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Le rapport choc de l’UNICEF sur la situation des enfants en France

23 Novembre 2022, 03:59am

Publié par hugo

 enfants
Le rapport choc de l’UNICEF sur la situation des enfants en France
21 novembre 2022
42 000 enfants SDF, inégalités scolaires, santé mentale, précarité, violences, délabrement de l’aide sociale à l’enfance (ASE), explosion des tentatives de suicide : les passages aux urgences qui y sont liés ont augmenté de 52% en 2021 par rapport à 2018 et 2019 pour les 11-14 ans… L’UNICEF sort un rapport choc intitulé « Droits des enfants en France – Aperçu des avancées et des défis – 2022 ». Adeline Hazan, présidente de l’UNICEF France, résume ainsi le rapport : « C’est un cri d’alarme sur la situation des enfants en France. » Notre article.

Santé mentale : explosion des tentatives de suicide
Les chiffres concernant la santé mentale des enfants sont affolants. Une des principales causes de cette dégradation ? Les conséquences de la crise du Covid-19. Selon l’UNICEF, un tiers « des enfants de 6-18 ans déclarent souffrir de troubles psychologiques ». L’association estime « qu’entre 200 000 et 400 000 enfants ont besoin de soins en santé mentale ».

Malgré cette situation, « il faut attendre six mois à un an et demi pour avoir un rendez-vous dans un centre médico-psychologique », déplorait la présidente de l’UNICEF au Journal Du Dimanche la semaine dernière. À ces chiffres s’ajoutent ceux des tentatives de suicide. Les passages aux urgences qui y sont liées ont augmenté de 52% en par rapport à 2018 et 2019 pour les… 11-14 ans. De même, ils ont augmenté de 35% pour les 11-17 ans.

École : la spirale des inégalités
La France a un taux de scolarisation élevé (97% à 3 ans et 100% à 6 ans). Cependant, ce taux « cache des disparités d’accès selon les territoires et les milieux sociaux », souligne le rapport de l’UNICEF. En Guyane, 7,4% des enfants de 6 à 13 ans ne sont pas scolarisés. Les difficultés d’accès à l’éducation pour des enfants en situation de handicap sont tellement criantes que « 20% des saisines du Défenseur des droits relatives aux droits de l’enfant en 2021 » y sont liées.


Précarité, violence : de nombreux enfants dans une grande détresse
Nous vous en parlions dans nos colonnes la semaine dernière. 42 000 enfants sont sans domicile fixe dans notre pays. Parmi eux, entre 1 500 et 1600 dorment dans la rue : 368 ont moins de trois ans. « C’est énorme, d’autant plus que ce chiffre a augmenté depuis la crise sanitaire », selon Adeline Hazan, présidente de l’UNICEF (Journal Du Dimanche). Toujours selon l’UNICEF, « plus d’1 enfant sur 5 vivent dans un ménage dont le niveau de vie est inférieur au seuil de pauvreté ». En outre-mer, la situation est plus grave encore. À Mayotte, 8 enfants sur 10 vivent sous le seuil de pauvreté contre 6 sur 10 en Guyane.

Pour aller plus loin : Scandale : 42 000 enfants sont SDF en France

Les chiffres des violences envers les enfants glacent le sang. Le rapport de l’UNICEF dénombre « 160 000 enfants victimes de violences sexuelles » tous les ans. Un enfant est tué tous les cinq jours par l’un de ses parents. 10% des enfants seraient victimes de négligence ou de violences psychologiques. Enfin près de la moitié des Français (45%) « suspectent au moins un cas de maltraitance dans leur environnement immédiat, familles, voisins, collègues, amis proches ».

Le délabrement de l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE)
L’ASE n’arrive pas à remplir sa mission comme elle le devrait. L’UNICEF dénonce « des dépenses et des taux d’encadrement inégaux selon les départements ». « Il y a de plus en plus d’enfants confiés à l’aide sociale à l’enfance [ASE], mais le coût moyen de prise en charge diminue, et avec lui la qualité de l’accueil  », résume Adeline Hazan au JDD.


