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Le blog de hugo,

Les parents d'enfant handicapé sont plus isolés,enfants,handicap,parents,

28 Mars 2015, 04:46am

Publié par hugo


Elodie Benarousse
CCM Benchmark
Mis à jour le 20/03/15 11:09
Les parents d'enfant handicapé sont plus isolés
Les parents d'enfant handicapé sont plus isolés
DERNIÈRE MINUTE


La pénurie de vaccins continue...
Des mutations génétiques à l'origine des cas graves de grippe
Quels surnoms portent les bébés américains ?
Toute l'actualité Maman
Selon une enquête menée dans le Limousin, l'handicap d'un enfant augmenterait l'isolement des parents, tant au niveau matériel (éloignement du travail ou du conjoint) que psychologique.


S'occuper d'un enfant handicapé n'est pas toujours facile et les parents concernés ont bien du courage ! Selon une enquête menée auprès de 761 familles dans le Limousin, à l'initiative de l'Agence régionale de santé, l'handicap d'un enfant augmenterait l'isolement des parents, tant dans leur vie personnelle que professionnelle.


La vie professionnelle des parents change. En effet, deux tiers des mères déclarent aménager leur temps de travail pour s'occuper de leur enfant, voire même réduire ou arrêter leur activité professionnelle. Les pères sont 20 % à modifier leur rythme de travail en réaménageant leur poste pour la plupart d'entre eux.


La vie de couple des parents est également chamboulée pour 13 % des familles monoparentales (contre 9% des couples) chez les 4-6 ans et 21 % contre 17 % chez les enfants âgés de 10 à 12 ans. Par ailleurs, 36 % de ces familles considèrent que le handicap a été l'un des facteurs ayant joué un rôle certain dans leur séparation, 16 % pensent que cela a joué un rôle déterminant et pour 20 %, le handicap a joué un rôle aggravant.


Les aides financières semblent suffisantes pour couvrir les dépenses, pour 83 % des parents. A l'inverse, 29 % des personnes interrogées déplorent une insuffisance de l'aide professionnelle pour couvrir les frais.


Une adaptation difficile. Les parents souhaiteraient également obtenir de l'aide dans leurs démarches, ou bénéficier de lieux d'écoute et de formations... Lors d'entretiens auxquels ils ont participé pendant l'enquête, la plupart ont confié qu'ils se sentaient "seuls" et qu'ils ont dû s'adapter dans ce milieu institutionnel très fermé. Malgré leur adaptation, ces derniers ne trouvent pas toujours les réponses à leur question. C'est la raison pour laquelle, nombreux sont ceux qui créent leur propre blog pour s'exprimer ou développent leur réseau en mettant en place des associations de parents qui se trouvent dans la même situation. Selon les auteurs du rapport, "beaucoup de parents sont en fait au-delà de l'isolement psychologique dans une forme très marquée d'effacement de soi-même, d'oubli de soi".


L'étude recommande ainsi de valoriser leurs acquis et de développer "le droit au répis", tout en les accompagnant davantage dans les démarches administratives, en les informant mieux sur les aides dont ils peuvent bénéficier et en mettant en place des groupes de paroles.


Les résultats de l'enquête seront présentés du 8 au 10 avril 2015 à Limoges, à l'occasion du congrès international des acteurs de l'accompagnement (CIMA).





Lire aussi




Handicap : 25% des écoles primaires ne sont pas accessibles
Selon un récent rapport de l’ONS, les enfants handicapés ne peuvent pas tous se déplacer librement dans leur école primaire, et cela qu’elle soit récente ou non. Entrée, couloirs, sanitaires… Tout n’est pas mis en œuvre pour assurer leur accessibilité.





AUTOUR DU MÊME SUJET

http://www.journaldesfemmes.com/maman/enfant/1308165-enfants-handicapes-parents-isoles/?een=14e405269bb73d487c024e4e2f9fe9b6&utm_source=greenarrow&utm_medium=mail&utm_campaign=ml85_francoisehardyh

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La vaccination obligatoire des enfants est conforme à la Constitution,sante,enfants,lois,

28 Mars 2015, 04:40am

Publié par hugo


Elodie Benarousse
CCM Benchmark
Mis à jour le 20/03/15 14:43
La vaccination obligatoire des enfants est conforme à la Constitution
La vaccination obligatoire des enfants est conforme à la Constitution
DERNIÈRE MINUTE


Généralistes : la consultation bientôt à 25 euros ?
Affaire des prothèses mammaires : un 2e décès
DMLA : un traitement beaucoup moins cher, enfin autorisé
Toute l'actualité Santé
Suite au refus de parents de vacciner leur enfant contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (DTP), le Conseil constitutionnel vient de se prononcer sur la vaccination obligatoire des tout-petits, jugeant qu'elle était conforme "à l'exigence constitutionnelle de protection de la santé".


