Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le blog de hugo,

Best Harlem Shake Compilation [Part 2]

31 Mars 2013, 19:10pm

Publié par hugo


http://www.youtube.com/watch?v=Z3U0I7vVYh4

Best Harlem Shake Compilation [Part 2]

Voir les commentaires

Best Harlem Shake Compilation

31 Mars 2013, 19:00pm

Publié par hugo


http://www.youtube.com/watch?v=zSQRXY-rp_M

Best Harlem Shake Compilation

Voir les commentaires

Une épidémie de Harlem Shake secoue la planète

31 Mars 2013, 18:58pm

Publié par hugo

Une épidémie de Harlem Shake secoue la planète LE MONDE | 11.03.2013 à 13h47 • Mis à jour le 12.03.2013 à 17h27Par Stéphanie Binet et Rosita Boisseau
Abonnez-vous
à partir de 1 €
  Réagir  Classer  Imprimer  Envoyer

Partager   google + linkedin

 

Au Caire, le 28 février, de jeunes Egyptiens devant le quartier général des Frères musulmans.

 

C'est le nouveau phénomène Web planétaire. Le Harlem Shake, cette bombe choré-musicale – assemblage de danse, de musiques urbaines, de tradition carnavalesque –, a véritablement explosé en un mois sur la Toile, suscitant quelque 50 000 versions postées un peu partout dans le monde sur YouTube et générant plus de 30 millions de vues.

Cette mode a même pris une tournure politique, servant de prise de parole pour des mouvements en rébellion contre le pouvoir. Comme en Chine – sur la question du Tibet –, ou bien encore en Tunisie et en Egypte où les jeunes révolutionnaires du "printemps arabe" s'empoignent sur leur droit ou non à faireleur Harlem Shake.

 

Le scénario d'une vidéo est simple : une personne casquée ou masquée débute une danse au rythme des infrabasses de trap music (hip-hop électro du sud des Etats-Unis), puis est rejointe par d'autres déguisés. Les clips durent quelque trente secondes.

QUATRE JAPONAIS COSTUMÉS EN BABYGRO

Un balayage rapide de ces vidéos donnera une idée de l'imagination délirante que cette "danse de tremblements" semble injecter dans la moelle de toute la planète. Non seulement, elle s'installe dans les bureaux, les cantines, les vestiaires des équipes de sport, mais elle se risque dans des endroits a priori impossibles : un avion, une mine d'or. Un Harlem Shake filmé en piscine est magique, tant d'un point de vue comique que plastique. Celle des Norvégiens saisis à poil en train defaire semblant de copuler avec un pont reste un moment d'anthologie.

 

 

Le mouvement a démarré le 2 février quand le premier clip du Harlem Shake a été réalisé et posté par un groupe de quatre Japonais costumés en Babygro filmés dans leur chambre. L'un deux, Filthy Frank, habitué des vidéos burlesques sur YouTube, avoue sur son blog : "Je fais ça, car ma vie ne va nulle part." C'est lui qui a choisi le morceau Harlem Shake du DJ américain, Baauer.

De son vrai nom Harry Rodrigues, Baauer fait partie d'une scène électro de Brooklyn qui revisite le rap du sud des Etats-Unis, le crunk et la trap music, soit littéralement, la musique du "Piège", surnom donné aux quartiers pauvres d'Atlanta. Le morceau débute par la voix d'un artiste reggaeton qui crie en espagnol "Con los terroristas". Cette première vidéo a mis sur orbite une danse toute en secousse du bassin et du buste. Parfait pour faire monter la transe etterminer en tire-bouchon gestuel, auto-masturbatoire et très sexe.

LES LOCAUX RÉCLAMENT LA PATERNITÉ DE LA DANSE

Le nom a une autre origine. Historiquement, le Harlem Shake, né à Harlem, est unstyle de danse hip-hop apparue dans les années 1980. Combinant de manière virtuose et ultra-nerveuse des roulements des épaules avec des huit du bassin tout aussi toniques, elle se danse d'abord dans la rue.