Une information attitre l’attention. « 36% des jeunes placés dans leur enfance déclarent un mauvais état de santé et des cas de violence institutionnelle ont été avérés », dénonce le rapport. « On n’en peut plus ! », nous avait expliqué Audrey, assistante sociale à l’ASE. Un témoignage poignant. Maltraitance institutionnelle, manque de moyens… Un discours qui fait écho au délabrement de l’ASE pointé dans le rapport de l’UNICEF.

Inégalités scolaires, précarité, violences, santé mentale et délabrement de l’ASE : le rapport de l’UNICEF est accablant. Face à cette situation, les insoumis défendent la création d’un service public de la petite enfance et davantage de moyens pour la protection de l’enfance. L’urgence sociale absolue est là, sous nos yeux. Il est temps de la prendre à bras le corps.

CatégoriesÀ la Une, Les articles, Nos portraits, Politique


https://linsoumission.fr/2022/11/21/enfants-unef-rapport-choc/

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Dix députés pour une nuit du 4 août,economie,

18 Juillet 2013, 00:00am

Publié par hugo

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Dépêches > politique du jeudi 20 Juin à 09H17
Dix députés pour une nuit du 4 août


Dix députés réclament l'abolition des avantages des élus © Reuters - 2013
Et si on abolissait (encore) les privilèges ? C'est la proposition de dix députés de droite et de gauche, qui réclament dans le Nouvel Observateur un encadrement des avantages dont jouissent les élus français. L'idée ne plait pas à tout le monde...


Ils sont dix à vouloir (toutes proportions gardées) jouer les révolutionnaires comme un certain 4 août 1789. Dans le Nouvel Observateur paru ce jeudi, dix élus de la génération montante prônent des mesures radicales : abolition du régime spécial des retraites des élus, fin de l'exonération fiscale de l'indemnité de frais de mandat, la publication de l'utilisation de la "réserve parlementaire"...


"Osons rénover l'Assemblée !", proclament les socialistes Olivier Faure, Jérôme Guedj, Razzy Hammadi, Barbara Romagnan et Karine Berger, les écologistes François de Rugy et Barbara Pompili, ainsi que les UMP Laurent Wauquiez, Bruno Le Maire et Gérald Darmanin.


Qu'y a-t-il dans ce texte ? Le point avec Carine Bécard.


Lecture




De nombreuses dents grincent


Comme on pouvait le prévoir, leur initiative n'a pas été du goût de tous les parlementaires. Le président du groupe UMP à l'Assemblée, Christian Jacob, se déclare ainsi hostile à la plupart des propositions.


"Il ne faut pas supprimer le régime de retraites. Parlementaire, ce n'est pas un métier", explique-t-il. "Faisons attention à l'atteinte que l'on est en train de porter à la liberté d'exercice du mandat", répond-il à la proposition de rendre obligatoire la démission d'un fonctionnaire de son poste au bout de deux mandats de député.


Le député UMP Eric Woerth est tout aussi dubitatif : "je remarque que tous ceux qui essaient de laver plus blanc, c'est une posture", lance l'ancien ministre du Budget.


Annick Lepetit, porte-parole du groupe PS, estime de son côté que les signataires cherchaient à faire parler d'eux.


Les dix députés veulent aller beaucoup plus loin que le projet de loi sur la transparence, actuellement à l'étude à l'Assemblée nationale et largement amputé, sous pression des parlementaires.


Des mesures pour aller plus loin


Parmi les idées lancées par les dix parlementaires, celle d'Olivier Faure de publier les augmentations de patrimoine entre le début et la fin du mandat parlementaire. Laurent Wauquiez prône lui la suppression du régime spécial des retraites et l'alignement complet sur le régime de droit commun.


Quant à Bruno Le Maire, il juge anormal que 38% des députés soient issus de la fonction publique et demande que tous les hauts fonctionnaires remettent leur démission lorsqu'ils deviennent parlementaires.


Alors que François de Rugy réclame un contrôle des lobbyistes qui "circulent librement" au palais Bourbon et y organisent même des colloques.