Le jugement du Conseil constitutionnel était attendu aujourd'hui, suite au refus de deux parents de vacciner leur enfant contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (DTP). Samia et Marc Laurèle s'étaient en effet opposés à la vaccination de leur petite fille de trois ans en raison, selon eux, des risques que pouvaient présenter les vaccins disponibles sur le marché. En octobre dernier, le couple comparaissait alors devant le tribunal de grande instance d'Auxerre, accusé de maltraitance sur leur enfant. Il s'agit du premier procès lié à un refus de vaccination, ce qui a relancé le débat ces derniers mois sur l'utilité de la vaccination obligatoire.


Mais pour le Conseil consitutionnel, la vaccination obligatoire des enfants est conforme "à l'exigence consitutionnelle de protection de la santé". Les Sages ajoutent "qu'en imposant ces obligations de vaccination, le législateur a entendu lutter contre trois maladies très graves et contagieuses ou insusceptibles d'être éradiquées". En France, le DTPolio est le seul vaccin obligatoire (dans le Code de la santé publique) pour protéger l'enfant de la diphtérie, du tétanos et de la poliomyélite. D'ailleurs, les tout-petits doivent être à jour dans leurs vaccinations pour pouvoir être inscrits en collectivités.


Par ailleurs, le législateur "a pris la précaution de préciser que chacune de ces obligations de vaccination ne s'impose que sous la réserve d'une contre-indication médicale reconnue", ont précisé les membres du conseil.


Lire aussi




Poursuivis en justice pour avoir refusé de faire vacciner leur fille
Le tribunal de grande instance d'Auxerre examinait ce jeudi le cas de deux parents opposés à la vaccination de leur enfant contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (DTP), relançant par la même occasion le débat sur l'utilité de la vaccination obligatoire.


Vaccination obligatoire (ou pas) : le Conseil constitutionnel tranchera le 20 mars
Vacciner un enfant doit-il rester une obligation ou relever désormais du libre choix des parents ? La question est délicate mais relancée après que des parents aient refusé de faire vacciner leur fille.


Calendrier vaccinal 2014 : êtes-vous à jour dans vos vaccins ?
A l'occasion de la semaine européenne de la vaccination, Marisol Touraine a présenté les grandes lignes du calendrier vaccinal 2014. Face à la recrudescence de certaines maladies graves et dans un climat de méfiance vis-à-vis des vaccins, l'objectif est de rappeler l'importance de faire régulièrement le point sur ses vaccinations.

http://sante.journaldesfemmes.com/magazine/1308338-vaccination-obligatoire-conforme-a-la-constitution/?een=14e405269bb73d487c024e4e2f9fe9b6&utm_source=greenarrow&utm_medium=mail&utm_campaign=ml85_laeticiahallyda

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Grossesse : le tabac augmenterait le risque de diabète chez l'enfant,enfants,sante

28 Mars 2015, 04:38am

Publié par hugo



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Accueil > Actualités > Grossesse : le tabac augmenterait le risque de diabète chez l'enfant
Grossesse : le tabac augmenterait le risque de diabète chez l'enfant
Par Léa Galanopoulo
rédigé le 17 février 2015, mis à jour le 17 février 2015



En plus de provoquer des naissances prématurées et des retards de croissance chez l'enfant, le tabac pendant la grossesse favoriserait aussi le développement de diabète à l'âge adulte. Il multiplierait par trois les risques de mettre au monde un futur diabétique, selon une étude américaine qui a suivi 1.801 filles pendant plus d'un demi-siècle.






Grossesse : le tabac augmenterait le risque de diabète chez l'enfant
Une fois de plus la consommation de cigarettes pendant la grossesse est pointée du doigt... Désormais c'est le diabète qui vient s'ajouter à la liste des maladies auxquelles les femmes enceintes fumeuses exposent leurs enfants. En continuant à fumer pendant sa grossesse, la future mère triplerait les risques que sont enfant soit atteint de diabète une fois adulte. Pour en arriver à ces conclusions, des chercheurs de l'Université de Californie ont suivi l'état de santé de 1.801 filles, pendant plus de 50 ans. Les femmes enceintes ont été recrutées entre 1959 et 1967, au départ pour étudier le cancer du sein, ce qui explique que la cohorte ne soit composée que de filles parmi les enfants. Les résultats sont publiés dans le Journal of Developmental Origins of Health and Disease.


Les femmes ont été choisies avant 1964, date à laquelle les Etats-Unis ont commencé à prendre des mesures pour informer la population sur les méfaits du tabac et "qui ont initié un changement dans l'attitude des fumeurs" explique l'étude. Avant cela, les dangers du tabagisme pendant la grossesse n'étaient que peu connus par les femmes. Parmi la cohorte étudiée, plus de 6% des femmes ont continué à fumer pendant l'intégralité de leur grossesse. Leurs filles, désormais toutes âgées d'une cinquantaine d'années, sont finalement trois fois plus nombreuses à avoir développer un diabète de type 2 que les filles de non fumeuses. "Nos découvertes sont cohérentes avec l'idée que l'exposition aux produits chimiques durant la grossesse peut contribuer au développement de maladies à l'âge adulte" souligne l'étude.


