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Surnoms amoureux dans le couple : que signifient-ils ?,articles femmes hommes,couples,amours,

1 Mai 2020, 15:18pm

Publié par hugo


Amour & Couple  Tous les articles
Accueil / Psycho / Amour & Couple / Surnoms amoureux dans le couple : que signifient-ils ?
Surnoms amoureux dans le couple : que signifient-ils ?
par Caroline Michel
aujourd'hui à 15:38
© Getty Images
Mon chéri, mon bébé, mon cœur, mon chaton… Sous leurs airs un peu mielleux, les surnoms amoureux sont une preuve d’amour et jouent un rôle essentiel dans le couple. Explications, signification et conseils pour bien vivre son surnom… ou l’absence de surnom.
Peut-être faites-vous partie de ceux qui usent et abusent déjà de surnoms amoureux. Ou bien, à l’inverse, peut-être êtes-vous de ceux qui trouvent ça ridicules. Mignons, romantiques, mais ridicules. Quand vos amis s’appellent d’un « mon chéri », « mon bébé » ou « tite chouquette », vous bondissez. Pourtant, les surnoms dans le couple sont bien plus utiles qu’ils en ont l’air.
Les surnoms amoureux, les Français adorent ça
Peu d’études se sont penchées sur le sujet. Mais un sondage réalisé en France 2009 par SOFRES pour le magazine Pèlerin nous apprend que 82% des Français appellent leur conjoint par leur prénom. Pour autant, le prénom n’empêche pas le surnom amoureux : 59% utilisent un petit nom tendre, une habitude plutôt masculine (64% des hommes contre 56% des femmes) et… de la jeune génération (enfin plus si jeune : le sondage a une décennie). En tout cas, 77% des moins de 35 ans utilisent des petits noms, contre 53% chez les seniors.
Mon chéri, ma chérie, mon bébé, mon amour : les surnoms les plus utilisés
Ceci étant dit, quels sont les surnoms et les petits noms les plus usités dans les couples ? Sans surprise « mon chéri » et « ma chérie » ont été adoptés par 26% des sondés concernés, et les hommes et les femmes l’utilisent autant. Ensuite et loin derrière, on trouve « mon cœur » (9%), mon bébé (8%), mais aussi et évidemment « mon amour » (6%), « ma puce » (6%), « doudou » (5%), « biche » (3%), « minou » (2%)… Sans compter les surnoms personnalisés, que l’on créé au détour d’une blague ou d’un souvenir… et qui n’appartiennent qu’à nous, ou encore ceux qui s’inspirent de l’anglais avec « my baby » ou « my love », petits noms qui restent mixtes et vont aussi bien à un homme qu’à une femme.
Des surnoms qui renforcent le couple
Les choux et autres puces nous donnent parfois l’impression de vivre dans un monde de licornes. Car oui : ce n’est pas parce qu’il s’agit de notre surnom ou que l’on appelle notre partenaire « mon chéri d’amour » que l’on ne trouve pas ça gnangnan. On continue. Mais pourquoi ? Quelle signification à tout ça ? Les surnoms amoureux sont précieux au couple. On peut même dire qu’ils le délimitent et l’identifient. Si vous êtes chou et chaton, ou bien Loulou et Doudou, Bibiche et Rayon de soleil, Lapin et Canard vous n’êtes pas les « autres » et vous montrez à votre partenaire qu’il est unique à vos yeux, car aux dernières nouvelles, vous n’appelez pas vos amis « mon bébé », « tite puce » ou « tit ange ». Les surnoms sont aussi un moyen de se reconnaître parmi mille et de se rappeler notre intimité.
Quand les surnoms amoureux sont des déclarations d’amour
