Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le blog de hugo,

bebe

Alcool et grossesse: «Aujourd’hui, un enfant naît chaque jour avec des troubles liés à l'alcoolisation fœtale»,enfant,bebe,sante

6 Septembre 2018, 00:17am

Publié par hugo

 


AccueilSanté
Alcool et grossesse: «Aujourd’hui, un enfant naît chaque jour avec des troubles liés à l'alcoolisation fœtale»
INTERVIEW Nolwenn Regnault, coordinatrice du programme de surveillance de la santé périnatale chez Santé publique France, analyse les premières estimations nationales des troubles causés par la consommation d'alcool pendant la grossesse...
Propos recueillis par Oihana Gabriel
Google +
Twitter
Publié le 04/09/18 à 10h39 — Mis à jour le 04/09/18 à 15h54
21
commentaires
417
partages
Partager sur Messenger
Partager sur Facebook
Partager sur Twitter
Partager sur Flipboard
Partager sur Google+
Partager sur Pinterest
Partager sur Linkedin
Imprimer
Envoyer par Mail
 
Une femme enceinte tenant un verre d'alcool à la main (illustration). — Rafael Ben-Ari/Chameleo/REX/SIPA
C’est une première : Santé Publique France dévoile une étude nationale sur les syndromes d’alcoolisation fœtale mais aussi les troubles causés par la consommation d’alcool pendant la grossesse, plus difficiles à diagnostiquer.
Entre 2006 et 2013, 3.207 nouveau-nés ont présenté au moins une conséquence liée à l’alcoolisation fœtale, dont pour 452 d’entre eux un syndrome d’alcoolisation fœtale (SAF).
La journée mondiale de sensibilisation au syndrome de l'alcoolisation foetale se tient le 9 septembre, date du lancement de la nouvelle campagne de communication.
« Parce qu’aujourd’hui personne ne peut affirmer qu’un seul verre soit sans risque pour le bébé : par précaution, zéro alcool pendant la grossesse » Le message est certes long, mais précis. La nouvelle campagne de Santé Publique France, qui sera lancée le 9 septembre, s’appuie sur de nouveaux chiffres sur l’alcoolisation fœtale. Selon une récente enquête, rendue publique ce mardi, 3.207 enfants sont nés entre 2006 et 2013 avec des problèmes de santé liés à l’alcool in utero, soit 0,48 cas pour 1.000 naissances. Pour décrypter ces premières estimations nationales, Nolwenn Regnault, épidémiologiste et coordinatrice du programme de surveillance de la santé périnatale chez Santé publique France a répondu à nos questions.
 
L’étude dévoilée ce mardi ne s’intéresse pas seulement au syndrome de l’alcoolisation fœtale, le plus grave et le plus visible, mais aussi aux divers troubles causés par une alcoolisation fœtale… Que peut-on en déduire ?
C’est une première étude qui donne une estimation au niveau national du nombre d’enfants atteints par des troubles causés par une alcoolisation fœtale, diagnostiqués dans les 28 premiers jours de vie. Aujourd’hui, un enfant naît chaque jour avec des troubles et un bébé par semaine avec un syndrome d’alcoolisation fœtale (SAF), la forme la plus grave. Ce n’est pas fréquent mais le risque existe, il est évitable et cette alcoolisation fœtale est la première cause de handicap mental non génétique. Avec un impact très important sur la vie de l’enfant et de sa famille.
Est-ce qu’on peut remarquer une évolution ?
Globalement, on remarque entre 2006 et 2013 une stabilité sur l’ensemble des conséquences. Avec une nuance : nos données montrent une tendance à la diminution des cas de syndrome d’alcoolisation foetale, mais une augmentation des troubles autres.
Quelle est la différence entre le syndrome et les troubles ?
Le syndrome d’alcoolisation fœtale a des symptômes bien définis avec des retards de croissance, un visage avec des traits spécifiques, un impact sur le neuro-développement et en particulier une croissance cérébrale plus faible. On parle de troubles non syndromiques quand les enfants ne présentent pas l’intégralité des signes, mais vont avoir des retards de développement. Comme des difficultés d’attention, de mémoire, de sociabilité.
Vous expliquez que ces chiffres sont sans doute sous-estimés, pourquoi ?
On s’intéresse aux diagnostics qui sont posés de la naissance au premier mois. Or beaucoup d’enfants seront diagnostiqués bien plus tard. Et nous n’avons pas tous ceux qui restent non diagnostiqués. L’autre limite, c’est que nous travaillons sur des bases de données médico-administratives : il faut que le diagnostic soit codé pour être identifié. Il peut y avoir une perte d’information.
Cette première étude au niveau national dévoile des inégalités selon les régions…
C’est la première fois qu’on a une étude nationale avec des déclinaisons régionales. Et les régions avec les fréquences des codes les plus élevées sont La Réunion (1,22 pour 1.000), la Haute-Normandie, la Champagne-Ardenne et le Nord-Pas-de-Calais. Mais les écarts peuvent aussi s’expliquer par des différences dans les pratiques professionnelles. Dans ces régions, il existe une forte mobilisation sur l’alcool donc un diagnostic peut-être posé plus fréquemment.
Est-ce que la nouvelle campagne sur l’alcool pendant la grossesse a évolué en fonction de ces nouvelles données ?
Ces chiffres soulignent que les troubles causés par l’alcool sont un problème de santé publique. Le message zéro alcool pendant la grossesse est basé sur les données scientifiques car il n’existe pas de seuil sous lequel on sera sûr qu’il n’y a pas de conséquence sur le bébé.
Est-ce que vous avez l’impression que ce message, « zéro alcool pendant la grossesse » est passé au sein du grand public ?
Le Baromètre santé 2017 de Santé publique France dévoile qu’une femme sur dix a déclaré avoir consommé de l’alcool occasionnellement pendant sa grossesse. C’est moins qu’en 2010, le chiffre atteignait deux femmes sur dix. Malgré tout, on continue à identifier des enfants qui présentent des troubles causés par cette alcoolisation. L’alcool est un toxique pour le fœtus, il est donc important de renforcer ce message. C’est pourquoi nous lançons une nouvelle campagne de communication.
Autre problème : seulement 4 femmes sur 10 ont déclaré ne pas avoir été informées des risques de la consommation d’alcool par le médecin ou la sage-femme…
Quand on évoque cette question avec les personnels de santé, ils remontent certains freins : la durée de la consultation, un sujet difficile à aborder et un manque de formation. Nous avons donc développé sur le site alcool info service des informations précises pour les professionnels. Ces derniers se heurtent par ailleurs à un autre problème : la sous-déclaration des femmes, qui minimisent leur consommation par désirabilité sociale.
L’année dernière, la campagne de prévention sur cette question avait divisé : certains la trouvaient importante, d’autres culpabilisante...
Le principe de précaution prime. Pour les femmes qui auraient des inquiétudes, il faut qu’elles se dirigent vers les professionnels de santé. Santé publique France propose également un numéro vert et un site d’information.
 
