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Le blog de hugo,

handicapes,articles et livres

Slam - mon engagement,la fedee

11 Juin 2013, 15:46pm

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Le portrait d'Audrey Zians, ?tudiante sourde

4 Juin 2013, 02:19am

Publié par hugo

Le portrait d'Audrey Zians, ?tudiante sourde

Lundi 3 juin 2013 3min 20s

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MA VIE, mon chien, et mon handicap" sur FRANCE 3 Rhône-Alpes

14 Mars 2013, 22:03pm

Publié par hugo

"MA VIE, mon chien, et mon handicap" sur FRANCE 3 Rhône-Alpes
le samedi 16 mars 2013 à 15h20 - lieu : FR3 Rhône-Alpes

"MA VIE, mon chien, et mon handicap" 
film documentaire 52mn réalisé par Laurent Cistac 
diffusé samedi 16 Mars à 15H20 sur l’antenne FR3 Rhône-Alpes.

Présentation du film :

"Il y a des histoires extraordinaires qui nous bouleversent d’autant plus qu’elles se passent à deux pas de chez nous. Des récits de vie faites d’épreuves, de souffrances et qui mobilisent le courage et le dépassement de soi. 
Ce film raconte une histoire vraie, celle de Jeanne, une jeune fille de 13 ans handicapée de naissance. Elle espère de toutes ses forces recevoir un chien d’assistance, un Labrador éduqué pendant des mois par l’associationHandi’Chiens pour l’aider dans sa vie de tous les jours. 
Alors, avec d’autres personnes en fauteuil, Jeanne suit un stage d’adaptation et de passation de chiens au Centre d’éducation Handi’Chiens de Lyon pour apprendre 52 commandes destinées à son futur compagnon : ouvrir une porte, allumer la lumière, ramasser un objet, faire les courses…etc.

Mais elle ne se doute pas du lien extra-sensible qui va se nouer entre elle et l’animal qui semble percevoir intuitivement les besoins de la personne handicapée.

Luc - 13 ans, Adrien - 27 ans et Sandrine - 38 ans, racontent aussi cette aventure qu’ils ont vécue eux même il y a quelques années, car elle a transformé leur vie en fauteuil roulant trop souvent la cible de discriminations.
Un vrai changement du regard se porte alors sur leur handicap.

Un film documentaire qui explore les réalités vécues dans le monde du handicap…"

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Obtenir une allocation adulte handicapé

12 Mars 2013, 15:58pm

Publié par hugo

Obtenir une allocation adulte handicapé

Obtenir une allocation adulte handicapé

Être victime d'un handicap majeur est souvent synonyme d'impossibilité de travailler. C'est pour cela qu'existe l'allocation adulte handicapé, appelée l'AAH, qui est réservée aux personnes qui se trouvent dans une situation très critique. Quelles sont les conditions de l'attribution de cette allocation ? Quelles sont les démarches à suivre pour l'obtenir ? Voici quelques clés pour faciliter ce processus, parfois long.

Les conditions

Avant tout, pour bénéficier de l'AAH, il faut être de nationalité française ou posséder un titre de séjour régulier, et être âgé de plus de 20 ans (ou de plus de 16 ans en cas d'émancipation). L'allocation prend fin à partir de l'âge légal minimum de départ à la retraite lorsque l'incapacité a été jugée entre 50 et 79%. Si le handicap a été estimé à 80% ou plus, l'AAH peut être versée au-delà de l'âge minimum de départ à la retraite, si la retraite perçue est inférieure au minimum vieillesse.

Afin de bénéficier de l'AAH, tout demandeur doit être atteint d'un handicap estimé à 80% d'incapacité permanente, ou entre 50 et 79% si ce handicap, exclusivement, ne permet pas à la personne de travailler. En dessous de 50% d'incapacité, le demandeur ne percevra pas d'allocation adulte handicapé. C'est la CDAPH - Commission des Droits et de l'Autonomie des Personnes Handicapées - qui décide de ce pourcentage, après analyse du dossier du demandeur.

L'allocation AAH est versée selon les ressources déjà perçues par le demandeur. Elles ne doivent pas être supérieure à 9 319,08 euros par an pour une personne seule, ou 18 638,16 pour une personne vivant en couple. À chaque enfant présent dans le foyer, 4 659,54 euros sont ajoutés à ce plafond. Une personne ne possédant aucune ressource peut quant à elle percevoir le montant maximal de l'allocation adulte handicapé qui est de 776, 59 euros mensuels.