Directrice d'une école de danse qui se situe dans l'hôpital de Harlem sur la 135erue, Françoise Brooks, se souvient : "En 1981, un jeune a eu l'idée de cette danse en imitant les ivrognes, d'où les mouvements désarticulés. Ce sont les artistes hip-hop comme Puff Daddy et d'autres en 2001 qui lui ont redonné vie en l'incluant dans leurs clips vidéo. Là, on a vu tous les gamins du quartier danser le Harlem Shake. Les gosses adoraient ça, et nous, pour une fois, les adultes, on voyait ça plutôt d'un bon oeil."

En effet, le Harlem Shake n'est pas aussi outrageusement sexuel que les contorsions jamaïcaines et d'autres danses en vogue à l'époque. Mais à Harlem, on avait rangé depuis un moment le Harlem Shake au placard. Et quelques vidéos seulement poussent sur le Net où les locaux réclament la paternité de la danse.

Dans le clip de la rappeuse Eve, Who's that Girl, l'apparition d'un groupe de hip-hopeurs en train de vriller à toute allure donne une idée de la technique nécessaire à cette danse. "Le Harlem Shake tel qu'on le voit actuellement n'a rien à voir avec le style hip-hop de l'époque virtuose et élaboré, explique Bruce Ykanji, danseur et directeur de la compétition hip-hop Juste debout. M. et Mme Tout-le-Monde peuvent l'exécuter. Ce n'est pas ce que j'appelle véritablement une danse. Je pense même que ce buzz est en train de la vulgariser en la rendant vraiment grossière."

 

 

POUSSER LOIN LE BOUCHON DU N'IMPORTE QUOI 

Le Harlem Shake serait la nouvelle fièvre danse après le Gangnam Style ? Pour les experts en tendances, assurément oui ! "C'est l'après-Gangnam que l'on attendait, assure Vincent Grégoire, responsable du département art de vivre de l'Agence Nelly Rodi. Mais à la fantaisie de Psy qui joue avec les codes du luxe et de l'establishment à laquelle ce fils de famille appartient, le Harlem Shake est nettement plus foutraque et bordel. Alors que fleurissent les expositions sur le surréalisme et l'usage des drogues dans l'art, cette danse pousse loin le bouchon du n'importe quoi, jusqu'au punk même parfois."

Entreprise de libération ? L'esprit contestataire du carnaval innerve les éclats féroces du Harlem Shake qui semble jouer parfaitement son rôle de déversoir collectif. "Dans le contexte de crise et de ras-le-bol, les gens se donnent rendez-vous pour se filmer dans des endroits parfois interdits et injectent du non-sens dans le système, poursuit Vincent Grégoire. Ils retrouvent aussi du liensocial. Parallèlement, cette danse que l'on peut qualifier de païenne à l'ère du virtuel tombe à pic pour remettre du charnel dans la vie."

C'est sans doute ce qu'a voulu condamner, le 23 février, le ministre de l'éducation tunisien, Abdellatif Abid, en ordonnant une enquête contre des lycéens qui avaient filmé leur Harlem Shake déguisés en émirs ou simplement habillés de sous-vêtements.

Le 28 février, les élèves de l'Institut de presse et des sciences de l'information (IPSI) de l'université de Manouba avaient voulu organiser le leur en soutien, mais se sont cognés à leurs "camarades" salafistes de faculté et ont dû annuler. Dans leur communiqué, ils défendaient "leur droit au rêve, à la création, à l'expression et à la joie"...

 

 

Stéphanie Binet et Rosita Boisseau

Quelques liens autour du Harlem Shake

 

 

www.youtube.com/user/HarlemShakerTV

www.youtube.com/user/dotheharlemshakeit

harlemshake.fr

knowyourmeme.com/memes/harlem-shake

Voir les commentaires

Les Femen, des seins nus pour quel dessein ?

31 Mars 2013, 03:43am

Publié par hugo

 

Les Femen, des seins nus pour quel dessein ?
Les Femen, des seins nus pour quel dessein ?
© afp

Décrites comme des amazones modernes ou considérées comme des purs produits d’une culture porno-pop, les militantes aux seins nus des Femen se sont imposées sur la scène féministe française malgré des actions coups de poing controversées.

ParMehdi Chebil(texte)

Montrer ses seins pour protester. Le procédé a garanti le succès médiatique desFemen, ce groupe de jeunes femmes manifestant seins nuscontre la domination masculine. Mais leurdernier coup d’éclat à la cathédrale Notre-Dame de Paris, après la renonciation de Benoît XVI mi-février, a jeté un froid.