>> A lire aussi : Sept questions que vous vous posez (peut-être) sur l'alcool et la grossesse
>> A lire aussi : Alcool: Un nouveau logo «Zéro alcool pendant la grossesse» bientôt sur toutes les bouteilles
 
Mots-clés : enfant Société High-Tech Santé Drogue alcool bébé parents maternité grossesse

https://www.20minutes.fr/sante/2329963-20180904-alcool-grossesse-aujourdhui-enfant-nait-chaque-jour-troubles-lies-alcoolisation-ftale

Voir les commentaires

Un magasin Decathlon épinglé pour sexisme,femmes,sexisme

28 Août 2018, 10:26am

Publié par hugo

 Un magasin Decathlon épinglé pour sexisme

Un internaute a interpellé la chaîne de magasins de sport sur Twitter après avoir constaté la présence de ces emplacements sur le parking du magasin de Châteauroux (Indre).
La devanture d'un magasin Décathlon (illustration)
Crédit : PHILIPPE HUGUEN / AFP
 
Clarisse Martin 
Partager l'article
 
 

publié le 25/08/2018 à 14:02
Un internaute se présentant comme directeur d'hôpital à Châteauroux (Indre) a interpellé la marque Decathlon sur Twitter le 22 août après avoir constaté des emplacements de parking réservés aux femmes avec des enfants aux abords du magasin de la même ville. Sur les places en question, deux dessins : l'un représente une silhouette de femme enceinte et l'autre un landau. Ils indiquent respectivement "femmes enceintes" et "femmes et enfants".
"Pour votre information, il n'y a pas que les femmes qui s'occupent des enfants dans la France de 2018. Une place "parents" n'aurait-elle pas été plus adaptée ? L'égalité entre les hommes et les femmes passe par l'évolution des représentations", écrit l'homme à l'origine du message sur le réseau social.
Un community manager de la marque d'articles de sport et de loisirs a répondu le jour-même, donnant raison à l'internaute. "Je vais partager votre message avec le directeur du magasin de Châteauroux", rajoute-t-il.
À lire aussi
société
Un geste par jour : retrouvez l'intégralité de notre série de l'été pour plus d'égalité
 
 
 
En novembre 2017, Emmanuel Macron a déclaré l'égalité entre les femmes et les hommes "grande cause du quinquennat". Le président de la République avait alors dit que "notre société entière" était "malade du sexisme".
La rédaction vous recommande

https://www.rtl.fr/girls/societe/un-magasin-decathlon-epingle-pour-sexisme-7794531201

on sait que  en general il y a plus de femme  qui s occupe de leur  enfant  de leur bebe  

Voir les commentaires

Couches, lingettes, nettoyants... "60 millions de consommateurs" met en garde contre des produits d'hygiène pour bébés,sante,bebes

