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Les papas qui refondent une famille seraient moins présents pour leurs premiers enfants,papas,enfants,bebes,

22 Novembre 2013, 02:36am

Publié par hugo

Les papas qui refondent une famille seraient moins présents pour leurs premiers enfants
Les papas qui refondent une famille seraient moins présents pour leurs premiers enfants 1 père sur 20 ne vivrait pas avec ses enfants20/11/2013
Une étude britannique montre que les pères démarrant une nouvelle vie sont plus susceptibles de perdre contact avec leurs enfants issus d’une précédente union…
Quand ils fondent une nouvelle famille, les pères seraient moins présents pour leurs enfants issus d’une précédente union. C’est ce que révèle une étude ordonnée par le Conseil de recherche économique et social du gouvernement anglais. Plus d’un homme sur 5, vivant avec sa nouvelle famille, ne verrait jamais ses premiers enfants, et un tiers de ces pères avoue ne pas entretenir une relation proche avec eux. Au total, 130 000 papas sont dits « absents » de la vie de leurs enfants, n’ayant aucun contact avec eux. Afin de justifier ces résultats, les chercheurs avancent que les pères s’occuperaient moins des enfants qui n’habitent pas sous leur toit, ou ne pourraient assumer financièrement plusieurs familles. Ces chiffres, inquiétants au vu du nombre croissant de divorces, précisent cependant que les pères séparés qui restent seuls gardent un contact suivi, 86 % d’entre eux restant proches des enfants issus de leur relation antérieure. L’étude s’est basée sur les données de plus de 5 000 familles, depuis deux décennies.
Source: Daily Mail Auteur : Margot Pugin > COMMENTER5
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Une petite fille de 2 ans expulsée de l'école car... elle a deux papas,femmes,filles,papas,peres,

17 Octobre 2013, 02:58am

Publié par hugo

Une petite fille de 2 ans expulsée de l'école car... elle a deux papas
Une petite fille de 2 ans expulsée de l'école car... elle a deux papas Une fillette de deux ans a été expulsée d’une école privée parce que ses parents sont deux papas gay16/10/2013
Le site de CNN news dévoile qu’une fillette de deux ans a été renvoyée de son école maternelle, au Mexique, car ses parents sont gay !
Le Mexique ne rigole pas avec l’homoparentalité. Dans la ville de Monterrey, une fillette de deux ans a été expulsée d’une école privée parce que ses parents sont deux papas gay ! Depuis, l’affaire fait débat. Alex, 28 ans, et Pepe, 39 ans, se sont mariés à Mexico City et ont gardé la fille biologique d’Alex. La direction de l’école maternelle privée « The Hills Institute » avait accepté tout d’abord d’accueillir la fillette à condition que les deux hommes cachent leur situation maritale. Mais l’un des deux parents, Pepe, a refusé en expliquant que cela le priverait des activités de l’école et des réunions de parents d’élèves.
Le couple a donc refusé ces conditions et, deux jours plus tard, leur fille a été renvoyée. Depuis, ils sont à la recherche d'une école alternative, tout en essayant de lui expliquer pourquoi elle ne peut plus voir ses amis. Très remontés, Alex et Pepe ont décidé de porter plainte. Ils ont saisi le secrétaire d’Etat de l’Education par le biais de la communauté LGBT*, pour dénoncer l’éviction de leur petite fille de l’école pour des raisons discriminantes.
Pourtant, au Mexique, la loi est claire : l’article 1 de la Constitution mexicaine stipule que « la discrimination sur la base de l'origine ethnique ou nationale, le sexe, l'âge, l'état d'incapacité, le statut social, la santé, la religion, les convictions politiques, l'orientation sexuelle, l'état civil ou dans tout autre domaine qui porte atteinte à la dignité humaine ou diminue les droits ou les libertés du peuple, est interdite ».
LGBT : Fédération des lesbiennes, gays, bi et trans
Source : CNN
La vidéo sur CNN News
Auteur : Christine Diego Hernandez > COMMENTER5
Plus d'actus16/10/2013 Grande-Bretagne : les plats pour bébés trop riches en aluminium16/10/2013 La dépression de la mère rendrait les enfants dépressifs

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Congé paternité : 9 pères sur 10 n'en prennent pas la totalité,peres,papas,conges de paternites,

5 Octobre 2013, 05:30am

Publié par hugo

Par Ide Parenty - Publié le 4 octobre 2013
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Congé paternité : 9 pères sur 10 n'en prennent pas la totalité

© Thinkstock




Alors que la réforme du congé parental visant à inciter plus de pères à le prendre vient d'être votée au Sénat, le cabinet de recrutement spécialisé Robert Half a voulu s'intéresser à la pratique du congé paternité. Résultat, si deux tiers des pères le prennent (IGAS), ils sont aussi 90% à ne pas l'utiliser en totalité.