Le député EELV était l'invité de Pascale Clark.






Par France Inter avec Reuters | 20 juin 2013 à 09:17 | 0 vue
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Notre époque encourage et valorise l'imposture

2 Juillet 2013, 18:40pm

Publié par hugo



© Jupiter
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Notre époque encourage et valorise l'imposture


Les menteurs, tricheurs et autres séducteurs sont partout, et de plus en plus nombreux, assure le psychanalyste Roland Gori, qui refuse de les stigmatiser. L’origine de leur ascension se trouve, selon lui, dans les valeurs de performance.


Hélène Fresnel


Psychanalyste, professeur émérite de psychopathologie clinique à l’université d’Aix-Marseille, élève de Didier Anzieu, Roland Gori, 69 ans, a publié de nombreux ouvrages qui mettent en garde contre la multiplication des normes et des règles. En décembre 2008, il a lancé L’Appel des appels, mouvement regroupant des professionnels de la santé, de la justice et de l’éducation qui protestent contre le recours excessif à l’évaluation dans la pratique de leurs métiers. Il n’appartient à aucune chapelle, et ses influences vont de Freud à Winnicott en passant par Lacan. Son ouvrage, La Fabrique des imposteurs, est publié chez Les Liens qui libèrent (LLL).
Psychologies : Pensez-vous que nous sommes tous des imposteurs ?
Roland Gori : Oui. L’imposture commence dès que vous vous camouflez, vous dissimulez, vous habillez. C’est une attitude tout à fait humaine : nous n’allons pas révéler nos peurs les plus secrètes, nos fantasmes les plus obscurs en société. Nous ne pouvons pas vivre « nus » aux yeux des autres. En revanche, il y a des degrés dans l’imposture. L’écart est large entre l’ensemble de dissimulations auxquelles nous ne pouvons pas échapper – les petits mensonges destinés à cacher des moments de plaisirs interdits, par exemple – et les grandes falsifications, comme celle du faux médecin Jean-Claude Romand. Il faut donc distinguer les petits arrangements de la comédie sociale de la grande imposture.


Qu’est-ce que « la figure de l’authentique imposteur » à laquelle votre livre s’intéresse ?
Roland Gori : C’est un tartuffe, quelqu’un qui prend de fausses apparences pour tromper, séduire et abuser ses contemporains. Il cherche à se faire passer pour ce qu’il n’est pas à partir de l’attente des autres. C’est un hypocrite, un tricheur, un fraudeur. Il s’adapte parfaitement à l’univers dans lequel il évolue. Le seul problème, c’est qu’il change sans cesse d’avis : il peut tenir n’importe quel discours et ne s’approprie jamais les valeurs, les principes qu’il feint de défendre. C’est ce chef de service qui assure à son employé qu’il va tout faire pour sauver son emploi et qui discute ensuite avec son directeur des modalités les plus appropriées pour supprimer son poste. C’est cet homme d’affaires qui achète des entreprises avec des fonds qu’il n’a pas, cet homme politique qui promet de lutter contre la fraude aux impôts tout en ouvrant des comptes dans des paradis fiscaux. On a l’impression qu’il n’a aucune conviction, qu’il n’éprouve pas d’affects authentiques. La question est de savoir s’il y a quelqu’un sous l’habit. Est-ce qu’il y a un sujet ? Non. C’est surtout un vide ontologique, une simple éponge vivante absorbant les valeurs de son environnement. L’imposteur se faufile dans le maquis des normes sociales comme un caméléon insaisissable.


Mais ce phénomène a toujours existé, non ? Vous citez d’ailleurs Le Tartuffe de Molière, qui se déroule au XVIIe siècle…
Roland Gori : C’est exact. L’imposture prend des formes différentes selon les siècles. Elle s’imprègne des valeurs du moment. L’imposteur s’adapte à l’époque dont il est le produit et à ses codes de conduite : chez Molière, il cultive les apparences du dévot avec son discours, ses rituels et ses génuflexions, mais il ne possède pas la foi et exploite ceux qui l’ont. Aujourd’hui, il tente de répondre aux attentes sociales qui se situent du côté de l’argent, d’un savoir expert qu’il n’a pas et de performances qu’il truque ou invente. Il triche comme Lance Armstrong, présente un faux bilan financier comme la Grèce pour satisfaire aux exigences du FMI, etc. Mais ce qui est nouveau, c’est l’ampleur du phénomène, le fait que notre société le fabrique et le favorise.


