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sexisme

Pour Zemmour, la violence attire les femmes,femmes,violences,

30 Août 2014, 02:28am

Publié par hugo

LESNOUVELLESNEWS - CAFOUILLAGE > Cafouillage >
Pour Zemmour, la violence attire les femmes


Créé le lundi 7 février 2011 12:28 Écrit par Isabelle Germain

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Zemmour a encore frappé ! Invité à critiquer le livre de Diane Ducret, « Femmes de dictateurs » (ed. Perrin), dans l’émission « On n’est pas couché », Eric Zemmour a donné sa vision toujours archaïque de « la » femme. Extraits : « Le pouvoir attire les femmes, c’est comme ça, c’est dans leur cerveau archaïque »…


« Elles les aiment (ces dictateurs) parce qu’ils sont violents, ben évidemment, ça agit comme une super virilité dans l’inconscient féminin, c’est comme ça que ça fonctionne. »… « Les femmes demandent aux hommes d’être comme ça »... « Les femmes de dictateurs assument le fantasme de toutes les femmes ».


Ce qui est rassurant est d’abord d’entendre le public rire à ces propos et les huer. Puis les autres invités sur le plateau soulignent le ridicule de Zemmour. Mais pas assez sans doute. Affirmer que la violence des hommes est un fantasme de femme reste dangereux.


Lire aussi
- Que reste-t-il des mots de Zemmour ?


- « La Domination Masculine »


- Viol : le coupable, c’est le violeur


C’est une vision fantasmée de la femme, ce sont souvent les arguments des violeurs, et une façon de légitimer le viol et la domination masculine. Zemmour serait bien inspiré d’écouter plutôt la neurobiologiste Catherine Vidal à TEDxParis par exemple. Il comprendrait peut-être que le problème ne vient pas du cerveau archaïque des femmes mais de l’archaïsme de sa pensée.


Extrait de l'émission :


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Radio Zemmour, c'est reparti,sexisme,racisme,machisme,

29 Août 2014, 00:30am

Publié par hugo



LESNOUVELLESNEWS - CAFOUILLAGE > sexisme ordinaire >
Radio Zemmour, c'est reparti


Créé le jeudi 28 août 2014 14:41 Écrit par Isabelle Germain

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Le chroniqueur fait sa rentrée avec un sujet en or : une ministre femme qu'il veut décrédibiliser.


Ceux qui écoutent RTL au petit matin, et ils sont nombreux, auront eu, ce matin, leur dose de sexisme, de racisme et de désinformation infligée par Eric Zemmour dans une émission prudemment nommée par la Radio « On n'est pas forcément d'accord ». Mais, une fois de plus le chroniqueur franchit la ligne entre libre opinion et insulte. Entre opinion et désinformation.


Pour lui, le principal emblème du remaniement est la présence de deux jeunes ministres Emmanuel Macron et Najat Vallaud Belkacem dans des ministères très importants. « Ils sont beaux, ils sont jeunes, ils sont brillants » ironise-t-il. Première salve bien sexiste : « enfin lui... » Et de citer les diplômes et le parcours d'Emmanuel Macron. La ministre de l'Education ? Elle n'a pas besoin de diplômes puisque c'est une femme explique le chroniqueur, juste un symbole. Et tant qu'on y est, salve raciste : elle est née à Rabat donc elle symbolise la diversité eux yeux de Zemmour, c'est tout ce qu'on lui demande.


Vient ensuite la désinformation pour affirmer que « les lobby féministes et gays » prennent le contrôle du ministère de l'Education. L'ex ministre des Droits des femmes voudrait apprendre aux enfants « qu'il vaut mieux en avoir deux... papas » rigole-t-il tout content de sa blague. Et plein d'autres contre-vérités, fruit des campagnes d'intox de « la manif pour tous »...


En Video




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L'éducation à l'égalité hérisse Le Figaro



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Le sexisme au travail vu par les enfants,femmes,sexisme,

23 Août 2014, 03:58am

Publié par hugo

Le sexisme au travail vu par les enfants
Actuellement, plus de 60% des femmes affirment être victimes de réflexions déplacées au travail. Pour savoir ce qu'ils en pensent, les enfants sont interrogés au micro de Lauriane Dervault. - L'actualité sort de la bouche des enfants, du 16 août 2014.


La page de l'émission : L'actualité sort de la bouche des enfants
Lauriane Dervault
Le sexisme au travail vu par les enfants
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PAR LAURIANE DERVAULT PUBLIÉ LE 16/08/2014 À 12:42
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"Les femmes devraient s'initier aux arts martiaux pour remettre les hommes à leur place."