Les pères ne sont pas convaincus par le congé parental, mais qu’en est-il du congé paternité ? Une étude du cabinet Robert Half, leader mondial du recrutement spécialisé, révèle que 90% des nouveaux pères n’utilisent pas la durée totale de leur congé paternité. Un droit pourtant en place depuis 2002 qui permet aux nouveaux pères de prendre 11 jours dans les 4 mois suivants la naissance de l’enfant. Pour les auteurs de l’étude, « ce pourcentage démontre que le congé paternité n’est pas encore considéré au même titre que d’autres droits. Il demeure associé à un confort personnel, susceptible d’être interprété comme un désengagement professionnel temporaire ».
>> Congé paternité : homo ou hétéro, marié ou non, tout conjoint peut en bénéficier <<


Et selon les DRH interrogés par l’étude, cette sous-utilisation du congé paternité s’expliquerait en premier lieu par des considérations financières (44,5%), mais aussi par la pression sociale (40,5%) et par la crainte d’une perception négative dans leur environnement professionnel (24%). « Comme toute évolution sociétale, le congé paternité est soumis à la force des représentations culturelles et sociales. Il subit aussi le poids conjoncturel de la situation économique qui explique l’hésitation des salariés à en profiter pleinement », écrivent les auteurs de l’étude.


46% des pères actifs pourraient choisir le télétravail pour améliorer leur vie de famille
Les pères pourtant semblent de plus en plus en demande d’aménagement d’horaires pour mieux concilier vie professionnelle et vie privée. Quatre DRH sur dix ont ainsi noté une hausse des demandes de flexibilité chez les papas : « Malgré la persistance de réticences, une évolution des comportements apparaît : une meilleure flexibilité (horaires flexibles, télétravail/travail à distance…) serait souhaitée. Là aussi, l’image du père et du salarié change. L’environnement économique pourrait également inciter les nouveaux pères à privilégier davantage leur famille », note les auteurs de l'étude. Des chiffres en adéquations avec l’étude CSA-Terrafemina sur les Working dads qui révélait que 46% des pères actifs pourraient choisir le télétravail pour améliorer leur vie de famille et que 63% d'entre eux aimeraient pouvoir aménager leurs horaires pour passer plus de temps avec leurs enfants.


VOIR AUSSI
Congé paternité : homo ou hétéro, marié ou non, tout conjoint peut en bénéficier
Congé parental, télétravail... Ces pères qui réussissent à concilier vie pro et vie perso
Working Dads : paroles de papas hyper impliqués et débordés
Réforme du congé parental : pour des pères plus impliqués

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Réforme du congé parental : pour des pères plus impliqués,peres,enfants,

17 Septembre 2013, 23:38pm

Publié par hugo

Réforme du congé parental : pour des pères plus impliqués

© iStock




Alors que seuls 3% des hommes prennent un congé parental, 89% des Français sont d'accord pour considérer que ce serait une bonne chose de mieux partager ce congé entre le père et la mère. Tandis que les discussions au Sénat sur le projet de loi relatif à l'égalité entre femmes et hommes démarrent, la ministre des Droits des femmes Najat Vallaud-Belkacem rencontrait lundi matin associations, employeurs et chercheurs pour lancer la mobilisation. Objectif : plus impliquer les pères dans la vie familiale.


