement-de-soi_2881817.html

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Comment les salles de sport draguent les femmes,femmes,

3 Août 2018, 07:50am

Publié par hugo

 Dossier “Le corps” / En partenariat avec le CFPJ
Comment les salles de sport draguent les femmes
Publié le 2 août 2018 à 3:02
Les enseignes de fitness ont bien compris que les femmes représentaient une clientèle de premier choix. Elles ont donc mis en place quelques stratégies pour les attirer. 
 
 
Hilary Swank dans “Million Dollar Baby”, DR
Le fitness a les faveurs des femmes, qui représentent deux tiers des pratiquant·e·s régulier·e·s de la discipline, selon une étude Ipsos pour l’Union Sport & Cycles parue fin 2017. Pour les attirer dans leurs salles, souvent symboles de frime et de performance, les enseignes mettent le paquet. On vous explique comment.
 
En promettant plus d’intimité
“J’évite de rester au-delà de 20 heures car après il n’y a quasiment que des mecs”, raconte Tatiana, trentenaire habituée d’une salle à Bagnolet. Regards gênants, comportements dragueurs… Les salles mixtes peuvent mettre mal à l’aise certaines femmes en quête d’intimité. Alors, des enseignes ont créé des espaces qui leur sont dédiés. La plupart des clubs du réseau Keep Cool disposent ainsi d’un “Lady Corner”. Idem du côté de Fitness Park. Ces espaces 100% femmes permettent à celles qui le veulent de rester entre elles, mais rien ne les y oblige. Certaines salles, quant à elles, font le choix de n’accueillir que des femmes. Si des enseignes ont investi le créneau (Curves, Lady Moving…), on compte aussi beaucoup de salles indépendantes. Aux Ailes du canal, dans le 10ème arrondissement de Paris, les habituées forment une petite famille. Sur les murs de l’unique plateau d’entraînement, des adhérentes n’hésitent pas à témoigner sur leur perte de poids, photos à l’appui. “Beaucoup ne pratiquaient pas de sport auparavant. Elles n’osaient pas pousser les portes d’un club de sport à cause de leur timidité, parce qu’elles étaient complexées par leur âge ou leur poids. Ici, elles se sentent plus à l’aise, elles se lâchent plus facilement”, observe la cofondatrice de la salle, qui a ouvert ses portes il y a un an.
 
 
 
En proposant des entraînements genrés
Dans les salles pour femmes, le bien-être et l’entretien du corps passent avant la performance et la compétition. “Nous voulons être aux antipodes des grandes salles de sport impersonnelles en permettant aux femmes d’évoluer à leur propre rythme. Elles s’entraînent sur des machines à résistance hydraulique qui s’adaptent à leur morphologie et préservent leurs articulations”, insiste Cyril Bouaziz, gérant de Women’s Fit dans le 12ème arrondissement. Aux Ailes du canal, un badge remis après quelques séances enregistre les performances sur chaque machine afin de faire évoluer la difficulté. Dans ces deux salles, un coach est à disposition en permanence et un suivi personnalisé est proposé gratuitement, type calcul régulier du poids et du tour de taille, programme diététique… En attendant l’invention de la machine qui calcule si vous êtes bien dans votre tête, votre corps est sous contrôle. Mais les salles ne s’intéressent pas seulement à votre silhouette. Elles visent aussi les jeunes mères, notamment pour la rééducation du périnée. “Je craignais de faire de gestes dangereux pour moi et mon bébé, confie Chloé, Lilloise de 28 ans, autrefois habituée des salles mixtes. Alors je me suis inscrite dans une salle pour femmes pendant et après ma grossesse afin d’avoir un entraînement adapté.” S’adapter aux femmes, c’est aussi ce que promettent les salles mixtes. Les Lady Corner de Keep Cool, par exemple, disposent de “machines debout spécifiques, idéales pour retrouver un corps ferme et tonique sans se prendre la tête” –quoi que cela veuille dire. Mais il est difficile de trouver des altères et appareils de musculation avec poids. Si ces clubs répondent aux besoins de bien-être et d’entretien du corps, les femmes en quête de performance risquent de ne pas y trouver leur compte. Elles n’ont souvent pas d’autre choix que de travailler leur renforcement musculaire dans les espaces mixtes.
 