Les hommes se croient plus forts que les femmes. Mais mentalement, elles les massacrent. Elles sont plus intelligentes.


"Quand les hommes disent "Ça roule ma poule ?", les femmes devraient répondre "Hey mon gros, ça va ?"."


"Les hommes ont peur que les filles prennent le pouvoir."


Les femmes, lancez la révolution !


"Les temps ont changé, il faut que les hommes se fassent à l'idée. Maintenant, les femmes travaillent comme les hommes. Le changement c'est maintenant !"


"Le sexisme" est un nom masculin qui signifie, la débilité de l'homme.


RTL VOUS RECOMMANDE
L'Internet vu par les enfants
Les mathématiques vues par les enfants


Par Lauriane Dervault
Journaliste RTL
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La discrimination contre les femmes persiste à travers le monde, entravant le développement -,femmes,sexisme,discrimination,racisme,

16 Août 2014, 14:04pm

Publié par hugo



Nouvelles
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La discrimination contre les femmes persiste à travers le monde, entravant le développement
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Date: 05 July 2012


Communiqué de presse d' ONU Femmes


Pour publication immédiate


05 July 2012


Contacts médias :


New York: Mandy Kibel, mandy.kibel[at]unwomen.org, +1 646 781-4522


New York, 5 juillet 2012—La discrimination sociale et juridique à l'égard des femmes demeure un obstacle majeur au développement économique dans les pays émergents et en développement, selon la dernière édition de l'Indice institutions sociales et Egalité homme-femme de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Des progrès ont été accomplis en matière des droits des femmes dans un certain nombre de pays. Dans d'autres les femmes se retrouvent toutefois toujours exclues d'une pleine participation à la vie sociale et économique.


Michelle Bachelet, Secrétaire générale adjointe et Directrice exécutive d'ONU Femmes, a présidé une discussion jeudi concernant les derniers résultats de l'Indice SIGI. S'exprimant lors d'une manifestation organisée au Siège d'ONU Femmes à New York, Mme Bachelet a souligné que la participation égale des femmes dans tous les domaines de la vie est essentielle à la démocratie et à la justice.


« Les résultats du dernier Indice SIGI constituent un outil précieux qui nous permet de mieux comprendre quels sont les domaines cruciaux, aux niveaux géographique, politique et culturel, sur lesquels il est nécessaire de travailler davantage en vue d'éliminer la discrimination à l'égard des femmes », a-t-elle indiqué. « L'OCDE est profondément engagée en faveur de l'égalité des sexes et de l'autonomisation des femmes. L'Indice SIGI en est un exemple éloquent. Nous continuerons à travailler de concert et à renforcer le partenariat entre ONU Femmes et l'OCDE ».


« Malgré les progrès prometteurs réalisés dans certains domaines, la discrimination à l'égard des femmes perdure à travers le monde », a affirmé Carlos Alvarez, Directeur adjoint du Centre du développement de l'OCDE, tout en présentant l'Indice au Siège d'ONU Femmes plus tôt dans la journée. « Les réformes juridiques, les incitations économiques et la mobilisation des communautés sont cruciales pour enrayer cette discrimination sociale et injustice économique ».


L'Indice SIGI montre clairement que les pays affichant des niveaux supérieurs de discrimination à l'égard des femmes sont également ceux qui obtiennent les moins bons résultats dans toute une gamme d'indicateurs du développement, y compris l'emploi, la participation des femmes à la main-d'œuvre, l'inscription à l'école secondaire pour les filles et les taux de mortalité infantile et maternelle.


Certaines formes de discriminations à l'égard des femmes demeurent généralisées. Sur les 121 pays couverts par l'Indice SIGI 2012, 86 ont des pratiques ou des lois sur l'héritage qui sont discriminatoires. En moyenne, environ la moitié des femmes de ces pays estiment que la violence domestique est justifiée dans certaines circonstances. Dans certains pays comme le Niger ou le Mali, plus de la moitié des filles gées entre 15 et 19 ans sont mariées. Un tel environnement constitue un obstacle considérable pour les femmes désirant faire des études et contribuer à leur bien-être et au progrès de leurs pays. Les pays dotés des taux les plus élevés de discrimination parmi ceux faisant l'objet d'un classement dans le cadre de l'Indice SIGI se trouvent en Afrique et au Moyen-Orient.