Purepeople - Copyright : Fotolia
http://femmes.orange.fr/societe/mes_droits/obtenir_une_allocation_adulte_handicape_23885.html

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La SNCF à mobilité réduite pour les handicapés

2 Mars 2013, 02:33am

Publié par hugo

La SNCF à mobilité réduite pour les handicapés
1 mars 2013 à 12:00
Lors de l'inauguration, en mars 2009, à Caen, de la première voiture de Corail Intercités permettant d'accueillir des voyageurs en fauteuil roulant.
Lors de l'inauguration, en mars 2009, à Caen, de la première voiture de Corail Intercités permettant d'accueillir des voyageurs en fauteuil roulant. (Phot Mychele Daniau. AFP)

ENQUÊTE Alors que Matignon se voit remettre un rapport sur l'accessibilité des lieux publics, zoom sur les difficultés des transports ferroviaires à s'adapter à ses voyageurs en fauteuil roulant.

Les personnes handicapées pourront-elles un jour prendre les transports en commun, le train par exemple, sans que cela ne soit toute une histoire? Accéder au quai et monter dans le train sans ameuter tout le personnel de gare. Ou comble du luxe, aller aux toilettes pendant le trajet et se payer un café au wagon-bar.

Nous sommes en 2013 et très - vraiment très - loin de cette réalité.«Pourtant, la SNCF n’est pas la plus mauvaise élève en la matière,souligne Jean-Marie Barbier, le président de l’Association des paralysés de France qui compte 28 000 adhérents. Tous les trains sont accessibles alors que seulement 33% des bus le sont.» Certes. A condition tout de même d’avoir une interprétation assez souple de l’accessibilité...

Ce vendredi, la sénatrice PS Claire-Lise Campion doit remettre un rapport à Matignon sur l'accessibilité des lieux publics, la question des transports y est abordée. Jeudi, la SNCF organisait une conférence vantant ses efforts en la matière et le respect de la loi. «On a beaucoup progressé ces dernières années. Il est extrêmement rare aujourd’hui qu’un projet important soit fait sans avoir consulté la délégation de l’accessibilité des voyageurs à mobilité réduite», assure le monsieur «accessibilité» du groupe, Didier Devens. Les choses avancent, oui, mais à pas de fourmi. «A vitesse industrielle, préfère-t-il dire. Il faut du temps.» Le point sur ce qui est fait. Et ce qu'il reste à faire...

Une ou deux places par rame

Il y a quinze jours, Aline Rodriguez, une jeune femme de 27 ans, en fauteuil roulant à cause d’une maladie génétique, écrivait une lettre publique à la SNCF, publiée par Libération. Où elle raconte «les complications» et «soucis systématiques» à chaque déplacement. «Les TGV ne disposant que d’une place handicapée le plus souvent, je suis toujours obligée de planifier mes voyages trois mois à l’avance sous peine de voir cette place unique et si convoitée me passer sous le nez.»

C’est le premier problème. Le nombre de places réservées aux voyageurs en fauteuil roulant se compte entre le pouce et l’index. La loi (de 1975, confirmée par celle de 2005) oblige la SNCF à  prévoir dans ses trains une place minimum pour les voyageurs en fauteuil roulant. Une place sans siège, en fait. En 2008, une directive européenne au nom barbare (STI PMR) en a imposé au moins deux, mais seulement dans «les trains neufs et rénovés».

«La SNCF veut bien entendre les reproches mais nous sommes en conformité avec la loi, justifie Didier Devens. La moitié de nos TGV ont deux espaces UFR (utilisateur de fauteuil roulant). Et dans les nouveaux trains, on va au-delà des obligations légales, avec quatre places.» Sauf que des trains neufs avec quatre places, il y en a très peu en service. Une quinzaine de rames TGV  sur les 400 qui circulent. Il devrait y en avoir 75 d'ici 2015, selon la SNCF. Quant au tout nouveau Ouigo (le TGV low-cost), il a beau être neuf, il ne compte que deux places pour fauteuil roulant.

«Nous sommes avant tout un transporteur de masse, insiste-t-il. Bien sûr, on entend les revendications, notamment de ceux qui aimeraient voyager en groupe, mais il y a d’autres priorités bien plus urgentes, croyez-moi. Comme l’accès aux toilettes.»

