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Comment effacer des informations me concernant sur un moteur de recherche ?,internet,google,

7 Juillet 2014, 22:15pm

Publié par hugo

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Commentaire Effaceurs des informations me concernant sur ​​non Moteur de recherche?
30 mai 2014
Vous rapide avez tapé Votre nom DANS Google, Bing, Ou Un Autre Moteur de recherche. Les Informations Qui Vous concernent nuisent à Votre Image ous A Votre réputation? La CNIL Vous explique les faire Disparaître commentaire.
Un Moteur de recherche Permet d'obtenir juin Liste de pages internet comportant non ous juin expression saisie par Utilisateur fils de mot-clé. Un Moteur de recherche Répond instantanément quasi à PLUSIEURS CENTAINES DE analytique millions Demandes Par jour. En pratique, non Moteur de recherche de robot intérêt non Qui balaie et ": Indice" Tous les Contenus qu'il Trouvé sur Internet.
Verser faire Supprimer D'UN page juin Moteur de Recherche de comportant des informations concernant vous, Vous disposez de Deux solutions differentes, DEPUIS L'Arrêt de la Cour de Justice Européenne de l'Union (CJUE) Du 13 mai 2014:
Vous pouvez Demander La suppression DE CES informations Au lieu d'origine;
Vous pouvez Demander à des informations de CES CE de Qué ne Soient ainsi indexées par les Moteurs de Recherche. Deux de Ces démarches SONT Indépendantes l'juin de l'Autre. Nous invitons à Vous privilegier la première, ous à les éffectuer en parallèle. En Effet, CE nouveau «droit au déréférencement» Permet only la suppression d'ONU ous de PLUSIEURS Résultat (s) de Recherche (privilèges) Vous vous concernant. Toutefois, Les informations accessibles sur RESTENT Le site d'origine ous par le Biais d'Autres Moteurs de Recherche auxquels Vous ne vous etes polo Adresse. CES INFORMATIONS peuvent also réapparaître Dans Les resultats de Recherche si l'Adresse web (Adresse URL) à laquelle elles a SONT diffusées intérêt modifiee sur le site source. solution Première: faire juin Demande Auprès du site d'origine Première Etape - Contacter le responsable du le site d'origine Vous trouverez des éléments d'informations sur fils Identité Dans Les mentions légales ous Les conditions générales d'utilisation du site. Pas si Vous ne trouvez CES de détails sur le site, Vous pouvez Retrouver l'Identité et l'Adresse du Propriétaire (en anglais inscrit) du nom de domaine Dans Les bases de Données whois de N'importe quel bureau d'Enregistrement de nom de domaine. de C'est le responsable du site Internet, qui-s'est réuni en informations CES de Ligne, qui-peut Décider d'exclure du référencement de site fils certaines pages ous DE SUPPRIMER Les informations concernant Vous. Versez faire Supprimer juin informations Vous concernant sur ​​la page de juin web , Vous Devez justifiant Votre Demande en expliquant, par Exemple, en quoi la publication de Ce contenu nuit à Votre réputation ous A Votre rivalisent privée. Verser secouriste vous à formuler Votre Demande, la CNIL a rencontré à disposition de Votre non Modèle de courrier à adresser au responsable de site. Le responsable du site disposer d'ONU Délai légal de deux de mois verser repondre A Votre request. En l'absence de réponse ayant du site, ous en CAS de Réponse insatisfaisante, contacter la CNIL En Cas d'absence de réponse ayant à l'expiration de CE Délai de deux de mois, ous de Réponse insatisfaisante, Vous pouvez adresser juin Plainte à la CNIL (via le Formulaire de Plainte en ligne ous par courrier). Vous Devez Joindre A Votre complaint juin copie du courrier Qué Vous rapide Avez Adresse au responsable du site, AINSI Que de sa Réponse éventuelle. Seconde Étape: Faire Disparaître Les informations du cache des Moteurs de Recherche L'après AVOIR obtenu La suppression des informations Vous concernant sur ​​l'ONU site, des traces peuvent subsister Malgré Tout pendentif Un Certain Temps Dans Les resultats des Moteurs de Recherche. En Effet, les Moteurs de Recherche conservent temporairement UNE COPIE de Toutes Les pages Qué robots Leurs d'indexation visitent. C'EST CE Qué l'Appelle sur des "caches". Le Délai Entre Deux visites Varie en fonction de différents criteria tells Québec: la popularite du site . la Fréquence d'actualisation du site En Moyenne, Les robots d'indexation visitent Les pages Toutes-Les Deux à Trois Semaines (certains sites, d'actualité par Exemple, peuvent faire l'objet d'Une mise à jour Quotidienne). Intervalle de Dans CET De temps, la version de l'ancienne page d'd'Une web may rappel Être visible DEPUIS le "cache" des Moteurs de Recherche, meme si la la page was modifiee sur le site de d'origine. ■ Google a rencontré choix à la disposition des webmestres de sites internet juin procédure de désindexation volontaire Verser Demander la suppression Du Lien et l'UA cache des pages supprimées. This procédure Nécessite toutefois de broyeur d'ONU Compte Gmail. SI Les Informations Qui Ont Été Vous concernent supprimées du site internet, ET Qué Les informations apparaissent Toujours sur Google, pouvez Vous also UTILISER this procédure versez Supprimer la Version en cache de la page d'juin Dans Les resultats de Recherche Google. ■ S'agissant des Moteurs de Recherche Bing et Yahoo! Search, Les Outils verser les webmestres SONT DISPONIBLES à L'Adresse suivante solution Deuxième: Demander la suppression d'ONU Résultat de Recherche Directement Auprès du Moteur plus généralement, et en parallèle des démarches EFFECTUEES précédemment, les internautes peuvent SAISIR l'exploitant d'ONU Moteur de recherche d'Une Demande de déréférencement d'page web juin Qui porte Atteinte à Leur rivalisent privée. Par Exemple, le Moteur de recherche Google proposer de REMPLIR Formulaire non verser Demander la suppression d'la non ous PLUSIEURS Résultat (s) de Recherche Vous concernant. Le Moteur de recherche examinera Alors Le Bien Fondé de la Demande Au Regard des conditions fixées par la CJUE: En Cas de non Réponse ous de Réponse insatisfaisante, le assimilés aux may SAISIR la CNIL ou La justice AFIN qu'elles vérifient et ordonnent les Mesures Nécessaires. Compte Tenu du caractère récent de l'Arrêt de la CJUE et de sa Portée, la CNIL procedé à juin analyser APPROFONDIE of this décision, salle concertation including aveC sessions homologues Européens. Voir also décision DE LA COUR DE JUSTICE DE L'UNION EUROPÉENNE: LES MOTEURS DE RECHERCHE DOIVENT acception LE «DROIT À L'OUBLI»






















