Des progrès ont été accomplis sur le plan de la réduction de la discrimination à l'égard des femmes depuis la première publication de l'Indice SIGI en 2009, même au sein des régions marquées par les plus grandes inégalités. Au Rwanda et en Afrique du Sud, par exemple, l'introduction de quotas politiques a permis une meilleure représentation des femmes dans le domaine politique. L'Afrique du Sud et le Maroc se trouvent parmi les pays où la condition sociale et juridique des femmes s'est considérablement améliorée au cours de ces dernières années. L'Afrique du Sud a introduit des réformes historiques dans ses lois sur l'héritage, se distinguant du reste de la région. Au Maroc, les réformes du Code familial ont permis d'accorder des droits égaux aux femmes dans le mariage, et le pays a également introduit des quotas pour favoriser la représentation politique des femmes.


Les pays d'Amérique latine et de l'Asie du Sud-Est ont tendance à obtenir des résultats relativement bons au niveau de l'Indice SIGI. Malgré ces résultats positifs, l'application des lois sur l'égalité des sexes demeure un défi en Amérique latine. Dans de nombreux pays d'Asie du Sud-Est, tels que la Chine et le Viet Nam, un préjugé en faveur des garçons, qui apparaît de manière évidente dans le nombre de femmes disparues et des préférences sur le plan de la fertilité, s'avère un problème persistant.


Quelques faits rapides sur les tendances positives dans les pays notés dans le SIGI 2012 :


En moyenne, le taux de mariage précoce a diminué, passant de 21 pour cent en 2009 à 17 pour cent en 2012,
Le nombre de pays dotés d'une législation spécifique en vue de lutter contre la violence domestique a plus que doublé, passant de 21 en 2009 à 53 en 2012,
23 pays sur 35 où la disparition de femmes a été identifiée comme un sujet de préoccupation en 2009 ont connu une amélioration à cet égard en 2012,
29 pays sont dotés de quotas en vue de promouvoir la participation politique des femmes aux niveaux national et sous-national.
… et sur les institutions qui continuent à limiter le potentiel des femmes et des filles.


L'autonomie des femmes en matière de procréation est limitée : en moyenne, 1 femme sur 5 n'a pas accès à la planification familiale,
Malgré de nouvelles lois, les comportements perpétuant la violence à l'égard des femmes perdurent, quelque 50 pour cent des femmes elles-mêmes estimant que la violence domestique est justifiée dans certaines circonstances,
En moyenne, les femmes détiennent seulement 15 pour cent des titres de propriété foncière dans les pays où les données sont disponibles.
L'Indice SIGI mesure la discrimination sous-jacente à l'égard des femmes au moyen de 14 indicateurs, y compris le mariage précoce, la violence sexiste et les droits de propriété des femmes. Alors que d'autres mesures de l'inégalité entre les sexes se focalisent sur les résultats tels que l ‘écart entre les sexes au niveau de l'emploi et de l'éducation, l'Indice SIGI s'intéresse aux institutions sociales discriminatoires, telles que les lois officielles et informelles, les normes et les pratiques sociales qui conduisent à des résultats inégaux pour les femmes et les filles.


Note aux journalistes


Pour de plus amples informations sur l'Indice SIGI :


Site Internet de l'Indice Institutions sociales et Egalité homme-femme (SIGI)
Classement SIGI par pays
Aperçu régional de l'Indice SIGI
Exemples d'informations propres aux pays émanant de l'Indice SIGI
Brochure sur l'Indice SIGI
Contacts médias :
Centre du développement de l'OCDE - Somali Cerise, somali.cerise@oecd.org, +33 (0)6 28 69 28 59
ONU Femmes - Mandy Kibel, mandy.kibel@unwomen.org +1 (0)646.781.4522


- See more at: http://www.unwomen.org/fr/news/stories/2012/7/discrimination-against-women-persists-around-the-globe-hampering-development#sthash.tPPu7aa0.dpuf

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80 % des femmes seraient victimes de sexisme au travail,emploi,femmes,sexisme,

14 Août 2014, 03:17am

Publié par hugo

80 % des femmes seraient victimes de sexisme au travail
PAR VICTORIA LAURENT / 17.12.2013 À 04H15 /

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80 % des femmes victimes de sexisme
Le Conseil supérieur de l'égalité professionnelle vient de publier une étude révélant que 80 % des femmes seraient victimes de sexisme en entreprise. Crédits : Getty
"Ma cocotte", "ma puce"... sont autant de clichés sexistes qui sévissent en entreprise. Selon une étude publiée aujourd'hui par le Conseil de l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes, 80% des femmes salariés seraient victimes de sexisme.