24 Août 2018, 07:28am

Publié par hugo

 Couches, lingettes, nettoyants... "60 millions de consommateurs" met en garde contre des produits d'hygiène pour bébés
Résidus de glyphosate, molécules parfumantes allergisantes, irritants, phénoxyéthanol, composés organiques... A partir de l'analyse de 155 références, le magazine a relevé la présence de composants toxiques dans certains produits d'hygiène pour bébés.
Dans son numéro de septembre, le magazine "60 millions de consommateurs" publie les résultats d'une étude révélant la présence de certains produits indésirables dans les produits pour bébés (photo d'illustration) (CHASSENET / BSIP)
Céline Delbecque
franceinfo
France Télévisions
Mis à jour le 23/08/2018 | 10:33
publié le 23/08/2018 | 06:01
Partager
Twitter
Partager
Envoyer
LA NEWSLETTER ACTU
Nous la préparons pour vous chaque matin
Après avoir analysé en février 2017 la composition de plusieurs couches-culottes, 60 millions de consommateurs publie, jeudi 23 août, une nouvelle étude sur les produits d'hygiène destinés aux bébés. Résultat, sur 155 références passées au crible : de "bonnes nouvelles et de mauvaises surprises", résume Benjamin Douriez, rédacteur en chef adjoint du magazine, à franceinfo. En voici les principaux enseignements.
>> Couches, lingettes nettoyantes, petits pots... Tous ces produits pour bébés dont vous devriez lire les étiquettes
Les couches-culottes
Ce qui pose problème. L'étude menée en février 2017 par le magazine dévoilait des résidus de substances potentiellement toxiques dans certaines couches pour bébé. Des dioxines et des résidus de pesticide, dont le controversé glyphosate, considéré comme "cancérogène probable" par le CIRC (Centre international de recherche sur le cancer), avaient ainsi été retrouvés dans les produits de certaines marques.
Sur les douze marques de couches analysées dans cette nouvelle étude, un tiers d'entre elles contiennent des résidus potentiellement à risque toxique, note 60 millions de consommateurs. Le magazine a de nouveau retrouvé des traces de résidus de glyphosate dans les produits de plusieurs marques (Love & Green, Lotus Baby, Pommette ou Lillydoo). La marque Mots d'enfants est également épinglée, pour la "présence de composés organiques volatils (ou COV)". Ce polluant peut provoquer "des irritations de la peau, des muqueuses ou du système pulmonaire".
Même si les teneurs de substances indésirables restent très faibles, le risque sanitaire "ne peut être écarté", estime 60 millions de consommateurs, car "les nourrissons sont également exposés aux glyphosates et aux COV via d'autres sources".
Quelle alternative choisir ? Difficile de s'y retrouver pour le consommateur, note 60 millions de consommateurs, qui pointe un problème d'étiquetage des couches. "Les fabricants ne font toujours pas figurer la composition complète sur les emballages, regrette le magazine. Cette information figure parfois sur les sites internet des marques. Ce qui est insuffisant." Le magazine plébiscite par exemple les Protection Premium de la marque Joone (qui sont également les plus chères du test, à 40 centimes la couche), mais regrette que leur composition soit fournie uniquement en ligne.
Les lingettes nettoyantes
Ce qui pose problème. La plupart des fabricants de lingettes ont renoncé à plusieurs ingrédients controversés, dont le phénoxyéthanol. En 2012, l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) avait recommandé que cette substance, "un conservateur qui prévient les proliférations microbiennes", ne soit pas utilisée dans les produits cosmétiques destinés au siège des bébés. Mais trois des 44 produits testés par le magazine en contiennent toujours, dont un de grande marque : les lingettes ultra-douces au lait de toilette de Mixa Bébé.
L'autre défaut de ces lingettes est que la plupart d'entre elles contiennent des ingrédients indésirables, comme des irritants, des allergisants ou des parfums. A éviter, en raison de "la fréquence élevée d'utilisation" et de leur zone d'application, note le magazine.
Quelle alternative choisir ? Les liniments oléo-calcaires, mélange naturel composé d'huile d'olive et d'eau de chaux, peuvent être une bonne alternative pour les parents pour nettoyer les fesses de leur bébé : sur les 17 références analysées par 60 millions de consommateurs, "aucune n'est à bannir".
Les produits hydratants
Ce qui pose problème. Là encore, certaines marques continuent d'utiliser du phénoxyéthanol dans ces produits, comme le relate 60 millions de consommateurs. "Sur 47 soins hydratants sélectionnés, sept sont à proscrire du fait de leur composition", car ils contiennent soit ce fameux conservateur, soit "un nombre non négligeable d'allergènes". Deux produits de grande marque font figure de mauvais élèves : le lait de toilette très doux de Mixa, et la crème hydratante visage et corps Nivea Baby.
Le magazine alerte également sur l'omniprésence de parfums dans ces produits. "Tous les laits de toilette incluent du parfum, même ceux bénéficiant d'un label bio", déplore l'étude. Là encore, 60 millions de consommateurs déplore un étiquetage "insuffisant" de ces produits : la seule information disponible actuellement sur les emballages est la présence de molécules parfumantes classées dans une liste réglementaire des 26 substances parfumantes allergisantes. Insuffisant, selon le magazine.
Quelle alternative choisir ? 60 millions de consommateurs recommande des références sans parfum. Quelques-unes des références de crèmes hydratantes et de cold cream testées par le magazine n'en contiennent pas.
Les produits nettoyants
Ce qui pose problème. Ces produits, rinçables à l'eau, contiennent moins de risques que les produits hydratants, rarement rincés sur la peau des bébés. Selon l'étude menée par 60 millions de consommateurs, les fabricants de ces produits s'efforcent de limiter les "tensioactifs irritants", capables d'éliminer la saleté et la dissoudre dans l'eau. Il faut être vigilant sur la nature de ces agents lavants, qui peuvent s'avérer irritants pour la peau des bébés. Le magazine recommande d'éviter le sodium lauryl sulfate et l'ammonium lauryl sulfate. Là encore, attention également aux parfums : "Seules six références sur 35 en sont exemptes."
Quelle alternative choisir ? Là encore, 60 millions de consommateurs recommande de privilégier les produits sans aucun parfum. Si vous utilisez des eaux nettoyantes, "mieux vaut les rincer à l'eau", ajoute le magazine, "même si une majorité de fabricants recommandent une utilisation sans rinçage".
L'intégralité du guide d'achat de 60 millions de consommateurs est disponible dans le numéro 540 du magazine, actuellement en vente en kiosques.
A lire aussi
Glyphosate : 8 000 procédures judiciaires engagées contre Monsanto aux Etats-Unis
Produits bébé : trop de résidus toxiques
Santé : du glyphosate dans les couches pour bébé
Santé : du glyphosate dans un tiers des couches-culottes
VIDEO. "Au minimum, mettez des gants" : on a essayé d'acheter du glyphosate et les conseils obligatoires étaient souvent... inexistants
Sujets associés