Le tabac, un facteur indépendant des autres pour le diabète


Pour bien mettre en évidence l'influence du tabac sur l'apparition du diabète, les chercheurs ont souhaité démontrer qu'il jouait un rôle à part entière, indépendamment des autres facteurs de risques du diabète de type 2 (poids, niveau social). "Nous avons découvert que le fait que les parents fument est un risque en soi pour le diabète, indépendamment de l'obésité et du poids à la naissance" ajoute l'étude. Donc "si vos parents fumaient, ce n'est parce que vous êtes maigre que vous êtes protégé du diabète" souligne Michele La Merrill, auteur principal de l'étude.


En entrant dans le sang du fœtus, via la mère, le tabac augmenterait la résistance à l'insuline et l'intolérance au glucose. "Cette découverte est biologiquement plausible, car il a été prouvé que l'exposition prénatale à la nicotine dégrade irréversiblement les cellules du pancréas (responsables de la sécrétion d'insuline ndlr)" indique l'étude. L'influence de l'exposition passive de la mère à la fumée (à travers un conjoint fumeur par exemple) a aussi été évaluée, mais les résultats fournissent "des preuves insuffisantes" pour établir un lien direct avec le développement de diabète à l'âge adulte.


L'étude est-elle biaisée ?


Si les résultats de cette étude montrent clairement une différence de prévalence du diabète entre les filles de fumeuses et de non fumeuses, des zones d'ombres subsistent... Dans la cohorte étudiée, 6,4% des femmes ont développé un diabète à l'âge adulte, beaucoup moins que dans l'ensemble de la population féminine du même âge (1), où ce taux grimpe à 15%... Comment expliquer une telle différence ? Les chercheurs californiens se défendent en expliquant qu'ils n'ont pu faire de prises de sang qu'à 20% des filles étudiées, pour certifier la présence ou non de la maladie (2). Selon l'équipe de recherche, donc, si les prises de sang avaient toutes été faites correctement, le nombre de filles diagnostiquées diabétiques serait encore plus élevé.


Autre explication à cette différence : la cohorte évaluée ne serait pas représentative de la population générale. En effet, parmi les femmes étudiées peu étaient obèses et la majorité venait d'un milieu social plutôt élevé. Leurs filles avaient donc, dès la naissance, moins de risque a priori de devenir diabétiques que le reste des Américaines. Malgré ces biais évidents, les chercheurs expliquent que ceux-ci ne changeraient en rien les conclusions de leurs travaux. "Tout biais dans la classification de nos cas de diabète voudrait probablement dire que nos estimations de risques, signalées ici, seraient en réalité plus petites qu'à taille réelle" concluent-ils.


-----


(1) Femmes de 45 à 64 ans, vivant aux Etats-Unis, recensées entre 2007 et 2010
(2) Les 80% restantes ont seulement déclaré aux chercheurs si elles étaient atteintes ou non de diabète de type 2 en se basant sur le diagnostic de leur propre médecin, mais sans qu'une analyse sanguine ne soit réalisée en aval par l'équipe de recherche.


Source : The impact of prenatal parental tobacco smoking on risk of diabetes mellitus in middle-aged women. M. Le Merrill et al. Journal of Developmental Origins of Health and Disease, février 2015. DOI:10.1017/S2040174415000045




En savoir plus sur le tabagisme pendant la grossesse :
Tabac et grossesse : les solutions pour arrêter de fumer
Bébés de petit poids : la faute du tabac ?
Grossesse et tabac : une raison de plus pour arrêter
Des bons d'achat pour arrêter de fumer : une méthode qui paye
Que penser de la cigarette électronique pendant la grossesse ?

http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-grossesse-le-tabac-augmenterait-le-risque-de-diabete-chez-l-enfant-15605.asp?1=1#xtor=EPR-1000002224

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L'entretien prénatal boudé par les femmes enceintes,femmes,grossesses,sante,

28 Mars 2015, 04:36am

Publié par hugo



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Accueil > Actualités > L'entretien prénatal boudé par les femmes enceintes
L'entretien prénatal boudé par les femmes enceintes
Par Léa Galanopoulo
rédigé le 24 février 2015, mis à jour le 24 février 2015



Seules 40% des futures mères se rendent à l'entretien prénatal précoce, normalement réalisé au cours du quatrième mois de grossesse. Il leur permet pourtant d'exprimer leurs interrogations et leurs craintes et d'évaluer les risques auxquels est exposé le bébé.








L'entretien prénatal boudé par les femmes enceintes


La grossesse est un moment particulier pour chaque femme. La future mère peut faire face à des questions ou des angoisses pendant cette période. Pour y répondre et discuter calmement avec un professionnel de santé, un entretien prénatal précoce peut être proposé au quatrième mois de grossesse. Le rencontre, de 30 minutes à 1 heure, s'organise, sans examen médical autour des craintes et des risques auxquels peut être exposée la femme enceinte. Mais si depuis 2005, cet entretien est recommandé par le ministère de la Santé et totalement pris en charge, encore trop peu de femmes en profitent. Seules 40% des futures mères s'y rendent, selon les résultats d'une enquête publiée dans le Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire de l'Institut national de Veille sanitaire (InVs).