C’est cet après-midi que le Sénat commence l’examen du projet de loi cadre sur l’égalité hommes-femmes. Au cœur de ce projet de texte, la réforme du congé parental portée par la ministre des Droits des femmes Najat Vallaud-Belkacem, qui a pour objectif d’instaurer six mois de partage obligatoire entre les parents et de plus impliquer les pères dans l'éducation de leurs enfants. À cette occasion, l’Ifop publiait ce lundi un sondage dévoilant que 89% des Français considèrent justement que ce serait une bonne chose de mieux partager le congé parental entre le père et la mère. Or ils sont une large majorité (56%) à estimer que les entreprises n’aident pas suffisamment les hommes qui souhaitent plus s’investir dans leur rôle de père. On assiste à une « revendication croissante des hommes pour trouver cet équilibre, cette conciliation entre vie professionnelle et vie personnelle », souligne la ministre. Comment partager au mieux le temps de vie domestique, quand on sait qu’en 25 ans, le temps qui y est consacré par les hommes a seulement augmenté de l’ordre de 6 minutes par jour ?


Des hommes qui veulent plus s’investir dans leur rôle de père
Selon Najat Vallaud-Belkacem si les freins sont encore nombreux, beaucoup peuvent être levés dans le milieu professionnel. « Les hommes aussi pâtissent des normes masculines qui régissent l’entreprise », souligne-t-elle. Ce que confirme Brigitte Grésy, inspectrice générale des affaires sociales et co-auteure du rapport sur « le poids des normes masculines sur la vie professionnelle en entreprise », en parlant d’une « paternité dissuadée » pour les hommes. Heureusement selon elle, petit à petit l’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle est devenu central. « Ce qui crée un consensus plus fort aujourd’hui, ce sont les attentes et le discours : l’égalité est perçue comme un principe de transformation de l’entreprise fort », affirme-t-elle. Associations et entreprises prennent conscience de leur rôle à jouer dans l’égalité professionnelle et multiplient les initiatives en ce sens. Ainsi, l’association « Mercredi C papa » organise des cercles « Happy men », groupes de rencontres masculins dans l’entreprise dans lesquels les hommes prennent des engagements en faveur de l’égalité professionnelle. « Notre objectif est de leur montrer qu’ils sont gagnants en tant que pères et hommes en défendant l’égalité hommes femmes au travail », explique Antoine de Gabrielli, qui l’assure : les hommes aussi doivent « chercher à tout réussir ».


Du point de vue des entreprises
Du côté des entreprises, les choses changent aussi, petit à petit. Laurent Depond, directeur de la diversité chez Orange, rapporte avoir mené une réflexion sur la « paternité dans l’entreprise, son impact sur la carrière, l’équilibre entre vie pro et vie perso ». L’objectif ? Dépasser les stéréotypes qui veulent qu’ « un homme qui prend un temps partiel ne fait pas carrière », ou qu’un « homme qui prend un congé paternité passe pour un collaborateur désengagé ». « C’est un climat à faire évoluer pour aller dans le sens d’une plus grande égalité professionnelle », rapporte-t-il. Chez Bouygues construction, Didier Rabiti l’assure : « Tant que la parentalité restera un sujet de femmes, on n’avancera pas ». Parmi les clefs mises en place dans l’entreprise : « S’assurer que la communication autour de l’égalité professionnelle ne soit pas uniquement ciblée sur les femmes, il faut que les hommes se sentent concernés. » À la Poste, Sylvie Savignac chef de projet Mixité-Diversité insiste également : « Il faut veiller à ne pas stigmatiser la femme comme la personne qui présente un risque d’absence », au moment du recrutement notamment. Ce sur quoi rebondit Najat Vallaud-Belkacem en dénonçant l’« effet réputation » dont les femmes sont victimes : parce qu’elles sont « susceptibles de s’interrompre un jour pour leur maternité », on leur propose un salaire inférieur à celui d’un homme, ou elles n’ont pas accès aux mêmes promotions. Mieux partager le congé parental, c’est aussi envoyer ce message : les hommes peuvent consacrer du temps à leurs enfants tout en menant leur carrière de front. Reste à convaincre les 97% de papas qui jusque-là ont préféré laisser de côté leur droit au congé parental.