https://www.francetvinfo.fr/monde/environnement/pesticides/glyphosate/couches-lingettes-nettoyants-60-millions-de-consommateurs-met-en-garde-contre-des-produits-d-hygiene-pour-bebes_2905261.html

Voir les commentaires

Des bars de Bruxelles s'engagent pour l'allaitement en public,femmesn,bebe,grossesse,

21 Août 2018, 07:35am

Publié par hugo

 Des bars de Bruxelles s'engagent pour l'allaitement en public
 
147Partages
Partager sur Facebook
 
 

 
Des bars de Bruxelles s'engagent pour l'allaitement.
 
Par Marguerite Nebelsztein
Publié le Mardi 14 Août 2018

Une campagne lancée par la région de Bruxelles sensibilise les bars à l'allaitement en public. Une soixantaine d'entre eux s'engagent à accueillir les femmes qui donnent le sein sans leur demander de se cacher ou de se couvrir.
Même si l'allaitement est censé être un acte normalisé et naturel, pour celles qui veulent donner le sein, ça n'est pas toujours simple dans les lieux publics. Mais plusieurs initiatives se mettent en place pour dédramatiser ce que certain·e·s voient comme un problème de pudeur.
RTL Info a recueilli les témoignages de plusieurs Belges sur leur expérience de l'allaitement en public. Certaines racontent les remarques qu'elles ont dû subir : "C'est quand même honteux, il existe des biberons!" ou" Cache-toi un peu, c'est dégueulasse". Selon la RTBF, seul 50% des femmes osent allaiter en public.
 
Mais la résistance s'organise. À Bruxelles, en Belgique, une vingtaine de bars ont décidé d'apposer une pancarte sur leur devanture pour prévenir les femmes qui souhaiteraient venir qu'ils sont "Breast Friendly", ou "amis de l'allaitement". Dans ces estaminets, les patrons et les patronnes ne demanderont pas aux femmes qui allaitent de le faire dans les toilettes, de se couvrir ou encore de partir.
Leur choix de faire figurer cet autocollant fait partie de la campagne #BreastFriendly, lancée vendredi 11 août par Bianca Debaets, secrétaire d'État à la Région bruxelloise et membre du Collège de la Commission communautaire flamande chargée du Bien-être et de la Santé, mais aussi les "Wheel of care", un groupe de sages-femmes se déplaçant à vélo chez leurs patientes.
 