Au-delà d’une classe politique unanime dans sa condamnation d’une "caricature du beau combat de l’égalité femmes-hommes", l’exhibition de huit militantes à l’intérieur de Notre-Dame a ravivé des critiques latentes au sein du milieu féministe.

"Ma critique est que le fait de manifester seins nus joue le jeu du patriarcat. La nudité est utilisée pour vendre et on se demande quel est le message", affirme Nicole Van Enis, auteure de "Féminismes Pluriels".

"Ensuite, ce ne sont pas n’importe quelles femmes. Elles sont toutes belles, jeunes, jolies. Elle jouent le même jeu que les publicitaires qui nous montrent toujours des femmes conformes aux stéréotypes actuels de beauté, avec leurs mannequins retouchés sur photoshop", continue la militante féministe belge.

"Sextrémistes" de rêve

Un conformisme qui tranche avec l’image subversive revendiquée par les Femen – mais qui permet aux "sextrémistes" d’accaparer l’attention médiatique.

"Les Femen n’auraient jamais eu une telle attention si elles n’avaient pas montré leurs seins. La ‘sexualisation’ est une excellente arme médiatique et la couverture de L’Express en est la preuve", décrypte ainsi Alice Coffin, membre active dumouvement féministe La Barbe.

Tout en soulignant que le mode opératoire des Femen "faisait débat" au sein de La Barbe, la militante y voit avant tout un moyen efficace de mettre les revendications féministes sur les devants de la scène.

"Elles ont choisi un mode d’action dynamique et choquant. C’est une démarche partagée par d’autres groupes militants – je pense par exemple à Act Up qui balançait du faux sang pour attirer l’attention sur le sida", affirme Alice Coffin.

"Quant à l’idée de montrer sa poitrine pour attirer l’attention des médias sur des combats féministes, on peut y voir une réflexion sur une société machiste prise à son propre piège", continue la militante de La Barbe.

Des intentions pas très claires

Uneétude de Harris Interactive sur le coup d’éclat des Femen à Notre-Damea montré qu’une majorité de sondés désapprouvait le mode opératoire – manifester seins nus dans une église –, tout en étant d’accord avec les thèmes féministes défendus.

Paradoxalement, il y avait deux fois plus d’hommes que de femmes (21% contre 9%) qui approuvaient à la fois le fond et la forme de l’intervention des Femen… Meilleure compréhension masculine des subtilités doctrinales des Femen ou simple volonté de se rincer l’œil ? Pour Nicole Van Enis, la réponse est claire – plus claire, en tout cas, que le message véhiculé par les Femen.

"Les journaux publient des photos de femmes aux seins nus parce que ça fait vendre et les articles de presse parlent des bousculades lors de leurs interventions. Mais en fin de compte les journalistes ne parlent pas de leurs revendications", rappelle la militante féministe belge.

Ce recyclage de l’imagerie amazone des Femen au détriment des valeurs défendues par le groupe d’origine ukrainienne est bien illustré par la dernière couverture de l’Express.

Sous le titre"Femmes: l’arme du sexe", l’hebdomadaire n’a pas hésité à juxtaposer la photo des militantes aux seins nus, dont le combat fondateur fut menée contre la prostitution en Ukraine, avec le portrait de l’essayisteMarcela Iacub, réputée pour ses positions diamétralement opposées en la matière.

LES MÉDIAS SUR LE BANC DES ACCUSÉS

La réduction des féministes à une image choc et décontextualisée de leur lutte est une constante dans l’histoire du mouvement, selon l’historienne Christine Bard, auteure de "le féminisme au-delà des idées reçues".

"Il suffit de repenser à ces images de féministes radicales brûlant leurs soutiens-gorge aux Etats-Unis – le symbole du sein déjà !", affirme Mme Bard.

L’historienne rappelle à cet égard que le symbole de l’immolation de soutiens-gorge avait été évoqué par des organes de presse anti-féministes avant d’être récupéré par les militantes.