VOIR AUSSI
Congé parental : la réforme de la discorde
Congé parental : un papa sur deux n'est pas intéressé
Congé parental : "L'idéal serait 6 mois pour la mère, 6 mois pour le père"
Congé parental : 100 000 pères concernés en 2017, espère Vallaud-Belkacem

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Papa est souvent en voyage...,papa,famille,enfants,bebes,femmes,

1 Septembre 2013, 03:40am

Publié par hugo



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Papa est souvent en voyage...
Papa est souvent en voyage...
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05.08.13 - Certains pères sont très souvent absents pour raisons professionnelles. Un défi pour les relations père-enfants.
«Papa voyage beaucoup. Il part quasiment chaque semaine dans plein de pays différents. Maman, elle, s’est arrêtée de travailler, pour être à la maison avec nous. Dans notre famille, il y a Emma (14 ans) Laura (12 ans), Lillah (4 ans) et moi, Zachary (8 ans).
C’est dur que papa soit loin chaque semaine. Surtout que je suis le seul garçon quand il n’est pas là... J’aime beaucoup mon papa et je voudrais bien qu’il soit là tout le temps. Mais c’est la vie et je sais qu’il travaille aussi pour nous, pour que nous ne manquions de rien.




Bon, avec maman et mes sœurs, nous essayons de faire des trucs pour qu’il nous manque un peu moins. Déjà, nous avons affiché une mappemonde dans la cuisine. Nous mettons des punaises partout où papa voyage. Comme ça, nous savons où il est. Il nous prévient toujours avant et nous cherchons ensemble sur la carte où ça se trouve. Maman dit que c’est bien pour la géographie, en plus. Et il nous ramène toujours un t-shirt du pays où il est allé. Nous en avons une grande collection. Nous nous téléphonons souvent. Et en plus, maintenant, avec la technologie comme dirait maman, on peut se parler et se voir en même temps. Nous essayons de faire ça le plus possible, mais parfois c’est dur. A cause du décalage horaire.
Mon papa fait parfois à ma petite sœur le même nombre de bisous que de jours d’absence Ça lui fait du bien, à Lillah. Et à papa aussi, je crois. Et puis, nous aimons bien avoir des photos de lui et les regarder. Nous nous rappelons toutes les choses que nous faisons avec lui, et ça nous aide à patienter.
Mais surtout, nous profitons de lui à fond quand il est là. J’essaie d’être tout le temps avec lui et de jouer beaucoup avec lui. Je sais bien que même s’il est loin, il est toujours mon papa et qu’il m’aime. Et je pense bien qu’un jour, il voyagera moins souvent. Et alors on se verra plus!»
Zachary


Est-ce que l’histoire de Zachary vous est familière? Voici quatre conseils pour vous permettre d’aider vos enfants s’ils sont régulièrement séparés de leur père.


1. Expliquer les raisons de l’absence
Un adulte a sa date de départ inscrite sur son agenda, il a préparé ses affaires, etc. Mais les choses sont beaucoup plus vagues pour l’enfant: un soir papa est là, le lendemain il n’y a plus personne! Ou alors il ne sait pas. Sans faire une conférence de presse, le papa doit toujours prendre quelques minutes pour expliquer à son enfant qu’il part et lui dire combien de temps cela va durer. Il est nécessaire que l’enfant comprenne que le travail de son papa est important et que celui-ci, même s’il est au bout du monde, continue de l’aimer et de penser à lui.


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Futurs papas, vous aussi pensez à l’acide folique !,bebes,santes,papa,peres

11 Août 2013, 16:30pm

Publié par hugo

Futurs papas, vous aussi pensez à l’acide folique !
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Un couple s'enlace dans la rue

Déjà recommandée aux futures mamans pour prévenir le spina-bifida, une malformation congénitale du foetus, la vitamine B9 réduirait également les risques d'avoir des spermatozoïdes anormaux.
Une supplémentation en acide folique, appelé aussi folates ou encore vitamine B9, est recommandée aux futures mamans pour prévenir les risques de spina-bifida, une malformation congénitale pouvant entraîner des handicaps sévères. Mais si l'on en croit une étude américaine récente, les futurs papas devraient, eux aussi, surveiller leurs apports en acide folique. Des chercheurs de l'Université de Californie viennent en effet de montrer que les hommes qui ont une alimentation riche en folates (entre 722 et 1.150 mg par jour) avaient 20 à 30 % de risque en moins d'avoir des spermatozoïdes anormaux. Rappelons qu'on trouve cette vitamine dans les légumes à feuilles, les noix, les fromages et les fruits. Alors, si vous envisagez d'avoir un bébé bientôt, pensez-y !