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Les instits français travaillent plus et sont moins bien payés que leurs confrères

26 Juin 2013, 09:08am

Publié par hugo

Les instits français travaillent plus et sont moins bien payés que leurs confrères
L'Expansion.com avec AFP - publié le 25/06/2013 à 12:07
Les professeurs des écoles sont moins bien payés en moyenne que leurs collègues de l'OCDE, selon une étude publiée par l'Organisation des pays développés. Et ils passent plus de temps devant leurs élèves.


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Les professeurs des écoles français sont moins bien payés que leurs collègues de l'OCDE.
REUTERS/Charles Platiau
Une étude qui pourrait causer des soucis à l'Education nationale... Les professeurs des écoles français sont sous-payés. La moyenne de leurs salaires est inférieure à celle de leurs confrères des pays de l'OCDE, et l'écart avec leurs collègues du secondaire est également plus fort en France qu'ailleurs.


La France 25e sur 36 pays
Selon le rapport "Regards sur l'éducation" publié mardi par l'Organisation mondiale du commerce, "le salaire des enseignants en France est nettement inférieur à la moyenne de l'OCDE, que ce soit au primaire, au collège ou au lycée", a souligné Eric Charbonnier, analyste des questions de l'éducation à l'OCDE. Le salaire des enseignants débutants est ainsi inférieur à la moyenne de 11% dans le primaire, de 5% au collège et de 8% au lycée. "En début de carrière en primaire, la France se classe 25e sur 36 pays", a souligné M. Charbonnier. Un "rattrapage" s'opère en fin de carrière, les instituteurs français remontant à la 16e place sur 36, mais il faut 34 années à un enseignant français pour y arriver contre 24 dans l'OCDE.


Ecart entre le primaire et le secondaire
La France se distingue aussi par l'ampleur des écarts de salaire entre le primaire et secondaire. "En France, un enseignant débutant du collège gagne 9% de plus qu'un enseignant débutant du primaire. Il y a peu de pays où les écarts sont aussi importants", a relevé M. Charbonnier. Un instituteur français perçoit 23 077 euros par an en début de carrière (hors primes et heures supplémentaires). Après 15 ans d'exercice, son salaire est de 29 831 euros, pour atteindre 44 016 euros en fin de carrière.


C'est nettement moins que ses collègues du collège et du lycée. En début de carrière le salaire moyen est de 25 783 euros pour les professeurs au collèges et de 25 998 euros, au lycée. Au bout de 15 années de travail, ce salaire est estimé à 32 537 euros au collège et à 32 752 euros au lycée. En fin de carrière, il est de 46 872 et 47 108. Entre 2000 et 2011, le salaire des enseignants avec quinze ans d'ancienneté, corrigé de l'inflation, a augmenté dans la plupart des pays, mais il a diminué en France. Depuis 2008 à l'inverse, sur fond de crise, le salaire des profs a baissé dans 12 pays sur 25 de l'OCDE pour lesquels ces données sont disponibles, mais il est inchangé dans l'Hexagone.


Salaire inférieur mais temps de travail supérieur
La France est aussi "un des pays où il y a les écarts les plus forts" dans "le temps de présence devant les élèves", autrement dit hors corrections, préparations des cours. Le temps de travail en classe est ainsi 40% plus important dans le primaire que dans le secondaire. Les instituteurs français passent 936 heures par an devant les élèves, soit 146 heures de plus que leurs homologues de l'OCDE. "Il y a une véritable réflexion à avoir aujourd'hui sur ces écarts aussi bien de salaire que de temps de travail, car si on cumule les deux dimensions, on voit bien que la France demeure assez atypique", a déclaré M. Charbonnier.