 
 
En comptant sur les “fitness girls”
Pour attirer de nouvelles clientes, les salles de sport mettent de plus en plus en avant les femmes dans leurs publicités. Sur les sites de présentation de Neoness et du Cercle de la forme, la parité est respectée. L’enseigne Fitness Park place quant à elle sept femmes parmi ses seize égéries, dont Ophélie, alias Tarto.Fit, une fitness girl très suivie sur Instagram. Ces femmes qui se prennent en photo ou se filment pendant qu’elles font du sport et partagent auprès de leur communauté leurs conseils diététiques et leurs programmes d’entraînement sont des ambassadrices idéales pour les salles. “Ces influenceuses rendent le sport plus accessible et désacralisent l’idéal du corps bodybuildé, indique Virgile Caillet, président de l’Union Sport & Cycle. Elles inscrivent leur pratique individuelle dans un environnement collectif et motivent ainsi les ‘intentionnistes’ à se mettre au sport, que ce soit à domicile, en plein air ou en salles.”
Jean-Marc de Jaeger

http://cheekmagazine.fr/societe/salles-de-sport-draguent-femmes/

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Foot au féminin Les filles et le foot : la relève ,femmes,feminisme,sport,

17 Juillet 2018, 07:55am

Publié par hugo

 


20 octobre 2010
Foot au féminin Les filles et le foot : la relève

Les tribulations pathétiques de l’équipe de France en coupe du monde indiquent qu’une relève est plus que nécessaire. Pourquoi pas du côté des filles ? La Fédération française de foot s’y intéresse de près et a chargé Guy Ferrier, un entraîneur national, de développer le foot féminin. Une tâche de longue haleine ?

Guy Ferrier, quel est votre rôle au sein de la FFF ?

Je suis en charge du développement du football féminin à la Direction technique nationale de la Fédération française de foot depuis un an. Gérard Houllier, alors directeur technique national du football français à la Fédération française de foot, a décidé de développer le foot féminin et m’a demandé de prendre ce poste. Me l’avoir proposé, à moi qui suis entraîneur national, est le signe de l’intérêt que porte la FFF au foot féminin. Je trouve ce travail très valorisant, c’est un challenge important.

Quelle est la situation du football féminin aujourd’hui ?

Depuis quarante ans qu’il existe, le foot féminin est isolé, marginalisé. Personne n’était contre, mais personne ne l’a aidé. On l’avait abandonné. Aujourd’hui, nous partons de rien. Le défi est de transformer le football féminin en une vraie pratique sportive. Un des objectifs est, à moyen terme, de faire disparaître la mixité dans les équipes car celle-ci a été un frein plus qu’autre chose. Jusqu’à présent, il n’existait pas de championnat féminin, ce qui obligeait les jeunes filles, soit à jouer avec des garçons, soit avec des seniors. Les responsables des clubs n’ont jamais voulu s’occuper des jeunes filles, il n’y avait pas de formation. Le football féminin vivait en vase clos. Il est nécessaire de changer les habitudes. Nous sommes dans une année de transition, une année du changement pour le foot féminin. Nous ne sommes plus à l’époque des joueuses camionneuses, maintenant les filles sont belles. Le foot féminin est devenu beau, esthétique.

Qu’avez-vous déjà réalisé ?

J’ai fait la tournée des districts et des ligues pour sensibiliser mes collègues, mais je sais que cela prendra du temps. La D3 a été supprimée. Nous mettons en place des conditions adaptées qui ne soient pas copiées sur le football masculin.

Sandrine Roux, qui a été pendant dix-sept ans gardienne de l’équipe de France, travaille sur le suivi social des joueuses. Des aides financières ont été débloquées afin de leur permettre de suivre les entraînements parallèlement à leurs études. Nous allons créer des championnats de jeunes filles : elles vont ainsi pouvoir jouer entre elles. Mais beaucoup de filles vont vouloir continuer à jouer avec les garçons, parce qu’elles pensent que c’est plus valorisant. Nous avons aussi organisé une fête pour célébrer l’anniversaire du foot féminin. 40 ans ! 4 000 personnes y ont participé. (http://www.50-50magazine.fr/_?p=1505 ). Je veux aller vite, l’engouement pour le foot en général doit être utilisé pour promouvoir le foot féminin.