 
 
L'une d'elles, Flora Billiouw est interrogée par le média RTL Info : "Je ne pense pas que les femmes doivent être soutenues, mais elles doivent se sentir les bienvenues, [...] elles doivent sentir que ce qu'elles font n'est pas bizarre ni choquant, mais tout à fait naturel."
La secrétaire d'État a déclaré à la RTBF : "L'allaitement maternel devrait être perçu comme un geste tout à fait normal par les établissements horeca car il n'y a rien de plus naturel que de donner le sein à son enfant."
Les établissements Breast Friendly se voient aussi donner un coussin pour faciliter l'allaitement ainsi qu'une table à langer et des sous-verres aux couleurs de leur engagement. D'une vingtaine de bars en début de campagne, ils sont désormais soixante à s'être inscrit en une semaine.
En France, au mois de juillet, une femme s'était faite montrer la sortie d'une Caisse d'allocations familiales d'Amiens pour avoir voulu donner le sein dans la salle d'attente. Fin juillet, une Américaine a répondu de manière hilarante à un patron de restaurant qui lui demandait de se couvrir pour allaiter. Elle s'était mise un chiffon sur la tête.
L'initiative de la ville de Bruxelles n'est pas la seule en faveur de l'affirmation de l'allaitement en public. En juillet, une mannequin avait défilé en maillot de bain sur un podium de Miami avec sa fille au sein. Aussi, des photographes ont lancé la campagne "Anytime, Anywhere", tout le temps, partout, prenant des photos des femmes dans toutes les situations en train d'allaiter.
Monde Société allaitement bebe femmes Belgique News essentielles

http://www.terrafemina.com/article/allaitement-des-bars-de-bruxelles-s-engagent_a344620/1

Voir les commentaires

Argentine : une policière émeut le pays en allaitant un bébé abandonné à l’hôpital,femmes,bebe

19 Août 2018, 07:47am

Publié par hugo

Marcos Heredia/Facebook.
Argentine : une policière émeut le pays en allaitant un bébé abandonné à l’hôpital
Par Alexandre Aflalo, 17 août 2018 | 10h33
Le geste spontané de la fonctionnaire a été massivement partagé - et salué - sur les réseaux sociaux et dans les médias argentins.
La belle histoire du jour nous vient d’Argentine, et nous est rapportée par le HuffPost espagnol. A l’hôpital de Berisso, dans la province de Buenos Aires, une policière en service a honoré sa mission d’aide à la population en décidant d’allaiter un nourrisson abandonné et affamé. Immortalisée, son abnégation a été partagée des dizaines de milliers de fois sur les réseaux sociaux.
C’est son coéquipier, Marcos Heredia, qui a partagé le cliché sur Facebook et raconté ce moment d’altruisme. « Je veux rendre public ce grand geste d’amour que tu as eu aujourd’hui avec ce petit bébé, lui a-t-il rendu hommage. Comme si tu étais sa mère, tu ne t’es pas souciée de la crasse et de l’odeur. Ce genre de choses ne se voit pas tous les jours. »
 

Selon le HuffPost, la jeune femme était à l’hôpital dans le cadre de ses fonctions et le bébé hurlait sa faim depuis plusieurs heures. Étant mère elle-même, Celeste Ayala a demandé la permission au personnel de l’hôpital de nourrir l’enfant qui, selon le quotidien argentin La Nación, était livré à lui-même dans cet hôpital après avoir été séparé de sa mère sur ordre du tribunal de la famille.
Relayé par de nombreux médias argentins, ce post a été partagé près de 100 000 fois vendredi sur Facebook. Même le service des pompiers volontaires de Berisso, dont fait également partie la jeune femme, lui a rendu hommage dans un post : « Des actions telles que celle de ce cadet nous remplissent de fierté et nous poussent à redoubler d’efforts, de travail et de solidarité envers notre communauté. »

leparisien.fr
Tags :

http://www.leparisien.fr/laparisienne/actualites/societe/argentine-une-policiere-emeut-le-pays-en-allaitant-un-bebe-abandonne-a-l-hopital-17-08-2018-7855404.php

Voir les commentaires

Argentine : le geste émouvant d'une policière qui allaite un bébé abandonné,femmes,bebe

19 Août 2018, 07:39am

Publié par hugo

Argentine : le geste émouvant d'une policière qui allaite un bébé abandonné
En découvrant un bébé livré à lui-même et affamé dans un hôpital pour enfants, Celeste Ayala n'a pas hésité à l'allaiter. Ce geste immortalisé en photo fait le tour du monde.
Celeste Ayala allaite un bébé abandonné dans un hôpital
Crédit : Capture d'écran Facebook @MarcosHeredida
 
Leia Hoarau 
Journaliste
Partager l'article
 
 