"Il devrait y avoir une réflexion comme cela existe dans un grand nombre de pays" sur une aide aux devoirs ou l'individualisation des difficultés des élèves à l'intérieur de l'école", alors que pour les enseignants du secondaire, cela se passe souvent chez eux à travers la correction, a-t-il fait valoir. Il faudrait aussi "une réflexion sur la valorisation du salaire des enseignants du primaire". La France se distingue enfin par le temps de cours consacré aux fondamentaux en primaire : 37% du temps est dédié à la lecture, l'expression écrite et la littérature et 21% aux mathématiques.


Compte tenu des mauvais classements de la France dans d'autres enquêtes de l'OCDE (Pirls, Pisa), "il y a peut-être matière à faire mieux à la vue du nombre d'heures dans ces matières importantes dans l'enseignement", fait valoir M. Charbonnier, estimant que la qualité est toujours préférable à la quantité. Le ministre de l'Education nationale Vincent Peillon a ouvert des discussions sur une revalorisation des salaires des professeurs des écoles et d'une partie des personnels administratifs. Selon des syndicats, qui considèrent qu'une prime annuelle de 400 euros serait un début, une rencontre est prévue mercredi au ministère.




En savoir plus sur http://lexpansion.lexpress.fr/economie/les-instits-francais-font-partie-des-moins-bien-payes-des-pays-developpes_391351.html#m1ywW3FYhvZwxEtV.99

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Sondage : Hollande devancé par Sarkozy et Le Pen en cas de 1er tour

2 Mai 2013, 00:06am

Publié par hugo

Sondage : Hollande devancé par Sarkozy et Le Pen en cas de 1er tour

Publié le 29.04.2013, 20h40 | Mise à jour : 21h14

Si le premier tour de la présidentielle était organisé ce dimanche, François Hollande ne décrocherait que 19% des suffrages, selon un sondage CSA pour BFMTV. Nicolas Sarkozy obtiendrait 34% des suffrages, Marine Le Pen 23%. | (AFP/Ed Jones.)

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Suicide du médecin de Koh-Lanta au Cambodge

2 Avril 2013, 15:03pm

Publié par hugo

Suicide du médecin de Koh-Lanta au Cambodge

Le docteur Thierry Costa, 38 ans, médecin de l'émission phare de télé-réalité Koh-Lanta diffusée par TF1, s'est donné la mort lundi au Cambodge, a annoncé la production Adventure Line productions (ALP) dans un communiqué.

Photographe : Rob Elliott :: Paysage au Cambodgephoto : Rob Elliott, AFP

Le défunt a laissé une lettre posthume transmise à l'AFP dans laquelle il dit avoir été "sali" dans les médias par "des articles mensongers".

"Ces derniers jours mon nom a été sali dans les médias. Des accusations et suppositions injustes ont été proférées à mon encontre", écrit le médecin, âgé de 38 ans, dans la lettre dont l'AFP a obtenu une copie par la société prestataire de la production de l'émission, pour laquelle travaillait le médecin.

Son suicide survient un peu plus d'une semaine après la mort d'un candidat de l'émission âgé de 25 ans, Gérald Babin, au premier jour de tournage de la 16e saison, dans l'île de Koh Rong, au large de Sihanoukville (sud).

"Nous apprenons avec consternation que le docteur Thierry Costa s'est donné la mort aujourd'hui au Cambodge", déclare ALP dans le communiqué.

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"Thierry Costa, 38 ans, médecin-urgentiste (...) était également le médecin de Koh-Lanta depuis quatre saisons. Son très grand professionnalisme et son humanité à l'égard des participants et des équipes de production ont toujours fait l'unanimité. Il a laissé une lettre qui a été transmise à sa famille", ajoute le texte.

"Cet événement tragique doit inciter ceux qui accusent et commentent sans discernement à faire preuve de responsabilité", ajoute ALP dans le communiqué.

Thierry Costa avait commencé la médecine il y a 20 ans. Il s'était spécialisé dans la médecine d'urgence après des études de médecine générale. Il exerçait à la fois en cabinet et à l'hôpital, selon la production.