Le verdict du Conseil supérieur de l'égalité professionnelle est tombé aujourd'hui : 8 femmes sur 10 seraient confrontées à des comportements sexistes dans leur environnement professionnel. L'étude, menée sur près de 7500 femmes par la société de sondage LH2 et qui doit être rendue dans la journée à la ministre du Droit des femmes, révèle que les clichés ont la peau dure en entreprise.
#VuLu//80% des #femmes seraient victimes de #sexisme dans leur #entreprise


Le sondage a interrogé neuf entreprises françaises : LVMH, Orange, SNCF, Air France, Radio France, France Télévisions, RATP, GDF Suez, La Poste. Il dévoile que du côté des phrases stéréotypées, 81% des femmes ont déjà entendu au sein de leur entreprise des jugements comme "elle est hystérique" ou "elle est pire qu’un homme". Mais ce n'est pas tout, si l'on vous a déjà surnommé "ma cocotte", "ma puce" ou "ma petite", vous partagez le même sort que 49 % des femmes. D'ailleurs, les blagues les plus graveleuses et évidemment les plus répandues sont celles qui s'attaquent au physique. Des phrases comme "elle fait sa blonde" ou "ne fais pas ta blonde" ont été entendues par 69% des femmes interrogées, et le célébrissime et très délicat : "elle est de mauvaise humeur, elle doit avoir ses règles" par 59% ! Si cette image machiste de l'entreprise n'est pas nouvelle, cette étude prouve néanmoins que le sexisme perdure et peut avoir des conséquences néfastes. En effet, le sondage a également révélé que 92 % des femmes interrogées estimaient que ces agissements sexistes avaient "un impact sur la confiance en soi des salariés".
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Le sexisme au travail touche huit femmes sur dix,emploi,sexisme,

14 Août 2014, 03:09am

Publié par hugo

Le sexisme au travail touche huit femmes sur dix


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SOCIÉTÉ - 1min 03s - Le 18 déc. 2013 à 10h46
"Ma petite", "fais pas ta blonde", "elle doit avoir ses règles"... : huit femmes sur dix (80%) considèrent que "les femmes sont régulièrement confrontées à des attitudes ou des décisions sexistes" dans le monde du travail en France selon une étude publiée mardi.


Source vidéo : Le sexisme au travail touche huit femmes sur dix
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Le sexisme en entreprise est-il encore tabou ?,femmes,sexisme,

12 Août 2014, 01:11am

Publié par hugo

Accueil / Société


Le sexisme en entreprise est-il encore tabou ?


A l'occasion de la Journée internationale des droits des femmes, francetv info s'intéresse aux discriminations des femmes au travail. Entretien avec Brigitte Grésy, auteure du "Petit traité contre le sexisme ordinaire".


Selon une étude de l'institut de sondage LH2 pour le Conseil supérieur de l'égalité professionnelle, 54% des femmes estiment avoir rencontré un frein professionnel en raison de leur sexe.
Selon une étude de l'institut de sondage LH2 pour le Conseil supérieur de l'égalité professionnelle, 54% des femmes estiment avoir rencontré un frein professionnel en raison de leur sexe. (JON FEINGERSH / BLEND IMAGES)
Par Tatiana Lissitzky
Mis à jour le 08/03/2014 | 16:55 , publié le 08/03/2014 | 14:39
"Ma petite", "cocotte", ""Tu es enceinte ? Mais je croyais que tu aimais ton travail !"... Les propos et les actes sexistes ont la vie dure en entreprise et dans la vie quotidienne. Mais ces comportements et ces petites phrases lancées parfois sans trop réfléchir ou sur le ton de l'humour ne sont pas sans conséquences sur les carrières et le bien-être des femmes.


Le Conseil supérieur de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes (CSEP), qui avait commandé une étude sur le sexisme en entreprise en décembre 2013, a rendu le 4 mars 2014 ses premières préconisations. Alors comment lutter contre le sexisme au quotidien et comment le reconnaître ? Francetv info a demandé à Brigitte Grésy, secrétaire générale du CSEP, auteure de Petit traité contre le sexisme ordinaire (Albin Michel) et de La vie en rose, pour en découdre avec les stéréotypes (à paraître le 3 avril), quelques explications.


Francetv info : Qu'est-ce que le sexisme ?