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DROIT À L'OUBLI : GOOGLE REÇOIT 12.000 DEMANDES EN 24 HEURES,internet,google,

1 Juin 2014, 13:35pm

Publié par hugo

ACTUALITÉ > OBSESSION > HIGH TECH > DROIT À L'OUBLI : GOOGLE REÇOIT 12.000 DEMANDES EN 24 HEURES
Image d'illustration. Sébastien Gomis / SIPA
DROIT À L'OUBLI : GOOGLE REÇOIT 12.000 DEMANDES EN 24 HEURES
Le moteur de recherche a lancé jeudi soir un formulaire en ligne accessible aux Européens leur permettant de demander la suppression de résultats de recherche.
Par Le Nouvel Observateur avec AFP31/05/14
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Vous allez (enfin) pouvoir demander à Google d'effacer vos données personnelles
Google a reçu en une journée vendredi 12.000 demandes d'internautes européens pour être effacés par ses services de recherche, a indiqué samedi 31 mai un porte-parole du groupe en Allemagne.


Il confirmait un chiffre avancé par l'hebdomadaire allemande "Der Spiegel".


Pour se conformer à une décision de la justice européenne datant de mi-mai le géant américain, de loin le premier site mondial de recherche sur internet, a lancé jeudi soir un formulaire en ligne accessible aux Européens leur permettant de demander la suppression de résultats de recherche.