Très chères toilettes

Aussi moyenâgeux que cela puisse paraître, une personne handicapée peut certes prendre le train (en s’y prenant trois mois à l’avance), mais rien ne lui garantit qu’elle pourra aller aux toilettes pendant le trajet. Sauf à choisir sa destination. Oubliez le Paris-Bordeaux et tous les trains grande ligne de la façade atlantique. Les rames ont été rénovées en 2003-2005, rhabillés par Christian Lacroix. Une place pour les fauteuils roulants a même été ajoutée... Mais personne n’a pensé à l’accès aux toilettes: les portes sont trop étroites, un fauteuil roulant standard ne passe pas.

Pour rattraper la bourde, les travaux ont été évalués à 10 millions d’euros pour la centaine de rames concernées. «On va le faire», promet la SNCF qui a créé il y a cinq ans un train-laboratoire pour tester les équipements et éviter les ratés. Comme cette cuvette trop haute, que l’on retrouve dans certains trains. «Elle avait été pensée pour les personnes en fauteuil mais inadaptée pour les personnes de petite taille. On a beaucoup cherché sur les toilettes, confie Devens. On a fini par trouver un modèle universel qui sera produit de manière industrielle.»

Descendre du train...

Ce n’est pas le tout d’être dans un train. Encore faut-il en descendre. Dans sa lettre épinglant la SNCF, la jeune femme racontait sa mésaventure. «Une fois, alors que je rentrais tard d’un voyage, j’ai purement et simplement été oubliée dans mon train où j’ai attendu seule plus d’une demi-heure que l’on vienne me faire descendre.»Réponse de la SNCF: «On est jamais à l’abri d’un loupé mais c’est rare. On a un taux élevé de satisfaction de notre service Accès plus, dédié aux personnes handicapées.» Mis en place il y a cinq ans, ce service a traité 300 000 demandes l'année dernière. Il permet, entre autres, de mobiliser du personnel pour aider les personnes en fauteuil à monter et descendre du train.

Dans l'idéal, il faudrait des portes de trains conçues à hauteur de quais... Sauf qu’aucun n’est à la même hauteur. «Et là, une mise aux normes (qui n'incombe pas la SNCF mais à Réseau ferré de France, NDLR) se chiffre en milliard d’euros. Rien que pour un ascenseur, comptez entre 400 000 et 500 000 euros», nous assure-t-on.

D'ici 2015, date à laquelle tous les lieux publics (transports compris) doivent être accessibles à tous, la SNCF aura débloqué 500 millions d'euros: 168 grandes gares sur les 3000 devraient être «totalement accessibles», l'accès aux «besoins vitaux» garantis dans tous les TGV. Et pour le reste, «ce sera au rythme des rénovations...»

À LIRE AUSSI

Lettre ouverte à la SNCF d'Aline Rodriguez, 27 ans et en fauteuil roulant, qui dénonce les difficultés de réservation et le manque d'accessibilité des trains.

La différence de tarif entre des départs de Paris et de province peut monter jusqu'à 32,5% lors de ce week-end de vacances au ski.

Adeux ans de l'obligation légale d'accessibilité des lieux publics, la sénatrice Claire-Lise Campion a remis son rapport au Premier ministre.

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UNE REINE DE BEAUTE SOURDE

24 Février 2013, 04:45am

Publié par hugo

 

Une reine de beauté sourde

Une Miss France sourde représentera la femme sourde et malentendante en 2013.

Opeut être sourde et être jolie,et être une Miss. Laudrine Bissingu, déléguée adjointe au comité régional Miss Deaf Sud Ouest, se fait porte-parole des jeunes filles sourdes et malentendantes quirêvent de passer l’écharpe de Miss Deaf France. « Deaf » signifie « sourd » en anglais. Ce samedi, à Montamisé, seront élues les deux Miss Deaf Sud Ouest qui iront en finale à Paris le 16 mars 2013. La présidente de Miss Deaf France, Betty Nikolic, présentera les deux concours.