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lettre qui accuse les médias

2 Avril 2013, 14:49pm

Publié par hugo

Suicide du médecin de Koh-Lanta : la lettre qui accuse les médias
Publié le 02 avril 2013 | 
Commentaires (5)

Quelques jours après la mort de Gérald Babin, un candidat, sur le tournage de Koh-Lanta, le médecin de l’émission Thierry Costa s’est suicidé. Il était profondément meurtri par les accusations portées sur ses capacités et ses engagements en tant que médecin.

« Ces derniers jours, mon nom a été sali dans les médias. Des accusations et suppositions injustes ont été proférées à mon encontre ». Dans une lettre, Thierry Costa, âgé de 38 ans, explique les raisons qui l’ont poussé à se suicider.  Le médecin de l’émission de téléréalitéKoh-Lanta ne supportait plus les accusations qui pesaient sur lui depuis la mort de Gérald Babin, l’un des candidats de la dernière édition, lors de la toute première épreuve.

 

 

Alors que le parquet de Créteil avait ouvert une instruction pour homicide involontaire, plusieurs témoignages accusaient la production et le médecin de ne pas avoir fait tout ce qui était en leur pouvoir pour sauver le jeune homme âgé de 25 ans. Selon eux, plusieurs minutes se seraient écoulées entre le malaise du candidat et l’action des secours. L’entrée du médecin aurait même été rejouée pour obtenir de meilleures images de son intervention.

 

Des soupçons trop lourds à porter pour Thierry Costa qui a choisi de mettre fin à ses jours au Cambodge. « Je suis certain d'avoir traité Gérald d'une manière respectable, comme un patient et non comme un candidat. Même si je regrette cette fin malheureuse, j'ai agi conformément au serment d'Hippocrate et entouré de vrais professionnels », explique-t-il dans une lettre retrouvée dans sa chambre d’hôtel.  

 

La lettre a été authentifiée par la société de production Adventure Line et dévoilée à la demande de la famille qui a insisté pour qu’elle soit diffusée, pour que les raisons du suicide de Thierry Costa soient connues.

Par Laetitia Reboulleau

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«Ma première fois avec Obama», la vidéo polémique 27 octobre 2012 à 09:37

3 Novembre 2012, 04:00am

Publié par hugo

les urnes le 6 novembre.

«Ma première fois avec Obama», la vidéo polémique
27 octobre 2012 à 09:37
Capture d'écran de la vidéo de Lena Dunham.
Capture d'écran de la vidéo de Lena Dunham. (DR)

ARTICLE+VIDÉO Une publicité met en scène une actrice invitant les jeunes électrices américaines à donner leur premier vote à Barack Obama. Colère des opposants conservateurs qui la jugent «insultante pour les femmes».

Une publicité mettant en scène une actrice invitant les jeunes électrices américaines à partager leur «première fois» avec Barack Obama a enflammé vendredi Internet et suscité l’ire des adversaires conservateurs du président démocrate.

«La première fois, on ne devrait pas le faire avec n’importe qui. On devrait le faire avec un super mec», déclare dans une courte vidéo Lena Dunham, star de la série américaine «Girls».

La brunette à cheveux courts, âgée de 26 ans, personnage principal et créatrice de la série, ne parle pas de sexe mais de politique, pour inciter les jeunes femmes à aller voter pour le candidat démocrate.

«La première fois que je suis allée voter ça a été incroyable», poursuit l’actrice, vêtue d’un tee-shirt blanc sans manches. «J’ai passé un cap: avant j'étais une fille - maintenant je suis une femme», ajoute-t-elle, évoquant ensuite d’autres thèmes de campagne comme la guerre en Irak et l'égalité de salaires entre hommes et femmes.

«Tu dois le faire avec un mec qui a ramené les troupes d’Irak», poursuit-elle. La jeune actrice a aussi enflammé le réseau social Twitter en affirmant dans un message : «Ma première fois c'était avec @BarackObama. Je vous recommande vivement de faire la même chose», et en postant un lien vers la vidéo.