La Cour de justice européenne a estimé que les particuliers avaient le droit de faire supprimer des résultats de recherche les liens vers des pages comportant des informations personnelles les concernant, notamment si elles sont périmées ou inexactes, en s'adressant directement à l'exploitant du moteur de recherche.


Protection des données personnelles


Les demandes des particuliers seront examinées individuellement, a précisé Google, et non traitées de façon automatique.


Le groupe n'a pas fourni d'estimation sur le temps que mettront les liens concernés à disparaître, soulignant que cela dépendrait notamment du bien-fondé de la demande.


La création de ce droit à l'oubli numérique répond à un souci croissant des internautes de contrôler leur réputation en ligne, qui se double en Europe de préoccupations autour de la protection des données personnelles et, à cet égard, d'une forte défiance vis-à-vis des Etats-Unis en général et de Google en particulier.


Sur le web: Le droit à l’oubli sur Internet appliqué par Google


Le droit à l’oubli sur Internet...Le droit à l’oubli sur Internet appliqué par Googleen cours
Google ouvre la porte au droit à...Google ouvre la porte au droit à l’oubli numérique en Europe
"Droit à l'oubli" : comment..."Droit à l'oubli" : comment disparaître des recherches Google
Par Le Nouvel Observateur avec AFP31/05/14
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MOTS-CLÉS : RECHERCHES, INTERNET, GOOGLE, UNION EUROPÉENNE, DROIT À L'OUBLI, FORMULAIRE
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J'ai testé pour vous le formulaire de "droit à l'oubli" de Google,internet,google,

31 Mai 2014, 14:08pm

Publié par hugo

J'ai testé pour vous le formulaire de "droit à l'oubli" de Google


Le moteur de recherche a lancé, jeudi, un outil permettant à chacun d'obtenir le retrait de résultats qu'il juge inappropriés. Suivez le guide.


Avec son formulaire de suppression de résultat de recherche, Google se met en conformité avec une décision de la Cour de justice de l'Union européenne.
Avec son formulaire de suppression de résultat de recherche, Google se met en conformité avec une décision de la Cour de justice de l'Union européenne. (DAMIEN MEYER / AFP)
Par Yann Thompson
Mis à jour le 30/05/2014 | 13:40 , publié le 30/05/2014 | 13:40


Chouette ! Pourrait-on enfin enterrer dans les tréfonds d'internet ce Skyblog de jeunesse ou cette galerie photo compromettante ? Le moteur de recherche Google a lancé, jeudi 29 mai, un formulaire permettant aux Européens de mettre en œuvre leur "droit à l'oubli" sur internet.


La firme américaine se met ainsi en conformité avec une décision de la Cour de justice de l'Union européenne, qui a reconnu, mi-mai, le droit au retrait de liens vers des pages internet comportant des données personnelles "inappropriées, hors de propos, ou qui n'apparaissent plus pertinentes".


Pour vous, chers internautes, j'ai décidé de tester ce service. Voici la marche à suivre et les résultats obtenus (ou, du moins, attendus).


1Identifier le bon lien
Dans son austère formulaire mis en ligne, Google commence par résumer, sans enthousiasme, sa mission dictée par la Cour de justice de l'UE : "Trouver un juste équilibre entre la protection de la vie privée des individus et le droit du public à accéder à ces informations et à les diffuser". Le ton est donné : pas question de tout supprimer et donc de vider le moteur de recherche de son contenu.


Après avoir indiqué mon nom et mon adresse mail, j'indique à Google l'adresse de la page web que je ne souhaite plus voir référencée. Pour les besoins de la cause, j'ai fini par trouver une page d'un site de rencontres, sur lequel je ne me suis jamais inscrit et qui me paraît donc "inappropriée". Je m'en explique auprès de Google, sans enthousiasme non plus.


Capture d'écran du formulaire de "droit à l'oubli" de Google.
Capture d'écran du formulaire de "droit à l'oubli" de Google. (YANN THOMPSON / FRANCETV INFO)
2Montrer patte blanche
Pour s'assurer que je suis bien la personne concernée par la page web en question, Google me demande de joindre une copie d'une pièce d'identité. Il me suffit de cliquer sur un bouton du formulaire pour accéder aux fichiers de mon ordinateur, et ainsi joindre le document demandé.