11 avril 2008


par famili
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14 semaines de congé parental pour les papas norvégiens 14 semaines de congé... Les papas solos réclament l'allocation de rentrée scolaire Les papas solos réclament... Des tests de paternité réalisés dans un bus ! Des tests de paternité... Une cure de noix pour les futurs papas ? Une cure de noix pour les...
Les commentaires des ... je dépose un commentaire


> Une étude scientifique confirme l'importance du rôle des pères
> Un lien entre infertilité masculine et cancer du testicule
> Avoir un papa vieux permet de vivre plus longtemps !
> Un test de paternité par prise de sang dès la 8e semaine de grossesse
> Les hommes plus heureux avec femme et enfants
> Les hommes aussi ont du mal à concilier travail et vie de famille
> Les hommes transmettent leurs mauvaises habitudes par les gènes
> Bruce Willis est papa pour la quatrième fois
> Le sexe des hommes a rétréci de 10% en 60 ans !
> Les hommes amoureux ont des envies de bébé !

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Choisir un 2ème et un 3ème prénom pour bébé,bebes,

11 Août 2013, 16:16pm

Publié par hugo

Choisir un 2ème et un 3ème prénom pour bébé
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Ventre prénoms

Certains parents choisissent d'accoler un 2ème prénom, parfois un 3ème, au premier prénom de leur enfant. Pourquoi avoir plusieurs prénoms ? Comment les choisir ? Comment s'y prendre ? Nos réponses.
2ème et 3ème prénom : une histoire de coutumes...
Le deuxième prénom, ainsi que le 3ème, se placent après le 1er prénom - le prénom usuel - et avant le nom de famille. Ceci n'est en rien une obligation : les parents sont libres de donner plusieurs prénoms ou non à leur enfant. On peut même aller jusqu'à 5, 6 prénoms, il n'y a pas de nombre limites. Mais en général, les parents qui font le choix de donner plusieurs prénoms à leur enfant s'arrêtent à 2, voire 3.
L'usage voulait que le bébé porte les prénoms de son parrain et de sa marraine, ou bien de ses grands-parents. Mais la tradition diffère selon les pays. En France, même si on a plusieurs prénoms, on reste principalement nommé par le premier, notre prénom d'usage. À la Réunion par exemple, la tradition voulait que le premier prénom était utilisé par les membres de la famille (pas très pratique lorsque l'enfant porte le prénom de son père, qui est aussi celui du grand-père !), tandis que le 2nd était plutôt utilisé en dehors du cercle familial.
Certains couples choisissent un 2ème prénom pour éviter les homonymes, surtout avec des noms de famille courants.
2ème et 3ème prénom : ce que dit la loi
C'est lors de la déclaration de naissance que le parent communique le ou les prénoms attribué(s) à son enfant. Les prénoms ainsi choisis figureront sur son acte de naissance, ainsi que ses papiers d'identitié, séparés par une virgule, pour ne pas être confondus avec les prénoms composés.
par Marine Chassang

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Les colères de l’enfant dues au manque de sommeil,bebes,enfants,

11 Août 2013, 15:41pm

Publié par hugo

Les colères de l’enfant dues au manque de sommeil
sommeil enfant comportement Le manque de sommeil est associé à un risque accru d'impulsivité, de colères, de caprices et d'hyperactivité. 8/08/2013
C’est enfin prouvé scientifiquement : des nuits trop courtes influent sur le comportement des enfants…
Énervement, agitation… on le sait, le manque de sommeil influe sur le comportement des enfants. Mais, ce fait est pour la première fois prouvé scientifiquement. Une nouvelle étude américaine révèle, en effet, que les colères des enfants sont aussi dues à des nuits trop courtes.
Pour dresser ce constat, l’équipe de chercheurs a suivi près de 9000 enfants de 4 ans et interrogé les parents sur les heures de coucher et de lever. Les scientifiques ont remarqué que dormir moins de 10 heures par nuit à cet âge est associé à un risque accru d'impulsivité, de colères, de caprices et d'hyperactivité. Mais ce n’est pas tout : le risque d'agressivité augmente de 80 %. « Bien que ces résultats ne soient pas une surprise, nous n'étions pas certains d'observer ce type d'association entre le comportement et la durée du sommeil de ces enfants. Le lien est probablement plus fort que nous ne l'avions imaginé », explique l’auteur de l’étude, le professeur E. K. Stein.
Le sexe des enfants, le nombre d'heures de télévision et les symptômes dépressifs chez la mère n'ont pas d’influence sur la durée de sommeil. En revanche, les garçons qui regardaient plus de deux heures de télévision le soir et ceux qui avaient une mère dépressive présentaient davantage de perturbations comportementales que les autres.
Si ces résultats supposent que la durée du sommeil est cruciale pour le bien-être des tout-petits, aucun lien de causalité n’est établi. « Nous ne pouvons pas vraiment dire si ce sont les perturbations émotionnelles qui altèrent le sommeil de l'enfant ou si c'est le manque de sommeil qui crée une perturbation émotionnelle. Il va falloir pousser plus loin les investigations », souligne le Pr Stein. Néanmoins la pédiatre précise que « si la durée du sommeil de l'enfant diffère de ce qui est préconisé, les professionnels de santé devraient en explorer les raisons et conseiller les familles pour les aider à augmenter ce temps de sommeil ».
Source : Journal of Developmental and Behavioral Pediatrics
Auteur : Elodie Moreau