Les surnoms sont également la preuve d’une forte complicité, et c’est sans dire que certains naissent d’une situation cocasse ou d’un tendre souvenir. Pour aller plus loin, on peut complètement les associer à des preuves d’amour. Les surnoms amoureux sont des « Je t’aime » déguisés, parce qu’on est d’accord, s’appeler « Je t’aime », c’est compliqué, surtout au supermarché ou quand on va dîner chez papa et maman. C’est très romantique mais pas forcément approprié.
Si les petits noms d’amour sont synonymes de déclaration, ce n’est pas forcément parce que donner un surnom est mignon et doux, c’est plutôt parce qu’ils nous ramènent à la passion amoureuse. Même si le temps passe et que la vie progresse, les surnoms restent. Appeler son partenaire « mon chéri » alors même qu’on s’apprête à piquer une colère (un exemple) c’est lui prouver que nos émotions négatives du moment ne remettent pas en question notre amour. C’est aussi, quand on doute, la preuve que notre couple est toujours là, solide, relié par ces jolis mots qui nous constituent. Finalement quand notre partenaire nous donne le petit surnom amoureux de « ma moitié », c’est qu’on est vraiment sa moitié.
Et si on n’a pas de surnom, c’est mauvais signe ?
À lire tout ça, vous vous demandez si l’absence de surnoms amoureux dans votre couple est un problème… Alors non, pas d’inquiétude, votre relation ne craint rien ! Signifier son amour et le délimiter peut passer par d’autres petites attentions de la vie quotidienne qu’on ne voit même plus. Dès lors qu’elles sont régulières, presque sous forme de rituel, elles appartiennent à la même famille que les surnoms. Si votre partenaire vous appelle par votre diminutif, toujours avec ce même ton que lui seul emploie, c’est la même chose. Une main sur l’épaule, c’est la même chose. Une façon de dire « Bisous ? » en partant le matin pour le travail, c’est la même chose.
En tout cas rien ne sert de forcer. Il n’existe aucune loi du surnom amoureux. On n’est pas obligé de devenir un couple de gros romantiques, de s’appeler « chouchou » à tout bout de champ, tout comme on n’est pas obligé de fêter la Saint-Valentin. Même principe. Chaque couple fonctionne comme il le souhaite. D’ailleurs, parfois, un partenaire donne un surnom… et l’autre non. D’un côté, il y a « mon poussin », et de l’autre, en réponse, il y a « Véronique ». Drôle de réponse… qui témoigne d’un manque d’idées ? Peut-être pas. Simplement, ça ne fait peut-être pas partie de lui, de sa construction. Peut-être que ses parents ne se donnaient pas de surnom : il ne fait pas de doute que nous sommes, en tant qu’enfants, influencés par notre modèle parental. De toute évidence, il faut laisser faire : peut-être que le réflexe « surnom » surgira bientôt au cœur de votre relation. La fête aux « lapin », « mon chéri » et « chouchou » pourra alors démarrer.
Envie d’idées pour la route ?
Si des fois il vous paraissait indispensable de tenter un petit surnom demain matin, voici de quoi vous inspirer. En plus des résultats du sondage SOFRES, notez donc que vous pouvez faire dans le culinaire avec mon chou, mon biscuit, mon sucre ; dans l’enfantin avec mon bébé (ou sa version anglaise mon baby), dans le registre animalier (mon chat, mon loup, mon poisson…) ou encore dans les surnoms « statuts » : papa ou maman, parce qu’on est papa ou maman. Mais bon, c’est un peu moins mignon.
Cunnilingus : comment allier plaisir d'offrir et joie de recevoir ?