Je coche ensuite une case pour certifier que les informations renseignées sont exactes. Facile - même si je me demande toujours si la page que j'ai signalée n'est pas celle d'un homonyme que je ne connaîtrais pas (enchanté, s'il me lit).


3Valider et envoyer la demande
Eh oui, c'est déjà fini. Il me suffit de dater, de signer (en l'occurrence, écrire mon nom) et de cliquer sur "Envoyer" pour terminer ma requête.


Capture d'écran du formulaire de "droit à l'oubli" de Google.
Capture d'écran du formulaire de "droit à l'oubli" de Google. (YANN THOMPSON / FRANCETV INFO)
4Attendre, longtemps
Le plus dur commence : patienter jusqu'à une réponse de Google. Je reçois certes un message automatique, cinq minutes après l'envoi, mais son contenu ne me rassure guère quant à la suite des événements.


Capture d'écran du message envoyé par Google
Capture d'écran du message envoyé par Google (YANN THOMPSON / FRANCETV INFO)
Si je comprends bien, le système de traitement des formulaires n'est pas encore "opérationnel". La pièce jointe évoquée dans le titre et dans le contenu du message que j'ai reçu est même inexistante. Comme les autres requérants, me voici donc à patienter dans la "file d'attente" de Google.


Il est vrai que, tout au long du formulaire, Google m'avait fait part de sa volonté de mettre en place la procédure "dans les meilleurs délais" et m'avait déjà remercié pour ma "patience". "Nous vous tiendrons informé lorsque nous débuterons le traitement de votre demande", était-il même indiqué. Dès que j'ai du nouveau, je vous fais signe en mettant cet article à jour.




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Google lance un formulaire de "droit à l'oubli" pour les Européens,internet,google,

31 Mai 2014, 14:01pm

Publié par hugo

Google lance un formulaire de "droit à l'oubli" pour les Européens


Les citoyens européens peuvent désormais demander au moteur de recherche de supprimer des résultats de recherche "inappropriés" qui les concernent.


Google a lancé, jeudi 29 mai 2014, un formulaire pour permettre aux citoyens européens d'exercer leur "droit à l'oubli".
Google a lancé, jeudi 29 mai 2014, un formulaire pour permettre aux citoyens européens d'exercer leur "droit à l'oubli". (PHILIPPE HUGUEN / AFP)
Par Francetv info avec Reuters
Mis à jour le 30/05/2014 | 07:39 , publié le 30/05/2014 | 07:16


Faites l'expérience : tapez votre nom dans Google, et regardez les propositions du moteur de recherche. Si elles ne vous plaisent pas, vous pourrez désormais obtenir la suppression des résultats que vous jugez inappropriés. Google a lancé, jeudi 29 mai, un formulaire pour que les citoyens européens puissent mettre en œuvre leur "droit à l'oubli" sur internet.

La firme américaine se met ainsi en conformité avec une décision de la Cour de justice de l'Union européenne. Dans un arrêt rendu mi-mai, cette dernière considère en effet que des particuliers peuvent obtenir, sous certaines conditions, la suppression de liens vers des pages internet comportant des données personnelles "inappropriées, hors de propos, ou qui n'apparaissent plus pertinentes".

A Google désormais d'évaluer si les liens contestés pointent vers des informations obsolètes concernant un individu, ou s'ils relèvent du droit à l'information, comme des renseignements sur des fautes professionnelles, des condamnations pénales, ou encore sur le comportement public des responsables politiques. "Des jugements difficiles" à porter, regrette la société qui, dans son formulaire, ne précise pas de délai de réponse aux requêtes.


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Données: la Cnil engage "une procédure formelle de sanction" contre Google,internet,site internet,

30 Septembre 2013, 02:32am

Publié par hugo

Google perfectionne son moteur de recherche pour fêter ses 15 ans
Données personnelles 17
Données: la Cnil engage "une procédure formelle de sanction" contre Google
En France, la sanction financière maximale que peut infliger la Cnil s'élèvent à 150.000 euros.
En France, la sanction financière maximale que peut infliger la Cnil s'élèvent à 150.000 euros.