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Les papas français fâchés avec le congé parental !,peres,papas,meres,maman,bebes

6 Août 2013, 03:57am

Publié par hugo

Les papas français fâchés avec le congé parental !
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papa bébé ombre herbe congé parental

Lorsqu'il s'agit d'arrêter de travailler pour s'occuper des enfants, la disparité homme-femme est flagrante.
En France, on est souvent très à cheval sur les questions de parité. En ligne de mire actuellement : le congé parental. Le 3 juillet prochain, le gouvernement va examiner un projet de loi. Le but ? Instaurer 6 mois obligatoires du partage du congé parental pour rétablir l'égalité homme-femme. Cependant, dans un rapport de l'INSEE publié hier, on apprend que seulement un papa sur neuf arrête ses activités pour s'occuper de ses enfants. Le congé parental, une affaire de femme ? A priori oui, puisqu'on apprend aussi qu'une maman sur deux réduit ou cesse temporairement son activité professionnelle après une naissance.
Le gouvernement veut donc réduire considérablement cette disparité. Alors question : pourquoi les hommes sont si peu nombreux à avoir recours à ce congé ? Le rapport met en avant plusieurs raisons. D'abord, l'envie : pour 46% de ces nouveaux papas, le désir de prendre ce congé est totalement absent. Alors que chez les femmes, ce chiffre tombe à 15%. Autre motif : la peur pour la carrière. Oui, un tiers des hommes invoquent le travail comme principale raison de ne pas rester à pouponner bébé. Les papas citent également l'argent, puisque ce congé n'est pas assez payé, selon 15% d'entre eux. « Je ne pense pas y avoir droit » : voilà ce que pointe aussi ce rapport. Pour de nombreuses professions (chefs d'entreprise, artisans, professions libérales...), il est difficile de justifier une activité professionnelle suffisante. En effet, 30% de ces papas non-salariés pensent ne pas remplir les conditions requises.
Pour le ministère du droit des femmes, l'objectif est maintenant d'inscrire une part de congé obligatoire pour les hommes. Mais, pour ne pas trop accabler nos bons papas, disons que les femmes ont une certaine part de responsabilité dans cette « exclusion » de l'homme. L'INSEE nous montre qu'elles seraient neuf sur dix à dire que maman à la maison « c'est mieux pour l'enfant ». Dernier chiffre : trois femmes (honnêtes) sur dix avouent que ce congé « elles en avaient besoin pour se remettre de la naissance ».
Une parité homme-femme dans le congé parental qui est loin d'être acquise et surtout... qui sera loin de faire l'unanimité !