Brigitte Grésy : Le sexisme est une idéologie qui érige la différence de sexe en différence fondamentale et qui implique un jugement négatif sur l'intelligence, les compétences ou les aptitudes des personnes. Mais arriver à le définir dans ses manifestations concrètes est très compliqué. La frontière est mince entre l'humour, la séduction et le sexisme. Mais l'humour comme la séduction, cela se joue à deux. C'est un dialogue bilatéral. A l'inverse, l'humour sexiste ou la séduction sexiste se jouent sans donner à l'autre la possibilité de répondre.


Comment se manifeste-t-il ?


Le sexisme se manifeste par des attitudes, des propos et des comportements qui décrédibilisent, délégitiment ou infériorisent les femmes dans le monde du travail. C'est de la discrimination ! Le sexisme crée un traitement différent pour des personnes qui sont pourtant dans une même condition.


Il y a tout un éventail de manifestations sexistes, entre se faire appeler "ma poulette" et ne pas se voir attribuer une mission ou être ignorée en réunion parce qu'on est une femme. Il existe tout un continuum assez subtil de comportements sexistes. Toute la difficulté est là. Il est difficile de prouver que l'on n'a pas eu tel ou tel dossier parce qu'on est une femme. L'une des missions du Conseil supérieur de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes est de définir le sexisme pour le reconnaître, le cerner et le combattre.


Peut-on être sexiste sans s'en rendre compte ?


Je ne crois pas. Il y a toujours une intention de nuire. Lorsque l'on tient des propos ou que l'on adopte une attitude sexiste, c'est dans l'intention de blesser et de différencier l'autre. Les femmes le ressentent bien. Elles sont certaines que c'est du sexisme lorsqu'elles se sentent blessées ou lorsqu'elles ressentent un malaise. Le sexisme atteint et fait souffrir car on a du mal à l'identifier, on ne sait pas répondre ni comment réagir à une atteinte qui est due à notre sexe et non à nos compétences ou à notre personnalité.


Peut-on être une femme et être sexiste ?


Bien sûr ! Le sexisme n'est pas l'apanage des hommes. Les femmes comme les hommes véhiculent des stéréotypes sexistes contre d'autres femmes. La grande consultation nationale – effectuée en décembre dernier, auprès de 15 000 salariés de neuf grandes entreprises – montre que 33% des actes de sexismes sont ressentis comme étant autant le fait des femmes que des hommes. Les femmes ne sont pas des saintes, elles sont aussi en rivalité entre elles dans les entreprises et exercent une lutte de pouvoir qui se manifeste parfois par une volonté de blesser avec des propos ou des actes sexistes.


Quelle est la différence entre la galanterie et le sexisme ? Est-ce du sexisme de complimenter une femme sur sa tenue ? Lui tenir la porte ? Payer l'addition ?


La galanterie relève de la séduction. Il y a une grande différence entre la séduction et la fausse séduction qui s'apparente à du sexisme. La séduction est un dialogue à deux. Lorsque l'on vous complimente sur votre tenue, c'est agréable et vous pouvez être flattée. Vous pourrez alors répondre en complimentant la cravate du monsieur. Il n'y a aucune volonté de stigmatiser l'autre. De la même façon, tenir la porte à une femme est une forme de respect. C'est un peu différent pour l'addition. Lorsqu'il la paie, l'homme est plus encore dans la séduction. C'est une histoire de code. Nous ne demandons pas l'égalité totale. Les hommes et les femmes sont différents, ils ont des codes et des marqueurs différents. Mais pour que les hommes ne soient pas dans la toute-puissance, il ne faut pas instrumentaliser ces différences, car les stéréotypes limitent les champs du possible.


N'y a-t-il pas un risque de tomber dans des relations complètement aseptisées entre les hommes et les femmes ?


Nous sommes très loin des codes de gouvernance à l'américaine où vous risquez un procès si vous touchez le bras d'une femme, et nous n'en serons jamais là. Il faut maintenir les codes amoureux et les codes de séduction, mais à condition d'avoir conscience que ce sont des codes. Et il faut bannir tout ce qui ramène les femmes à un manque de compétence de par leur sexe ou ce qui fige l'autre dans un rapport de force.


Cela peut paraître anodin d'appeler une salariée "ma petite", et pourtant ces propos s'ancrent dans un rapport de force paternaliste. Le sondage de décembre, montre que les interpellations familières de ce type sont perçues par 58% des femmes comme bienveillantes, mais que 55% des concernées les trouvent inappropriées. Donc la remarque peut être à la fois gentille et déplacée. Le plus dangereux, ce n'est pas l'expression que vous pouvez relever et contrer aisément, mais plutôt le sexisme sournois qui marginalise la femme de façon insidieuse.


Pourquoi concentrer les efforts de la lutte contre le sexisme dans les entreprises ?