Vendredi en fin de journée, le clip de campagne avait déjà été regardé sur le site YouTube par plus de 437 000 personnes. Les conservateurs ont rapidement critiqué le clip, le blogueur Ben Shapiro la jugeant sur le site Breitbart «incroyablement de mauvais goût» et s’insurgeant contre une publicité qui compare «le fait de voter la première fois avec la perte de sa virginité».

L’animateur de radio ultraconservateur Rush Limbaugh, dont l'émission est diffusée sur plus de 600 radios, a jugé la publicité«insultante pour les femmes»«Une fois encore c’est considérer les femmes comme des machines à sexe qui veulent toujours être sûres d’avoir leurs pilules et de pouvoir aller le jour suivant au planning familial, tout ça financé par Obama», a-t-il ajouté. Rush Limbaugh avait provoqué une polémique en mars en qualifiant de «salope» et de«prostituée» une étudiante qui militait en faveur du remboursement des contraceptifs.

(AFP)

Retrouvez toute l’actualité des élections américaines sur Libération.fr

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Article sans titre

29 Novembre 2011, 18:16pm

Publié par hugo

 

VOIR LE BLOG SARKOSTIQUE , BLOG ANTI SA

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Identité sexuelle: des députés UMP demandent le retrait de manuels scolaires

30 Août 2011, 18:24pm

Publié par hugo

30/08/2011 à 13:06

Identité sexuelle: des députés UMP demandent le retrait de manuels scolaires

Quatre-vingt députés UMP ont demandé mardi au ministre de l'Education nationale, Luc Chatel, le retrait de manuels scolaires qui expliquent "l'identité sexuelle" des individus autant par le contexte socio-culturel que par leur sexe biologique.

Photographe : Anne-Christine Poujoulat :: Luc Chatel le 21 juin 2011 à la sortie du collège Voltaire à Florensac photo : Anne-Christine Poujoulat, AFP

Ces parlementaires, conduits par Richard Maillé, député des Bouches-du-Rhône, font ainsi écho aux critiques exprimées sur le même sujet au printemps par la direction de l'enseignement catholique.

Dans une lettre au ministre, ils estiment que ces manuels de SVT (Sciences et vie de la terre) de classe de première font référence à "la théorie du genre sexuel".

"Selon cette théorie, les personnes ne sont plus définies comme hommes et femmes mais comme pratiquants de certaines formes de sexualités: homosexuels, hétérosexuels, bisexuels, transsexuels", écrivent-ils. Il s'agit selon eux d'une "théorie philosophique et sociologique qui n'est pas scientifique, qui affirme que l'identité sexuelle est une construction culturelle".

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Les signataires citent un passage d'un manuel publié par Hachette: "Le sexe biologique nous identifie mâle ou femelle mais ce n'est pas pour autant que nous pouvons nous qualifier de masculin ou de féminin. Cette identité sexuelle, construite tout au long de notre vie, dans une interaction constante entre le biologique et contexte socio-culturel, est pourtant décisive dans notre positionnement par rapport à l'autre".

Jugeant "du devoir de l'Etat de mieux contrôler le contenu des manuels scolaires" et ajoutant que "la +théorie du genre sexuel+ n'apparaît pas stricto sensu dans les programmes d'enseignement de SVT" définis par le ministère, les députés concluent à l'adresse de Luc Chatel: "Nous comptons sur votre action afin de retirer des lycées les manuels qui présentent cette théorie".

Dans une circulaire du 30 septembre 2010, le ministère indiquait que les programmes de SVT de première devaient comporter un chapitre intitulé "devenir homme ou femme". "Si l'identité sexuelle et les rôles sexuels dans la société avec leurs stéréotypes appartiennent à la sphère publique, l'orientation sexuelle fait partie, elle, de la sphère privée", précisait la circulaire.

La lettre est notamment signée par Christian Vanneste, Lionnel Luca et Jacques Myard, fondateurs du collectif de la Droite populaire, Bernard Debré, Eric Raoult et Hervé Mariton.

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