Peut-on imaginer la professionnalisation du foot féminin ?

La professionnalisation signifie beaucoup d’argent, des millions d’euros, et pour le moment, ce foot n’en rapporte pas. Et la qualité du jeu n’est pas encore là. Les télés disent que les compétitions féminines ne les intéressent pas. La professionnalisation n’est donc pas envisageable pour le moment. Beaucoup de choses restent à faire, telles que travailler sur la place des femmes dans les clubs afin qu’elles occupent également des postes décisionnels. Il n’y aucune femme présidente de Ligue et seulement une femme vice-présidente, en Alsace. Ce n’est pas normal.

Quelles ont été les réactions de vos collègues aux changements que vous voulez opérer ?

L’étonnement. En fait, certains nous accusent de tuer le foot féminin ; d’autres pensent que ce que nous faisons est très bien. Mais les réticences sont encore trop nombreuses. Ainsi, les présidents des districts refusent de mettre en œuvre des actions spécifiques pour les filles. Il s’agit d’une véritable discrimination. Il ne faut rien lâcher ! Il faut les convaincre, ces hommes de Cro-Magnon qui, parfois, sont de bons amis (rires). On n’a pas le droit de refuser aux filles le plaisir de jouer. J’engueule ceux qui ne font pas assez pour elles. Mais je suis confiant, les jeunes filles vont jouer de plus en plus. Cela se passe ainsi partout dans le monde. Il faut que le foot se conjugue au féminin. Il n’a pas été créé pour les hommes !

Propos recueillis par Caroline Flepp ÉGALITÉ


http://www.50-50magazine.fr/2010/10/20/les-filles-et-le-foot-la-releve/

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Ophélie Caudron : « Avec TouteSport, elles se sont senties citoyennes nogentaises impliquées »,femmes,sport,

29 Juin 2018, 08:26am

Publié par hugo

 Île de France
 
28 juin 2018
Sport
Ophélie Caudron : « Avec TouteSport, elles se sont senties citoyennes nogentaises impliquées »
 