publié le 17/08/2018 à 13:27
C'est un geste qui émeut les internautes à travers le monde. Celeste Ayala, une jeune policière argentine, se trouvait mardi 14 août dans un hôpital pour enfants dans la province de Buenos Aires (Argentine) avant de faire une terrible découverte. Alors qu'elle patiente dans un couloir, elle entend un bébé hurler de douleur et de faim. Abandonné, il pleurait depuis plusieurs heures, rapporte le quotidien argentin La Nacion.
L'agente de police a alors demandé aux infirmiers la permission d'allaiter l'enfant affamé. C'est son collègue Marcos Heredida qui a immortalisé la scène en photo avant de publier le cliché sur Facebook. "Ce genre de choses ne se voit pas tous les jours", écrit-il en légende.
"Je veux rendre public ce grand geste d'amour que tu as eu aujourd'hui avec ce petit bébé, a-t-il ajouté. Sans le connaître, tu n'as pas hésité et pendant un moment tu as fait comme si tu étais sa mère. Tu ne te souciais pas de la crasse et de l'odeur, comme les professionnels de l'hôpital."
Le bébé avait été séparé de sa mère sur ordre du du tribunal de famille et laissé seul dans cet hôpital. Le geste de la jeune policière a été partagé des dizaines de fois sur les réseaux sociaux. Les secours de la ville ont félicité Celeste Ayala, qui est aussi pompier volontaire.
La rédaction vous recommande

https://www.rtl.fr/actu/international/argentine-le-geste-emouvant-d-une-policiere-qui-allaite-un-bebe-abandonne-7794442372

Voir les commentaires

Mexique : on lui demande de se couvrir alors qu'elle allaite, elle se couvre... Le visage,femmes,bebe

14 Août 2018, 07:44am

Publié par hugo

 Mexique : on lui demande de se couvrir alors qu'elle allaite, elle se couvre... Le visage
Au Mexique, une mère a fait sensation sur les réseaux sociaux avec sa réaction face à un homme qui lui a demandé de se couvrir pendant qu'elle allaitait son bébé.
Une femme allaite son enfant (image d'illustration)
Crédit : JOHAN ORDONEZ / AFP
 
Cécile De Sèze 
Journaliste RTL
Partager l'article
publié le 09/08/2018 à 17:08
C'est une réponse simple rapidement devenue virale. Une femme en vacances au Mexique allaite son bébé en terrasse. Mais un homme vient lui demander de se couvrir. Ce qu'elle fait. Sauf qu'elle ne se couvre pas le sein, mais le visage.
Une réaction pleine d'humour et de dérision qui a été partagée 210.000 fois en un peu plus d'une semaine. On la voit en photo sur Facebook avec son bébé en train de déguster son repas et elle, un morceau de tissu sur la tête.
C'est une amie de sa belle-mère qui a partagé l'image sur son compte Facebook. Elle raconte en légende que l'homme a voulu qu'elle se couvre, alors qu'il "faisait 90 (degrés F, soit 32°C, ndlr) et que l'air était extrêmement humide et non, elle n'était pas en train de manquer de respect à des traditions dans un pays musulman", le Mexique étant majoritairement catholique.
À lire aussi
philippines
Philippines : 2.000 femmes ont allaité en public pour sensibiliser sur la mortalité infantile
 
 
En commentaire du post (17.000), des réactions amusées et de soutien à la mère. Beaucoup se demandent comment l'allaitement peut encore être un sujet aussi controversé.
Récemment, un mannequin a défilé avec son bébé pour Sports Illustrated en plein allaitement afin de sensibiliser sur la question et briser le tabou.
La rédaction vous recommande

https://www.rtl.fr/girls/societe/mexique-on-lui-demande-de-se-couvrir-alors-qu-elle-allaite-elle-se-couvre-le-visage-7794379024

Voir les commentaires

Philippines : 2.000 femmes ont allaité en public pour sensibiliser sur la mortalité infantile,femmes,feminisme,sante,bebe

8 Août 2018, 08:10am

Publié par hugo


Philippines : 2.000 femmes ont allaité en public pour sensibiliser sur la mortalité infantile
DIAPORAMA - Cette manifestation qui a eu lieu à Manille dimanche 5 août vise à sensibiliser sur la mortalité infantile. Si c'est une question de santé publique, l'allaitement reste aussi une source de discriminations.
 
Pour sensibiliser sur les décès infantiles, des mères ont nourri au sein leur enfant, dimanche 5 août à Manille
Crédits : NOEL CELIS / AFP | Date : 07/08/2018
5
Kathleen Franck 
Partager l'article
 
 

publié le 07/08/2018 à 17:43
L'événement est aussi impressionnant que naturel. Dimanche 5 août, 2.000 mères se sont rassemblées dans un stade de Manille, la capitale des Philippines, où elles ont donné le sein à leur nourrisson en même temps. Cette manifestation a été organisée dans le cadre d'une campagne de sensibilisation par le gouvernement. Le but : promouvoir l'allaitement et lutter contre les décès infantiles.
C'est un enjeu de santé publique. La mortalité des enfants dans ce pays d'Asie du Sud-Est y est particulièrement élevée : en 2016, pour 1.000 naissances, 27 enfants sont décédés avant l'âge de 5 ans. En France, sur des données établies la même année, ce taux n'était que de 3,7 sur 1.000.
Diadèmes sur la tête, T-shirt estampillés "super-maman", toutes ces femmes étaient présentes pour promouvoir l'allaitement auprès de l'opinion publique, et convaincre les jeunes mères d'opter pour cette pratique plutôt que pour le lait maternisé, qui expose d'avantage le bébé aux risques de maladies et de décès prématurés. L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) ainsi que le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (Unicef) préconisent d'allaiter les nourrissons jusqu'à leurs 6 mois.
Le fait de nourrir au sein n'est pas juste un enjeu de santé public, c'est aussi une source de discriminations. Aux États-Unis, à la mi-juillet, la mannequin Mara Martin avait allaité son enfant de 5 mois en plein défilé. Malgré une législation assouplie dans le pays pour permettre aux jeunes mères d'allaiter plus facilement, elles sont toujours victimes de remarques, voire d'injures. Le hashtag #NotSorryMums, qui a été lancé sur Twitter en Irlande du Nord, veut rendre visible ce geste et le normaliser.
 