Le sexisme n'est évidemment pas cantonné aux entreprises. Il est fondé sur des stéréotypes de sexe qui se construisent dès le plus jeune âge. On apprend très jeune à inférioriser la femme. L'éducation et la sensibilisation au sujet doivent donc se faire très tôt. Cet enjeu touche en réalité l'ensemble des sphères de la société où les représentations stéréotypées sont véhiculées : le sexisme s'exprime aussi bien par le harcèlement de rue que dans la famille, par des traitements différenciés entre les petites filles et les petits garçons, dans les magasins où le vendeur s'adressera plus aisément à l'homme pour parler technologie, ou encore dans les médias ou la publicité.


Mais la question du sexisme a été très peu abordée en entreprise, où elle reste un tabou. Le harcèlement moral ou sexuel est clairement défini et il existe des dispositifs juridiques avec la possibilité de porter plainte. Mais aucun recours juridique n'existe contre le sexisme alors qu'il a aussi des conséquences et provoque des souffrances.


Comment une femme peut-elle réagir quand elle est victime de sexisme ?


Il faut avant tout savoir le reconnaître et le distinguer. Il y a ensuite deux façons de réagir. Une bonne et une mauvaise. La mauvaise consiste à basculer dans "l'affrontement". C'est-à-dire à répliquer du tac au tac, à pleurer ou carrément à quitter la pièce. Ce genre de comportement entraîne inévitablement un effet boomerang qui peut aboutir à une escalade sans issue.


Je conseille donc la "confrontation", dont le préfixe "con" vient du latin "avec". Au lieu de se mettre en face, on se met à côté de l'autre. Il faut être dans le "je", dans le ressenti pour montrer que l'on est blessée. Expliquer : "Je suis triste quand tu ne reconnais pas mon travail" ou encore " Ce genre de propos pénalise notre relation professionnelle". Il faut éviter de répliquer par l'agressivité. Le mieux, si vous êtes confrontés à un acte sexiste qui vous a blessée, est de laisser passer la nuit pour vous calmer et mieux verbaliser. Parlez-en à une personne de confiance pour bien comprendre et ne pas être dans la surinterprétation. Puis, le lendemain, essayer la technique de la "confrontation". Mais sachez qu'il y aura toujours des hommes qui seront sourds à vos revendications et qui continueront malgré tout.


Quel doit être le rôle des pouvoirs publics dans la lutte contre le sexisme ?


C'est tout l'objet de l'avis rendu par le CSEP. Quatre types de préconisations ont été rendus. Nous souhaitons mieux rendre visible le phénomène en inscrivant ces réflexions dans les grandes enquêtes nationales, comme celles de l'Insee. Nous proposons de monter un groupe de travail pour mieux définir le sexisme, de sensibiliser à la question au sein des entreprises et de développer les recours. Mais il faut aussi développer les voies d'expression, inciter les femmes à faire appel à un supérieur hiérarchique ou à un DRH en cas de souffrance liée au sexisme.


C'est la première fois que les partenaires sociaux et des responsables politiques se réunissent autour de la table pour aborder la question et c'est déjà une avancée en soi. Nous réfléchissons aussi à trouver une qualification juridique au sexisme





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"Salut poupée" ou le sexisme ordinaire au travail,femmes,sexisme,emploi,

12 Août 2014, 00:50am

Publié par hugo

Infos > France
"Salut poupée" ou le sexisme ordinaire au travail


Par Alexis Toulon avec AFP
Publié le 17 décembre 2013 à 14h00
Mis à jour le 17 décembre 2013 à 14h00

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© MaxPPP
Les femmes sont confrontées à des discriminations quotidiennes sur leur lieu de travail. Une situation intenable.


L’égalité homme femme est un combat de longue haleine. Discriminations salariales, plafond de verre, la différence de sexe est un problème dans la carrière professionnelle des femmes. Sans compter qu’au quotidien, les propos et actes sexistes se sont confortablement installés sur les lieux de travail, comme le montre une étude de l'institut de sondage LH2 pour le Conseil supérieur de l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes (CSEP) publiée mardi. Florilège.


Le sexisme, un ressenti féminin nié par l’homme. Huit femmes sur dix (80%) considèrent que "les femmes sont régulièrement confrontées à des attitudes ou des décisions sexistes" dans le monde du travail en France, d'après l'étude menée principalement auprès de cadres. Par contre, à peine 56% des hommes en ont conscience… et 13% d’entre eux estiment que ce sexisme est même normal car il fait « partie du jeu des relations » homme/femme. Triste constat : 13% des femmes pensent la même chose.