https://www.aufeminin.com/vie-de-couple/surnom-couple-s4011275.html

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Coronavirus : « Libido multipliée par 10 », porno à gogo… Comment le confinement transforme la vie sexuelle des Français,articles femmes hommes,sexes,

1 Mai 2020, 14:58pm

Publié par hugo

 AccueilSociété
Coronavirus : « Libido multipliée par 10 », porno à gogo… Comment le confinement transforme la vie sexuelle des Français
EROS Que ce soit pour les personnes vivant en couple ou pour les autres, le confinement bouleverse la libido
Delphine Bancaud
Twitter
Publié le 30/04/20 à 10h35 — Mis à jour le 30/04/20 à 11h06
Les relations sexuelles sont parfois boostées par le confinement — SUPERSTOCK/SUPERSTOCK/SIPA
L’effet du confinement sur la vie sexuelle des Français est protéiforme. Certains, moins stressés par le quotidien, éprouvent une vraie fougue.
Mais pour d’autres, les inquiétudes liées à la crise sanitaire mettent aussi à mal leur libido, encore plus si leur relation avec leur partenaire n’était pas au beau fixe avant.
Quoi qu’il en soit, le confinement a remis en lumière l’importance d’une vie sexuelle harmonieuse. Ce qui pourrait accélérer la quête de Nirvana chez certains Français après le confinement.
Les siestes crapuleuses et les grasses matinées érotiques. Depuis le début du confinement, l’appétit sexuel de certains d’entre nous a été dopé. « Si un couple est confiné dans des conditions confortables et que son entente relationnelle était bonne auparavant, le fait d’avoir un quotidien moins stressant et une charge mentale amoindrie peut décupler son désir. D’autant que la sexualité a un effet anxiolytique et peut être un exutoire en cette période de crise. Car lors de nos rapports, nous produisons de la dopamine, de l’ocytocine et de l’endorphine », explique la sexologue, Magali Croset-Calisto.
C’est ce que vit Julie, une de nos lectrices : « Depuis le confinement, ma libido a été multipliée par 10. J’y pense tout le temps, j’ai envie de me satisfaire toute seule, souvent. Et quand mon mari et moi faisons l’amour, j’en ai encore envie le lendemain. J’aime tellement ressentir du plaisir que j’ai besoin de l’éprouver au moins une fois par jour », confie-t-elle. La vie sexuelle de Sophie est aussi au beau fixe : « Le rythme des rapports est un peu plus soutenu. Plus de fantasmes, peut-être car j’ai plus le temps d’imaginer… ».
La découverte des sex toys…
Le confinement est aussi l’occasion de s’initier à de nouvelles pratiques torrides : « Certains testent de nouvelles expériences, comme le montre l’augmentation des commandes de sex toys en ligne. Le confinement est aussi, pour d’autres, le moment d’intégrer le porno à ses préliminaires », observe Magali Croset-Calisto. Une « fête du slip » que vit Stéphane : « Notre libido va très bien, disons que nous prenons un peu plus de temps et découvrons de nouveaux plaisirs. En conclusion : vive le confinement ! », s’extasie-t-il.
Anne-Lise et son conjoint ont su aussi pimenter leurs nuits ces dernières semaines : « Au début du confinement, ma libido était à -10 sur l’échelle de Rocco… Et puis hier, prise de conscience : mon conjoint m’a demandé si je le trouvais toujours sexy et attirant, ce qu’il faisait de mal, ce qu’il devrait mieux faire… Et là, le déclic. En plus de cinq ans, on avait jamais pris le temps de se poser pour discuter vraiment de ce qu’on aime, sans tabou. On n’avait jamais non plus essayé de nouvelles choses. Trop de boulot, de routine avant le plaisir. Du coup, depuis cette nuit, on entame un nouveau confinement, sous la couette cette fois ! ». Marion, elle aussi, a trouvé de nouvelles manières de grimper au rideau : « Nos relations sexuelles sont plus fréquentes et plus intenses en ce moment. Surtout, nous essayons d’être plus inventifs. Depuis trois semaines, nous faisons ensemble un petit combat de lutte mixte. Toutes les prises sont autorisées, même sous la ceinture. Le premier qui se soumet doit assouvir tous les désirs de l’autre durant toute la journée ».
« Je n’arrivais même plus à jouir »
A contrario, les inquiétudes liées à la crise sanitaire et à ses conséquences économiques font parfois passer toute envie de câlins. Comme en témoigne Dominique : « J’ai vu ma libido chuter dans des abysses lamentables depuis deux semaines. À toutes les heures de la journée, on me sature de mauvaises nouvelles. Le résultat le soir est évident : couic ! Rien… Aucune envie de performer. » Idem pour Romuald : « Ma libido est en berne, alors que je suis fan de la chose habituellement. J’ai dû me mettre à regarder des films parlant de sexe pour que ça revienne doucement. Je n’arrivais même plus à jouir ». Des difficultés qui sont souvent exprimées en ce moment lors des consultations de Magali Croset-Calisto : « Pour ceux qui vivent leur confinement dans des conditions très spartiates, ceux qui n’avaient pas de relations harmonieuses avant, ceux qui craignent pour leur santé ou ont peur du lendemain, la sexualité devient secondaire », constate-t-elle.