La rédaction vous recommande

https://www.rtl.fr/girls/societe/philippines-2-000-femmes-ont-allaite-en-public-pour-sensibiliser-sur-la-mortalite-infantile-7794356348

Voir les commentaires

Serena Williams évoque son baby blues : "Je sentais que je n'étais pas une bonne mère",femmes,grossesse,bebe,

8 Août 2018, 07:55am

Publié par hugo

 Serena Williams évoque son baby blues : "Je sentais que je n'étais pas une bonne mère"
La championne de tennis, qui a donné naissance à son premier enfant il y a onze mois, a partagé sa déprime sur les réseaux sociaux. "Je ne suis pas aussi présente que j'aimerai être", dit-elle.
Serena Williams, le 31 juillet à San José en Californie
Crédit : EZRA SHAW / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP
 
Claire Gaveau 
et AFP
Partager l'article
 
 

publié le 07/08/2018 à 11:58
Baby blues pour Serena Williams. Onze mois après la naissance de sa fille, l'ancienne numéro 1 mondiale de tennis a partagé sa déprime passagère sur les réseaux sociaux. "La semaine dernière n'a pas été facile pour moi. Non seulement j'ai fait face à des événements personnels difficiles, mais j'avais aussi le cafard. Surtout, je sentais que je n'étais pas une bonne mère", a déclaré l'Américaine sur son compte Instagram.
Aujourd'hui âgée de 36 ans, la joueuse de tennis ne s'est pas arrêtée là alors qu'elle vient de subir la plus lourde défaite de sa carrière début août à San José (6-1, 6-0). "J'ai lu dans plusieurs articles que les émotions post-natales pouvaient durer jusqu'à trois ans si on ne s'en occupait pas. Je préfère la communication", a-t-elle évoqué.
Et d'ajouter : "Parler des choses avec ma mère, mes sœurs, mes amis, m'ont permis de comprendre que mon ressenti était totalement normal. C'est totalement normal de me sentir comme si je n'en faisais pas assez pour mon bébé".
À lire aussi
Andy Murray
VIDÉO - Quand Andy Murray corrige le sexisme ordinaire d'un journaliste
 
 
En parler m'a permis de comprendre que mon ressenti était totalement normal
Serena Williams Partager la citation 
 
Retombée au 26e rang mondial après une année quasi blanche en raison de sa grossesse et de son accouchement, Serena Williams travaille dur pour retrouver les sommets. Un choix qui a des conséquences aujourd'hui sur son mental et sa nouvelle vie de famille. "Je travaille beaucoup, je m'entraîne et j'essaye d'être la meilleure athlète possible. Cependant, cela veut aussi dire, bien que j'ai été avec elle tous les jours de sa vie, je ne suis pas aussi présente que j'aimerais l'être", a-t-elle regretté.
Un message d'espoir
Quelques lignes très symboliques sur son mal-être mais aussi sur la vision qu'elle a des mères en général. "Entre rester à la maison et travailler, trouver le juste équilibre avec les enfants est un vrai art. Vous êtes les vraies héroïnes !", a-t-elle écrit. Avant d'envoyer un véritable message d'espoir à toutes ces femmes victimes de baby blues : "Si vous passez une semaine ou une journée difficile, c'est normal, parce que moi aussi. Il y a toujours un lendemain !"
Serena Williams a donné naissance en septembre 2017 à son premier enfant, une fille, Alexis Olympia, nonsans rencontrer des complications. Cicatrice de césarienne rouverte, caillots de sang découverts dans les poumons, hématome à l'abdomen... La native du Michigan avait failli y laissé la vie et avait dû demeurer alitée pendant six semaines.
 
La rédaction vous recommande

https://www.rtl.fr/girls/identites/serena-williams-evoque-son-baby-blues-je-sentais-que-je-n-etais-pas-une-bonne-mere-7794354177

Voir les commentaires

En Inde, des femmes luttent pour briser le tabou de l’allaitement en public,femmes,grossesse,bebe

6 Août 2018, 07:55am

Publié par hugo

 

AFP
En Inde, des femmes luttent pour briser le tabou de l’allaitement en public
Par AFP, 03 août 2018 | 14h46
En Inde, il est difficile pour les femmes d’allaiter leurs enfants dans des lieux publics.
Difficile de réaliser, quand on écoute les sympathiques gazouillis d’Avyaan, agrippé à son doudou éléphant, que ce beau bébé de neuf mois est à la pointe du combat pour faire accepter l’allaitement en public dans la très prude Inde.