Le 21 juin 2018, la Fédération Nationale des Centres d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles (FNCIDFF) organise un colloque pour clôturer le projet « TouteSport ! » qui s’est déroulé d’octobre 2016 à juin 2018. L’objectif du colloque est de présenter les actions menées dans ce cadre, qui visent à inciter les femmes des quartiers politique de la ville (QPV) à la pratique sportive. La Fédération a coordonné cette action dans sept villes de France. Nogent sur Oise est l’une d’entre elles. Animatrice territoriale pour la collectivité de Nogent sur Oise, Ophélie Caudron, a présenté ses réflexions de terrain sur le projet « TouteSport » lors du colloque.
Comment avez-vous vécu le projet « TouteSport » ?
Le CIDFF de l’Oise est un partenaire primordial de la municipalité, il intervient sur les ateliers sur la parentalité et les relations parents enfants. Lorsque le CIDFF de l’Oise a été sélectionné pour le projet « TouteSport », cela nous a semblé évident qu’il fallait mettre le projet en place ensemble puisque nous avions déjà des cours de sport au centre. L’envie de poser un diagnostic sur la pratique du sport pour les femmes était réelle dans l’idée de faire évoluer le sport au féminin et de permettre une prise de conscience et d’indépendance des femmes des QPV.
Je trouve le colloque d’aujourd’hui important. En effet, on voit souvent les grandes lignes des projets, on voit les dossiers des projets que nous allons vendre à nos superieur-e-s, aux municipalités, aux associations mais c’est vrai que ce n’est pas facile de transmettre ce que nous recevons sur le terrain. Je trouve que c’est là qu’il nous faut nous améliorer. Il faut que les gens de bureau puissent venir voir et s’imprégner de tous les bienfaits du projet « TouteSport » sur le terrain. Souvent, nous ne parlons pas forcement le même langage et nous  perdons de vue que l’importance du projet est le bien-être des femmes et dans l’intérêt général.
Au niveau local quels sont les points forts et les points qu’il faut améliorer ?
Nous avons eu un fort soutien de la municipalité en termes de mise à disposition de locaux et d’outils de communication et nous avons été cofinancés ce qui nous a permis de financer des entraineuses/entraineurs sportives/sportifs. Il est dommage que nous n’ayons pas assez travaillé la communication et pas assez relayé l’information au niveau de la ville, de l’agglomération, et du département. Nous avons été un peu trop discret.e.s. Il est vrai que dans notre centre, nous avons la chance de ne pas être fermé.e.s et nous aurions pu parfaitement accueillir d’autres personnes des villes voisines.
Quels sont les principaux obstacles des femmes pour la pratique du sport dans l’espace public ?
Dans ce projet, les femmes ont voté pour les sports qu’elles voulaient pratiquer. En fonction de leur choix, nous avons essayé de mettre en place les créneaux horaires qu’elles souhaitaient et parfois nous avons rencontré de sérieuses difficultés. Par exemple, la natation était leur deuxième ou troisième choix, et cela a été impossible. Il n’y avait pas de lignes d’eau disponibles et il était compliqué pour elles de nager avec les jeunes et avec le public. Elles aiment bien être au calme pour prendre confiance en elles; la dynamique de groupe leur permet de s’émanciper.
C’est difficile pour elles de se sentir à l’aise dans l’espace public. Il y a des femmes qui n’ont même pas osé prendre les transports publics, elles ont préféré marcher pour se rendre à la salle. Elles préféraient arriver essoufflées, plutôt que de prendre le bus. D’autres prenaient des rues annexes pour ne pas passer par le centre-ville, de peur d’être reconnues et que quelqu’un leur reproche de ne pas être chez elles à attendre les enfants, préparer le gouter ou je ne sais quoi !
On avait un cycle de handball qui devait se dérouler sur city stade. Étant donné qu’un café a ouvert près du city stade, nous avons eu 3 ou 4 femmes qui ont simplement refusé d’y participer parce que les hommes étaient présents au café. Les cafés sont une bonne chose pour faire vivre le quartier, mais encore une fois les femmes se sentent exclues voire un peu rejetées de leur propre quartier. Nous les avons confinées dans une autre salle sans fenêtre. Cela a été un hic ! De même, nous avons une association de junior, 13 jeunes filles de 11 à 14 ans qui viennent au centre ; à part le centre, elles n’ont rien autour, elles ne font pas de sport, pas d’activités culturelles ou artistiques alors que leurs frères sont licenciés. Ce n’est pas la priorité pour elles, elles doivent être disponibles pour le foyer et se concentrer sur leurs études. En général elles sont brillantes par rapport aux garçons qui sont déjà en échec scolaire. Mais elles ont déjà un poids sur leurs épaules, ne peuvent pas s’épanouir et ne peuvent pas aussi occuper l’espace public.
Comment évaluez-vous la réussite du projet TouteSport à Nogent sur Oise ?
Pour moi c’est une réussite à 100 %. Elles sont toutes sorties de leur zone de confort dans le quartier, elles se sont épanouies. Il y avait même une femme qui ne parlait pas français qui a su avec de la gestuelle, des regards et de l’attention se familiariser avec le groupe, une belle solidarité s’est mise en place. J’ai trouvé cela magnifique, car malgré la barrière de la langue, elle s’est intégrée. Les femmes se sentent impliquées dans le projet, pour elles c’est leur projet et nous sommes ensemble.
Toutefois, il y a forcément une différence entre nous les professionnelles et les participantes, mais quand nous participions aux activités nous n’étions qu’un seul groupe, le groupe des femmes qui ensemble venait impulser un projet et lâcher prise.
Les femmes ont apprécié d’aller dans d’autres salles de la ville et durant l’atelier marche, elles ont découvert des quartiers de Nogent qu’elles ne connaissaient pas alors que certaines y habitent depuis plus de 40 ans. Elles ne connaissaient même pas les bois de la ville. Elles ne connaissaient pas l’historique de la ville, non pas parce qu’elles ne s’y intéressaient pas, mais en raison d’une forte rupture avec la culture aussi.
Elles ont fait une marche avec une encadrante nogentaise ce qui leur a permis d’aller dans le parc, où elles n’avaient jamais mis les pieds, bien qu’il soit à 10 minutes de chez elles.
Avec « TouteSport », elles se sont senties citoyennes nogentaises impliquées. Elles se sont senties femmes et fières de l’être.
 
Brigitte Marti 50-50 magazine
 
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