Pour Agathe, c’est la promiscuité qui a un effet négatif sur sa libido : « On se voit tout le temps, on ne se manque jamais, on a plus aucun mystère l’un pour l’autre, ça n’aide pas au niveau du désir. Et puis, c’est sans compter l’angoisse, la peur de la maladie, l’inquiétude pour l’avenir et pour ses proches ». Et pour Olivier, le confinement n’a pas déconfiné sa sexualité : « Il ne se passe pas grand-chose avec ma compagne habituellement… Je pensais que cela irait mieux pendant le confinement. Bien au contraire, depuis six semaines, je ne l’ai touchée qu’une fois », déplore-t-il.
« La sexualité par écran interposé est en pleine expansion »
Autre difficulté : le fait de ne pas voir son partenaire sexuel, confiné loin. Une situation qui invite les séparés à s’émoustiller à distance par écrans interposés ou au téléphone. « On utilise WhatsApp, sextos et sex-toys commandés via une application. Inutile de vous dire que nous sommes chauds et que le 11 mai est attendu avec une impatience sans nom. Mais cela nous a permis d’expérimenter certaines choses, d’exprimer nos fantasmes. La distance et le fait de ne pas pouvoir se rejoindre exacerbent l’envie au-delà de tout ce que j’aurais pu imaginer », confie ainsi Lily. « La sexualité par écrans interposés est en pleine expansion. Car le fait de voir l’autre et de se voir, en train de se masturber ou d’utiliser un sex toy, renforce l’excitation. Et alors que l’on pourrait croire que les gens craignent le revenge porn, on constate qu’ils font confiance à l’autre et s’adonnent volontiers à la sexualité virtuelle », commente Magali Croset-Calisto.
La situation se complique encore plus pour ceux qui avaient une double vie avant le confinement. A l’instar de Julie : « C’est difficile pour moi de pas partager des moments de plaisir avec mon deuxième homme… Mais on se satisfait mutuellement par sextos et c’est très excitant. Je n’ai qu’une hâte, le retrouver ! », s’emballe-t-elle. « Ceux qui vivent des histoires parallèles ont tendance à s’envoyer des sms et à jouer sur les fantasmes de l’autre. Mais certains prennent aussi le prétexte du travail pour aller retrouver leur amant ou maîtresse, malgré le confinement », observe Magali Croset-Calisto.
« Je me touche plus que d’habitude »
Et pour les célibataires, le confinement n’est pas synonyme d’abstinence sexuelle non plus. « Je fais des rencontres virtuelles sur Tinder, j’envoie des sextos et je me touche plus que d’habitude », indique ainsi Juliette. Mia aussi poursuit sa vie sexuelle en solo : « Etant seule à la maison et n’ayant pas de partenaire, l’envie se fait grandement ressentir. Mes vibros sont devenus des amis proches et je consomme du porno ». Pour Guillaume, l’absence de contact est plus difficile à supporter : « La masturbation est devenue plus fréquente. Ça a même commencé à me faire peur, car le rythme devenait très élevé (à peu près 4 fois par jour). J’ai ralenti en me mettant des limites, mais je suis "en chien". Et je consomme beaucoup de porno », indique-t-il. « Le fait d’avoir moins d’interactions sociales fait souvent augmenter leur libido », constate Magali Croset-Calisto.
Pour Stanislas, habitué à des relations sans lendemain, la frustration est à son comble : « L’ennui et les journées longues renforcent paradoxalement ma libido, mais je n’ai d’autre choix que la masturbation, plusieurs fois par jour, ce qui n’est parfois pas facile étant dans une maison avec des frères et sœurs en bas âge et les parents entrant parfois inopinément dans ma chambre. Je consomme également beaucoup de pornographie, bien plus qu’en temps normal. Pour préparer le déconfinement, je passe beaucoup de temps sur Tinder et j’ai déjà des rendez-vous pour la mi-mai, qui devraient me permettre de progressivement reprendre une vie sexuelle normale ».
« Après le confinement, je compte enchaîner les rencontres »
Car une chose est sûre : le confinement aura un impact sur la vie intime de chacun, assure Magali Croset-Calisto. « Cette période est révélatrice du type de relation que l’on entretient avec l’autre et de l’importance d’avoir une vie sexuelle harmonieuse. Exemple avec deux amants : si l’absence de l’autre s’est révélée insupportable pendant le confinement, il est probable que celui qui est engagé par ailleurs fasse voler son couple en éclat pour vivre pleinement l’autre histoire », explique-t-elle.
Et pour les célibataires, le déconfinement pourrait même s’accompagner d’une certaine frénésie sexuelle : « Ils voudront rattraper le temps perdu. Car après l’omniprésence de Thanatos ces derniers mois, l’Eros va rebondir, c’est une pulsion de vie », poursuit Magali Croset-Calisto. « Ça va être la fête après le confinement, je compte enchaîner les rencontres », prévient d’ailleurs une de nos lectrices.
 