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latribune.fr | 28/09/2013, 11:15 - 535 mots


La Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés estime que Google enfreint la loi informatique et libertés car l'internaute n'est pas en mesure de connaître l'utilisation qui peut être faite de ses données personnelles et de la maîtriser. Elle avait accordé un trimestre à Google pour se mettre en conformité avec la législation et juge aujourd'hui que sa réponse n'est pas satisfaisante.
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20 juin - 20 septembre : la Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés (Cnil) avait donné trois mois à Google pour rendre sa politique de confidentialité des données conforme à la législation française.


>> La Cnil met Google en demeure de revoir sa politique de confidentialité


Aujourd'hui, l'ultimatum est révolu. La Cnil estime que le géant américain de l'Internet "n'a pas effectué les modification nécessaires", elle passe donc à l'étape suivante en préparent des poursuites.


150.000 euros d'amende au maximum


"Au dernier jour du délai de trois mois accordé à la société Google Inc., la société conteste le raisonnement de la Commission nationale de l'informatique et libertés, et notamment l'applicabilité de la loi Informatique et Libertés aux services utilisés par des résidents en France", indique la Cnil dans un communiqué publié vendredi. "Dans ce contexte, la présidente de la Cnil (Isabelle Falque-Pierrotin) va désigner un rapporteur aux fins d'engager une procédure formelle de sanction, telle que prévue par la loi Informatique et Libertés", poursuit la Commission. Les délais d'une telle procédure demeurent inconnus. La sanction financière maximale que peut infliger la Cnil s'élèvent à 150.000 euros.


La Cnil estime que Google enfreint la loi informatique et libertés car l'internaute n'est pas en mesure de connaître l'utilisation qui peut être faite de ses données personnelles et de la maîtriser. Elle reproche à la société de Mountain View d'avoir imposé l'année dernière et unilatéralement des nouvelles règles de confidentialité après avoir fusionné une soixantaine de règles d'utilisation en une seule. En mars 2012 en effet, Google a regroupé les informations de ses services autrefois séparés, comme la messagerie Gmail ou le réseau communautaire Google+.


Informer davantage sur les "cookies"


La Commission française pressait notamment Google de faire état de la "finalité" des données personnelles qu'il collecte lorsqu'un internaute utilise ses services ou surfe sur son moteur de recherche, et qu'il définisse une "durée de conservation" de ces données. Elle demandait aussi que le groupe "informe" et demande leur accord préalable aux utilisateurs avant d'installer dans leurs terminaux des "cookies", ces fichiers mouchards qui suivent l'internaute à la trace et permettent le ciblage publicitaire.


Par ailleurs, un Tribunal de grande instance pourrait être saisi, ce qui pourrait contraindre le moteur de recherches à d'autres amendes et injonctions.


Face à cette fronde, Google semble rester placide. Dans sa réaction officielle vendredi soir, la direction de Google France n'évoque pas le fait qu'elle conteste la procédure de la Cnil, comme l'indique cette dernière. Elle réaffirme simplement que sa "politique de confidentialité respecte la loi européenne et (lui) permet d'offrir des services plus simples et plus efficaces".


Google dans le viseur de 27 pays européens


En Grande-Bretagne, l'autorité Ico, examine actuellement "la réponse apportée" par Google, suite à un ultimatum similaire de trois mois. L'autorité espagnole a pour sa part ouvert en juin "une procédure de sanction pour violation des principes fondamentaux de la législation espagnole en matière de protection des données personnelles", et l'autorité d'Hambourg pour l'Allemagne a également ouvert une procédure formelle contre Google.


Il y a un an, les 27 autorités européennes de protection des données avaient sommé Google de se mettre en conformité avec la directive européenne Informatique et Libertés. Mais pour l'instant aucune sanction concrète n'a été prononcée.