Une carrière pénalisée. 54% des femmes estiment avoir rencontré un frein professionnel en raison de leur sexe. Au quotidien, cela se traduit par une absence d'augmentation ou de prime (36%), de promotion (35%), d'attribution de mission (31%), etc. Sans compter les situations où elles servent à décharger les hommes des tâches ingrates : 46% disent avoir déjà eu le sentiment d’être chargée de tâches dévalorisantes ou sous-estimées par rapport à leurs compétences, de manquer d'autonomie...


Un bon mot bien cliché. C’est bien connu, une femme avec des responsabilités, n’est pas une femme comme les autres pour les hommes. La preuve : 81% des femmes et 59% des hommes ont déjà entendu dans leur environnement professionnel des jugements comme "elle est hystérique" ou "elle est pire qu'un homme" à propos de femmes qui exercent des responsabilités.


Une femme reste une poupée biologique. Forcément si une femme demande à un homme de répéter une explication (probablement bancale), c’est que son intellect est insuffisant. Heureusement, le mâle pourra pédagogiquement utiliser le "elle fait sa blonde" ou "ne fais pas ta blonde" pour régler le problème. Ce type de phrases a été entendu par 69% des femmes interrogées. Si elle avait la mauvaise idée de signaler avec énervement que ce comportement n’est pas supportable et discriminatoire, l’homme pourrait répondre en fin analyste qu’"elle est de mauvaise humeur car elle doit avoir ses règles". En tout cas 59% des femmes ont déjà entendu cette phrase.


En bon paternaliste phallocrate, l’homme donne des surnoms. "Ma cocotte", "ma puce", "ma petite" ... Une femme interrogée sur deux (49%) affirme qu'un homme l'a déjà interpellée en utilisant un surnom sexiste au travail, et 38% des hommes affirment en avoir été témoins.


Un sexisme lourd de conséquence. L’homme est sûr de lui et, de toute façon, dans son bon droit. De toute façon ce n’est pas méchant… Malgré cette (piètre) barrière de défense, le sexisme quotidien peut "modifier le comportement des salariés" (93%), avoir "un impact sur la confiance en soi" (92%) et déstabiliser "le travail de ceux qui les subissent" (92%). Bref un comportement réactionnaire qui abêtit l’homme et pénalise l’entreprise. Peut être que ces arguments suffiront à faire changer les mentalités si l’égalitarisme n’arrive pas à trouver le chemin du cerveau masculin.


L'étude a été réalisée à partir de deux enquêtes: un sondage national mené par internet du 12 au 18 septembre auprès d'un échantillon représentatif de 1.000 cadres (39% de femmes et 61% d'hommes) travaillant au sein d'établissements de 250 salariés et plus; une consultation en ligne réalisée du 24 septembre au 12 novembre auprès de 14.651 salariés (92% de cadres, 55% de femmes et 45% d'hommes) de neuf entreprises françaises (LVMH, Orange, SNCF, Air France, Radio France, France Télévisions, RATP, GDF Suez, La Poste).


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Sexisme au travail : "Mets des pantalons plus moulants pour le client !",femmes,sexisme,

11 Août 2014, 23:40pm

Publié par hugo

Sexisme au travail : "Mets des pantalons plus moulants pour le client !"
MIS À JOUR : 17-12-2013 19:11 - CRÉÉ : 17-12-2013 18:03
TEMOIGNAGES - Nous vous avons demandé de nous raconter vos expériences de sexisme au travail, suite à une étude publiée mardi. Sélection de vos témoignages.


70
15
20


L'étudiante en design Rosea Lake avait fait cette photo montrant selon elle, ce que pensaient les machos en fonction de la longueur de sa jupe. L'étudiante en design Rosea Lake avait fait cette photo montrant selon elle, ce que pensaient les machos en fonction de la longueur de sa jupe. Photo : DR
Selon un récent sondage, huit femmes sur dix se disent victimes de sexisme au sein de leur entreprise. Nous vous avons demandé de nous raconter vos expériences en la matière. Voici quelques extraits.


Mélanie R.
"Au moment de mon embauche, l'un de mes supérieurs m'a mise en garde sur le fait de tomber enceinte. Lors d'une réunion avec le client chez qui j'allai travailler, il a été jusqu'à lui dire, devant moi et mes deux collègues féminines : "S'il le faut on leur fera boire l'eau de la Seine, il paraît que ça rend stérile !"