Mme Bard estime que le fait de se dévêtir et le mode opératoire des Femen reste pertinent aujourd’hui, notamment pour protester contre la pudeur imposée par les grandes religions monothéistes.

Voir les commentaires

Amina Tyler, la Femen disparue : Femme de la semaine

31 Mars 2013, 03:32am

Publié par hugo

Amina Tyler, la Femen disparue : Femme de la semaine

Amina Tyler, FemenAmina Tyler, fondatrice de la page Facebook Femen-Tunisie, est introuvable. En posant seins nus, elle avait provoqué une vive polémique dans son pays. Selon le mouvement des Femen, elle aurait été internée de force par sa famille, dans un hôpital psychiatrique…

Le cas d’Amina Tyler demeure préoccupant. Ce jeudi 21 mars, lesFemen ont signalé la disparition de cette lycéenne tunisienne, âgée de 19 ans. Elle avait créé la première page Facebook des Femen-Tunisie, et avait posé seins nus en signe de revendication. Ce geste avait suscité une vaste polémique dans le pays. Dès lors, Amina Tyler était la cible de menaces de mort d’islamistes et d’internautes scandalisés. Alors qu’elle ne donnait plus aucun signe de vie, la jeune femme aurait été aperçue en compagnie de son père et de son frère. Elle aurait été internée dans un centre psychiatrique contre son gré, comme le rapporte le mouvement des Femen sur leur page Facebook"Nous craignons pour sa vie. Nous avons essayé de la contacter, mais sans succès. Son téléphone reste éteint", déplorent les activistes féministes.

Une mobilisation en urgence des féministes

Une vague de soutien s’est organisée autour d’Amina Tyler. "Je dénonce l'islamisation radicale et la destruction des idéaux du printemps arabeLes femmes et leur courage ne céderont jamais face aux monstres barbus !",s’est indignée Inna Schevchenko, leader du mouvement Femen, dans une tribune publiée par le Huffington Post. Plusieurs féministes du monde arabe ont également exprimé leur soutien, notamment la bloggeuse égyptienne,Aliaa Magda Elmahdy, et la cinéaste tunisienne Nadia El-Fani. L’essayiste Caroline Fourest a quant à elle appelé à une journée internationale pour la défense d’Amina, le 4 avril prochain. De nombreuses féministes ont répondu favorablement à son appel. Dans une Tunisie où l’islamisation tend à bafouer les droits des femmes, Amina Tyler est devenue une cause internationale, dont les soutiens se multiplient d’heure en heure…

Voir les commentaires

QUI SUIS JE ?

31 Mars 2013, 03:16am

Publié par hugo

QUI SUIS JE

 

JE SUIS UN HOMME DE 31 ANS , le 28/05/2013.

JE FAIS DE LA DANSE BRETONNE SUR PARIS 14 SINON j aime lire de la poésie , j aime lire en général et j aime sortir en boite de nuit de temps en temps au batofar , je vais souvent m acheter des livres a Gibert jeunes ou Gibert joseph paris .

J écoute de tous en musique cela vas de Renaud , brel , cabrel, brassens , bruel ,

sinon pour finir je fais tout tous seul ménage , vaisselle , courses etc

je fais mes courses entre le quartier chinois de paris 13 ,

En poésie je lis de tous Verlaine, Hugo, Nerval, Apollinaire , eluard, Aragon,

je préfère le rap féminin que masculin car il est moins violent et bien plus polis tout en critiquant le monde:Kenza farah, amel bent, diams etc

j aime prendre de temps en temps un verre avec des gens que je connais et pour finir je prendre un verre le mardi soir avec des collègues de la danse bretonne , si je fais de la danse bretonne c est que je suis un quart breton

 

AMITIE BERTRAND  

Voir les commentaires

22 mars 2013 Indépendance de l'autorité judiciaire

30 Mars 2013, 06:18am

Publié par hugo

Indépendance de l'autorité judiciaire

Communiqué de presse de Christiane Taubira, garde des sceaux, ministre de la Justice

 

Christiane TAUBIRA, garde des sceaux, ministre de la Justice rappelle que  l’indépendance de l’autorité judiciaire est garantie par la Constitution.

Les juges d’instruction sont des magistrats du siège qui assurent leur mission en toute indépendance et conformément au droit.