1.900 femmes enceintes ont été interrogées en 2012, dans 253 maternités et 26 réseaux de santé en périnatalité (RSP). Si certaines femmes évoquent le manque de temps, la raison principale de ce faible taux d'entretien est le manque d'information. Deux tiers des femmes qui ne sont pas rendues à la rencontre ne s'étaient en effet jamais vues proposer un entretien par leur médecin. Si les généralistes et les gynécologues sont habilités à le réaliser, dans 92% des cas ce sont les sages-femmes qui l'exécutent.


96% des femmes satisfaites


L'enquête révèle aussi que les mères qui avaient déjà mis au monde un enfant auparavant "n'estiment pas avoir besoin de l'entretien prénatal". 75% d'entre elles passent à travers les mailles du filet. A l'inverse, les femmes accouchant de leur premier enfant, jeunes, qui suivent une préparation à l'accouchement et ont un carnet de maternité, sont les plus présentes au rendez-vous. 96% des femmes enceintes sont d'ailleurs très satisfaites de cette rencontre.


Au manque de motivation, s'ajoute les inégalités sociales et territoriales. En France, le taux d'entretien prénatal peut passer de 7 à 70% selon les régions. L'InVS regrette par ailleurs qu'il n'y ait pas d'accès particulier proposé aux femmes avec des difficultés quotidiennes, des conduites addictives, ou des risques sociaux et psychologiques. L'entretien "doit être mieux connu pour que les femmes puissent parler librement et exprimer leurs attentes", explique l'étude. Si il demeure "encore trop peu réalisé", la proportion d'entretien prénatal a doublé depuis 2010, passant de 20 à 40%.


Source : Prévalence et caractéristiques de l'entretien prénatal précoce : résultats d'une enquête dans les réseaux de santé en périnatalité, France, 2012. Branger B, Réseaux de santé en périnatalité.Bull Epidémiol Hebd. 2015;(6-7)


VOIR AUSSI :


Grossesse : l'entretien prénatal précoce
Grossesses à risques : neuf mois sous haute surveillance
Préparations à l'accouchement : laquelle choisir ?



MOTS CLÉS

http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-l-entretien-prenatal-boude-par-les-femmes-enceintes-15663.asp?1=1#xtor=EPR-1000002224

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Infertilité masculine : quelles peuvent être les différentes causes ?,sante,sexes,hommes

28 Mars 2015, 04:16am

Publié par hugo

Infertilité masculine : quelles peuvent être les différentes causes ?
Le 20 mars 2015 à 21h00 - par Quitterie Pasquesoone

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Lorsqu'un couple consulte pour des problèmes d'infertilité, une cause masculine est trouvée dans 20 à 30 % des cas. Quelles sont les causes principales ? On fait le point sur les différentes raisons de l'infertilité masculine avec ce sujet.


Infertilité masculine : quelles peuvent être les différentes causes ?
Les anomalies du sperme


L'infertilité chez l'homme est essentiellement liée à un défaut de nombre, et/ou de mobilité, et/ou de morphologie des spermatozoïdes. Pour avoir une idée, sachez qu'en cas de nombre insuffisant de spermatozoïdes dans le sperme, on parle d'oligozoospermie. En cas d'absence, on parle d'azoospermie. L'infertilité peut également être liée à un défaut de mobilité : on parle alors d'asthénozoospermie. La tératozoospermie concerne les spermatozoïdes présentant une anomalie de morphologie, qui peut concerner toutes les parties (tête, flagelle...) du spermatozoïde. Lors d'un pourcentage élevé de spermatozoïdes, on parle enfin de nécrozoospermie.


D'où viennent ces anomalies ?


Généralement, les examens permettent de mettre en évidence des anomalies mixtes du sperme. Leur origine peut être hormonale, infectieuse, génétique. Elle reste parfois inexpliquée. Voici les principales causes :


- La varicocèle : causée par une dilatation d'une veine au niveau du cordon spermatique. Certains médecins préconisent les techniques d'AMP (assistance médicale à la procréation) comme alternative au traitement chirurgical.


- Les infections : certaines infections agissent sur la qualité du sperme, principalement en entrainant soit une anomalie de production du sperme et/ou une obstruction des vois excrétrices.


- Les causes génétiques. Les principales sont les suivantes : le syndrome de Klinefelter, une affection due à la présence d'un chromosome X supplémentaire ; la mucoviscidose, les délétions (pertes d'un fragment) du chromosome Y (une cause fréquente chez les hommes présentant une azoospermie ou une oligozoospermie) ou encore les translocations chromosomiques, c'est à dire réarrangement chromosomique : un fragment d'un chromosome sur détache et se refixe dans une autre position, sur ce même chromosome ou sur un autre. Ce problème se retrouve chez 2 à 3 % des hommes infertiles.