25 juin 2013

Pour aller plus loin...
> Lire notre actu bientot une formation pour obtenir le droit d'être parent ?
> Venez en parler sur le forum vie professionnelle de famili.fr
par famili
... je publie un article
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Par Anonyme le 26 juin 2013 à 21:37
Oui, comme le dit le commentaire anonyme me précédent : laissez les gens faire et s'organiser comme ils veulent. Mais "les gens", ça inclue les mamans ET les papas. Trop de mères refusent de laisser un peu de "leur" place, de céder un bout de terrain, puis s'étonnent que le papa ne s'investisse pas... J'ai laissé à mon mari toute latitude pour trouver sa place, de même qu'il m'a laissé prendre la mienne comme je l'entendais. Je gagne plus que lui, je suis passionnée par mon métier, j'ai des projets professionnels, tandis que lui ne jure que par nos enfants. Et je vis un Bonheur absolu, lui aussi, nos filles aussi... si ce n'est le jugement de certains qui considèrent mon bûcheron de mari comme une "femme de ménage"... Et moi comme une maman carriériste. Aucun n'aurait ce genre de remarque si nos envies étaient inversées et entraient dans les petites cases toutes chaudes qu'on nous a préparées avant même notre venue au monde. Arrêtons de stigmatiser les autres, arrêtons de proposer un rôle prêt-à-porter selon les sexes, et libérons-nous de ces poids.
Signé : une maman excédée de constater que les femmes ne laissent pas plus de place aux hommes à la maison que les hommes ne leur en laissent au travail.
Stéphanie Dessinges (59)
Par Anonyme le 25 juin 2013 à 21:12
Perso le congé parental ce sera moi ou ce ne sera pas car je serais certainement fatiguée par l'allaitement deplus mon salaire est moins important (et je m'en fou). Les lois ne peuvent pas réglé la disparité homme/femme ce seront toujours les femmes qui porteront bébé et pourront l'allaiter. A quand le partage du congé maternité. La nature se rappellera toujours à ceux qui souhaitent l'égalité des sexes.LAISSEZ LES GENS FAIRE ET S'ORGANISER COMME ILS VEULENT.
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Crèche parentale : la crèche où les parents décident,papa,pere,maman