Elle regrette tous propos qui porteraient atteinte à l’honneur des juges et assure les magistrats qui seraient mis en cause de son soutien.

 

Contact presse :

Cabinet de la Garde des Sceaux : 01 44 77 22 02

Courrier électronique : secretariat-presse.cab@justice.gouv.fr

Voir les commentaires

Le chômage qui n’en finit pas

30 Mars 2013, 06:14am

Publié par hugo

Le chômage qui n’en finit pas
26 mars 2013 à 22:06
Au Plie (Plan local pour l’insertion et l’emploi) de Saint­-Ouen (Seine­-Saint­-Denis).
Au Plie (Plan local pour l’insertion et l’emploi) de Saint­-Ouen (Seine­-Saint­-Denis). (Photo Jean-Michel Sicot pour «Libération»)

ANALYSE 22e mois de hausse : le record de demandeurs d’emploi de 1997 est presque égalé. Mais c’est l’explosion du nombre de chômeurs de longue durée qui inquiète le plus.

Le record, c’est (pas encore) maintenant. Avec 3 187 700 inscrits en février en catégorie A (sans aucune activité), soit 18 400 demandeurs d’emplois supplémentaires en un mois, le nombre de chômeurs en France métropolitaine a frôlé, sans l’atteindre, le pic historique de janvier 1997 (3 195 000). Un sursis que le gouvernement doit essentiellement… au calendrier. «Février est un mois court. Avec trois jours de plus, on l’aurait à coup sûr dépassé», glisse-t-on à Pôle Emploi.

 

Ce sera donc pour mars. Mais avec une grosse réserve, pour les inconditionnels du Guiness Book : il s’agira alors du record du nombre de demandeurs d’emplois, en valeur absolue, et non pas du taux de chômage, seul indicateur réellement pertinent. Car depuis, la population active a augmenté, conduisant mathématiquement à ce qu’un même nombre de demandeurs d’emplois conduise à un taux de chômage plus faible aujourd’hui qu’il y a quinze ans. Il est ainsi ressorti à 10,2% fin 2012, alors qu’à deux reprises, en 1994 et 1997, il avait atteint 10,8%. Pas de jaloux, cependant : le record du taux de chômage devrait à son tour être battu dans quelques mois, vu la conjoncture déprimée promise à la France cette année (+0,1% de croissance).

Longue durée

Au-delà de ces chiffres globaux, il en est un autre particulièrement inquiétant, et qui a déjà battu, lui, son record en valeur absolue : c’est celui des chômeurs de longue durée. Il y avait ainsi 1 873 100 demandeurs d’emplois inscrits depuis plus d’un an en février (catégories A, B et C), dont un demi-million qui n’ont pas travaillé depuis plus de trois ans…

Cette catégorie, surtout, ne cesse de progresser. Plus que les autres. Alors qu’en février, le nombre de demandeurs d’emplois de moins d’un an n’a pas augmenté, celui des chômeurs de longue durée a crû de 1,4%. Plus significatif encore : sur un an, le nombre de chômeurs de longue durée a bondi de 14,7% (dont 18,3% pour les plus de trois ans), alors que le nombre d’inscrits depuis moins d’un an n’a connu une hausse «que» de 6,9%. Bref, sur l’année écoulée, le chômage de longue durée a progressé deux fois plus vite. Au point de représenter, désormais, 40% de l’ensemble des chômeurs en France.

Effets pervers

Des chiffres dramatiques, qui indiquent que «la crise s’installe», fait-on remarquer à Pôle Emploi. Car, dans un contexte de raréfaction du travail, «ce sont les plus qualifiés et les plus autonomes qui finissent par s’insérer». Tandis que les autres viennent grossir, sans pouvoir s’en sortir, la catégorie des chômeurs de longue durée. Avec cet effet pervers qui veut que «plus vous êtes longtemps au chômage, plus vous cumulez les risques d’y rester», indique-t-on à Pôle Emploi. Perte de connaissances, déqualification par rapport à des outils ou à des logiciels : «Un chef d’entreprise choisira le plus souvent quelqu’un au chômage depuis deux mois seulement que depuis deux ans.»