Neha Rastogi et son fils de neuf mois Avyaan. /AFP

Dans la plupart des pays, donner le sein en public ne va pas de soi. Faire évoluer les mentalités est d’ailleurs l’une des missions de la Semaine mondiale de l’allaitement maternel, une manifestation soutenue par l’Unicef et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui a débuté le 1er août.
 
LIRE AUSSI >La CAF s’excuse auprès de la mère qui voulait allaiter son bébé
Mais dans la très conservatrice société indienne, l’allaitement en public est un tabou. En Inde, où les femmes doivent faire particulièrement attention à la « décence » de leur tenue, exhiber un sein relève de l’impensable, un interdit de nature à entraîner des réactions violentes, voire des avances sexuelles non désirées.
« Le sein n’est perçu que comme un organe sexuel »
Une réalité que cherchent à faire évoluer au nom du petit Avyaan ses parents, Neha et Animesh Rastogi, au travers d’une pétition actuellement examinée par la Haute cour de Delhi.
« J’étais sur un vol pour Bangalore et mes voisins étaient tous des hommes », raconte à l’AFP Neha Rastogi, 30 ans, dans sa maison de Noida, une ville-satellite de Delhi. « Mon garçon était exclusivement allaité et il était difficile pour moi de lui donner à manger. »
« Alors nous demandons au gouvernement de prévoir des espaces réservés sur les vols et dans tous les endroits publics parce que nous ne pouvons allaiter en public, tout simplement parce que le sein n’est perçu que comme un organe sexuel. »
Faire évoluer les mentalités
L’affaire semble bien embarquée, puisque la Haute Cour a demandé aux autorités municipales de répondre à cette pétition lors de la prochaine audience, fixée au 28 août. Créer des espaces dédiés est une chose. Faire accepter l’idée que les mères puissent allaiter où et quand bon leur semble en est une autre.
C’était aussi pour faire évoluer les mentalités que Gilu Joseph, une actrice de l’Etat de Kerala (sud) s’est faite photographier avec un bébé -qui n’était d’ailleurs pas le sien- au sein, un cliché qui a été monté en une d’un magazine cette année. La série de photos était titrée : « Les mamans disent au Kerala : Ne regardez pas fixement, nous devons allaiter ».
Elle a valu à l’actrice et au magazine des poursuites judiciaires pour nudité, obscénité et atteinte à l’ordre moral. La justice a beau avoir classé les plaintes, Gilu Joseph, 28 ans, a été la cible d’un torrent d’insultes.
« Les hommes lient tout au sexe »
« Je me fiche de ce que les autres disent. La série de photos s’inscrivait dans une campagne pour promouvoir l’allaitement en public », explique-t-elle à l’AFP. « Notre société est tellement obsédée par le sexe que les hommes lient tout au sexe. Ma photo leur pose problème parce que pour eux, le corps ne sert qu’au sexe. »
Roopam Gupta, elle aussi, a fait l’amère expérience du tabou quand elle a commencé à tirer son lait pour sa fille de six mois dans une voiture en rentrant du travail. Le conducteur « a essayé de me dissimuler dans la voiture », dit-elle à l’AFP. « Je lui ai dit que c’était à lui, et pas à moi, de changer son état d’esprit. »
Son assurance et sa confiance en elle, Roopam Gupta la tient aussi de son lieu de travail, l’hôpital Fortis La Femme, où a ouvert en 2016 la première banque de lait maternel de Delhi. Son rôle est de collecter le lait maternel qui est ensuite pasteurisé et redistribué dans les maternités ou aux mères qui ne peuvent allaiter.
« L’allaitement donne aux enfants le meilleur départ possible dans la vie »
Dans un rapport publié mardi avant la Semaine mondiale de l’allaitement, l’Unicef et l’OMS déplorent que trois enfants sur cinq dans le monde ne sont pas allaités au sein dans l’heure qui suit leur naissance, ce qui augmente leur risque de décès et de maladies.
« L’allaitement maternel donne aux enfants le meilleur départ possible dans la vie », explique dans un communiqué le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus.
L’allaitement est d’autant plus important dans un pays en développement comme l’Inde, où de nombreuses familles ne peuvent se permettre d’acheter du lait pour bébé, et où les femmes qui travaillent n’ont pas toujours de solutions de garde et sont souvent contraintes d’emmener avec elles leur bambin.
laparisienne.com
Tags :
 

http://www.leparisien.fr/laparisienne/actualites/societe/en-inde-des-femmes-luttent-pour-briser-le-tabou-de-l-allaitement-en-public-03-08-2018-7842270.php

Voir les commentaires

<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 20 30 40 50 60 70 80 90 > >>