21 Juillet 2013, 12:19pm

Publié par hugo

Crèche parentale : la crèche où les parents décident


creche parentale
La crèche parentale est une solution idéale pour les parents qui ont l'envie et le temps de s’impliquer dans la vie d’une structure d’accueil. La crèche “Les Petits Lardons” en est un bel exemple. Reportage
Gaëlle Guernalec-Levy - Crédit photo : Eleonore Henry de Frahan - Remerciements à la crèche parentale "Les Petits lardons" - 25 avril 2013
La grande implication des parents en fait un mode de garde à part. Mais si ces structures associatives impliquent énormément les familles, elles emploient évidemment des professionnels, répondent aux mêmes normes de sécurité et aux mêmes obligations légales que les autres établissements d'accueil.
creche parentale - image
Des pères très investis
A la crèche des Petits Lardons, à Paris, ce vendredi matin, les enfants arrivent au compte-gouttes et plus tard que d’habitude. Eux sont plutôt bien réveillés. Pour les parents, c’est une autre histoire. Il faut dire que la veille avait lieu le conseil d’administration mensuel de la structure. Pour une fois, il ne s’est pas éternisé, mais il aurait été dommage de se quitter sans partager un verre au café du coin. Alors certains ont un peu mal au crâne. Dans une crèche parentale, c’est une évidence, l’ambiance est très particulière. Entre parents et professionnels, le tutoiement est de rigueur. Les familles se ressemblent, partagent les mêmes codes culturels, sourient des mêmes détails. Chacun a le sentiment de participer à une aventure collective. Sur le ton de la plaisanterie, un père quitte les quelques parents présents d’un « Bon, camarades citoyens, je vous laisse ». Un autre reste à discuter, visiblement heureux d’être là. Détail frappant : pour le moment, seuls des papas ont franchi le seuil.
crèche parenatle - image
Une participation active des parents
Les crèches parentales sont nées au début des années soixante-dix, avec pour ambition d’opérer un rapprochement entre les professionnels et des parents agacés de se sentir disqualifiés. Ces établissements obéissent aujourd’hui aux mêmes normes de fonctionnement que n’importe quelle crèche municipale, qu’il s’agisse des locaux, des tarifs (progressifs en fonction du quotient familial), des quotas de personnel qualifié ou de l’alimentation. L’époque est terminée où chacun cuisinait ses petits plats. Les repas doivent être préparés sur place, selon des modalités précises et dans une cuisine adaptée.
Les parents membres sont regroupés en association, laquelle recrute et rémunère le responsable et les employés. La spécificité de ces crèches repose sur l’investissement demandé aux parents. Chaque famille doit assurer une permanence d’une demi-journée par semaine au contact des enfants et doit prendre en charge une “commission” en fonction de ses compétences, de ses souhaits ou de ce qui reste. Certains auront ainsi à gérer la logistique achats, quand d’autres superviseront le bricolage. Aux professionnels la question du soin, du savoir-faire, des pratiques, aux parents cotisants les tâches administratives et le management. « Ce sont de vraies contraintes qui ne sont pas envisageables pour tout le monde, pose Daniel Lefèvre, éducateur de jeunes enfants et responsable technique des Petits Lardons. Parmi nos familles, nous avons des intermittents du spectacle qui peuvent adapter leur emploi du temps, des enseignants disponibles le mercredi ou des parents qui consacrent leurs RTT à la crèche. Une fois qu’ils adhèrent au principe, ils sont en général ravis. Et lorsqu’ils nous quittent pour aller en maternelle, ils sont souvent frustrés de ne plus avoir de vraie place. »
Des parents valorisés par les professionnels
Des parents valorisés par les professionnels
C’est un constat qui fait l’unanimité. Tous ces parents apprécient d’avoir leur mot à dire, de participer à la vie de leur enfant et de la collectivité. Marc, papa de Maël et de permanence ce vendredi, l’assure : « Nous participons aux prises de décision, nous sommes au courant de tout ce qui concerne notre enfant. A la crèche municipale, qui était très bien, on se contentait de déposer notre enfant le matin dans un sas et on le récupérait le soir en apprenant qu’il avait bien mangé et bien dormi. Ça s’arrêtait là. » Richard, lui, s’apprête à déménager. « Nous n’aurons pas le même mode de garde et ça nous fend le cœur. Nous étions ici chez nous, avec des professionnels vraiment à notre écoute. J’étais trésorier de l’association, ce qui est assez lourd. Mais c’était également très gratifiant car je le faisais pour mon enfant. »
Marc et Aurélie, les deux parents de permanence lors de cette demi-journée, vont passer leur matinée à jouer avec les enfants présents, à assurer une surveillance des plus grands et à se répartir les tâches ménagères. « Es-tu descendu, Marc ? Y a-t-il du boulot ? » « J’ai mis deux machines à laver en route et il y a pas mal de linge à plier. »
L'éveil au coeur des projets
L'éveil au coeur des projets
Daniel, le responsable, propose à Aurélie de venir en renfort sur le parcours de psychomotricité installé par l’une des auxiliaires pour les enfants de la grande section. Les parents ne sont jamais en charge des bébés, qui restent tous sous la responsabilité des professionnels. Ils ne mettent pas non plus les enfants à la sieste, n’administrent pas les médicaments, ne pratiquent pas de soins, sauf sur leur propre progéniture. Ils sont en revanche vivement encouragés à faire la lecture ou à animer les activités manuelles. « Ici, on a un bon prétexte pour se livrer à des activités très agréables comme manipuler pendant des heures de la pâte à modeler ! », se réjouit Aurélie en tentant de s’éloigner un peu de sa fille Fanny qui ne la lâche pas d’une semelle. « La difficulté des parents, au début en tout cas, est de gérer leur temps de présence entre leur enfant et ceux des autres, pose Daniel. Ils sont censés s’occuper de plusieurs petits, tout en conservant un vrai temps relationnel avec leur enfant qui est trop jeune pour comprendre la mise à distance. Certains s’inquiètent parfois du comportement de leur petit. Il faut les rassurer en leur rappelant que lorsqu’ils ne sont pas là, leur enfant n’est pas du tout le même. » Un grand classique.
Bien plus qu’un mode de garde
Bien plus qu’un mode de garde
L’après-midi, Marc et Aurélie cèdent la place à deux autres mamans. Marjorie, maman de Micha, semble très à l’aise avec les enfants des autres. Normal, elle en est à sa cinquième année de crèche parentale. « C’est plus qu’un mode de garde, c’est un engagement associatif. Et pour certains, c’est presque une activité à temps partiel. Il faut en avoir vraiment envie. Pour moi, les permanences auprès des enfants ont toujours été un sas de décompression, une bouffée d’air. » Du côté des professionnels, la motivation doit aussi être bien présente. « Accueillir les parents est pour nous une vraie richesse, assure Daniel. Mais pour certains, ça peut être une gêne. Car il faut être sûr de ce qu’on présente. » En matière de mode de garde, on prend souvent ce que l’on trouve, ce qui est disponible. Mais dans une crèche parentale, les parents, comme les professionnels, ne sont jamais là par hasard.
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