Un modèle de beauté et de détermination

« Miss Deaf France est un concours qui suit les mêmes méthodes que le concours Miss France : nousavons un règlement intérieur, des comités et notre Miss devra représenter la beauté, l’élégance et l’intelligence de la femme sourde partout en France », raconte la jeune femme. Les jeunes fillessourdes et malentendantes veulent suivre les traces de Sophie Vouzelaud, la 1re Dauphine de MissFrance 2007. « Le but de Miss Deaf France est de montrer aux entendants que les sourdes peuvent être bellesfaire de beaux métiers et faire de leur handicap un atout. Nous voulons que les jeunesfilles sourdes cessent de s’enfermer pour s’épanouir en tant que femmes », poursuit Laudrine Bissingu.

Élection de Miss Deaf Sud Ouest à la salle polyvalente de Montamisé, rue du Cèdre, le samedi23 février 2013 à 21 h. Informations et réservations sur www.missdeafrance.com ou missdeafsudouest@ gmail.com

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Intégrer le handicap au travail, un effort de tous les jours. REPÈRES Qui est travailleur handicapé ?

13 Novembre 2012, 22:40pm

Publié par hugo

VERSION PAPIERVERSION WEB
 
 
Intégrer le handicap au travail, un effort de tous les jours. REPÈRES Qui est travailleur handicapé ?

 

L'administration reconnaît comme travailleurs handicapés : – les travailleurs reconnus handicapés par la Commission technique d'orientation et de reclassement professionnel (Cotorep) ; – les victimes d'accidents du travail ou de maladies professionnelles ayant entraîné une incapacité permanente au moins égale à 10 % ; – les titulaires d'une pension d'invalidité, à condition que l'invalidité réduise d'au moins deux tiers la capacité de travail ; – les titulaires de la carte d'invalidité ; – les bénéficiaires de l'allocation adulte handicapé.

Que dit la loi ?

La loi du 10 juillet 1987 impose à l'ensemble des employeurs de plus de 20 salariés une obligation d'emploi égale à 6 % de l'effectif salarié au bénéfice des travailleurs handicapés. Ils peuvent s'en acquitter selon plusieurs modalités : soit en employant directement des travailleurs handicapés ; soit en accueillant des stagiaires handicapés ; soit en concluant un contrat de sous-traitance avec des établissements du secteur protégé ; soit en signant un accord en faveur des travailleurs handicapés. À défaut, les entreprises privées sont redevables d'une contribution à l'Agefiph (Association de gestion du fond pour l'insertion professionnelle des personnes handicapées), équivalant, selon la taille de l'entreprise, à 300 à 500 fois le smic horaire par « unité » manquante.

La loi de 2005 durcit le dispositif. Elle porte la pénalité à 400 à 600 fois le taux horaire du smic, selon la taille des entreprises. Surtout, les entreprises qui n'auraient rien fait pendant trois ans voient la pénalité grimper à 1 500 fois le smic. La loi étend aussi le principe de la contribution aux établissements publics. Elle durcit, enfin, le décompte des personnes considérées comme bénéficiaires. La loi de 2008 adoucit un peu ce mode de calcul en permettant aux travailleurs présents moins de six mois dans l'entreprise d'être décomptés.

Combien sont-ils ?

En 2010, dans le privé, on compte 97 200 entreprises assujetties à l'obligation d'emploi, employant 336 900 travailleurs handicapés, soit un taux d'emploi de 2,8 % en équivalent temps plein. Dans le public, on compte 10 214 employeurs employant 187 217 travailleurs handicapés.

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Le taux de chômage des handicapés explose

13 Novembre 2012, 22:34pm

Publié par hugo

Le Point.fr - Publié le 12/11/2012 à 15:10

Double peine : en trois ans, le nombre de demandeurs d'emploi handicapés a augmenté de 30 %, selon l'association Adapt.

La Semaine pour l'emploi des personnes handicapées, dont la seizième édition s'ouvre lundi, vise notamment à convaincre les entreprises de leur intérêt à recruter des handicapés.

La Semaine pour l'emploi des personnes handicapées, dont la seizième édition s'ouvre lundi, vise notamment à convaincre les entreprises de leur intérêt à recruter des handicapés. © Anne-Christine Poujoulat / AFP

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Alors que s'est ouverte lundi la 16e édition de la Semaine pour l'emploi des personnes handicapées, le taux de chômage a "explosé" ces dernières années au sein de cette population, signale l'association Adapt, organisatrice de l'événement.