- Les troubles de l'éjaculation ou de l'érection : l'éjaculation rétrograde est par exemple une cause d'infertilité. Avec elle, le sperme est envoyé non pas vers l'extérieur mais vers la vessie.


- Les troubles hormonaux : certains troubles d'origine hormonale peuvent provoquer des troubles de la fertilité. Parmi eux, on trouve les problèmes de thyroïde, qui sont souvent associés à une baisse de libido et à un trouble de l'érection ; une hyperprolactinémie, qui peut aussi provoquer un écoulement de lait par le mamelon ou un développement des seins ; et une hypogonadisme, c'est à dire une altération de l'axe hypothalamo-hypophysaire, qui affecte la spermatogénèse.


Que faire en cas d'infertilité ?


Si vous essayez d'avoir un bébé depuis 1 an ou plus, consultez votre médecin. Celui-ci vous proposera si besoin des examens à réaliser (pour chacun des 2 partenaires), afin de connaître la cause de cette infertilité et vous diriger vers les solutions adéquates. Chaque cas est unique : n'hésitez donc pas à lui poser toutes vos questions. Il est là pour vous renseigner, vous écouter et vous guider étape après étape vers cette grande aventure qu'est la parentalité.


Source : Le Grand livre de la fertilité, aux éditions Eyrolles, rédigé sous la direction du Dr Laurence Levy-Dutel


Lire aussi :


- Insolite : des spermatozoïdes-robots pour lutter contre l'infertilité


- Fertilité masculine : un autotest mis en vente en pharmacie


- L'alcool nuit à la santé des spermatozoïdes


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VIH : moins d'infections qu'il y a 10 ans, mais...,sante,sida,hiv,vih,

28 Mars 2015, 04:15am

Publié par hugo



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Accueil > Actualités > VIH : moins d'infections qu'il y a 10 ans, mais...
VIH : moins d'infections qu'il y a 10 ans, mais...
Par la rédaction d'Allodocteurs.fr
rédigé le 24 mars 2015, mis à jour le 24 mars 2015



Le nombre de nouveaux cas de séropositivité au VIH découverts en France chaque année a globalement décru entre 2004 et 2013, selon des données de surveillance publiées par l'Institut national de veille sanitaire (InVs) ce 24 mars. En revanche, les diagnostics de séropositivité chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes n'ont, eux, cessé d'augmenter sur cette même période.






VIH : moins d'infections qu'il y a 10 ans, mais...
L'InVS a mis en place en 2003 un dispositif de déclaration obligatoire, par les biologistes et les médecins, des découvertes de nouveaux cas de VIH sur le territoire français (DO-VIH). Les objectifs de cette DO-VIH sont essentiellement épidémiologiques : estimer le nombre de personnes découvrant leur séropositivité et de mieux connaître leurs caractéristiques sociologiques, afin d'optimiser la prévention.


En dépit du caractère obligatoire de la DO-VIH, les données recueillies sont loin d'être exhaustives. En outre, les déclarations ne sont pas transmises en "temps réel". Les épidémiologistes estiment aujourd'hui que seules 7 découvertes de séropositivité sur 10 sont déclarées ; les estimations publiées de l'InVS sont réévaluées en conséquences.


En France, on estime entre 40.000 et 50.000 le nombre de personnes ignorant leur séropositivité au VIH.


Afficher Nombre estimé de découvertes de séropositivité VIH en France, 2003-2013 (données au 31/12/2013 corrigées pour les délais de déclaration et la sous-déclaration) - source : BEH/InVS
Nombre estimé de découvertes de séropositivité VIH en France, 2003-2013 (données au 31/12/2013 corrigées pour les délais de déclaration et la sous-déclaration) - source : BEH/InVS


Afficher Découvertes de séropositivité VIH par mode de contamination, sexe, lieu de naissance et année de diagnostic, France, 2003-2013 (données au 31/12/2013 corrigées pour les délais de déclaration, la sous-déclaration et les valeurs manquantes)
Découvertes de séropositivité VIH par mode de contamination, sexe, lieu de naissance et année de diagnostic, France, 2003-2013 (données au 31/12/2013 corrigées pour les délais de déclaration, la sous-déclaration et les valeurs manquantes)


En 2013, le nombre de personnes ayant découvert leur séropositivité VIH est estimé entre 5.759 et 6.681, selon les données de l'InVS (voir encadré). Ce chiffre est "stable depuis 2007", après une forte baisse constatée entre 2004 et 2007.


"Les disparités régionales observées depuis 2003 ont persisté en 2013" : le nombre de découvertes de séropositivité rapporté à la population (95 par million d'habitants) était plus élevé en Île-de-France (221) et dans les "départements français d'Amérique" (respectivement 908, 239, 225 en Guyane, Guadeloupe et Martinique) que sur le reste du territoire.


Evolution sociologique


En revanche, le profil des personnes diagnostiquées a fortement évolué en une décennie.