>> Confidentialité: la Cnil prévient d'une action répressive européenne contre Google




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Google n'aurait pas à faire respecter de "droit à l'oubli" numérique

26 Juin 2013, 09:11am

Publié par hugo

Google n'aurait pas à faire respecter de "droit à l'oubli" numérique
L'Expansion.com avec AFP - publié le 25/06/2013 à 17:41
L'avocat général de la Cour européenne de justice a estimé mardi que Google n'était pas responsable des données personnelles apparaissant sur les pages web qu'il traite. Le "droit à l'oubli" sur internet ne pourrait donc pas être invoqué à son encontre.


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Pour l'avocat général de la Cour européenne de justice, la directive sur la protection des données à caractère personnel n'établit pas de droit à l'oubli de portée générale.
REUTERS/Robert Galbraith
Ce n'est pas à Google de faire respecter le droit à l'oubli sur internet, en supprimant par exemple des liens conduisant à des publications judiciaires concernant de vieilles affaires. C'est ce qu'a estimé mardi l'avocat général de la Cour européenne de justice (CEJ), dans un avis concernant un cas soulevé en Espagne. "Une demande tendant à faire supprimer des informations légales et légitimes qui sont entrées dans la sphère publique serait constitutive d'une ingérence dans la liberté d'expression de l'éditeur de la page web", écrit-il dans un communiqué.


Le point de départ de l'affaire remonte à 1998, lorsqu'un journal espagnol a publié dans son édition papier des annonces concernant une adjudication sur saisie immobilière pour recouvrement de dette visant une personne dont le nom était mentionné. Une version électronique du journal a par la suite été mise en ligne.


En novembre 2009, la personne en question a contacté l'éditeur en expliquant que, lorsqu'elle tapait son nom sur Google, apparaissait une référence aux pages de journal comportant cette annonce d'adjudication, alors même que la procédure de saisie relative à ses dettes avait été réglée depuis des années. L'éditeur lui a répondu qu'il n'y avait pas lieu d'effacer les données la concernant, au motif que la publication avait été effectuée sur ordre du ministère du travail et des affaires sociales.


La même personne a donc contacté en février 2010 Google Spain pour demander que son nom n'apparaisse plus en relation avec cette affaire, et Google Spain a transmis la demande à sa maison-mère Google Inc, en Californie. Elle a ensuite déposé une réclamation auprès de l'Agence espagnole de protection des données, qui a été saisie parallèlement par Google Spain et Google Inc, et l'affaire est remontée jusqu'à la Cour de justice de l'UE.


Dans ses conclusions, l'avocat général Niilo Jääskinen estime qu'une autorité nationale en matière de protection des données ne saurait exiger d'un moteur de recherche sur internet qu'il retire des informations de son index, sauf dans des cas précis où des "codes d'exclusion" ont été inclus par l'éditeur, ce qui n'est pas le cas dans l'affaire en question.


L'avocat général souligne aussi que la directive européenne sur la protection des données n'établit pas de "droit à l'oubli" de portée générale, et qu'un tel droit ne saurait donc être invoqué à l'encontre des moteurs de recherche sur internet.


"Il s'agit d'un avis important pour la liberté d'expression. Nous sommes satisfaits de constater qu'il soutient notre position de longue date selon laquelle demander aux moteurs de recherche de supprimer des informations +légales et légitimes+ reviendrait à de la censure", a réagi Bill Echikson, un porte-parole de Google, dans un communiqué.


Les conclusions de l'avocat général ne lient pas la CEJ. La Cour rendra son arrêt à une date ultérieure.


Les Etats de l'UE ont retoqué début juin à Luxembourg un projet de réglementation pour renforcer la protection des données sur internet, le jugeant trop pénalisant pour les petites entreprises et trop flou pour les citoyens. Le "droit à l'oubli numérique" était une des dispositions phares de cette proposition de législation présentée début 2012 par la commissaire européenne chargée de la Justice, Viviane Reding.


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En savoir plus sur http://lexpansion.lexpress.fr/high-tech/google-n-aurait-pas-a-faire-respecter-de-droit-a-l-oubli-numerique_391451.html#IBWEs657AiSdJq8j.99

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