«Dans les périodes de hausse durable du chômage, le chômage de longue durée augmente toujours plus vite», confirme l’économiste Michel Husson. Un mécanisme de «liste d’attente» caractérisée par une marginalisation des moins diplômés, qui mettent ainsi plus de temps que la normale à intégrer le marché du travail.

Autre phénomène : «La crise contribue à supprimer des activités complètes sur un bassin d’emploi, comme par exemple PSA à Aulnay», explique Pôle Emploi. Touchant ainsi des salariés disposant de«spécialisations qu’il est très difficile de réutiliser dans d’autres activités».

L’implacable liste d’attente

Il y a peu d’espoir, par ailleurs, de favoriser leur retour à l’emploi avant une hypothétique reprise. Car outre que leur insertion nécessiterait des moyens considérables de formation - que la période de disette budgétaire semble condamner - le marché du travail atone leur préfère les plus qualifiés. Toujours l’implacable liste d’attente. «Quant à l’argument du coût du travail qu’il conviendrait d’abaisser, c’est une fable, estime Michel Husson. Ce public est déjà peu qualifié et a des salaires très bas.» Seul outil nouveau, en dehors des classiques contrats aidés, qui pourraient avoir un effet sur le chômage de longue durée : les contrats d’avenir, lancés en novembre par l’exécutif. Un dispositif calibré pour les moins qualifiés, à la différence des anciens emplois-jeunes. Et «qui pourrait permettre de faire revenir certains profils très éloignés vers le marché du travail», estime Pôle Emploi.

Pour le reste, le gouvernement est condamné à attendre. Car ses mesures contre le chômage ont toutes été dégainées, et mettront du temps avant de monter en puissance. Qu’il s’agisse des emplois d’avenir (150 000 attendus d’ici 2014), des contrats de génération (500 000 sur le quinquennat) ou encore du crédit d’impôt pour les entreprises. Pas sûr que les Français fassent preuve de la même patience…

Voir les commentaires

Lipdub "Je te donne" de L'Arche avec Jean-Jacques Goldman

30 Mars 2013, 06:11am

Publié par hugo


 

http://www.youtube.com/watch?v=WQPC6q_lkCM&lc=g-cw6aYMghL1tWb0rTS8HfbTSrVqe-GE9SC8a8CvT8U&lch=email_reply&feature=em-comment_reply_received

 

Lipdub "Je te donne" de L'Arche avec Jean-Jacques Goldman
Arche France Arche France·7 vidéos
265 067
J'aime      Je n'aime pas 71
    

Publiée le 19 mars 2013

JE FAIS UN DON sur www.je-te-donne.arche-france.org !
Lipdub réalisé à L'Arche à Marseille par La Fondation Les Amis de L'Arche. Témoignages, photos du tournage, "making of" à venir...
A la caméra : Xavier Ameller ! 1000 merci à l'équipe de tournage de choc !!

Voir les commentaires

Ce que les femmes aiment chez un homme : mythe ou réalité ?

30 Mars 2013, 05:55am

Publié par hugo

 

Ce que les femmes aiment chez un homme : mythe ou réalité ?
Ce que les femmes aiment chez un homme : mythe ou réalité ?
©

On dit souvent que les femmes n'aiment pas les machos, ni les hommes poilus mais qu'au contraire elles ont un penchant pour les hommes musclés et qu'elles trouvent les messieurs en uniforme so sexy ! Mais ces affirmations sont-elles vraies ? Quel est le profil d'homme qui rafle tous les suffrages ? Cosmopolitan.fr et eDarling.fr se sont penchés sur la question. Voici les réponses.

Les idées reçues en matière de critères de sélection pour trouver l'amour sont nombreuses...
On dit bien souvent que les femmes aiment les hommes grands, galants, avec une grosse voiture mais est-ce vrai ? 


Pour tordre le coup à toutes ces idées reçues, Cosmopolitan.fr et eDarling.fr ont posé la question aux principales concernées : les femmes !



  • Les femmes préfèrent les hommes grands : mythe ou réalité ?

Réalité !
D'après les sondées, les femmes déclarent être attirées par les hommes grands. Du moins plus grands qu'elle car ils donne un sentiment de sécurité et de protection….


  • Les femmes n'aiment pas les hommes poilus : mythe ou réalité ?