Parmi les personnes découvrant leur séropositivité, la proportion d'hommes était estimée à 57% en 2003. Après avoir augmenté continûment au cours du temps, elle était évaluée à 69% en 2012 et en 2013.


La proportion de personnes âgées de 50 ans et plus est passée de 13% en 2003 à 18% en 2012, et est en légère baisse en 2013 (17%). La part des 25-49 ans a, elle, diminué (77% en 2003, contre 70% en 2013). Les moins de 25 ans, représentaient 13% des découvertes de séropositivité en 2013, cette proportion n'ayant pas évolué de façon significative depuis 2003.


Parmi les personnes ayant découvert leur séropositivité en 2013, 55% ont été contaminées par rapports hétérosexuels (à l'origine de l' infection de 97% des femmes et de 36% des hommes), 43% par rapports sexuels entre hommes (62% des hommes) et 1% par usage de drogues injectables (0,8% des femmes et 1,2% des hommes).


Augmentation des diagnostics chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes


Entre 2012 et 2013, "on observe un palier du nombre de découvertes de séropositivité, quel que soit le mode de contamination", notent les auteurs du rapport. Ils soulignent "une tendance à la diminution chez les hétérosexuels et à l'augmentation chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH)". Si les chercheurs n'analysent pas les causes de cette hausse des diagnostics chez les HSH, elle pourrait être liée à l'intensification, ces dernières années, des efforts de sensibilisation à l'égard de cette population par les associations.


En 2013, le nombre de découvertes de séropositivité chez les HSH est estimé à entre 2.416 et 2.878 par l'InVS. "Parmi eux, 14% avaient moins de 25 ans (proportion ayant augmenté depuis 2003 où elle était de 8%) et 13% avaient 50 ans et plus".


Des diagnostics de plus en plus précoces


L'évolution depuis 2003 montre une diminution progressive de la proportion des découvertes au stade sida (20% en 2003 contre 11% en 2013).


Depuis le début de l'épidémie, le nombre total de personnes ayant développé le sida est estimé à environ 89 000 en France, dont 48 000 sont décédées et 41 000 étaient vivantes fin 2013.


Source : Découvertes de séropositivité VIH et de sida, France, 2003-2013. F. Cazein et coll. Bull Epidémiol Hebd. 2015;(9-10):152-61.





Pour en savoir plus


Sur Allodocteurs.fr :


VIH : plus de 6.000 personnes découvrent leur séropositivité chaque année, article du 1er avril 2014
Des relations sexuelles à hauts risques, reportage du 6 septembre 2013
Anonymat et secret médical pour les mineurs séropositifs, article du 5 février 2015
Femmes et VIH, pourquoi sont-elles plus vulnérables ? article du 28 mars 2011
Sida : décès et infections en baisse, article du 21 novembre 2012
VIH/SIDA : le test rapide pourrait freiner l'épidémie ? reportage du 23 novembre 2011
Ailleurs sur Internet :


Institut de Veille Sanitaire
Centres régionaux d'information et de prévention du sida

http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-vih-moins-d-infections-qu-il-y-a-ans-mais--15916.asp?1=1#xtor=EPR-1000002224

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Alzheimer : le régime MIND réduirait le risque de 50%,sante,

28 Mars 2015, 04:12am

Publié par hugo

Régime MIND
Alzheimer : le régime MIND réduirait le risque de 50%
par
la rédaction
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Publié le 25 Mars 2015


Un régime alimentaire permettrait de réduire de 54 % les risques de développer la maladie d'Alzheimer.
Alzheimer : le régime MIND réduirait le risque de 50%
GILE MICHEL/SIPA
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Prévenir la maladie d’Alzheimer grâce à son alimentation : l’idée n’est pas neuve, mais elle fait depuis quelques temps l’objet d’études de plus en plus précises. Cette fois, des chercheurs pensent avoir identifié le régime le plus apte à prévenir cette pathologie neurodégénérative. Leur étude porte sur 923 personnes et a été publiée dans la revue Alzheimer's & Dementia: The Journal of the Alzheimer's Association.


Baptisé « MIND » (pour Mediterranean-DASH Intervention of Neurodegenerative Delay), il combine le régime méditerranéen et DASH, destiné aux personnes qui souffrent d’hypertension artérielle. Mais il serait surtout plus facile à suivre et efficace que ces deux derniers.


5 types d'aliments à éviter
MIND se base ainsi sur deux groupes alimentaires. Le premier est constitué de dix aliments sains qui contribuent au bon fonctionnement cérébral (légumes verts et autres légumes, noix, baies, haricots, graines entières, poisson, volaille, huile d'olive, vin). Le second comprend cinq types d'aliments plus néfastes - viande rouge, matières grasses animales, sucreries, aliments frits et fast food.


Le principe du régime MIND consiste à consommer quotidiennement des produits sains, en proportions variables. Ainsi, légumes et noix se consomment tous les jours, mais la viande blanche et les fruits peuvent n'être mangés que deux fois par semaine seulement. Les baies, comme la myrtille et la fraise, sont particulièrement recommandées pour leurs effets protecteurs sur le cerveau.