https://www.20minutes.fr/societe/2769355-20200430-coronavirus-libido-multipliee-10-porno-gogo-comment-confinement-transforme-vie-sexuelle-francais?fbclid=IwAR0FweI1solH1NgIjgMLBv9tOYJp7d2A1oKuHPTKUEFNqL6WqU5dGVCQWRc

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VIDEO. "Tout a été fait pour qu'elle soit interdite" : retour sur l'histoire de la masturbation,femmes,sexes,sante

1 Mai 2020, 14:52pm

Publié par hugo

VIDEO. "Tout a été fait pour qu'elle soit interdite" : retour sur l'histoire de la masturbation
L'autrice de "Raconte moi l'histoire de la sexualité" Marine Gasc revient sur les contours de l'histoire d'une pratique diabolisée : la masturbation.
BRUT
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France Télévisions
Mis à jour le 30/04/2020 | 11:57
publié le 30/04/2020 | 11:57
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"Au fil des siècles, la masturbation, qu'elle soit féminine ou masculine, a toujours été diabolisée."
Sous l'Antiquité
"Sous l'Antiquité, il est coutume de dire que la femme ne maîtrise pas son plaisir", explique Marine Gasc. Cela vient d'une légende de la mythologie selon laquelle le plaisir de la femme serait beaucoup plus important que celui de l'homme. Il y a donc cette notion de plaisir décuplé chez la femme qu'il est nécessaire de contrôler.
Au Moyen Âge
Au Moyen Âge, la masturbation est strictement interdite, elle est diabolisée. "Avec l'influence de l'Église, il ne faut surtout pas se masturber, encore moins en parler", précise Marine Gasc. Le plus important étant, à cette période, la procréation.
À la Renaissance
C'est l'une des premières fois où l'on peut parler de masturbation féminine. C'est notamment une histoire racontée par un auteur italien qui a désacralisé la pratique : "L'histoire d'une veuve, qui, dépendante financièrement, est obligée de retourner vivre chez son frère, qui est très friand de charcuterie. Après quelques semaines de vie commune, le frère se rend compte que sa sœur se masturbe avec des saucisses dans la cuisine chaque nuit, et qu'elle ne peut pas s'en empêcher parce que son désir ou son plaisir lui rappelle son époux", raconte Marine Gasc.
Au 19ème siècle
À partir de cette période apparait un paradoxe autour de la masturbation et du plaisir féminin : les médecins sont divisés sur le sujet. "Selon Tissot, médecin français du 19ème siècle, la masturbation et le plaisir féminins peuvent engendrer chez la femme de nombreux troubles", relate Marine Gasc. Quelques années plus tard, ce serait, au contraire, "un système pour calmer les crises d'hystérie chez les femmes", système appelé "massage valvaire".
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