Quand d'autres internautes de metronews demandent à Mélanie R. pourquoi elle ne lui a pas mis une gifle, elle explique : "J'aurais aimé le faire mais je venais d'être embauchée après un an de recherche d'emploi alors j'ai fermé ma gueule et mis cela sur le compte d'un humour de très très mauvais goût !"


Lucie B.
"Premier jour de boulot, mon chef me fait une remarque sur les peines de cœur, comme quoi je dois les laisser à la maison. Puis, pendant des mois, j'ai eu à subir des remarques sur le fait que j'étais jolie, des comparaisons entre des îles flottantes et ma poitrine, des jeux de mots comme quoi telle chose ne "casse pas trois pattes à un canard mais que moi il me casserait bien deux pattes". Aussi, il m'a dit sur le ton de l'humour "de mettre des pantalons plus moulants parce qu'un client trouvait que sinon je n'avais pas assez de fesses". Mon patron avait aussi dit à des clients qui lui demandaient ce qu'il regardait : "bah le cul !" (...) De même, il m'appelait "ma Lulu" "ma Luce" "mon petit bouchon" etc... Et le jour d'un entretien préalable au licenciement, je lui ai dit que cela me dérangeait et bien sûr il a tout nié en bloc en disant que JAMAIS il ne se permettrait d'avoir un tel comportement à mon égard et a pris le second de cuisine à témoin qui bien sûr, a tout nié aussi."


Gwen
Après des mois de recherches d'emploi, je suis tombée sur un "adorable" patron qui "rêvait de me violer". J'ai tenu bon le temps de la mission intérim. Par la suite, j'ai eu droit à "Poulette de course". Je ne suis pas restée non plus. L'intérim a fait semblant de comprendre pourquoi je ne suis pas restée sur ces deux postes. Depuis, je n'ai plus aucune proposition de travail de leur part.




PIERRE BOHM
metronews.fr
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Etes-vous victime de sexisme au travail?,femmes,sexisme,emploi,

11 Août 2014, 23:34pm

Publié par hugo

Emploi Gestion de Carriere
Etes-vous victime de sexisme au travail?
Par LEXPRESS.fr avec AFP, publié le 17/12/2013 à 09:36


"Cocotte", "Barbie", "hystérique"... Huit femmes sur dix ont déjà été confrontées à des attitudes ou des décisions sexistes. Et vous, en avez-vous déjà été victime ou témoin dans votre environnement professionnel? Témoignez.


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Etes-vous victime de sexisme au travail?
80% des sondées considèrent que "les femmes sont régulièrement confrontées à des attitudes ou des décisions sexistes" dans leur travail.
REUTERS/Ralph Orlowski
Hystérique", "cocotte", "Barbie", "Elle doit avoir ses règles", "Fais pas ta blonde", "Ma puce"... Propos et actes sexistes sévissent au travail et ont un impact sur les carrières des femmes, selon les résultats d'une étude de l'institut de sondage LH2 pour le Conseil supérieur de l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes (CSEP), publiée ce mardi 17 décembre.


Huit femmes sur dix (80%) considèrent que "les femmes sont régulièrement confrontées à des attitudes ou des décisions sexistes" dans le monde du travail en France, contre 56% des hommes, d'après l'étude menée principalement auprès de cadres.


Plus de la moitié d'entre elles (54%) estime avoir rencontré un frein professionnel en raison de leur sexe et 46% disent avoir déjà eu le sentiment d'être traitée différemment dans certaines situations: être chargée de tâches dévalorisantes ou sous-estimée par rapport à leurs compétences, manquer d'autonomie...


Surnom sexiste pour une femme sur deux
81% des femmes ont déjà entendu dans leur environnement professionnel des jugements stéréotypés. Beaucoup de remarques sont focalisées sur l'intellect, l'humeur ou le physique. Une femme interrogée sur deux (49%) affirme qu'un homme l'a déjà interpellée en utilisant un surnom sexiste au travail.


Pour les femmes interrogées, les manifestations sexistes "peuvent modifier le comportement des salariés" (93%), "ont un impact sur la confiance en soi" (92%) et "déstabilisent le travail de ceux qui les subissent" (92%).


Et vous, avez-vous déjà été victime ou avez-vous assisté à des propos et actes sexistes dans votre environnement professionnel? Comment le vivez-vous? Etre une femme vous semble-t-il être un frein professionnel? Témoignez dans les commentaires.


Avec


En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/emploi/gestion-carriere/etes-vous-victime-de-sexisme-au-travail_1308164.html#hMOPzbuMLxJeO7lG.99

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