Les avis sont partagés.
49,1%% avouent qu'un homme avec des poils c'est beaucoup plus viril. Quant aux 50,9% des femmes restantes, elles trouvent la pilosité de ces messieurs peu agréables et préfèrent ceux qui s'épilent. Elles trouvent cela plus esthétique et bien plus doux….


  • Les femmes aiment les hommes en uniforme : mythe ou réalité ?

Mythe !
Non détrompez-vous, toutes les femmes n'aiment pas les hommes en uniforme. D'ailleurs seuls 39,5% trouvent cela attirant. Les autres avouent aimer les regarder et les trouver très sexy mais accordent plutôt de l'importance à la personne plutôt à l'habit.


  • Les femmes aiment les hommes qui ont une grosse voiture : mythe ou réalité ?

Mythe !
Les sondées, ne semblent pas avoir d'attirance particulière pour les hommes qui ont de grosses… voitures ! Seuls 26,4% ont un attrait pour les propriétaires de grosses berlines. Pour les 73,6% de femmes restantes, elles avouent trouver cela agréable à regarder mais que ce n'est pas un critère de sélection. Encore heureux !


  • Les femmes aiment les bad-boys : mythe ou réalité ?

Mythe !
On dit souvent que les femmes sont attirées par les mauvais garçons. Mais il semblerait que cette légende… ne soit qu'une légende ! Quoi que. Puisque lorsque l'on est jeune, c'est vrai qu'on trouve les bad-boys attirants. Mais en prenant de l'âge, les voyous, ce n'est plus vraiment ce que l'on recherche. D'ailleurs, 78,2% des femmes interrogées ont déclaré préférer les gentlemen, les hommes responsables et matures. Alors même si pour 21,8% des sondées, les mauvais garçons apportent du piment dans leur vie, en vieillissant, les attentes ne sont plus vraiment les mêmes !


  • Les femmes aiment les hommes mystérieux : mythe ou réalité ?

Mythe !
Trop de mystère tue le mystère. Les secrets (même sans être jalouse, ni paranoïaque), effrayent 78,2% des femmes. Oui, aussi étrange que cela puisse paraître, nous aimons nous les filles, la franchise et la communication. Et dans l'idéal un homme qui se livre et qui parle de ses sentiments (oui laissez-nous rêver…) 


  • Les femmes aiment les hommes galants : mythe ou réalité ?

Réalité of course !
Rien de bien étonnant que la très large majorité des femmes apprécient les marques de galanterie, car elles sont la preuve d'une certaine éducation. Ce qu'elles aiment par dessus tout ? C'est que cette spontanéité soit sincère et qu'elle ne soit pas utilisée comme une technique de séduction. Et contre toute attente, 5,4% des femmes trouvent la galanterie "vieux-jeu"… Etrange. 


  • Les femmes aiment les hommes très musclés : mythe ou réalité ?

Mythe
Les femmes aiment les hommes qui s'entretiennent car ils nous donnent le sentiment d'être protégées. Mais attention : les hommes trop musclés sont bien loin de faire l'unanimité. 72,8% avouent ne pas aimer les bodybuildés et certaines avouent même préférer les messieurs avec un peu de ventre afin de moins complexer avec notre propre petit bidon.


  • Les femmes aiment les hommes de pouvoir : mythe ou réalité ?

Presque un mythe !
Une nouvelle fois, les avis sont globalement partagés. 55,3% des femmes revendiquent aimer les hommes de pouvoir de par le sentiment de sécurité qu'ils procurent et aussi pour le charisme qu'ils dégagent. Mais pour 44,7% des sondées, le pouvoir serait synonyme d'arrogance. Alors celles-ci disent : non merci !


  • Les femmes n'aiment pas les machos : mythe ou réalité ?

Réalité
84,1% disent ne pas aimer les machos, mais tempèrent leurs propos en déclarant aimer les hommes virils et protecteurs. Tout est dans la nuance : un homme doit rester un homme, sans pour autant être violent ou misogyne. Bien dit les filles !

Et vous, êtes vous d'accord avec ces résultats ?

 

Source : eDarling.fr

 

Par

  • Gina Tarlayan

Publié le 26/03/2013 à 17:50

Voir les commentaires

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 20 > >>