En trois ans, le nombre de demandeurs d'emploi handicapés a augmenté de 30 %, précise l'association. Sur la seule année 2011, leur nombre a progressé de 13,9 %, "alors qu'il n'augmentait que de 5,3 % pour l'ensemble de la population active". Or, en 2007, selon les dernières données statistiques disponibles, le taux de chômage des personnes handicapées se montait déjà à 20 %, soit le double de la moyenne nationale.

La loi du 10 juillet 1987 fixe pourtant à tout établissement privé ou public d'au moins 20 salariés une obligation d'employer au moins 6 % de personnes handicapées. Mais des alternatives à l'emploi direct s'offrent aux entreprises pour remplir leurs obligations légales. Elles peuvent notamment, pour compenser le non-respect de l'obligation d'emploi, s'acquitter d'une contribution financière annuelle à l'Association de gestion du fonds pour l'insertion professionnelle des personnes handicapées (Agefiph).

"Double peine" pour les jeunes handicapés

Résultat, 39 % des entreprises privées assujetties à l'obligation légale affichent toujours un quota de travailleurs handicapés inférieur à 6 %, et 8,3 % n'ont même aucun employé en situation de handicap (selon les données 2009 de l'Agefiph). "Le taux d'emploi [...] ne s'établit qu'à 2,7 % dans le privé, tandis qu'il est de 4,2 % dans le public", déplorait en juillet un rapport d'information au Sénat.

Pour inciter les entreprises à agir, la loi Handicap du 11 février 2005 a augmenté la pénalité financière prévue en cas de manquement. Désormais, les établissements n'ayant entrepris aucune action "positive" relative à l'emploi de travailleurs handicapés durant quatre années consécutives doivent payer 1 500 fois le smic horaire par emploi bénéficiaire manquant (soit 13 785 euros). Ce qui a fait fortement reculer en 2009, première année d'application de cette disposition, la proportion de ces établissements dits "à quota zéro" (elle était de 35 % en 2006).

"Le principal obstacle à l'accès et au maintien dans l'emploi des personnes handicapées est leur faible niveau de qualification", pointaient dans leur rapport les sénatrices Claire-Lise Campion etIsabelle Debré. "Près de 83 % d'entre elles ont aujourd'hui une qualification égale ou inférieure au CAP ou au BEP", poursuivaient-elles, ce qui équivaut pour les jeunes handicapés à une "double peine". Les sénatrices préconisaient donc "d'agir en faveur des jeunes handicapés pour favoriser leur réussite scolaire et leur future insertion professionnelle". C'est justement le thème de cette semaine pour l'emploi des personnes handicapées que l'Adapt a axée sur les jeunes.

 

http://www.lepoint.fr/societe/le-taux-de-chomage-des-handicapes-explose-12-11-2012-1528041_23.php

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HANDICAP : QUEL ACCUEIL POUR LES TOUT-PETITS ?EMISSION LES MATERNELLES

3 Novembre 2012, 00:10am

Publié par hugo

LES MATERNELLES

 

EMISSION DU 31/10/2012HANDICAP : QUEL ACCUEIL POUR LES TOUT-PETITS ?

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Invitées

Aurelie est la maman de Clément, 17 mois. Clément a été diagnostiqué de surdité profonde à 8 mois, il est atteint du syndrome de Usher de type 1 diagnostiqué à 13 mois. Aurélie fait partie de l’Association Syndrome de Usher.

Mélanie est la maman de Roman âgé de 3 ans qui est en situation de handicap. Roman est atteint du syndrome d’Angelman, ce qui implique un handicap lourd. Le petit garçon est dans une crèche qui reçoit des enfants porteurs ou non de handicap. Mélanie est en train, avec d’autres parents de la crèche, de monter une association pour promouvoir l’accueil des jeunes enfants en situation de handicap en milieu ordinaire. 

Sophie Cluzel
, Présidente de la FNASEPH (Fédération Nationale des Associations au Service des Elèves Présentant une Situation de Handicap).

Spécialiste

Simone Korff-Sausse, Psychanalyste.
Auteur, avec Cécile Herrou, L’intégration collective de jeunes enfants handicapés, Erès, rééd. 2007.

Préparé par

Jeanne Rey et Pauline Merle

SERVICES PRATIQUES

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L’obligation d’emploi de personnes handicapées

1 Novembre 2012, 03:43am

Publié par hugo

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