Le régime semble moins strict que la diète méditerranéenne, qui impose la consommation quotidienne de poisson et de trois à quatre portions de fruits et légumes. En outre, les produits néfastes de la seconde catégorie sont autorisés, mais avec beaucoup de parcimonie (moins d'une cuillère à soupe de beurre par jour).

Plus efficace que le régime méditerranéen
En matière d’efficacité, le régime MIND montre des effets similaires à celui de la Méditerranée, avec une réduction du risque d’Alzheimer de l’ordre de 53 % (54 % pour le second). Mais les auteurs soulignent que, contrairement au régime méditerranéen qui doit être suivi à la lettre pour se révéler efficace, le régime MIND peut être suivi un peu moins rigoureusement, tout en produisant des effets. Ainsi, chez les sujets l'ayant modérément appliqué, la réduction des risques s’élevait à 35 %.


Selon les auteurs, ces résultats méritent d’être étayés par d’autres études. Mais ils montreraient malgré tout une réduction des risques sur le long cours, qui doit inviter les sujets à adapter leur alimentation.





http://www.pourquoidocteur.fr/Alzheimer---un-regime-reduit-les-risques-de-moitie--10183.html

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Aventures de médecine : donner la vie,accouchement ,sante,femmes,bebes,

28 Mars 2015, 04:08am

Publié par hugo



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Accueil > Actualités > Aventures de médecine : donner la vie
Aventures de médecine : donner la vie
Par La rédaction d'Allodocteurs.fr
rédigé le 20 mars 2015, mis à jour le 25 mars 2015



C'est là que tout commence : le premier cri, le premier regard, le premier contact... La naissance est la toute première des aventures d'une vie. Michel Cymes nous fait vivre cette aventure, minute par minute, à la maternité Jeanne de Flandre de Lille, où il partage le bonheur des jeunes parents et la tension des équipes soignantes. "Aventures de médecine - Donner la vie", un documentaire à suivre mardi 24 mars 2015 à 20h50 sur France 2.








Aventures de médecine : donner la vie


La naissance est la toute première des aventures d'une vie. Une aventure qui, pendant des siècles, s'est jouée en dehors de l'univers médical. Une affaire de sages-femmes, de remèdes de grand-mères, d'eau chaude et de langes propres. Un moment de magie. De souffrance aussi. De violence. Et trop souvent, de mort. C'est à cette fatalité que la médecine s'est attaquée au fil des siècles. Il y eut des sages-femmes de caractère pour lutter contre l'ignorance, des obstétriciens frondeurs pour s'élever contre la barbarie, et même une reine, la grande Victoria, pour piétiner les préceptes bibliques de l'enfantement dans la douleur !


Dans ce nouveau numéro d'"Aventures de médecine", Michel Cymes vous propose de rencontrer les pionniers de la naissance et de la conception, en revivant leurs expériences les plus inattendues, celles qui ont conduit à des découvertes fondamentales comme l'existence des ovules et des spermatozoïdes, ou la possibilité d'une fécondation in vitro.


Avec lui, dans la plus grande maternité de France, l'hôpital Jeanne de Flandre à Lille, nous partagerons aussi le bonheur des jeunes parents d'aujourd'hui au moment de l'accouchement. Des naissances parfois compliquées, que nous verrons "de l'intérieur", grâce à des animations anatomiques en 3D qui lèvent enfin le voile sur l'instant le plus intime et le plus universel qui soit.


En savoir plus :


France 2
Aventures de médecine - Donner la vie
Le 24 mars 2015, à 20h50

MOTS CLÉS

http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante--aventures-de-medecine-donner-la-vie-ce-soir-a-h-sur-france--15904.asp?1=1#xtor=EPR-1000002224

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Infertilité : c'est quoi un trouble de l'ovulation ?,sante,femmes,bebes,grossesse,

28 Mars 2015, 04:05am

Publié par hugo

Infertilité : c'est quoi un trouble de l'ovulation ?
Le 10 mars 2015 à 09h00 - par Catherine Cordonnier

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Les causes les plus fréquentes d'infertilité féminine sont l'absence ou les troubles de l'ovulation. Un diagnostic souvent évoqué devant des règles absentes ou irrégulières.


Infertilité : c'est quoi un trouble de l'ovulation ?
Dans 30% des cas, l'infertilité est d'origine féminine. Cela peut être dû à une anomalie morphologique (comme l'obstruction des trompes ou une malformation de l'utérus) ou à un problème d'endométriose. Mais les causes les plus fréquentes d'infertilité féminine sont l'absence d'ovulation (appelée anovulation) ou un trouble de l'ovulation (appelé dysovulation). Dans les deux cas vous ne produisez pas d'ovocyte fécondable. Ces troubles peuvent avoir plusieurs origines.


Les ovaires polykystiques


Le syndrome des ovaires polykystiques touche entre 5 % et 10 % des femmes. Il se caractérise par le développement de multiples kystes aux ovaires ainsi que par des cycles menstruels très irréguliers, souvent sans ovulation.


Le traitement : le gynécologue pourra prescrire un traitement à base d'anti-oestrogènes afin de favoriser une ovulation. Mais ce traitement nécessite beaucoup de précaution pour ne pas risquer l'hyperstimulation.


L'insuffisance ovarienne


L'insuffisance ovarienne occulte se caractérise par une absence complète d'ovulation, le plus souvent définitive. Elle diffère de la ménopause précoce qui s'accompagne d'un signe clinique, l'arrêt des règles. Au contraire, l'insuffisance ovarienne reste cachée tant que la femme ne souhaite pas d'enfant. Elle peut être due à une anomalie chromosomique ou être liées à un traitement par radiothérapie, chimiothérapie ou une opération des ovaires.


Le traitement : dans certains cas, le gynécologue pourra proposer un essai de stimulation avec un protocole adapté aux mauvaises répondeuses. Mais l'espoir d'avoir un bébé passe souvent par le don d'ovocytes.


L'hyperprolactinémie


La prolactine est une hormone produite par l'hypophyse. Normalement, le taux de cette hormone s'élève durant la grossesse pour participer au développement de la glande mammaire en vue de l'allaitement. Mais en dehors de la grossesse, un excès de prolactine engendre une dysovulation. Cela se traduit par des cycles longs espacés de 6 à 8 semaines ou un arrêt total des cycles (appelé aménorrhée)


La prise de certains médicaments comme les neuroleptiques ou la morphine est souvent responsable de l'hyperprolactinémie. Dans ce cas, il suffit d'arrêter le traitement pour que tout revienne à la normale. Mais elle peut être due également à certaines maladies comme l'hypothyroïdie, l'insuffisance rénale chronique, l'insuffisance hépatique ou l'adénome hypophysaire (présence d'une masse sur l'hypophyse).


Le traitement : il fait appel aux médicaments de la famille des agonistes dopaminergiques (qui agissent sur certains récepteurs du cerveau) afin d'inhiber la sécrétion de prolactine.


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Les bienfaits santé du sperme,sante,sexes,femmes,

28 Mars 2015, 04:03am

Publié par hugo

Les bienfaits santé du sperme
Le 01 novembre 2013 à 19h00 - Mis à jour le 07 novembre 2013 à 14h07 - par Agathe Mayer

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COMMENTAIRE(S) : 18
Bonne nouvelle pour vous les hommes, les femmes auraient grand intérêt pour leur santé et pour leur bien-être à consommer du sperme sans modération. Antidépresseur, aliment minceur, aliment anti-âge, aliment anti-cancer… découvrez les vertus du sperme.


Les bienfaits santé du sperme
Sommaire
Le sperme, un antidépresseur
Le sperme ne fait pas grossir, il ferait même maigrir !
Le sperme, un aliment anti-âge
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© iStock
Le sperme, un antidépresseur


Les femmes ayant des rapports sexuels non protégés, donc en contact avec le sperme de leur partenaire sont 87% moins déprimées que les autres ! C’est ce que révèle une étude de l’université d’Albany aux États-Unis, qui conclue que « le sperme riche en substances antidépressives comme la mélatonine, la prolactine et la sérotonine est bon pour le moral des femmes, et favoriserait le bien-être mental et le sentiment d’affection une fois dans leur sang. »
Attention, ses vertus antidépressives ne sont donc actives que si le sperme est en contact oral ou vaginal avec les femmes.


Le sperme ne fait pas grossir, il ferait même maigrir !


Le sperme est riche en protéines (une dose à peu près équivalente à celle contenue dans l’albumine d’un œuf), en sodium, en potassium, en magnésium, en sélénium et en vitamines C et B12.
La valeur calorique d’une éjaculation moyenne (4 à 6 millilitres de sperme) varie entre 15-30 calories. La séminophagie (acte d’avaler du sperme) ne fait donc pas grossir. Et, d’après le professeur Ingrid Fleischer de l‘université d‘Hambourg en Allemagne « les femmes pratiquant la fellation et qui avalent le sperme de leurs compagnons réussissent à maigrir jusqu’à deux fois plus vite que les autres. Ces vertus amincissantes du sperme sont dues à la présence d’une substance, l’alcaline, qui ne fonctionne comme brûle-graisse qu’en présence des autres composantes du sperme. » La séminophagie aurait donc vraiment des intérêts !


Le sperme, un aliment anti-âge


Tobias Eisenberg et Frank Madeo, de l’Université de Graz (en Styrie, Autriche) déclarent même que la spermidine, une molécule contenue dans le sperme est un excellent antivieillissement: “C’est en quelque sorte le Graal sacré contre le processus du vieillissement des cellules”. Et d’après l’Université Fédérale de Santa Maria, consommer du spermicide améliore les facultés mémorielles. La séminophagie permettrait-elle aussi de lutter contre la maladie d’Alzheimer ?


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